La grève de contrôleurs aériens peut entraîner des perturbations dans les aéroports bretons. 

La CGT renouvelle son flashmob, ce dimanche, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes

lles veulent faire reculer les inégalités dans le monde du travail. Les militantes de la CGT invitent femmes et hommes à un flashmob, dimanche, à l’occasion de la Journée des droits des femmes.

« En 2018, les femmes gagnaient 25,7 % de moins que les hommes à travail égal ». Le constat avait conduit, l’an passé, le syndicat CGT Fapt à organiser un premier flashmob à 15 h 40, « L’heure après laquelle les femmes travaillent gratuitement », explique Marie Le Berre, membre du bureau de l’union locale CGT.

Faute de réelles avancées sur la question, la CGT renouvelle l’opération. Elle donne rendez-vous ce dimanche à 14 h 30, Journée internationale des droits des femmes, sur le parvis de la médiathèque.

Sensibiliser les familles

Une action symbolique destinée à sensibiliser les familles à la question de l’égalité homme-femme au travail. De plus en plus présentes dans les instances représentatives des salariés, les militantes veulent faire évoluer la situation également synonyme de temps partiels imposés. « Il faut des contraintes pour obliger les entreprises à évoluer », martèle Isabelle Guillou, de la CGT-Fapt. Les syndicalistes veulent également en finir avec les promotions plus nombreuses pour les hommes et l’absence de femmes à la tête des entreprises du Cac 40.

D’autant que la réforme des retraites portée par le gouvernement va peser, selon le syndicat, sur celles qui ont mis leur carrière entre parenthèses pour s’occuper des enfants. « Elles vont être encore plus pénalisées », souligne à son tour Catherine Bernard. Autant de raisons, pour le syndicat, de participer au flashmob organisé ce dimanche.

Pratique: Flashmob dimanche 8 mars à 14 h 30, parvis de la médiathèque, esplanade Julien-Gracq.

source: https://www.letelegramme.fr/

Conditions de travail dégradées, absence de dialogue social : une cinquantaine de militants CFDT des trois Ehpad de Lesneven (Finistère), ont débrayé, ce mardi 3 mars 2020, sur le site du Dorguen.

Conditions de travail dégradées, absence de dialogue social, une cinquantaine de salariés des trois Ehpad ont tenu à dire leur ras bol, ce mardi 3 mars 2020, à Lesneven (Finistère). Si l’initiative du mouvement venait de la CFDT, ceci n’a pas empêché quelques militants CGT de les rejoindre, montrant ainsi leur solidarité.

« Rappel sur les temps de récupération ou de congé, des conditions de travail dégradés, arrêts de travail non remplacés, pression de la hiérarchie » : Karine Corlosquet et Véronique Pennec faisaient toute une liste de réalités vécues tous les jours au sein des trois établissements d’hébergements pour personnes âgées dépendantes.

Tout le personnel est concerné

Le personnel présent venait de la cuisine, de la médecine, de la logistique. Sans oublier quelques familles de résidents qui avaient également tenu à dire toute leur approbation avec ce mouvement. 

Pour faire état de certaines conditions de travail, les deux déléguées CFDT donnaient en exemple : « Des plannings qui peuvent changer dans la journée. D’où une pression constante, avec cette peur de ne pas y arriver. » 

Parlant également « des remplacements, où on nous dit qu’il y aura tirage au sort si on ne choisit pas nous-même des noms de collègues, qui seront donc pénalisés ».

Pas de retour de la direction

Les salariés dénoncent aussi les changements de roulement de travail et la réorganisation mise en place sans concertation avec les équipes. Christelle Kermaïdic, de la CFDT santé sociaux départemental, parle d’inquiétude pour le centre hospitalier de Lesneven : « Cela fait plus d’un an que rien ne bouge. Il va bien falloir qu’un jour, la direction nous écoute. Quand nous sommes, comme aujourd’hui, dehors, avec nos drapeaux. C’est un échec. »

Une partie du problème ? Faire partie du centre hospitalier de Brest. « C’est lui, l’enfant-roi. Nous, on nous prend pour moins que rien. »

Les délégués CFDT nuancent leurs propos. « La direction nous accorde des rendez-vous au niveau local. Mais tout cela sans retour. Puisque la direction générale ne daigne même pas répondre à nos sollicitations, encore moins à nos mails. »

source: https://www.ouest-france.fr/

Ce mardi midi, environ 250 personnes se sont retrouvées à la préfecture de Brest, à l’appel de l’intersyndicale, pour protester contre le projet de réforme des retraites et l’utilisation de l’article 49-3 de la Constitution par le gouvernement. Les représentants syndicaux ont regretté de ne pas être reçus par le sous-préfet. Un autre rendez-vous est donné ce jeudi, 18 h, place de la Liberté. L’accent sera mis sur la situation des femmes dans ce projet de réforme.

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Les manifestants opposés au recours du 49.3 se sont retrouvés ce mardi midi devant la préfecture, prochain rassemblement jeudi, à 18 h.

