• source: https://www.youtube.com

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  • Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    Syndicats, associations et collectifs ont défilé vendredi à Paris pour manifester contre la venue de Donald Trump ainsi que la future réforme du Code du travail.

    "Contre Trump, Macron et sa guerre sociale" : c'est sur ce slogan que 1.100 personnes, selon la préfecture de police, ont défilé vendredi à Paris, de la place de Clichy en direction de la Porte de la Chapelle où elles comptaient rejoindre les migrants. En ce 14 juillet, le "Front social", composé de syndicats CGT (Goodyear, InfoCom), SUD, d'associations et de collectifs (Droit au logement, Droits devant) souhaitait dénoncer la réforme du Code du travail, "la guerre", la présence de Donald Trump au défilé ou encore "l'état d'urgence permanent".

    Contre les ordonnances et Donald Trump. Philippe Poutou, candidat du NPA à la dernière élection présidentielle, a admis que "ce ne serait pas la grosse manif" qui va marquer l'été mais il a jugé "important d'être là" et "de construire une riposte" contre les ordonnances à venir sur le Code du travail. Le défilé a démarré dans une ambiance bon enfant avec fanfare et slogans variés.

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    Une vingtaine d'Américains anti-Trump étaient réunis derrière une banderole "Paris against Trump". Nancy Sadovsky, Américaine retraitée vivant à Paris, est venue manifester "de tout son cœur contre Trump" à qui elle reproche ses positions sur la santé et le climat. "Je ne comprends pas pourquoi Emmanuel Macron l'a invité. Trump n'aime pas du tout la France", a-t-elle dit. Des opposants au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, attendu dimanche à Paris, étaient également présents.

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    "Une politique bien pire que Sarkozy et Hollande". Jean Marc, éducateur spécialisé à la retraite, membre de SUD santé, a exprimé la crainte d'"une forme de régression sociale", avec "une loi Travail XXL". "Sous ses sourires de playboy, Macron nous prépare une politique bien pire que celles de Sarkozy et de Hollande", selon lui.  

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    En cours de cortège, plusieurs dizaines de personnes, en noir et cachées sous des capuches, foulards et lunettes pour certains se sont placés devant la banderole de tête. "État d'urgence, État policier, on ne nous empêchera pas de manifester", scandaient-ils, face à un cordon de gendarmes boulevard de la Chapelle. La manifestation s'est achevée dans le calme. Depuis la présidentielle, le collectif Front social a déjà appelé à plusieurs rassemblements contre les projets de réformes sociales d'Emmanuel Macron.

    source: http://www.europe1.fr

     

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  • Manifestation à Paris contre la visite de Trump et « la guerre sociale de Macron » (lemonde.fr 14/07/2017

    Plusieurs centaines de personnes – 1 100 selon la préfecture de Police – ont manifesté, vendredi 14 juillet, entre la place de Clichy et la station de métro Barbès à Paris contre Emmanuel Macron et la visite de Donald Trump en France à l’occasion du 14-Juillet.
     
    La manifestation était organisée par le Front social, composé de syndicats, comme CGT et SUD, d’associations et de collectifs, dont Droit au logement et Droits devant, et de partis, comme La France insoumise, le Front de gauche ou encore le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).

    Lire aussi :   Avant la réforme du code du travail, le « Front social » prend date devant l’Assemblée nationale

    « On n’en veut pas de cette société-là ! »

    Si les banderoles associaient Donald Trump et le président français, le vrai sujet de contestation reste, pour les organisateurs, la « guerre sociale de Macron », dont ils craignent que les ordonnances permettent de détruire le code du travail.

    On retrouvait les slogans des manifestations du printemps 2016 contre la loi travail et l’état d’urgence : « On n’en veut pas de cette société-là ! », « Ils pillent les ressources et ferment les frontières, capitalistes, impérialistes, colonialistes… », agrémentés de « Ahou, ahou, anticapitaliste ! » et autres « Tout le monde déteste la police ! » « Contre Trump, Macron et sa guerre sociale », pouvait-on entendre également.

