• Hopital de Cornouaille-Les manifestants déposeront une motion à l’ARS jeudi (LT.fr-8/11.19-17h25)La reconduite du mouvement des agents du centre hospitalier de Cornouaille a été massivement votée jeudi après-midi. Un défilé de l’hôpital à l’ARS du Finistère, à Quimper, est notamment prévu jeudi 14 novembre.

     

    La mobilisation des agents du centre hospitalier de Cornouaille va se poursuivre jeudi 14 novembre. En plus d’un rassemble-ment devant l’établissement, un défilé jusqu’à l’ARS de Quimper est prévu.

    Jeudi après-midi, près de 500 agents du centre hospitalier de Cornouaille (Chic), à Quimper, se sont rassemblés afin de protester contre la nouvelle régulation des jours RTT imposée par la direction de l’établissement. 

    «En lien avec la mobilisation nationale du secteur de la santé sur le Plan de financement de la Sécurité sociale  pour 2020, et faisant suite au vote massif du personnel, l’intersyndicale CGT- CFDT-Sud Santé reconduit, le jeudi 14 novembre, le mouvement local sur l’aménagement de la réduction du temps de travail au Chic », ont indiqué les syndicats, ce vendredi, dans un communiqué.

    Pour ce troisième jeudi de mobilisation, le rendez-vous a été fixé à 14 h 45 à l’entrée de l’hôpital. Mais contrairement aux fois précédentes, le cortège, qui pourrait compter autant voire plus de manifestants selon les syndicats, sortira du périmètre du centre hospitalier pour se rendre à l’antenne finistérienne de l’Agence régionale de santé (ARS), à Quimper, « afin d’y déposer une motion ». 

     
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  • Les porte-parole du collectif des gilets jaunes du pays de Quimperlé appellent à manifester samedi 16 novembre en ville pour célébrer l’anniversaire du mouvement

    Le collectif des Gilets jaunes du pays de Quimperlé appelle à manifester, samedi 16 novembre, dans le centre-ville. Un an après le début du mouvement qui avait rassemblé des dizaines de personnes au rond-point de Kervidanou.

    Ne leur dîtes pas qu’ils sont de retour ! Les irréductibles gilets jaunes, installés depuis février sur un terrain leur campement à proximité du rond-point de Kroaz-Chuz, répondront qu’ils n’ont jamais quitté le terrain de la protestation. « Nous continuons à nous réunir chaque jeudi et dimanche en fin d’après-midi », rappellent-ils. Même si les troupes sont clairsemées et la mobilisation s’est essoufflée, le mouvement n’est pas éteint. D’ailleurs, le collectif des Gilets jaunes du pays de Quimperlé a décidé de célébrer l’anniversaire de la première manifestation, le samedi 16 novembre. « Nous avons déposé, à la Police municipale, le parcours organisé dans le centre-ville », précisent les porte-parole. Le rassemblement est prévu place Winston-Churchill. Les manifestants se dirigeront ensuite vers la place Saint-Michel pour une première prise de parole, devant la Poste, sur la défense des services publics. Puis ils rallieront la place Arthur-Courtier, pour une nouvelle prise de parole sur le thème de l’urgence écologique. Ils rejoindront le parvis de la gare pour la dernière prise de parole sur le pouvoir d’achat avant de revenir au point de départ.

    Chansons et cahier de doléances

    Aucun passage symbolique n’est prévu au rond-point de Kervidanou, là où tout a commencé à Quimperlé, le 17 novembre 2018. « Nous n’appelons pas à un retour sur le rond-point, mais chacun est libre de s’y rendre », annoncent les organisateurs qui prolongeront la journée à l’étage du gymnase de Kerjouanneau. « Avant l’après-midi festive, nous inviterons les participants à un pique-nique sur notre site », précisent-ils. Puis place à la musique avec le concours de l’association Léz’Arts sonnés. Durant l’après-midi, le collectif projettera un film documentaire, intitulé « Ne vivons plus comme des esclaves », sur les mouvements sociaux qui ont secoué la Grèce en 2011. « Nous ouvrirons aussi un cahier de doléances que nous soumettrons aux candidats à la prochaine élection municipale à Quimperlé », indique le collectif qui espère mobiliser au-delà des seuls sympathisants des Gilets jaunes. « La convergence des luttes est nécessaire. Nous participerons à la manifestation du 5 décembre contre la réforme des retraites ».


