• Brest. 1er-Mai : près de 3 000 manifestants (LT.fr-1/05/19-12h52)

    La manifestation du 1er-Mai a bien été suivie ce mercredi matin, à Brest, où, à l’appel des syndicats, des gilets jaunes et des Jeunes pour le climat étaient aussi présents. Près de 3 000 personnes ont convergé vers la place de la Liberté à 11 h. Après des prises de paroles hostiles au gouvernement et appelant à la restauration de la liberté de manifester, le cortège a brièvement défilé rue de Siam avant de se dissoudre sans incident. La manifestation s’est conclue par un match de foot parodique opposant les très riches aux très pauvres, arbitré par un pastiche d’Emmanuel Macron.
     
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  • Le point de rassemblement était prévu devant la médiathèque des Ursulines. 

     
    Annoncé comme statique, le rassemblement quimpérois du 1er-Mai s’est offert un petit tour au centre-ville sans incidents à déplorer. Environ 350 personnes, selon la police, y ont participé.

    C’est dans une ambiance bon enfant que 350 personnes, selon les chiffres de la police, ont participé, ce mercredi, au traditionnel rassemblement du 1er-Mai. Il était prévu, au départ, que les manifestants restent stationner devant la médiathèque des Ursulines où une sono diffusait des chansons partisanes et où des discours ont été prononcés. Mais, sous l’impulsion de quelques-uns, la foule a décidé de réaliser un parcours dans le centre-ville, pour rejoindre la préfecture, puis la mairie via le pont de La Poste avant de retourner au point de départ par la rue Kéréon. Cette manifestation impromptue, au son du slogan « La rue est à nous » n’a connu aucun débordement.

    La manifestation est passée par le pont de La Poste

    Les acquis sociaux en danger

    Pour Sandrine Allain, secrétaire générale de l’union locale CGT du territoire de Quimper, « le gouvernement remet en cause de plus en plus d’acquis sociaux ». Elle tient à préciser qu’à la CGT, « nous sommes pour la semaine de 32 heures pour travailler tous et travailler mieux ».

    « Suite aux récentes déclarations du président de la République, nous nous rendons compte qu’il n’a rien entendu des différentes luttes en cours sur le territoire. C’est important pour nous de rappeler qu’une autre politique est possible. Il est urgent de changer de direction », affirme Frédéric Pogent, cosecrétaire départemental de Solidaires Sud. « La FSU représente les enseignants, donc la fonction publique, et nous voyons bien que le gouvernement essaie de faire les choses pour nous diviser mais il n’y arrivera pas. Il y a une convergence de plus en plus totale », souligne Yann Foucher, le secrétaire départemental. « Emmanuel Macron n’a rien compris, alors on essaie de lui faire entendre que la société qu’il nous propose, nous n’en voulons pas », poursuit-il.

    La convergence des luttes

    Les Gilets jaunes ont mené, tambour battant, la manifestation, rappelant sans cesse qu’il était important qu’elle se déroule sans heurts. « Nous mettons un gilet jaune pour recouvrir toutes les différences, qu’elles soient politiques, syndicales ou de richesses. C’est un mouvement divers qui n’a pas de tête à couper ou à corrompre et nous tendons la main à tous ceux qui ont envie de changer ce monde », explique Mehdi, Gilet jaune du Pays bigouden qui a insisté sur le fait qu’il ne représente personne à part lui-même.

     Par la rue Kéréon, les manifestants ont rejoint leur point de départ.

    « La convergence des luttes, c’est quelque chose que nous souhaitons mettre en place depuis le début, en essayant de laisser de côté les sujets qui nous divisent et en gardant ce qui nous unit. C’est pour cela que nous tendons la main à tous les syndiqués. Nous ne marchons pas derrière eux mais avec eux », finit-il.

    Lannig STERVINOU
     
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  • Un rassemblement sans manifestation avait été prévu... Finalement, à Quimper, tout le monde ou presque a suivi les Gilets jaunes à travers la ville

    Environ 600 personnes, membres de syndicats et Gilets jaunes, se sont rassemblées, ce 1er mai 2019, devant la médiathèque de Quimper (Finistère). Les Gilets jaunes ont ensuite mené un cortège dans les rues du centre-ville.

