• À l'appel du collectif Front social, ils étaient plusieurs centaines près de l'Assemblée nationale à manifester contre l'utilisation des ordonnances.

    "Make our Code du travail great again" : les anti-Macron sont dans la rue (Lepoint.fr 20/06/2017)

    Lundi soir, plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées non loin de l'Assemblée nationale, à l'appel du collectif Front social, pour protester contre le « plan de destruction sociale massive » prévu, d'après eux, par le nouveau président de la République. « Y en a assez de la loi des patrons, c'est nous qui travaillons, c'est nous qui décidons » ou « C'est pas les salariés, c'est pas les immigrés, c'est Emmanuel Macron qu'il faut virer », scandaient les manifestants sous une chaleur étouffante et au rythme d'une fanfare, place de la Concorde à Paris. « En marche pour nous piétiner, en grève pour les renverser », pouvait-on lire sur une banderole du NPA. Des sympathisants de La France insoumise brandissaient, quant à eux, le slogan « Make our Code du travail great again ».

    Abstention considérable

    Le Front social, composé de syndicats CGT (Goodyear, InfoCom), SUD, d'associations et de collectifs (Droit au logement, Droits devant), estime que « l'abstention considérable » aux législatives de dimanche (près de 57 % au second tour, un record) est telle que le président Macron « n'a en aucun cas les mains libres pour passer par ordonnances son plan de destruction sociale massive ». Il milite pour « une journée de grève nationale interprofessionnelle » afin de combattre « la loi travail XXL », une référence à la loi El Khomri, dite loi travail, vivement contestée au printemps 2016. Pour Eric Beynel, un porte-parole de Solidaires, « cette soirée du 19 (juin) ne suffira pas », mais c'est « un tour de chauffe destiné à essayer de construire un mouvement puissant, large, le plus unitaire possible ». Le collectif, en rupture avec les confédérations syndicales, leur demande d'« arrêter de simuler » avec Emmanuel Macron une concertation qu'il qualifie de « bidon » sur la réforme du Code du travail.

    Des rassemblements étaient également organisés dans une trentaine d'autres villes, dont Toulouse où la police a recensé une centaine de manifestants, mais aussi Nantes (200), Rouen (200). À Lyon, ils étaient plus de 300 à scander « Macron démission ». Derrière la banderole de tête sur laquelle était écrit « Face aux ordonnances, défendons nos conquêtes sociales », le cortège s'est ébranlé vers 18 h 30 dans le centre-ville, certains manifestants portant à bout de bras des pancartes indiquant « Contre la loi travail, la rue répond lutte sociale » ou encore « Autodéfense contre les ordonnances ». À Strasbourg aussi, une centaine de personnes ont manifesté pour appeler à la « résistance ». Un premier rassemblement du Front social avait déjà eu lieu à Paris le 22 avril, à la veille du premier tour de l'élection présidentielle, suivi d'un défilé le 8 mai, au lendemain de la victoire d'Emmanuel Macron.

    source: lepoint.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Reçu à un concours de circonstances, Macron a désormais tous les pouvoirs et va très vite profiter de l’été pour appliquer son plan de destruction sociale promis au Medef et au CAC 40.

    Pour donner un petit avant-goût des luttes de la rentrée, le FRONT SOCIAL appelait à manifester un peu partout en France, ce lundi. « FACE AUX ORDONNANCES, DÉFENDONS LES CONQUÊTES SOCIALES », ou encore « EN MARCHE POUR NOUS PIÉTINER, EN GRÈVE POUR LES RENVERSER ».

