• Éric Saintilan, tête de liste « Quimperlé, décidons ensemble » aux prochaines municipales en compagnie de certains colistiers

    Éric Saintilan conduira la liste « Quimperlé, décidons ensemble », déjà complète. Ses colistiers, dont certains déjà connus, seront présentés prochainement.

    Ce n’était pas des paroles en l’air. En quelques semaines, des militants issus du mouvement des Gilets jaunes, du milieu syndical, notamment de FO et de la CGT, et du tissu associatif, ont constitué une liste citoyenne pour les élections municipales, intitulée « Quimperlé, décidons ensemble ». S’ils se présentent sans étiquette et en dehors de tout parti politique, ces candidats ont en commun des « valeurs de gauche ». « La vraie gauche ! De notre point de vue, le PS n’en fait plus parti. Il n’y aura aucun rapprochement ni alliance entre les deux tours avec les autres listes Macron compatibles », prévient Éric Saintilan, désigné tête de liste par ses colistiers. Ces derniers n’ont pas encore arrêté leur place mais la liste est entrée en campagne. « Nous avons 35 noms, il nous faut choisir les 33 candidats », précise le chef de file pour mieux souligner l’élan autour de cette liste quand d’autres candidats annoncés peinent à boucler la leur. Dès ce vendredi matin, ils entreront en campagne à l’occasion du marché hebdomadaire, place Saint-Michel. « Mais nous sommes sur le front de la contestation sociale depuis de nombreux mois », rappellent-ils.

    Un mandat unique

     

    Ils pourront ainsi mesurer l’accueil des habitants aux grands axes de leur programme qui s’articulent autour de la démocratie participative, l’économie sociale et solidaire et la transition écologique. « Nous souhaitons mettre en place des conseils de quartier avec des budgets dédiés pour financer certains aménagements. Par ailleurs, nous voulons mettre en place trois assemblées : l’une à destination des habitants, une autre pour les associations locales et une troisième à destination des jeunes », précise Éric Saintilan, dans un souci de proximité et « de transparence ». Le chef de fille s’engage aussi à un seul mandat de maire, sans « être candidat à la présidence de Quimperlé communauté ». Le soutien à une agriculture « paysanne locale et bio », avec un marché permanent en centre-ville et un arrêté interdisant l’usage des pesticides, et la redynamisation du logement en centre-ville figurent aussi parmi les priorités. « Les autres candidats devront se positionner par rapport à nos projets ! » La campagne des municipales est lancée.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Municipales. La liste « Quimperlé, décidons ensemble », en lice (OF.fr-30/01/20-17h58)

    La liste qui se définit « citoyenne, sans étiquette, avec des valeurs de la vraie gauche », a mis à sa tête, Éric Saintilan. Le groupe de 35 personnes doit définir ses 33 futurs candidats pour les prochaines élections à Quimperlé (Finistère).

    Il y a 15 jours, le collectif Quimperlé, décidons ensemble, annonçait son intention de constituer une liste pour les prochaines élections municipales. C’est désormais officiel. Jeudi 30 janvier 2020, le groupe a présenté sa tête de liste, choisie en son sein : Éric Saintilan.

    « Cette liste est sans étiquette, souligne Éric Saintilan. Elle se compose de personnes venant de diverses associations, mouvements, de citoyens. Et certains, oui, ont porté des Gilets jaunes. » Elle est désormais plus que complète et se compose de 35 personnes. « Nous sommes la 2e liste à s’annoncer. Mais nous avons attendu d’être certains que le nombre de colistiers soit atteint. Les démarches d’enregistrement sont en cours. Nous allons être obligés d’arbitrer entre nous pour 33 noms. »

    Sur l’échiquier politique, la liste revendique « des idées qui s’inscrivent évidemment dans des valeurs de gauche. Ce qu’on appelle la vraie gauche. Il n’y aura aucune alliance possible avec des listes qui pourraient être Macron compatibles. »

    Participation citoyenne

    Si la liste Quimperlé, décidons ensemble, pose les premiers axes de son programme, elle signale tout de suite, qu’ils ne seront appliqués qu’avec l’accord de la population. « Pour mener la vie de la cité, nous envisageons l’instauration d’une démocratie partagée. » Avec la création de structures à l’échelle des quartiers, des conseils de quartiers par exemple, dotés  d’un budget participatif pour de petits aménagements ». 

