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  • Engager toutes les forces en faveur de la grève générale en France #tract #PRCF (IC.fr-

    Alors que les enseignants et parents d’élèves lancent des grèves contre la réforme du lycée et la loi Blanquer, que les gilets jaunes poursuivent la mobilisation depuis plus de 20 semaines et en dépit de la répression ultra- violente, qu’une importante journée de mobilisation se construit contre la casse de la Fonction Publique et que dans les entreprises les grèves se multiplient, les communistes avec le PRCF interpellent dans un nouveau  travailleurs, syndicalistes et confédérations syndicales : à quand le tous ensemble et en même temps ? à quand la construction d’une  générale ?

    Un appel qui est largement lancé dans nombre de syndicats et au sein des gilets jaunes, en témoignent les appels lancés de St Nazaire à plusieurs UD CGT appelant à une  le 27 avril prochain.

    Vous pouvez télécharger, partager ( par courriel et sur les réseaux sociaux), imprimer et distribuer le tract disponible ci dessous.

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Gilets jaunes-Quimper. Cap sur la santé (LT.fr-6/04/19-21h22)Les Gilets jaunes de Quimper sont décidés à défendre l'hôpital public.

     

    Pour leur acte XXI, les Gilets jaunes quimpérois ont choisi de mettre l’accent sur la problématique de la santé publique, en se rendant devant le Centre hospitalier de Cornouaille, où la direction a annoncé un plan budgétaire jugé contraignant par les agents.

    « Nous nous battons pour sauver le système de santé car si on ne le fait pas, dans six mois, il n’y aura plus de sécurité sociale, plus d’hôpitaux publiques, plus aucune assistance aux blessés, il est urgent de se lever là », affirme Jérôme. Les Gilets jaunes quimpérois avaient décidé, ce samedi, pour leur acte XXI, de défendre une cause précise, celle de la santé publique. Une vingtaine de personnes se sont rassemblées à la Maison du peuple, à Ergué-Armel. Le groupe a cheminé par la route, ralentissant ainsi la circulation, jusqu’au Centre hospitalier de Cornouaille (Chic). Dans une ambiance bon enfant, au son de « Colère dans le cathéter », la parodie réalisée par les infirmières de Valence qui a fait le buzz, les Gilets jaunes se sont installés à l’entrée de l’hôpital. Un cadre de santé est alors sorti pour les réprimander : « Il y a des gens qui souffrent, des gens qui meurent ici, baissez au moins la musique ! »

    Le serment d’Hippocrate

    Les Gilets jaunes demandent l’abrogation de la loi HPST (dite aussi loi Bachelot) et de la loi santé, la suppression de la T2a (la tarification à l’activité), l’arrêt de la casse des hôpitaux de proximité, de la privatisation. Ils souhaitent l’augmentation des budgets hospitaliers, le maintien des services d’urgence, des maternités et des Ehpad. « Il est urgent de défendre le personnel hospitalier, les gens qui sont en difficultés au quotidien et qui ne peuvent plus faire leur métier. Ils n’ont pas forcément juré sur le serment d’Hippocrate eux, mais ils l’appliquent bien plus au quotidien », souligne Jérôme.

    "Ce qui compte, pour nous, c’est de montrer notre soutien"

    Le déficit budgétaire du Chic se creuse depuis 2013. Sa direction a alors imaginé un plan de retour à l’équilibre mais il inquiète les syndicats, qui déplorent une pression supplémentaire sur des agents dont les conditions de travail seraient dégradées et des répercussions sur la qualité des soins. Aucun membre de l’intersyndicale n’était présent avec les Gilets jaunes devant l’établissement de santé. « Nous sommes là pour leur tendre la main, s’ils viennent c’est bien, s’ils ne viennent pas tant pis. Ce qui compte, pour nous, c’est de montrer notre soutien », conclut Jérôme.

    Lannig STERVINOU
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  • Des Gilets jaunes de Quimper devant l’entrée de l’hôpital, ce samedi 6 avril 2019

    Environ 25 Gilets jaunes se sont rassemblés, ce samedi 6 avril 2019, devant l’entrée du centre hospitalier de Quimper (Finistère).

     

    Samedi midi, le centre hospitalier de Cornouaille, à Quimper (Finistère) est calme. Seuls quelques Gilets jaunes se sont réunis devant l’accueil : ce 6 avril 2019, ils sont environ 25, avec leurs panneaux « Les soignants ne sont pas des machines » ou « Urgence pour nos hôpitaux, danger pour notre santé ». « Nous sommes là pour soutenir les hôpitaux et le personnel », explique Patty, l’une des manifestants. Ils évoquent aussi la crainte de la disparition des urgences de jour à Concarneau. Un projet, jusqu’ici, démenti par l’Agence régionale de santé et la direction du centre hospitalier de Cornouaille, dont dépend le service. Les Gilets jaunes craignent que la prise en charge par les urgences ne soit encore plus compliquée qu’aujourd’hui où, déjà, certains patients restent des heures à attendre d’être pris en charge.

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les gilets jaunes ont-ils relancé la lutte des classes ? #acte21 #ActeXXI (IC.fr-6/04/19)

     

    On entend beaucoup que le mouvement des  c’est le retour d’une  qui aurait donc disparue. Disparue la  des classe ? pas du tout explique sur le site internet des  Thibault jeune militant communiste.

    Un contresens que l’on entend fréquemment à propos du marxisme est que les marxistes seraient favorables à la lutte des classes. Rien n’est plus faux. Les marxistes luttent pour la fin de la division des sociétés en classes, pour qu’il n’existe plus de capital contre le travail, mais une humanité réconciliée avec elle-même.

    Voilà qui est dit et le rappel n’est pas sans importance. En effet, à l’heure où il faut être idiot pour ignorer le grand retour de la lutte des classes jusqu’au coeur du discours dominant, on peut entendre tout et n’importe quoi sur celle-ci. Ainsi pourra-t-on dire innocemment que “les gilets jaunes ont relancé la lutte des classes”. A cette vérité partielle qui peut vite devenir mensonge au service du capital – les gilets jaunes seraient fautifs puisqu’ils seraient les agresseurs dans cette lutte – nous devons opposer une formulation rigoureuse.

    Proposons donc la suivante : le mouvement des gilets jaunes est une réactualisation de la lutte des classes assez manifeste pour que le grand capital ne puisse plus nier l’existence de celle-ci, au moins pour un temps et pour la fraction la plus éclairée du capital (son avant-garde).

    Est-ce à dire que sans les gilets jaunes la lutte des classes aurait pu disparaître de France, que le grand apaisement, la fin de l’histoire selon le libéralisme était possible au titre d’une contingence historique ? Le projet ultime du capitalisme – une société de classes sans lutte des classes – était-il réalisable en France sans la mauvaise gestion de crise d’Emmanuel Macron ?

    Evitons de tomber dans ces considérations en rappelant la chose suivante: il y a lutte des classes tant qu’il y a division de la société en classes, la contradiction existe tant que ses termes opposés n’ont pas été dépassés. La différence entre l’avant et l’après gilets jaunes est l’intensité de cette lutte des classes, non son existence.

    Le mouvement des gilets jaunes est un phénomène de lutte des classes et pas de n’importe quel type : une riposte massive venue du camp du travail et qui pour la première fois depuis longtemps effraie véritablement le capital. Et si l’auto-organisation des masses n’atteint pas le point d’efficacité qui mène à la révolution, elle permet néanmoins la libération de forces créatives insoupçonnées : graphisme, musique, actions d’agitation et de propagande… Les gilets jaunes montrent avec brio le potentiel de résistance et d’inventivité d’un peuple Français désorganisé mais uni dans la défense de ses intérêts de classe. Si l’on est sur des positions de défense et non de conquête, on le doit en grande partie à l’absence de parti de masse, car seul un programme pérenne discuté par la démocratie prolétarienne ouvre l’horizon d’une conquête, seul un programme préexistant permet de réfléchir en amont (avant l’explosion de révolte du mouvement social spontané) à un projet positif de transformation de la société. Qu’à cela ne tienne, les gilets jaunes proposent (certes timidement, mais il faut les encourager dans cette direction et montrer ce qu’il y a de plus à faire) le RIC comme mesure phare. On n’a pas de programme à proprement parler, mais tant qu’on a la masse les idées bouillonnent, au grand dam des technocrates qui prétendent s’octroyer la gestion exclusive du monde.

    Mais si les gilets jaunes viennent montrer qu’il y a encore un fond révolutionnaire en France que le capital ne soupçonnait pas il y a encore quelques mois, cela veut dire que ce fond révolutionnaire existait déjà auparavant. La France qui connaît son histoire sait qu’elle est une histoire de lutte et ne s’étonne pas de voir les “irréductibles gaulois” raviver l’espoir révolutionnaire. La lutte des classes existait en France depuis bien avant les gilets jaunes, on n’a pu l’occulter que pour la raison suivante : elle existait de manière larvée, invisibilisée. Tant qu’elle restait l’apanage de la gauche, la lutte des classes était le combat d’une partie de la société contre l’ensemble. Aujourd’hui le réel fait son retour et montre que la lutte des classes c’est avant tout la société toute entière, celle des travailleurs, contre la minorité d’oligarques qui commandent.

    Il y a eu lutte des classes, il y aura lutte des classes. A plus forte raison depuis que la lutte se vit au grand jour, tous les samedis. Notre tâche intellectuelle devient ici de préparer l’avenir en retraçant l’histoire du processus qui nous a mené jusqu’ici. Notre tâche est de comprendre collectivement les conditions qui ont permis le triomphe du grand capital ces quarante dernières années. A cette condition nous pourrons le chasser à jamais de notre pays et bientôt de la Terre entière. Pour cela il nous faut la méthode du marxisme et les conditions léninistes du débat – le centralisme démocratique. Prolétaires de France qui lisez cet article : unissez-vous !

    source: http://jrcf.over-blog.org/

     

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  • Stop aux procès politiques contre Eric Drouet et Maxime Nicolle et les gilets jaunes #acte21 #acteXXI

     

    Que valent les droits démocratiques face aux diktats du Capital ? on peut le mesurer à l’aune de la répression du mouvement social à travers d’ignobles  mais également des arrestations politiques massives  et le harcèlement judiciaires et les menaces visant les figures des gilets jaunes. Une dizaine de milliers d’arrestations, des milliers de blessés des centaines de blessés graves, un mort et des milliers de condamnations !

    Avalanches d’arrestations politiques, harcèlement judiciaire, violences et menaces contre  et 

    Il y a quelques jours on apprenait que l’automobile et le domicile de Eric Drouet ont été lâchement attaqués Maison et voiture peintes en jaune, pneus crevés. On ne se souvient pas d’une quelconque condamnation par le ministre de l’intérieur de ces violences. En même temps des lieux de réunions de gilets jaunes sont attaqués et incendiés. Là aussi avec le soutien implicite d’un régime Macron qui ne fait que désigner les gilets jaunes comme des ennemis.
    Maintenant c’est l’arrestation politique et le harcèlement judiciaire qui vise et Eric Drouet et Maxime Nicole deux figures principales du mouvement des gilets jaunes.
    Le premier ministre et le ministre de l’intérieur semble se souvenir de l’article 40 du Code Pénal, articles dont ils ont pourtant refusé de faire usage s’agissant des violences filmées de M Benalla hommes de mains de l’Elysée et de LREM. Et cet article 40 il l’instrumentalise pour intimer à des procureurs aux ordres de harceler judiciairement ces deux portes paroles d’une opposition populaire qui refuse qu’on la réduise au silence, par le mépris et la violence de classe tout en oubliant qu’il s’impose à eux lorsque s’affiche sur tous les écrans de France en haute résolution les sanglantes violences policières qui à chaque manifestation désormais ensanglante les rues de France.
    Tandis que les amendes, les convocations, les condamnations pleuvent sur les gilets jaunes, Benalla et Crase voyagent sous passeports diplomatiques, et l’impunité est la règle pour les violences policières, couverte elles aussi par Macron. De Nice à Besançon, de Toulon à Bordeaux.

    L’appel à la solidarité de classe pour stopper ces agissements totalitaire

    Le PRCF appelle les communistes, et plus largement l’ensemble des travailleurs à la solidarité de classe et à condamner et faire stopper ces agissements totalitaires. Des agissements qui témoignent de l’accélération de la fascisation d’un régime Macron qui, minoritaire et illégitime, accélère sa fascisation pour imposer de façon autoritaire et violente la mise en œuvre des ordres fixés par l’Union Européenne et à travers elle le Grand Capital.

    Ne nous leurrons pas. Ils ont commencé par les Air France et les Goodyears, ils poursuivent par Eric Drouet et Maxime Nicolle. Et ils continueront. Déjà un député des Bouches du Rhône appelle à l’interdiction de la CGT ! Déjà des mesures anti terroristes sont utilisées pour attaquer des militants écologistes et des manifestants.  Déjà ils interdisent les manifestations et pour cela arrêtent des milliers d’opposants.

    Front antifasciste, populaire, patriotique et écologiste !

    Cela suffit. Face à la fascisation En Marche sous les ordres de l’Union Européenne et du MEDEF , opposons un front populaire unis. Un front résolument anti-fasciste, populaire patriotique et écologiste.

    JBC – PRCF avec le plein soutien de la commission luttes du PRCF

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  • 36 postes nécessaires, 18 pourvus seulement. La situation des urgences dans le Sud-Finistère est des plus tendues. Le comité de défense de l’hôpital de Concarneau organise une réunion ce soir à 18 heures à la maison des associations.

    Manifestation en 2008, pour défendre les urgences de nuitManifestation en 2008, pour défendre les urgences de nuit  

    "On a déjà du renoncer à une ligne de SMUR", dit un médecin concerné. Pour organiser les urgences, il y avait trois lignes de SMUR sur le Sud-Finistère. Une à Douarnenez, une à Concarneau, une à Quimper. Faute de moyens, les deux sont aujourd'hui centralisées sur Quimper. Et pour le comité de défense de l'hôpital de Concarneau, c'est un problème.

    "Déjà pour une grande partie de la population, le délai d'une demi-heure est largement dépassé" - Hélène Derrien, porte-parole à Concarneau

    Hélène Derrien, l'un des porte-parole : "Déjà pour une grande partie de la population, le délai d'une demi-heure est largement dépassé pour une intervention d'urgence. En 2008, on ferme les urgences de nuit, on n'est _déjà plus un vrai service d'urgence_. Et là, plus récemment, plus de SMUR ! Nous avons rencontré les urgentistes, qui nous ont informés que compte tenu de la baisse constante du nombre de médecins urgentistes, ils ne pourraient plus faire face au besoin d'urgences à Concarneau... Ça nous a semblé rude."

    Tenir au moins jusqu'à l'été

    Concrètement, vu le nombre de médecins, l'organisation actuelle pourrait peut-être tenir jusqu'en juin. Mais cet été, ça va être un vrai problème. Hélène Derrien ajoute : "Alors que justement, la population double pendant l'été sur le pays de Concarneau. "Il est temps que la population réagisse, c'est plus possible. On est la partie délaissée, et il y a un risque pour la population. On attend quoi ? Qu'il y ait des accidents, des morts ? On veut que les élus réagissent !"

    Prudence de l'ARS, et des élus

    De son côté l'ARS ne donne pas d'interview pour le moment. Dans un communiqué, elle continue de dire que la fermeture des urgences n'est pas du tout à l'ordre du jour et que des mesures doivent être trouvées pour s'adapter à la situation et à la démographie médicale. Elle écrit aux élus en espérant un _"_retour à un fonctionnement normal dans un terme le plus court possible". La mairie de Concarneau, contactée, ne nous a pas répondu. Le député de Quimperlé-Concarneau, Erwan Balanant, devrait être présent ce soir dans la réunion de 18 heures.

    "On va lui demander ce qu'il en pense, mais on a vu qu'il a voté le projet de loi santé", constate Hélène Derrien. Une réforme qui n'a pas encore été voté définitivement, mais qui prévoit entre autres de permettre au gouvernement de légiférer par ordonnance sur le statut des hôpitaux de proximité. Le comité de défense estime que c'est un danger pour l’hôpital de Concarneau.

    Benjamin Bourgine,

    France Bleu Breizh Izel et France Bleu Armorique

    source: https://www.francebleu.fr/

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  • Ajoutée le 31 oct. 2015
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  • Quimper. Au lycée, l’inquiétude face au radon (OF.fr-OF.fr-4/04/19-18h26)Les représentants de l’ensemble des syndicats enseignants interpellent les pouvoirs publics

    Une documentaliste d’un établissement scolaire de Quimper (Finistère) exposée à ce gaz radioactif craint pour sa santé. Le droit de retrait lui est refusé. Les syndicats interpellent les pouvoirs publics.

    Une documentaliste d’un lycée de Quimper (Finistère) est exposée au radon. Elle craint pour sa santé.

    Quelle est l’actualité ?

    Une documentaliste au lycée Brizeux à Quimper, a demandé à exercer son droit de retrait. Elle travaille depuis dix ans au centre de documentation et d’information (CDI

    ) exposé au radon, difficile à aérer. En juin 2018, le taux relevé était de 1 741 becquerels par m³(bq/m3). Le seuil autorisé dans les établissements recevant du public est de 300 bq/m3. Elle revendique le droit d’être mise en sécurité tant que les travaux engagés par la Région ne sont pas terminés et leur impact sur le taux de radon vérifié. Face au refus du rectorat qui lui a été signifié le 1er mars, elle a déposé une demande de recours gracieux, sans réponse pour l’heure.

    Qu’est-ce que le radon ?

    Ce gaz radioactif d’origine naturelle est très présent en Bretagne en raison de la nature granitique du sol. Selon l’Agence régionale de santé, il serait responsable d’environ 20 % des cancers du poumon, derrière le tabac et devant l’amiante. La Criirad (commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité) lui impute 3 259 décès en 2018.

    Qu’en disent les syndicats ?

    « Les pouvoirs publics ne prennent pas la mesure de ce problème de santé publique, comparable à celui de l’amiante », dénoncent les représentants de l’intersyndicale qui accompagnent la fonctionnaire.

    Jeudi 4 avril 2019 à Quimper, ces membres du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) finistérien listent leurs demandes qui n’ont pas abouti : demande d’une ouverture d’enquête, d’une réunion de CHSCT exceptionnelle…

     

    « Nous n’arrivons pas à faire admettre la réalité du danger grave et imminent », expose Yves Pasquet. « Nous sommes face à un mur », se désole Nathalie Rospart. Et ce alors qu’une étude de la Région datée de l’été 2018 faisait état d’un taux de radon supérieur au seuil autorisé dans vingt-deux lycées du Finistère et des Côtes-d’Armor. Sollicités ce jeudi, les services du rectorat n’ont pas donné suite.

    Nelly CLOAREC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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