    Pratique
    Rassemblement samedi 16 novembre, à 10 h 30, place Winston-Churchill. Scène musicale de 14 h à 19 h à l’étage du gymnase de Kerjouanneau.

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • Anticommunisme et eurofascisation : entretien avec F Kassem. “tous ensemble, manifestons à Paris le samedi 9 novembre” (IC.fr-4/11/19)

     

    Entretien d’Initiative communiste avec , secrétaire général adjoint du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF)

    INITIATIVE COMMUNISTE : Le 19 septembre 2019, le Parlement européen a adopté à une large majorité une résolution « sur l’importance de la mémoire pour l’avenir de l’Europe ». Derrière cet intitulé, pourquoi peut-on dire qu’il s’agit d’un texte révisionniste et falsifiant l’Histoire ?

    Fadi Kassem : Cette résolution s’inscrit dans la continuité d’un ensemble de textes déjà adoptés précédemment, telles « la résolution 1481 sur la nécessité d’une condamnation internationale des crimes des régimes communistes totalitaires » (adoptée par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 26 janvier 2006), ou la « déclaration sur la conscience européenne et le communisme » (adoptée à Prague le 3 juin 2008). Cette fois-ci, la résolution adoptée par la grande majorité des eurodéputés assimile odieusement et de manière totalement diffamatoire sur le plan historique le nazisme et le communisme (le stalinisme avait déjà été assimilé au nazisme dans la « déclaration sur la proclamation du 23 août comme Journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme », adoptée le 23 septembre 2008), avec une réécriture négationniste de l’Histoire. 

    Ainsi, le pacte de non-agression (rappelons-le à l’heure où se développent les discours totalement mensongers selon lesquels l’URSS et l’Allemagne nazie auraient été alliées pendant la guerre !) germano-soviétique serait la seule et unique cause de la Deuxième Guerre mondiale (qui, au passage, avait déjà débuté en Asie depuis l’invasion de la Mandchourie par le Japon militariste et antibolchevique en septembre 1931), et la « reconstruction » de l’Europe après 1945 aurait séparé le camp « totalitaire » du camp « libéral et démocratique » (et qu’importe si nombre de nazis et de collaborationnistes de l’Europe furent allègrement recyclés pour « reconstruire » l’Europe occidentale sous pilotage de l’impérialisme états-unien !).

    Faut-il rappeler que l’URSS fut le grand vainqueur de l’Allemagne nazie ?! Que les « démocraties libérales » capitulèrent sans sourciller face à l’Allemagne nazie avant 1939 par haine du bolchevisme (et pour nombre de dirigeants par volonté de poursuivre la collaboration avec les milieux industriels, financiers et commerciaux allemands, voire par attrait du nazisme) ?! De Gaulle lui-même l’affirma en décembre 1944 lors de la signature du traité d’alliance franco-soviétique : « les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération ». Incontestablement, en matière de schématisation et de falsification de l’Histoire, on a rarement fait mieux !

    INITIATIVE COMMUNISTE : En quoi ce révisionnisme mensonger favorise-t-il la criminalisation du communisme ?