    Manifestation à Paris contre la visite de Trump et « la guerre sociale de Macron » (lemonde.fr 14/07/2017

    Depuis la présidentielle, le collectif Front social a déjà appelé à plusieurs rassemblements contre les projets de réformes sociales d’Emmanuel Macron. Philippe Poutou, candidat du NPA à la dernière élection présidentielle, a admis que « ce ne serait pas la grosse manif qui va marquer l’été », mais il a jugé « important d’être là » et « de construire une riposte » contre les ordonnances à venir sur le code du travail.

    En cours de cortège, plusieurs dizaines de personnes, en noir et cachées sous des capuches, foulards et lunettes pour certains se sont placées devant la banderole de tête. « Etat d’urgence, Etat policier, on ne nous empêchera pas de manifester », scandaient-ils, face à un cordon de gendarmes boulevard de la Chapelle. Des opposants au premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou, attendu dimanche à Paris, étaient également présents.

    Avant de se quitter, vers 16 h 30, les orateurs ont égrené les rendez-vous sociaux à venir, avec notamment une manifestation le 30 août à l’université d’été du Medef, puis le 12 septembre lors de la journée « contre la réforme du code du travail » organisée par la CGT.

     


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  • Brest-Social. Rassemblement du Front social finistérien place de la Liberté, ce matin (Le Télégramme 14/07/2017)Le Front social finistérien appelle à un rassemblement unitaire, aujourd'hui à 10 h, Place de la Liberté, à Brest, « contre les guerres, les euro-ordonnances et l'état d'urgence permanent ». Un appel relayé, notamment, par les communistes de l'ARC29-PRCF (Association pour la renaissance communiste en Finistère/Pôle de renaissance communiste en France), qui dénonce la présence du président américain Donald Trump en France, depuis hier.

     

    source: http://www.letelegramme.fr

     

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  • Contre l’austérité, la banalisation de l’état d’urgence, la casse du code du travail… Le Front Social appelle au rassemblement ce soir à 18h devant la permanence du député MoDem Bruno Joncour, place de la Grille à Saint-Brieuc. Demain, manif aussi du Front Social à 10h place de la Liberté à Brest.

    Alexandra BRUNOIS

    source: http://www.hitwest.com

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  • Suicide à La Poste. Le dossier pénal relancé ?  (LT.fr-12/07/2017)

    Au lendemain de la décision de la cour administrative d'appel considérant que le suicide d'un cadre de La Poste, en mars 2012 à Trégunc (29), était un accident du travail, Me Vincent Omez, l'avocat de la veuve du cadre, a écrit, ce mardi, au juge d'instruction en charge de l'information judiciaire ouverte après une seconde plainte (la première avait été classée) déposée pour harcèlement moral. Il demande au magistrat de poursuivre l'information.

    Une demande qui fait suite aux réquisitions de non-lieu, prises, en fin d'année dernière, par le procureur de la République de Quimper et qui n'avaient jusque-là pas été suivies de décision du juge d'instruction.

    Pour l'avocat, la décision du juge administratif est désormais un élément essentiel démontrant le lien entre les conditions de travail et le suicide. « Si une ordonnance de non-lieu est rendue, je ferai appel », précisait, hier, l'avocat.

    source: letelegramme.fr
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  • Invité de franceinfo lundi, le leader de la CGT, Philippe Martinez, ne croit pas à la concertation initiée par le gouvernement sur la réforme du Code du travail. Il déplore le comportement d'Emmanuel Macron qui agit "seul" sans "écouter"

    Le leader de la CGT, Philippe Martinez, ne croit pas à la concertation initiée par le gouvernement sur la réforme du Code du travail. "Nous sommes très inquiets, que, d'un côté, on nous occupe avec des réunions et que, de l'autre côté, on écrive des ordonnances avec des choses très dangereuses", a déclaré Philippe Martinez lundi 3 juillet, sur franceinfo.

