• JournéesDuPatrimoine Un énorme non-dit pèse sur les « Journées européennes du Patrimoine »: le LINGUICIDE ACCELERE de la LANGUE FRANCAISE !  (IC.fr-19/05/21)

     

    par G. Gastaud, directeur politique d’Initiative Communiste, militant de la langue française , avec le soutien de Fadi Kassem, secrétaire national du PRCF et d’Olivier Rubens, de la commission Culture du PRCF-18 septembre 2021

    Comme chaque année, les ainsi-dites « Journées européennes du Patrimoine » vont, tout à la fois, ouvrir salutairement et gratuitement certains lieux de culture au public, et imposer d’office le label « européen » à toutes sortes de richesses culturelles accumulées au long des siècles par les DIFFERENTS peuples d’Europe. 

    Mais il y a plus grave: pendant que les Bachelot, Lang, Fleur Pellerin, Frédéric Mitterrand et autres ministres de la culture successifs inféodés à Maastricht vont célébrer le « patrimoine » avec des trémolos dans la voix, le linguicide accéléré de notre langue et des autres langues d’Europe sacrifiées au tout-globish envahissant s’accélère chaque jour dans le silence universel des médias complices. Y compris des médias « culturels » comme Télérama, France-Culture et tant d’autres…

    Or, quel est le coeur de notre patrimoine si n’est cette langue française qui, depuis des siècles, porte notre histoire, nos contradictions, nos peines et nos espoirs collectifs, y compris nos révolutions, à travers une littérature, une chanson, un cinéma, une philosophie, une science, une technologie de niveau mondial? Pourtant cette langue, qui est parlée sur les cinq continents par 300 millions de personnes, et comprise ou parlée peu ou prou par 900 millions d’individus, est systématiquement ARRACHEE au profit du tout-anglais « managérial » que promeuvent, en toute illégalité, l’UE qui bafoue en la matière ses propres traités, les gouvernements français successifs, qui organisent sciemment le contournement massif de la et de la Constitution (art. II-a, « la langue de la République est le français« ) et, à l’arrière-plan de tout cela, l’oligarchie capitaliste: celle-ci, depuis l’époque du Baron Sellières déclarant devant le Conseil des chefs d’Etat européens (2004) que l’anglais est désormais « LA langue des affaires et de l’entreprise », fait tout pour BASCULER notre pays et l’Europe tout entière au tout-anglais invasif en l’imposant aux peuples, SANS LE MOINDRE DEBAT DEMOCRATIQUE, de toutes les manières possibles (enseignes, pubs, chanson, « séries » françaises presque TOUTES accompagnées, désormais, de chansons en anglais, grandes entreprises comme Renault ou PSA basculant toute leur communication technique interne à l’anglais, bain linguistique anglais imposé aux enfants aux dépens de toute autre langue vivante depuis la maternelle, haut niveau de certification en anglais exigé à l’Université et accroissant la ségrégation sociale, prises d’armes en anglais de l’Armée française asservie à l’OTAN, etc.). 

    On sait aussi que, illégalement, Mme Ursula von den Leyen, a décidé de faire de l’anglais la SEULE langue de travail des institutions européennes. Or, non seulement Macron se tait, mais les deux derniers « évènements » internationaux qu’il a présidés et organisés en France ont eu pour nom, de manière aussi illégale qu’inconstitutionnelle, « Choose France! » et « One Planet Summit »… 

    Or, sans sa langue, de plus en plus humiliée, déclassée, ridiculisée et reléguée, la France ne sera bientôt plus qu’un « couteau sans manche dont on a perdu la lame ». Il en ira alors de même pour le reste du patrimoine français mixé dans l’infect brouet d’une « culture-box » euro-atlantique dont les produits culturels, et bien souvent anti-culturels, concoctés aux Etats-Unis, saturent plus que jamais nos rétines, nos tympans, nos estomacs… et nos cerveaux! 

    Or l’humanité vit de ses différences partagées, non pas déniées et concassées par une langue, une « culture » uniques porteuses du totalitarisme insidieux de la pensée, de la politique et de l’économie uniques. Quand donc les défenseurs de l’environnement comprendront-ils enfin que la langue unique imposée par le « marché » est aussi mortelle pour la diversité culturelle mondiale que l’est, pour la nature, l’extinction de la biodiversité provoquée par la quête effrénée du tout-profit? A tous niveaux, la mondialisation capitaliste-impérialiste les mêmes effets ouvertement ou insidieusement totalitaires, voire exterministes avec des conséquences relevant de la contre-révolution idéologique, voire anthropologique. 

    Allons, amis du Patrimoine, le jour de est arrivé; partout, de manière créative, osons marcher contre la bien-pensance anglomane et américano-maniaque en faisant de ces Journées « européennes » du patrimoine un moment de résistance partagée à l’aliénation euro-mondialisée en marche du tout-globish euro-atlantique !

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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    « On ne peut pas cacher le fait que les multinationales pharmaceutiques ont une très longue histoire de corruption de politiciens, d’experts et de médecins pour atteindre leurs objectifs économiques. » Angeles Maestro (IC/.fr-18/09/21)

    « On ne peut pas cacher le fait que les multinationales pharmaceutiques ont une très longue histoire de corruption de politiciens, d’experts et de médecins pour atteindre leurs objectifs économiques.

    Débat on lira avec intérêt la réflexion de la camarade espagnole Angeles Maestro concernant la communication par la peur et la promotion des seuls vaccins des multinationales américaines face à la crise du covid-19. Une analyse qui donnent à voir comment le système capitaliste installe structurellement un climat de défiance, etouffant le débat et l’information scientifique.

    Il convient en complément de cette analyse, centrée sur les pays occidentaux de l’Axe Washington Berlin/Bruxelles, de remarquer qu’il est difficile d’amalgamer l’ des vaccins existants contre le covid-19 à la spéculation capitaliste sur les multinationale qui n’en produisent que certains. D’une part car tous n’exploitent pas les même technologies ( ARNm pour les vaccins américains et americanoallemand, porteur viral à ADN modifié pour les vaccins britannique et russe, inactivé pour les vaccins chinois, à protéine unitaire pour les vaccins cubains. D’autre part car la majorité des vaccins utilisés dans le monde ne sont pas le produit de multinationales capitalistes ( plus d’un milliards de vaccinés l’ont été par les vaccins chinois tandis que le vaccin anglais développé par Oxford ne peut être produit que sous une license interdisant les marges, le vaccin russe l’est par l’institut public Gamaleya, et vaccins cubains par les sociétés publiques de Cuba socialiste)

    A Lire :

    Bien évidemment, chacun peut constater que les médias des milliardaires relaient la pensée dominante, et plutôt que de fournir les explications scientifiques préfèrent les anathèmes, alimentant la peur et la défiance, pour contribuer au clivage de la société selon le principe du diviser pour mieux régner. Ce n’est pas les communistes qui vivent comme le PRCF une censure totale et continue qui ignorent que la parole n’est pas libre dans les médias des milliardaires et qui le découvrent avec le traitement des informations sur le covid-19. Sur ce sujet, Il est utile de souligner que si le professeur Raoult a régulièrement micro ouvert face à des journalistes inquisiteurs plus soucieux du buzz que de l’avancée constructive des controverse scientifiques, la censure réelle et totale frappe là également en premier lieu les chercheurs socialistes. A commencer par ceux de Cuba qui bien qu’ayant abondamment publié des résultats scientifiques sérieux et innovants, sur la vaccination comme sur les traitements notamment concernant les effets positifs de certains interferons voient leurs travaux totalement effacés des médias occidentaux. En ce sens, www.initiative-communiste.fr est fier d’avoir relayé l’ des informations sur les traitements utilisés en Chine comme à Cuba socialiste. Et d’avoir contribué au débat en publiant des points de vue divers, mais également avec une description factuelle de la situation épidémique en France. Pour un « débat ouvert et libre » sans peur mais en pleine conscience de la situation, non seulement sanitaire mais aussi politique


    Politiques d’exacerbation de la peur et censure dans la gestion de Covid

    par Ángeles Maestro

    Médecin, technicienne supérieure en santé publique. Ancienne membre du Parlement, porte-parole de la santé au Congrès. 7 SEP 2021

    La concentration du pouvoir économique et médiatique rend plus urgente encore la nécessité de faire émerger des voix qui revendiquent avec force le débat public. Un débat ouvert et libre avec des profils non seulement scientifiques, mais aussi économiques, politiques, philosophiques et éthiques.

    Au fur et à mesure que le temps passe, il s’avère nécessaire une analyse rétrospective des politiques des gouvernements et des médias qui révèle des faits qui ne correspondent guère aux objectifs de protection de la santé des populations face à la nouvelle pandémie.

    Les questions sont nombreuses et, comme nous le verrons, à quelques exceptions près, les lignes générales appliquées par les gouvernements et les sociétés de médias « occidentaux » (c’est-à-dire l’UE et les États-Unis) ne diffèrent pas sur le fond.

    1. Peur, confusion et impuissance

    La militarisation de la peur, face à l’éclatement de la crise sanitaire, avec la présence grotesque de membres de l’armée en uniforme, de la police et de la garde civile lors des conférences de presse pour informer sur le Covid et la répression parfois brutale dans les rues, a été assaisonnée par les images terribles de personnes âgées mourant dans une situation d’abandon total, après s’être vu refuser l’assistance du système de santé publique. Pendant ce temps, les hôpitaux privés affichaient une situation d’une normalité insultante, admettant des personnalités publiques et des personnes fortunées de tous âges. Les plaintes déposées par les proches des personnes tuées par « homicide par imprudence, omission du devoir et refus d’assistance médicale » ont été classées par le parquet.

    Le résultat a été la création d’un sentiment de catastrophe et de risque général de décès pour une maladie dont le taux de létalité global est de 0,8 % (1).

    1. L’autorisation conditionnelle des vaccins pour une situation d’urgence et la « non-existence » d’alternatives thérapeutiques.

    Le scénario de la peur étant bel et bien en place, la vaccination s’impose comme la seule solution.

    La relation entre les gouvernements de l’UE et des États-Unis et les multinationales pharmaceutiques en ce qui concerne les circonstances de l’autorisation des vaccins a été récemment abordée par moi dans l’article : « Covid, les gouvernements de l’UE et les multinationales pharmaceutiques« .

    L’achèvement du processus d’autorisation d’urgence (aux États-Unis) et conditionnelle (dans l’UE) a nécessité deux conditions interconnectées : convaincre le public qu’il n’existe pas de traitement alternatif et neutraliser les chaque fois plus croissantes informations qui contredisaient le discours officiel.

    L’un des quatre critères établis par la Food and Drug Administration (FDA) pour autoriser l’utilisation d’urgence d’un médicament est « l’absence d’une alternative adéquate, approuvée et disponible ».

    Le premier objectif était donc de positionner le vaccin comme la seule possibilité thérapeutique, en discréditant les autres médicaments qui, sans être la panacée – il n’y en a pas en médecine -, s’avéraient relativement efficaces dans des traitements extrahospitaliers.

    Bien que 56 pays (2) aient adopté le traitement ambulatoire précoce du Covid avec des médicaments peu coûteux et bien connus – l’hydroxychloroquine (HQC) et l’ivermectine figurent sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS – et d’une efficacité relativement élevée, ils ont non seulement été dénigrés ou sous-évalués par les médias, mais aux États-Unis ils ont même été interdits en pharmacie pour le traitement du Covid.

    Le discrédit de tout autre traitement et des professionnels qui les utilisaient a ouvert la porte – dans un scénario de terreur et d’insécurité généralisées – aux vaccins comme solution définitive.

    L’un des scandales éditoriaux les plus illustratifs est celui qui a eu lieu dans la prestigieuse revue The Lancet, avec la publication le 22 mai 2020 d’une étude révélant le « danger de mort cardiaque » causé par l’HCQ dans le traitement du Covid. Cette publication, largement diffusée dans le monde entier, a entraîné la suspension immédiate des essais cliniques avec HCQ. Le 4 juin, The Lancet a rétracté l’article. Trois des quatre signataires de l’article se sont rétractés et deux d’entre eux ont reconnu avoir un conflit d’intérêts avec la multinationale Gilead, qui a fait la promotion du Redemsvir, également pour le traitement du Covid. L’article a été retiré mais le mal était fait. Lors d’une réunion d’experts à huis clos ayant fait l’objet d’une fuite, le 24 mai 2020 en France, les rédacteurs en chef de The Lancet et du New England Journal of Medicine (NEJM) ont expliqué comment des acteurs pharmaceutiques économiquement puissants corrompaient « criminellement » la science médicale pour promouvoir leurs intérêts (3).

    Il a fallu attendre jusqu’à il y a quelques jours pour que l’OMS annonce le lancement de l’essai dit “Solidarity” pour étudier le traitement du Covid avec plusieurs d’entre eux, dont l’hydroxychloroquine, après avoir suspendu l’essai correspondant en mai 2020 « par précaution ».

    Le discrédit de tout autre traitement, y compris l’administration de sérum hyperimmun de patients ayant vaincu le Covid, et des professionnels qui les utilisaient, comme nous le verrons, a ouvert la porte – dans un scénario de terreur et d’insécurité généralisées – aux vaccins comme solution définitive.

    • La d’informations qui remettent en cause le discours officiel

    Peu de temps après le déclenchement de la pandémie, des liens vers des nouvelles  non recherchées ont commencé à apparaître dans les navigateurs web, précisément lorsqu’il s’agissait de trouver des avis d’experts susceptibles de remettre en question le discours dominant. Dans ces liens, les informations demandées étaient qualifiées de fausses (fake) et les  chercheurs étaient dirigés vers les informations officielles. Ces derniers mois, pour les moteurs de recherche en langue espagnole, la procédure est devenue plus sophistiquée. Des sites comme newtral.es ou maldita.es, agissant à la vitesse de l’éclair, classent comme fausse toute information émise par des scientifiques du monde entier qui osent remettre en cause la version dominante. On peut dire que la vitesse à laquelle ils agissent est directement proportionnelle à la catégorie professionnelle du chercheur qui émet l’information.

    Mais, contre le slogan touristique “Spain is diferent », l’Espagne n’est pas différente. Il s’agit d’une globale centralisée dans la Trusted News Initiative (TNI), lancée et dirigée par la BBC. TNI a été créé en 2019, mais prend un énorme élan deux semaines après que l’OMS a déclaré une situation de pandémie pour le Covid, se donnant pour objectif de « combattre la désinformation néfaste sur les vaccins » tout en « annonçant un projet de recherche majeur ».

    Les membres du TNI (4) sont immédiatement alertés de la présence de contenus inappropriés, qui « seront rapidement examinés pour s’assurer que la désinformation n’est pas republiée ». En d’autres termes, elle sera supprimée.

    Ce sont ces entreprises qui, dans chaque pays, recherchent les partenaires les plus appropriés. En Espagne, Newtral et Maldita travaillent en collaboration  avec Facebook/Whatsapp et Google/Youtube. La société Newtral, détenue par la journaliste Ana Pastor, a déclaré un capital social initial de moins de 10 000 euros en octobre 2017 et affirme avoir facturé plus de 2 500 000 euros en 2020.