    À l’échelle de la Ville, la liste envisage la mise en place de trois assemblées : une citoyenne, à l’image d’une agora, une dédiée au monde associatif, une aux jeunes, « pour faire émerger des idées ».

    Le deuxième axe important du futur programme est celui de l’écologie et de l’environnement : demander à la population si elle désire qu’un arrêté anti-pesticide soit pris, développer l’offre de logements en ville, rencontrer les propriétaires de logements vides, ouvrir un bureau relais dédié à la rénovation de l’habitat, protéger les zones de captages d’eau. « Le programme sera co-construit », explique Michel Tobie, membre de la liste.

    À la clé aussi, le développement de l’agriculture locale, la mise en place d’un marché de producteurs, le développement des emplois de proximité en lien avec la transition écologique.

    Le troisième axe se développera autour de l’économie sociale et solidaire, « pour garder les jeunes dans la cité » et valoriser « les compétences des personnes âgées. »

    Quimperlé, décidons ensemble prône le mandat unique pour le futur maire et le non-cumul des mandats et des indemnités. Éric Saintilan, s’il est élu, ne candidaterait donc pas à la présidence de la communauté d’agglomération. La liste mise également sur la transparence des données publiques.

    La campagne commence dès vendredi 31 janvier 2020 sur le marché de Quimperlé, mais les dates de réunions publiques ne sont pas encore fixées.

    Béatrice GRIESINGER.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Brest. 200 personnes pour dire non à Marine Le Pen (OF.fr-30/01/20-13h22)

    Ils se sont rassemblés à 12 h 30 dans le centre-ville de Brest (Finistère). Soit trois heures avant la venue de la leader du Rassemblement national, Marine Le Pen, pour officialiser la candidature de Renée Thomaïdis aux municipales.

    À 12 h 30, rendez-vous était pris pour un pique-nique devant l’hôtel Continental du centre-ville de Brest (Finistère), à l’appel de 18 organisations syndicales et politiques.

    Trois heures plus tard, dans l’établissement en question, Marine Le Pen devait présenter officiellement la candidate du Rassemblement national pour les élections municipales, Renée Thomaïdis.

    Le pique-nique, peut-être à cause du temps, a tourné au traditionnel rassemblement avec prise de parole des différentes forces syndicales et politiques de gauche.

     

    «Idées nocives»

    Pour la CGT, Olivier Pichon a été le premier à s’exprimer. « Quand nous avons appris que Marine Le Pen était à Brest aujourd’hui, on a pensé qu’il était nécessaire de dénoncer la présence de quelqu’un que nous ne souhaitons pas voir à Brest, compte tenu des idées nocives et dangereuses qu’elle porte », a-t-il indiqué.

    Plusieurs représentants d’organisations syndicales et politiques ont aussi pris la parole. «En six ans, pas un Brestois n’a vu le FN», a notamment lancé Pierre-Yves Cadalen, tête de liste LFI aux élections municipales.

    Peu après 14 h 30, une centaine de personnes étaient toujours présentes devant le Continental. Les policiers aussi, barrant l’accès à l’hôtel.

    Face à face entre policiers et manifestants

    Vers 16 h, les policiers font face aux manifestants, devant la permanence départementale du Rassemblement national.

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  • Un comité d'accueil antifasciste attend l'arrivée de Marine le Pen à Brest

    À l’appel de 17 organisations syndicales, politiques et associatives, environ 200 personnes manifestent ce jeudi midi devant l’hôtel où doit se rendre cet après-midi Marine Le Pen. À 14 h, la police bloque l’entrée de l’hôtel, après que des personnes sont entrées dans le hall. Le Rassemblement National a finalement décidé de déplacer le lieu de sa conférence de presse. 

