• Près de 3 000 manifestants à Brest contre la réforme des retraites (LT.fr-6/02/20-11h40)

    À l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, et Solidaires du Finistère, près de 3 000 manifestants, toujours mobilisés contre la réforme des retraites, ont défilé, ce jeudi, dans le centre de Brest, après s’être rassemblés, à 11 h 30, place de la Liberté.

    La nouvelle journée nationale contre la réforme des retraites ce jeudi, a retrouvé sa déclinaison locale, à Brest. La mobilisation n’y a pas faibli, avec autant de manifestants que le 29 janvier dernier. L’intersyndicale, à l’origine de l’appel, souligne « une mobilisation historique par sa force et sa durée ». Depuis le 5 décembre dernier, quatorze actions ont été menées contre le projet.

    Le rendez-vous avait été donné à 11 h, place de la Liberté. Le cortège, a remonté la rue Glasgow, avant de redescendre sur Jean-Jaurès pour se diriger vers la sous-préfecture, via les rues Colbert puis Voltaire. Le cortège a atteint la sous-préfecture vers 12 h 30. Des vêtements et outils, déposés au sol, ont été recouverts de confettis. Des stands étaient montés pour les accueillir.

    Près de 3 000 manifestants à Brest contre la réforme des retraites (LT.fr-6/02/20-11h40)

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  • Quimper-« La vieillesse va devenir synonyme de misère » (LT.fr-6/02/20-16h31)

    Moins nombreux qu’au début du mouvement de protestation contre la réforme des retraites, les manifestants quimpérois ont rappelé, ce jeudi, qu’ils n’entendent rien lâcher redoutant que la vieillesse devienne synonyme de misère.

    Ce jeudi, ils étaient plus de 600 personnes à défiler dans les rues de Quimper dans le cadre de la neuvième journée de mobilisation nationale contre la réforme des retraites. Une journée marquée notamment par le dépôt de vêtements et d’outils de travail de certains manifestants devant la préfecture avant que le cortège ne se disperse. Une partie prenant la direction du centre-ville tandis qu’un petit groupe, composé notamment de gilets jaunes, a continué vers la gare.

    Dans la foule, certains regrettent que le mouvement n’attire plus autant qu’auparavant. « Oui, il y a moins de monde qu’au début. Et je ne comprends pas pourquoi les gens ne se mobilisent pas massivement car il y a de plus en plus d’injustices dans ce pays », affirme Sylvie, formatrice en informatique. De leur côté, les syndicats ne sont pas inquiets. « C’est normal qu’il y ait des hauts et des bas car il s’agit d’un mouvement social long », indique Sandrine Allain, de la CGT. « Mais on est déterminé car on ne veut pas de cette réforme qui est catastrophique pour les salariés, les jeunes, les femmes, les retraités », ajoute-t-elle.

    « Des jeunes au chômage et des vieux au boulot »

    « On va tout droit vers un système où la vieillesse va devenir synonyme de misère », ajoute Sylvie qui va prendre sa retraite dans deux mois. « J’ai vu ma mère galérer avant de partir à la retraite. Elle a dû bosser jusqu’au bout alors qu’elle n’en pouvait plus en raison de soucis de santé. Elle devait faire des petits boulots à côté de son métier pour avoir une retraite digne. C’est très humiliant », souligne Anaïs, une autoentrepreneuse qui manifestait pour la première fois. « Je ne sais pas si le gouvernement se rend bien compte de nos difficultés. Aujourd’hui, on a des jeunes au chômage et des vieux au boulot. Moi, j’ai une retraite à 1 200 € avec deux enfants. Si l’on veut qu’ils fassent des études, on doit trimer et se priver. On n’y arrive plus », continue Marine, aide-soignante à la retraite.

