•  40 ans après, le rallye des Bradés repart (OF 2/06/2017)

    En 1977, la CGT avait imaginé le rallye des Bradés pour dénoncer les suppressions d'emplois. Quarante après, elle relance l'opération.

    Une vingtaine de véhicules, couverts d'affiches et de drapeaux CGT, se sont regroupés jeudi matin à Ergué-Gabéric, à deux pas du bureau de poste (menacé de fermeture) du Rouillen.

    Point de départ symbolique pour le rallye des Bradés organisé quarante ans après la première édition en 1977. « À l'époque, on parlait d'emplois bradés. Il s'agissait essentiellement de suppression d'emplois du secteur privé (Donval à Rosporden, Sopromer à Concarneau et Trégunc, Transocéan à Brest, Papeteries de Scaër) », rapporte Anne-Véronique Roudaut, secrétaire générale de l'union départementale CGT. À l'époque, les conflits sociaux étaient nombreux et fréquents.

    Énergies marines renouvelables à Brest

    « En 2017, le département compte 73 000 demandeurs d'emploi contre 20 000 en 1977. Les pertes d'emploi dans le privé sont toujours d'actualité. Mais aujourd'hui, les services publics suscitent le plus d'inquiétudes. Le rallye des Bradés va réunir des hospitaliers, des territoriaux, la Poste... »

    Revendicatif, le rallye se veut aussi un moment privilégié pour faire des propositions. « Les énergies marines renouvelables constituent un gisement d'emplois à Brest. » Après avoir sillonné le sud Finistère jeudi, et passé une nuit à Carhaix, le rallye abordera le nord du département ce vendredi. Avant de se conclure sur le port, à Brest, lors d'un moment festif.

    C'est l'un des aspects de ce rallye. La CGT veut gagner en « visibilité », pas seulement dans un piquet de grève ou lors d'une manifestation : un syndicat qui sait concilier revendication et ouverture sur la société. Sur ce point, le rallye de 2017 se rapproche de celui de 1997.

    Jean-Pierre LE CARROU.

    source Ouest-France 2/06/2017

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  • Qualité de vie au travail au CHRU de Brest. Le syndicat Sud boycotte la commission (LT 1/06/2017)Dans un communiqué, le syndicat Sud du CHRU de Brest annonce qu'il a décidé de ne pas participer, hier, à la commission sur la qualité de vie au travail mise en place par la direction du CHRU Brest Carhaix : « Car les sujets importants, comme les préconisations de l'expertise Syndex, qui a montré le mal-être des soignants du CHRU de Brest, ne faisaient pas partie des priorités de cette réunion ». Sud se déclare aussi solidaire de l'appel au débrayage de la CFDT concernant les Ehpad des sites de Brest et Carhaix, tous les jeudis.

    source: letelegramme.fr

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  • L'entreprise de réparation navale attend l'arrivée de deux navires en juin. L'entreprise de réparation navale attend l'arrivée de deux navires en juin.

    La mesure d'activité partielle a de nouveau été activée au chantier naval Damen à Brest. Le plan de charge n'étant pas suffisant, plus de 140 salariés de l'entreprise de réparation navale sur le port à Brest, sont priés de rester à la maison depuis lundi. A disposition de l'entreprise sous 24 heures, ils touchent l'intégralité de leur salaire et attendent le retour des navires dans les cales sèches brestoises. Cette nouvelle période de vaches maigres fait suite à une période similaire démarrée l'année dernière. Le début d'année 2017 avait vu le retour de quelques unités et le timide redémarrage de l'activité. Seule une vingtaine de salariés est actuellement sur le pont pour assurer les tâches administratives et tenter de décrocher de nouveaux contrats. Deux navires d'une société fidèle à Damen sont attendus en juin. On évoque la possibilité de réaliser de nouveaux chantiers courant juillet. L'inquiétude est légitime de la part des salariés qui enchaînent, en moins d'un an, cette deuxième période d'inactivité.
     