    « Non, le Rassemblement national n’est pas un parti comme les autres ». À l’appel de 17 organisations de la gauche brestoise, environ 200 personnes sont réunies, ce jeudi midi, pour un « pique-nique antifasciste » devant l’hôtel qui doit accueillir Marine Le Pen cet après-midi. La présidente du RN vient soutenir la candidate de son parti aux municipales. « Il est absolument nécessaire de dénoncer les idées nocives et dangereuses du parti présidé par Marine Le Pen. Mais aussi de mettre en lumière le discours menteur de ce parti qui prétend être un débouché politique à la mobilisation sociale sur les retraites », s’est exprimé Olivier Le Pichon, patron de l’Union locale de la CGT.

    Olivier Le Pichon a proposé aux manifestants de déposer plainte, suite « aux menaces de Gilles Pennelle », figure principale du RN en Bretagne, dans Le Télégramme. S’adressant aux organisations de gauche, Gilles Pennelle a déclaré : « On s’en occupera particulièrement quand on sera au pouvoir, c’est-à-dire très prochainement, et on les mettra hors d’état de nuire ».

     

    Au cours de leurs prises de parole, plusieurs responsables politiques et syndicaux ont « dénoncé le vrai visage du RN, celui qui veut terroriser et détruire la République ».

    A 14 h, la police bloque l'entrée de l'hôtel.À 14 h, la police bloque l’entrée de l’hôtel. 

    Les policiers bloquent l’entrée de l’hôtel

    Depuis 13 h 30, des policiers du commissariat de Brest bloquent l’entrée de l’hôtel où, quelques minutes auparavant, des manifestants (de la mouvance « antifas ») avaient fait irruption. Ils n’auront finalement pas croisé la route de la présidente du Rassemblement National : la conférence de Marine Le Pen, prévue à 15 h 30, a en effet été déplacée d’endroit. Pour rappel, la présidente nationale du Rassemblement national est présente ce jeudi afin de lancer la campagne de Renée Thomaïdis, la candidate du RN à Brest. 

    Jean-Luc Padellec

    source: https://www.letelegramme.fr

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  • Réforme des retraites : près de 170 personnes ont manifesté à Quimperlé ce mercredi (LT.fr-29/01/20-11h02)Près de 150 personnes étaient au départ de la manifestation contre la réforme des retraites, ce mercredi, à Quimperlé.   

    Les opposants à la réforme des retraites restent déterminés. Ce mercredi matin, près de 170 personnes ont pris part à la manifestation à Quimperlé.

    Onzième manifestation contre la réforme des retraites à Quimperlé. Près de 150 manifestants étaient dans le cortège, qui est parti du parking devant le stade Jean-Charter. Le parcours a été réduit de moitié par rapport à ce que l’intersyndicale avait annoncé. Des prises de parole ont eu lieu rue Victor-Schoelcher.

    Manif Qiumperlé 29 janvier 2020Près de 150 personnes étaient au départ de la manifestation contre la réforme des retraites, ce mercredi, à Quimperlé.

    Le cortège ouvert par la CGT des PdM s’est arrêté au rond-point de Kervail. Dans sa prise de parole, Alain Le Garrec, délégué CGT des PdM, a regretté que le parcours de la manifestation ait été réduit de moitié.

    Manif Quimperlé 29 janvier 2020Le mouvement a rassemblé au plus fort du mouvement quelque 170 personnes. 

    source: https://www.letelegramme.fr/            

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  • Eric SAINTILAN tête de liste "Quimperlé, décidons ensemble" s'adresse aux Gilets Jaunes et annonce une conférence de presse ce jeudi 30 janvier à 15 heures 

     

    Lettre aux Gilets Jaunes du Pays de Quimperlé

    Formidables Gilets Jaunes (GJ) ! Notre "Mouvement génial des Justes" vit une nouvelle forme de lutte sur la commune de Quimperlé, (ainsi qu'à Moëlan/mer)...avec notre implication au sein de listes-citoyennes.

