• Quimper. Ils sont contre l’ouverture dominicale du Petit Casino (OF.fr-21/04/19-17h52)Des employés du Petit Casino et leurs collègues syndiqués ont manifesté leur désaccord face à la volonté de la direction d'une ouverture dominicale

    Dimanche matin 21 avril 2019, devant les portes du Petit Casino d’Ergué-Armel, à Quimper (Finistère), une vingtaine des membres du personnel et du syndicat CGT ont affiché leur désapprobation envers l’ouverture dominicale du magasin.

    « D’après le siège de l’entreprise, il paraît que c’est un test pour savoir si la clientèle sera au rendez-vous d’une ouverture de ce supermarché le dimanche, révèle Patricia, membre du Comité social et économique (CSE) du Petit Casino, à Ergué-Armel. Par notre présence nous marquons notre désapprobation à l’ouverture du dimanche. Les gens ont toute la semaine pour faire leurs courses et faire travailler les petits producteurs qui viennent le dimanche matin sur le marché du Braden. »

    Sensibiliser la clientèle à leur démarche

    Devant les portes du magasin une vingtaine des membres du personnel et du syndicat CGT ont pris place en déployant une banderole destinée à sensibiliser la clientèle à leur démarche.

    « Le compte n’y est pas »

    À l’intérieur du supermarché une dizaine d’étudiants, une employée volontaire et une dizaine des cadres de l’entreprise reçoivent les clients. « Les conditions de rémunération ne sont pas les mêmes pour tous, s’insurge Patricia. Les cadres vont toucher 100 € nets par week-end travaillé avec possibilité de récupération. Pour les employés, c’est 20 € sans les récups. Pour nous, le compte n’y est pas et nous reviendrons tant qu’il n’y aura pas d’accord. »

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Travail le dimanche. Les employés de Casino-Quimper mobilisés contre l’ouverture (LT.fr-21/04/19-16hÀ l’entrée du magasin, les personnes de la CGT engagent la discussion avec les clients pour leur expliquer les raisons de leur manifestation.

    Le 7 avril, le supermarché Casino d’Ergué-Armel a ouvert pour la première fois ses portes un dimanche. Un choix que n’entendent pas les salariés, toujours mobilisés contre cette ouverture dominicale.

    « Il n’y avait pas de chocolat dans les magasins hier ? », demande une employée du supermarché Casino à deux retraitées, venues faire leurs achats ce dimanche. « C’est une urgence », répondent la nonagénaire et sa sœur. « Ils ont toujours une bonne excuse », soupire la salariée, quelque peu dépitée.

     

    Soutenus par quelques gilets jaunes et des membres de l’union locale de la CGT, ils sont une vingtaine au total à être venus manifester, de 10 h à 11 h, devant l’entrée de l’enseigne. C’est la deuxième fois après l’ouverture, inédite, le dimanche 7 avril. « À mon sens, il n’y a rien qui justifie cette ouverture le dimanche, assène Patricia, déléguée du comité social. Nous allons continuer à mener des actions régulières pour nous faire entendre ». Les employés dénoncent notamment les différences de statut entre eux, « payés 20 € de plus que d’habitude », et les managers, « qui gagnent 100 € chaque dimanche travaillé ».

    190 clients le 14 avril

    Contacté, le groupe Casino assure « qu’il ne force personne à venir le dimanche matin ». Cinq étudiants sont venus renforcer l’équipe en CDI et cinq autres personnes se sont volontairement proposées pour travailler le dimanche, « principalement dans l’encadrement », précise Casino.

    Par la voix d’une personne chargée des relations avec la presse, l’enseigne de grande distribution annonce que cette ouverture le dimanche « n’est pas une expérimentation ». Elle compte ainsis’aligner sur les concurrents pour répondre aux nouveaux modes de consommation. Casino en profite également pour donner les chiffres de la fréquentation : 99 clients se sont rendus dans le supermarché lors de la première ouverture, le 7 avril. Ils étaient 190 la semaine suivante. « À moins que la clientèle ne suive pas, il ne devrait pas y avoir de retour en arrière », conclut le groupe.

    Paul BOHEC
    source:  https://www.letelegramme.fr/
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  • À Brest, environ deux cents Gilets jaunes ont manifesté dans la zone de Kergaradec pour ce 23e samedi de manifestation.

    « On n’a pas envie de lâcher. » Cathy, Prescillia, Monique, Jacqueline… font bloc. Ce samedi 20 avril, à Brest, le cortège de deux cents Gilets jaunes qui s’élance depuis la place de Strasbourg est composé pour moitié de femmes.

    « Au départ, on venait pour protester contre les augmentations des prix du carburant, mais, depuis, c’est encore plus cher. Et il n’y a pas que ce problème, il y a tous les invisibles aux yeux de l’État et des puissants, comme les personnes handicapées, les femmes seules… »

    Le groupe a commencé par observer une minute de silence en hommage aux trois Gilets jaunes décédés depuis le début du mouvement en octobre, ainsi que pour les policiers décédés et les personnes blessées. Puis, direction la zone de Kergaradec en empruntant le parcours du tramway, dont le trafic a été perturbé. Dans la zone, ils ont fait quelques sit-in devant de grandes enseignes.

    Appel aux témoignages

    Ce dimanche, les Gilets jaunes donnent rendez-vous aux sympathisants du mouvement à la Maison du peuple, où se tiendra une assemblée générale, à 18 h. Ils discuteront de leurs actions prochaines, pour le 1er mai notamment. Ils recueilleront aussi des témoignages sur la manifestation du 30 mars au Faou, où Georgette, une Landernéenne de 77 ans, a été blessée à l’épaule après une confrontation avec les forces de l’ordre, semble-t-il. Elle s’est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 23 jours qui devrait être prolongée. Son avocat Me Tracol devrait déposer plainte dans les prochains jours.

    À noter également que tous les jours, à 17 h, un groupe de Gilets jaunes se disperse sur le rond-point de Penn-ar-Ch’leuz, à l’entrée de la ville, pour y diffuser des messages à l’aide de pancartes, sans toutefois perturber la circulation.

    Christine PENNEC

    source:  https://www.ouest-france.fr/

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  • EN IMAGES. L’épave du Grande America est intègre, les fuites sont colmatées (OF.fr-21/04/19-15h03)

    L’épave du Grande America gît sur un fond sableux par 4 600 mètres de fond (image sonar du 31 mars 2019)

    Les fuites d’hydrocarbures sont colmatées. Ce vendredi 19 avril, la préfecture maritime de l’Atlantique, basée à Brest, a précisé que la carcasse du Grande America est intacte, posée sur un banc de sable par 4 600 m de fond au milieu du golfe de Gascogne.

    Les irisations régulières d’hydrocarbures à l’aplomb de l’épave du Grande America sont terminées. Ce vendredi 19 avril, la préfecture maritime de l’Atlantique, basée à Brest dans le Finistère, a fait un point sur les opérations dans le golfe de Gascogne, où le navire de commerce a fait naufrage, le 12 mars 2019, avec ses 2 200 tonnes de fioul lourd de propulsion, plus de 2 000 véhicules dans ses ponts garages et environ 320 conteneurs, dont certains contenant des matières dangereuses (acide chlorhydrique, acide sulfurique…)..

    La préfecture maritime explique que le robot sous-marin téléguidé du navire spécialisé norvégien Island Pried a permis d’observer que « l’épave est intègre, posée sur un fond sableux et enfouie de plusieurs mètres sur sa partie arrière » .

    Fuite légère d’hydrocarbure sur un évent de l’épave du Grande America avant obstruction. Fuite observée le 1er avril 2019. 

    Une première

    Les inspections du robot sous-marin ont permis de déceler l’emplacement de « plusieurs fuites légères d’hydrocarbures » venant des soutes à carburant. Elles ont été colmatées, puis vérifiées par le robot. Réaliser un tel travail de repérage puis de soudure par cette profondeur est une véritable prouesse.

    Un des évents obturé le 15 avril 2019 par le robot sous-marin du Island Pride. 

    Sur zone depuis le 31 mars, l’ Island Pride  a terminé son travail sur l’épave et quitté les lieux, ce vendredi 19 avril. Il était affrété par le groupe Grimaldi, également armateur du Grande America , en réponse à la mise en demeure du préfet maritime, Jean-Louis Lozier, pour « définir l’état du Grande America, la nature des dommages subis et remédier à la pollution ».

    L’épave du Grande America modélisée en image 3D. 

    Le préfet précise également que des moyens aériens et des satellites continueront à surveiller régulièrement la zone. Les conteneurs, et notamment les 1 050 tonnes de matières dangereuses dont près de la moitié d’acide chlorhydrique, ont été inspectés, identifiés et, a priori, ne devraient pas remonter. Quant à des fuites éventuelles, elles sont probables avec le temps… Menaçant alors la faune et la flore si particulières de ces abysses.

    Christine PENNEC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • “Arretons de parler des violences policières” c’est par cette déclaration violente que Castaner le 19 mars sur la radio d’Etat France Inter prétendait interdire aux journalistes d’informer sur les très nombreuses violences policières, résultats des ordres donnés par Castaner et le régime Macron

    Fera t il également taire l’ONU la voix de la Haut Commissaire aux droits de l’homme dénonce les violences policières et la répression anti démocratique déchainée par le régime Macron contre le mouvement social ?
    Tout ceux qui ont internet et accès aux milliers de vidéos montrant les violences policières constatent que la règle demeure l’impunité total. Le régime dans les faits couvre les violences policières. Seulement 200 enquêtes ont été ouverte, et confiées non pas à des autorités judicaires indépendante, mais aux policiers et gendarmes eux même. A Nice, le procureur, sous les ordres du gouvernement, a confié l’enquête sur les graves violences commises contre Geneviève Legay à la policière compagne du policier qui a reconnu l’avoir violenté.

    A ce jour, il n’y a tout simplement eu aucune condamnation ni sanction d’aucun policier ou gendarme. Pas même lorsque ceux ci sont clairement identifié, comme cela a été le cas à Toulon par exemple.

    Dans les rues de France, alors que l’affaire Benalla a montré la nature violente du régime Macron, infiltrant des hommes de main issu du parti présidentiel ou de son cabinet dans les forces de police, les policiers et même des gendarmes opèrent masqués, sans matricules, pour empêcher leur identification par la justice. Au mépris de la loi.

    Interrogé par le journal le Monde, le commissaire David Le bars reconnait l’impunité dont bénéficie les policiers ” La réalité, c’est qu’on a manqué de décisions administratives courageuses : il y a des images et des actions qui nous mettent en difficulté. Sans préjuger des suites judiciaires, il aurait pu y avoir des sanctions administratives plus fermes.

    Si le régime Macron soutient autant sa police, c’est que la force, les coups de matraques, les tirs de LBD40, les grenades, les gazages, les nassages, les passages à tabacs et arrestations arbitraires, sont désormais le seul rapport de force que ce gouvernement aux ordres de la minorité de la classe capitaliste peut opposer à la puissante colère populaire. Il ne cesse de s’efondrer dans l’opinion. Ultra minoritaire, illégitime dès mai 2017, le régime est dans la fuite en avant totalitaire. Dans l’escalade dans la fascisation.

    10 000 arrestations, 2000 condamnations, des centaines de blessés graves et 1 mort !

    Entre le 17 novembre et le 24 Mars, selon le décompte officiel du ministère de la justice, 8700 manifestants ont été placés en garde à vue en raison de la répression du mouvment des gilets jaunes. 2000 manifestants ont été condamnés, au moins 390 étant emprisonnés directement, et 1800 sont en attente de jugement.

    De nombreuses condamnations relèvent directement de procès politique, les peines étant prononcées sur la base de la participation à des attroupements. Et avec le vote de la loi restreignant le droit de manifestation, les condamnations vont augmenter : visant les manifestants qui pour pouvoir exercer leur droit alors qu’ils sont copieusement asperger de gaz lacrymogène classé armes chimique osent utiliser des masques de chantier. Rien que pour l’acte 22 sur la seule ville de Toulouse c’est 45 arrestations et 15 condamations pour ce motif.

    Ce que révèle l’affaire Legay

    A Nice c’est une des figures du mouvement pour la paix, militante d’Attac qui est très grièvement blessée ; Geneviève Legay, agée de 70 ans est poussée par terre par un policier. Le préfet affiche immédiatement son soutien aux violences policières, de même que le procureur qui diffuse une fausse nouvelle prétendant que Geneviève n’a pas été touchée par aucun policier, information qu’il reprend des déclarations violente et cynique de Macron lui même. Devant les vidéos diffusées par la presse, le procureur est obligé de faire machine arrière, le policier qui a grièvement blessé Geneviève est obligé de corriger son témoignage. Mais l’enquête est au point mort. Le crane brisé, la militante doit par ailleurs subir des pressions policières sur son lit d’hôpital tandis que sur on ne sait qu’elles instructions des vigiles empêche ses amis militants et la presse de pouvoir lui rendre visite. Une façon de lui interdire de s’exprimer.

    Deux semaines après les faits, il n’y a eu aucune sanction contre les policiers incriminés, aucune sanction contre le procureur. C’est en réalité l’impunité la plus totale. La preuve que le régime Macron est violent et anti démocratique.


    Violente agression policière à Besançon.

    Les images sont éloquentes : on voit un robot-flic asséner un violent coup de matraque à un Gilet-Jaune tout à fait pacifique. On entend la voix d’une femme courageuse qui interpelle le matraqueur et lui demandant pourquoi son geste.

    Le GJ la tête en sang aura 10 points de sutures et dix jours d’arrêt de travail.

    https://www.bienpublic.com/faits-divers/2019/04/01/gilet-jaune-matraque-a-besancon-l-igpn-saisie-par-le-prefet

    Comme après l’agression contre la militante d’ ATTAC de Nice, une justice de classe a tenté de camoufler avant de reculer face à l’accumulation de preuves des violences policières.

    Ces violences devenant systématiques, elles sont de plus en plus largement dénoncées. La LDH et des dizaines d’associations soucieuses des libertés démocratiques s’expriment de plus en plus fortement pour dénoncer “la dérive autoritaire” du régime macronien.

    Pour nous cette dérive s’inscrit dans un processus que l’on peut constater dans l’immense majorité des pays capitalistes et que nous appelons fascisation. Rappelons-le la fascisation n’est pas le  mais les chemin qui y mène. La société se militarise, la police, encouragée dans ce sens par le gouvernement et par toute la réaction, devient systématiquement violente, le discours idéologique se droitise, le mode de gouvernement rompt avec les règles de la démocratie parlementaire, un vote censitaire est subrepticement rétabli en dégoûtant les classes populaires de la vie politique, une politique unique est appliquée par ce qui est devenu le parti unique des riches (LREM, PS, LR et leurs satellites respectifs), le flicage généralisé s’étend, le courant de pensée marxiste est systématiquement censuré et criminalisé de même que les mouvements sociaux, les syndicalistes de classe, les militants ouvriers.

    La crise du capitalisme implique une politique anti-sociale sauvage qui brise le consentement des classes populaires. Face aux réactions populaires, comme la lutte des cheminots ou les Gilets Jaunes, les classes dirigeantes, le grand capital, rognent les libertés en même temps que les conquêtes sociales et se tournent vers la recette fasciste qu’elles ont souvent utilisée dans l’histoire. Les formalistes nous opposent parfois qu’il n’y a pas de chemises brunes dans les rues. Mais le fascisme” la dictature terroriste ouverte des éléments les plus réactionnaires, les plus chauvins, les plus impérialistes du capital financier.” prend bien des formes différentes. Pinochet n’est pas Franco qui n’est pas Soeharto qui n’est pas Hitler    qui n’est pas Papadopoulos. Les formes du fascisme varient mais sa nature de classe et sa forme anti-démocratique restent. “Le fascisme, c’est le pouvoir du capital financier lui-même” voilà le fond des choses avec la liquidation des libertés démocratiques pour désarmer la classe ouvrière et ses alliés de la petite-bourgeoisie. Et la fascisation de la démocratie bourgeoise est toujours, comme le notait Dimitrov et le 7ème Congrès de l’Internationale communiste, la phase préparatoire du fascisme proprement dit.

    Cela dit rien n’est inéluctable dans la victoire d’ Arturo Ui.

    Le Front Populaire lui coupa la route du pouvoir en France et il ne put vaincre qu’à l’ombre des baïonnettes hitlériennes mais aussi parce que le grand capital avait fait le choix du fascisme “plutôt Hitler que le Front populaire” et que ses fondés de pouvoir tels Daladier, Sérol, Bonnet, Sarrault ont, justement comme Macron ici et maintenant, engagé le processus de fascisation.

    Aujourd’hui seul un nouveau Front Antifasciste, Populaire,Patriotique et Écologiste pourra éviter que le fascisme ne passe. Pour cela il faut dénoncer l’escroquerie politique macronienne qui fait semblant de s’opposer à Salvini et Le Pen, alors que, justement, c’est le clone de Macron, Matteo Renzi, qui a permis la victoire des fascistes en Italie. Il faut dénoncer la fausse gauche qui se dit européiste ou alter-européiste, alors que l’UE est le bouillon de culture antidémocratique et antisocial qui fabrique la peste brune 2.0

    Antoine Manessis,

    source:  https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Zineb Redouane, Geneviève Legay,… il faut stopper les violences du régime Macron UE MEDEF #acteXXIII #giletsjaunes (IC.fr-20/04/19)

    A Marseille, c’est une vieille dame qui est tuée chez elle au 4e étage par un tir de grenade lacrymogène par la attaquant une manifestation de gilet jaune.

    A Nice c’est une vielle dame, militante d’Attac, qui a le crane fracassé après avoir été jeté par terre par un policier alors qu’elle ne faisait que brandir un drapeau pour la paix dans une manifestation contre les interdictions de manifester.

    A Besançon c’est un gilet jaune, le crane ouvert à coup de matraque par un policier alors qu’il ne faisait rien. Le préfet tente de faire croire qu’il résistait à une interpellation avant que les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ne démontent son mensonge grossier.

    A Paris c’est Jérome Rodriguez figure des  qui est eborgné par un tir de balle en caoutchouc alors qu’il ne faisait que filmer une manifestation de gilet jaune. A Bordeaux c’est un gilet jaune qui est plongé dans le coma attaqué de dos par un tir de grenade de la police alors qu’il tentait de quitter une manifestation. A Bordeaux c’est un député LFI qui est matraqué par la police aux ordres d’un préfet dont la seule sanction sera d’être promu préfet de police de Paris.

    A Strasbourg c’est un lycéen faisant ses courses qui est défiguré par un tir de LBD 40. A Grenoble une lycéenne également défiguré pour avoir osé manifester contre la réforme du lycée… Et l’on pourrait en écrire des pages de ces 20 semaines de répressions de la mobilisation populaire contre le régime Macron UE MEDEF…

    C’est tous les français, l’ensemble des travailleurs, gilets jaunes ou non, présents dans les manifestations ou non qui sont visés par ces . Par cette  en marche qui ne vise qu’à imposer par la force l’intensification de la brutalité de la politique d’exploitation voulue par les milliardaires capitalistes et imposée à coups de directives européennes par leur Union Européenne.

    En ce 23ème  acte de mobilisation des gilets jaunes, il est plus que jamais temps de dresser un front uni, un front populaire pour stopper les violences du régime Macron UE MEDEF, toutes les violences. Les violences policières bien sûr, mais également les violences économiques, écologiques et sociales !

    JBC 

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • LA VRAIE CONCLUSION DU « GRAND DEBAT » BIDON DE MACRON : TOUS ENSEMBLE EN MEME TEMPS POUR LE PROGRES SOCIAL, LA JUSTICE SOCIALE ET LA SOUVERAINETE DU PEUPLE ! 

    Par Georges GASTAUD, secrétaire national du PRCF, et José HERNANDEZ,responsable national de la commission Luttes-le 18 avril 2019

     

    LA VRAIE CONCLUSION DU « GRAND DEBAT » BIDON DE MACRON : TOUS ENSEMBLE EN MEME TEMPS POUR LE PROGRES SOCIAL, LA JUSTICE SOCIALE ET LA SOUVERAINETE DU PEUPLE ! (IC.fr-19/04/19)Plus que de l’enfumage : le vrai-faux discours de Macron concluant son Grand Débat annonce un nouveau saut qualitatif dans la déconstruction euro-atlantique de la France.

    Certes Macron a dû lâcher un peu de lest pour répondre à la force intacte du mouvement populaire des Gilets jaunes : notamment il reviendrait pour les petites retraites sur la honteuse désindexation que son gouvernement maastrichtien avait initialement décidée. Tous les retraités que BFM fait pleurer chaque semaine sur les « violences », devront remercier les Gilets jaunes qui ont pris de graves risques sur leur santé, voire sur leur vie, pour que vive l’aspiration au progrès social dans notre pays.

    Suppression massive des services publics, à l’opposée des revendications des gilets jaunes

    LA VRAIE CONCLUSION DU « GRAND DEBAT » BIDON DE MACRON : TOUS ENSEMBLE EN MEME TEMPS POUR LE PROGRES SOCIAL, LA JUSTICE SOCIALE ET LA SOUVERAINETE DU PEUPLE ! (IC.fr-19/04/19)Certes, Macron annonce une prétendue baisse des impôts directs pour les couches moyennes sans davantage de précisions ; ce qui est clair en revanche, c’est que mais cela se paiera par la « baisse des dépenses publiques » (exigée par l’UE !). Donc en réalité, par la suppression massive de postes de fonctionnaires (enseignants, infirmières, pompiers, policiers de proximité, postiers, agents de l’Equipement, etc.) ; donc par une nouvelle dégradation des services publics, à l’encontre de ce que revendiquent les Gilets jaunes.

    L’annonce par Macron d’un moratoire sur la suppression des écoles et des hôpitaux en zone rurale est bonne à prendre – si elle est jamais suivie d’effet ! – mais dans le cadre austéritaire fixé par Macron et par l’UE – ces maintiens se feront nécessairement par redéploiement au détriment d’autres services, et ils entraîneront une nouvelle précarisation des agents publics déjà pressurés. Car rappelons que sur le terrain les professeurs témoignent déjà des suppressions de postes et d’heures d’enseignement avec la réforme du lycée et la loi Blanquer. Quant à la précarisation de l’ensemble de la fonction publique et la suppression de missions ou leurs privatisations elles sont tout à la fois inscrite dans la loi Dussopt de “transformation de la fonction publique” contre laquelle l’ensemble des organisations syndicales appellent à la grève le 9 mai prochain mais aussi dans les ordres du plan Action Publique 2022. Localement, le gouvernement avance par ailleurs à marche forcée pour supprimer et concentrer une nouvelle fois les services des différents ministères dans les départements, avec notamment l’annonce de la fusion des secrétariat généraux de ces directions à l’échelon départemental, voir régional.

    Les annonces de Macron ? la poursuite de la casse néolibérale

     

    LA VRAIE CONCLUSION DU « GRAND DEBAT » BIDON DE MACRON : TOUS ENSEMBLE EN MEME TEMPS POUR LE PROGRES SOCIAL, LA JUSTICE SOCIALE ET LA SOUVERAINETE DU PEUPLE ! (IC.fr-19/04/19)En outre, cette mesure fiscale ne fait pas le poids pour répondre aux revendications (les GJ demandaient surtout la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité, qui frappent proportionnellement les pauvres bien plus que les riches) ; Macron ne bouge absolument pas sur le niveau des salaires et des pensions bloqués depuis des décennies en raison de l’austérité imposée au nom de la monnaie unique (critères de Maastricht, dictature financière de la BCE obsédée par les besoins de la grande industrie allemande) : Macron se sert du  pour accélérer la casse néolibérale en feignant de satisfaire les demandes populaires.

    Par ex. l’annonce de la suppression de l’ENA, et peut-être dans la foulée, des classes préparatoires et des Grandes Ecoles créées par la Révolution française, est pure démagogie. Pas question pour nous, certes, d’exonérer les énarques de leur conformisme néolibéral écrasant. Mais s’il s’agit de détricoter davantage la fonction publique et l’administration à la française pour promouvoir un Etat de type anglo-saxon, ce serait là un alignement supplémentaire de notre pays sur ce que d’autres pays ont de moins bon.

    Le programme de Macron ? C’est celui que lui fixe le MEDEF, l’UE , ses traités et ses directives.

    LA VRAIE CONCLUSION DU « GRAND DEBAT » BIDON DE MACRON : TOUS ENSEMBLE EN MEME TEMPS POUR LE PROGRES SOCIAL, LA JUSTICE SOCIALE ET LA SOUVERAINETE DU PEUPLE ! (IC.fr-19/04/19)Dès 2017, le PRCF l’avait annoncé…

    Enfin, tout montre que Macron a déjà fixé sa feuille de route, celle que lui fixent le MEDEF, l’UE, ses traités et ses directives, indépendamment de tout « débat » : le cap est déjà mis sur la funeste « retraite à points » destructive des retraites par répartition créées en 1946 par le ministre communiste A. Croizat. Avec à l’arrivée la baisse vertigineuse des pensions et le report de fait de l’âge de départ à la retraite bien au-delà des 62 ans, comme l’exigent les Accords de Barcelone fixant à 67 ans en moyenne l’âge de départ moyen en Europe. Déjà, la contre-réforme Blanquer de l’Education nationale se heurte à la majorité du monde enseignant tandis que les projets macroniens sur la Fonction publique montrent tout bonnement que le pouvoir veut mettre en extinction le statut créé par Maurice Thorez à la Libération. Ne parlons pas des projets de privatisation finale d’EDF, d’ADP et de la SNCF, de la vente à la découpe de la grande industrie (Alstom) : il n’y a pas que Notre-Dame de Paris qui part en fumée dans notre France saccagée par les politiques patronales et européennes…

    Tout montre en conséquence qu’il ne fallait rien attendre de substantiel, comme nous l’avions annoncé, de ce « Grand débat » destiné surtout à séparer les classes populaires en lutte des couches moyennes plus « légitimistes » et à permettre au gouvernement de continuer d’appliquer son programme en tentantde reprendre (tant bien que malla main sur les GJ.Rien à attendre non plus du prétendu « dialogue social » cher aux jaunes sans gilet de la CFDT et à leurs accompagnateurs du syndicalisme euro-formaté.


    Tous ensemble et en même temps. Pour une grande manifestation commune sur les Champs Elysées

    Tirons alors la conclusion logique : il faut que convergent les Gilets jaunes, mais aussi les professeurs en lutte, les syndicalistes de classe exaspérés par l’indécision des confédérations, y compris de la CGT. A quand une grande manifestation commune sur les Champs Elysées, avec expressions aussi plurielles que nécessaire des organisations manifestantes, pour exiger la démission de Macron, l’amnistie pour les victimes de l’Etat policier, l’abrogation des lois liberticides, l’augmentation générale des salaires petits et moyens, la justice fiscale et une vraie République sociale, souveraine et fraternelle ?

    Plus que jamais la vie montre que les avancées sont le résultat de la lutte et que les Gilets jaunes ont bien raison de durcir leur mouvement pour les salaires, la souveraineté populaire et la justice fiscale.

    Ave en outre, pour dessiner un débouché politique au mouvement, un large débat sur l’exigence que la France sorte de l’UE par la voie progressiste sans crainte de mettre en cause le système capitaliste qui asservit le monde du travail, assèche la démocratie et détruit notre nation.

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

     

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    ASSOCIATION FRANCE-PALESTINE SOLIDARITE
    GROUPE DU PAYS DE CORNOUAILLE
     

    17 avril: journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques palestiniens

     
    Mobilisation du 17 avril: journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques palestiniens 
    Pour les mineurs palestiniens, cibles de la répression israélienne
    Pour le soutien aux prisonniers palestiniens en grève de la faim
     
      Le 17 avril est la journée internationale de solidarité avec les prisonniers palestiniens. Aujourd’hui, ils sont au nombre de près de 5.500 dans les prisons israéliennes, dont près de 500 en détention administrative (emprisonnés sans inculpation, ni jugement), 48 femmes, 205 mineurs de moins de 18 ans (dont 32 de moins de 16 ans)(source: Addameeer, association palestinienne de soutien aux prisonniers et de défense des droits humains). Le sort des mineurs est particulièrement dramatique. Les autorités israéliennes ont fait des arrestations et détentions des mineurs palestiniens de Cisjordanie une pratique systématique et coercitive visant à contrôler la société palestinienne. Les enfants peuvent être emprisonnés à partir de 12 ans, arrêtés par des soldats israéliens et jugés par des tribunaux militaires. Depuis 2015, environ 6.000 mineurs palestiniens ont été détenus par Israël. Chaque année, entre 500 et 700 enfants sont jugés. De l’arrestation au procès, leur parcours est jalonné de violences, voire de tortures, au mépris du droit international, et notamment de la Convention internationale des droits de l’enfants, qui accorde une protection particulière aux mineurs.  Selon l’UNICEF, les mauvais traitements envers les enfants palestiniens arrêtés et emprisonnés sont « répandus, systématiques et institu-tionnalisés.»
     
    Nous n’oublions pas, nous ne nous habituons pas !  
     
    Nous demandons au gouvernement français d’intervenir auprès des autorités israéliennes our protéger les mineurs palestiniens lors de leur arrestation et de leur interrogatoire, pour que les mesures appliquées aux mineurs palestiniens soient alignées sur celles appliquées aux mineurs israéliens, pour que des mesures de rétorsion soient prises envers Israël s’il persiste à violer le droit international et notamment la convention internationale des droits de l’enfant et la IVe Convention de Genève.
     Nous exprimons également notre soutien aux prisonniers politiques palestiniens en grève de la faim illimitée depuis le 8 avril pour protester contre leurs conditions de détention. Nous demandons aussi au gouvernement français d’intervenir auprès d’israël pour faire respecter la sécurité et les droits des prisonniers, notamment ceux en grève de la faim.
     Partout en France, des rassemblements et manifestations auront lieu le 17 avril, ou à des dates voisines, pour exprimer notre nécessaire solidarité avec les prisonniers politiques palestiniens et plus particulièrement avec les mineurs emprisonnés.
     
     
    A Quimper, rassemblement le mercredi 17 avril, à partir de 17 h 30, Place Terre au Duc.
     
     
     
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  • Ce soir, non seulement les catholiques de France, mais les Français et les Parisiens attachés à un édifice emblématique de l’histoire de France, tous les humains épris du grand art gothique, sont bouleversés, quelles que soient leurs convictions religieuses, agnostiques ou athées. 

    Bien entendu, les Français attendent une enquête diligente et sans complaisance pour comprendre les origines de cette 

    Nous saluons les pompiers de Paris qui font, comme toujours, leur devoir avec dévouement. L’imaginaire populaire français forgé notamment par le grand classique de Victor Hugo, Notre-Dame-de-Paris, n’en est que plus vivace en nos cœurs.

     

    Georges Gastaud, porte-parole national du PRCF.

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • NouvBillet Rouge-Nouvelles ténèbres ou lumières communes ? un enjeu crucial pour notre temps. Par G. Gastaud (à propos de deux découvertes scientifiques capitales).elles ténèbres ou lumières communes ? un enjeu crucial pour notre temps (à propos de deux découvertes scientifiques capitales).

    par Georges GASTAUD, 

    auteur de « Lumières communes » (Delga).

     

    Qui niera hélas que « l’horizon des évènements » politiques est sombre : à l’échelle mondiale, comme disait Hugo « Sophistes et soudards resserrent leur réseaux » ; c’est l’ère empoisonnée des Trump, des Netanyahou, des Bolsonaro, des Guaido et des autres momies réactionnaires ; c’est le retour arrogant des impérialismes allemand et japonais revanchards ; c’est la persistance interminable de la Françafrique néocoloniale ; c’est la tentative des ultra-maastrichtiens et des populistes d’extrême droite de se partager l’Europe en excluant les peuples ; au niveau national, c’est la grêle de mauvais coups contre les salariés, les chômeurs et les retraités, c’est le durcissement de l’Etat policier macroniste, c’est l’interdit de manifester et l’éborgnement de manifestants pacifiques ; c’est l’étranglement annoncé de l’Education nationale et de la fonction publique…

    Ne désespérons pas cependant : non seulement parce que le magnifique soulèvement des Gilets jaunes, malgré certains caciques syndicaux euro-formatés qui obtiennent tout de l’Etat bourgeois en termes de sinécures lors de leur admission à la retraite, montre que le peuple des Sans Culottes et des Communards n’a pas fini de narguer le Parti Maastrichtien Unique au pouvoir. Non seulement parce que le Venezuela, Cuba, la jeunesse de Palestinie sont toujours debout malgré les tentatives d’étranglement, sans parler du magnifique élan des jeunes et des femmes d’Algérie…

    Mais parce que le « front du progrès » ne se limite pas à celui du combat social, qu’ont provisoirement déséquilibré la contre-révolution en URSS et la mondialisation libéral-fascisante qui l’a suivie. Le « front des lumières » continue d’avancer malgré les innombrables tentatives visant à dévoyer la science ou à couper les crédits des recherches non immédiatement « bankables ». Rien que dans la journée du 11 avril, deux nouvelles très importantes :

    •  A l’initiative de savants français et philippins, les traces d’une nouvelle espèce humaine, contemporaine d’Homo sapiens, Homo luzonensis, a été mise en évidence dans l’île aux Philippines. Pas en avant très important pour la connaissance de l’ « hominisation » (loin d’être parachevée quand on voit l’état, proprement… préhistorique de l’espèce humaine actuelle, encore livrée à l’impérialisme barbare…).
    •  Au moyen de la coopération de savants de toutes nationalités, et grâce à la mise en réseau planétaire de nombreux équipements appropriés et télescopes, la première photographie d’un trou noir voisin de notre galaxie a pu confirmer pleinement l’hypothèse ancienne, conséquence de la Relativité générale einsteinienne, et dont l’astrophysicien français Alain Riazuelo est un pionnier mondial.

    « Rousseau dit « l’Homme avance ! » et De Maistre : « il descend ! », disait Victor Hugo, fixant les enjeux de classes du combat entre Lumières révolutionnaires et Ténèbres de la réaction. Tenons bon, camarades et amis, et continuons de transmettre « les flambeaux de la vie » et de la raison, comme y invitait jadis le poème scientifique du grand poète latin Lucrèce !

    Georges Gastaud.

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

     

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