    La mobilisation quimpéroise s’est achevée sans incidents particuliers. Et les manifestants ne comptent pas en rester là. « On ne lâche rien. Mais faudra-t-il casser pour se faire entendre ? Ce n’est pas ce que l’on veut mais au bout d’un moment on ne va pas pouvoir continuer à faire le tour de l’Odet toutes les semaines », prévient Joseph Boniz, de Sud Santé. Pour la suite, l’intersyndicale n’entend pas faire de trêves et compte multiplier les initiatives pour maintenir la pression ces prochaines semaines.

    Benjamin Pontis

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  • La dixième marche quimperloise contre la réforme des retraites a réuni 170 irréductibles, ce jeudi matin, dans les rues de Quimperlé.

    Au terme de leur marche sous le soleil, c’est sur le parvis de Bollardière, devant la gare, que les opposants à la réforme des retraites ont entendu les dernières interventions proposées par l’intersyndicale, par les profs et les représentants du syndicat CGT du Groupement hospitalier de Bretagne-Sud.

    « La retraite à la réforme »

    Le cortège lancé vers 11 h du Coat-Kaër avait auparavant fait un détour devant l’hôpital et s’était arrêté au rond-point Bigard, désigné « rond-point des luttes » par Xavier Morvant, élu CGT, qui ciblait, entre les entreprises Nestlé et Bigard « un rond-point de l’argent roi, où l’humain n’a pas sa place. C’est ça le capital ». À propos du texte sur les retraites, il rappelait avec ironie la définition du mot réforme : « changement opéré en vue d’une amélioration. Franchement, je ne sais pas où elle est. Le gouvernement met la retraite à la réforme, au rebut ».

    Blouses blanches

    Dans le défilé suivi par de nombreux retraités, étaient aussi présents les syndicats de Volefi (Riec), Nestlé, etc.

    Une vingtaine de blouses blanches venues des différents établissements du Groupement hospitalier marquaient la manifestation de leurs slogans et rappelaient « des mois de grève ». Sept ans de plus pour les aides-soignants, travail jusqu’à 64 ans pour les infirmiers, pas de reconnaissance de la pénibilité : Audrey Quemat (CGT) affichait la colère des personnels publics face à « un acte de destruction de notre protection sociale ». Morgane Giampetri, pour des enseignants présents en petit nombre dans le cortège, expliquait combien ceux-ci « ont beaucoup à perdre dans cette réforme ». « Nous demandons le retrait et que les partenaires sociaux soient enfin écoutés ».

    « Qu’il n’y ait aucune trêve »

    Au nom de l’intersyndicale, Gérard Le Bourhis (Union locale CGT) dénonçait le « passage en force » du gouvernement. « Les 330 milliards d’euros consacrés aux retraites chaque année sont à nous ! C’est notre argent alors à nous de décider ! » prononçait l’orateur qui invitait à passer d’une « guerre de position » à « une guerre de mouvement », soit concrètement à intervenir auprès des candidats LREM aux municipales et aussi devant les représentants de l’État : « multiplions les initiatives afin qu’il n’y ait aucune trêve pendant le débat à l’assemblée nationale. L’intersyndicale, dans les localités du Finistère, fera des propositions ».

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  • Investi par la France insoumise à Brest (Finistère), Pierre-Yves Cadalen a composé une liste qui ne comprend aucun élu sortant. Mais quelques figures historiques de la Gauche qualifiée de radicale sont là.

    « C’est une équipe compétente, avec des gens qualifiés et qui correspondent à la réalité populaire de Brest. » En une phrase, c’est le portrait que Pierre-Yves Cadalen dresse de la liste qu’il conduira à la prochaine municipale : Brest à venir. Une liste qui, selon lui, constitue « l’alternative populaire ». Sous-entendu, aux listes de François Cuillandre et de Ronan Pichon.