    F.K. : Sous l’impulsion des eurodéputés notamment baltes, hongrois et polonais, se développe depuis au moins l’adhésion des pays d’Europe centrale et orientale à l’Union européenne en 2004 (et de fait, depuis toujours puisque la « construction européenne » est une vaste entreprise anticommuniste et de vassalisation du continent à l’impérialisme états-unien) une violente campagne anticommuniste dans l’ensemble du continent, débouchant sur la récente tentative de délégalisation du Parti communiste polonais (PKP) par exemple. La résolution du 19 septembre dernier est d’ailleurs explicite sur l’atmosphère profondément anticommuniste : ainsi, « dans certains États membres, la loi interdit les idéologies communiste ou nazie » (et on remarque au passage cette confusion volontairement permanente et mensongère réduisant deux visions du monde profondément antinomiques et ennemies au seul vocable de « totalitarisme »).

     Cette résolution actuelle accélère la criminalisation du communisme : dans l’article 17, le Parlement européen « se dit préoccupé par le fait que des symboles de régimes totalitaires continuent à être utilisés dans les espaces publics et à des fins commerciales, tout en rappelant qu’un certain nombre de pays européens ont interdit l’utilisation de symboles nazis et communistes » ; dans l’article 18, il « constate que le maintien, dans les espaces publics (parcs, places, rues, etc.) de certains États membres, de monuments et de mémoriaux glorifiant les régimes totalitaires ouvre la voie à la dénaturation des faits historiques relatifs aux conséquences de la Seconde Guerre mondiale ainsi qu’à la propagation d’un système politique totalitaire ». Le droit communautaire prévalant sur le droit national, concrètement demain, porter un t-shirt à l’effigie de Guevara ou avec une faucille et un marteau sera interdit ; attendons-nous à la « dé-bolchévisation » accrue « du paysage urbain » (au revoir le métro Stalingrad, pourtant la bataille majeure ayant fait basculer la guerre vers la défaite du nazisme !) dont se vantait déjà dès la chute du mur de Berlin un ancien maire de Sartrouville (commune des Yvelines) d’extrême droite, Laurent Wetzel, qui, à peine élu maire en 1989, débaptisa les rues Marcel Cachin, Ambroise Croizat (tout un symbole pour la Sécurité sociale !), Hô Chi Minh, Karl Marx, Maurice Thorez ou encore Benoît Frachon (même la salle municipale Nelson Mandela ne résista pas !).

    INITIATIVE COMMUNISTE : Parallèlement à cette offensive anticommuniste, on constate une puissante offensive de l’extrême droite, à l’image de la présence au pouvoir de néo-nazis en Ukraine et des défilés des anciens Waffen SS en Lettonie (où le ministre de l’Intérieur célèbre même ces derniers !). Qu’est-ce que cela révèle de l’atmosphère politique et idéologique actuelle ? Faut-il s’en inquiéter ?

    F.K. : L’offensive de l’extrême droite fascisante et fasciste dans l’ensemble du continent (et au-delà) est générale : outre en Ukraine, l’extrême droite est au pouvoir en Autriche, en Italie avec Salvini, en Hongrie avec Orban ou en , tandis que l’AFD a envoyé des dizaines de députés au Bundestag allemand, que l’extrême droite proteste contre l’exhumation de la dépouille de Franco en Espagne (et que Vox accède au pouvoir en Andalousie) et que les néo-nazis montent en puissance en Suède. Aux quatre coins de l’Europe, on assiste à une fascisation sans précédent, déjà à l’œuvre depuis des années et qui s’accélère du fait d’un anticommunisme total et viscéral pour faire taire ceux qui défendent les intérêts des travailleurs. Cette dynamique, dont la source profonde est à chercher dans la contre-révolution des années 1990 qui a permis la re-mondialisation du destructeur mode de production capitaliste et qui a remis l’impérialisme allemand au centre de la « construction » européenne, est d’autant plus inquiétante que la violence et la haine, essences profondes du fascisme, se répandent très rapidement : qui peut par exemple oublier les dizaines de victimes brûlées vives dans la maison des syndicats d’Odessa en Ukraine ? Méditons les paroles du pasteur Niemöller – pourtant peu suspect de philo-communisme ! – qui avait déclaré avec lucidité :

    « Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

    En tant que communistes, il faut s’inquiéter très sérieusement de cette euro-fascisation, rompre le silence, s’indigner et, surtout, la combattre avec acharnement ! Ce combat n’est pas la seule affaire des communistes, mais également des syndicalistes et des antifascistes (dont les patriotes gaullistes). Et ne croyons surtout pas que la France est à l’abri, bien au contraire ! La répression accrue à l’encontre des gilets jaunes, les violences policières démultipliées (même à l’égard de retraités, lycéen(ne)s et étudiant(e)s) et les interdictions croissantes de manifester – y compris le 1er mai ! –, l’impunité totale de Benalla qui usurpe les fonctions de la police – à quoi s’ajoute l’impunité quasi systématique des forces de l’ordre victimes de violences de plus en plus manifestes – n’ont fait qu’annoncer l’escalade qui s’est produit tout au long de 2018 et de 2019, traduit une accélération de la fascisation. Macron avait été présenté comme le rempart contre le prétendu « Rassemblement national » ; il lui déroule un « tapis brun », cautionnant les extrémistes de Valeurs actuelles, acceptant et justifiant les condamnations de syndicalistes, de manifestants de divers bords, d’écologistes, de lycéen(ne)s et étudiant(e)s qui se multiplient et s’alourdissent. L’extrême droite fascisante et fasciste se fait de plus en plus entendre médiatiquement (l’incandescent Zemmour étant l’exemple le plus emblématique) et est de plus en plus décomplexée : que l’on songe à Bruno Gollnisch déclarant sur Twitter que « Franco, qui a sauvé l’Espagne, et sans doute l’Europe, du communisme stalinien, avait fait inhumer ensemble vainqueurs et vaincus de la guerre civile. En s’en prenant à son cadavre, la gauche montre une fois de plus son visage de haine et de mesquinerie. » Plus que jamais, c’est maintenant qu’il faut réagir et agir ?

    INITIATIVE COMMUNISTE : Que peuvent faire les antifascistes, les républicains, les syndicalistes, les communistes pour agir et stopper cette fascisation ?

    FK : depuis des années, le PRCF appelle à la constitution d’un , patriotique, populaire et écologiste, un Fr.A.P.P.E. dont l’une des premières d’être est la lutte contre le fascisme, comme le fit le Front populaire au milieu des années 1930. Cela implique d’abord de mettre de côté les divergences et divisions politique : Maurice Thorez sut tendre la main aux catholiques de droite au nom d’un front commun ! Aussi l’appel au Fr.A.P.P.E. ne vise pas que les forces de gauche – quand bien même la gauche antifasciste, patriotique, populaire et écologiste doit en être l’aiguillon principal, et notamment les communistes –, mais également les patriotes (notamment gaullistes) sincèrement antifascistes.

    Décréter un Front est une chose, le faire vivre concrètement est central.

    Dans l’optique du combat contre l’infâme résolution du Parlement européen, le PRCF a été signataire d’une déclaration commune avec d’autres forces communistes, a lancé une lettre ouverte à l’ensemble des forces potentiellement constitutrices du Fr.A.P.P.E., et est surtout partie prenante d’un large appel à signer en ligne. Ces démarches, nécessaires, ne sauraient se passer d’une indispensable mobilisation militante sur le terrain : le 19 octobre, des militants du PRCF ont fait signer la pétition lors de la  de Lannemezan en faveur de la libération de George Ibrahim Abdallah, et le lendemain nos jeunes camarades étaient présents en nombre à Châteaubriant avec les militants de Bretagne pour porter ce nécessaire combat, recevant même l’appui d’une délégation de l’UPR. Outre ces actions locales, comme celles de nos camarades de Pézenas s’adressant au maire de cette ville, des organisations PRCF de Bretagne défendant le Venezuela bolivarien ou du PRCF-Pas-de-Calais se solidarisant avec les communistes polonais, nous appelons enfin à une mobilisation nationale avec des manifestations partout où il est possible d’en organiser.