    Le FRONT SOCIAL est un collectif de syndicats et d’associations (CGT-Goodyear, Info’Com CGT, SUD, Droit au logement, NPA, CNT, etc.). Prochain rendez-vous dans la rue le 20 septembre…

    source:la-bas.org

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    Ajoutée le 15 juin 2017

    Avec le #frontsocial le 10 juin 2017, Micakel Wamen l'emblématique délégué CGT de l'usine goodyear d'Amiens Nord appelle à la résistance tous ensemble et en même temps. Avec notamment une manif à Paris le 19 juin

    #frontsocial l'appel de Mickael Wamen à la résistance tous ensemble et en même temps  (le 10/06/2017)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Le PRCF et les JRCF répondent à l’appel du #FrontSocial ! Mobilisation le 19 juin ! (IC.fr-

    Le 10 juin une délégation du PRCF et des était présente à à la rencontre nationale du .

    le #FrontSocial lance une grande mobilisation le 19 juin pour des manifestations nationales contre le les ordonnances prévues par Macron durant l’été. Le rassemblement parisien se passera devant l’assemblée Nationale à 18h.

    www.initiative-communiste.fr était présent et vous propose en vidéo les interventions d’Annette pour le PRCF et de Simon pour les JRCF.

    LE PRCF ET LES JRCF REPONDENT A L’APPEL DU FRONT SOCIAL 

    Pour la convergence des luttes contre Macron et ses euro-ordonnances


    La Commission Luttes du PRCF (Pôle de Renaissance Communiste en France) et les Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (JRCF) appellent tous les citoyens, travailleurs et retraités, sans-emplois, militants et sympathisants franchement communistes de France à rejoindre et à amplifier la dynamique populaire et intersyndicale, dont le Front Social est un élément, pour une offensive constructive contre Macron et son gouvernement fantoche, à la botte du MEDEF et de l’Union Européenne.
    La situation d’urgence sociale exige de nous de construire une dynamique unitaire et de coopération de toutes les forces progressistes face à l’euro-casse du Code du travail, de nos institutions sociales et de la Nation, fruits des conquêtes passés et de siècles de luttes. 
    Pour une résistance populaire victorieuse, 
    Pour une rupture définitive avec le capitalisme et son instrument européiste,
    Pour la République sociale et la souveraineté populaire !

    Vidéo l’appel à la résistance contre les euro ordonnances Macron : Simon(JRCF) #frontsocial

    Vidéo #frontsocial l’intervention d’Annette Mateu Casado, syndicaliste, membre du secrétariat national du PRCF

    L’appel du Front Social

    Il y a urgence. Macron président est pressé de finir le travail de Macron ministre 49.3 de la loi Travail. Il veut des député·e·s au service d’une loi d’habilitation dès juillet, qui l’autorise à légiférer par . Elle permet d’éviter tout débat, avec les député·e·s en particulier.

    Pour lui, la démocratie est une perte de temps, la preuve. Son urgence ce n’est pas le chômage, c’est durcir la loi Travail et préparer d’autres destructions sociales. Le #FrontSocial appelle le 19 juin toutes celles et tous ceux qui sont déterminé·e·s à lui résister.

    Après le succès de la 1re du quinquennat Macron à Paris le 8 mai, organisons des rassemblements partout en France pour envoyer un message clair au nouveau pouvoir en place : mouvement social contre la régression sociale !

    source; initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Après la réunion avec la cellule de crise à Bercy, les salariés de GM&S bloquent à nouveau l'usine / © Nicolas ChigotAprès la réunion avec la cellule de crise à Bercy, les salariés de GM&S bloquent à nouveau l'usine

    Le 13 juin 2017

    Les salariés de GM&S Industry bloquent à nouveau le site de La Souterraine

    Après la réunion avec la cellule de crise à Bercy, les salariés ont voté la reprise du blocage de leur usine : ils veulent des réponses aux demandes qu'ils ont formulées pour la sauvegarde de leurs emplois.

    Dans un communiqué intitulé "Renault et PSA sont en train de nous étrangler, l’Etat est dans l’accompagnement", l'intersyndicale de GM&S Industry explique pourquoi et comment elle en est arrivée à ce nouveau blocage de l'usine.