    Scrutin après scrutin, la Gauche dite radicale est présente à la municipale. « Il y a eu de bonnes cuvées, sourit Pierre-Yves Cadalen, en faisant allusion aux tentatives de 2001 et 2008. Mais cette fois-ci, nous sommes capables de gagner et si nous gagnons, nous serons capables de gérer la Ville et la Métropole. »

    Le lien avec 2001 et 2008, on le retrouve au travers de quelques noms bien identifiés. Comme Christophe Osswald, enseignant chercheur et déjà candidat en 2008, aujourd’hui en 3e position dans l’équipe de Pierre-Yves Cadalen. Ou Hubert Casel, qui conduisait la liste en 2001 et qui est en 35e position de Brest à venir. Ou encore Arnaud Hell, ancien conseiller régional (49e).

    Cette passerelle avec les expériences passées sera-t-elle un atout pour franchir un cap jamais atteint jusqu’ici : la fameuse barre des 10 % au premier tour de crutin, qui qualifie automatiquement pour le second tour ? C’est évidemment une de ses raisons d’être. « Cette liste porte des valeurs identiques à celle de 2008 », insiste d’ailleurs Christophe Osswald.

    De tous les quartiers

    Mais Pierre-Yves Cadalen, qui se réjouit de ne compter « aucun élu sortant », est aussi allé chercher des personnalités connues pour d’autres raisons. Comme Éric Landuré, une des figures du combat syndical de la réparation navale civile, lors de la fermeture de la Sobrena, reprise par Damen. « Nous avons des candidats qui représentent tous les quartiers, mais aussi les professions intellectuelles et manuelles », décrypte la tête de liste.

    Olivier PAULY

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Pierre-Yves Cadalen, entouré de quelques membres situés en haut de la liste, dont la numéro 2, Pauline Lesquivit (à gauche)

    Pierre-Yves Cadalen, l’Insoumis brestois, a révélé les noms des 55 personnes qui composeront sa liste « Brest à Venir » pour les municipales. Une liste où l’on ne trouve aucun élu sortant.

    7 % avec Hubert Casel en 2001, 9 % avec Céline Mandon en 2008, 8 % avec Quentin Marchand en 2014… Sans le Parti communiste qui reste toujours solidement arrimé à François Cuillandre, la gauche de la gauche brestoise n’est jamais parvenue à franchir la barre des 10 % lors des municipales.

    Qu’en sera-t-il cette fois-ci ? Pierre-Yves Cadalen est confiant. Il l’affirme : « On sent une dynamique ample, profonde sur le terrain, avec des thèmes qui sont arrivés à maturité dans le pays, comme la gratuité totale des transports en commun, projet que nous sommes les seuls à porter. C’est une liste en accord avec les idées qui avancent dans le pays ».

    « Aucun élu sortant »

    La moyenne d’âge de la liste est de 47 ans. Outre son leader, finaliste des législatives de 2017, et sa suppléante de l’époque, Cécile Beaudouin, ils sont quelques-uns à avoir déjà brigué des mandats comme Hubert Casel, Christophe Osswald (fléché à la présidence de la métropole en cas de victoire), Alexandre l’Homme ou encore Arnaud Hell. « Mais il n’y a aucun élu sortant », précise la tête de liste, et cela n’est pas pour lui déplaire. « On a pris en compte le rejet légitime de nos institutions par nombre de concitoyens. Il y a un besoin réel de mener une autre politique qui s’ancre sur les impératifs de solidarité et d’écologie, avec une équipe qui sorte de la tambouille politicienne habituelle ».

    « Une liste capable de gouverner la ville »

    Mais inexpérience ne veut pas dire amateurisme. « On a une équipe hautement qualifiée, capable de gagner, et surtout capable de gouverner la ville derrière », insiste le chef des Insoumis. Environ la moitié des membres de la liste gravitaient déjà autour du cercle militant de la France Insoumise. Quatrième sur la liste, Olia Vatziou, médecin psychiatre de 34 ans est une transfuge de Génération.s.

    Les professions médicales ou scientifiques sont fortement représentées, de même que les enseignants. Mais l’on y trouve aussi des ouvriers, à l’image de Patrick Landuré, mécanicien naval, en cinquième position. Redonner l’envie de voter aux classes populaires qui ont déserté les urnes, c’est l’une des grandes motivations de Brest à Venir, dont le programme devrait être rendu public dans une dizaine de jours. Dans la dernière ligne droite avant le premier tour, « une belle surprise est prévue ».

    Jean-Luc Padellec

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • À Brest, Pierre-Yves Cadalen (France insoumise) dévoile sa liste pour la municipale (OF.fr-6/02/20-10h57)

    Le candidat de la France insoumise à la mairie de Brest présente les 55 noms de la liste « Brest à venir » qu’il conduira lors de la municipale des 15 et 22 mars. Il la présente comme la liste de « l’alternative populaire ».

    Il est le deuxième à le faire, après François Cuillandre, maire sortant de Brest. Pierre-Yves Cadalen a dévoilé la composition de la liste qu’il conduira lors de l’élection municipale à Brest. Investi par la France insoumise, il s’agit de sa deuxième candidature à une élection à Brest, après la législative de 2017.

     

    Les 55 noms de Brest à venir

    1. Pierre-Yves Cadalen, 27 ans, enseignant-chercheur.

    2. Pauline Lesquivit, 35 ans, infirmière.

    3. Christophe Osswald, 44 ans, enseignant-chercheur.

    4. Olia Vatziou, 34 ans, médecin psychiatre

    5. Patrick Landuré, 44 ans, mécanicien naval

    6. Maryvonne Cariou, 65 ans, retraitée

    7. Rémi Vandeplanque, 41 ans, douanier maritime

    8. Lili Le Bour, 33 ans, enseignante

    9. Benjamin Le Guennec, 30 ans, animateur socio-culturel

    10. Laurence Corre, 50 ans, retraitée

    11. Jean-Luc Pierres, 48 ans, artisan

    12. Cécile Beaudouin, 27 ans, enseignante

    13. Loïc Djian, 41 ans, directeur Business Unit entreprise

    14. Fanny Lepeytre, 35 ans, médiatrice

    15. Arnaud Pinvidic, 44 ans, gestionnaire de patrimoine

    16. Émilie Rivoalen, 40 ans, vendeuse

    17. Philippe Blouin, 61 ans, cadre de l’emploi

    18. Isabelle Quéré, 42 ans, technicienne audiovisuel

    19. Erwan Seys, 22 ans, éudiant

    20. Gaëlle Le Lay, 35 ans, enseignante

    21. Florian Verney, 31 ans, directeur d’études BTP

    22. Anne-Catherine Suquet, 63 ans, retraitée

    23. René Gentric, 61 ans, enseignant

    24. Claire Tito, 35 ans, ingénieure de recherche

    25. Pierre Smolarz, 37 ans, maître-nageur

    26. Fabienne Dubois, 43 ans, enseignante

    27. Alexandre Lhomme, 39 ans, technicien informatique

    28. Michèle Jarron, 72 ans, retraitée

    29. Antoine Larfaoui, 28 ans, salarié

    30. Huguette Murat, 71 ans, retraitée

    31. Gaëtan Pallier, 22 ans, animateur

    32. Nathalie Le Bouill, 52 ans, enseignante

    33. Joseph Bekkari, 49 ans, photographe

    34. Édith Boulo, 50 ans, documentaliste

    35. Hubert Casel, 64 ans, retraité

    36. Pascale Jauny, 57 ans, retraitée

    37. Karim Sobhi, 48 ans, fonctionnaire de la Défense

    38. Isabelle Bihannic, 54 ans, responsable qualité

    39. Marc Suquet, 64 ans, retraité

    40. Anne Donval, 65 ans, retraité

    41. Ricardo Silva Jacinto, 50 ans, océanographe

    42. Lauryanne Istin, 36 ans, enseignante

    43. Rafael Montes, 44 ans, chauffeur

    44. Claire Le Bail, 51 ans, adjointe administrative

    45. Serge Nicolie, 53 ans, directeur d’entreprise

    46. Catherine Marc, 65 ans, psychologue

    47. Gérard Roump, 58 ans, conducteur de bus

    48. Margot Dejeux, 20 ans, étudiante en sociologie

    49. Arnaud Hell, 73 ans, retraité

    50. Pascale Retout, 58 ans, médecin scolaire

    51. Léo Keriou, 27 ans, chaudronnier en formation

    52. Irène Ménat, 71 ans, retraitée

    53. Émile Galle, 73 ans, retraité

    54. Rachel Guillou-Le Goïc, 18 ans, lycéenne

    55. Jean-Yves Marc, 80 ans, retraité

     

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  • Brest-Les noms des 55 colistiers de « Brest à Venir » (LT.fr-6/02/20-9h14)Pierre-Yves Cadalen et ses colisitiers de « Brest à venir ». Absents sur la photo : Rémi Vandelplanque ; Cécile Beaudouin ; Fabienne Dubois ; Gaëtan Pallier ; Rachel Guillou-Le Goïc. (Brest à venir)

    Tête de liste de « Brest à venir », Pierre-Yves Cadalen, candidat de La France Insoumise aux municipales, a présenté ses colistiers, ce jeudi matin.

    Cinquante-cinq noms figurent sur la liste de « Brest à venir » portée par Pierre-Yves Cadalen, qui était aussi le candidat de La France Insoumise aux législatives de 2017 dans la 2e circonscription du Finistère. Ci-dessous, les 55 noms, par ordre d’éligibilité.

    1. Pierre-Yves Cadalen, 27 ans, enseignant-chercheur ; 2. Pauline Lesquivit, 35 ans, infirmière ; 3. Christophe Osswald, 44 ans, enseignant-chercheur ; 4. Olia Vatziou, 34 ans, médecin psychiatre ; 5. Patrick Landuré, 44 ans, mécanicien naval ; 6. Maryvonne Cariou, 65 ans, prof de français à la retraite ; 7. Rémi Vandeplanque, 41 ans, douanier maritime ; 8.Lili Le Bour, 33 ans, prof des écoles ; 9. Benjamin Le Guennec, 30 ans, animateur socio-culturel ; 10. Laurence Corre, 50 ans, ouvrière de l’arsenal à la retraite ; 11. Jean-Luc Pierres, 48 ans, artisan carreleur ; 12. Cécile Beaudouin, 27 ans, prof ; 13. Loïc Djian, 41 ans, directeur business unit entreprise ; 14. Fanny Lepeytre, 35 ans, médiatrice ; 15. Arnaud Pinvidic, 44 ans, gestionnaire du patrimoine ; 16. Émilie Rivoalen, 40 ans, vendeuse ; 17. Philippe Blouin, 61 ans, cadre de l’emploi ; 18. Isabelle Quéré, 42 ans, technicienne audiovisuelle ; 19. Erwan Seys, 22 ans, étudiant en Histoire ; 20. Gaëlle Le Lay, 35 ans, prof d’Histoire ; 21. Florian Verney, 31 ans, directeur d’études BTP ; 22. Anne-Catherine Suquet, 63 ans, infirmière retraitée ; 23. René Gentric, 61 ans, prof de philosophie ; 24. Claire Tito, 35 ans, ingénieure de recherche en écologie ; 25. Pierre Smorlarz, 37 ans, maître-nageur ; 26. Fabienne Dubois, 43 ans, prof de mathématiques ; 27. Alexandre Lhomme, 39 ans, technicien informatique ; 28. Michèle Jarron, 72 ans, enseignante retraitée ; 29. Antoine Larfaoui, 28 ans, salarié ; 30. Huguette Murat, 71 ans, éducatrice retraitée ; 31. Gaëtan Pallier, 22 ans, animateur ; 32. Nathalie Le Bouill, 52 ans, prof d’espagnol ; 33. Joseph Bekkari, 49 ans, photographe ; 34. Édith Boulo, 50 ans, documentaliste ; 35. Hubert Casel, 64 ans, ingénieur retraité ; 36. Pascale Jauny, 57 ans, mère au foyer retraitée ; 37. Karim Sobhi, 48 ans, fonctionnaire de la Défense ; 38. Isabelle Bihannic, 54 ans, responsable qualité en menuiserie ; 39. Marc Suquet, 64 ans, chercheur retraité ; 40. Anne Donval, 65 ans, ingénieure en biologie retraitée ; 41. Ricardo Silva Jacinto, 50 ans, océanographe ; 42. Lauryanne Istin, 36 ans, enseignante ; 43. Rafaël Montes, 44 ans, chauffeur ; 44. Claire Le Bail, 51 ans, adjointe administrative ; 45. Serge Nicolie, 53 ans, directeur d’entreprise ; 46. Catherine Marc, 65 ans, psychologue ; 47. Gérard Roump, 58 ans, conducteur de bus ; 48. Margot Dejeux, 20 ans, étudiante en sociologie ; 49. Arnaud Hell, 73 ans, prof d’économie retraité ; 50. Pascale Retout, 58 ans, médecin scolaire ; 50. Irène Ménat, 71 ans, psychologue retraitée ; 51. Léo Kériou, 27 ans, chaudronnier en formation ; 52. Irène Ménat, 71 ans, psychologue retraitée ; 53. Émile Galle, 73 ans, métallurgiste retraité ; 54. Rachel Guillou-Le Goïc, 18 ans, lycéenne ; 55. Jean-Yves Marc, 80 ans, ouvrier de l’arsenal retraité.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Entretien du 4/02/2020 avec Annie Lacroix-Riz, professeur d'histoire contemporaine, à l’université Paris VII. Elle était interrogée au sujet du 75e anniversaire des accords de Yalta, un des piliers de la « légende noire » de l’URSS. Du 4 au 11 février 1945, Joseph Staline, Winston Churchill et Franklin D. Roosevelt se réunirent en Crimée afin d’hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, et de garantir la stabilité du nouvel ordre mondial après la victoire.

    Cet entretien peut être complétée par les éléments suivants :

    ♦ Sur l’URSS et l’« Occident », avant et pendant la guerre :

    « Le rôle de l’URSS dans la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945) », mai 2015, http://www.historiographie.info/urssww2mai2015v2.pdf; version courte : https://www.monde-diplomatique.fr/2005/05/LACROIX_RIZ/12194

    « Qui aidait Hitler? Souvenirs de l’ancien ambassadeur d’URSS en Grande-Bretagne, Ivan Maïski », Le Monde diplomatique, septembre 2014, p. 24, https://www.monde-diplomatique.fr/2014/09/LACROIX_RIZ/50806

    Le Vatican, l’Europe et le Reich de la Première Guerre mondiale à la Guerre froide (1914-1955), Paris, Armand Colin, édition complétée et révisée, 2010, 720 p., passim

    Le Choix de la défaite : les élites françaises dans les années 1930, Paris, Armand Colin, nouvelle édition complétée et révisée, 2010, 679 p., passim

    De Munich à Vichy, l’assassinat de la 3e République, 1938-1940, Paris, Armand Colin, 2008, 408 p., passim 

    ♦Sur la contribution de la Pologne dirigeante à l’agression allemande, antagonique avec l’actuelle présentation « européenne » et présidentielle :

    https://www.historiographie.info/polognefranceww2mai2015e.pdf

    https://www.historiographie.info/Actes%20P7%20Bons%20et%20mauvais%20%C3%A9trangers%20vus%20de%20l%E2%80%99int%C3%A9rieur.pdf

    Sur ses liens avec l’Église romaine, le Reich et la France,

    Le Vatican, passim; Le Choix de la défaite, index Beck, Pilsudski, Radziwill; De Munich à Vichy, index Beck, Radziwill

     

    source: Annie LACROIX-RIZ

     

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