Déjà rassemblés lundi devant le local de campagne d’Annaig Le Meur, les manifestants se sont à nouveau retrouvés ce mardi, cette fois devant la préfecture, à midi. Moins nombreux que la veille, une soixantaine de personnes ont participé, drapeaux levés aux couleurs de la CGT, de la FNEC-FP, et de Sud Solidaires. « Nous attendons au moins 100 personnes, voir 150 », affirmait un manifestant CGT.
Un autre rassemblement se tiendra jeudi soir, à 18 h, également devant la préfecture, « symbole local du pouvoir de l’État », expliquait un manifestant. Un rassemblement national est prévu le 31 mars. La CGT distribue des cartes de pétitions contre la réforme des retraites, elles seront envoyées aux parlementaires.

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Ce mardi 3 mars 2020, une soixantaine de personnes se sont rassemblées devant la préfecture du Finistère à Quimper pour montrer leur opposition àla réforme des retraites.

« Je savais que ça allait arriver, mais ça me révolte » Ce manifestant retient ses mots pour décrire sa colère depuis l’utilisation de l’article 49, alinéa 3 de la Constitution par le gouvernement pour accélérer le débat parlementaire.

Comme lui, une soixantaine de personnes se sont rassemblées devant la préfecture du Finistère à Quimper (Finistère), ce mardi 3 mars sur le temps du midi. « Le gouvernement déploie le 49-3 en pleine crise du coronavirus », déplore Sandrine Allain, à la tête de l’Union Locale de la CGT.

Le rassemblement de ce mardi était aussi symbolique : c’est en effet aujourd’hui que doivent être présentées les deux motions de censure déposées à l’Assemblée Nationale.

Prochain rassemblement jeudi

« Ce n’est pas facile de mobiliser du jour au lendemain », confie Sandrine Allain pour expliquer la petite mobilisation de ce mardi. À la tribune, l’intersyndicale appelle à une nouvelle manifestation ce jeudi 5 mars. Un premier rassemblement aura lieu à 10 h, place de la Résistance, « pour soutenir les lycéens mobilisés. »

Les opposants à la réforme des retraites prévoient un second rassemblement jeudi soir, à 18 h devant la préfecture.

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Après la décision du gouvernement d’utiliser le 49.3 pour sa loi sur la réforme des retraites, l’intersyndicale appelait à des rassemblements ce mardi.

Après 13 jours à l’Assemblée nationale en première lecture pour cette réforme emblématique visant à créer un système « universel » par points, Edouard Philippe a signé samedi la fin de la partie avec le recours au 49.3. Une décision qui ne passe pas auprès des syndicats. Après des rassemblements spontanés dès samedi, l’intersyndicale (CGT, Force ouvrière, la FSU et Solidaires, les organisations de lycéens Fidl, MNL, UNL et d’étudiants Unef) prévoyait des manifestations devant les préfectures, les sous-préfectures. Les cortèges étaient clairsemés ce mardi en Bretagne

Environ 250 personnes se sont retrouvées à la préfecture de Brest. Les représentants syndicaux ont regretté de ne pas être reçus par le sous-préfet. À Saint-Brieuc, ils étaient également 250 opposants à la réforme des retraites, devant la préfecture des Côtes-d’Armor. Quelques membres de l’intersyndicale départementale se sont succédé sur la place du Général-de-Gaulle pour prendre la parole.

Peu de monde également ce mardi matin pour la manifestation quimpéroise sur les retraites. À peine une soixantaine de personnes se sont rassemblées devant le local de campagne d’Annaig Le Meuront, contre 250 la veille.

À Lannion, après une première action lundi soir qui a réuni une centaine de personnes devant la permanence du député LREM Eric Bothorel, une manifestation est prévue devant la sous-préfecture ce mardi, à 18 h. À Morlaix, c’est également lundi que 150 personnes ont dénoncé le recours au 49-3.

Nouveaux rassemblements le 5 et 31 mars

Enfin, à Rennes, 80 avocats (sur les 900 que compte le barreau) ont défilé dans les rues du centre-ville à l’occasion d’une « marche funèbre », en portant un cercueil et une couronne « A notre justice bien-aimée ». « Si la réforme des retraites passe, les avocats qui font la justice du quotidien, mettront la clé sous la porte », a prévenu Me Hélène Laudic-Baron, bâtonnière de Rennes.

Dans le Morbihan, on dénombrait aucun cortège. En raison du coronavirus, aucun rassemblement n’est autorisé.

De nouveaux rassemblements sont prévus jeudi à 18 h un peu partout en France, et donc en Bretagne, avant une nouvelle journée d’actions le 31 mars.

https://www.letelegramme.fr/bretagne/

Un peu plus de 250 personnes ont participé, ce lundi à partir de 18 h, à un rassemblement, place de la Liberté, pour protester contre le projet de réforme des retraites et l’usage du 49.3, à l’appel de l’intersyndicale et de l’interpro. Un nouveau rendez-vous est proposé ce mardi, à midi, devant la sous-préfecture. Puis jeudi à 18 h, sur la réforme des retraites mais plus spécialement la question des femmes.

source: https://www.letelegramme.fr/