    Les salariés demandent à l'Etat de négocier une augmentation du chiffre d'affaires de Renault et Peugeot, afin d'attirer de nouveaux repreneurs. Ils lui demandent aussi de chercher d'autres repreneurs, car l'offre de GMD ne leur convient pas, en raison du trop petit nombre de salariés repris (la moitié des effectifs actuels). Ils souhaitent également une prolongation de la période d'observation jusqu'au mois de septembre.

    Nouvelle rencontre à Bercy

    Deux autres réunions avec la cellule de crise sont d'ores et déjà prévues. La première en visio conférence mercredi 14 mai à 15h30 à la Préfecture de la Creuse. La suivante deux jours plus tard à Bercy, avec Bruno Le Maire, le Ministre de l'économie

    SOURCE:  http://france3-regions.francetvinfo.fr

    ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

    Compte rendu de la réunion du lundi 12 juin avec la cellule de crise mise en place par l’Elysée.

     

    Renault et PSA sont en train de nous étrangler, l’Etat est dans l’accompagnement

    Lors de notre entrevue à Bellac, le Président de la République Emmanuel MACRON, appuyé par le Président de la Région Nouvelle Aquitaine Alain ROUSSET, nous a affirmé que la diversification était notre avenir. Donc acte, nous sommes là parfaitement d’accord !

    Gros paradoxe ! L’Etat nous expose comme seule solution une reprise à 140 salarié-es par le Groupe GMD qui lui refuse la diversification. Pire ! Mr MARTINEAU, patron de GMD, ne souhaite pas d’augmentation du chiffre d’affaires proposé par Peugeot et Renault. L’emploi n’est pas une priorité dans ce dossier ? C’est absolument déconcertant et contreproductif.

    L’Etat va-t-il bâcler et/ou se débarrasser rapidement de ce dossier ? Le rôle de l’Etat se cantonne t’il à l’accompagnement des chômeurs ? Le saccage de l’Industrie continue !

    137 familles vont rester sur le carreau ! Et l’on nous demande de s’en satisfaire, qu’il n’y a pas d’autre option ? C’est un peu facile.

    Nous nous ne satisfaisons pas de ce que veut nous imposer l’Etat et les constructeurs automobile français. Nos demandes ne sont pas impossibles, il faut juste la volonté de s’en occuper et ce n’est pas ce qui transparait de cette cellule de crise.

    Voici les pistes de travail que nous avons présenté  à l’Etat dans cette réunion :

    • Qu’il continue opiniâtrement à négocier une augmentation du chiffre d’affaires par Renault et Peugeot. Ce qui améliorerait les offres de reprises, en attirant d’autres repreneurs, et à fortiori les emplois.
    • Qu’il prenne contact avec d’autres repreneurs potentiels du secteur ou non, leur présenter notre site avec les évolutions du chiffre d’affaires, qui lui n’a pas été intégré dans la data-room par l’administration judiciaire. (y a-t-il eu volonté d’écarter d’autres repreneurs).
    • Qu’il demande une prolongation de la période d’observation à septembre, financée pas l’activité, les constructeurs et l’Etat. Afin qu’un futur repreneur ne se retrouve pas pénalisée par une reprise en plein congés d’été, avec les surcouts importants que cela représenterait (pas d’activité des clients en fermeture, paiement des salarié-es en congés, organisation de la reprise d’activité du site en sous activité due à cette période, etc…). Et aussi laisser du temps à une reprise pérenne, au regard des récentes évolutions obtenues par Bruno LEMAIRE.
    • Qu’il obtienne une extra légale financée par les responsables de notre naufrage à hauteur du Chiffre d’affaires d’un salarié qui est de 155K€, pour chaque emploi perdu. Avec une moyenne d’âge dans l’entreprise de 50 ans, la probabilité de retrouver un emploi est quasi nulle. Ce serait que justice au regard du préjudice subit et programmé depuis plusieurs années.

