• Jean-Luc Mélenchon a déclaré ce mercredi sur son blog un « patrimoine net » proche d'un million d'euros, quelques heures avant la publication des déclarations de patrimoine des onze candidats.Jean-Luc Mélenchon a déclaré ce mercredi sur son blog un « patrimoine net » proche d'un million d'euros, quelques heures avant la publication des déclarations de patrimoine des onze candidats. 

    Jean-Luc Mélenchon a déclaré ce mercredi sur son blog un « patrimoine net » proche d'un million d'euros, quelques heures avant la publication des déclarations de patrimoine des onze candidats à la présidentielle par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).

    Sur le blog de Jean-Luc Mélenchon, sous le titre « Moi, mon patrimoine, mon statut », Jean-Luc Mélenchon a souligné, sur un ton ironique, qu'il n'a « pas hérité d'un château où (se) loger, ni d'un parti politique créé par (son) père », visant implicitement Marine Le Pen.

    « Je ne fais pas semblant d'habiter Hénin-Beaumont, je n'ai ni voiture, ni chauffeur (...) je ne conduis pas », a poursuivi le candidat de La France insoumise, relevant aussi ce qui le distingue notamment de François Fillon.

    L'eurodéputé présente un « patrimoine net » de 965 000 euros, essentiellement composé d'un appartement parisien acheté 800 000 euros en 2014 et d'une « maison de campagne (...) vers Montargis ».

    165 000 euros de dette et 98 000 euros d'épargne

    Par ailleurs Jean-Luc Mélenchon déclare 165 000 euros de dette et 98 000 d'épargne : « j'épargne beaucoup parce que je suis très bien payé au Parlement européen », explique-t-il.

    La Haute autorité doit rendre publiques les déclarations patrimoniales des candidats sur son site à 18 h.

    La déclaration, sur un modèle qui a été fixé par décret, consiste en une photo de ce que possède le candidat au 1er janvier 2017. Il doit consigner l'ensemble de ses biens propres ainsi que les biens détenus en commun avec son conjoint et les biens en indivision.

    Immobilier, biens supérieurs à 10 000 euros, voitures, œuvres d'art, comptes bancaires et produits d'épargne, mais aussi participations dans le capital de sociétés, assurances vie et dettes éventuelles, dont celles au fisc, doivent être chiffrés, y compris s'ils sont détenus à l'étranger.

    source: ouest-france.fr

    Sept des onze candidats ont déjà été soumis au contrôle de la Haute autorité, en tant qu'ex-ministres ou parlementaire, ce qui est notamment le cas de M. Mélenchon.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • La marche de samedi, pour soutenir le centre Perharidy de la fondation Ildys, partira de Roscoff.La marche de samedi, pour soutenir le centre Perharidy de la fondation Ildys, partira de Roscoff.

    Les élus locaux appellent la population à signer la pétition pour soutenir la Fondation Ildys. La pétition a récolté plus de 10 000 signatures. Une marche est organisée samedi, à Roscoff. Les habitants sont invités à écrire à la ministre.

    La pétition pour le centre Perharidy a récolté plus de 10 000 signatures.

    Les élus, Maël De Calan, conseiller départemental du canton de Saint-Pol-de-Léon, conseiller municipal de Roscoff ; Nicolas Floch, maire de Saint-Pol-de-Léon, président de Haut Léon Communauté et Aline Chevaucher, conseillère départementale du canton de Saint-Pol-de-Léon et maire de Plouénan, invitent la population à participer massivement à la marche de soutien organisée par les syndicats d’Ildys.

    Elle partira de la gare de Roscoff samedi, à 10 h 30.

    Un courrier type à la ministre

    Les élus invitent aussi la population à envoyer un e-mail à Marisol Touraine, ministre de la Santé (marisol.touraine@sante.gouv.fr) et au directeur de l’Agence régionale de santé de Bretagne (olivier.decadeville@ars.sante.fr) pour protester contre leur réforme, en copiant collant ce texte :

    " Objet : Soutien au Centre de Perharidy de la fondation ILDYS à Roscoff

    Madame la ministre, Monsieur le directeur de l’ARS Bretagne,

    Je vous écris pour vous faire part de mon soutien au centre de Perharidy de la fondation ILDYS à Roscoff, menacé de fermeture. La réforme du financement des soins de suite et de réadaptation (SSR) aboutirait en effet à une baisse drastique des dotations de Perharidy, qui ne pourrait pas être absorbée par des économies équivalentes.

