• Une manifestation pour les retraites à Rennes.Une manifestation pour les retraites à Rennes.

    Huit organisations de retraités du Finistère demandent à ce que « toutes les structures de soins et médico-sociales soient dotées immédiatement des protections indispensables », ainsi que des mesures pour accompagner les personnes âgées, comme « un numéro d’urgence à appeler en cas de besoin et le portage de courses, de repas et/ou des médicaments ».

    Ces organisations demandent également « l’arrêt immédiat des politiques de restrictions budgétaires », « le maintien et l’amélioration des services publics sur tout le territoire », « la prise en charge de la perte d’autonomie à domicile et en établissement à 100 % par la branche maladie de la Sécurité sociale » et « la création d’un grand service public de l’aide à l’autonomie et la promulgation rapide d’une loi “grand âge et autonomie” ».

    En outre, elles suggèrent aux élus de modifier l’objectif d’évolution des dépenses de santé, « afin de répondre aux besoins » et de favoriser les relocalisations et la « maîtrise publique des productions des matériels de santé et des médicaments ».

    Côté financement, il est proposé « de mettre à contribution les entreprises du CAC 40 pour la solidarité nationale ».

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  • Pour David Taillefer, le secrétaire du Comité social et économique, la fermeture de la Fonderie de Bretagne serait un vrai séisme.Pour David Taillefer, le secrétaire du Comité social et économique, la fermeture de la Fonderie de Bretagne serait un vrai séisme.

     

    La fermeture de la Fonderie de Bretagne, basée à Caudan (56), serait envisagée dans le cadre d’un vaste plan d’économie que le constructeur automobile français Renault doit annoncer la semaine prochaine. Ses salariés sont très inquiets. Son directeur, stupéfait, déclare n’avoir aucune information sur le sujet.

    Après un an au ralenti, voire à l’arrêt total, à la suite d’un incendie puis du coronavirus, l’activité redémarrait doucement depuis la semaine dernière à la Fonderie de Bretagne. Alors la possible annonce d’une fermeture du site, la semaine prochaine par le groupe Renault, selon Le Canard Enchaîné, plombe encore plus le moral de ses salariés. « On ne s’attendait pas à cela. Une restructuration, oui. Pas une fermeture. C’est le coup de massue, réagit David Taillefer, le secrétaire du Comité social et économique (CSE) de l’entreprise. On a subi un incendie l’année dernière de la chaîne de moulage principal. Renault s’est alors engagé à faire les travaux et remettre une ligne neuve. Aujourd’hui, elle est prête mais il y a eu le Covid-19. Pour moi, c’est clair. Ils se servent de la pandémie pour essayer de fermer définitivement la boîte ».

    « Il faut que les élus réagissent »

    Très inquiète, la section CGT du site morbihannais a demandé la tenue d’un CSE extraordinaire. « Le directeur du site nous a répondu par mail qu’il n’avait pas de commentaire et qu’il n’avait aucune information à nous donner », déplore David Taillefer.

    Ce genre de décision vient de la direction générale et je ne suis même pas sûr qu’on me demandera mon avis

    Contacté, Laurent Galmard, le directeur général de la Fonderie, exprime sa « stupéfaction. Je n’ai aucune information sur le sujet ». Il souligne n’avoir eu aucun contact en ce sens. « Ce genre de décision vient de la direction générale et je ne suis même pas sûr qu’on me demandera mon avis ». Interrogé la semaine dernière sur la reprise de l’activité, post-incendie et Covid-19, le directeur affichait sa grande inquiétude, jugeant la situation de son entreprise « préoccupante ». Après une année 2019 noire, avec plus de 15 millions de pertes, 2020 partait sur de mauvaises bases. « Les carnets de commandes ne sont pas au rendez-vous. Le marché est très fragile. Les ventes d’automobiles ont été catastrophiques en mars et avril. On n’a pas de vision et de visibilité sur le retour des commandes », disait-il. De quoi précipiter la fermeture du site ?

    Lundi prochain, une réunion de CSE doit se tenir sur le site de Caudan. « On va commencer par ce sujet et après on prendra les décisions qui s’imposent suivant les réponses qu’ils nous apporteront », prévient David Taillefer. En attendant, les salariés vont contacter « les pouvoirs publics, pour rencontrer le préfet, le sous-préfet, la Région, etc. Il faut que les élus réagissent assez rapidement ».

    À lire sur le sujet

    « On commençait seulement à sortir la tête de l’eau »

    La Fonderie de Bretagne, ex-SBFM créée en 1966, est, avec ses 380 salariés, un fleuron de l’économie du pays de Lorient. Filiale du groupe Renault depuis 2009, elle réalise des pièces de fonderie avec ou sans usinage (boîtiers différentiels, vilebrequins, porte-fusées, collecteurs d’échappement, etc.), en majorité pour Renault (environ 95 %) mais aussi pour d’autres constructeurs automobiles (BMW notamment). L’entreprise a connu de nombreux coups durs ces dernières années. « Quand il y a eu l’incendie il y a un an, on commençait seulement à sortir la tête de l’eau », rappelle David Taillefer. Le secrétaire du CSE souligne les investissements engagés. La nouvelle ligne de production aurait coûté 30 millions d’euros. Elle peut produire jusqu’à 40 000 tonnes de produits à l’année, si elle tourne à plein régime. Son arrêt serait un véritable séisme pour le pays de Lorient.

    Juliien BOITEL

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  •  Les syndicats ont affiché des banderoles sur les grilles de l’hôpital, ce mercredi 20 mai 2020.Les syndicats ont affiché des banderoles sur les grilles de l’hôpital, ce mercredi 20 mai 2020

     

    Ce mercredi 20 mai 2020, les syndicats ont déployé des banderoles sur les grilles du centre hospitalier de Quimper Cornouaille (Finistère). Plutôt que des primes, ils réclament des hausses de salaires.

    Ils ont été applaudis durant deux mois et considérés comme des héros. Mais, pour l’heure, ils ne voient ni leurs conditions de travail, ni leurs salaires s’améliorer. Ce mercredi 20 mai 2020, le syndicat SUD a déployé des banderoles sur les grilles du centre hospitalier de Quimper Cornouaille (Finistère), demandant des augmentations de salaire. « Le gouvernement va offrir des primes aux soignants. Mais selon la région et même à l’intérieur d’un même hôpital, elles varieront de 500 € à 1 500 € », s’indigne Joseph Boniz, de SUD. « On ne réclame pas de prime, on veut une augmentation des salaires. » Un mouvement social se prépare, pour le 16 juin.
     
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  • « Nous étions tous volontaires, sans délai ni condition. Mais lorsque la direction des affaires médicales du CHRU nous répond qu’il ne s’agit pas d’une permanence de soins, donc qu’elle n’a pas l’obli« Nous étions tous volontaires, sans délai ni condition. Mais lorsque la direction des affaires médicales du CHRU nous répond qu’il ne s’agit pas d’une permanence de soins, donc qu’elle n’a pas l’obligation de nous rémunérer, c’en est assez », estiment des externes en médecine brestois.  

    Depuis le début de la crise sanitaire, des dizaines d’étudiants brestois en quatrième, cinquième et sixième années de médecine se sont portés volontaires pour lutter contre le coronavirus. Certains dénoncent aujourd’hui les conditions de rémunération qui sont les leurs. La conséquence, aussi, d’antagonismes plus anciens avec la direction du CHRU.

    Ils sont plus de 500 à avoir répondu positivement à l’appel à volontaires lancé, mi-mars, par le CHRU (Centre hospitalier régional universitaire) de Brest en prévision de l’arrivée de la pandémie à la pointe finistérienne. Des étudiants de quatrième, cinquième ou sixième année de médecine, en grande majorité (mais aussi des élèves infirmiers, kinés et sages-femmes). Au final, seule une cinquantaine d’entre eux a été appelée pour venir au soutien de l’action menée par les personnels du CHRU brestois.

    Affectés par la cellule « CentoRH » à différentes missions (aide à la régulation du Samu ; dépistage du Covid-19 à la Cavale Blanche ; suivi des personnels soignants potentiellement contaminés ; cellules mobiles de dépistage dans les Ehpad…), ces étudiants se donnent « corps et âme », de jour comme de nuit, depuis le début de la pandémie, comme l’explique Romain (1), l’un d’entre eux.

