• Enedis, Engie. Le secteur de l’énergie prépare la rentrée sociale (LT 26/06/18)

    Les jours se suivent sous la toile de tente tirée à l’abri d’un camion qui barre le site Enedis (filiale d’EDF chargé de la distribution d’électricité) de l’Eau-Blanche à Quimper. Le mouvement de blocage commencé le 13 juin à l’appel de la CGT se poursuit ce mardi. Alors qu’un répit dans les modes d’action semble se dessiner pour l’été, les employés restent plus que jamais l’arme au pied pour la rentrée. « On parlera en septembre de la privatisation d’Engie, de la réforme d’EDF qui pourrait conserver la seule filière nucléaire sous statut, tout le reste étant filialisé », affirme Arnaud Derit, militant CGT. « Nous sommes en train de passer d’un monopole public au privé avec la privatisation d’EDF et d’Engie. Nous allons vers la convergence avec les collègues de la branche énergie : GRT gaz, RTE (transport d’électricité) pour dire notre colère ».

    Ce mardi, une délégation de grévistes d’Engie qui ont débrayé deux heures, était présente sur le site Enedis. « Nous avons le même but de défense du service public, souligne une employée du Centre de relations clients d’Engie à Quimper. Nous sommes pour la création d’un pôle public de l’énergie. Nous nous posions des questions sur notre avenir avec l’externalisation en cours, mais nous avons eu la réponse de la directrice générale d’Engie qui a dit qu’il n’y avait pas d’avenir pour les plates-formes de relation client en France ».

    Les salariés d’Enedis en grève ont obtenu un recul du gouvernement. La suppression de 2 600 emplois pour 2022 a été ramenée à 1 000. « Ce n’est pas à la hauteur de ce que nous demandons », dit Arnaud Derit. D’autres avancées ont été engrangées au niveau national comme l’embauche des apprentis (un à Quimper). Mais ce n’est pas le cas pour les intérimaires (quatre à Quimper).

    « Nous rencontrons ce mercredi la direction régionale, précise un gréviste. Nous attendons aussi de leur part une reconnaissance professionnelle car les agents ont perdu 24 % de pouvoir d’achat en 20 ans ».

    Source : letelegramme

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  • Les manifestants s’étaient rassemblés devant la gare SNCF.250 personnes se sont rassemblées devant la gare contre la venue d’Emmanuel Macron jeudi matin

    « Rendez-nous notre mégaphone » ont scandé les manifestants vers 9 h 30. Lors d’un contrôle d’identité, un militant du NPA venait de se faire saisir son petit porte-voix. Rassemblement très disparate devant la gare. Il y avait là les cheminots CGT et les électriciens d’Enedis qui bloquent le site de l’Eau-Blanche depuis mercredi, la fédération départementale Force ouvrière et sa secrétaire Nadine Hourmand, la FSU, mais aussi Droit d’asile, la « ZAD vivra » de Notre-Dame-des-Landes et même deux comités « Stop Linky ». Côté politique : la France insoumise, le NPA et Piero Rainero, le conseiller municipal d’opposition qui a refusé de poser pour la photo aux côtés d’Emmanuel Macron.

    Bloqués avant même les quais

    « À 8 h 30, le préfet s’est rendu à la gare », ont indiqué les cheminots CGT, « il nous a demandé de rester sur place, on a pris acte », a poursuivi l’un de leur représentant.

    Consigne bien sûr non tenue. Après 10 h, un cortège s’est formé pour se diriger vers le centre-ville. Il a été rapidement arrêté par les forces de l’ordre prépositionnées avant même les quais et le pont Firmin à la hauteur de la place Jacques-Cartier. Aucun incident n’a été a déploré lors de ce face-à-face finalement bon enfant.

