• Près de 250 manifestants se sont rassemblés, ce lundi soir, devant le local de campagne de la députée Annaig Le Meur à Quimper, pour dénoncer l’usage du 49.3 par le gouvernement

    Ils dénoncent le recours gouvernemental au 49.3 pour l’adoption de la réforme des retraites sans vote des députés. 250 manifestants ont répondu à l’appel de l’intersyndicale et des Gilets jaunes, ce lundi soir, à Quimper.

    « On ne lâche rien, le 49.3, on n’en veut pas ». Réunis devant le local de campagne de la députée Annaig Le Meur, près de 250 manifestants déterminés ont répondu à Quimper, à l’appel, lancé dimanche, par l’intersyndicale et les gilets jaunes. « C’est à se demander si le coup du 49.3 n’était pas prévu d’avance », commente Yves Pasquet, le secrétaire départemental du Snes FSU.

    Dans le cortège parti quelques minutes plus tôt de la place de la Résistance, des militants de toutes les manifestations mêlés à quelques anonymes. « Il fallait être réactif pour montrer notre mécontentement vu le peu de cas que le gouvernement fait du débat parlementaire et de la mobilisation », poursuit Sandrine Allain, pour l’union locale CGT.

    250 manifestants à Quimper contre le recours au 49.3 (LT.fr-2/03/20-19h58)

    Des rassemblements ce mardi et jeudi

    « Cela démontre l’impuissance du gouvernement à répondre aux interrogations sur ce projet incomplet, très approximatif et aux multiples inconnues », poursuit la syndicaliste, micro en main, devant le local de campagne dont la vitrine a, une nouvelle fois, été recouverte d’autocollants en signe de protestation.

    Sans attendre la réponse gouvernementale aux motions de censure, l’intersyndicale a donné rendez-vous, à l’issue de la manifestation, pour de nouveaux rassemblements. Le premier est programmé, dès ce mardi midi, devant la préfecture, à Quimper. Le deuxième est prévu jeudi à 18 h, toujours devant la préfecture, en attendant la manifestation nationale du 31 mars.

    Jean LE BORGNE

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Quimperlé-80 opposants à la réforme des retraites sont venus dénoncer le 49-3 (LT.fr-3/03/71)

    Environ 80 Quimperlois se sont retrouvés, ce lundi, à 18 h, au Coat Kaër, à l’appel des organisations syndicales CGT, FO, FSU et Solidaires, pour protester contre la mise en œuvre de l’article 49-3 par un gouvernement « prêt à toutes les manœuvres » pour faire passer le projet de loi du système de retraites par points. Des syndicats qui dénoncent : « Après plusieurs mois de grèves et de mobilisations, la réponse du gouvernement est donc, après le mépris du dialogue social, celle d’un passage en force ».

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Lors de la manifestation du 11 janvier 2020, à Quimper.

    L’intersyndicale appelle au rassemblement dans tout le département du Finistère.

    L’intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires ainsi que Sud appellent à des rassemblements partout dans le Finistère, suite au recours à l’article 49-3 pour faire adopter la réforme des retraites.

    Samedi 29 février 2020, un rassemblement spontané avait déjà eu lieu dans le centre-ville de Quimper, quelques heures après cette annonce.

    Cette fois, le rassemblement est prévu place de la Résistance, à Quimper (Finistère), ce lundi 2 mars à 18 h. D’autres manifestations auront lieu à Brest (Place de la Liberté), Carhaix (Champ de foire), Morlaix (place des Otages) et Quimperlé (Coat Ker).

     

    Flora CHAUVEAU.

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  •  Le recours à l’article 49.3 pour le vote de la réforme des retraites provoque une nouvelle manifestation à Quimperlé, ce lundi 2 mars au Coat-Kaër. 
    Le choix du Gouvernement de recourir au 49.3 pour le vote de la réforme des retraites renforce la colère de l’intersyndicale. Un rassemblement est prévu ce lundi 2 mars à 18 h, au Coat-Kaër.

    Après le choix du gouvernement de recourir au 49.3 pour faire passer la réforme des retraites, les organisations syndicales CGT, FO, FSU et Solidaires, appellent au rassemblement ce lundi 2 mars à 18 h au Coat-Kaër à Quimperlé.

    Après plusieurs mois de grèves et de mobilisations, la réponse du gouvernement est donc après le mépris du dialogue social, celle d’un passage en force. Le Premier ministre vient d’annoncer qu’il allait utiliser le 49.3 pour adopter le texte sans aucun vote des député.e.s. estime l’intersyndicale.

    Pour elle, cette décision a été prise en catimini dans un conseil des ministres censé s’occuper de la crise sanitaire et pour faire passer en force le projet de loi du système de retraites par points.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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    Quimper. Le P-DG de la Poste accueilli par des syndicalistes et des usagers mécontents
     
     

    Le PDG du groupe La Poste a rencontré les syndicats ce vendredi matin à Quimper, alors que l’établissement quimpérois connaît des dysfonctionnements depuis l’automne. Il a reconnu des problèmes tandis que le directeur départemental estimait lui que la crise était finie.

    Le PDG de La Poste (plus de 250 000 salariés dans le groupe) a été accueilli par des syndicalistes et des usagers mécontents, les premiers dénonçant un mal-être récurrent et les seconds une dégradation du service. La distribution du courrier est en effet fortement perturbée depuis l’automne, certains plis postés en décembre arrivant encore en cette fin février à leur destinataire.

    « Tous les quinze jours, le PDG de La Poste se déplace en France pour rencontrer les collaborateurs », a précisé d’emblée une chargée de communication. Pour elle, il ne fallait donc pas voir dans la première visite de Philippe Wahl (il est en poste depuis 2013) à Quimper un lien avec les tensions qui durent depuis le mois de septembre.

    « Les retards sont résorbés »

    Thierry Sakot, directeur opérationnel pour le Finistère et les Côtes-d’Armor, n’a pas nié que la réorganisation a causé des problèmes. « Le modèle se transforme et il y a eu une période de rodage et d’apprentissage, dit-il. Aujourd’hui, il fonctionne. Les retards sont résorbés. ll reste tout au plus 300 plis à 99 % mal adressés ». La mission de service public serait donc maintenue malgré une chute des volumes de courriers. « Il y avait neuf milliards de plis l’an passé, soit deux fois moins qu’en 2009 et nous prévoyons cinq milliards en 2025. La diversification des métiers permet de maintenir le service. Amazon est notre premier concurrent mais aussi notre premier client car qui est présent en montagne ou dans les zones rurales isolées ? C’est La Poste. Amazon fait donc appel à nous dans ces cas ».

    L’avenir dans les services

    Le groupe La Poste se porte donc bien grâce à la diversification (822 M€ de bénéfices nets en hausse de 3 % en 2019) dans les colis, les services. À Quimper, les postiers ne connaissent pas cette bonne santé, le mal-être étant régulièrement dénoncé.

    Les représentants syndicaux ont pu échanger avec le PDG pendant plus d’une heure et demie, « sans tension ». « Il était abordable, a semblé être à l’écoute et nous a laissés nous exprimer, a reconnu Esla Naudet (CGT). Nous attendons maintenant des actions ». Selon la syndicaliste, « Philippe Wahl a reconnu que c’était l’exemple d’une transformation qui se passe mal, mais sans annoncer d’avancée sur l’emploi ». « Pour le PDG, une réorganisation est nécessaire tous les deux ans pour faire face à la baisse du courrier, continue la syndicaliste. Il a insisté sur le rôle social du facteur en expliquant que le vieillissement de la population est une chance pour La Poste avec des services à développer : portage des repas, veille sur les personnes âgées. Pour lui, cela justifie qu’il n’y aura pas de recul sur la distribution six jours sur sept ».

    Pas d’avancées sur les salaires

    Les revendications sur les salaires n’ont pas non plus été entendues. « Les bénéfices iront aux actionnaires (220 M€) et le reste pour l’investissement, rapporte Elsa Naudet. Alors que l’on nous propose 1,20 € d’augmentation mensuelle pour un facteur dans le cadre des négociations sur les salaires et qu’il n’y aura rien pour les facteurs qui distribuent les plis électoraux ce qui rapporte pourtant à La Poste ».

    Au-delà de l’écoute du PDG et de son exposé des valeurs, les syndicalistes sont donc restés sur leur faim, d’autant que la « pression managériale » sur le terrain est toujours plus forte.

    Ronan LARVOR

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • "C'est à lui de saisir l'opportunité de sa nouvelle fonction" : douze collectifs et syndicats hospitaliers réagissent à la nomination d'Olivier Véran (francetvinfo.fr-23/02/20)

    Ces représentants du personnel hospitalier appellent le nouveau ministre de la Santé à des négociations urgentes pour sortir de la crise de l'hôpital.

    "L'heure est à l'ouverture d'urgence de négociations." Le personnel hospitalier est fatigué d'attendre. Depuis presque un an, médecins, paramédicaux, internes sont en grève pour exiger plus de moyens pour les hôpitaux et la santé. Le "plan d'urgence" annoncé par le gouvernement, en novembre dernier, qui prévoit entre autres une enveloppe supplémentaire de 1,5 milliard d'euros sur trois ans pour le budget des hôpitaux, a été jugé insuffisant par les soignants. Après la démission de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, dimanche 16 février, pour candidater à la mairie de Paris, les blouses blanches ne se réjouissent pas du choix de son successeur Olivier Véran. Douze collectifs et syndicats hospitaliers s'inquiètent que sa nomination conforte "l'idée que ce ministère n'est finalement qu'une coquille vide". Ils s'expriment ici librement.


    Madame Agnès Buzyn démissionne de son poste de ministre des Solidarités et de la Santé pour remplacer le candidat LREM à l'élection à Paris, Benjamin Griveaux, optant ainsi résolument pour la carrière politique et abandonnant les dossiers en cours. Parmi eux, la situation de l'hôpital public, qui vit une crise d'une ampleur inédite dénoncée depuis bientôt un an par les organisations syndicales médicales et paramédicales l'Association des médecins urgentistes de France, l'Action praticiens hôpital, CFE-CGC, CFTC, CGT, CFDT, l'intersyndicale nationale des Internes, SUD et UNSA, le collectif Inter Blocs, le collectif Inter Hôpitaux, le collectif Inter Urgences, le printemps de la psychiatrie et la Coordination Nationale des Comités de défense des Hôpitaux et Maternités de proximité. Ce mouvement, qui pour la première fois uni hospitaliers, usagers et associatifs, met en lumière la dégradation des conditions de travail et de la qualité du travail dans les hôpitaux publics et les établissements de santé et de l'action sociale.

    De l'impuissance d'Agnès Buzyn

    Depuis des mois, les personnels médicaux, paramédicaux, usagers et organisations sont à l'offensive pour dénoncer la situation en impulsant diverses initiatives : une pétition signée par plus de 300 000 personnes à l'initiative des représentants des usagers, des manifestations à répétition, lettres de soutien d'élu·e·s, démission de plus de 900 médecins de leur fonction administrative, journées mortes pour l'hôpital, etc. La seule réaction du gouvernement aura été la profusion d'effets d'annonces.

    "La magie des mots s'évanouit à la lumière des chiffres de la loi."Les signataires de la tribune sur franceinfo

    Seuls 200 millions supplémentaires ont été attribués à l'hôpital en 2020 sur un budget total de 84 milliards... Une somme dérisoire pour répondre aux besoins, pour revaloriser les rémunérations des infirmier·e·s qui sont au 28e rang des pays de l'OCDE, pour embaucher et avoir des effectifs aux lits des malades. Car le gouvernement répond par une prestidigitation arithmétique là où il faut des humains, tout en continuant à fermer des lits – voire des structures entières dans le cas de la psychiatrie – tandis qu'il conviendrait, pour le bien des patients, d'en rouvrir d'urgence.

    Madame Agnès Buzyn qui se targuait de "vouloir sauver l'hôpital public" n'a pas obtenu les nécessaires arbitrages budgétaires face à Bercy. Il aura fallu deux mois de mobilisation générale d'octobre à décembre 2019 pour que la loi révisée de financement de la Sécurité sociale permette une augmentation du budget hospitalier de 0,2% dérisoire au regard des difficultés objectivées. Les personnels de la santé et de l'action sociale garderont une impression d'impuissance d'une ministre qui partageait parfois le constat mais qui a été incapable d'inverser les politiques d'austérité et économiques qui s'abattent dans nos secteurs d'activités, laissant ainsi sans réponses adaptées et concrètes les personnels en souffrance qui défendent leur outil de travail et la qualité des missions de service auprès de la population.

    Prouver qu'il a une marge de manœuvre

    Monsieur Olivier Véran succède à celle-ci à la tête du ministère. Il prévient d'emblée qu'il n'y aura pas de "tour de chauffe" et nous n'en avons aucun doute, puisqu'il a été un rapporteur zélé du projet de loi de financement de la Sécurité sociale et l'un des plus actifs parlementaires sur le domaine de la santé. Il est dès lors, très surprenant que sa première mesure puisse être une enquête sur le mal-être des hospitaliers, monde qu'il dit "si bien connaître".

    "Cette disposition apparaît comme une provocation et une manœuvre dilatoire alors que la situation empire sur le terrain et que l'heure est à l'ouverture d'urgence de négociations avec les organisations ainsi que les différents acteurs de terrain."Les signataires de la tribune sur franceinfo

    Le nouveau ministre des Solidarités et de la Santé avant sa nomination s'était déjà exprimé publiquement et auprès de nos organisations sur la nécessité de revalorisation des salaires. C'est à lui maintenant de se saisir de l'opportunité de sa nouvelle fonction et de ses nouvelles responsabilités pour faire sortir de la crise l'hôpital et les établissements de santé et d'action sociale. Toute autre attitude conforterait l'idée que ce grand ministère n'est finalement qu'une coquille vide sans marges de manœuvres, budgétaires et politiques, pour gérer les urgences sociales et humaines que traversent les établissements du sanitaire, médico-social et social de métropole et des territoires ultra-marins. Toute autre attitude conforterait, in fine, la légitimité de notre démarche visant à négocier auprès du Premier ministre.

    Liste des signataires :   

    L'Action praticiens hôpital (APH), l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF), la CFTC, la CFE-CGC, la CGT, le Comité de défense des hôpitaux, le collectif Inter-Blocs, le collectif Inter-Urgences, le collectif Inter-Hôpitaux, le Printemps de la psychiatrie, SUD et l'Unsa.

    source: https://www.francetvinfo.fr/

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  • Plus de 400 personnes mobilisées à Brest contre la réforme des retraites (LT.fr-20/02/20-13h38)Malgré la pluie, les manifestants se sont rassemblés à Liberté.

    Les conditions météo déplorables et la répétition des journées de mobilisation n’ont pas découragé un peu plus de 400 courageux à venir battre le pavé brestois ce jeudi en fin de matinée, au départ de la place de la Liberté, contre la réforme des retraites envisagée par le gouvernement. Rejoints en musique et en danse par un collectif d’artistes, les manifestants entendaient avant tout faire passer le message qu’ils « ne lâcheraient rien ». La prochaine grande mobilisation devrait être organisée autour du 8 mars (probablement le mardi), date de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
     
     
     
     
     
     
     
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  • 250 manifestants ont bravé la pluie pour manifester contre la réforme des retraites.
    250 manifestants ont bravé la pluie pour manifester contre la réforme des retraites.
     
    Jeudi 20 février, 250 personnes ont manifesté à Morlaix (Finistère) contre le projet de loi de réforme des retraites.

    Alors que le projet de loi de réforme des retraites est en examen à l’Assemblée Nationale, l’intersyndicale de Morlaix, composée de la CGT, FO, FSU, Sud Solidaires, a réitéré son exigence de retrait du projet de réforme des retraites. Les syndicats évoquent un rejet du projet de plus en plus fort au niveau national. Céline, Nathalie, et Nadine, salariées dans la grande distribution et syndiquées, disent continuer à manifester pour la 10e journée de mobilisation car elles n’ont pas obtenu ce qu’elles voulaient au niveau de l’âge de départ et de la pénibilité.

    Les manifestants ont raccourci le tour du fait de la météo et sont allés de la place des otages au rond-point Charles-de-Gaulle. Ils étaient environ 250 ce jeudi à manifester. Si la mobilisation n’était pas à son maximum, c’est sûrement à cause de la pluie et des vacances scolaires, nous disent Céline, Nathalie et Nadine. Mais, les vacances ont permis à des enfants et des adolescents de rejoindre le cortège. C’est le cas de Lan, 17 ans, et Elliot, 15 ans, qui ont profité des vacances pour venir manifester avec leur grand-mère. C’est la première fois qu’ils manifestaient contre la réforme des retraites, mais se sentent concernés puisque ça parle de notre avenir disent-ils.

    Séverine FLOCH.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Si la mobilisation contre la réforme des retraites persiste, elle ne rassemble clairement plus comme à ses débuts, en décembre dernier (3 200 manifestants). Ce jeudi matin, alors que le projet de loi est discuté depuis le début de semaine à l’Assemblée nationale, 250 personnes ont répondu à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU. Ils étaient 400, le 6 février dernier. Après les discours de rigueur, les manifestants ont entamé un petit tour de ville sous la pluie. Pas de quoi, cependant, émousser leur détermination. Les syndicats l’ont dit haut et fort : pas question de lâcher. D’autres actions sont donc à prévoir. En attendant, ils travaillent nationalement, comme localement, à un « projet alternatif pour construire un droit à la retraite pour toutes et tous sur la base de l’égalité ».

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  • Réforme des retraites. Une centaine de manifestants se mobilisent à Carhaix (OF.fr-20/02/20-16h07)

    Nouvelle mobilisation contre la réforme des retraites à Carhaix (Finistère), ce jeudi 20 février 2020. Les participants ont défilé dans le centre-ville et sont notamment passés devant les permanences des candidats aux élections municipales.

    Les jeudis se suivent et se ressemblent. Ils étaient encore une centaine à battre le pavé, ce jeudi 20 février 2020 au matin, à Carhaix (Finistère), à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires, contre la réforme des retraites désormais en discussion à l’Assemblée nationale.

    Lors de la prise de paroles devant la Maison des syndicats, avant le traditionnel défilé à travers le centre-ville, Thierry Guilloux, délégué CGT de l’usine de la Savel, a rappelé que le rejet de ce projet va grandissant dans la population et « la détermination pour obtenir son retrait se propage de manière inéluctable ». « Et pourtant, le gouvernement s’entête. »

    Des temps forts

    Les manifestants ont battu le pavé et sont notamment passés devant les permanences des candidats aux élections municipales de mars 2020. 

    Des temps forts de mobilisation sont prévus, autour du dimanche 8 mars 2020, Journée internationales de lutte pour les droits des femmes. Avec, en particulier, « une contre-conférence nationale déclinée localement, pour débattre d’un projet sérieux d’amélioration des régimes de retraite ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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