    Loi Travail: "nous sommes inquiets, on nous occupe par des réunions" Philippe Martinez (CGT)

    Macron n'est "pas assez à l'écoute" 

    Pour Philippe Martinez, Emmanuel Macron est omniprésent et veut donner l'impression qu'il écoute beaucoup, mais il agit tout seul, sans écouter beaucoup, en tout cas "en ce qui nous concerne sur le projet de loi qui nous intéresse durant cet été : la réforme du Code du travail."

    "Il a retenu les leçons de l'année dernière, sauf que la concertation ce n'est pas seulement se voir et écouter. C'est aussi prendre en compte", a poursuivi le secrétaire général de la CGT. Si Philippe Martinez reconnaît qu'il y a des réunions, "six pour chaque organisation syndicale", il regrette que le gouvernement vienne de "décider d'une loi d'habilitation qui fixe les contours de la loi Travail"

    Le secrétaire général de la CGT est persuadé que les syndicats n'auront pas de marges de manœuvre sur les ordonnances. "On va découvrir les ordonnances après le mois d'août, les vacances et une fois que les ordonnances seront publiées, on n'a plus la main. Donc, on ne veut pas découvrir des choses qui sont sur la table dont tout le monde parle à la fin du mois d'août et ne pas pouvoir influer dessus."

    Le projet de loi veut donner au gouvernement la possibilité d'encadrer davantage les indemnités prud'homales en fixant un référentiel obligatoire, établi notamment en fonction de l'ancienneté. Un projet dont ne veulent pas entendre parler les syndicats. "C'est non. Chaque cas est différent dans un jugement de prud'hommes. Il faut tenir compte des situations familiales, de l'ancienneté des salariés, de la taille de l'entreprise, de la gravité du motif de licenciement. Il faut laisser les juges apprécier la nature, a insisté Philippe Martinez. Là, on favorise le fait que des employeurs, notamment les plus gros, puissent mettre de l'argent de côté et licencier quand ils ont décidé pour un oui ou pour un non."

    "Il vaut mieux se mobiliser rapidement"

    Emmanuel Macron a déclaré qu'il valait mieux avoir des petits boulots que pas de boulot du tout. "On généralise la précarité. Qui peut construire sa vie avec des petits boulots ? On ne peut pas emprunter quand on est précaire, on ne peut pas construire sa vie. Il faut un CDI avec des salaires équivalents aux qualifications et ne pas changer la nature du contrat de travail."

    Le 12 septembre, la CGT organise une journée de mobilisation "pour alerter le gouvernement. Attention, on ne veut pas servir de potiche." Le syndicat veut aussi alerter les salariés sur ce qui peut leur arriver. "Donc, il vaut mieux se mobiliser rapidement", a-t-il dit.

    "Quand il n'y a pas de négociation il faut se faire entendre" Philippe Martinez (CGT)

     Emmanuel Macron s'exprime lundi 3 juillet devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, pour fixer les "priorités" de son quinquennat à la veille de la déclaration de politique générale du Premier ministre. "Deux discours en deux jours, ça fait beaucoup", a réagi Philippe Martinez. "On a le droit, peut-être, à la séance de rattrapage demain. On a besoin d'un gouvernement qui nous dise ce qu'il va faire et c'est ce qu'on attend, notamment sur la loi Travail."

    source: francetvinfo.fr

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  • La CGT de l'usine GM&S de la Souterraine, dans la Creuse, menace d'organiser des actions de blocage pendant l'été pour protester contre une éventuelle fermeture du site.

    Une manifestation des salariés de GM&S devant le ministère de l'Économie, à Paris, le 16 juin 2017.

    Toujours dans le flou sur l'avenir de l'usine GM&S de la Souterraine, dans la Creuse, la CGT menace d'organiser des actions de blocage pendant l'été et de perturber des événements médiatiques "comme le Tour de France ou le 14 Juillet à Paris". Le tribunal de commerce de Poitiers a décidé vendredi 23 juin de remettre sa décision, sur une éventuelle liquidation du site, à vendredi prochain.