    Sifflets, cornes, pétards dont ceux très puissants des cheminots… Les manifestants ont tenté de faire du bruit lors du meeting présidentiel. Si finalement les électriciens d’Enedis en grève n’ont pas mis leur menace à exécution de couper le son à Emmanuel Macron lors de son discours, les cheminots, ont, eux réussi à se faire entendre jusqu’à la place Saint-Corentin. À 11 h 15, un groupe est entré dans quatre trains à l’arrêt en gare et ont fait retentir les sifflets des motrices durant plusieurs minutes. Peu avant 11 h 30, les manifestants ont brièvement envahi le quai de la gare. Le TGV pour Paris a pu prendre le départ.

    Les quais de la gare ont été brièvement occupés en fin de matinée.

     source: https://www.letelegramme.fr

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  • Les syndicats ont obtenu gain de cause dans la guerre des jours de grèves non payés.Les syndicats ont obtenu gain de cause dans la guerre des jours de grèves non payés.

    La justice a donné raison aux syndicats et condamné ce jeudi la SNCF à payer les jours de repos des salariés grévistes.

    Le tribunal de grande instance de Bobigny a condamné ce jeudi 21 juin la SNCF à payer les jours de repos des grévistes dont elle avait retenu le paiement, a-t-on appris auprès d'avocats des syndicats qui poursuivaient la direction du groupe public. 

    Une « atteinte au droit de grève »

    La SNCF considérait que les différents épisodes de deux jours de grève sur cinq étaient en fait un mouvement unique, ce qui lui permettait de ne pas payer certains jours de repos. 

    Les avocats des syndicats CFDT Cheminots, Unsa ferroviaire et CGT Cheminots avaient contesté devant le tribunal la décision de la direction de la SNCF de considérer comme un seul mouvement les préavis successifs de deux jours de grève, déposés séparément par ces syndicats et pour des motifs différents. Ils dénonçaient notamment une « atteinte au droit de grève »

    Les grévistes soulagés 

    « L'Unsa ferroviaire est très satisfaite de cette décision. Cela montre bien que l'interprétation de l'entreprise visait à perturber le mouvement de grève », a déclaré Roger Dillenseger, secrétaire général de l'Unsa ferroviaire, qui va « demander dès cet après-midi (jeudi) au directeur des ressources humaines d'appliquer le jugement dans les meilleurs délais »

    Les fiches de paie de juin étant déjà bouclées, le syndicat souhaite que la direction régularise les rémunérations sans attendre celles de juillet, a expliqué M. Dillenseger. 

    « Dans l'attente de l'arrêt qui sera rendu en appel, la SNCF appliquera le jugement du tribunal de grande instance et régularisera la situation des agents concernés », a indiqué la direction dans son communiqué. 

    Avec la définition retenue par la direction d'un mouvement unique contre la réforme ferroviaire, un agent en grève quatre jours, par exemple, a vu son salaire diminué d'un jour supplémentaire au titre des repos, soit cinq jours de salaire en moins au total sur sa fiche de paie. 

    La SNCF a fait appel

    Le TGI a également condamné la SNCF à verser 10.000 euros de dommages et intérêts à chacune des organisations syndicales qui poursuivaient le groupe, la CFDT Cheminots, l'Unsa ferroviaire et la CGT Cheminots. Le groupe ferroviaire devra aussi payer 2.000 euros au titre de remboursement de frais à chaque syndicat. 

    La SNCF a « fait appel de cette décision», a-t-elle annoncé dans un communiqué, où elle « prend acte du jugement ».

    Mais cet appel ne sera pas suspensif de l'exécution du jugement, ont indiqué les avocats des syndicats CFDT et Unsa. 

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Oser dire non à ceux qui veulent exploser le service public de l’électricité et du gaz et se lever pour défendre les droits des travailleurs de l’ et ceux des usagers du Services Public à un service de qualité”. C’est ce que font les travailleurs de l’Energie. Dans toutes les entreprises issues du morcellement du Service Public de l’, , ENGIE, (réseau de distribution), GRDF (réseau de distribution de gaz) etc… des centaines de sites de production sont occupés et les travailleurs sont en depuis plus de 8 semaines.

    La commission Luttes du PRCF fait part de son soutien à l’action des électriciens gaziers et appelle l’ensemble des travailleurs à les rejoindre, en solidarité, pour défendre, avec eux, le Service Public. Ce Service Public en passe d’être liquidé par les privatisations et l’ouverture à la concurrence du secteur de l’Energie, décidées et imposées par l’Union Européenne. Le résultat ? Augmentation des tarifs, baisse de la qualité du service, destruction de l’outil de production et donc de l’indépendance énergétique de la France. Et la destruction des droits des travailleurs de l’énergie, la remise en cause du statut et de la convention collectives des IEG ne se traduit que par l’augmentation continue des profits des multinationales qui ont mis la main sur une partie de notre Service Public de l’énergie. Il suffit de regarder GDF. Transformé en Société Anonyme – comme le fait le régime Macron pour la SNCF – cette dernière a ensuite été privatisée et vendue pour une bouchée de pain à SUEZ.  Rebaptisé ENGIE, le groupe réclame et obtient des augmentations de l’abonnement et du tarif du gaz. Une nouvelle augmentation se profile pour 2018 alors que le gouvernement applique les directives européennes et s’apprête à supprimer les tarifs réglementés du gaz et de l’electricité.

    Message de soutien du PRCF au travailleurs des industries Électriques et Gazières.

    Paris. 13 juin 2018

    Chers Camarades,

    Le PRCF et sa commission Luttes vous apportent leur soutien à la lutte de classe que vous avez engagée depuis début avril contre le démantèlement du service public de l’énergie orchestré par l’Union Européenne et mise en musique par Macron et les patrons des entreprises de l’Énergie.

    Nous soutenons vos justes revendications qui vont dans l’intérêt des usagers et de la nation.

    Héritier du Ministre communiste Marcel Paul, père du statut des électriciens et gaziers, les travailleurs et les militants CGT des industries de l’Énergie ont eu raison d’entrer en résistance et d’engager le bras de fer contre la mise en œuvre par MACRON et son gouvernement, sous les ordres de Bruxelles, de la destruction de notre Service Public qui a été construit par les travailleurs notamment avec le CNR (les nationalisations du Gaz et de l’Électricité) ainsi que les conquis des grandes luttes ouvrières de 1936, 1945, 1968.

    Nous souhaitons plein succès à cette lutte et les militantes et militants du Pôle de Renaissance Communiste en France sont et seront toujours aux côtés des travailleurs et syndicalistes qui mènent le combat dans la luttes de classes.

    Pour la commission Luttes du PRCF

    Jo Hernandez – ancien militant CGT EDF production

    Secrétaire de la commission Luttes du PRCF

    150 sites occupés la carte des actions près de chez vous

    https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1fVat-S6mIMj2AgTLkkYmuqubSOpA-vUF&ll=46.97927580322571%2C1.5057319999999663&z=5

    Face à la mobilisation historique et multi-entreprises des électriciens gaziers : la répression judiciaire

    Aux adhérents du PRCF en PACA, à nos sympathisants et à tous nos ami(e)s de lutte, ce communiqué de la CGT des Bouches-du-Rhône : on est en train de tenter de tuer la classe ouvrière, de pulvériser nos services publics et tout esprit de combativité contre l’oppression capitaliste dans notre pays ! Que tous ceux qui le peuvent soient devant le TGI demain !

    La répression d’ENEDIS comme seule réponse aux revendications des Electriciens !

    Du jamais vu : 49 Technicien(e)s marseillais(e)s d’ENEDIS assignés mercredi 20 juin à 8h30 au TGI !

    Après Aix Saint Jérôme, Vitrolles et Salon il y a quelques jours, c’est au tour des Techniciennes et Techniciens du Merlan et de Sainte Marguerite !

    Depuis plusieurs semaines de lutte pacifique pour défendre nos revendications, nous nous entendons dire que de l’argent pour nos revendications, il n’y en aurait pas… Mais pour la répression, la justice et le paiement d’huissiers depuis des semaines sur les sites occupés, là il y en a !

    Les Electriciens regrettent que leur direction, contrairement à celle des Gaziers de GRDF, refuse de négocier sous occupation des sites de travail.

    Fidèle à elle-même, la direction tente de continuer à enfumer le personnel, les usagers et même la justice à travers une liste polémique de camarades assignés et à un rappel osé de nos missions de Service Public : intervenir 24 heures / 24 et 7 jours / 7… ce qui est loin d’être une réalité aujourd’hui !

    C’est d’ailleurs un des principaux axes revendicatifs de notre lutte pour l’intérêt commun.

    A travers ce que nous vivons comme une véritable agression, nous savons que notre direction expérimente un test supplémentaire pour observer notre réaction, tente de nous démoraliser ainsi que nos familles qui se sont vues, pour certaines, remettre par huissier la fameuse lettre ce matin !

    En vain, nous sommes sereins et notre détermination s’est renforcée !

    Nous savons que nous avons raison, comme d’autres, de lutter pour le progrès social pour tous !

    Nous ne sommes pas dupes et nous ne nous laisserons pas berner par la manoeuvre : tenter de détourner notre lutte légitime pour notre Service Public, nos emplois, nos salaires, notre avenir et celui de nos enfants.

    Depuis des années, nos directions profitent de notre attachement viscéral au Service Public de l’Energie pour nous faire réaliser toujours plus d’interventions, dans des conditions de travail et de vie de plus en plus dégradées. Les Marseillais ont dit « stop » en montrant la voie il y a quelques semaines, rejoints depuis par 157 sites + 2 centrales nucléaires en action à ce jour dans tout le pays !!!

    Nous savons que c’est cela que la direction cherche à nous faire payer.

    C’est pourquoi notre Syndicat et l’UD CGT 13 appellent tous les Electriciens, Gaziers et les travailleurs à se rassembler mercredi 20 juin à 8h30 au TGI situé au 6, Rue Joseph Autran, 13006 MARSEILLE.

    Une délégation du PRCF 13 était présente ce matin à Marseille à l’appel de la CGT

     

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  • Réunis en assemblée générale intersyndicale ce mardi, les grévistes Cheminots de Quimper Rosporden et ENEDIS (EDF) ont décidé « d’interpeller le Président de la République lors de son passage à Quimper jeudi ».

    « Un large appel est lancé à l’ensemble des organisations syndicales de la CGT, à l’ensemble des syndicats de salariés du public et du privé ainsi qu’à tous partis politiques et associations progressistes de la région », souligne Sandrine Allain, secrétaire générale du syndicat.

    Le rendez-vous est proposé jeudi devant la gare de Quimper à partir de 8 h pour « dire STOP à la casse des Services Publics et exiger un véritable progrès social ! »

    https://www.letelegramme.fr

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  • La grève a été reconduite jusqu’à la fin de la semaine. De même, les grévistes ont voté pour des coupures ciblées sur le réseau. La grève a été reconduite jusqu’à la fin de la semaine. De même, les grévistes ont voté pour des coupures ciblées sur le réseau.

    En reconduisant, lundi, leur grève jusqu’à la fin de la semaine, les électriciens en grève d’Enedis à Quimper ont aussi voté des coupures ciblées du réseau. En ligne de mire : la venue d’Emmanuel Macron jeudi.

    La venue du président de la République a été l’occasion pour la CGT de relancer l’idée d’une « convergence des luttes ». Lundi matin, les électriciens d’Enedis qui occupent le site de l’Eau Blanche depuis mercredi se sont rendus à l’assemblée générale des cheminots. Ils ont assisté à la reconduction de la grève, vendredi et samedi, pour la 17e période par 31 voix pour, une contre et une abstention.

    Coupures ciblées : pas de détails

    À midi, les cheminots se sont rendus à leur tour à l’assemblée générale des électriciens d’Enedis de Quimper avec la participation d’agents de Carhaix et de Quimperlé. « Macron vient jeudi à Quimper. Il a invité 600 ou 700 élus bretons. On ne pourra pas s’approcher, c’est certain. Est-ce possible de couper l’électricité à l’hôtel de ville ? », a interrogé un cheminot CGT.