    Face à la volonté évidente de l’Etat de bâcler notre dossier soit disant prioritaire pour passer rapidement au suivant en recherchant la facilité ce serait destructeur pour 137 familles.

    Face à la volonté de l’Etat de préférer l’accompagnement vers Pole Emploi plutôt que la recherche de solutions pérennes pour le site et l’emploi.

    Nous voulons que nos demandes soient entendues ! Vous avez été élus, les missions et prérogatives  de l’Etat sont la sauvegarde de l’emploi, de l’Industrie et des territoires.

    Nous avons organisé pour les salarié-es un vote à bulletin secret. La question qui leur a été posée est formulée ainsi : « Etes vous d’accord pour poursuivre les actions dans le but de faire évoluer les offres et pousser les constructeurs à remettre le chiffre d’affaires nécessaire à une reprise pérenne bien supérieure à 140». Ils ont répondu OUI à 85,6%.

    Les salarié-es ont décidé de re-bloquer dans un premier temps le site GM&S de La Souterraine dès aujourd’hui, dans l’attente des réponses aux demandes formulées à la cellule de crise. Pas question d’accepter les décisions dévastatrices qui se profilent.

    source: ftm-cgt.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les salariés de la métallurgie étaient présents devant le siège de l'UIMM. Les salariés de la métallurgie étaient présents devant le siège de l'UIMM.

    Hier, dans le cadre de la négociation d'une convention collective nationale de la branche métallurgie, la CGT a mobilisé ses salariés devant la chambre patronale de l'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie), rue Daguerre, zone de Kergaradec. Le syndicat entend dénoncer « l'orientation libérale et régressive en matière de droits sociaux » que veut prendre le syndicat patronal, selon lui. La CGT est « favorable à l'établissement d'une convention collective nationale des travailleurs de la métallurgie de haut niveau », et a « des propositions à faire pour améliorer le droit des salariés ». Dans le projet de convention, la CGT propose que la prime d'ancienneté soit calculée sur le salaire de base à hauteur de 1 % par année de travail, et aussi qu'une grille unique soit établie, avec un véritable déroulement de carrière.
     
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Dans le secret de la violence sociale : la parole aux travailleurs – documentaire de J Cotta (F2 23/05/2017)

    Diffusé sur France 2, mardi 23 mai le Le secret de la écrit et réalisé par a été salué par ceux qui ont veillé pour le voir – à plus de 23h. Il aurait sans aucun doute mérité une diffusion à une heure de grande écoute. Mais il est vrai que les chaines de la télévision gouvernementale préfère programmé des hagiographie à la gloire de Macron à 21h… Rien d’étonnant dans un système audiovisuel qui donne en permanence la parole aux patrons, banquiers, riches actionnaires et à leurs portes paroles médiatiques, mais qui censure en permanence les travailleurs, cette classe qui constitue pourtant l’essentiel de la nation. Ce documentaire en donnant à entendre les travailleurs pour mieux décortiquer la violence sociale réelle du système capitaliste aurait à l’évidence mis cela en évidence de façon trop cru.

    Le second documentaire de Jacques COTTA, véritable plongée au cœur de la violence sociale nous interpelle sur le paradoxe constitué par cette image d’une chemise arrachée à un DRH qui va faire le tour du monde. Mais les conséquences sur le quotidien de milliers de salariés licenciés, la monstrueuse régression qu’est la criminalisation de l’action syndicale n’auront, elles, pas cet honneur.
    Suite à la désindustrialisation galopante, qui s’accélère encore, des centaines des millions des licenciements se sont produits en France depuis plus de 20 ans. Goodyear, Molex, Caterpillar, Airfrance… montrent le désarroi des ouvriers face à un patronat néolibéral et totalement décomplexé. L’ANI, accord national interprofessionnel, conclu le 11 janvier 2013, encouragé par le Medef, est une arme dans les mains des multinationales. Organisation du travail anxiogène, disqualification…