    Le canon, le seul discours valable, est le discours officiel qui émane de l’OMS ou des instances gouvernementales. Et ce, malgré le fait que, comme il sied à un processus jusqu’alors inconnu, les informations « officielles » se révèlent fausses ou contradictoires peu de temps après.

    On ne peut pas cacher le fait que les multinationales pharmaceutiques ont une très longue histoire de corruption de politiciens, d’experts et de médecins pour atteindre leurs objectifs économiques.

    Ce qu’on ne peut pas être caché, sinon par des intérêts fallacieux, c’est que les multinationales pharmaceutiques ont une très longue histoire de corruption de politiciens, d’experts et de médecins pour atteindre leurs objectifs économiques, comme l’a magistralement dénoncé Peter C. Gotzsche (5). Il suffit de rappeler le pot-de-vin versé par les multinationales pharmaceutiques au comité d’experts de l’OMS sur la grippe A et dénoncé par cette même agence internationale le lendemain de la déclaration d’extinction de la pandémie. En juillet dernier, on a appris que les trois plus grandes sociétés de distribution de médicaments et la société pharmaceutique Johnson & Johnson avaient accepté de payer 26 000 millions de dollars pour faire face à des poursuites pour leur responsabilité dans la promotion frauduleuse de la consommation d’opioïdes. En conséquence, plusieurs centaines de milliers de personnes sont devenues dépendantes des opioïdes et près de 70 000 sont mortes d’overdoses.

    • Qui tire les ficelles ?

    Comme il sied à la milliardaire affaire ouverte par l’achat par les États de centaines de millions de doses de vaccin Covid 19, les deux plus grandes sociétés de Fonds communs de placement du monde, Black Rock et Vanguard, sont les principaux actionnaires des trois grandes multinationales de vaccins pharmaceutiques : Pfizer, Moderna et Astra Zeneka.

    Ces deux Fonds géants sont des investisseurs majoritaires dans les principales entreprises de l’Ibex 35, notamment les grandes banques CaixaBank, Banco Santander et BBVA, qui sont à leur tour actionnaires des principales entreprises de médias en Espagne. À eux deux, ces Fonds sont également actionnaires majoritaires du New York Times et de quatre des six grands groupes qui contrôlent les médias aux États-Unis et dans une grande partie du monde : Time Warner, Comcast, Disney et News Corp.

    Dans l’État espagnol, non seulement ces deux fonds d’investissement contrôlent la production d’informations et la création d’opinion par le biais de ces géants des médias, depuis novembre 2020, Blackrock et un autre grand fonds d’investissement, CVC, sont devenus les principaux propriétaires du Grupo Prisa, y compris El País et Cadena SER, en achetant sa dette pour une valeur de plus d’un milliard d’euros.

    Blackrock détient également des participations importantes dans les principaux conglomérats de médias espagnols. Elle contrôle directement une partie des actions du groupe Atresmedia, propriétaire d’Antena 3 et de La Sexta, et du groupe Mediaset, propriétaire de Cuatro et Telecinco.

    Différents auteurs signalent la connaissance limitée et instable sur le Covid, ce qui rend litigieuses des questions telles que l’efficacité du confinement ou des vaccins, et surtout, ils s’interrogent sur la fiabilité attribuable à ceux qui décident si une information est fausse ou nuisible. La chercheuse suédoise en bioéthique Emilia Niemiec, dans un récent rapport scientifique intitulé « COVID-19 et désinformation : la censure des réseaux sociaux est-elle un remède à la propagation de la désinformation médicale ? », se demande si la censure pouvait servir des intérêts politiques, commerciaux ou autres. Selon ce rapport, « la censure ne repose pas uniquement sur la science. Une analyse de contenu interdit dans les médias sociaux suggère que la modération est souvent politiquement biaisée.

    Différents auteurs signalent la connaissance limitée et instable sur le Covid, ce qui rend litigieuses des questions telles que l’efficacité du confinement ou des vaccins, et surtout, ils s’interrogent sur la fiabilité attribuable à ceux qui décident si une information est fausse ou nuisible

    Dans le même ordre d’idées, le sénateur australien Malcolm Roberts a demandé au Sénat, le 11 août, « s’il existait un potentiel « conflit d’intérêts » qui donnerait à Google le dernier mot sur la manière dont les informations relatives au vaccin Covid-19 sont analysées et approuvées ». M. Roberts a noté que « Alphabet, la société mère de Google et de YouTube, possède 12 % de Vaccitech Ltd. par l’intermédiaire d’un fonds de capital-risque, GV (anciennement Google Ventures). Vaccitech est une société de biotechnologie basée au Royaume-Uni qui a co-inventé le vaccin d’AstraZeneca ». La publication affirme avoir contacté Alphabet, Vaccitech et Google pour vérifier ces informations, mais n’a pas reçu de réponse.

    Ce conglomérat de pouvoir économique et médiatique compte sur la collaboration passive de la plupart des sociétés médicales – qui subsistent en grande partie grâce aux subventions de l’industrie pharmaceutique – et sur la collaboration très active des gouvernements de toutes couleurs politiques, bras exécuteurs indispensables de tous ces intérêts.