    Je viens ici vers vous pour expliquer notre démarche, afin que vous compreniez qu'il ne s'agit aucunement d'un "abandon" ni d'une "trahison", encore moins d'une "soumission" à ce système qui reste notre "ennemi" !

    Dans un premier temps, notre intention était seulement de profiter de la période électorale pour faire de "l'éducation populaire" (= ouvrir les oreilles et les yeux des Français) et obliger les listes déclarées à se positionner sur des sujets aussi importants que "la Démocratie participative", "l'urgence environnementale", "le social" et nos Valeurs qui revendiquent la "supériorité" de l'Humain sur l'argent, davantage de justice fiscale et sociale, le respect de "ceux qui ne sont rien", etc. !

    En quelques mots, mettre sur la scène médiatico-politique le RIC, la fin du mois, la fin du monde et la nécessité absolue d'agir sur LA cause majeure des maux de l'Humanité, savoir le néo-libéralisme qui lamine sans aucun scrupule les Humains et détruit sans états-d'âmes notre seule Planète où nous voulons que nos enfants vivent heureux, en bonne santé et libres !

    Notre message, nos "revendications" sont tellement légitimes et fondés...que d'autres personnes sont venues s'agglomérer à notre noyau GJ...

    Autre conjonction favorable : afin d'inciter les Citoyens à s'inscrire pour demander un Référendum sur la privatisation des Aéroports de Paris (ADP), une coordination regroupant divers organismes, associations, syndicats, partis politiques et les GJ de Quimperlé (!) a permis de nous faire reconnaître comme des Citoyens engagés (+++), militants (+++) et "fréquentables"....

    Depuis juin 2019, et jusqu'à décembre, certains de chez nous ont été "héroïques" sur les marchés de Moëlan et Quimperlé ! Les liens se sont tissés avec des Militants de partis ou syndicaux ou associatifs ; NOTRE ENGAGEMENT A RÉVEILLÉ LE CAMP DU PEUPLE !!!!!

    Et nous voilà entourés de ces Militants, qui se reconnaissent dans nos Valeurs, qui sortent de leur "chapelle", qui abandonnent leurs doctrines idéologiques, qui revendiquent avec nous ce que nous dénonçons depuis plus de 14 mois !!!

    Et nous voilà catalyseurs d'Énergies citoyennes nobles !

    Ces Militants (partisans et syndicaux) font passer aujourd'hui l'intérêt commun (pour Quimperlé) avant leur idéologie partisane et sans se soucier si leurs instances nationales approuvent ou pas !

    A l'échelle de notre Ville, nous réalisons un CMR = Conseil Municipal de la Rupture !!

    Alors vous, mes formidables Amies et Amis, pouvez être -modestement !- fier(e)s : nos multiples formes de luttes (Soweto-Gilets Jaunes, manifs, actions citoyennes, participations aux débats citoyens, désobéissances civiles, etc., tous nos efforts désespérés pour infléchir la trajectoire inhumaine de Macron, du Nouvel Ordre Mondial, tous nos sacrifices, les blessures et mutilations de certains, trouvent en ce moment une forme de victoire, certes minime face au rouleau compresseur du totalitarisme marchand, mais une première victoire : nous avons réveillé les Citoyens qui ont encore un cerveau ! Nous avons aujourd'hui fédéré ces forces pour "libérer" Quimperlé !!

    Nous devons oeuvrer pour faire la même chose en 2022 !!

    Un seul Candidat pour le Camp populaire ! Aux présidentielles et dans chaque circonscription !

    Le multi-partisme fait "la machine à perdre" !

    A l'inverse, l'UNION fait la Victoire !!!

    Formidables Gilets Jaunes, mes Ami(e)s de Coeur et de Lutte, notre Collectif de Quimperlé est fortement impliqué dans cette bataille pour obtenir la majorité à la mairie de Qlé ; la liste constituée m'a désigné pour être le Porte-Parole, votre Porte-Parole !