    INITIATIVE COMMUNISTE : Peux-tu nous en dire plus sur ce sujet ?

    Fadi Kassem : D’ores et déjà, je peux vous indiquer que le PRCF, dans un esprit unitaire et de rassemblement avec nombre de partenaires, communistes et non communistes, est à l’origine d’une prochaine manifestation à Paris le samedi 9 novembre. C’est d’autant plus symbolique que la chute du mur de Berlin, en ouvrant la voie à l’annexion de la RDA socialiste par la RFA capitaliste, a ouvert un boulevard à l’offensive fascisante partout en Europe. Le rassemblement débutera à 14h devant l’ambassade de Pologne, au croisement des rues Talleyrand et Constantine, là où le PRCF a déjà organisé des rassemblements – en janvier 2018 et juin 2019 notamment – pour dénoncer et combattre la chasse aux sorcières anticommuniste du gouvernement réactionnaire polonais à l’encontre de nos camarades du PKP. Il est essentiel d’être le plus nombreux possible afin de faire entendre la voix de toutes et tous ceux s’opposant au véritable totalitarisme, celui de l’européisme complice de la fascisation du continent !

              Ce rassemblement ne se veut nullement exclusif, et tou(te)s les militant(e)s du PRCF sont invités à organiser, partout où ils peuvent en France, à en faire de même devant des endroits symboliques – places, statues, bâtiments, mémoriaux rappelant le rôle décisif de l’URSS dans la victoire contre le nazisme. De même, la date du 10 décembre doit représenter un autre grand moment de mobilisation, jour de l’anniversaire de la signature du traité d’alliance franco-soviétique entre de Gaulle et Staline il y a 75 ans.

              Nous appelons donc un maximum de militant(e)s communistes, progressistes, patriotes antifascistes, syndicalistes, à se joindre à nous manifester notre détermination totale contre la « vague brune » qui ne cesse de progresser sur le continent. Ce n’est que tous ensemble, en même temps et dans le même sens que nous pouvons stopper et vaincre l’euro-fascisation !

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Tentative de coup d'État en BOLIVIE  (Romain MIGUS/Marco TERRUGGI -5/11/19)

     

    L'analyse du journaliste franco-argentin, Marco Teruggi, EN DIRECT DE LA PAZ, BOLIVIE. Une interview indispensable pour comprendre les enjeux de ce qui est en train de se jouer dans ce pays andin.

    source: https://www.youtube.com/watch?v=mMbXTIz3SEI&t=3s

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    Tro Breiz de la Solidarité au Venezuela Bolivarien -Du lundi 18 au dimanche 24 novembre 2019

    Vu d’ici, l’image de la patrie de la Révolution bolivarienne est celle d’une dictature qui rend la vie difficile à sa population. Pourtant, si l’on regarde derrière le décor, on découvre un pays qui a réalisé le record de vingt-cinq élections en 18 ans, un pays qui pratique la démocratie directe en matière de gestion communale, un pays où le seuil de pauvreté a baissé de 60% en 1996 à 19,6% en 2013, un pays où deux millions de logements sociaux ont été attribués en 2018…

    Le PRCF (Pôle de Renaissance Communiste en France)  et ses organisations des départements 22,29,35 et 56 proposent de mettre en avant un autre point de vue sur le Venezuela et d’exprimer notre solidarité à son peuple, victime de la vindicte de l’empire étasunien et de ses valets. Il invite tous les ami.e.s du Venezuela à co-construire un Tro Breiz de la solidarité en 6 étapes du Lundi 18 au Dimanche 24 Novembre 2019 : Brest, Quimper, Lorient, Auray, Rennes et Ploufragan (Saint-Brieuc).

     

    A chaque étape de ce tour de Bretagne...

     

                        ● Projection d'un film :                                 « Venezuela, en temps de guerre »

    Réalisation : Thomas MICHEL & Rafael ABRIL
    Production : ZIN TV
    Genre : Documentaire
    Durée : 45 minutes
    Tournage : décembre 2017
    Licence : Creative Commons
    Contact : contact@zintv.org

    Ce film dépeint un type de guerre non-conventionnelle, baptisé "guerre de 4ème génération". Au Venezuela, l’année 2017 est marquée par une récession économique catastrophique et accompagnée de mouvements insurrectionnels dirigés par l’opposition, tant nationale qu’internationale… Alors que les grands médias européens décontextualisent en permanence ces évènements politiques, ne laissant qu’une lecture possible, ce film donne la parole à l’autre camp, majoritaire dans le pays, la base chaviste. Les réalisateurs nous proposent un point de vue que l’on ne trouve pas dans le cadrage occidental de l’information.

     

    ● Une conférence-débat animée par Romain MIGUS

    Tro Breiz de la Solidarité au Venezuela Bolivarien -Du lundi 18 au dimanche 24 novembre 2019Romain MIGUS est journaliste, écrivain, spécialiste du Venezuela et de l’Amérique Latine, animateur du blog « Venezuela en vivo » : https://www.romainmigus.info/ et auteur de divers articles et ouvrages sur les thématiques politiques du continent latino-américain.

     

     

    Les six étapes du Tro Breiz de la Solidarité

     

    ♦Brest-Lundi 18 Novembre-20 heures

    Mairie de l’Europe 31,rue Saint-Jacques 29200 Brest

    Thème de la conférence-débat: « Que se passe-t-il au Venezuela ? »

     

    Quimper-Mardi 19 Novembre -20 heures

                                Salle des Grands Projets (RDC Théâtre de Cornouaille) :                            Esplanade F. Mitterrand 29000 Quimper

                                        Thème de la conférence débat :                                          « France/Amérique Latine : la « giletjaunisation » du monde » 

     

    Lorient-Jeudi 21 Novembre-20 heures

    Cité Allende (salle A02) :12 rue Colbert 56100 Lorient

    Thème de la conférence-débat : « Guerre contre le Venezuela »

     

    ♦Vendredi 22 Novembre-20 heures

    Salle Hélène Branche : 9 avenue Kennedy 56400 Auray

    Thème de la conférence-débat : « Les Médias et le Venezuela »

     

    Rennes-Samedi 23 Novembre-15 heures 30

    Maison des associations (salle 012) : 6 cours des alliés - 35000 Rennes

    Thème de la conférence-débat : « Le Venezuela sous le feu de la contre-révolution »

     

    Dimanche 24 Novembre-15 heures

    Salle du Mille-Club 22440 Ploufragan

    Thème de la conférence-débat : « Que se passe-t-il au Venezuela ? »

                      

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  • Ces dernières années, il semble que la question européenne ait repris une place de premier plan dans le débat public. Elle fut au cœur des présidentielles de 2017, où près d’un français sur deux a opté pour un candidat (nominalement) eurosceptique. Le viol du non au referendum de 2005, la dégradation des conditions de vie suivant la crise de 2008 et l’asservissement du peuple grec par la Troïka ont permis à nombre de nos concitoyens, en particulier aux travailleurs, de se rendre compte que les belles paroles fédéralistes et libérales sur la concurrence libre et non faussée, l’UE de la prospérité, l’Europe comme parangon de démocratie, n’étaient que des fariboles. Pour cesser cette dégradation manifeste des conditions de vie qui pousse chaque semaine nos concitoyens sur les ronds-points, pour exercer une véritable souveraineté politique, pour ôter au patronat une arme de destruction massive de nos conquis sociaux, les esprits commencent à s’accorder : il est nécessaire de sortir de l’Union Européenne. La majorité des revendications des gilets jaunes, et a fortiori la mise en œuvre de tout programme communiste, sont tout bonnement inapplicable en son sein.

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