    Parler de l’ des médias en général, et plus particulièrement en ce qui concerne l’épidémie de Covid et les vaccins, ressemble à une mauvaise blague et/ou à une insulte à l’intelligence.

    • Qui a été censuré ?

    Au cas où une personne naïve penserait que ce sont des youtubers « anti-vaccins » ou des leaders négationnistes d’extrême droite qui ont été censurés, je veux mentionner quelques-unes des nombreuses personnalités scientifiques de premier plan qui n’ont aucun conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Cet aspect est crucial, comme on peut le comprendre, et doit encore être démontré par les partenaires centraux et périphériques du TNI.

    Ces personnes censurées, dénigrées et stigmatisées comme « négationnistes » ou « anti-vaccins » n’ont rien en commun entre elles, si ce n’est d’avoir exprimé des opinions critiques à l’égard des vaccins Covid ou de la gestion de la pandémie, strictement liées à leur domaine professionnel ou scientifique. Tous ont été vilipendés par des personnels des médias aux qualifications très inférieures ou inexistantes pour ces sujets et pour lesquels, j’insiste, il reste à établir l’absence de liens économiques avec les grandes entreprises pharmaceutiques, pour eux et pour leurs entreprises.

    Luc Montagnier.  Virologue français. Prix Nobel de médecine en 2008

    Kary Banks Mullis. Biochimiste américain. Prix Nobel de chimie, inventeur de la PCR.

    John Ioannidis.  Médecin grec-américain, directeur du centre de recherche sur la prévention de Stanford. Rédacteur en chef de l’European Journal of Clinical Investigation.

    Robert W. Malone. Virologue, immunologiste et biologiste moléculaire américain. Inventeur de la plateforme technologique mRNA.

    Didier Raoult. Infectiologue et microbiologiste français, spécialiste des maladies infectieuses émergentes à l’Université d’Aix-Marseille AMU. Il est membre du conseil scientifique indépendant Covid-19, qui conseille le gouvernement français dans la lutte contre la pandémie de la maladie à coronavirus.

    Karina Acevedo. Doctorat en immunogénétique, Université de Cambridge, bourse de recherche postdoctorale en épidémiologie, Institut de zoologie, Londres. Doctorat en zoologie (écologie moléculaire).

    TNI a également censuré le personnel médical de première ligne qui a sauvé des milliers de vies grâce aux premiers traitements Covid-19. Fin juillet, on a appris que Giuseppe De Donno, ancien chef du service de pneumologie de l’hôpital Carlo Poma de Mantoue, connu pour avoir utilisé sur des patients gravement malades un traitement au sérum hyperimmun provenant de personnes ayant souffert et survécu au Covid 19, avait été retrouvé pendu à son domicile. Bien que tous les patients ainsi traités aient survécu à la maladie, De Donno a été publiquement attaqué et vilipendé, au point qu’il a quitté son poste et s’est lancé dans la « médecine de proximité ». Le ministère public a ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances de sa mort et exclure l’homicide.

    La censure comme instrument pour refuser tout débat public ou toute controverse entre des interlocuteurs qualifiés ayant des positions différentes, est inacceptable au regard du plus élémentaire droit à l’information.

    Sans prétendre que les évaluations des scientifiques censurés concentrent les analyses définitives sur le sujet, ce qui est inacceptable du point de vue du droit à l’information le plus élémentaire, c’est la censure comme instrument pour refuser tout débat public ou toute controverse entre des interlocuteurs qualifiés ayant des positions différentes. Le fait qu’il s’agisse de la politique générale appliquée dans la plupart des pays permet de soupçonner que le débat est dérobé à la société, précisément parce que c’est le seul moyen d’amener la peur à faire son travail, en anesthésiant la demande du droit de savoir, pendant que les propriétaires des entreprises pharmaceutiques et des médias font leurs affaires.

    En résumé, les propriétaires des grands fonds d’investissement mondiaux sont, à leur tour, les propriétaires majoritaires des grandes multinationales pharmaceutiques qui vendent leurs vaccins aux États pour des dizaines de milliards d’euros. Et ces mêmes fonds d’investissement ne contrôlent pas seulement la plupart des grands emporiums médiatiques aux États-Unis – qui contrôlent à leur tour les médias « occidentaux » locaux – mais sont également propriétaires majoritaires, directement ou indirectement, des principaux groupes médiatiques en Espagne.

    C’est cette phase du capitalisme, avec le plus haut degré de concentration du capital que l’histoire n’ait jamais connu, qui permet le plus haut degré de contrôle social et qui, précisément, ne supporte pas les niveaux de liberté d’expression qui, à l’époque, étaient consubstantiels aux révolutions bourgeoises. Capacité maximale de contrôle et élasticité minimale pour supporter la contradiction, indicateurs de la fausse liberté qu’ils prônent et de la décadence du système.

    Quoi qu’il en soit, le fait que, pour l’instant, la concentration du pouvoir économique et médiatique fasse une anecdote sans importance la couleur politique des différents gouvernements qui suivent docilement le rythme de ceux qui ont réellement le pouvoir entre leurs mains, rend encore plus urgente la nécessité de qu’il surgisse – et de la publication dans des médias réellement indépendants – de voix qui revendiquent fermement le débat public. Un débat ouvert et libre avec des profils non seulement scientifiques, mais aussi économiques, politiques, philosophiques et éthiques.

    Des voix qui, comme le « j’accuse » d’Emile Zola, s’élevent au-dessus de la violence imposée par les accusations de « négationnisme », d' »anti-vaccin » ou de soupçon de collusion avec l’extrême droite, proférées précisément par ceux qui, à partir de positions dogmatiques, tentent d’imposer une pensée unique ou, en d’autres termes, la non-pensée.

    Notes

    1) « Le risque global de décès par infection était de 0,8% (19 228 sur 2,3 millions de personnes infectées, intervalle de confiance à 95% de 0,8% à 0,9%) pour les décès confirmés par covid-19 et de 1,1% (24 778 sur 2,3 millions de personnes infectées, 1,0% à 1,2%) pour les décès en excès ». Cependant, comme c’est souvent le cas pour les maladies respiratoires, ce taux augmente significativement à partir de 50 ans (11,6%) et surtout à partir de 80 ans (11,4% à 23,2%) chez les hommes et de 4,6% à 6,5% chez les femmes. Étude séro-épidémiologique réalisée par des chercheurs de l’Institut de santé Carlos III et publiée dans le British Medical Journal.  https://www.bmj.com/content/bmj/371/bmj.m4509.full.pdf
    2) https://c19adoption.com/ Cité par Elizhabeth Woodworth en https://www.globalresearch.ca/covid-19-shadowy-trusted-news-initiative/5752930
    3) Une analyse détaillée et rigoureuse de ce processus, réalisée par le Dr Elizabeth Woodworth, peut être consultée ici : https://off-guardian.org/2020/06/23/the-deadly-hydroxychloroquine-publishing-scandal/.
    4) La BBC a indiqué que ses partenaires sont : AP, AFP ; BBC, CBC / Radio-Canada, Union européenne de radio-télévision (UER), Facebook, Financial Times, First Draft, Google / YouTube, The Hindu, Microsoft, Reuters, Reuters Institute for the Study of Journalism, Twitter, The Washington Post. »
    5) Gotzsche, Peter C. (2014). Les drogues qui tuent et le crime organisé . 8ème édition.

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • n’est pas une surprise de la dernière enquête du centre d’étude de l’opinion Levada : les russes préfère l’Union Soviétique à la Russie capitaliste ! En effet c’est la conclusion de toutes les enquêtes menées depuis la contre révolution violente ayant imposée – contre le vote par referendum des peuples soviétiques – la fin de l’Union Soviétique.

    Interrogés pour savoir leur préférence en terme de système politique, 49% des russes déclarent préférer le système soviétique, plus du double des 18% qui choisissent le « système actuel » et 16% la « démocratie » des pays occidentaux

    Cette réponse est la plus forte chez les plus de 55 ans qui sont ceux qui peuvent comparer l’ensemble de ces systèmes ayant connu l’Union Soviétique. Mais l’URSS reste le choix premier des plus de 25 ans.

    De façon logique, deux russes sur trois considère que le meilleur système économique est celui de la planification et de la distribution étatique. Les résultats de l’enquête 2021 sont les plus élevé depuis le début de l’enquête en 1992.

    Ces résultats sont à mettre évidemment en perspective avec la forte dynamique qui soutient la campagne électorale du parti communiste russe (KPRF) donné au coude à coude dans les sondage face au parti de Poutine.

     

    JBV

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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    Finistère. Près de 1 200 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire, ce samedi 18 septembre  (OF.fr-18/09/21-18h56)Manifestation contre le passe sanitaire à Brest (Finistère), ce samedi 18 septembre 2021.

    De nouvelles manifestations contre le passe sanitaire, l’obligation vaccinale des soignants ou encore l’extension du vaccin contre le coronavirus aux jeunes à partir de 12 ans se sont déroulées ce samedi 18 septembre 2021 dans le Finistère. Ils étaient près de 1 200 à Brest, Quimper, Morlaix et Châteaulin.

    Les personnes s’opposant au passe sanitaire, à l’obligation vaccinale des soignants ou encore à l’extension du vaccin contre le coronavirus aux jeunes à partir de 12 ans sont de nouveau descendues dans les rues des villes du Finistère ce samedi 18 septembre 2021, pour la dixième semaine consécutive.

    140 personnes à Morlaix

    Ils étaient 140 à Morlaix (Finistère) en matinée. « On ne lâchera rien ! », scandaient les manifestants. Pour la première fois depuis le début de la mobilisation, le cortège a changé de circuit et s’est rendu devant l’hôpital de Morlaix pour soutenir les soignants suspendus depuis le 15 septembre 2021.

    Une forte baisse à Brest et à Quimper

    À Brest, ils étaient près de 400 : une forte baisse par rapport aux semaines précédentes, où on comptait entre 800 et 1 000 manifestants.

    Le cortège s’est élancé de la place de Strasbourg à 14 h, puis a descendu la rue Jean-Jaurès, bloquant la circulation du tramway, avant d’emprunter l’avenue Clemenceau et de remonter vers l’hôpital Morvan.

    Une vingtaine de manifestants masqués, présentés comme des professionnels de santé ou des pompiers, se sont allongés devant les grilles de l’hôpital Morvan, une croix à la main. Ils ont été présentés l’un après l’autre par leur prénom, leur profession et la durée de leur carrière.

    Le cortège s’est ensuite rendu place de la Liberté, avant de se disperser.

    « Liberté, liberté » 

    « Liberté, liberté », scandaient, comme chaque samedi depuis le début de la mobilisation, les opposants au passe sanitaire à Quimper.


    Ils étaient 470 selon les chiffres de la police nationale et 610 selon le décompte des organisateurs à battre le pavé cet après-midi, moitié moins que le samedi 11 septembre 2021. Ils se sont donné rendez-vous vers 15 h, place de la Tourbie avant de défiler dans plusieurs lieux de la ville.

    Une trentaine à Châteaulin

    Les manifestants se sont donné rendez-vous à 14 h place de la Résistance, à Châteaulin.

    À Châteaulin, une petite trentaine de personnes se sont réunies place de la Résistance pour manifester leur mécontentement contre le « passe de la honte », comme on pouvait le lire sur certaines de leurs pancartes.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La manifestation anti passe n’a rassemblé que 140 participants ce samedi 18 septembre. La manifestation anti passe n’a rassemblé que 140 participants ce samedi 18 septembre.

    À Morlaix, ce samedi 18 septembre, une nouvelle manifestation contre le passe sanitaire s’est déroulée. Quelque 140 personnes ont défilé dans les rues du centre-ville, scandant tout au long du parcours, le mot « liberté ». A noter, alors qu’il est obligatoire dans le périmètre de la manifestation, que de nombreux protestataires ne portaient pas le masque. Comme les semaines précédentes, des commerçants ont regretté le choix de bloquer la circulation en ville un samedi matin, jour de marché. Au plus fort de la mobilisation, les manifestations anti-passe ont réuni à Morlaix près de 300 personnes, c’était au mois d’août.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le cortège des anti-passe sanitaire a perdu des éléments en une semaine. Les manifestants présents ce samedi restent néanmoins déterminés.Le cortège des anti-passe sanitaire a perdu des éléments en une semaine. Les manifestants présents ce samedi restent néanmoins déterminés. 

    Entre 350 et 400 manifestants ont crié leur rejet du passe sanitaire, ce samedi après-midi, au centre-ville de Brest. Si la participation baisse, la détermination de certains reste vive.

    Comme une habitude en cours depuis la mi-août, les organisateurs de la manifestation brestoise contre le passe sanitaire ont donné rendez-vous, via les réseaux sociaux, place de Strasbourg, ce samedi, en début d’après-midi. Entre 350 et 400 personnes ont donné corps au défilé qui a pris la direction du centre-ville aux cris de « Liberté, résistance ! ».

    Une estimation qui ne devrait pas plaire dans un cortège où la manipulation des chiffres par les médias relève d’une accusation définitive. Il est cependant un fait difficilement contestable : la participation enregistre une nouvelle baisse, après un précédent samedi de mobilisation en déclin.

    « Depuis mercredi, je ne peux plus travailler »

    De nouvelles têtes ont cependant fait leur apparition. « On nous contrôle en permanence », s’agace de plus en plus Françoise, qui prenait part à la première contestation populaire de sa vie. Impression d’étouffement administratif également ressentie par une voisine, trois manifs anti-passe sanitaire au compteur.

    Depuis le 15 septembre, elle a une raison supplémentaire de venir exprimer son rejet : « Depuis mercredi, je ne peux plus travailler », déplore cette infirmière libérale habitant à Plouarzel, en référence à l’interdiction d’exercice au contact du public soumise aux soignants non vaccinés.

    Avertissements

    « J’ai deux mois de réserve pour vivre et chercher un autre emploi. Je sais que je fais un sacrifice mais on ne me forcera pas à me faire injecter ce vaccin génétique ».

    Le cortège a poursuivi son chemin habituel (Jean-Jaurès, Morvan, Siam, Jean-Macé…) avant de se séparer place de la Liberté. Une manifestation sans dégradation mais ponctuée d’arrêts animés par la virulence contagieuse d’une femme au micro. Encourageant vivement mais vainement les passants de la rue de Siam à se soulever « dans ce pays de la honte » puis, devant la rédaction du Télégramme, les journalistes à bien faire gaffe à ce qu’ils écrivent.

    Auteur : Yann Le Gall

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le dixième rassemblement contre le passe sanitaire a réuni une quarantaine d’opposants, ce samedi 18 septembre, à Châteaulin. Le dixième rassemblement contre le passe sanitaire a réuni une quarantaine d’opposants, ce samedi 18 septembre, à Châteaulin. 

    Pour le dixième rassemblement du genre, une quarantaine d’opposants au passe sanitaire a de nouveau manifesté dans les rues de Châteaulin, ce samedi 18 septembre.