    La fermeture de Perharidy constituerait un coup très dur porté à l’offre de soin dans le Finistère. Elle provoquerait aussi la disparition de 600 emplois directs et plusieurs milliers d’emplois indirects, portant un coup fatal à notre territoire. Elle est donc inacceptable.

    Plus de 10 000 Finistériens ont déjà signé une pétition vous appelant à réviser la réforme du financement des SSR, pour prendre en compte les spécificités des centres très spécialisés comme Perharidy. Nous vous demandons d’en tenir compte !

    Dans l’attente de votre réponse,

    Bien cordialement, "

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les représentants de la CGT et de la CFDT ont pris la parole en début de séance du conseil de surveillance de l’hôpital.Les représentants de la CGT et de la CFDT ont pris la parole en début de séance du conseil de surveillance de l’hôpital. 

    par Jean-Marc PINSON.

    Le conseil de surveillance de l’hôpital qui devait se tenir mardi à Kerglanchard a été ajourné. Il a été bloqué par les syndicats et pourrait se dérouler vendredi.

    L’appel lancé par les syndicats, CFDT et CGT pour que la population vienne dire « non » à la fusion de l’hôpital avec Lorient, Port-Louis-Riantec, Le Faouët, n’a pas soulevé les foules hier, mardi, à Kerglanchard.

    Mais la détermination de la cinquantaine de personnes présentes était grande. À tel point que, sous la houlette des syndicats, après leurs prises de parole (lire ci-dessous), ils ont refusé de quitter la salle.

    De fait, le conseil de surveillance, présidé par Michaël Quernez, n’a pas pu avoir lieu. Ce dernier, visiblement tendu, a déclaré qu’il fallait « éviter l’amalgame historique » avec ce qui s’est passé à Hennebont et Concarneau

    « Il ne faut pas qu’il y ait une confusion entre la situation que nous vivons et le projet porté par les quatre établissements en vue de se rapprocher. » Le maire et président du conseil de surveillance tient à faire le distinguo entre la fusion et la situation en psychiatrie. « Cela n’a rien à voir. »

    Pour la psychiatrie, même s’il juge « la situation délicate », il met en avant « la volonté du centre hospitalier de conserver et de faire fonctionner l’unité psychiatrique ».

    L’inquiétude des soignants

    Sur la fusion, car, dans les esprits il peut y avoir confusion justement, il a répété que le GHT (Groupement hospitalier de territoire) « n’est pas adapté, c’est un recul ». Et de préciser : « Je ne suis pas détenteur de la vérité absolue mais je suis convaincu que tous les GHT vont se tourner vers la fusion. »

    Gaëlle Ménard, présidente de la commission médicale d’établissement a également réagi. « Le GHT représente une perte d’autonomie des petits établissements, nous serons vigilants sur les modalités de cette fusion. J’entends l’inquiétude des soignants, mais, ajoute-t-elle en réponse à la CFDT, nous n’avons pas de leçon d’humilité à recevoir. » Réflexion appuyée par le maire qui demande « un respect du corps médical ».

    « La fusion est actée »

    Thierry Gamond-Rius, directeur du centre hospitalier de Bretagne Sud, tout en comprenant « l’inquiétude » du personnel a rappelé que nous sommes « plus fort ensemble, la synergie conforte le site de Quimperlé, nous ne sommes plus en concurrence. Le GHT n’était pas adapté à notre situation »

    Quant à la crainte exprimée par certains de la mobilité, le directeur du CHBS l’a assuré : « Il n’y aura pas de mobilité forcée aux agents ».

    La fusion ? « Elle est actée », a-t-il martelé. Le conseil de surveillance se charge à présent « des modalités techniques ».

    La position de la CFDT

    « Le chef d’établissement lorientais, largement soutenu par le président du conseil de surveillance de l’hôpital de Quimperlé, ne s’est pas privé de mettre la charrue avant les bœufs […]

    Cette attitude qui se rapproche d’une ambiance de 49-3, ne présente pas une bonne impression au regard des professionnels et de la population. Il serait mal venu de la part des décideurs de penseur qu’ils dénicheraient des moutons pour tirer leur charrue. […]

    Lors de la réunion publique du 7 février, les usagers et certains élus municipaux n’ont pas hésité à contester les projets et les décisions autocratiques, comme la fermeture provisoire des 25 lits de psychiatrie sans y avoir été informés. […]

    La CFDT tient à féliciter le collectif soignant qui continue de lutter par solidarité pour l’intérêt des patients et des familles. Cette implication des personnels devrait donner une leçon d’humilité à la communauté médicale plutôt soucieuse de leurs conditions au travail, qui reste un critère incontournable d’attractivité médicale, permettant une meilleure conciliation vie professionnelle et vie privée.