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  • Lancée vendredi, la grève des routiers chauffeurs de transport de matières dangereuses se poursuit et se renforce ce lundi, à l’appel de la CGT. Alors que la Commission Européenne impose une nouvelle directive de libéralisation du transport routier, les conducteurs de camions citernes luttent pour la reconnaissance des «spécificités» propres aux matières dangereuses, dans leur convention collective du transport routier.

    Grève massive : plus de 70% des chauffeurs en grève

    La CGT indique que 70% des chauffeurs sont en grève. La raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) et le dépôt de la Rochelle sont bloqués ce lundi et au moins 8 barrages filtrants sont en place devant d’autres dépôts de la région parisienne. L’important dépôt de Donges en Loire Atlantique avait été bloqué samedi.

    Fabrice Michaud de la CGT transport confirme que contrairement aux annonces rassurantes du gouvernement et du patronat, 70 à 80% » des stations-service sont « en risque de rupture de stock ». Ces dernières n’ont en effet qu’une autonomie maximale de trois jours et faute d’approvisionnement, dès mardi de nombreuses pourraient se retrouver à sec.

    Un tiers des stations Total en rupture totale ou partielle de carburant en Ile de France

    Ce lundi, d’après les chiffres communiqués par Total, un tiers des stations Total était en rutpure totale de carburant. Le gouvernement via le préfet de police a dépêché ses forces de répressions pour faire pression sur les manifestants faisant valoir leurs revendications légitimes aux abords des dépôts pétroliers, notamment en informant les chauffeurs routiers pour qu’ils rejoignent le mouvement.

    Si la préfecture de police prétend qu’il n’y a pas de rupture et qu’il n’y a pas de risque de rupture, on se demande donc pourquoi elle recommande aux automobilistes de ne pas anticiper leurs pleins…

    La CGT revendique une durée journalière maximum de travail de 10h un suivi médical semestriel spécifique, un taux horaire minimal de 14 euros de l’heure et un treizième mois. Depuis le 10 mai la CGT n’a eu aucune réponse à ses revendications de la part du patronat.

    L’attaque contre la durée légale du travail, les salaires et conditions de travail impulsée par le patronat avec le soutien actif de l’Union Européenne ne concerne à l’évidence pas que les chauffeurs routiers. Cette mobilisation pourrait bien faire tache d’huile alors que Macron est en train de préparer – profitant d’une étonnante et inquiétante passivité des états-majors syndicaux – une grande offensive estivale pour faire sauter ce qui reste du code du travail et exposer l’ensemble des salariés à la précarité, et soumettre chaque salaire à l’euro dumping social

    JBC pour www.initiative-communiste.fr

    source: initiative-communiste.fr

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  • Ce petit épisode en dit long sur les intentions et la méthode Macron.

    Ne rien dire, laisser croire, voir venir ...

    Et implacablement poursuivre l'objectif de démanteler le code du travail, d'imposer la flexibilité !

    Cela en dit long aussi sur le mépris dans lequel il tient ses "interlocuteurs" syndicaux!

    A bon entendeur salut !

    L'épisode s'est produit à l'occasion de la démarche auprès de l'ambassade de Grande Bretagne suite à l'attentat de Manchester.

    A une question de Le Drian demandant à E. Macron si les "concertations" de la matinée avec les syndicats se sont bien passé, E. Macron répond :

    "OUI, Ben c'est bien normal parce que je ne leur ai rien dit"

     

    VIDEO :

     

    source: frontsyndical-classe.org

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  • Le mouvement des GM&S suspendu (Lecho.info 24/05/2017)

    GM&S

    1 mois. C’est le nouveau sursis obtenu par les salariés de GM&S Industry, sous-traitant automobile basé à La Souterraine en redressement depuis décembre, mercredi lorsque la décision du tribunal de commerce de Poitiers est tombée. Réunis en assemblée générale, les salariés ont fait un nouveau pas en avant : ils ont décidé de suspendre le blocage et de déminer le site provisoirement. Désormais c’est aux constructeurs et notamment à PSA de bouger.
    Si la nuit a été un peu moins difficile après l’espoir entrevu la veille au sortir du tribunal, le soulagement n’est pas plein, les salariés en ont l’expérience maintenant, ils restent prudents quelque soit les annonces. Vincent Labrousse, délégué du personnel, l’affirme «on peut être fiers de nous les gars et les filles, on a encore repoussé !». 1 mois ce n’est pas les six mois demandés par les salariés et l’avocat du comité d’entreprise (CE) Me  Jean-Louis Borie. Ils savaient que de toute façon six mois seraient une période théorique, il faut faire vite. La déception est donc relative. Désormais les repreneurs potentiels ont jusqu’au 7 juin pour déposer leur offre. Une date qui va vite arriver mais pour Me Borie, «le tribunal  a accéléré les choses, il a raison car on veut des choses concrètes». Et le concret ce sont des dossiers de reprise et pas seulement des lettres  d’intention. GMD est toujours positionné, quant au deuxième, il s’agirait de la famille Frey, 154e fortune française, qui a fait fortune dans l’immobilier et le vin. Mais pourquoi ce nouveau repreneur potentiel s’intéresse à l’usine seulement maintenant  ? S’associera-t-il comme il le dit dans sa lettre d’intention à un industriel du secteur automobile ? Qui sera-t-il ? Quelle sera sa crédibilité  ? Avec quels moyens ? Les questions sont nombreuses et les salariés dubitatifs. Quant aux réponses, elles sont encore en suspens jusqu’au 7, date butoir pour les offres où là le CE avec son expert, son avocat et les délégués pourront les examiner et voir si c’est du concret ou pas.
    Aux constructeurs...
    En attendant, ils ne baissent pas pavillon loin de là. Si le site est désormais déminé depuis mercredi 16h45 et que l’activité reprendra lundi pour «montrer leur bonne foi», note Jean-Marc Ducourtioux, représentant du personnel, il faut aussi que les constructeurs donnent de la charge du travail. «On  veut faire voir qu’on sait bosser. Les constructeurs se sont engagés pour 25 millions d’euros, il faut que ça tombe dès lundi», martèle Patrick Brun, délégué du personnel. Encore faut-il qu’en face des choses avancent. Notamment de la part des constructeurs et principalement PSA.  «Si le gouvernement ne mesure pas que PSA se fout de sa gueule..., s’emporte Vincent Labrousse qui demande à l’Etat une réunion au plus vite en présence des constructeurs «pour discuter des repreneurs, des solutions pour l’ensemble des salariés».  «Le gouvernement doit faire pression sur PSA», ajoute Me Borie. «Les salariés ont pris leurs responsabilités, l’Etat doit les prendre aussi et ne pas se contenter des effets d’annonces», poursuit Denis Bréant, animateur du secteur automobile de la fédération CGT de la métallurgie.
    Si rien n’a bougé le 7, le site pourra être de nouveau piégé et la production bloquée. «Si le 7 ça ne va pas, on recommence», confirme Paul un peu soulagé mais pas à 100 %. «Ils sont dans la lutte et aussi dans la réflexion et l’intelligence, relève Denis Bréant. Cette suspension n’enlève rien à la détermination des salariés. Jusqu’au 7, les constructeurs ne seront pas tranquilles !»

    Les dates

    7 juin
    Date limite du dépoté des offres à 17h. Le CE fera un point le 8.
    23 juin
    Audience intermédiaire au tribunal de commerce de Poitiers.
    30 juin
    fin de la période d’observation.

    source: l-echo.info

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  • Un repreneur pour GM & S s'est manifesté : le tribunal de commerce repousse sa décision ce à mercredi (lamontagne.fr 23/05/2017) La décision du tribunal a été repoussée à ce mercredi midi.

      Le tribunal de commerce de Poitiers devait se prononcer ce mardi sur le sort des 277 salariés de GM & S Industry à La Souterraine (Creuse). Mais il a finalement repoussé sa décision de 24 heures. Un nouveau repreneur potentiel se serait manifesté à la dernière minute.

    L'essentiel

    • L'audience s'est terminée vers 18 h 30. Le tribunal a décidé de repousser sa décision à ce mercredi à 12 h 30. Un repreneur potentiel se serait manifesté, il proposerait de conserver 240 emplois.
    • Le candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste à l'élection présidentielle Philippe Poutou s'est déplacé à Poitiers pour soutenir les salariés.
    •  Initialement annoncée à 15 heures, l'audience consacrée au dossier GMS a finalement débuté à 16 h 30.


    Relire le direct

    23/05/2017 20:02
    Les salariés et leurs soutiens ont désormais quitté les lieux. C'est donc la fin de notre couverture en direct. Rendez-vous demain, mercredi, à la mi-journée sur lamontagne.fr et lepopulaire.fr pour connaître la décision du tribunal de commerce de Poitiers.
     
    23/05/2017 20:00
    L'avocat vient de sortir du tribunal la décision sera rendue demain à 12h30 # GM&S industriy #Poitiers pic.twitter.com/xkDA3vpdMN
    — Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 18:53
    Décision repoussée à demain pour #GMS. Me Borie "n'a pas de raison d'être pessimiste". Un nouveau repreneur avec 240 emplois évoqué pic.twitter.com/BoQKlIAqIU
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 18:28
    Qq salariés de #GMS arrivent au tribunal. "Ils sortent ds 1/4 h" pic.twitter.com/xjL3M4TdRA
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017 
     
    23/05/2017 17:53
    GM&S attente devant le tribunal de commerce pic.twitter.com/xGQPmoFFez
    — Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 17:43
    Les journalistes attendent la fumée blanche. #GMS pic.twitter.com/WLsFyb4G5c
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 17:31
    Déjà 3/4 d'heure d'attente à l'extérieur du tribunal de commerce de Poitiers pr les #GMS. Bientôt l'heure du verdict ? pic.twitter.com/L9yJhQF6qY
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017 
     
    23/05/2017 16:56
    Journaliste tout terrain ça donne ça. #GMS pic.twitter.com/tubPj2IqE5
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 16:44
    L'audience n'est pas publique. Seule une petite délégation y assiste. Les salariés et les manifestants venus les soutenir vont devoir attendre la décision du tribunal à l'extérieur.
     
    23/05/2017 16:28
    Les #GMS rejoignent le tribunal de commerce de #Poitiers. pic.twitter.com/AH0EvwjBCY
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 16:28
    Le comité de réception des #GMS a été renforcé. Vincent Labrousse (CGT) et Me Boris rentrent sous les hourras pic.twitter.com/XiaQoGODfn
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 16:28
     Dépôt de la banderole #GMS dvt le tribunal de commerce de #Poitiers pic.twitter.com/keejuGvUhy
     
    23/05/2017 16:14
    "Les immanquables PSA" "La fench touch Renault". Les #GMS vont rejoindre le tribunal derrière leurs banderoles pic.twitter.com/KwooZ2k5ki
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 16:09
    Poitiers les employés de GMS attendent tranquillement la séance de 16h30 au tribunal de commerce pic.twitter.com/utWfTv7Ggc
    — Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 16:09Sac à dos, veste en cuir et porte clé "Trust", Me Boris avocat de #GMS est ds la place. "Même en cas de prolongation rien ne sera gagné." pic.twitter.com/a7aYP5ZxYL
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:37
    Pour les #GMS l'annonce de PSA et Renault peut s'apparenter à "coup de com". Leur avocat va demander 6 mois d'observation de plus. pic.twitter.com/5oG8DiE3tM
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
    23/05/2017 15:35Manif GMS Philippe Poutou est venu en soutien des manifestants pic.twitter.com/SR53kPLbmV— Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:35
    Malgré les annonces du gvnmt et des constructeurs, les #GMS ne veulent pas mourir à petit feu pic.twitter.com/MmDIxZZWHh
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:21
    PHILIPPE Poutou présent à #Poitiers pour #GMS appelle à une convergence. "On est ts concerne par ces politiques de licenciement"
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:18
    L'ex good year Mickael Wamen est également présent à #Poitiers#GMSpic.twitter.com/htMPWEqUKb
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:14
    Les employés de GM&S sont arrivés à Poitiers devant le tribunal pic.twitter.com/XmCqhXBHEL
    — Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:11
    Six bus de CRS sont prévus pour la manif #GMS.
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 15:11
    Les #GMS arrivent à Poitiers pic.twitter.com/EMJ5RdhT3I
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
     23/05/2017 15:11
    Philippe Poutou est venu soutenir les #GMS à Poitiers. pic.twitter.com/usPfOUtlZA
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     23/05/2017 15:03
    L'audience était initialement annoncée à 15 heures. Le dossier GM & S passera finalement à 16 h 30.
    L'audience pr #GMS est prévue à 16h30. Arrivée imminente des salariés venus en car de La souterraine. #Poitiers
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 14:57
    Un petit point sur la situation de GM & S, en vidéo, en attendant le début de l'audience.
     
    23/05/2017 14:32
    Des soutiens locaux au #GMS sont déjà présents. Les forces de l'ordre aussi. #Poitierspic.twitter.com/qfi0QeuYIY
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 14:32
    La CGT #Poitiers a mobilisé une 20n de militants. #GMSpic.twitter.com/YYBAjVMq59
    — Sébastien Dubois (@Sebastish) May 23, 2017
     
    23/05/2017 14:32
    GM&S la manif se met en place GMS #livepopupic.twitter.com/eBZaUkROas
    — Stéphane Lefevre (@stephlefevre87) May 23, 2017
     
    23/05/2017 14:31
    Quelques personnes sont déjà réunies devant le palais de justice de Poitiers pour manifester leur soutien aux salariés.
    23/05/2017 14:30
    L'audience au tribunal de commerce de Poitiers doit débuter à 15 heures. Les explications dans notre article paru ce mardi matin.
    source: lamontagne.fr
     

     
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  • Quimper. À France bleu Breizh Izel, grève pour "défendre la proximité" (OF.fr 19/05/2017)

    Les programmes de France bleu Breizh Izel sont perturbés ce jeudi. Une partie des salariés de l’antenne locale de Radio France (Quimper et Brest) sont en grève. Ils protestent contre le projet de modification de la grille des programmes.

    Les salariés de France bleu Breizh Izel sont en colère. Ils viennent d’apprendre que les grilles de programme des 44 antennes locales de France bleu seront modifiées à la rentrée. Ce jeudi, un appel à la grève a été lancé par plusieurs syndicats de Radio France. Il a été suivi dans le Finistère, notamment à Quimper (Finistère), l’implantation principale de l’antenne dans le département.

    Les syndicats dénoncent le remplacement de programmes locaux par des émissions nationales. L’émission interactive Les experts serait notamment remplacée par un programme animé par Jean-Luc Reichmann. Le contenu des journaux laisserait aussi plus de place à des reportages "envoyés de Paris". Un coup rude pour une antenne donnant la priorité à la "proximité".

    Ce projet devrait être abordé vendredi lors d’un comité central d’entreprise à Paris. Les syndicats n’excluent pas de nouvelles actions.

    De nombreux élus et responsables associatifs et culturels bretons soutiennent les salariés et ont demandé des explications aux dirigeants de Radio France.

    source: ouest-france.fr

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  •  

    A peine élu, l’une des premières mesures de va être d’augmenter les impôts des travailleurs. Avec une hausse de 1,7 point de la , cet impôt qui frappe les salariés. Le but de cet hausse d’impôts ? permettre des baisse de cotisations sociales à hauteur 20 milliards d’euros. En pratique cela revient à nouveau à baisser les salaires pour remplir les coffres des actionnaires. Et satisfaire ainsi les ordres de la Commission Européenne de « d’augmenter la compétitivité en baissant le cout du travail », ce qui signifie baisser les salaire pour faire gonfler le taux de profit.

     

    Cette hausse de la CSG va attaquer principalement les retraités, les indépendants et les fonctionnaires. En effet, pour camoufler cette mesure brutale d’euro austérité, le programme ni de gauche ni de gauche de En Marche consiste à supprimer les cotisations assurance maladie et assurance chômage (3,15% du salaire brut). Rendant invisible (dans un premier temps, la supercherie est démasquée plus bas) la hausse d’impôt pour de nombreux travailleurs. Sauf que retraités, indépendants et fonctionnaires ne versent pas ces cotisations. Et eux auront une hausse net de 1,7 point de leurs impôts.

     

    Rappelons que la CSG a été imposée par l’art 49.3 par le gouvernement Rocard, un gouvernement soutenu par l’actuel premier ministre de Macron et dont le président Macron ne rechigne pas à se réclamer.

    Retraités ce que Macron va vous prendre pour enrichir les riches

    L’augmentation de la CSG de Macron c’est faire les poches des retraités. Et les communistes du PRCF ont fait le calcul :

     

    Si votre retraite est de

     

    • 1200 € mensuel, alors vous allez payer 245€ de CSG en plus par an
    • 1500 € mensuel, alors vous allez payer 306€ de CSG en plus par an
    • 1700 € mensuel, alors vous allez payer 346€ de CSG en plus par an
    • 2000 € mensuel, alors vous allez payer 408 € de CSG en plus par an

     

    Comme si avec une retraite de 1200 € on était riche. Un  véritable scandale, que chacun peut stopper par la mobilisation sociale la plus forte et la plus rapide possible, mais également dans les urnes aux législatives en barrant la route à Macron et ses alliés des LR/PS/EELV et son seul argument électoral, le vote FN.

     

     

    Mise en danger de la et de l’assurance chômage

     

    La supercherie c’est aussi que cette hausse d’impôt vise également à casser la sécurité sociale et l’assurance chômage. Car il s’agit de faire passer le financement de la sécurité sociale et de l’assurance chômage vers d’impôts alors qu’aujourd’hui ce financement est assuré par les salaires versés par le patronat, une cotisation exclusivement dédiées au financement de la sécu et de l’assurance chômage. Une façon donc d’assécher les ressources de la sécu, de diminuer les salaires différer et permettre demain avec la fusion de l’impôts sur le revenu et de la CSG prévu dans le cadre de la retenue à la source de l’impôts de faire supporter exclusivement aux salarier le financement de la sécu.

     

    avec Macron, attention, c’est le même programme que Hollande Fillon, celui des LR et du PS, qui n’est que la transcription des ordres données par le MEDEF et imposés par l’Union Européenne. Baisser les salaires, casser la sécu pour enrichir les actionnaires, les banquiers, les spéculateurs, c’est à dire cette petite classe capitaliste qui se partage des milliards de milliards tandis que retraités, jeunes, familles s’enfoncent dans la précarité et la misère.

     

    Aux origines de la CSG par la CGT

     

    Aux origines de la CSG

    Les Etats-Généraux de la Sécurité Sociale sont convoqués en 1987 pour envisager, notamment,  » le recours à l’impôt pour financer certaines prestations « .Le financement de la Sécurité Sociale par l’impôt poursuit deux objectifs:

    – réduire puis supprimer complètement la part patronale des cotisations et notamment des cotisations de la branche famille payées intégralement par les employeurs, pour augmenter les profits. Le représentant du CNPF aux Etats-Généraux, Pierre Guillen, ne s’en cache d’ailleurs pas:  » Les allocations familiales s’élèvent à 150 milliards. Or précisément, les entreprises ont besoin de 150 milliards ! « 

    – réduire les prestations pour ouvrir la voie aux assurances privées. En effet, à la veille de sa nomination comme Premier Ministre par Mitterrand, Balladur écrit:  » Il a été proposé que les entreprises soient progressivement déchargées du financement de la politique familiale, qui n’est normalement pas de leur ressort. Ce financement serait transféré à l’Etat, quitte à ce que celui-ci, dans sa gestion, opère les économies qui lui permettraient de supporter cette charge nouvelle sans augmentation des impôts.  »

    La recherche d’économies sur les prestations sociales sera renforcée par la pression des contraintes budgétaires pesant sur l’Etat.

    S’engage alors une offensive sans limite visant à fiscaliser les ressources de la Sécurité Sociale, exonérer les entreprises de leurs cotisations, réduire les dépenses de santé et favoriser le développement des établissements et des assurances privées. C’est dans ce contexte que naît la Contribution Sociale Généralisée (CSG).

    Lorsque le ministre socialiste Michel Rocard fit adopter la loi instaurant la CSG le 19 novembre 1990 grâce à l’article 49-3 de la Constitution permettant au gouvernement de légiférer par ordonnance, il prit soin de préciser:  » nos choix sont clairs. La CSG est un impôt « .

    La CGT mobilisera contre ce projet et organisera, avec d’autres organisations syndicales, des grèves et des manifestations massives pour le retrait de la CSG. Le secrétaire général de la CGT souligna à l’époque que l’action du 14 novembre 1990  » est dirigée contre la CSG (…) Que le gouvernement retire son projet et le problème sera réglé « .

    La CSG est néanmoins adoptée. Officiellement, elle présente l’avantage d’être assise sur une base plus large que les seuls revenus du travail. C’est encore aujourd’hui, comme on le verra plus loin, le principal argument des défenseurs de la CSG.

    Le véritable objectif de la CSG

    Le véritable objectif de la CSG

    En pleine mobilisation contre la CSG, le secrétaire général de la CGT affirme :  » le but de l’opération est bien de diminuer à terme les cotisations des entreprises « . Il ne croit pas si bien dire.

    Entre 1991 et 2009, la part des cotisations dans le financement de la Sécurité Sociale tombe de 86,8 à 67,3%. Tandis que la part des impôts incluant la CSG grandit de 4,9 à 28,6%.

    En 2009, la CSG représentait:

    – 36% des ressources de la caisse nationale d’assurance maladie,- 24,5% des ressources de la caisse nationale des allocations familiales

    De 1,1% à sa création, la CSG est aujourd’hui

    de :

    – 7,5% sur les revenus d’activité,

    – 6,20% sur les revenus du chômage,

    – 6,60% sur les revenus des ,

    – 8,20% sur les revenus du patrimoine et de placement,

    – 9,50% sur les revenus des jeux.  »

    Que représente la CSG aujourd’hui ? 21% du financement de la Sécurité Sociale. Qui paie la CSG ? Les salariés à 89,6%.

    Les entreprises n’y sont pas assujetties.

    Conjointement, les exonérations de charges patronales commencent en 1992. « 

    Ce qui donne le tableau suivant (qu’on trouve également dans le site officiel de l’URSSAF déjà cité plus haut)

    CSG / CRDS

    Sur l’ensemble des revenus d’activité (après abattement de 1,75% pour frais professionnels dans la limite de 4 plafonds de la sécurité sociale).
    Contribution sociale généralisée (CSG) Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS)
    7,50 0,50

    http://www.urssaf.fr/profil/associations/baremes/baremes/taux_des_cotisations_du_regime_general_01.html

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