    Ce mercredi 1er mai 2019, environ 600 personnes se sont réunies sur l’esplanade de la médiathèque de Quimper (Finistère) pour manifester. Du rouge du syndicat CGT et du parti communiste (PCF), du fluo Gilets jaunes, du rose Solidaires et du noir et blanc des drapeaux gwenn ha du…

    Gilets jaunes, drapeaux rouges du PCF, gwenn ha du noir et blanc… La manifestation du 1er mai est colorée à Quimper. 

    Tous réunis pour célébrer la fête du Travail et montrer à nouveau la mobilisation pour les droits sociaux et contre la politique du gouvernement d’Édouard Philippe.

    Après quelques prises de parole coutumières par des représentants des syndicats, les Gilets jaunes ont initié le mouvement : ils se sont mis en marche en direction de la place de la Résistance. Aucune déclaration de manifestation n’avait été déposée en préfecture et pourtant, la quasi totalité des mobilisés a suivi le cortège.

    Premier arrêt devant la préfecture. Trois policiers étaient postés à l’entrée. Le cortège, frappant des mains, a entonné des slogans : « Ne nous regardez pas, rejoignez-nous ! » Qui s’est transformé en : « Ne vous suicidez pas, rejoignez-nous ! »

    Fiers du calme dont ils faisaient preuve, ils ont invité les policiers à leur pique-nique avant de continuer à marcher en chantant.

    Manifestation du premier mai sous le signe des syndicats et des gilets jaunes.600 personnes ont défilé ce mercedi 1er mai à Quimper. Le cortège est mené par des Gilets jaunes ci-contre halte devant la préfecture le temps d'un "ne vous suicidez pas, rejoignez nous".

    Place Saint-Corentin, devant la mairie, sous le regard curieux des passants, ils ont continué à dire leur rejet du gouvernement et du système capitaliste.

    La manifestation s’est terminée là où elle avait commencé, sur l’esplanade de la médiathèque..

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/syndicats-et-gilets-jaunes-unis-pour-le-1er-mai-quimper-6330674

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     Venezuela : Tentative de coup d'Etat (Bolivar Infos 30/04/2019)Caracas le 30/04/2019

    Le président de l'Assemblée Nationale Constituante du Venezuela, Diosdado Cabello, a démenti la prise de la Base Aérienne de La Carlota après qu'un petit groupe de militaire se soit soulevé pour faire un coup d’État avec l'extrême-droite.

    « Il n'a été porté atteinte à aucune installation militaire dans le pays. Ils sont dans a rue , sur l'Echangeur Altamira et nous, nous dirigeons les opérations depuis la Base Aérienne de La Carlota, » a-t-il expliqué.

    Le gouvernement a appelé le peuple à se rendre à Miraflores pour rejeter la tentative de coup d’État. 

    La FANB continue à défendre la Constitution Nationale et ses autorités légitimes. Toutes les unités déployées dans les 8 Régions de Défense Intégrale disent que tout est normal dans leurs casernes et sur leurs bases militaires, sous le commandement de leurs commandants normaux.

    • Vladimir Padrino L. (@vladimirpadrino)

    Les autorités des diverses institutions de l'Etat ont pris position contre la tentative de coup d'Etat. 

    Le vice-président pour la Communication du Venezuela, Jorge Rodríguez, a fait savoir ce mardi qu'on a démantelé un petit groupe de militaires qui cherchaient à faire un coup d'Etat dans le pays. Sur son compte Twitter, il a alerté sur les activités de ce groupe : 

    « Nous informons le peuple du Venezuela qu'en ce moment, nous affrontons et nous désactivons un petit groupe de militaires traîtres qui ont pris position sur l'Echangeur Altamira pour faire un coup d'Etat contre la Constitution et la paix de a République, » a écrit Rodríguez et il a appelé instamment le peuple vénézuélien « à être en alerte maximum pour, avec la glorieuse Force Armée Nationale Bolivarienne, vaincre la tentative de coup d'Etat et préserver la paix. »

    Pour sa part, le ministre de la Défense du pays, Vladimir Padrino López, a condamné le mouvement putschiste et a affirmé son soutien au Gouvernement constitutionnel que préside Nicolás Maduro.