    Il s’avère que la désertification médicale profite bien à certains et facilite l’adhésion du corps médical au projet ambitieux du directeur du CHBS, avec la collaboration des présidents des conseils de surveillance. […]Ni la fusion et ni le Groupement hospitalier de territoire ne seront en mesure de régler la pénurie médicale sur la psychiatrie à Quimperlé.

    La CFDT rappelle la direction, afin de prendre les mesures nécessaires concernant les vraies raisons qui freinent régulièrement les recrutements médicaux du secteur psychiatrique. […]

    Il revient aux médecins, aux représentants des usagers et aux élus locaux de bien réfléchir avant de se positionner définitivement sur le futur sort de l’hôpital quimperlois. Pour rappel, l’exemple du voisin concarnois a fait ses preuves quand il a perdu son entité juridique. »

    La position de la CGT

    « La pénurie médicale est l’alibi des suppressions de lits et des services de soins pour diminuer l’offre de services publics et de l’accès aux soins. La fusion ne réglera en rien la pénurie de médecins psychiatres à Quimperlé, bien au contraire…

    Les risques du GHT et de la fusion sont importants, également pour les usagers. C’est la remise en cause de la proximité dont on sait qu’en plus des difficultés socio-économiques elle est la cause du renoncement aux soins. Prenons l’exemple de la fusion de l’hôpital d’Hennebont avec Lorient en 1997.

    Suite à une entente entre les maires de Lorient et d’Hennebont, un accord de fusion a été validé dans les différentes instances : les deux directeurs d’hôpitaux et leurs conseils d’administration, les deux conseils municipaux ainsi que le préfet du Morbihan.

    De ce fait, le site d’Hennebont s’est vu dépossédé de ses services au fur et à mesure. La chirurgie en mai 1999. Les urgences le 1er juillet 1999, remplacé par un accueil médical de jour (supprimé depuis). Les soins intensifs, transférés à l’hôpital Bodélio de Lorient, le 26 novembre 2000, la fermeture de la maternité en 2001, la fermeture de la pharmacie en 2003, jusqu’à la disparition totale du site.

    Nous ne sommes pas dupes, dans la fusion, il y aura des fermetures de services qui vont supprimer des emplois d’une manière ou d’une autre. Des surcoûts et des dysfonctionnements qu’il va vous falloir réguler.

    Des suppressions d’emplois directs et indirects avec une mutualisation de moyens qui engendrera obligatoirement une diminution des emplois par le non-remplacement des agents partant en retraite et la suppression d’agents contractuels (CDD et CDI).

    Monsieur le président, monsieur le maire […] nous demandons un moratoire d’une année, nous permettant ainsi de travailler ensemble en toute sérénité avec les usagers et les professionnels. »

    Psychiatrie : un sous-effectif important

    La direction du centre hospitalier fait le point sur le pôle psychiatrie.

    « Les praticiens hospitaliers du pôle de psychiatrie sont confrontés à un sous-effectif important. L’établissement a entrepris de nombreuses démarches pour pallier cette situation : publication de postes prioritaires de psychiatrie, recours à des cabinets d’intérim et de recrutement, remplacements ponctuels assurés par des praticiens contractuels, originaires de toute la région.

    Il est prévu une publication prochaine de postes partagés avec les établissements publics de santé mentale Charcot de Caudan et Gourmelen de Quimper.

    La mise en place d’une astreinte médicale territoriale de psychiatrie est en cours d’examen avec l’ESPM Charcot et la délégation territoriale de l’ARS Bretagne du Morbihan. L’allégement du poids de l’astreinte est un facteur d’attractivité pour les médecins.

    La communauté médicale et la direction ont examiné et validé un dispositif provisoire visant à soutenir et sécuriser l’activité de psychiatrie en l’adaptant aux effectifs médicaux. Le dispositif s’articule autour de mesures de réduction temporaire du nombre de lits, de suspension des admissions de patients à des soins sans consentement et hors secteur. Les médecins les mettent en œuvre de façon progressive et graduée.