    Hier Air France, Goodyear, Sony, Molex, Caterpillar, Sodimatex, Continental, etc… Aujourd’hui Whirlpool. Hier Nicolas Sarkozy ou François Hollande devant des ouvriers menacés, prenant des engagements, aujourd’hui Emmanuel Macron ou Marine Le Pen… Désillusion, exaspération, déception, perte de repère, abandon…. Chômage, misère, perte de toute relation sociale…. Manifestations, occupations, séquestrations… Etrange impression que cette confrontation à « la violence sociale », la violence ouvrière d’une part, visible, la violence patronale d’autre part, feutrée, cachée, camouflée…

    Dès lors demeure une question : est-il possible d’aborder sérieusement la violence sociale en se limitant à un de ses aspects – la violence ouvrière visible – et en ignorant l’autre -la violence patronale – souvent présentée comme simple fatalité ?

    En 2011, François Hollande en campagne électorale se rendait devant l’usine Goodyear d’Amiens avant sa fermeture et prenait des engagements rassurants, mais non suivis d’effet. A Goodyear comme en bien d’autres usines, la colère des salariés déçus qui voulaient préserver leur emploi a alors laissé place à des manifestations déterminées. On parle alors de « violences ».

    Pour y voir clair, Jacques Cotta a tenté une plongée dans le monde du travail, rencontré des centaines de salariés, d’ouvriers. Ceux qui hier ont été confrontés à des occupations d’usines, à des séquestrations de patrons, à Sony, Molex, Caterpillar, Sodimatex, Continental…Son périple s’est achevé en juin 2016, voilà presque une année.

    Mais il aurait pu se poursuivre, ajoute le réalisateur :

    Whirlpool, usine à la porte de laquelle se précipitent en campagne électorale Marine Le Pen et Emmanuel Macron ne dénoterait pas. J’ai sollicité les grands patrons de ces entreprises… J’ai cherché à rencontrer Pierre Gattaz… J’ai recueilli documents et déclarations qui tant bien que mal m’ont permis de donner la parole sans exclusive aux uns et aux autres pour tenter de comprendre la réalité des faits relatés par ceux qui les ont accomplis, par ceux qui les ont subis. Séquestrations hier jusque dans les coins les plus reculés des provinces françaises, chemise arrachée aujourd’hui, je me suis rendu à Air France, ai rencontré les principaux protagonistes qui se trouvent à l’origine de la grande manifestation pour protester contre les mesures de leur direction au CCE, ai tout fait pour donner la parole à Alexandre de Juniac, alors PDG de la compagnie. Je me suis rendu à Goodyear, ai côtoyé ceux qui hier étaient à la tête des mouvements de résistance contre les 1200 licenciements et qui ont participé à la retenue de leur patron….

    Qui passe à l’acte ? Des voyous ou des salariés qui avant de franchir le pas étaient insoupçonnables ?

    Comment, alors que durant des années on a été un salarié discipliné, peut-on être amené à de telles extrémités ? Quelles explications à de telles explosions ?

    Comment des salariés sont-ils amenés à franchir le pas ? Quel est le regard de chefs d’entreprises et de DRH sur cette détérioration des rapports qui les mettent en première ligne ?

    Comment expliquent-ils cette exacerbation des tensions : pressurisation des personnels ? Pression sur les entreprises ? Effondrement des valeurs de respect mutuel ?

    Comment les organes de dialogue et d’organisation peuvent-ils ou pas tenir leur place ? Les syndicats par exemple : jouent-ils un rôle ou sont-ils totalement dépassés dans ce type de réactions ?…

    Et quel regard de la part des salariés sur les politiques qui les condamnent sans autre considération ?

    Voilà quelques questions que j’ai abordées au cours de mes nombreuses rencontres et auxquelles mes interlocuteurs ont accepté de répondre dans détour, sans « langue de bois » …”

    Le Film : Dans le secret de la violence sociale

    source: initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique