• #grève12septembre : Forte mobilisation dans les grèves et manifs contre les #ordonnances #loitravail #direct (IC.fr-12/09/2017)

    En direct des manifs contres les . Forte mobilisation dans toute la France contre les ordonnances Gattaz Macron Merkel : tous les échos qui remontent à la rédaction d’Initiative Communistes confirment de grosses manifestations. , , Toulouse, Montpellier, Paris… la colère est forte et la détermination est là, les travailleurs refusant de céder aux manipulations grossières d’un Mailly plus que jamais isolé. C’est par dizaines et dizaines de milliers dans la grève et la que les français répondent aux insultes de Macron contre les travailleurs, en rejoignant les cortèges syndicaux de la CGT, auxquels SUD et la FSU avaient appelé à ce joindre de même que l’UNEF ou encore la plupart des fédérations FO. Des délégations de la CFE CGC et même de la CFDT étaient également signalées dans de nombreuses villes.

    Des milliers de grèves dans tous les secteurs ont été déclenchées partout en France, les manifestations n’étant que la partie émergée d’une forte mobilisation, tous ensemble et en même temps pour les droits des travailleurs; Avec de fortes perturbations dans les transports, la solidarité du secteur public également en grève.

    Sur le plan politique, bien évidemment les manifestants auront pu constater la présence de délégation du PRCF, appelant à la convergence des luttes et à la résistance contre la guerre sociale impulsée par l’UE et le MEDEF contre les travailleurs.

    La mobilisation continue d’ores et déjà, samedi à la fête de l’Humanité, le jeudi 21 et le samedi 23

    Suivez le direct des manifestations avec la rédaction de www.initiative-communiste.Fr

    #grève12septembre : Forte mobilisation dans les grèves et manifs contre les #ordonnances #loitravail #direct (IC.fr-12/09/2017)

    12 septembre 2017 : En direct des manifs contres les ordonnances.

    • Paris : 60 000 manifestants
    • Marseille : 60 000 manifestants
    • Toulouse : 15 0000 manifestants
    • Nantes : 14 000 manifestants
    • Le Havre : 10 000manifestants
    • Bordeaux : 15 000 manifestants
    • Rennes : 10 000 manifestants
    • Lille : 10 000 manifestants grosse manifestation malgré des accès à la ville totalement bloqués par les forains
    • Montpellier : 9 000 manifestants
    • Avignon : 6 000 manifestants
    • Nancy : 5 000 manifestants
    • Lorient : 4 000 manifestants
    • Nîmes : 4 000 manifestants
    • Clermont-Ferrand : 4 000 manifestants
    • Toulon : 3 000 manifestants
    • Strasbourg : 3 000 manifestants
    • Poitiers : 4 000 manifestants
    • Niort : 2 000 manifestants
    • Chambéry 1600 et Annecy 800
    • Valence : 2500 manifestants

    A Marseille :

    Grosse manifestation à Marseille avec un défilé ininterrompu et compact du Vieux Port à la Castellane. Des dizaines de milliers de manifestants. La manifestation s’est écoulée durant plus de deux heures à l’entrée du cours Lieutaud. En considérant une largeur de 10,5m et le débit habituel d’une foule  peu àmoyennement dense marchant au pas (50 pers/m et par minute selon les chiffres fournis par les spécialistes de la gestion de foule), c’est 10,5 *120 * 50 = 63 000 personnes qui ont défilé à Marseille. Bien loin des seulement 7 000 manifestants comptés par la police.

    Le PRCF marseillais était présent dans la manifestation, avec tract et sono, ainsi qu’une délégation du front syndical de classe

     

     

    A noter également la mobilisation du PRCF 84 à Avignon dans une manifestation également fournie et dynamique

    A Paris :

    C’est une importante délégation du PRCF qui est mobilisée dans un solide cortège parisien. Et celà après une préparation du terrain par les camarades des jeunesses communistes.

    Mobilisation des lycéens :

    La foule des grosses manifestations à Paris, la place de la Bastille pleine à craquer au départ :

     

    Contre les travailleurs en colères, après avoir refusé de discuter au parlement, le gouvernement continue le coup de force à coup de canon à eau:

    Forte mobilisation du PRCF 06 à Nice :

     

    En direct des manifestations partout en France :

    A Lyon, scandaleuse répression policière, la CGT attaquée. Face aux violences policières, les manifestants ont refusé d’avancer pendant plus de deux heures. On ne doute pas que le président de la république rendra compte comme il se doit des violences exercées contre des manifestants pacifiques par sa police en armes, lui qui se permet de donner des leçons de droits de l’homme au Venezuela de Maduro.

     


    A Montpellier :

     

    Grosse mobilisation à Toulouse :

     

    Le Havre, toujours en pointe de la mobilisation populaire :

     

    A Caen

     

    A Nantes :

     

    A Saint Denis (La Réunion)

     

    A Saint Nazaire :

     

    au Mans :

     

    A Strasbourg :

     

    A Aurillac :

     

    A Limoges :

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  • Quimperlé

    Code du travail. Plus de 500 manifestants (LT.fr)

    source: http://www.letelegramme.fr

    Quimperlé. Réforme du Code du travail : 500 personnes dans la rue (OF.fr)

    L’appel a été entendu. Ce mardi matin, entre 500 et 600 personnes sont descendues dans la rue à Quimperlé. Pour dire non à la réforme du Code du travail.

    À l’appel de la CGT et de FO, un peu plus de 500 personnes se sont retrouvées, ce mardi matin, devant le stade Jean-Charter, à Kerbertrand. Pour dénoncer la réforme du Code du travail, par le gouvernement Macron.

    Les discours ont eu lieu sur le rond-point de Kervidanou Les discours ont eu lieu sur le rond-point de Kervidanou

    Le cortège a aussitôt pris la direction du rond-point Kervidanou. Rond-point où ont eu lieu des prises de paroles et les discours.

    Durant ce rassemblement, la bretelle de la quatre voies, dans le sens Brest-Lorient a été totalement fermée. Une déviation a donc été mise en place, vers l’échangeur de Kergostiou, quelques kilomètres plus loin.

    Aux environs de midi, la bretelle a été, à nouveau, rouverte à la circulation. Ensuite, le cortège est revenu vers le stade Jean-Charter.

    source: http://www.ouest-france.fr

     

    Quimper

    Code du travail. Près de 2.500 manifestants : les syndicats satisfaits (LT.fr)

    Compte-rendu des manifestations du 12/09 contre les Ordonnances -Lois travail XXXL en Finistère selon la PQR

    source: http://www.letelegramme.fr

     

    Code du travail. Près de 2 500 manifestants à Quimper (OF.fr)

    Le cortège boulevard Dupleix, à Quimper.Le cortège boulevard Dupleix, à Quimper. | Yves-Marie Quemener

    Plusieurs syndicats et partis politiques ont appelé à la mobilisation, ce mardi 12 septembre, contre la réforme du Code du travail.

    La section locale du Parti communiste français, France Insoumise ou encore la CGT ont lancé un appel à la mobilisation, ce mardi 12 septembre à Quimper (Finistère). Les manifestants se sont rassemblés à partir de 10 h 30, place de la Résistance.

    Des manifestations sont prévues dans la France entière contre la réforme du Code du travail d’Emmanuel Macron.

    11 h 45. Le cortège défile dans la ville.

    11 h 20. Souffles de mécontentement…

    Costard.
     
    Message. 

    11 h 17. Perrine fait remarquer que les militants membres des CHSCT sont des gens très formés, capables de s’occuper de questions pointues. "Ces dernières années, nous avons vu le délitement de ces instances. La politique de prévention, par exemple, est de plus en plus pauvre."

    11 h 15. Beaucoup de drapeaux.

    11 h 10. Dans la foule : "J’ai bossé de mon mieux durant 46 ans, j’ai du mal à me faire traiter de fainéant", dit Patrick, retraité.

    11 h 05. Ces deux-là sont contre les ordonnances, la fin du CHSCT, le plafonnement des indemnités de prud’homales.

    11 h. La place de la Résistance se remplit.

    source: http://www.ouest-france.fr

    Carhaix 

    Code du travail. Près de 500 manifestants (LT.fr)

    Pari réussi à Carhaix pour l'Union locale, qui a rassemblé des centaines de personnes ce mardi, vers 10 h 30.

    Plus de 500 manifestants selon les organisateurs, 400 selon les renseignements généraux, plus de 200 selon la gendarmerie. Une chose est sûre, la manifestation à l'appel de la CGT, contre les ordonnances d'Emmanuel Macron a fédéré, à Carhaix.

    Le cortège est parti un peu avant 11 h de la maison des Syndicats, pour rejoindre la mairie puis l'église de Carhaix, au rythme des slogans. "Les ordonnances concernant la loi travail vont d'avantage précariser les salariés, d'avantage donner de droit aux employeurs et mettre à mal aussi les syndicats dans les entreprises", explique Lionel Le Madec, secrétaire adjoint de l'Union locale de Rostrenen.

    De nombreux lycéens

    De nombreux lycéens de l'école diwan, notamment, sont venus grossir les rangs. "La nouvelle loi travail, dans la continuité de la loi El Khomri, nous donne les moyens de reprendre la lutte contre la précarisation du travail", revendique l'un d'eux, âgé de 17 ans.

    Les centaines de manifestants se sont dispersés devant la maison des syndicats, vers 11 h 45. Le temps pour l'Union locale de rappeler la prochaine manifestation, le 21 septembre.

    source:http://www.letelegramme.fr/

     

    Carhaix. Plus de 400 participants à la manifestation (OF.fr)

    Plus de 400 personnes ont manifesté dans les rues de Carhaix, ce mardi 12 septembre.Plus de 400 personnes ont manifesté dans les rues de Carhaix, ce mardi 12 septembre.  

    Plus de 400 personnes ont manifesté dans les rues de Carhaix, ce mardi 12 septembre. À l’appel de la CGT, de plusieurs mouvements politiques et de collectifs, un rassemblement était prévu à 10 h 30, un défilé du cortège a suivi.

    « Nous avions prévu cette date depuis longtemps. Nous manifestons contre les ordonnances de la loi Travail. Parmi les personnes présentes, beaucoup défilent aussi pour protester contre la suppression des contrats aidés, contre la baisse des APL… », indique en préambule Lionel Le Madec, de la CGT.

    Lors de son allocution, il dénonce « le permis de licencier à tout va, le dumping social, la précarité à tous les étages, des reculs importants en matière de santé, le retour au face-à-face entre employeur et salarié isolé… »

    Revendications

    Dans le cortège flottent des drapeaux de la CGT bien sûr, mais aussi du NPA, de la France Insoumise, de Sud Solidaires… Une trentaine de lycéens de Diwan ont également pris part à la manifestation : « Ça nous concerne aussi. Demain, les travailleurs, ce sera nous », lance une jeune fille.

    « On nous avait annoncé un gouvernement ni de droite, ni de gauche. On a en fait un gouvernement ni de gauche, ni de gauche. Aujourd’hui, les premiers coups portés le sont sur les plus démunis », lance Matthieu Guillemot, du NPA.

    Dans le cortège, plusieurs représentants de Diwan manifestent également. « À Carhaix nous sommes protégés car le personnel est communal. Cela pourrait d’ailleurs être un modèle. Nous sommes solidaires des autres écoles. Même si les contrats aidés y sont conservés, la solution n’est que très temporaire », commente Anne-Lise Deléon, directrice de l’école Diwan. Les membres du réseau réclament également le versement du forfait scolaire pour tous les élèves.

    Contrats aidés

    Parmi les manifestants, plusieurs représentants d’association qui font entendre leur voix contre la suppression des contrats aidés, qui mettent en péril leur fonctionnement.

    Le cortège, composé de 400 à 500 manifestants selon les autorités et les organisateurs, a ensuite contourné le champ de foire, remonter la Grande rue jusqu’à la place de la mairie. Des interrogations sur le parcours ont eu lieu en bas de la place des Droits-de l’homme, avant que le cortège n’entame son retour vers la maison des syndicats.

    Nouvel appel à manifester

    Pour clôturer la matinée de manifestation, Lionel Le Madec a appelé à « continuer de grossir les rangs pour un nouveau rassemblement le 21 septembre. Ils ne lâchent rien ? Nous non plus, on ne lâchera rien ! »

    Anaëlle BERRE.

    source: http://www.ouest-france.fr

     

    Morlaix

    Code du travail. 900 opposants réunis (LT.fr)

    Compte-rendu des manifestations du 12/09 contre les Ordonnances -Lois travail XXXL en Finistère selon la PQR

    Environ 900 personnes sont réunies ce mardi matin, à Morlaix, sur la place des Otages, pour s'opposer à la réforme du Code du travail présentée par le gouvernement Philippe. Après une prise de parole sous le kiosque, les manifestants défilent actuellement en centre-ville.

    source: http://www.letelegramme.fr

     

    Morlaix. Environ 900 personnes contre la loi Travail (OF.fr)

    Ce mardi matin, ils étaient environ 900 à manifester en centre-ville de Morlaix contre la loi travail.Ce mardi matin, ils étaient environ 900 à manifester en centre-ville de Morlaix contre la loi travail.

    L’appel national à manifester contre la loi Travail semble avoir été entendu à Morlaix, ce mardi matin.

    « On est suffisamment nombreux pour faire entendre notre voix dans les rues de Morlaix », se réjouit Julien Tanguy, de la CGT.

    Ce mardi matin, ils étaient environ 900 à manifester en centre-ville de Morlaix contre la loi Travail, réforme du droit du travail poursuivie par le gouvernement Macron. « Cette loi n’améliorera pas les chiffres du chômage », selon la CGT, quand Sud s’inquiète « d’un dumping social généralisé ».

    Dans le cortège, outre la CGT et Sud, La France insoumise, le PCF et Europe écologie les Verts.

    Dans le cortège, la CGT, Sud, La France insoumise, le PCF et Europe écologie les Verts.            Dans le cortège, la CGT, Sud, La France insoumise, le PCF et Europe écologie les Verts.

     À partir de 10 h 30, au départ de la mairie, les manifestants ont effectué le grand tour, de la rue Carnot au commissariat, où le rond-point a été bloqué quelques minutes. À midi, ils sont de retour à la mairie.

    source: http://www.ouest-france.fr

    Brest

    Code du travail. Entre 3.000 et 4.000 manifestants (LT.fr)

    Un peu plus de 4.000 personnes selon les syndicats (un peu plus de 2.500 selon la police) sont réunies place de la Liberté, à Brest, à l'appel des syndicats, qui se montrent satisfaits. Elles manifestent contre la réforme du Code du travail. Un défilé débute, qui doit mener le cortège devant la permanence du député En Marche.

    source: http://www.letelegramme.fr

     

    Brest. Trois mille personnes défilent contre les ordonnances Macron (OF.fr)

    Les manifestants scandaient "Retrait, retrait, des ordonnances Macron".Les manifestants scandaient "Retrait, retrait, des ordonnances Macron". 

    Réunis à 10 h 30, place de la Liberté, à l’appel des syndicats, environ 3 000 manifestants ont défilé dans Brest, mardi matin.

    « Les actionnaires du CAC 40 ont dégagé, cette année, 100 milliards d’euros de bénéfice grâce au travail des salariés. Finalement, c’est eux les fainéants, c’est eux les cyniques, c’est eux les extrêmes ! » Pour Olivier Cuzon, de Solidaires, comme pour les manifestants réunis mardi matin, place de la Liberté, les dernières déclarations d’Emmanuel Macron ne passent pas.

    « Casse du Code du travail »

    1 500 cents personnes selon la police, 4 000 selon les syndicats, ont défilé dans les rues de Brest pour dire leur opposition à la réforme du Code du travail prévue par le gouvernement.

    Pour Christine, employée de banque pourtant non syndiquée, il était important « de ne pas faire que parler, de montrer notre force dans la rue », parce que « la casse du Code du travail, ce n’est que la première étape, après, ce sera la sécurité sociale, les retraites… »

    « Précariser les salariés »

    « Les ordonnances Macron sont le prolongement de ce qui a été fait par le précédent gouvernement, selon Olivier Pichon, responsable de l’Union locale CGT. Elles visent à précariser d’avantage les salariés en détruisant tout ce qui faisait les protections de la loi, et cela pour renforcer le pouvoir du patronat. »

    Prochain rendez-vous le 21

    Le rassemblement s’est dispersé vers midi, non sans un appel des syndicats à se réunir à nouveau le 21 septembre. « Ce n’est qu’un premier round, la bagarre n’est pas finie », affirme Olivier Cuzon.

     source: http://www.ouest-france.fr

     

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  • Quimperlé-Journée d'action mardi. L'appel de la CGT (LT.fr-9/09/2017) Les représentants de l'union locale CGT, tenant dans leurs mains une proposition éditée par le Groupe de recherche pour un autre code du Travail.

    L'union locale CGT appelle les opposants à la réforme du travail à manifester mardi 12 septembre. Le rendez-vous est donné à 10 h 30, au niveau du stade Jean-Charter, face au Leclerc. Réunis hier matin, plusieurs représentants CGT de Bigard, Kerpont Industrie, des retraités et de l'hôpital rappelaient les motifs de protestation. « Nous manifesterons contre les attaques perpétuelles menées à l'encontre du code du Travail, qui n'ont jamais créé d'emploi », annonçait Gérard Le Bourhis. D'après Didier Quémat, « cette attaque est bien partie, avec un permis de licencier à tout va, une précarité à tous les étages et des salaires " Kleenex " selon les chantiers, un code du travail par entreprise ». L'union locale CGT a également évoqué ses inquiétudes concernant la santé des travailleurs, avec la destruction des comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).

    Débrayage chez Bigard 
     

    Délégué syndical central CGT à Bigard, Michel Le Goff appelle à la grève. « Un débrayage est prévu mardi. Nous sommes inquiets au niveau des CDI, des indemnités prud'homales limitées. À titre d'exemple, sur le dernier dossier Bigard, les indemnités s'élevaient à 75.000 €. Avec un nouveau plafond à 27.000 €, un employeur d'un grand groupe pourra se permettre de licencier à tour de bras ». Plus globalement, « le Pays de Quimperlé représente un fort bassin d'emploi agroalimentaire, avec Nestlé, Bigard, PDM Industries. De grandes inquiétudes pèsent sur cette masse salariale et sur l'économie locale ». « Mardi, nous serons aussi là pour défendre les retraités, touchés par la hausse de la CSG et les fonctionnaires », rappelle l'union locale. Sont aussi attendus mardi à cette journée d'action : l'Union syndicale solidaire, la FSU, FO, l'UNEF, France insoumise et PCF. Vendredi prochain, l'union locale CGT rencontrera le député Erwan Balançant afin qu'il s'exprime sur la loi Travail.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Loi Travail. Premier test mardi (LT.fr-9/09/2017)CGT à l'initiative de la manifestation du 12, Force Ouvrière et Solidaires ainsi que la FSU (absente) ont reconstitué l'intersyndicale créée contre la loi El Khomri.

    CGT, Solidaires, Force Ouvrière et FSU appellent, mardi, à une première journée de mobilisation contre la « loi Travail XXL ». L'intersyndicale annonce d'ores et déjà un mouvement dans la durée et des « actions radicales ».

    « Pour le gouvernement, le nombre de personnes dans la rue ne suffit pas », commente Solidaires, tirant l'enseignement des quatorze manifestations contre la loi El Khomri. « Nous allons passer à un degré supérieur rapidement ». « On n'a pas fait quatorze manifestations pour laisser tomber maintenant », réagit FO. Hier dans les locaux de la CGT, c'est une intersyndicale qui n'a pas laissé l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette à la moindre divergence, « nous sommes partis dans une politique unitaire forte dans le Finistère. On ira très loin pour bloquer les manigances du Président de la République » pour ce qui a été qualifié comme « la plus grave attaque contre le monde du travail ».

    Pas une manif pause déjeuner 
     

    « Nous nous installons dans le temps et nous allons aller crescendo » pour FO. « Il est important que les salariés se mettent en grève » précise la CGT. Pas de manif pause déjeuner donc mardi prochain. Ce n'est pas à 11 h 30, comme si souvent dans un passé récent, que la manifestation est appelée mais à 10 h 30. Arrêt de travail obligé donc.

    Une façon aussi de mesurer le ressentiment même si l'intersyndicale s'est refusée à annoncer un chiffre de participation : « Le 12 sera la journée de lancement de la mobilisation » (*).

    « Le blocage risque de devenir le mot à la mode... » 
     

    Hier, l'intersyndicale a montré sa détermination à organiser des « actions radicales ». « La nouvelle loi est aussi radicale, elle impose plus de précarité, plus de flexibilité, il n'y aura plus de normes du tout ». « Le blocage risque de devenir le mot à la mode » estime Solidaires avec l'assentiment des autres syndicats annonçant « le blocage d'entreprises si nécessaires ». « La manifestation mardi ne concerne pas que le privé, nous sommes tous perdants avec la hausse de la CSG, des cotisations sociales, la baisse des APL, la suppression de 120.000 emplois dans la fonction publique » élargit la CGT. Dès mardi après-midi, l'intersyndicale a prévu de se retrouver pour préparer une nouvelle action. Quant à la manifestation du 23, lancée par la France insoumise, « c'est une manifestation politique, syndicalement nous aurons d'autres échéances ». (*) Dans le Finistère, des manifestations sont aussi prévues à Brest, Morlaix, Carhaix et Quimperlé à la même heure.

    Jacky HAMARD

    source:http://www.letelegramme.fr

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  • Mailly désavoué : FO contre les ordonnances, ses principales fédérations manifesteront le 12 avec la CGT (IC.fr-7/09/2017)

    Il n’aura pas fallu longtemps pour que Mailly, militant notoire du PS qui combat le mouvement social,  soit désavoué par la commission exécutive de la confédération FO.

    C’est que les syndicalistes de terrain de la centrale, à la différence d’une partie de son cercle dirigeant historiquement liée au PS et au pouvoir, n’ont pas oublié leurs combats de plusieurs mois avec la , SUD, la FSU, pour le retrait de la dont les Macron sont une dangereuse aggravation.

    C’est que Macron a fait le pari de la division du front syndical, en s’appuyant au delà de la très usée et totalement décrédibilisé CFDT sur Mailly. Symbole des symboles un des premiers actes de sa ministre Pénicaud – en plein scandale de la révélation de ses stock options touchés alors qu’elle licenciait à tour de bras chez Danone comme DRH – aura été de recruter le bras droit de Mailly et négociateur FO directement à son cabinet.

    Alors que la commission exécutive de FO a condamné les ordonannces et appelé à la lutte désavouant mailly, les principales fédérations FO appellent à manifester dès le 12 septembre, tout comme une cinquantaine d’Union Départementale FO, c’est à dire la majorité des 95 unions départementale FO. La manoeuvre de Macron MEDEF est en train de faire long feu, seul Mailly y aura perdu son honneur.

    Au delà des positionnements des états majors syndicaux, il est important de rappeler que c’est d’abord la responsabilité de chaque travailleurs d’organiser sur son lieux de travail la mobilisation pour défendre ses droits. Avec la participation à toutes les initiatives, manifestations et grèves le 12 septembre, fête de l’Humanité, 23 septembre, préparation d’une grève générale reconductible… Et celà sans qu’il ne soit nécessaire d’attendre des décisions venues du haut des centrales. C’est bien ce principe que la plupart des fédérations FO et nombre d’union départementale FO appliquent en appelant sans attendre à la mobilisation, tous ensemble et en même temps, dès le 12 septembre.

    C’est bien ce principe de la mobilisation générale, interprofessionnelle, public et privé, qui en guidant l’action et le mouvement social avait permis de faire émerger toutes les grèves et mouvement sociaux, qui comme en 1995 ou 2006, ont permis – faut il le rappeler – aux travailleurs de gagner contre des projets anti sociaux ordonnées par Bruxelles MEDEF, déjà verrouillé et parfois même voté. A l’image du plan Juppé ou du CPE

    FO rejette les ordonnances Macron et appelle à la mobilisation et à l’action.

    Le Canard explique comment Mailly s’est vendu à Macron Gattaz

    Dans sa résolution du 4 septembre à 28 voix pour et 5 contre, la commission exécutive de FO a désouvé publiquement Mailly et son soutien aux ordonnances Macron. Soulignant “nombre d’éléments constituatns une régression sociale” “innaceptable, FO a décidé de voter contre les ordonnances de la Loi Travail XXL. Loin de voir les soit disant “progrès” obtenus par Mailly, FO appelle à mener la bataille juridique contre les ordonnances d’une part, et à rejoindre l’action intersyndicale avec les autres confédérations syndicales, ordonnant au Bureau Confédéral d’examiner toute initiative – dont y compris la manifestation du 12 septembre avec la CGT – permettant de “développer les positions FO”, à savoir le rejet des ordonnances.

    Nombre de travailleurs attendent désormais le passage du parole aux actes, rejettant ceux qui divisent le front syndical pour se compromettre – à l’image des Notat et autres Cherèques et Le Paon grassement remercié de leur collaboration par le pouvoir – avec les présidents, ministres et autres patrons chef de file de la casse sociale des droits et salaires des travailleurs.

    Les principales fédérations F0 appellent à la manifestation intersyndicale du 12 avec la CGT

    La plupart des fédérations FO appellent à la mobilisation contre la Loi Travail XXL, y compris par la grève et la manifestation le 12 septembre au coté de la CGT, de SUD et de la FSU.

    Relevons notamment:

    -la Fédération FO Equipement Environnement Transports, Services, l'une des principales de la Confédération FO,

    -la Fédération FO de la Chimie,

    -la Fédération FO Energie et Mines,

    -FO transports signataire d'un appel commun avec la Fédération CGT,

    -la Fédération Générale des Fonctionnaires FO,

    -la Fédération Nationale FO  Enseignement , Culture et Formation Professionnelle

    ........

    source: https://www.initiative-communiste.fr                         

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    Droit du travail. La mise au point de FO sur la loi travail isole définitivement l’exécutif (L'Huma 6/09/2017)

    La commission exécutive confédérale de Force ouvrière a clairement condamné les ordonnances réformant le Code du travail. Le gouvernement fait désormais face à la réprobation de la quasi-totalité des organisations syndicales.

    En quelques lignes, Force ouvrière (FO) a fait lundi d’une pierre deux coups. En affirmant que «nombre d’éléments (des ordonnances sur le Code du travail) constituent aujourd’hui une régression sociale et sont en tant que tels inacceptables», la commission exécutive confédérale de FO, sorte de «parlement du syndicat», a non seulement officialisé un changement de cap de la confédération, mais également acté l’isolement du gouvernement qui ne peut désormais se targuer du soutien des organisations syndicales.

    Dans un court communiqué publié lundi, l’exécutif de FO, s’il «souligne le travail réalisé par la confédération depuis trois mois en application du réformisme militant qui se traduit par l’obtention de certaines garanties et le blocage de nombreuses dispositions», affirme néanmoins qu’«à la lecture des textes d’autres éléments négatifs apparaissent», ce qui justifie que, «dans les consultations officielles et obligatoires qui seront organisées, FO votera contre».

    Adoptée à une large majorité (28 voix contre 5), cette déclaration tranche [1] avec la relative et surprenante bienveillance à l’égard de cette réforme affichée par le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, suite à la publication du contenu des ordonnances. «Il y a trois colonnes: ce que nous obtenons, ce que nous avons évité et ce sur quoi nous sommes en désaccord. Il y a des éléments dans les trois colonnes», avait-il déclaré, dans la cour de Matignon, le 31 août dernier, déclenchant ensuite, en interne, quelques remous.

    La donne est en train de changer

    Désormais, «la position de la commission exécutive est claire. Elle condamne ces ordonnances régressives. Au cours des jours qui se sont écoulés depuis la publication des ordonnances, nos juristes se sont rendu compte des régressions», estime Michel Le Roc’h, secrétaire général de FO en Loire-Atlantique. Et à l’heure où se préparent les manifestations du 12 septembre contre les ordonnances Macron à l’initiative de la CGT et de Union Syndicale Solidaires, rejointes par la FSU (Fédération Syndicale Unitaire – du secteur de l’enseignement), les déclarations de l’exécutif du syndicat laissent présager une mobilisation plus importante des militant·e·s FO malgré des déclarations de Jean-Claude Mailly qui avait, très tôt, exclu d’y participer. La donne est donc en train de changer.

    «Pour nous, cela signifie que nous ne sommes pas du tout sur la voie de l’isolement contrairement à ce que d’aucuns voudraient faire croire», a réagi Fabrice Angei, secrétaire confédéral CGT. «Les opinions convergent et chacun se rend bien compte qu’elles ne vont absolument pas dans le sens des salarié·e·s mais bien dans celui de la protection du capital», poursuit le syndicaliste.

    Car si la déclaration de la commission exécutive confédérale de Force ouvrière fait aujourd’hui autant parler, c’est qu’elle porte un ultime coup à la communication gouvernementale. Désormais, malgré les auto-satisfecit sur la «méthode» de concertation qui aurait permis un prétendu consensus généralisé sur le contenu de sa réforme, l’exécutif, soutenu par les organisations patronales, est lâché par l’immense majorité des syndicats, y compris ceux, CFDT en tête, qui avaient pourtant largement accompagné la loi travail l’an passé.

    Ainsi, Laurent Berger – de la CFDT – «profondément déçu» à la publication des ordonnances, estime que le gouvernement a raté «l’occasion de faire du dialogue social un élément central de la gouvernance des entreprises». Dans un communiqué, le syndicat enfonce aussi le clou, jugeant que l’exécutif a «privilégié la flexibilité au détriment de la justice sociale» et a «légitimé les attentes les plus conservatrices d’une partie du patronat».

    Même son de cloche du côté des cadres. François Hommeril, secrétaire général de la CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres), s’est inquiété à plusieurs reprises que cette nouvelle réforme n’engendre «probablement une précarisation plus importante des salariés». L’Unsa (Union nationale des syndicats autonomes) avait également émis de sérieuses réserves.

    Des recours juridiques à venir

    Reste la construction d’une mobilisation la plus large possible. Dans son communiqué, la commission exécutive de Force ouvrière «considère qu’il faut d’ores et déjà examiner les possibilités de recours juridiques et estime qu’il est important que les confédérations syndicales puissent échanger rapidement entre elles sur la situation». Sans attendre, la CFE-CGC a appelé hier «l’ensemble des organisations syndicales à se rapprocher pour partager leurs évaluations sur les risques que ce projet de loi fait peser sur les salariés et sur l’économie», tout en refusant pour l’instant de participer à la mobilisation du 12 septembre. Pour Fabrice Angei, ces déclarations constituent des signes positifs «sans pour autant changer ni notre analyse ni notre cap.»

    En somme, s’il est clair que le 12 septembre ne sera pas l’occasion d’une large riposte intersyndicale, le chantier des réformes piloté par un gouvernement qui veut «aller vite» ne s’arrête pas à la question du Code du travail. Assurance-chômage, retraite, formation professionnelle… Les gros dossiers sociaux vont se succéder ces prochains mois. Ils s’annoncent d’ores et déjà comme autant d’éventuels points de convergence entre les organisations syndicales pour construire un rapport de forces dans la plus large unité possible.

    Marion D'Allard- L’Humanité, en date du 6 septembre 2017

    source:https://www.facebook.com/luttesinvisibles/photos/a.253025261786616.1073741828.250842078671601/358000711289070/?type=3&theater

     

    Droit du travail. La mise au point de FO sur la loi travail isole définitivement l’exécutif (L'Huma 6/09/2017)

    [1] Texte de la Commission Exécutive de Force Ouvrière du 4 septembre 2017: «Les ordonnances sur le Code du travail ont été rendues publiques par le gouvernement.
    La commission exécutive souligne le travail réalisé par la confédération depuis trois mois en application du réformisme militant qui se traduit par l’obtention de certaines garanties et le blocage de nombreuses dispositions.
    A contrario, nombre d’éléments constituent aujourd’hui une régression sociale et sont en tant que tels inacceptables, ce qui explique notamment que dans les consultations officielles et obligatoires qui seront organisées, FO votera contre, et ce d’autant qu’à la lecture des textes d’autres éléments négatifs apparaissent.
    Par ailleurs la commission exécutive considère qu’il faut d’ores et déjà examiner les possibilités de recours juridiques et estime qu’il est important que les confédérations syndicales puissent échanger rapidement entre elles sur la situation.
    Elle demande au Bureau Confédéral d’examiner toute initiative permettant de développer les positions FO.
    Adoptée: 28 pour; 5 contre.»

     

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  • FO 29-vent debout contre les ordonnances (Ouest-France 5/09/2017)

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