    « Les pseudo-dirigeants politiques qui se sont mis à la tête de ce mouvement subversif ont employé des troupes et des policiers avec des armes de guerre sur une voie publique de la ville pour créer l'angoisse et la terreur, » a-t-il écrit également sur Twitter. 

    traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

     

    source: http://bolivarinfos.over-blog.com/2019/04/venezuela-tentative-de-coup-d-etat.html

     

    Le dirigeant d’opposition Leopoldo López, sans doute sorti de sa résidence surveillée par les forces d’opposition est apparu sur une vidéo avec le député Juan Guaidó sur la Base Aérienne de La Carlota entouré d'un groupe de militaires déserteurs.

    Leopoldo López, sur son compte Twitter, a affirmé que « la phase défintiive de la cessation de l'usurpation a débuté, l'Opération Liberté. » Il a aussi annoncé qu'il a été « libéré par des militaires aux ordres de la Constitution et du Président Guaidó. »

    Pour sa part, le « président par interim » autoproclamé a annoncé qu'en «  ce moment, » il se trouve avec les principales unités militaires de notre Force Armée pour engager la phase finale de l'Opération Liberté. »

    Information en développement

     

    source: http://bolivarinfos.over-blog.com/2019/04/venezuela-tentative-de-coup-d-etat.html

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  • LE PRCF APPELLE A LA CONVERGENCE DES LUTTES LE 1ER MAI 2019

    Face à un pouvoir macronien qui ne lâche quelques miettes en trompe-l’œil que pour frapper encore plus fort le monde du travail (retraites, statuts publics, contre-réforme Blanquer de l’Education, privatisations en cascade…), il faut que convergent les luttes des syndicalistes de lutte et des Gilets jaunes pour l’emploi, l’augmentation de tous les revenus issus du travail (salaires, pensions, indemnisation du chômage, remboursements de soins…), les libertés syndicales et démocratiques et la souveraineté du peuple. Solidarité totale en particulier avec tous les camarades syndicalistes et/ou  réprimés.

    La journée internationale de lutte des travailleurs peut montrer à tous que le mouvement populaire, non seulement ne baisse pas la garde, mais qu’au contraire, il monte en puissance.

    Profitons aussi de cette journée internationaliste pour mettre en accusation, non seulement Macron et son gouvernement liberticide, mais l’UE du grand capital qui broie les peuples souverains et les conquêtes sociales. Imposons le débat sur la sortie par la gauche de l’UE qui « cadre » tous les mauvais coups (code du travail, statuts, services publics, privatisations…) à l’échelle continentale. Une UE que continuent pourtant de ménager les états-majors syndicaux euro-formatés !

    Luttons aussi pour la paix, car c’est la même politique de classe qui impose l’euro-austérité et qui, sous couvert de construire une « armée européenne » arrimée à l’OTAN, se lance dans une course aux armements insensée à la demande de Trump, tout en préparant les de futures guerres impérialistes contre les peuples russe, iranien, etc.

    Solidarité également avec tous les peuples opprimés de la Terre, qu’il s’agisse des peuples qu’opprime la « Françafrique » néocoloniale (Mali, Côte d’Ivoire, etc.), de Cuba socialiste et du Venezuela bolivarien littéralement assiégés par l’Oncle Sam, des peuples du Proche-Orient dévasté, du peuple palestinien martyrisé par Israël ou du peuple ukrainien qui subit depuis des années, avec le concours de l’UE/OTAN, un gouvernement truffé de néonazis.

    Plus que jamais, en ce 100ème anniversaire de l’Internationale communiste, que retentisse le mot d’ordre de Marx, d’Engels et de Lénine : « prolétaires de tous les pays, peuples opprimés du monde, unissez-vous ! ».

    Par , secrétaire national, Jo Hernandez, responsable national Luttes, Gilliatt de Staërck, responsable JRCF-le 30/04/2019

    source: https://www.initiative-communiste.fr

     

    MANIFESTATIONS DU 1er MAI 2019 EN FINISTERE

     

    Brest: 11h-RDV Place de la Liberté

    Carhaix: 10h30-RDV Place du champ de foire

    Châteaulin: 10h30 RDV Place de la résistance  

    Morlaix: 10h30-RDV Place des otages

    Pont-l'Abbé: 10h30-RDV 10 rue Madeleine Pont L'abbé

    Quimper: 11h00-RDV Esplanade Julien Gracq (médiathèque)

    Quimperlé:10h30- Salle Coat Ker 

    Rosporden: 11h -RDV 3, rue Ernest Renan

     

     

    LE PRCF APPELLE A LA CONVERGENCE DES LUTTES LE 1ER MAI 2019

     

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  • François Ruffin (à gauche) et Gilles Perret (au centre) ont passé six jours sur les ronds-points de France en décembre 2018 à la rencontre des Gilets jaunes. François Ruffin (à gauche) et Gilles Perret (au centre) ont passé six jours sur les ronds-points de France en décembre 2018 à la rencontre des Gilets jaunes.

    Le réalisateur Gilles Perret sera ce mardi au cinéma Eckmühl à Penmarc’h et au quai Dupleix à Quimper. Il présentera son documentaire « J’veux du soleil » tourné avec son complice François Ruffin. Un road-movie touchant à la rencontre des gilets jaunes.


    Comment est née l’idée de ce documentaire ?

    Je connais François Ruffin (fondateur du journal Fakir et réalisateur de « Merci patron ! ») depuis bientôt quinze ans. Il avait prévu d’écrire un bouquin en se rendant sur les ronds-points. J’ai réussi à le convaincre de m’embarquer avec ma caméra. Dès le 17 novembre, nous sommes allés voir de plus près le mouvement des gilets jaunes, par curiosité, sans a priori, sûrement aussi parce que nous sommes des provinciaux. Nous avons découvert des personnes qui n’avaient pas l’habitude de manifester. On s’est alors dit qu’il se passait quelque chose. Ça ne ressemblait pas du tout à l’image véhiculée par les médias, surtout les chaînes d’infos en continu, qui se focalisaient sur les casseurs à Paris.

     

    Où êtes-vous allé et pendant combien de temps ?

    Nous avons tourné sur six jours début décembre 2018. Nous sommes partis d’Amiens vers Montpellier avec deux ou trois points de passage prédéfinis. Mais globalement, nous nous sommes laissés guider sur le parcours. Malgré le délai très court, nous avons collecté 24 h de rushs, avec des témoignages très riches.


    Avec quelle ambition ?

    Donner la parole aux gilets jaunes. Il n’a jamais été question de faire une analyse du mouvement. On voulait redonner un peu de dignité à ces gens qui ont été largement malmenés. Ils ont été traités de tous les noms : homophobes, racistes ou encore antisémites. C’était dégueulasse. Tout n’est pas formidable dans le mouvement mais dans son immense majorité, il est composé de personnes qui sont dans la difficulté. Ce sont des travailleurs précaires qui n’arrivent pas à vivre de leur salaire.

    « J’veux du soleil » comptabilise environ 150 000 entrées à ce jour. 

    À de nombreuses reprises dans le film, les gilets jaunes se perçoivent comme appartenant à une même famille. Le besoin de se retrouver semble très fort.

    Nous avons constaté deux caractéristiques communes aux ronds-points occupés : le rejet d’Emmanuel Macron et de tout ce qu’il incarne et la fraternité retrouvée, l’envie d’être ensemble. C’est assez incroyable de voir tous ces liens qui se sont créés. Spontanément, les gens sont sortis de leur solitude. C’est très touchant.


    Êtes-vous surpris de voir le mouvement se poursuivre aujourd’hui ?

    Non parce que beaucoup de gens n’ont pas grand-chose à perdre. Et puis, ça leur a donné une force. Quand on relève la tête, que l’on existe et que l’on est reconnu, il n’y a plus de retour en arrière possible. Il y a une forme de beauté derrière tous ces visages, ces tranches de vie. La beauté n’est pas réservée à une élite.


    Comment imaginez-vous l’issue de ce mouvement ?

    C’est dur à dire, je ne suis pas prophète. En tout cas, le mouvement a fait vieillir l’idéologie libérale qui nous a été déversée pendant 30/40 ans. Il est désormais permis de croire à des alternatives. C’est un moment important de notre histoire.


    Votre proximité avec François Ruffin (député La France Insoumise dans la circonscription de la Somme) ne fait-elle pas de vous son porte-parole ?

    Nous assumons notre amitié et je revendique ma subjectivité. Je n’ai pas de problème avec cela. J’aimerais que les journalistes qui ont dézingué le mouvement en fassent autant et disent aussi où ils se situent. Sur les ronds-points, de toute façon, les trois quarts des gilets jaunes ne connaissaient pas François Ruffin. Ils se foutent bien de l’étiquette politique.

    Le réalisateur a tourné sur six jours début décembre 2018, d’Amiens à Montpellier.
     
     
    Comment est l’accueil dans les salles depuis la sortie du film (début avril) ?

    Il y a beaucoup d’émotions, les gens sont la plupart du temps debout à la fin de la projection. Ils sont saisis par cette histoire. François Ruffin y met une bonne dose d’humour et ça fait du bien. L’idée, c’était de faire un film rythmé où l’on ne s’ennuie pas.


    Existe-t-il des salles qui refusent de diffuser le film ?

    Ça arrive, il y en avait beaucoup au début mais la plupart ont depuis rétropédalé en le visionnant. Il faut dire aussi, la demande du public est forte (NDLR : le film comptabilise environ 150 000 entrées à ce jour). Il faut souligner qu’en France, notre système de label Art et essai offre des espaces de liberté où l’on peut encore tenir des discours dissidents.


    Pratique
    Projection du documentaire « J’veux du soleil » en présence du réalisateur Gilles Perret mardi 30 avril à 18 h au cinéma Eckmühl à Penmarc’h et à 20 h 30 au Quai Dupleix à Quimper.
     
    Steven LECORNU

    source:  https://www.letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/gilles-perret-les-gilets-jaunes-ont-ete-largement-malmenes-29-04-2019-12270625.php#3HGWawwCqPrDskKL.99
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  • Centrale au gaz. Manifestation le 4 mai à Landivisiau (LT.fr-28/04/19-Au mois de janvier, les opposants avaient manifesté contre le début des travaux de la centrale au gaz, à Landivisiau. 

     

    L’association Landivisiau doit dire non à la centrale appelle à une manifestation, samedi 4 mai, à 14 h, au champ de foire de Landivisiau, pour protester contre le projet de centrale à cycle combiné au gaz. « La détermination des opposants au projet de centrale à gaz est infaillible. L’incapacité des pouvoirs publics à s’occuper des questions du climat, de la fuite d’argent public vers les grands groupes privés pollueurs, impose aux citoyens une mobilisation forte », écrit l’association, dans un communiqué. Cet appel à manifester est soutenu par le Collectif Gaspare, AE2D, S-eau-S, Bretagne vivante, Extinction Rébellion, la Fédération Bretagne nature environnement, Citoyens pour le climat Brest et pays de Morlaix, et Youth For Climate.
     
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  • Les gilets roses ont d’abord décoré les escaliers de la place de Strasbourg.

    Une quarantaine de gilets roses ont manifesté, samedi matin, à partir de la place de Strasbourg. Les assistantes maternelles ont commencé par décorer l’œuvre de Didier Faustino, baptisée « Les Jetées ». Ces escaliers sans destination ont reçu des dessins de nounours et bébés, à la craie, des grandes guirlandes faites de bouteilles de lait ou de papiers roses.

    « Nous sommes toujours mobilisées. Ce qui nous inquiète, actuellement, c’est le fait que tous nos députés : Jean-Charles Larsonneur, Sandrine Le Feur, Didier Le Gac ou Graziella Melchior, qui ont posé des questions écrites au gouvernement sur notre situation, n’ont à ce jour reçu aucune réponse », analyse Anne Créac’h, du mouvement des gilets roses. Leurs revendications portent sur le maintien de l’indemnisation pour activité réduite, alors que les partenaires sociaux renégocient actuellement le cumul emploi chômage. Les assistantes maternelles peuvent perdre du jour au lendemain des revenus, lorsqu’une famille décide de ne plus confier son enfant. Jusqu’à présent, cette précarité était atténuée par le mécanisme de l’allocation d’aide au retour à l’emploi qui permet à une assistante maternelle de toucher environ 70 % du salaire brut, correspondant au contrat perdu.

    Un pique-nique courant mai

    La manifestation a pris le chemin de Kergaradec, où les gilets roses avaient prévu d’aller tracter dans les magasins pour mieux faire connaître leur mouvement. « Les assistantes maternelles ne sont pas les seules concernées. On voudrait fédérer les autres professions qui ont de multiples employeurs. Cela peut concerner les femmes de ménages ou les formateurs isolés, qui n’ont pas les moyens de créer leur réseau ». Une prochaine mobilisation est annoncée pour le mois prochain : ce sera un pique-nique le samedi 18 ou le dimanche 19 mai.


    source: https://www.letelegramme.fr/
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