    Comme la semaine passée, environ 40 opposants au passe sanitaire se sont retrouvés, ce samedi 18 septembre, en début d’après-midi, place de la Résistance à Châteaulin, avant d’entamer un défilé dans les rues de la ville. Sur proposition de l’un des participants, le cortège s’est rendu à la bibliothèque, lieu symbolique où le passe est demandé. « Mais comment fait un enfant de 3 ans pour s’y rendre, si son parent n’a pas le passe ? », s’indignait une manifestante. L’idée, un temps émise, de rentrer dans les locaux a vite été abandonnée, puisque la bibliothèque est fermée le samedi après-midi. « Comment pourrions-nous faire pour être plus nombreux la semaine prochaine ? », se sont interrogés certains. « La solution est peut-être que chacun amène une personne supplémentaire… ». Vers 15 h 30, les opposants ont finalement rejoint leur point de départ et se sont dispersés tranquillement.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Plusieurs centaines de manifestants étaient à nouveau mobilisés contre le passe sanitaire samedi 18 septembre 2021 à Quimper (Finistère).

    Samedi 18 septembre 2021, un nouveau rassemblement anti-passe sanitaire a mobilisé plusieurs centaines de personnes dans les rues de Quimper (Finistère).

    Au son des « Liberté », « Liberté », les manifestants anti-passe sanitaire étaient à nouveau présents samedi 18 septembre 2021 à Quimper (Finistère). Ils se sont donné rendez-vous un peu avant 15 h, place de la Tourbie avant de défiler dans plusieurs lieux de la ville. Ils étaient 470 selon les chiffres de la police nationale et 610 selon le décompte des organisateurs. Des chiffres en recul par rapport à la semaine dernière.

    Beaucoup étaient des habitués à l’image de Christiane qui est venue à toutes les manifestations. « Je veux juste qu’on ait la liberté de choisir si on veut se faire vacciner ou non. Je ne supporte pas le passe sanitaire ni le masque, cela rend la société moche », regrette la femme.

    Les manifestants ont défilé tout l’après-midi dans les rues du centre-ville.  

    À quelques pas, Sophie (le nom a été modifié) « trouve que c’est pas normal qu’on nous pousse à ce point à nous faire vacciner, qu’on mette en place le passe sanitaire ». Face à l’annonce d’Emmanuel Macron d’une potentielle levée du passe sanitaire dans certains départements dont le Finistère pourrait faire partie, Sophie se montre sceptique « c’est peut-être à but électoral mais j’attends de voir ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les manifestants, à 15 h, devant la préfecture. Les manifestants, à 15 h, devant la préfecture.

    Pour ce dixième samedi de mobilisation, les opposants au passe sanitaire sont à nouveau dans les rues de Quimper. Partis à 14 h de Penvillers, ils défilent dans le centre-ville de la capitale de la Cornouaille, perturbant la circulation, au son des tambourins et aux cris de « Liberté, résistance ».

     
    Ce samedi, 500 opposants au passe sanitaire dans les rues de Quimper
     
     

    Ce samedi, à 15 h, ils ont marqué un arrêt devant la préfecture où ils étaient environ 500. Un chiffre en baisse par rapport à la semaine dernière où ils étaient près de 1 200 (750 selon la police). Au plus fort de la mobilisation, le 7 août, ils étaient près de 3 000.

    Ce samedi, 500 opposants au passe sanitaire dans les rues de Quimper
     
    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Les manifestants ont déposé une urne devant les locaux du Télégramme, cours de Chazelles, pour dénombrer le nombre de manifestants, estimés par la police entre 300 et 320. Les manifestants ont déposé une urne devant les locaux du Télégramme, cours de Chazelles, pour dénombrer le nombre de manifestants, estimés par la police entre 300 et 320.

    Environ 300 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire, ce samedi 18 septembre, à Lorient. Soit moitié moins qu’il y a deux semaines.

    Les opposants au passe sanitaire du pays de Lorient et à la vaccination obligatoire sont constants dans l’effort. Ce samedi, ils se sont de nouveau rassemblés avec, comme point de ralliement, la place de la mairie, à partir de 14 h. Ensuite, selon un scénario désormais bien rodé, ils ont formé un cortège et convergé en direction de la rédaction du Télégramme, cours de Chazelles, avec pour objectif : déposer une urne dans laquelle chaque manifestant est invité à glisser un petit caillou. « À nos yeux, c’est la seule et bonne façon de savoir combien nous sommes », affirme Olivier Lambert, porte-parole du mouvement qui se veut « apolitique ». Dans le dernier tract qui a été distribué, on pouvait lire notamment cette affirmation : « L’immunité collective est inatteignable car les personnes vaccinées transmettent le virus avec la même virulence (L’altruisme qui consiste à se faire vacciner pour protéger les autres est un mensonge ». Les manifestants ont quitté le cours de Chazelles à 16 h, sans qu’il y ait eu le moindre incident. Ils ont ensuite regagné la place de la mairie et son esplanade, pour échanger. La police a estimé leur nombre entre 300 et 320. Il y a 15 jours, ils étaient le double. De leur côté, les organisateurs affirment avoir compté 503 petits cailloux.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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