    Avec 28 voix pour, l’assemblée générale a voté le principe « d’actions ciblées sur le réseau » c’est-à-dire des coupures de courant. Pas de précisions cependant sur les modalités.

    Couper la SNCF, les radars automatiques routiers, ont aussi fait partie des propositions.

    « On est resté très calme jusqu’à présent, il faut s’attendre à entrer dans le dur »

    Jeudi : journée morte à Enedis et EDF

    Mais la visite présidentielle était dans toutes les têtes. « Jeudi, cela coïncide avec la journée nationale morte à Enedis, EDF, dans toutes les entreprises du groupe, le calendrier tombe en même temps. La casse du service public, c’est le gouvernement », a dit Julien Gillaizeau, délégué CGT d’Enedis. « Il faut qu’on hausse le ton », a-t-il estimé alors que gaziers et électriciens sont en grève contre un plan de suppressions de 2 615 postes en trois ans à Enedis, la suppression de 200 sites de proximité et des budgets en baisse de 3 % par an à Enedis comme à EDF.

    Une mobilisation sans effet pour l’instant. « Cent soixante sites sont bloqués, le rapport de force on l’a. Des rencontres nationales vont se tenir ce mardi. On est resté très calme jusqu’à présent, il faut s’attendre à entrer dans le dur », a-t-il précisé. Seule certitude, « les coupures ciblées ne concerneront pas les usagers ».

    Jacky HAMARD

    source: https://www.letelegramme.fr

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  • Dimanche matin devant une des entrées du centre commercial Géant Casino à Quimper.
    Dimanche matin devant une des entrées du centre commercial Géant Casino à Quimper
     

    Dimanche matin à Quimper, une trentaine de personnes ont manifesté contre l'ouverture dominicale de Géant. L'hypermarché a annoncé qu'il ouvrira désormais le dimanche matin.

    "Je viens parce que je ne peux pas faire autrement ..." Dimanche matin à Quimper, cette femme passe sans s'arrêter devant le petit groupe de manifestants mobilisés, à l'appel de la CGT, devant l'une des entrées de l'hypermarché Géant.

    L'enseigne a annoncé en fin de semaine que le magasin sera désormais ouvert le dimanche de 9 h à 12 h 30 à partir du 17 juin. La galerie commerciale n'est pas concernée par cette décision.

    "Géant peut ouvrir légalement parce que l'alimentaire représente désormais 80 % de sa surface commerciale" commente Laurence Le Gars, déléguée CGT du magasin. Cette décision met à mal le rythme de vie des salariés qui réservent cette journée pour profiter de la vie de famille, faire du sport, se détendre " regrette-t-elle.

    Selon le syndicat, la direction locale ne s'exprimant pas, une dizaine d'étudiants ont été recrutés pour l'occasion. Avec un encadrement titulaire.

    Dimanche matin, un petit flux de clients a été constaté. Suffisamment pour continuer l'ouverture du dimanche matin? " Même si le chiffre d'affaires n'est pas satisfaisant, le groupe Casino a la volonté de multiplier les ouvertures du dimanche matin" croit savoir l'élue CGT.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Résultat de recherche d'images pour "hopital de la cavale blanche brest"

    Jeudi, c'est la huitième mobilisation pour demander des effectifs supplémentaires. Des assignations « abusives » sont aussi dénoncées.

    Assignations « préventives »

    Les syndicats CFGT, Sud et CGT dénoncent des assignations « abusives ». « À l'hôpital, afin de permettre à la direction d'organiser la continuité des soins, les agents doivent se déclarer la veille, avant 11 h, explique Marie-Françoise Patinec, de la CFDT. Ce protocole avait été négocié entre la direction et les syndicats. Mais il ne tenait pas compte des week-ends et des jours fériés. » Hier, un projet de modification pour instaurer un délai plus long a été présenté par la direction au comité technique d'établissement. « En cas de fériés et week-ends, il faudra se déclarer potentiellement jusqu'à quatre jours à l'avance. »

    Dès mai, la direction a commencé à assigner des personnels plusieurs jours à l'avance, invoquant des « assignations préventives ». « Même des personnes non grévistes ! ironise la CFDT. Ça fait chuter artificiellement le taux de grévistes. » « Au début, nous étions une centaine. Nous sommes une vingtaine ! » assure Thomas Bourhis. La CGT a porté le problème devant le juge des référés, mais a été déboutée.

    Première « concertation »

    La direction a retardé son projet de réorganisation et ouvert des négociations. La première des trois réunions de « concertation » a eu lieu jeudi. « Aucune proposition concrète n'a été proposée », indique Thomas Bourhis. « On reste méfiant. Déjà en 2015, des groupes de travail avaient eu lieu mais n'avaient rien donné », souligne Marie-Françoise Patinec. Autres réunions, les 20 et 25 juin.

    Pétition

    La direction a supprimé le poste de nettoyage de l'unité d'hospitalisation de courte durée des urgences pédiatriques. La CGT a lancé une pétition qui a recueilli 600 signatures et a été déposée, hier, auprès de la direction.

    Laurence Guilmo

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Résultat de recherche d'images pour "hopital des Armées de Brest"

     

    Le syndicat Force Ouvrière de l’Hôpital d’instruction des Armées Clermont - Tonnerre (HIACT) vient d’apprendre les fermetures complètes, « provisoires » et programmées des blocs opératoires et de son service de chirurgie ambulatoire au mois d’août 2018.

    « En septembre, seules les urgences au bloc seront assurées, résume la section brestoise. En principe des renforts en personnels sont prévus : la direction a l’espoir d’un retour à la normale en octobre mais, en revanche, si ces nouveaux personnels (sortaient d’école ?), celle-ci ne mise pas sur un retour de l’activité avant novembre ».

    Le syndicat FO de l’HIACT constate aujourd’hui, une fois de plus, « l’impact considérable qu’auront ces décisions de fermeture sur l’activité de l’hôpital ».

    Une mission de service public qui ne sera plus assurée

    « Le syndicat s’inquiète de la reprise d’activité en octobre voire en novembre ? La mission de services publics auprès des usagers finistériens ne sera plus assurée et nous nous inquiétons des conséquences auprès de l’Agence régionale de Santé ».

    Nous n’avons pas réussi à joindre la direction de l’hôpital, ce jeudi soir, à ce sujet.

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • Le rendez-vous était fixé à 10h30, place Jean-Jaurès. Comme le 15mars, pour une nouvelle journée de mobilisation pour les retraites. Syndicats et associations avaient lancé cet appel commun à se mobiliser pour les retraites.

    « Cinq millions de retraités perçoivent entre 800 et 1 200 € par mois pour vivre, dit la motion. 25 % des hommes et 50 % des femmes arrivent à la retraite avec 620 € par mois. Le taux de pauvreté des retraités et veuves ne cesse d'augmenter. Nous sommes quand même 60 % à souffrir de cette insupportable injustice sociale que représente la hausse de 25 % de la CSG. Une hausse qui fait baisser les pensions de plusieurs centaines d'euros par an.

    Depuis 2013, il y a aussi le blocage des retraites et pensions qui perdure, avec la non-revalorisation de celles-ci en 2018. Rappelons que les retraites complémentaires ne bougeront pas pendant trois ans. Le nombre de retraités contraints de travailler pour boucler leur fin de mois augmente [...].

    Un texte déposé en mairie

    Il faudra beaucoup d'ardeur pour lutter conte la remise en cause à venir de la retraite par répartition et du code des pensions de la fonction publique. Allons-nous laisser faire et accepter de travailler jusqu'à 70 ans, comme cela se passe dans certains pays ? La colère gronde et ne peut que s'amplifier devant l'amoncellement des difficultés auxquelles les retraités auront à faire face. »

    Les manifestants ont ensuite pris la direction de la mairie, non loin de là, pour déposer le texte de la motion.
     
     
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