    Parallèlement, un renfort médical est prévu sur le secteur ambulatoire et une présence infirmière psychiatrique est confortée aux urgences. Les effectifs paramédicaux et non soignants ne sont pas impactés par ces mesures.Il n’est pas question d’une quelconque volonté de fermeture de lits et il n’y a aucune corrélation à établir avec le processus de fusion en cours entre les centres hospitaliers. »

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • La Poste. Une grève soutenue par l'opposition (LT-22 mars 2017)

    Une trentaine de facteurs et factrices de La Poste étaient en grève hier matin. Ils ont reçu le soutien du groupe d'opposition au conseil municipal : À Bâbord Toute. Une trentaine de facteurs et factrices de La Poste étaient en grève hier matin. Ils ont reçu le soutien du groupe d'opposition au conseil municipal : À Bâbord Toute. En grève hier matin devant La Poste, quai Carnot, une trentaine de factrices et facteurs a reçu le soutien de la formation politique concarnoise À Bâbord Toute. Par communiqué envoyé hier, cette formation, réunie en assemblée générale, dit « soutenir le mouvement syndical actuellement en cours à Concarneau ». Le groupe d'opposition à la majorité municipale, « s'étonne que le voeu s'opposant au projet de réorganisation et voté à l'unanimité lors du conseil municipal de janvier, n'ait pas été suivi d'effet ». Persuadé que « le maire avait le pouvoir de s'opposer au projet de modification des horaires de la poste et qu'il ne l'a pas fait », À Bâbord Toute « réaffirme son attachement aux missions du service public ». Lire également page 14.
     
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • En cette journée d’action pour la défense des services publics, les postiers du Finistère sud ont choisi de se réunir à Concarneau pour dénoncer les réorganisations de leurs conditions de travail.

    Quimperlé, Pont-l’Abbé, Quimper, Trégunc, Bannalec, Châteaulin… Hier matin, ils étaient une cinquantaine de postiers, venus de tout le sud du Finistère pour soutenir leurs collègues de Concarneau. Rassemblés dès 8 h devant le bureau de poste du quai Carnot, les membres du syndicat CGT FAPT SUD et de SUD PTT 29 entendaient bien défendre leur métier.

    Dénonçant une réorganisation de leurs conditions de travail, les postiers Concarnois manifestaient contre le projet de non-remplacement d’un poste de titulaire de tournée, suite à un départ en retraite. « Supprimer le facteur, c’est supprimer le lien social » dénonce Isabelle Le Guillou, secrétaire départementale de la CGT FAPT (fédération des activités postales et des télécommunications) Finistère sud. « La poste a un rôle de proximité avec la population" ajoute-elle. "Ce sont les usagers qui pâtissent de ces suppressions ».

    A Ergué-Gabéric cet après-midi

    Les postiers devaient tenir leur piquet de grève jusqu'à midi. Cet après-midi, ils se retrouveront à Ergué-Gabéric pour défendre le bureau de Poste menacé de fermeture.

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La CGT a déposé trois nouveaux préavis de débrayage au centre hospitalier du pays de Morlaix (CHPM).La CGT a déposé trois nouveaux préavis de débrayage au centre hospitalier du pays de Morlaix (CHPM).

    Trois nouveaux préavis de grève ont été déposés par la CGT du centre hospitalier du pays de Morlaix.

    La CGT a déposé trois nouveaux préavis de débrayage au centre hospitalier du pays de Morlaix (CHPM). Le syndicat appelle « chaque service à se joindre au mouvement » et à penser « collectif ».

    Dans leur communiqué, les syndicalistes reviennent sur leur dernière mobilisation (14 mars) : « Une centaine d’agents du CHPM sont venus exprimer leur vécu et leur mal être sur le terrain. Des échanges ont eu lieu entre les agents et la direction, des échanges vifs décrivant les conditions de travail qui se dégradent dans de nombreux services : An Haleg, Carhaix, Urgences, UHCD, ambulances… » et informent que « de nouvelles fermetures saisonnières de lits ont été annoncées », notamment en cardiologie, chirurgie, pédiatrie.

    Les débrayages sont prévus mercredi 22 mars, de 14 h 15 à 15 h 15 (CTE bis) ; jeudi 23 mars, de 14 h à 15 h (CME) et vendredi 24 mars, de 9 h 15 à 10 h 15 (Csurv.).

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les cinq "gros" candidats ont débattu lundi lors d'une émission organisée par TF1.                 Les cinq "gros" candidats ont débattu lundi lors d'une émission organisée par TF1.

     

    Un sondage Elabe pour BFMTV et L’Express rend compte des intentions de vote après la diffusion du débat à cinq de TF1. Le fondateur d’En Marche ! se détache en tête tandis que Benoît Hamon glisse en cinquième position derrière Jean-Luc Mélenchon.