    Des actions qui "risquent de déplaire"

    "Ce n'est pas trop la joie. On en a plein le cul, comme à chaque fois qu'on sort du tribunal", a réagi sur franceinfo, Yann Augras, délégué CGT.

    Ces actions "risquent de déplaire à beaucoup de gens mais ce n'est pas grave. Quand on risque de perdre son emploi à 45 ou 50 balais et que derrière tu sais que tu n'as plus rien, que les actions soient fortes ou pas fortes, tu n'en as plus rien à foutre", a martelé le délégué CGT de GM&S.

    En attendant, les négociations vont se poursuivre pour éviter une fermeture définitive du site de La Souterraine et le licenciement de ses 277 salariés.

    source: francetvinfo.fr

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  • Déclaration de la Commission Exécutive de la CGT

    Réforme du droit du travail : le double jeu du gouvernement

    Réforme du droit du travail : le double jeu du gouvernement-Une déclaration de la Comission Exécutive de la CGT (cgt.fr-27/06/2017)

    Le gouvernement a engagé des rencontres avec les organisations syndicales et patronales sur la réforme du droit du travail. Chaque organisation est reçue individuellement, en tout et pour tout six fois une heure, pour 120 ans d’histoire sociale ! La CGT a décidé de participer à ces réunions avec un double objectif :
    -  avoir une législation du travail renforçant les droits de l’ensemble du monde du travail (salariés et non-salariés) ;
    -  dénoncer l’idée selon laquelle les droits collectifs seraient responsables du chômage.

    Sur la base d’un document de 15 pages, la CGT a mis sur la table des propositions allant dans ce sens. Personne ne peut donc évoquer la désertion et le refus de discuter de la CGT dans ce processus.
     

    Où en est-on à ce jour ?
    D’un côté, les syndicats sont reçus sans que le ministère ne dévoile précisément ses intentions. De l’autre, il faut lire la presse pour découvrir les principales mesures du futur projet de loi.
     

    On y apprend, par exemple, qu’un CDI de « projet », dans la droite ligne du CPE (Contrat Première Embauche) rejeté par la rue en 2006, serait créé pour allonger dans le temps la précarité et pour supprimer toutes contraintes financières pour les employeurs. Ce n’est ni plus ni moins qu’une vieille revendication du Medef.
     

    On y apprend également qu’il serait laissé la possibilité de licencier des salariés qui refuseraient d’adapter leur contrat de travail à un accord d’entreprise, même minoritaire. Dès lors, un salarié refusant une baisse de son salaire prévu dans un accord serait licencié sans possibilité de recours.
     

    Et la liste est longue…
    Alors que 70% de l’opinion publique et une majorité de syndicats ont rejeté la loi dite El Khomri, ce gouvernement veut écrire une loi pire que la précédente !
     

    La CGT refuse de servir d’alibi ou de faire-valoir dans le cadre d’un dialogue social pipé d’avance.
     

    Nous refusons d’ores et déjà d’entendre dire fin septembre que les ordonnances, présentées par le gouvernement, auraient été co-élaborées avec les syndicats. C’est pourquoi notre organisation a lancé une campagne d’information, de débat mais aussi de mobilisation dans les services, les entreprises et les territoires, dans le public comme dans le privé. Ces initiatives se prolongeront tout l’été car il n’est pas question d’accepter ce marché de dupes.
     

    La CGT considère que la mobilisation doit s’amplifier, s’ancrer sur tous les lieux de travail, dans un cadre unitaire le plus large possible. La rentrée de septembre doit être la traduction des résistances, du mécontentement et d’une volonté de changement en matière économique et sociale.
     

    C’est pourquoi elle propose de faire du 12 septembre, une journée d’action et de grève dans toutes les entreprises et services.

    Montreuil, le 27 juin 2017

    source: cgt.fr

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