    « Nous étions tous volontaires, sans délai ni condition »

    Sauf que… Évoquée brièvement lors de la réunion de la mi-mars, la question de la rémunération de ces vacations hospitalières pose aujourd’hui problème. Philippe El-Saïr, directeur général du CHRU de Brest (en partance pour Nantes), qui avait pris part à la réunion, « n’avait pas exclu » de s’inspirer des CHRU de Lille ou Dijon, « qui ont mis en place un cadre réglementaire de rémunération pour les externes volontaires » (à hauteur de 52 € brut par garde, le tarif en vigueur en temps normal), selon l’étudiant. « Il n’avait pas été très affirmatif », conteste Bénédicte Simon, de la direction des affaires médicales, qui confirme que si « le sujet a bien été abordé, il n’a jamais été question de s’inspirer de ce qui peut se faire dans un autre établissement ».

    « Nous étions tous volontaires, sans délai ni condition. Mais lorsque la direction des affaires médicales nous répond qu’il ne s’agit pas d’une permanence de soins, donc qu’elle n’a pas l’obligation de nous rémunérer, et ce malgré les discours de l’exécutif, c’en est assez », estime quant à lui Romain, avant de rappeler que « les étudiants de quatrième à sixième année sont rémunérés entre 100 et 230 € par mois, ce qui est déjà bien en deçà du minimum légal pour un étudiant salarié ».

    Un « problème antérieur »

    Exposés au Covid-19 comme tous les autres soignants, certains d’entre eux doivent se tenir à l’écart de leur famille et amis. Ne pouvant prétendre à la prime exceptionnelle allouée aux soignants, ils déplorent d’autant plus ce manque de considération que celui-ci fait resurgir un « problème antérieur ». En cause, un certain nombre de gardes (neuf sur un total de 25) réalisées par ces étudiants dans le cadre de leur cursus et qui ne leur sont pas rémunérées, « comme cela est pourtant prévu ».

    « Ce sujet n’a rien à voir avec le Covid, notre unique priorité du moment », balaie Bénédicte Simon. Pour qui ces gardes peuvent être, « dans un certain nombre de cas, assimilées à une période de stage et rémunérées comme telle ».

    1. Prénom d’emprunt.
     
     

    Thierry Dilasser

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le magasin Ikea du Froutven, à Guipavas, était concerné par le système d’espionnage.Le magasin Ikea du Froutven, à Guipavas, était concerné par le système d’espionnage. 

    Un système d’espionnage de salariés, qui concernait notamment le magasin brestois, avait été mis au jour par Le Canard Enchaîné début 2012. Quinze personnes ont été renvoyées en correctionnelle.

    La société Ikea France et plusieurs personnes physiques, dont des anciens dirigeants de l’entreprise, accusés d’avoir mis en place un vaste système d’espionnage de salariés et de clients, ont été renvoyés en correctionnelle, a indiqué ce jeudi le parquet de Versailles, confirmant une information du Monde.

    Outre le géant suédois de l’ameublement, 15 personnes, dont deux anciens dirigeants d’Ikea France, Stefan Vanoverbeke et Jean-Louis Baillot, et plusieurs policiers, sont renvoyés devant le tribunal judiciaire de Versailles pour collecte et divulgation illicites de données personnelles, notamment durant la période 2009-2012.

    Le magasin de Guipavas concerné

    L’affaire éclate début 2012 avec des révélations du Canard Enchaîné. Selon l’hebdomadaire, la direction de l’entreprise aurait mis en place un système structuré de surveillance de certains salariés, notamment ceux à l’activité syndicale jugée embarrassante, ainsi que de clients en litige avec l’entreprise. Une enquête de Mediapart avait ensuite révélé que de nombreux salariés du magasin brestois d’Ikea étaient ciblés par ce système d’espionnage.

     

    L’objectif était de récolter un maximum d’informations sur leurs antécédents judiciaires ou sur l’état de leur compte en banque. Pour ce faire, l’entreprise aurait passé un « contrat » avec des fonctionnaires de police ayant accès au « STIC », vaste fichier policier répertoriant les auteurs et victimes d’infractions, afin qu’ils leur transmettent contre rémunération des données confidentielles.

    Ikea avait annoncé dans la foulée une série de mesures éthiques visant à redorer le blason de l’entreprise et à tirer les leçons de ce scandale. L’entreprise compte 34 magasins et 10 000 salariés en France.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les étudiants en santé ont aussi affronté la crise sanitaire en première ligne.Les étudiants en santé ont aussi affronté la crise sanitaire en première ligne.

    « Dans un communiqué commun, plusieurs associations étudiantes, dont Une Alternative pour l’UBO, à Brest, demandent « que la valeur du travail effectué par les étudiants en santé dans la crise sanitaire soit prise en compte au même titre que celle des personnels ».

    Sur le front de la lutte contre le Covid-19, les étudiants en santé n’ont, eux aussi, pas compté leurs heures ces dernières semaines. Pourtant, ils ne sont, pour l’heure, pas concernés par les primes annoncées par le gouvernement. Souhaitant dénoncer cette situation, plusieurs associations étudiantes, dont Une Alternative pour l’UBO, l’Assos’Actions (Université Bretagne Sud) et l’Union Pirate (Rennes II) ont signé ces derniers jours une tribune pour demander que la situation de ces étudiants soit reconnue.

    « Ces étudiants sont utilisés comme une main-d’œuvre gratuite »

    Dans un communiqué, ces associations rappellent que « parmi celle et ceux que nous applaudissons chaque soir, il y a aussi des étudiants en soins infirmiers, des étudiants en médecine, des internes et des externes qui se sont mobilisés. Les étudiants de première, de deuxième et de troisième année sont payés, respectivement, 0,80 €, 1,08 € ainsi que 1,40 € de l’heure. Quant à eux, les étudiants en médecine sont payés comme d’habitude donc entre 100 et 250 € par mois, et 50 € par garde, en sachant qu’ils font des semaines de plus de 45 heures ».

    Le collectif d’associations étudiantes rajoute que « les étudiants ne sont pas concernés par les primes annoncées par le gouvernement. Pourtant, ils travaillent eux aussi dans des conditions sanitaires inquiétantes, dans des conditions de travail inconfortables, ne comptent pas leurs heures. Ces étudiants sont utilisés comme une main-d’œuvre gratuite. Nous demandons que la valeur du travail effectuée par ces étudiants soit prise en compte au même titre que celle des personnels et que la rémunération de ces derniers soit augmentée »..

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les syndicats appellent à une mobilisation confinée vendredi pour le 1er mai. Les syndicats appellent à une mobilisation confinée vendredi pour le 1er mai.

    Les syndicats ne défileront pas dans les rues de Quimper, vendredi, à l’occasion du 1er mai. Mais ils appellent à une mobilisation confinée pour dire « plus jamais ça » et penser « au jour d’après ».

    Vendredi, les rues de Quimper seront étrangement calmes pour un 1er mai qui s’annonce inédit dans tout le pays. En raison de la pandémie de Covid-19 qui sévit sur la planète, les syndicats ne pourront pas faire leur traditionnel défilé à l’occasion de la journée internationale des travailleurs. « On a eu pas mal de discussions à ce sujet avec les autres syndicats. Même si on est peu touché en Bretagne par le coronavirus, par rapport à d’autres régions, ce ne serait pas compréhensible d’appeler les gens à sortir dans la rue », explique Frédéric Pogent, cosecrétaire de Solidaires 29.

    Un 1er mai aux balcons et sur les réseaux sociaux

    Ainsi, après plusieurs mois de manifestations sociales, l’intersyndicale a décidé, assez logiquement, de ne pas battre le pavé cette année. Mais elle ne compte pas pour autant abandonner la lutte. « On veut montrer que même si on est confiné, on n’est ni bâillonné, ni résigné. On reste mobilisé », ajoute Sandrine Allain, responsable de l’union locale CGT de Quimper.

    Vendredi, toute la journée, « on invite les gens à se mettre à leurs balcons, à leurs fenêtres ou dans leurs jardins avec des banderoles et des pancartes pour montrer que le mouvement social n’est pas mort », note Frédéric Pogent. Un 1er mai confiné qui se fera également sur internet. « Avec le confinement, il fallait réfléchir à une nouvelle forme pour manifester. On a ainsi appelé tous ceux qui veulent à publier des photos d’eux avec des pancartes sur les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #1maicgt ou à nous les envoyer par e-mail pour qu’on puisse, à la fin, faire un diaporama », détaille Sandrine Allain.

    « Même si on ne peut pas manifester, il faut privilégier toutes les initiatives possibles et inonder les réseaux sociaux en signe de protestation contre les politiques menées par ce gouvernement, comme avec son plan de déconfinement totalement improvisé », râle Yves Pasquet, du Snes, évoquant entre autres « la rentrée des enfants à l’école et la reprise du travail des salariés alors qu’on a aucune garantie sur les conditions de sécurité ».

    « Hors de question que tout recommence comme avant »

    De son côté, en attendant le jour J, la CGT publie régulièrement sur Facebook des photos des rassemblements des années précédentes. « Pour ne pas oublier. Pour se rappeler ce que représente ce jour pour les travailleurs. Mais aussi pour espérer et se projeter », raconte Sandrine Allain. « Cette période doit nous donner encore plus de motivations pour nous battre aux côtés des salariés pour protéger leurs droits et leur santé », complète la syndicaliste soulignant l’existence d’une pétition en ligne « pour construire le jour d’après car il ne faut plus jamais ça ».

    « Ça fait 40 ans que les gouvernements mettent à mal notre système social. Regardez, l’hôpital n’a plus assez de moyens ni de protections pour soigner. Et on le paye en vie humaine », déplore Janine Carrasco, de Sud santé sociaux. « On a eu la grippe aviaire, le Sras. Maintenant, c’est le Covid-19. Demain, ce sera quoi ? On va aller de crise en crise avec de plus en plus de morts si on continue de fonctionner avec ce système. Il est hors de question que tout recommence comme avant, comme si de rien n’était », conclut la syndicaliste.

    Benjamin Pontis

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le 1er mai, même confiné.e.s, manifestons avec des pancartes, banderoles ou en envahissant les réseaux sociaux. Commencez vos pancartes par "Le jour d'après, je veux..." et postez sur les réseaux avec le hashtag #1maicgt.

     

    source: https://www.youtube.com/

     

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  • Jacques Arnal.Jacques Arnal.
     
    À 65 ans, il succède à Eliane Le Gall à la tête du syndicat. Avec la crise du coronavirus à gérer.

    Le nouveau secrétaire général du syndicat FO dans le Finistère n’est pas un inconnu. Il se présente lui-même comme « un vieux de la vieille ». Agent public de Pôle Emploi, Jacques Arnal, 65 ans, exerce aussi la fonction de formateur à l’économie au sein du syndicat, à travers toute la France.

    Cet ancien docker succède à Eliane Le Gall, qui ne pouvait plus jongler entre ses délégations syndicales et son emploi. Pour autant, il ne devrait pas assurer la fonction très longtemps. « On va avoir un congrès en décembre pour élire un nouveau secrétaire général. Et je n’ai pas l’intention de me présenter, pour le moment », indique-t-il.

    Il se présente comme intérimaire, avec pour mission de mener à bien la barque FO pendant la crise liée au coronavirus. « On est à cinq ou six à répondre tous les jours au téléphone et on a énormément de boulot », détaille-t-il. Il développe : « Ces temps-ci, on discute beaucoup. La plupart du temps, les malentendus se dissipent. Dans d’autres cas, c’est plus compliqué..». «On fait aussi beaucoup d’accompagnement sur des licenciements individuels, explique-t-il. Heureusement, il n’y a pas encore de licenciements collectifs. »

    Sa mission consistera aussi à poursuivre le développement du syndicat dans le département. « On se porte bien. Là où on est implantés, on est très bien implantés, sourit-il. Par contre, on doit élargir notre présence dans les petites et moyennes entreprises. »

    Mickaël LOUÉDEC

     

     

    Jacques Arnal en bref

    1955. Naissance. Il arrive tôt dans le milieu du syndicalisme. À 20 ans, il exerce un mandat national à l’UNEF.

    1988. Arrivée dans le Finistère. Il prend des responsabilités à FO.

    2020. Nouveau secrétaire départemental de FO

     

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