    Dans ce premier sondage d’après débat télévisé, Emmanuel Macron confirme sa première place. Il obtient 26 % (+0,5 point) des intentions de vote exprimées par les personnes interrogées par Elabe pour BFMTV et L’Express. Le candidat d’En Marche devance désormais de 1,5 point Marine Le Pen (24,5 %, -0,5).

    François Fillon perd quant à lui 0,5 point avec 17 % des intentions de vote exprimées. Jean-Luc Mélenchon progresse de 0,5 point à 13,5 % et occupe désormais la quatrième position, 2 points devant Benoît Hamon. Avec 11,5 % (-2), Benoît Hamon glisse en cinquième position.

    « La baisse de Benoît Hamon s’explique par une démobilisation des cadres et des employés à son égard : respectivement 10 % et 7 % des cadres et des employés déclarent avoir l’intention de voter pour le candidat du PS contre 19 % et 14 % dans notre précédente enquête », souligne Yves-Marie Cann, de l’institut Elabe.

    Premier sondage d'après débat télévisé. Premier sondage d'après débat télévisé. | Infographie Visactu

    Dupont-Aignan prend deux points

    Enfin, à des niveaux nettement moins élevés, Nicolas Dupont-Aignan est en hausse de 2 points à 5 %. Il est suivi de Jean Lassalle (1 %), François Asselineau, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud qui sont crédités de 0,5 %, alors que Jacques Cheminade obtient un score inférieur à 0,5 %.

    Marine Le Pen est créditée de 36 % des voix dans l’hypothèse d’un second tour l’opposant à Emmanuel Macron (64 %). Dans l’hypothèse d’un second tour l’opposant à François Fillon (54 %), elle est créditée de 46 % des intentions de vote.

    Ce sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de 1 050 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les personnes interrogées par Elabe l’ont toutes été au lendemain du débat télévisé qui a opposé les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle.

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les manifestants se sont rassemblés place de la Liberté.Les manifestants se sont rassemblés place de la Liberté. 

    L’Union Locale CGT de Brest appelait à un rassemblement, ce mardi midi, place de la Liberté. Une centaine de personnes y ont répondu.

    Une centaine de personnes étaient rassemblées place de la Liberté ce mardi midi. Parmi elles, des grévistes de la SNCF, de la métallurgie ou encore de la poste de Saint-Marc.

    "Pas d’industrie sans services publics et pas de services publics sans industries." Tel était le mot d’ordre ce midi place de la Liberté, lors du rassemblement à l’appel de la CGT.

    Le syndicat entendant ainsi dénoncer, « la fermeture de sites industriels, les délocalisations, le démantèlement des services publics et la précarisation du travail qui dégradent considérablement la qualité de vie pour les salariés, les retraités, les chômeurs et les jeunes. »

    Le rassemblement avait lieu à l'appel de la CGT. Le rassemblement avait lieu à l'appel de la CGT.
     
    Par la voix de son représentant Olivier Le Pichon, a CGT ajoute que « le développement d’une industrie moderne suppose des services publics de qualité en matière d’éducation, de recherche, de santé, de transport, de logement, etc. »

    Le syndicat souligne aussi « qu’il ne peut pas y avoir de développement industriel sans services publics forts. Il est absolument nécessaire de répondre à l’impérieuse demande d’emplois dans tous les secteurs publics tels la collectivité territoriale, l’hôpital ou l’éducation. »

    Olivier Le Pichon (à droite) lors de la prise de parole vers 12 h 30. Olivier Le Pichon (à droite) lors de la prise de parole vers 12 h 30.
     
    source: ouest-france.fr
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Billet Rouge-Hue Macron! – Par Floréal (PRCF)

    Pitoyable Robert  ! Après avoir « muté », détruit et dénaturé ce qui s’appelle encore (pour combien de temps ?) le « PCF » (alias section hexagonale du PGE), le micro-Gorbatchev français en arrive désormais, cf l’article ci-dessous, à rallier « En Marche », c’est le cas de le dire, le TGV néolibéral de  ! En échange de quoi ?

    D’une loi « sur la moralisation de la vie politique », le gadget pour enfants sages que, pour « rosir » son allégeance à Macron, le chouchou de la finance et des médias, Bayrou avait déjà obtenu de Macron… Comme si l’on pouvait « moraliser » le capitalisme monopoliste d’État où, sous le masque du « libéralisme », les gouvernants passent sans cesse, COMME l’a fait MACRON LUI-MÊME (ex-commis de Rothschild devenu ministre de l’économie de Hollande) des transnationales à l’appareil d’État et retour… Mais qui croira que la loi « éthique » Hue-Bayrou-Macron, ne sera pas contournée aussi vite que celles qui l’ont précédée ? Et surtout, qui croira que cette loi-gadget soit l’objet véritable du « donnant-donnant » (faut-il dire du « deal » pour être compris d’un Macron qui préfère notoirement le business-Globish à la langue d’Aragon, honteusement allégué par Hue) soit l’objet véritable de la transaction politique entre Hue et Macron ?

    Car le « rénovateur communiste » Hue nous a déjà habitués à ce genre d’ « exigence forte » envers ses suzerains sociaux-libéraux. Rappelons que Hue, qui enchaîna durant cinq ans le PCF au gouvernement Jospin (privatisations massives, passage au funeste euro, guerre contre la Yougoslavie…), a fini par déserter son parti pour devenir… sénateur sur une liste PS ! Dans le but de « rénover le communisme », vraiment ? Ou dans celui, combien plus terre à terre, de vivre une retraite dorée ? Pendant ce temps, le PS au pouvoir s’acharnait avec Sarko sur celle des travailleurs ?

    Hue, Braouézec, Gayssot, et avant eux Fiszbin, Elleinstein, Juquin, Sainjon, Fiterman (qui a fini à la direction du PS)… Décidément, le PCF muté n’en finit pas de secréter des dirigeants félons qui, après avoir « muté », « rénové » et « refondé » le communisme (reproduisant en petit ce que leur ami « Gorby » a fait à très grande échelle : liquider les positions communistes), finissent toujours plus à droite. Jadis ils se contentaient du PS. Mais cette boutique est en crise. Alors ils courent vers Macron quand ce n’est pas plus à droite encore (comme l’a fait Llabres à Toulouse). Voire vers l’extrême-droite en plein essor comme cet ex-dirigeant départemental du PCF devenu porte-parole du FN à Lens…

    Mais où diantre sont donc passés les Cachin, Sémard, Thorez, Duclos, Croizat et autre Martha Desrumeaux que promouvait sans cesse le vrai PCF à l’époque lointaine où ce parti, aujourd’hui décommunisé, se réclamait du léninisme, de l’opposition à l’UE et de l’internationalisme prolétarien ? Telle ligne, tels dirigeants…

    Camarades communistes, interrogeons-nous vraiment sur cette dérive déshonorante qui sème le désarroi chez les communistes, dans le peuple et dans ce qui subsiste de l’électorat PCF. D’autant qu’à l’heure actuelle, les dirigeants du PCF Laurent et Chassaigne qui sont censés défendre la candidature Mélenchon, ne cessent de lancer des « forums », des « pétitions » et de « appels » dont le but réel, sous le verbiage « unitaire », est de tacler la candidature insoumise pour rabattre sur Hamon… et sur les (de moins en moins) juteux accords de désistement législatifs avec le PS. Lutte des classes ou lutte des places, comme disent les militants ouvriers ?

    Ensemble, défendons la candidature insoumise, qu’avait d’ailleurs décidé de soutenir une majorité de cartés PCF.

    Allons aux usines avec un programme de Frexit progressiste et de lutte pour le socialisme.

    Appelons les travailleurs à lutter sans attendre les élections.

    Sur la base de l’unité d’action des communistes pour les quatre sorties, (euro, UE, OTAN, capitalisme), reconstruisons un vrai parti communiste pour qu’émerge une France Franchement Insoumise à la fois au FN et à l’UE du capital.

    Sans rien attendre de bon, de loyal et de CLAIR des Hue, Braouézec et Cie.

    Ni d’ailleurs de ceux qui leur ont succédé à la tête du parti muté et dont nul ne jurera que demain, ils ne passeront pas ouvertement comme leurs tristes prédécesseurs euro-mutés, à la social-démocratie DÉCLARÉE.


    Document tiré du « Point » –  Robert Hue se met En marche !

    L’ancien refondateur du PC, « progressiste de gauche », a officialisé son soutien à Macron. Par peur du Front national. Mais pas seulement.

    PAR LE POINT.FR

    On le pressentait depuis le 2 mars, Robert Hue, ancien communiste, a officialisé son ralliement à Emmanuel Macron. Au début du mois, le fondateur de Mouvement unitaire progressiste avait publié un communiqué où il expliquait ce qui le rapprochait et ce qui le séparait du leader d’En marche !, le candidat attrape-tout. Hue se disait bien sûr effrayé par la perspective d’un second tour Fillon/Le Pen. Aussi séduit par la promesse de « renouveau démocratique » incarnée par l’ancien ministre de l’Économie que rebuté par « ses aspirations libérales ».

    Condition

    Il assortissait donc son éventuel ralliement d’une question : « Je demande à Emmanuel Macron s’il est prêt à introduire explicitement dans son projet une loi majeure portant sur l’éthique et la transparence des finances, et tout particulièrement sur l’évaluation et le contrôle de l’action publique, concernant l’utilisation des fonds publics accordés aux entreprises privées et publiques. »

    Ce vendredi matin, Robert Hue a définitivement franchi le Rubicon. Il s’en explique dans une tribune publiée par Le Monde. C’est bien la perspective d’une victoire de la droite dure, soit sous sa forme « radicalisée », sous-entendu François Fillon, soit sa forme extrême lepéniste, qui pousse l’ancien candidat du PC à l’élection présidentielle de 1995 à rejoindre l’ancien conseiller de François Hollande. « Quand les blés sont sous la grêle, fou qui fait le délicat… » écrit-il, citant Louis Aragon. Mais ce n’est pas seulement cette crainte qui motive sa décision. Le candidat a accepté sa demande du 2 mars et s’engage à faire cette loi de moralisation de la vie publique, demandée aussi par François Bayrou. « L’accord d’Emmanuel Macron d’intégrer à son projet cette proposition me paraît être une contribution économique et sociale majeure au rétablissement de la confiance avec les citoyennes et citoyens français. »

    Désarroi

    En ce sens, le « progressiste de gauche » va plus loin que Patrick Braouezec, un autre ex-refondateur du Parti communiste, membre du Front de gauche. Il a apporté son soutien au candidat En marche ! parce qu’il ne voulait pas le 24 avril regretter un autre choix : « Comme Daniel Cohn-Bendit, je pense qu’Emmanuel Macron est le seul candidat à permettre de ne pas se retrouver devant cette situation et d’éviter que les gens subissent une politique rétrograde. »

    Mais le président de la Plaine commune (communauté de communes de Seine-Saint-Denis) a appelé lors des législatives à voter pour des candidats PCF ou Front de gauche pour peser à l’Assemblée nationale et à poursuivre les luttes après le 18 juin. Un appel qui en disait long sur l’extrême désarroi de la gauche dans cette présidentielle décidément inédite.

    source: initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • APPEL DU PRCF

    AUX SYNDICALISTES CGT/FSU/FO/SUD

    QUI ONT COMBATTU LA LOI TRAVAIL EL KHOMRI

    #LoiTravail Appel du PRCF aux syndicalistes CGT – FSU – FO – SUD… qui ont combattu la loi Travail El Khomri (IC.fr-

     

    La France à l’image de la plupart des pays des grands États capitalistes dominants traverse une crise générale, économique sociale, culturelle.

    Depuis 30 ans, le peuple est de plus en plus victime d’une classe dominante qui dissout sans limite, à coups de privatisations, de lois anti-sociales, de délocalisations, les droits sociaux et les bases d’un système social français conquis par les travailleurs (retraites et sécu, statuts et convention collective, service public, éducation et transports…). Pour ce faire, la classe dominante pilote la construction européenne et la casse du pays (structures administratives, langue, histoire…) afin de construire un empire européen du capital totalement soustrait à l’influence des souverainetés populaires et nationales.

    Cette guerre de classe a des conséquences terribles sur les conditions de travail et de vie du monde du travail : précarité, pauvreté, chômage de masse et surexploitation de la force de travail, inégalités insupportables, relégation des masses populaires dans les grands ensembles HLM et les zones périurbaines vidées peu à peu de tout service public…. Le tout dans un climat de dérive autoritaire et de fascisation (syndicalistes pourchassés, violences policières, état d’urgence sans fin, surveillance généralisée, assimilation du syndicalisme à du terrorisme…) et dans un climat de corruption et de promotion sans fin par tout l’appareil médiatique et culturel de la violence, de la bêtise, de haine de la culture et de la réflexion…

    Cet état effroyable du pays se traduit par une crise politique explosive :  abstention de masse, vote Le Pen à un niveau inquiétant, « alternance » se traduisant toujours par l’application autoritaire de la politique unique du capital.

    C’est pourquoi, dans le cadre des élections présidentielles, les Fillon, Macron, Hamon ont tous à la patte le fil du capital, de l’UE et de l’OTAN et leur programme est directement écrit par le Medef et par l’UE, y compris l’ultralibéral revenu universel de base au rabais d’Hamon financé sur le dos des salariés, qui n’est que l’habillage  « de gauche » de l’abandon de la revendication historique du mouvement ouvrier : le droit au travail pour tous à un vrai travail épanouissant et débarrassé de l’exploitation capitaliste.

    Quant à Le Pen, elle est comme dans les années 30 la solution de rechange du capital en cas de durcissement de la crise sociale et politique, tenant un discours « populaire » pour mieux rabattre sur le capital et pour remettre « la France en ordre », à l’image de son fascisant ami Trump.

    Seule la candidature « insoumise » de Jean-Luc Mélenchon affronte le PS sur sa gauche en ouvrant le débat sur la sortie progressiste de l’euro, de l’UE et de l’OTAN, en proposant l’annulation des contre-réformes (à commenter par la ) et l’amnistie des militants syndicaux… Sur la guerre et la paix, Hamon et Mélenchon sont dans des camps opposés (sortie de l’OTAN pour le second contre défense européenne arrimée à l’OTAN pour le premier), c’est-à-dire se heurtent sur une question vitale qui est celle de la guerre et de la paix, notamment avec le peuple russe, contre lequel l’OTAN et l’UE concentrent des armements et des troupes notamment en Pologne.

    En réalité, en France comme dans le monde entier, des USA  aux Pays-Bas, les oligarchies capitalistes veulent prendre les peuples en étau entre des forces ouvertement réactionnaires (Trump aux USA, Le Pen et Fillon chez nous) et des forces euro-atlantiques grossièrement néolibérales et pseudo-« progressistes » (Clinton ou Obama aux USA, Macron-Hamon chez nous, etc.). Le but de cette tenaille politique internationale et nationale est d’empêcher l’émergence d’alternatives populaires, patriotiques, antifascistes et écologiques permettant aux travailleurs d’engager sur des bases larges la rupture révolutionnaire avec le capitalisme.

    Dans cette situation de crise généralisée, le mouvement syndical a d’importantes responsabilités.

    • Responsabilités vis-à-vis des luttes et des intérêts immédiats des travailleurs : alors qu’Air-France, EDF, la -SEITA et les hospitaliers engagent l’action sans attendre les présidentielles car, il est dommageable que face à la droitisation forcenée de la vie politique nationale, les confédérations syndicales qui ont mené la contre la Loi Travail restent aujourd’hui l’arme au pied alors que les Fillon et autres Macron multiplient les menaces contre les acquis des travailleurs du public et du privé, contre les chômeurs et contre les retraités, c’est sans attendre les « ordonnances » antisociales d’une brutalité inouïe qui peuvent frapper dès juin 2017 qu’il faut construire la convergence des luttes pour l’emploi, le « produire en France », les salaires, la protection sociale, les services publics, le logement, les libertés syndicales qu’étranglent les quelque 2000 procès intentés à de courageux militants et . Une convergence des luttes contre ce qui les fédère objectivement : l’euro-destruction de la France et la marche au Traité transatlantique, qui sont la source commune des délocalisations, des privatisations, des déréglementations, de l’ubérisation.
    • Responsabilités politiques dans la tradition du mouvement ouvrier : la CGT a participé au Front Populaire en 1936, à la Résistance et à l’élaboration du programme politique « les jours heureux » du CNR… Il est nécessaire d’intervenir contre la guerre impérialiste qui vient à l’occasion de cette présidentielle hors-sol, d’autant plus que politique de guerre et euro-austérité sont directement liées.

    Les syndicalistes de terrain  savent aussi qu’il est a minima nécessaire de préserver un espace aux luttes à venir, ce qui suppose de sanctionner durement le parti « socialiste » et de le mettre hors d’état de se présenter en alternative progressiste. Il faut aussi tout faire pour fortifier une gauche populaire euro-critique et anti-OTAN sur laquelle les luttes auront de quoi s’appuyer.

    Pour toutes ces raisons, la commission luttes et les syndicalistes du PRCF appellent leurs camarades de la CGT, de la FSU, de et de SUD … à soutenir ouvertement et en toute indépendance la candidature Mélenchon, à l’utiliser contre le dispositif électoral de la grande bourgeoisie, et à faire entendre les revendications de la classe des travailleurs salariés contre l’UE, l’Euro, l’OTAN et contre le capitalisme en pourrissement accéléré. Ainsi ferons-nous vivre une France Franchement Insoumise à l’UE du grand capital, renouant avec l’élan de la Commune, du Front populaire et de la Libération pour construire une vie humaine, épanouissante et solidaire pour tous.

    Bagneux le 12 mars 2017.

    Appel porté par la commission Luttes du PRCF devant le Comité Central et voté à l’unanimité.

    source: initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire