• Brest. François Ruffin présente son film « Debout les femmes ! ». ( OF.fr - 15/09/21 - 15h18 )

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le député de la France Insoumise François Ruffin vient présenter, en avant-première, mardi 28 septembre 2021, à 20 h, aux Studios, à Brest, « Debout les femmes ! », son film co-réalisé avec Gilles Perret.

    En sortie nationale le 13 octobre, ce film, un « road-movie parlementaire » va à la rencontre des femmes qui s’occupent des enfants, des malades, des personnes âgées, les aides à domicile, les agents d’entretien… des métiers du lien souvent précaires, dont la crise du Covid «a prouvé le caractère indispensable.»

    Source : https://www.ouest-france.fr

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    Finistère. Ces soignants témoignent sur l’obligation vaccinale contre le Covid-19  (OF.fr-15/09/21-8h01)Trois manifestantes lors de la mobilisation à Morlaix (Finistère), ce mardi 14 septembre 2021, contre l’obligation vaccinale des soignants contre le Covid-19. 

     
    L’obligation vaccinale contre le coronavirus des personnels travaillant dans des établissements de santé entre en vigueur ce mercredi 15 septembre 2021. Une partie d’entre eux la refusent. Vaccinés à contrecœur ou réticents à l’injection, trois soignants ont témoigné de leur désarroi. 

    Selon une source syndicale, il y aurait dans le Finistère, par établissement de santé, entre 3 à 5 % des soignants risquant la suspension à cause de leur refus de l’obligation vaccinale contre le coronavirus, qui entre en vigueur ce mercredi 15 septembre 2021. Certains y sont défavorables mais ont été contraints à l’injection pour continuer à travailler. D’autres font le choix de tenir tête et se retrouvent sous le coup d’une suspension de leur activité.

    Sylvie (1), 53 ans, infirmière dans un établissement privé du Finistère, vaccinée

    « Quand on fait la balance bénéfice/risque, je suis favorable à la vaccination contre le Covid-19 pour les personnes les plus fragiles. Je ne suis pas contre la vaccination : en tant qu’infirmière, j’ai tous mes vaccins à jour. Mais je suis contre la stigmatisation des soignants. On nous dit qu’on est dangereux alors qu’on a été au front et qu’on nous applaudissait au début de la crise. Dans un premier temps, mon établissement m’a proposé de poser mes congés [avant la suspension]. Mais j’ai pesé le pour et le contre, calculé le coût financier, repoussé jusqu’au dernier moment et j’ai fini par me faire vacciner il y a quelques jours. On nous pose le vaccin comme l’ultime recours contre le Covid-19, mais il faudrait surtout de la prévention, des traitements et soigner les gens comme il se doit, avec du personnel et des lits en plus. »

    Renaud (1), 45 ans, soignant dans un hôpital de la région, non vacciné

    « Entre les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner et ceux qui y ont été forcés, les gens sont dans un désarroi le plus total, ils sont désespérés. Ça fait des mois qu’on ne dort plus, qu’on vit dans le stress. Cet acharnement à la vaccination, c’est malsain. Il y a un sentiment d’écœurement car plus l’épidémie avance, moins on a de moyens. Je n’ai même plus envie d’aller travailler. Je préfère finir comme un clochard dans la rue (et dans ma bouche ce n’est pas méprisant) plutôt que d’être contraint à me vacciner. Je ne renoncerai jamais à ma liberté.

    Dans mon établissement, on a un gros défaut d’information : on a déjà eu des relances pour se faire vacciner, mais je ne sais pas quand on va être convoqués. »

    Antoine (1), 34 ans, infirmier au CHU de Brest, non vacciné

    « On estime que les conditions ne sont pas réunies pour imposer une obligation vaccinale. C’est prouvé que le vaccin n’empêche pas la propagation du virus, alors pourquoi l’imposer aux soignants et pas aux autres ? Il y a six mois, j’ai eu une suspicion de Covid sans symptômes. La médecine du travail m’a dit que je pouvais aller travailler, car c’était le protocole. Aujourd’hui, si je suis négatif mais pas vacciné, je ne peux plus travailler.

    Ce mercredi 15 septembre, je ne travaille plus, je suis suspendu sans salaire. Pour la suite, on n’a pas beaucoup de solutions. Soit je demande un recours gracieux auprès de la direction de l’hôpital, soit je fais des démarches pour aller devant le tribunal administratif. Ce sera comme ça au moins jusqu’au 15 novembre [date de fin de l’état d’urgence sanitaire, NDLR], à moins qu’un juge en décide autrement. »

    (1) Les prénoms ont été modifiés

     

    Béatrice CHOT-PLASSOT.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La direction du Centre hospitalier Centre-Bretagne indique qu’il faudra attendre ce mercredi matin pour connaître l’ampleur et l’incidence du mouvement dans les différents services. La direction du Centre hospitalier Centre-Bretagne indique qu’il faudra attendre ce mercredi matin pour connaître l’ampleur et l’incidence du mouvement dans les différents services. 

    Ces soignantes du centre hospitalier Centre-Bretagne ne veulent pas se faire vacciner contre la covid-19. Ce mercredi 15 septembre, elles seront suspendues et leur salaire avec, faute de répondre à l’obligation vaccinale votée dans la loi du 5 août. Rencontre.

    Ce lundi 13 septembre, dans l’après-midi, dans le petit local syndical du centre hospitalier Centre-Bretagne (CHCB), la colère le dispute à l’inquiétude. Élodie, Isabelle et les autres, non vaccinées, attendent leur tour. Elles doivent faire savoir formellement à la direction de l’établissement si oui ou non, elles auront reçu une première dose d’ici le mercredi 15 septembre. Et si c’est non, elles le savent, elles verront leur contrat et leur salaire suspendus jusqu’à nouvel ordre - en clair, jusqu’à leur vaccination. Les effets concrets de la loi votée le 5 août dernier. 

    « Si je me fais vacciner, ce sera vraiment contre mon gré »

    « On a toutes été malades de la covid-19. Même avec le vaccin, je peux encore l’avoir, et surtout le transmettre, à des personnes fragiles en plus. Ça ne change rien que je me vaccine », lâche Isabelle. 20 ans qu’elle travaille dans la santé, depuis onze à l’Ehpad de Kervénoaël.

    La soignante de 47 ans est amère. « Il y a un an, on était des héros ; aujourd’hui, on est des zéros ». Un peu désabusée aussi : « D’un côté, il y a mon droit à la santé, à me soigner comme je l’entends… De l’autre, on me tient par le salaire. Je suis seule, je n’ai ni l’envie ni les moyens de partir dans un autre secteur d’activité… Si je me fais vacciner, ce sera vraiment contre mon gré ».

    « On aime notre boulot »

    Toutes en conviennent, « c’est une situation inédite ». La grippe A (H1N1) en 2009 ? « On était incité mais il n’y avait pas d’obligation vaccinale », rappelle Élodie, 32 ans, soignante depuis dix ans à Kervénoaël. L’hépatite B, rendue obligatoire en 1991 ? « Le vaccin était éprouvé à l’époque », plaide-t-elle. Elle, aussi, sait bien que la suspension de la rémunération pourrait avoir raison de ses réticences.

    «Aujourd’hui, on est obligé de se battre juste pour garder notre boulot.»

    « On aime notre boulot, on s’est battu pour les résidents. Au premier confinement, on n’avait rien - ou pas grand-chose. On a tenu. Et aujourd’hui, on est obligé de se battre juste pour le garder, ce boulot ». Élodie ne décolère pas : « Les gens se sont fait vacciner pour pouvoir partir en vacances, aller au resto, au ciné… Nous, c’est pour garder notre salaire ! On ne nous laisse pas le choix ».

    Combien de non vaccinés ?

    Mercredi matin, Isabelle, Élodie et d’autres ne prendront pas leur service à l’Ehpad de Kervénoaël. Celles qui le peuvent utiliseront leurs congés, RTT… disponibles pour retarder le plus possible l’échéance - de la vaccination ou de la suspension de salaire. Selon Florence Even, secrétaire Sud Santé Sociaux du CHCB, « une centaine de soignants, sur 1 900, seraient non vaccinés avant la date couperet du 15 septembre ».

    Une simple estimation car seule la médecine du travail est habilitée à connaître la situation vaccinale des soignants. Ce que rappelle la direction du centre hospitalier. Contactée par Le Télégramme, elle indique donc qu’il faudra attendre ce mercredi matin pour connaître l’ampleur, et l’incidence, du mouvement dans les différents services.

     
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  • Les bénévoles seront sur le pont, samedi. Les bénévoles seront sur le pont, samedi.

    L’antenne de Lorient du Secours populaire reprend peu à peu toutes ses activités solidaires à destination des plus précaires. « À cet effet, nous organisons le samedi 18 septembre, de 10 h à 15 h, dans nos locaux du 38 rue du Gaillec, un déballage de livres en très bon état ouvert à tous. On pourra y trouver romans, BD, pour adultes et enfants ainsi que CD, DVD, vinyles. Port du masque obligatoire », souligne Claudine Celdran présidente de la fédération du Morbihan. Contact : tél. 02 97 64 59 59.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • La manifestation pour la reconnaissance du risque lié à l’exposition à l’amiante a eu lieu à l’heure de pointe, mardi 14 septembre, à Naval Group, à Brest.La manifestation pour la reconnaissance du risque lié à l’exposition à l’amiante a eu lieu à l’heure de pointe, mardi 14 septembre, à Naval Group, à Brest. (CGT Arsenal Brest)

    Mardi 14 septembre, 200 salariés de Naval Group se sont mobilisés pour faire reconnaître leur exposition à l’amiante. La CGT estime qu’ils sont éligibles à une retraite anticipée.

    Deux cents salariés de Naval Group ont manifesté sur la base navale de Brest, ce mardi 14 septembre, dès 7 h 30.

     

    Ils ont tenu à remettre une motion au directeur rappelant leur désir d’être inscrits au décret amiante, qui leur ferait bénéficier d’un départ anticipé à la retraite. Ils s’opposent ainsi à l’avis de la direction générale du travail qui avait estimé leur exposition insuffisante pour justifier cette mesure.

    Le 23 septembre, la CGT Arsenal se rendra à Paris, pour recevoir une réponse du siège.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Vannes: plus de 150 personnes protestent contre l’obligation vaccinale des soignants

    Environ 150 personnes ont manifesté, ce mardi, sous les fenêtres de l’antenne vannetaise de l’ARS, à la veille de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale pour les soignants. La CGT a été reçue par l’ARS pour demander son abrogation.

    Peur du vaccin

    « Les effets secondaires des vaccins ne sont pas comptabilisés, je connais des gens qui ont fait des malaises à la maison après leur injection », s’inquiète Marine Pierre, adjointe administrative à l’hôpital d’Auray. « J’ai vu 40 patients en deux jours, et parmi eux, trois patientes n’ont plus eu leurs règles depuis leur vaccination », constate de son côté une orthophoniste vannetaise.

    Manif des soignants non vaccinés devant l'ARS.Des soignants manifestent contre l’obligation vaccinale devant l’antenne vannetaise de l’ARS.  

    Harcèlement

    Evelyne, aide médico-psychologique dans une maison de retraite à Meucon, dénonce « le harcèlement » de la direction. « Ça fait très longtemps que j’ai fait mon choix. Ils pourront tout me prendre sauf ma liberté. » Une de ses collègues précise : « Ils nous ont aussi appelés pendant nos vacances, plusieurs fois, pour nous demander si nous étions vaccinés. »

    Marine Pierre, ancienne aide-soignante devenue adjointe administrative à l'hôpital d'Auray, ne se fera pas vacciner contre le covid.Marine Pierre, ancienne aide-soignante devenue adjointe administrative à l’hôpital d’Auray, sera mise à pied dès le 15 septembre. « Je ne sais pas comment je vais subvenir à mes besoins. J’ai espoir qu’on revienne sur cette politique et qu’on me laisse choisir ce qui est le mieux pour ma santé. »

    « Pas sanitaire »

    « Nous appliquons un protocole très strict : je n’ai plus de salle d’attente, je vais chercher les patients dehors. On n’est donc jamais plus de deux dans mon cabinet. Une caissière voit plus de monde que nous. Cette obligation vaccinale, elle n’a rien de sanitaire », s’insurge Mme G., orthophoniste vannetaise.

    Pénurie de soignants en vue

    Elle continuera à exercer tant qu’elle le peut, pour ne pas abandonner ses patients. « L’ARS ne nous donne même pas le droit de chercher un remplaçant vacciné. Là on est 7 collègues. Notre mise à pied va toucher 350 patients. Un petit de 3 ans qui ne parle pas, il ne peut pas attendre. »

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

     

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  • Happy hour, Initiatives solidaires

    Lundi au vendredi - 17h05

     

    Un film qui suit le procès de cette organisation nationaliste grecque pendant 5 ans et qui a démontré que ce n'était pas un parti politique mais une véritable organisation criminelle.

    "Aube dorée, l’affaire de tous" le film d'Angélique Kourounis"Aube dorée, l’affaire de tous" le film d'Angélique Kourounis

     

    Ce  film, c'est l'histoire du procès du parti néo-nazi grec Aube dorée né en 1993, qui s'est développé sur fond de la crise de 2008 et qui est resté la 3e force politique de Grèce pendant 7 ans. Le procès de 2015 à 2020 a vu la condamnation d'une cinquantaine de personnes, dont des députés, de 5 à 14 ans de prison. Il visait à démontrer qu’Aube Dorée n’était pas un parti politique mais bien une organisation criminelle.

    La réalisatrice Angélique Kourounis, journaliste à Radio France, Ouest-France ou Charlie Hebdo a travaillé des années sur la montée du néo-nazisme en Grèce d'abord pour le film "Aube Dorée une affaire personnelle" en 2017, parce que son mari est juif, son fils homo, elle journaliste, parce sa famille était en danger. Avec cette suite "Aube dorée, l’affaire de tous", elle suit les minutes du procès qu'elle juge plus important que le procès des nazis de Nuremberg. Car Aube dorée, un parti élu a été confronté à une justice non militaire d'un pays de l'UE : une première en Europe. Un procès sans public, entravé par des parlementaires, décrié par les autres partis nationalistes européens, mais qui a pu mettre en lumière le système militaire et criminel de cette organisation : attaque contre des syndicalistes, attaque contre des pêcheurs étrangers et meurtre. Celui de Pavlos Fyssa, un musicien grec assassiné en 2013 par un cadre du parti d'Aube dorée. Le combat de sa mère sert de fil rouge au film.

    Le film "Aube dorée, l’affaire de tous", en présence de sa réalisatrice Angélique Kourounis, est projeté dans 14 villes bretonnes en ce moment, mardi 14 septembre à la MJC Kerfeuteun à 20h à Quimper, jeudi 16 septembre au cinéma Ty Hanok à Auray (56), vendredi 17 septembre au Local Fête de l'Ével à Baud (56) à 19h30 et lundi 20 septembre au Sterenn à Trégunc (29).

    La tournée de "Aube dorée, l’affaire de tous" se fait à l'invitation de L'association Bretagne-Grèce-Solidarité-Santé (et une douzaine de partenaires) qui depuis 2015 récolte des dons, du matériel médical pour soutenir les Grecs et les réfugiés en Grèce. Au plus dur de la crise de 2008, 30% des habitants n'avaient pas de couverture santé.

    Axel PERRET 

    France-Bleu-Breizh-Izel

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    Le dimanche 12 septembre 2021 à 12h30, Jean-Luc Mélenchon était à Ostende (Belgique) à la #ManiFiesta pour un débat avec Raoul Hedebouw, président du Parti des travailleurs belge (PTB) sur le thème : «La gauche en Europe face à la montée de l'autoritarisme».
     
    Raoul Hedebouw est revenu dans un premier temps sur l’évolution inquiétante de l’autoritarisme en Belgique : de plus en plus de droits démocratiques sont bafoués comme avec la “loi pandémie” qui peut enlever les pouvoirs du Parlement lorsque l'état de pandémie est déclaré. Il critique ensuite la concentration du pouvoir entre les mains des multinationales pour appeler à reconquérir ce pouvoir.
     
    Jean-Luc Mélenchon rebondit sur les propos de Raoul Hedebouw en revenant sur l'extrême concentration du capital dans les mains de quelques personnes. Il rappelle que le capitalisme a construit une société de la compétition de chacun contre tous et qu’aucune société humaine ne peut vivre sur un régime de compétition généralisée. Il souligne que le changement climatique nous oblige, au contraire, à une vie en société faite de solidarité.
     
    Le candidat à l'élection présidentielle de 2022 aborde ensuite la question de la gestion de la crise sanitaire en France. Il critique vivement la manière dont les décisions ont été prises : au sein d’un Conseil de défense tenu au secret-défense qui ne rend de compte à personne et n’informe d’aucune décision prise. Il rappelle ensuite que le pass sanitaire met en place des contrôles de plus en plus autoritaires, du fichage généralisé et des décisions absurdes dans le monde du travail. La France insoumise a voté contre.
     
    Jean-Luc Mélenchon revient sur le danger de la montée de l’extrême droite en Europe et rappelle que l'extrême droite est là pour utiliser et susciter la peur. Elle vise à diviser les gens sur la base d'une couleur de peau ou d'une religion pour empêcher l'unité du peuple autour de combats communs. Il appelle à mener la lutte contre l'extrême droite et à ne pas laisser un millimètre d'espace aux fascistes.
     
    Le président du Parti des travailleurs belge revient sur sa vision de la montée de l’extrême droite en Belgique. Il explique qu’en Belgique l'extrême droite souhaite une confrontation entre Wallons et Flammands, entre Belges nés en Belgique et les autres, entre la Belgique et le reste du monde. À l’inverse, il appelle à construire un “nous” unifiant : celui des travailleurs qui construisent la richesse.
     
    Jean-Luc Mélenchon est revenu sur la stratégie de l’Union Populaire. Il a expliqué que l'#UnionPopulaire consiste à rassembler le peuple autour de ses revendications communes, rappelant que les sondages le démontraient sur des questions aussi diverses que l'interdiction du glyphosate, le 100% d'énergies renouvelables, l'augmentation des retraites et du SMIC… Il souligne : “Notre stratégie, c'est de se demander : qu'est-ce qui est bon pour le peuple, pour l'intérêt général, pour la patrie républicaine ?”.
     
    Retrouvez l'ensemble du programme sur : https://melenchon2022.fr/programme/ 
     
    Raoul Hedebouw a abondé dans le sens de Jean-Luc Mélenchon en insistant sur le fait que l'État doit intervenir pour faire prévaloir l'intérêt général et l'intérêt des travailleurs avant les intérêts particuliers. Il a alerté ensuite sur la situation catastrophique des agriculteurs et paysans à travers le monde et sur la nécessité de les soutenir partout où ils sont en lutte.
     
    Jean-Luc Mélenchon rappelle qu’en France un paysan se suicide tous les 2 jours. Il insiste sur l’urgence de traiter de manière concrète la question paysanne et sur la nécessité d’arrêter le saccage des sols par les pesticides et le glyphosate et appelle à mieux rémunérer les paysans. Il souligne qu’on ne peut pas séparer la question écologique de la question sociale : c’est en augmentant le SMIC qu’on peut permettre aux gens d’acheter des produits bios qui permettent de mieux rémunérer les paysans.
     
    Pour finir, Raoul Hedebouw et Jean-Luc Mélenchon sont revenus sur la question de la concentration des médias. Le candidat à l'élection présidentielle insiste : le problème est la pluralité des médias. Il prône au contraire un pluralisme, de la contradiction et note l’importance de construire ses propres propres réseaux de communication.

     

     
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  • Brest. Passe sanitaire dans les médiathèques : Sud CT appelle à la grève mercredi 15 septembre  (OF.fr-13/09/21-19h52)Sud CT appelle à la grève et se rassemble mercredi 15 septembre 2021.

    Sud CT réclame la fin du passe Sanitaire. Le syndicat des médiathèques appelle à la grève et propose trois dates de rassemblement en septembre.

    Le syndicat SUD Collectivités Territoriales-Brest Métropole prolonge son mouvement et appelle à la grève les 15, 22 et 29 septembre 2021. Le syndicat des médiathèques revendique un accès libre et sans condition aux services publics, la suppression du passe sanitaire aux utilisateurs du lieu, la gratuité des abonnements aux médiathèques et un accès facilité et gratuit aux vaccins et aux tests pour le personnel.

    Le rassemblement est prévu mercredi, place Napoléon-III (devant la mairie de Bellevue) à 12 h 30, autour d’un pique-nique revendicatif, et se poursuivra à 14 h par des lectures d’histoires aux enfants.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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