• À Morlaix, ils étaient plus de 400 à défiler pour les services publics (OF.fr-9/05/19-14h32)Les manifestants ont fait « le grand tour », du commissariat au Pouliet. 

     

    À l’appel de neuf syndicats, quelque 420 personnes ont manifesté à Morlaix (Finistère), ce jeudi 9 mai, pour la défense des services publics.

    À l’appel de neuf organisations syndicales (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FA, FO, FSU, Solidaires et Unsa), environ 420 personnes ont défilé à Morlaix (Finistère), ce jeudi 9 mai. Objectif des syndicats : Montrer notre attachement aux valeurs du service public.

    « On ne nous fait plus confiance »

     

    Dans le cortège, des enseignants, des agents de l’hôpital, d’Ehpad, des retraités… Et des slogans, à l’image de celui brandi par Solidaires 29 : Quand on aura tout privatisé, on sera privés de tout.

    À Morlaix, ils étaient plus de 400 à défiler pour les services publics (OF.fr-9/05/19-14h32)Le rassemblement place des Otages a été suivi d’un défilé en ville.

    Parmi les projets de lois très critiqués, celui dit « d’école de la confiance ». Mais quand on voit l’hyper-contrôle que prévoit cette loi, avec des évaluations à tout va, on a au contraire l’impression qu’on ne nous fait plus confiance !, réagit une enseignante.

    À Morlaix, ils étaient plus de 400 à défiler pour les services publics (OF.fr-9/05/19-14h32)

    À Morlaix, 420 personnes ont défilé pour les services publics. 

    À Morlaix, ils étaient plus de 400 à défiler pour les services publics (OF.fr-9/05/19-14h32)Ambiance festive au Pouliet ! 

    Le cortège a fait le grand tour, du Pouliet au commissariat.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/en-images-morlaix-ils-etaient-plus-de-400-defiler-pour-les-services-publics-6342680

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  • Plus de 400 personnes se sont rassemblées Place des Otages à Morlaix ce jeudi 9...Plus de 400 personnes se sont rassemblées Place des Otages à Morlaix ce jeudi 9 mai. Le rendez-vous avait été fixé à 10 h 30.  
     

    Ce jeudi 9 mai, ils étaient plus de 400 personnes à manifester dans Morlaix pour la défense de la fonction publique. Les syndicats CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FAFP, FO, FSU, Solidaires et UNSA de la Fonction publique avaient appelé à une grève unitaire.

    Ces derniers jours, les organisations syndicales avaient appelé au rassemblement et à la grève unitaire pour ce jeudi 9 mai, à 10 h 30, Place des Otages à Morlaix. À l’heure dite, ils étaient près de 200 rassemblés devant la mairie, rejoints ensuite au fil des minutes par 200 autres personnes. Ici et là, représentants syndicaux de la CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FAFP, FO, FSU, Solidaires et UNSA de la Fonction publique mais aussi salariés en blouses blanches, retraités, enfants et parents. Avec pour même objectif, la défense de la fonction publique.

    Discours unitaire devant la mairie

    Premier temps fort de ce rassemblement, le discours devant la mairie tenu et lu par les syndicats à tour de rôle. Parmi les idées fortes, une critique du contexte actuel et des derniers mois où les organisations constatent que « le pouvoir exécutif poursuit une politique contraire aux intérêts de la population, néfaste pour les missions publiques et pour les agents ». Elles rappellent leur revendication pour le personnel : « l’augmentation de la valeur du point d’indice afin d’améliorer leur pouvoir d’achat, la suppression du jour de carence et rappellent leur opposition aux 120 000 nouvelles suppressions de postes annoncées ». Enfin, les syndicats sonnent l’alarme concernant un projet de loi, dite de « transformation de la fonction publique », et dont ils considèrent qu’un « nombre de dispositions ont une portée très grave tant pour les agents et les citoyens que pour l’avenir de la Fonction publique ».

    Au rythme des slogans

    Après ce discours unitaire, les 400 personnes ont démarré une manifestation vers 11 h dans une ambiance calme à travers la Cité du Viaduc, partant de la Place des Otages, passant par la rue de Paris, jusqu’au rond-point de la place Traoulen, revenant vers le centre-ville par l’allée du Poan-Ben, la mairie pour cheminer jusqu’au rond-point Charles-de-Gaulle et revenir Place des Otages vers 12 h 15. Durant l’heure de marche engagée, des slogans étaient chantés par les manifestants : « De l’argent il y en a trop chez les milliardaires, de l’argent il en faut pour les fonctionnaires », « service sacrifié, population abandonnée » ou encore « Assez assez de cette société qui casse la justice sociale et la solidarité ».

    Dans les petits groupes de représentants, comme l’Union nationale des syndicats autonomes, des gens échangeaient et montraient de l’inquiétude pour l’avenir, et notamment de 2022 avec « la dématérialisation ». Pour Sabri Zidane, vice-président de l’Unsa Territoriaux du Finistère, « cette question est essentielle. Il faut défendre les services publics et le personnel. Car comment accompagner les familles, expliquer les démarches s’il n’y a plus d’humain ? ».

     

     

    source: https://www.letelegramme.fr/
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    Environ 1 200 personnes (1 500 selon les syndicats) ont défilé ce jeudi pour exprimer leur rejet du projet de loi dit de transformation de la Fonction publique, porté par le gouvernement Philippe. Une mobilisation légèrement en retrait par rapport à celle de mars dernier.

    Une nouvelle fois, toutes les composantes de la Fonction publique ont arpenté le pavé, ce jeudi matin, à l’appel d’une large intersyndicale (*). Un cortège très hétérogène, mêlant étudiants et retraités, personnels de santé et du Ministère des armées, fonction publique territoriale et d’État. Dans leur viseur, le projet de loi de transformation de la Fonction publique, son recours accru aux contractuels et l’objectif de 120 000 postes supprimés à l’horizon 2022.

     

    « Une feuille de route incompréhensible, selon Hervé, agent, fonctionnaire territorial à Brest. Je croyais que la crise des gilets jaunes avait justement mis en lumière le besoin d’un service public fort, la fin du tout numérique pour un retour à des agents sur le terrain. Ce projet de loi, c’est le contraire, alors qu’on a justement besoin du service public en ce moment où il y a beaucoup de souffrance, de pauvreté et d’isolement dans le pays ».

    « Plus de vacataires, corvéables à merci »

    Dans le cortège, où le monde de l’enseignement est finalement assez faiblement représenté malgré l’hostilité exprimée face au projet de réforme de l’éducation, les agents hospitaliers sont parmi les plus nombreux. Leur principale crainte : le recours accru aux contractuels, prôné par le projet de loi. « Aujourd’hui, déjà, on a 400 postes vacants occupés par des contractuels au CHRU Brest-Carhaix, compte Thomas Bourhis de la CGT. C’est bien pour la direction, car ils sont corvéables à merci, flexibles, n’ont pas de droits statutaires, etc. Mais cela risque d’avoir des effets néfastes sur la qualité des soins, car eux n’ont pas le droit de s’opposer à un ordre qui irait à l’encontre de l’intérêt des patients, vont accepter des situations intolérables comme celle qu’on rencontre aux urgences ».

    Les organisations syndicales rejettent, elles, en bloc ce projet de loi et exigent que le gouvernement « ouvre enfin des négociations sur de nouvelles bases ». Dans leur viseur, cette hausse du recours aux contractuels, la fusion des instances représentatives du personnel ou encore l’absence d’amélioration des salaires des agents. Reste que le rapport de force, n’est pas vraiment en leur faveur, avec une mobilisation en demi-teinte jeudi. « Je ne sais pas ce que les gens attendent pour se bouger. Ils sont résignés ? Mais s’ils baissent les bras sans se battre on n’y arrivera jamais », souffle Nathalie, agent territorial spécialisé dans une école maternelle. Le projet de loi doit passer, en première lecture, devant l’Assemblée nationale lundi prochain, pour une entrée en vigueur au 1er janvier 2020.

    * CFDT, CGT, CFTC, FO, FSU, Solidaires, Unsa et CFE-CGC. Cette dernière organisation s’est d’ailleurs émue que « l’ensemble des organisations syndicales n’aient pas été invitées aux travaux préparatoires (de la manifestation), alors qu’il ne va de l’intérêt général ».

     

    Pierre CHAPIN
    source: https://www.letelegramme.fr
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  • À Brest, environ 1 200 personnes ont participé, ce jeudi 9 mai, à l’appel à la grève lancé dans la fonction publique

    Ce jeudi 9 mai, à Brest, 1 200 personnes ont battu le pavé à l’appel national des organisations syndicales. Elles s’opposent au projet de loi de réforme de la fonction publique, présenté lundi à l’Assemblée nationale.

    Céline, 37 ans, agent administratif à la Métropole

     

    « C’est important d’être présent aujourd’hui pour défendre les statuts de la fonction publique et faire en sorte que les recrutements sur concours existent, plutôt que de recourir à des contractuels dont le nombre, ces derniers temps, ne cesse d’augmenter. Si on va vers ça, j’ai peur qu’on arrive à des grosses différences comme cela a été le cas chez France Télécom, un bel exemple ! Ce statut, nos anciens se sont battus pour l’obtenir et j’ai encore envie d’y croire. Ce que propose le gouvernement, c’est un démantèlement progressif de la fonction publique. En plus, recruter des précaires, c’est la porte ouverte au favoritisme, alors qu’un concours, c’est neutre. »

    À Brest, environ 1 200 personnes ont participé, ce jeudi 9 mai, à l’appel à la grève lancé dans la fonction publique

    Erwann,étudiant en 3e année d’histoire

    « Ici, on proteste contre le projet du gouvernement qui vise à réduire le nombre d’heures de cours à l’université. C’est une mesure qui va à l’encontre de la transmission des savoirs, alors que c’est le rôle de l’université. À l’UBO, il s’agit de 20 000 heures, ce qui représente environ deux semaines de cours pour un élève. Nous dénonçons aussi une marchandisation des savoirs avec notamment l’augmentation exorbitante des frais d’inscription des étudiants étrangers. »

    Pascale, 56 ans, assistante de soins en gérontologie dans un Ehpad à Landerneau

    « Je suis ici avec mes collègues pour dénoncer le projet de loi du gouvernement sur la réforme de la fonction publique. Je travaille dans un Ehpad à Landerneau et nous sommes à la peine. On réclame des conditions de travail décentes car, à l’heure actuelle, on a de moins en moins de moyens, de moins en moins de personnel et une charge de travail grandissante. Nos patients ne prennent qu’une douche par mois en moyenne et on ne dispose que de six minutes pour donner à manger à chacun d’eux. C’est terrible de devoir laisser quelqu’un au lit parce qu’on n’a pas de temps à lui accorder… Tout ça crée du mal-être pour tout le monde, les patients, leurs familles et nous, les soignants. »

     

     

    Sylvain Michel, 43 ans, chargé de mission sur les usages maritimes à l’agence française de biodiversité

     

     

    « Ces projets de l’État nous font perdre nos spécificités. En 2006, il a créé à Brest, l’Agence des aires marines protégées et c’était le seul établissement public chargé de préserver la biodiversité. Puis, en 2017, pour de sombres histoires d’économie, elle a été intégrée à l’Agence française pour la biodiversité, qui en 2018 a fusionné avec l’Office national de la chasse. Nous allons perdre nos spécificités et Brest deviendra un simple site comme les autres où le travail sur la mer sera minoritaire. À la clé, ce sont des pertes de compétitivité et de moyens, car nos postes seront redistribués sur des postes plus généralistes. C’est un gros recul pour nos missions de préservation du milieu marin. »

    Christine PENNEC

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-dans-la-rue-1-200-manifestants-pour-la-fonction-publique-6342852

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  • Quimper. 900 fonctionnaires manifestent ce jeudi matin (OF.fr-9/05/19)« Les services publics : le patrimoine de ceux qui n’en ont pas », a écrit cette manifestante sur son panneau

    L’appel à faire grève et à manifester a reçu un écho particulier, ce jeudi 9 mai 2019, à Quimper (Finistère). Ils sont environ 900 à marcher dans les rues du centre-ville pour dénoncer la réforme de la fonction publique, discutée à partir de ce lundi 13 mai 2019.

    Les fonctionnaires vont mal. Ce jeudi 9 mai 2019, ils manifestent dans les rues de Quimper (Finistère) pour dénoncer la réforme de la fonction publique, discutée à partir de ce lundi 13 mai 2019. « On doit bidouiller, confie un fonctionnaire territorial. Les postes vacants le restent parfois plusieurs mois, voire un an. On est obligés de s’organiser pour faire le travail de celui qui n’est pas là. On a aussi beaucoup de mal à recruter, même pour les emplois saisonniers. Beaucoup de collègues se tournent vers le privé. »

    Perte de sens

    Le climat dans les services se dégrade. « Certains agents ne trouvent plus de sens dans ce qu’ils font », confie une fonctionnaire des services fiscaux. « Les syndicats annoncent 300 suppressions de postes dans les Finances publiques du Finistère. Aujourd’hui, nous sommes 1000. »

    Les fonctionnaires s’indignent aussi de l’élargissement de possibilité de recours aux contractuels, ces agents non titulaires de la fonction publique. « Je n’ai pas l’habitude de manifester, mais je suis dans ce cas, je ne sais pas si je serai titularisé, confie un animateur contractuel. J’ai discuté avec mes collègues : une est dans ce cas depuis douze ans ! »

    Égalité

     

    Quelques Gilets jaunes étaient présents dans le cortège. « Nous portons dans notre ADN l’attachement aux communs et aux services publics, seules garanties d’une égalité. » Des propos qui font écho à ce panneau porté par une militante CGT : « Les services publics sont le patrimoine de ceux qui n’en ont pas ».

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-900-fonctionnaires-manifestent-ce-jeudi-matin-6342618

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    Ils sont mobilisés contre les projets de loi de la fonction publique et Blanquer. Ce jeudi matin,
    Ils sont mobilisés contre les projets de loi de la fonction publique et Blanquer. Ce jeudi matin, près de 900 fonctionnaires défilent dans les rues de Quimper.
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  • 8 mai 2019-Trédudon-Le-Moine-Près de 150 Gilets jaunes rendent hommage au 1er village résistant de FranceCommémoration du 8 mai 1945-Trédudon-Le-Moine (29-Berrien) le 8 mai 2019

     

    Alors que le Chef du régime Emmanuel MACRON remontait ce 8 mai 2019 l’avenue des Champs-Elysées désertée par la population, près de 150 gilets jaunes venus du Finistère et des départements voisins rendaient hommage au 1er village résistant de France : Trédudon-Le-Moine au côté de Paul Quemener, le Maire de Berrien et des anciens combattants.

    Une fois prononcé l’allocution du Maire , la cérémonie s’est terminée par la répétition du mot « résistance » portée par les personnes rassemblées autour du Mémorial.

    La journée des Gilets jaunes s’est ensuite poursuivie à la salle « Asphodèle » avec un repas partagé et des ateliers citoyens sur différents thèmes (municipalisme, désobéissance civile, referendum d’initiative citoyenne, fabrication de banderoles etc...).

    Une belle journée qui montre une fois de plus que les Gilets jaunes entendent poursuivre les combats de la Résistance pour la reconquête de la souveraineté populaire, des libertés et de nouveaux « jours heureux » .

     

    source: https://insoumisduboutdumonde.jimdofree.com/

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  • Fonction publique. Mobilisation le 9, à Brest, Quimper et Morlaix (LT.fr-3/05/19)Les différentes organisations syndicales appellent à une manifestation pour défendre la fonction publique le 9 mai prochain. 

     

    C’est assez rare pour le signaler, mais le 9 mai prochain, une très large intersyndicale appelle à une journée nationale de protestation pour contester la réforme gouvernementale de la fonction publique. Dans le Finistère, CGT, CFDT, FO, Unsa, FSU, Solidaires vont donc marcher la main dans la main à Brest (rassemblement 10 h 30 place de la Liberté), à Quimper (10 h 30 place de la Résistance) et Morlaix (10 h 30 place des Otages) pour dénoncer « la précarité, le salaire au mérite, le gel du point d’indice, la journée de carence et la mobilité imposée ». Dans « une société qui souffre » selon les syndicats, « la réforme du statut du fonctionnaire d’État, territorial ou de la fonction publique hospitalière », apparaît comme un camouflet. « On demande au gouvernement de retirer ce projet de réforme et d’entendre nos revendications », fait valoir Olivier Le Pichon au nom de l’intersyndicale, « dans son allocution à la télévision, nous n’avons pas entendu cela dans la bouche du Président ».

     

    Griefs variés

    Selon l’intersyndicale toujours, ce rassemblement est largement ouvert au-delà des frontières des emplois publics, « car le service public est avant tout le socle des cohésions sociales et le service rendu au public ». Entre les hôpitaux qui souffrent et disent ne plus pouvoir recruter, jusqu’aux contractuels, tant les conditions de travail seraient dégradées ou les écoles en saturation, les syndicats espèrent rencontrer une large mobilisation « qui recommencera si nous ne pouvons pas faire reculer le gouvernement ». Ils appellent aussi conjointement à ne pas sacrifier le concours au profit de la « cooptation » car le statut de fonctionnaire tel que bâti aujourd’hui garantit « la neutralité, la laïcité et l’indépendance » de ses agents.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/bretagne/fonction-publique-mobilisation-le-9-a-brest-quimper-et-morlaix-03-05-2019-12274515.php#0PtFApECFkWQcfym.99

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