    Le premier tour des élections, c'est le 15 mars ; (NB :date limite d'inscription sur les listes électorales = 07 février ) ; nous ferons plus que 10 % des voix ! "Nous ne vendrons pas notre âme au diable", donc aucune alliance avec une autre liste, nous gagnerons seuls ! Sans aucune compromission !

    Le deuxième tour c'est le 22 mars.

    La "révolution citoyenne" est sur les rails, mais nous avons besoin de rester ensemble !

    Aucun budget, excepté celui que nous mettons personnellement en "avance de frais de campagne" ;

    aucune aide de la presse...

    nous allons fortement déranger les plans de certains...

    Déjà plusieurs de notre Collectif GJ Pays de Quimperlé, bien que non-éligibles sur Quimperlé, sont fortement impliqués avec notre Liste ! Nous aurons absolument besoin de nombreuses présences militantes de terrain ! Tractages, porte-à-porte, présence sur les marchés et auprès de la population, nous pouvons réussir le pari d'être la liste majoritaire au deuxième tour !

    Donc jusqu'au 22 mars, toutes les réunions et AG strictement GJ sont suspendues (jeudi et dimanche à 18h00 au QG) ; mais la lutte pour reconquérir la souveraineté citoyenne est engagée !

    Alors rdv jeudi 30 janvier 2020 à 15h00 autour du hangar-entrepôt sur le terre-plein de la gare de Quimperlé, nous y tiendrons notre conférence de presse et l'équipe "communication" va filmer l'entretien avec les journalistes ; soyons nombreux pour montrer aux autres listes et à la population que notre détermination à proposer une "rupture" est forte et mobilisatrice !

    "On lâche rien !"

    "Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin"

    "l'Union fait la Force !"

     

    Eric Saintilan

    Tête de Liste "Quimperlé, décidons ensemble".

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  • Déclaration de l'ARC29/PRCF

    A Brest, comme ailleurs, Marine Le Pen n'est pas la bienvenue ! -déclaration de l'ARC29/PRCF

     

    A BREST COMME AILLEURS

    MARINE LE PEN N’EST PAS LA BIENVENUE !

     

    Ce jeudi 30 janvier, Marine Le Pen sera à Brest pour donner une conférence de presse en soutien à la liste présentée par le Rassemblement National aux élections municipales.

    Comment promouvoir une alternative démocratique et révolutionnaire (localement ou nationalement) face aux partisans de Macron et à ceux de sa concurrente Marine Le Pen. La tâche principale est de briser l’étau politique qui tente de broyer toute possibilité d’alternative populaire entre les deux machoires d’un piège formé d’un côté par la droite néo-thatchérienne de Macron et de l’autre par le Rassemblement National et ses satellites de la galaxie xénophobe.

    Les premiers (les macronistes) ne sont pas moins fascisants que les seconds. Il n’y a qu’à voir comment ils ont justifié la mutilation par la police de dizaines de gilets jaunes ou comment l’Etat macroniste traite les migrants.

    Les seconds (les lepenistes) ne sont pas plus “patriotes” ou “sociaux” que les premiers. Marine Le Pen a renoncé à toute idée de sortie de l’Union européenne, de reconquête de la souveraineté populaire et nationale, de défense des libertés et de l’autonomie des communes; elle ne pipe mot contre l’OTAN, contre l’envahissement du “globish” jusque dans les écoles de la République. Faible envers les capitalistes “français” qui détruisent la nation à coups de délocalisations, Marine Le Pen n’est dure qu’envers les travailleurs immigrés qui peinent sur les chantiers, dans les usines et sur les bateaux à côté des prolétaires français.

    Pour briser cet étau politique le Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF) appelle les travailleuses et les travailleurs du pays de Brest:

    ►à la reconstruction d’un parti communiste de combat,

    ►à la mise en place d’un Front antifasciste, patriotique, populaire et écologiste centré sur le monde du travail,

    ►au frexit progressiste pour ouvrir la voie au socialisme pour la France.

     

    TOUTES ET TOUS AU PIQUE-NIQUE ANTIFASCISTE

    jeudi 30 janvier 2020 à partir de 12 heures 30

    square La Tour d’Auvergne (devant l’Hôtel Continental)

     

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  • Les policiers « veulent nous intimider », estiment les lycéens  (LT.fr-29/01/20-15h24)Un des lycéens a pris la parole place de la Résistance et a été très applaudi.

    Les quelques lycéens qui ont participé à la manifestation de ce mercredi à Quimper restent marqués par l’interpellation de deux des leurs, lors du rassemblement du 16 janvier.

    « Je n’arrive toujours pas à dormir la nuit ». Romane (*) se souvient du 16 janvier avec la boule au ventre. Ce jour-là, deux lycéens, âgés de 15 et 17 ans, avaient été interpellés, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites à Quimper, pour entrave à la circulation et participation à une manifestation non déclarée. Ils avaient été placés en garde à vue. Ils sont convoqués, le 14 février, devant le délégué du procureur. « Ils étaient terrorisés », rapporte Yann Foucher, secrétaire départemental de la FSU (Fédération syndicale unitaire). Contactée, la commissaire, Iris Tenu, livre une autre version : « La seule fois où je les ai vus, c’était pour leur signifier qu’ils participaient à une manifestation non déclarée et je les ai vouvoyés ». Yann Foucher n’en démord pas : « Ils essaient de casser les jeunes. Mais ils ont besoin de rêver, de se mobiliser, de s’impliquer dans la société, d’exprimer leurs opinions. Quel avenir leur prépare-t-on, en les brisant ainsi ? », s’interroge-t-il.

    manif retraiteDes soutiens aux lycéens interpellés s’étaient réunis devant le commissariat de Quimper, le 16 janvier.

    « Je ne pense pas que les policiers agissent de gaieté de cœur »

    Reste que l’inquiétude s’est immiscée parmi les adolescents. « Ils veulent nous intimider », estime Romane. Certains craignent d’être reconnus, puis arrêtés arbitrairement. « Je suis sûr que des consignes ont été données pour faire en sorte qu’ils aient peur de sortir manifester. Ils savent bien que si la jeunesse descend dans la rue, ça va changer la donne », analyse Baptiste (*), qui a délivré un discours très applaudi, place de la Résistance, ce mercredi, avant que le cortège, rassemblant près de 550 personnes, ne se mette en branle pour arpenter les quais de l’Odet. « Nous voyons une police aux ordres du gouvernement. Cependant, je ne pense pas les policiers agissent de gaieté de cœur, mais ils sont tellement sous tension, qu’ils craquent », estime Pascal Petit, candidat aux municipales sur la liste « Choisir l’écologie ».

    (*) Les prénoms ont été modifiés à la demande des intéressés.

    Lannig Stervinou

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Contre la réforme des retraites, 550 manifestants dans la rue à Quimper (OF.fr-29/01/20-12h54)

    Ils étaient 550 à manifester, une nouvelle fois ce mercredi 29 janvier 2020, contre la réforme des retraites à Quimper.

    ls répondaient à l’appel de l’intersyndicale (CGT, Solidaires, FSU, FO). Quelque 550 manifestants ont défilé, ce mercredi 29 janvier 2020 dans le centre-ville de Quimper (Finistère). Des Gilets jaunes ainsi que quelques lycéens étaient aussi du rassemblement.

    Toujours dans le viseur des manifestants, la réforme des retraites. Lors de la prise de parole collective, l’intersyndicale a dénoncé une réforme volontairement ambiguë. La seule chose que tout le monde a comprise, c’est qu’il faudra travailler au moins jusqu’à 64 ans, 65 et même 66 pour la génération d’après 1990. L’âge pivot est un rideau de fumée.

    « La seule conclusion qui s’impose : le retrait »

    Actualité qui pousse les manifestants à se mobiliser : L’avis très critique à l’égard du texte présenté par le gouvernement émis par le Conseil d’État, la plus haute juridiction administrative. Vendredi 24 janvier, 1 700 personnes défilaient dans le centre-ville de Quimper contre cette réforme. Ce mercredi, ils n’étaient plus que 550. Pour autant, pas de quoi démobiliser les plus convaincus. « Le gouvernement doit entendre le mécontentement social sur son projet de réforme et en tirer la seule conclusion qui s’impose : le retrait »,conclut l’intersyndicale, dans son communiqué, lu à l’ensemble des manifestants.

    De nouveaux rassemblements sont prévus. Mais ils ne sont pas encore programmés : CGT, Solidaires, FSU et FO doivent se réunir, ces prochains jours, afin de convenir de nouvelles mobilisations.

    Basile CAILLAUD

    source: https://www.ouest-france.fr/

    Contre la réforme des retraites, 550 manifestants dans la rue à Quimper (OF.fr-29/01/20-12h54)

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  • 550 manifestants à Quimper contre la réforme des retraites  (LT.fr-29/01/20-12h54)

    Ils étaient 1 700 le 24 janvier, ils n’étaient plus que 550 ce mercredi, à défiler dans les rues de Quimper contre le projet de loi de la réforme des retraites.

    Leur nombre s’étiole mais leur motivation ne s’éteint pas. Ce mercredi matin, ils étaient 550 à manifester dans les rues de Quimper à l’appel des syndicats, pour exiger que le gouvernement retire le projet de la réforme des retraites. Dans les rangs revenait sans cesse une interrogation autour d’une certaine volonté d’intimidation du gouvernement pour faire taire les voix dissidentes. « On n’est pas des black blocs, faut pas exagérer ! Nous ne sommes pas d’accord et estimons que nous avons le droit de le dire », indique Yann Foucher, secrétaire départemental de la FSU (Fédération syndicale unitaire). « Une chose est certaine, c’est que cela va se faire sentir dans les urnes », ajoute-t-il.

    La manifestation de ce mercredi s’est déroulée sans heurts, avec une présence minimale des forces de l’ordre. À noter toutefois, le bruit des volets de fer de la préfecture, fermés à la hâte, à l’approche des manifestants. Preuve que les autorités ne sont pas vraiment certaines des intentions pacifistes affirmées par les participants.

    La huitième journée de mobilisation nationale s’est achevée sans heurts, à Quimper peu après midi.La huitième journée de mobilisation nationale s’est achevée sans heurts, à Quimper peu après midi

    L’avis du Conseil d’État

    « 61 % des Français ne veulent pas de cette réforme et le projet va être passé au forceps, c’est indécent. Il est évident que cela crée de la colère », constate Yvonne Rainero, porte-parole du Parti communiste français à Quimper et membre de la liste Quimper Ensemble menée par Isabelle Assih. Elle souligne que le Conseil d’État lui-même, « vient de rendre un avis accablant sur ce projet : manque de sincérité, de visibilité, caractère lacunaire, risque de porter atteinte à la substance des droits à une pension de retraite ».

    Les slogans gouvernementaux sur l’universalité et le fait que chaque euro cotisé donnerait les mêmes droits ne résistent pas non plus à son examen. « De mémoire, je n’ai jamais vu un avis aussi dur du Conseil d’État et pourtant, on ne peut pas le taxer de gauchisme », ironise-t-elle. Pour la femme politique : « Ce projet n’est ni juste, ni universel, il porte en lui une dégradation généralisée du niveau des pensions ». Karine Goanec, secrétaire générale CGT du centre hospitalier de Cornouaille considère que « la politique globale de ce gouvernement entraîne la détérioration du service public ». Elle tient à rappeler, en tant que professionnelle du soin, et en référence à l’âge pivot, que « l’espérance de vie en bonne santé d’un homme est de 63 ans ».

    Lanning STERVINOU

    source: https://www.letelegramme.fr/

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