• Que ce soit dans les ateliers brestois de la base navale ou à l’Île-Longue, les employés des arsenaux ont été exposés à des produits amiantés divers. Mais les documents qui attestent des lieux et dateQue ce soit dans les ateliers brestois de la base navale ou à l’Île-Longue, les employés des arsenaux ont été exposés à des produits amiantés divers. Mais les documents qui attestent des lieux et dates d’exposition sont aujourd’hui difficiles à obtenir.

    D’anciens salariés de l’arsenal de Brest peinent à ouvrir un dossier de compensation ou de prise en charge amiante car ils n’arrivent pas à obtenir de leur employeur un décompte de leur temps passé dans des locaux contaminés. Naval Group promet de régler cette difficulté.

    Que ce soit pour ouvrir un dossier de préjudice d’anxiété ou pour déclarer une maladie liée à l’amiante, l’administration dédiée, le guichet unique d’indemnisation transactionnelle mis en place par le ministère des Armées, exige des éléments précis en temps passé, lieux et services fréquentés. Or, actuellement, Naval Group se contente de remettre une attestation générique qui ne permet pas de prouver l’exposition manifeste à l’amiante sur des lieux précisément identifiés. Aux anciens salariés de l’arsenal de Brest de réunir les preuves qu’ils ont bien travaillé dans des services et des locaux exposés.

    L’un d’entre eux, le photographe brestois Dominique Leroux, a dû lui-même rechercher les preuves de son passage dans des services où il a été exposé à l’amiante à Brest ou à l’Île-Longue. Il a réuni articles de presse, témoignages et documents divers afin de bénéficier de la prime d’anxiété s’élevant à 8 000 €. « J’ai eu de la chance, j’avais gardé des documents et j’ai réussi à en accumuler d’autres. Mais vous imaginez ceux pour qui la maladie s’est déclarée, avec des forces qui déclinent et l’horloge qui tourne ? ».

    Les députés sollicités

    La plupart peinent à réunir les documents demandés par le guichet unique. Et malgré leurs demandes répétées, la direction des ressources humaines de Naval Group n’est pas d’un grand secours dans leurs démarches. Leur ancien employeur se contente de leur remettre une attestation générale qui ne suffit pas pour ouvrir un dossier amiante.

    Alertés sur la situation, les députés brestois Jean-Charles Larsonneur et Didier Le Gac se sont penchés sur la question. Ce dernier a écrit en janvier au P-DG de Naval Group, Pierre-Éric Pommellet, qui a promis de régler cette difficulté auprès de son service de ressources humaines, en lien avec le guichet unique.

    Les solutions arrivent…

    En plus de devoir retrouver les éléments concernant chaque demandeur, Naval Group avait une difficulté supplémentaire concernant les ouvriers d’État ayant quitté l’entreprise DCN avant le changement de statut de 2003. « La DRH du ministère des Armées vient de désigner un organisme afin de signer les attestations pour les personnels ayant quitté DCN avant 2003. Nous avons convenu avec eux d’un process qu’ils doivent maintenant faire valider par la DRH du ministère. Nous sommes en attente de cette validation avant de le mettre en place », assure le groupe. « Pour ceux qui sont partis après 2003, la situation est réglée. Nous produisons un nouveau modèle d’attestation qui est signé par Naval Group », assure l’industriel.

     

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  • La Fédération régionale des MJC a souhaité prendre la parole, ce lundi à Brest, pour défendre les choix réalisés par le conseil d’administration de la MJC de Pen-ar-Créac’h. La Fédération régionale des MJC a souhaité prendre la parole, ce lundi à Brest, pour défendre les choix réalisés par le conseil d’administration de la MJC de Pen-ar-Créac’h. 

    Alors que la MJC de Pen-ar-Créac’h est chahutée depuis janvier par l’annonce de deux licenciements pour raison économique, la Fédération régionale des MJC assure que ce choix était le seul possible.

    Ils sont une dizaine, réunis autour de la présidente de la Maison des jeunes et de la culture de Pen-ar-Créac’h, Marielle Lecomte. Ils sont bénévoles élus, présidant des MJC des quatre coins du Finistère, ou siégeant au conseil d’administration de la Fédération régionale des MJC (FRMJC). Tous ont souhaité prendre officiellement la parole dans ce dossier qui agite le monde de l’éducation populaire brestois depuis l’annonce de la suppression de deux postes à Brest.

    « Pour exprimer notre soutien massif au conseil d’administration de la Maison de Pen-ar-Créac’h, alors que l’intérêt individuel semble primer sur l’intérêt collectif et que l’avenir de la MJC est aujourd’hui en péril », expose Filipe Nonavis, trésorier de la Fédération. Car, pour ses membres, le conseil d’administration de la structure n’avait pas d’alternative : sans la suppression de deux postes (1,5 équivalents temps plein), c’était toute la structure et ses 40 emplois qui étaient menacés.

    En difficulté depuis 2013

    « La MJC souffre d’un déficit structurel. Depuis 2013, elle a perdu près d’un millier d’adhérents, mais a toujours utilisé tous les leviers possibles pour garder la tête hors de l’eau et sauvegarder l’emploi », résume Patrick Belloeil, chargé de mission à la FRMJC. « La perte de 500 adhérents en 2020, à cause de la Covid-19, a été la goutte de trop ». Une goutte qui laisse présager un déficit de 20 000 € (sur un budget de plus 600 000 €) en fin d’exercice, alors que les comptes sont dans le rouge et la trésorerie au plus bas.

    « Le commissaire aux comptes a déclenché une procédure d’alerte en décembre, ce qui signifie qu’il fallait présenter un plan de restructuration sous quinze jours. Sinon, c’était le redressement judiciaire », rappelle la FRMJC. Le conseil d’administration a choisi de supprimer les postes de secrétaire-accueil et coordination jeunesse, et de préserver ceux liés à l’animation. « Pour maintenir le lien avec les adhérents, la présence sur le terrain ».

    « Sauver l’association »

    Pourquoi ne pas avoir sollicité l’aide de la ville ? « Une aide ponctuelle ne suffit pas à répondre à un déficit structurel », balaie la FRMJC, pour qui la masse salariale était la seule marge de manœuvre. Reste, toutefois, le sort de deux salariés laissées sur le chemin, au bout d’un compagnonnage de trente-sept ans pour l’une.

    « Mais elle bénéficie de tous les dispositifs d’accompagnement du contrat de sécurisation professionnelle et sera indemnisée jusqu’à son départ à la retraite, si elle ne retrouve pas de travail. Et on a mobilisé tout le réseau pour lui trouver un nouveau poste », assure la FRMJC. Qui plaide désormais pour un retour au calme autour de la structure et de ses bénévoles : « Car l’enjeu est bien de sauver l’association ».

     

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  • Encore réunis, ce lundi, au siège de Don Bosco (Landerneau), directeurs, présidents et responsables syndicaux du collectif restent soudés pour améliorer les salaires des 9 000 éducateurs sociaux, aideEncore réunis, ce lundi, au siège de Don Bosco (Landerneau), directeurs, présidents et responsables syndicaux du collectif restent soudés pour améliorer les salaires des 9 000 éducateurs sociaux, aides-soignants ou aides à domicile qu’il représente.

    Le collectif finistérien du social et du médico-social organise une mobilisation citoyenne le 12 juin, à Quimper. Prime du Ségur et revalorisation salariale restent en ligne de mire.

    Les 26 associations et trois syndicats (CFDT, CGT, Sud Solidaires) du collectif finistérien du social et du médico-social organise une mobilisation citoyenne le 12 juin, à 14 h, à Quimper (lieu à définir). Ouverte aux professionnels du secteur du handicap et de l’aide à domicile, aux personnes accompagnées, aux représentants des familles…

    « Nous avons pris cette décision, en réunion, vendredi dernier », indique Joël Goron, directeur général des Genêts d’or. « Nous la prenons face au constat d’immobilisme des pouvoirs publics sur les mesures de revalorisations des professionnels de notre secteur. »

    « Donner envie aux jeunes »

    Depuis bientôt un an, ce collectif, inédit par son ampleur (il représente 9 000 salariés), se bat pour les aides-soignants ou aides à domicile de ses structures associatives, restées en première ligne du maintien du lien social pendant la crise sanitaire. Après la prime Covid, il réclame désormais la prime du Ségur (183 €) et, toujours, « un salaire digne ». « Il s’agit de métiers d’avenir. Pour donner envie aux jeunes de les exercer, il est nécessaire de les revaloriser », insiste Stéphane Postollec, secrétaire de la CFDT-Santé social du Finistère.

    Le collectif ne se contentera pas d’effets d’annonce : « Il faut vraiment attribuer au conseil départemental les moyens de compléter la participation de l’État qui s’inscrira dans la loi de Finances », surveille Hervé Le Gall, directeur général d’AS Domicile. « Que les deux s’entendent ».

    Soutien timide des collectivités

    Et cette revendication, les deux l’entendront. La mobilisation du 12 juin envisage de passer devant l’antenne de l’Agence régionale de santé, la préfecture et le siège du conseil départemental.

    Manière de mettre une petite pression avant les élections départementales. Sans oublier les élus locaux en exercice. « Notre motion appelant à soutenir nos revendications a obtenu la réponse de 42 communes ou collectivités territoriales du Finistère. Cela représente seulement autour de 10 %. Alors que nous générons de l’emploi, non délocalisable, dans les territoires (notamment ruraux), nous devons toujours rendre identifiable notre secteur », en déduit Joël Goron.

     

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  • Jacques Gouérou, président du Syndicat Mixte de l’Aulne, composé de six communautés de communes cornouaillaises qui distribue 4,5 millions m3 annuellement à 180 000 habitants.Jacques Gouérou, président du Syndicat Mixte de l’Aulne, composé de six communautés de communes cornouaillaises qui distribue 4,5 millions m3 annuellement à 180 000 habitants.

    Jeudi 29 avril, une canalisation vétuste s’est rompue sur le réseau d’eau potable à Ergué-Gabéric. Le président du syndicat de l’Aulne, Jacques Gouérou, estime qu’il y a des progrès à faire pour informer les consommateurs.

    La scène a un goût de déjà-vu : des élus qui se retroussent les manches pour distribuer en urgence des packs d’eau aux habitants privés de l’approvisionnement au robinet. En août 2020, une pollution issue de la centrale de biométhane de Châteaulin avait affecté les usagers des pays de Quimper et Fouesnant.

    Jeudi 29 avril, la rupture d’une canalisation au Rouillen à Ergué-Gabéric a été à l’origine d’un problème sur le même réseau. Avec des incidences dans l’agglomération quimpéroise et en Pays fouesnantais. Pour Jacques Gouérou, le président du Syndicat Mixte de l’Aulne (SMA), ce n’est pas tout à fait une surprise. « Ce secteur a été identifié comme sensible dans un schéma directeur, relate-t-il. Il y a des canalisations qui ont plus de quarante ans ».

    Trois jours de perturbation

    « Cette rupture est sans doute due à une surpression sur la canalisation en fonte, précise l’élu. Elle a provoqué une fuite de 8 m3/h jeudi vers 19 h qui a été réparée vendredi vers 5 h du matin. Lorsqu’il y a de grosses fuites, cela génère des phénomènes d’eau sale suite à des survitesses de circulation dans les réseaux qui provoquent des soulèvements de particules et des eaux colorées ». Ces eaux « sales » ont eu des conséquences jusqu’à ce lundi matin. L’usine Monique Ranou de Saint-Evarzec a démarré à 8 h, avec trois heures de retard, en attendant le feu vert de l’Agence régionale de santé.

    « Il y a des lacunes d’information »

    L’enjeu est donc énorme. Si toutes les canalisations ne peuvent être remplacées rapidement, il y a un moyen de limiter les problèmes : l’information des usagers. « La communication ne passe jamais assez bien sur ce genre d’affaire, admet Jacques Gouérou. Ce lundi matin, des maires s’en plaignaient. J’en conviens. Dans la délégation de Veolia, il y a la mission d’informer les collectivités adhérentes du SMA ».

    «Je comprends que la priorité est de réparer, mais, derrière, il y a des lacunes d’information des collectivités concernées.»

    « J’ai été informé tout de suite de la casse, j’ai informé les collègues, mais sans savoir la durée du problème, les conséquences sur la distribution d’eau. Nous sommes tributaires de nos partenaires. Je comprends que la priorité est de réparer, mais, derrière, il y a des lacunes d’information des collectivités concernées. On ne peut pas laisser des responsables de collectivité, qui devront prendre ensuite des décisions sur la distribution d’eau, sans information à l’instant T et pendant toute la durée du problème », poursuit Jacques Gouérou.

    « Il y a des protocoles à mettre en place avec le délégataire mais aussi avec le concours des services de l’État et de l’Agence régionale de santé qui voient les choses factuellement. Ils interviennent en aval, mais en amont c’est aux collectivités de se débrouiller », suggère l’élu.

    Ronan LARVOR

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  • De gauche à droite, Bénédicte Nicolas et Julie Danilo, sages-femmes hospitalières, en compagnie de Bénédicte Desmares, représentante du personnel CFDT et Marie-Agnès Daniel, secrétaire de la section CDe gauche à droite, Bénédicte Nicolas et Julie Danilo, sages-femmes hospitalières, en compagnie de Bénédicte Desmares, représentante du personnel CFDT et Marie-Agnès Daniel, secrétaire de la section CFDT de l’hôpital.

    Les sages-femmes se mobilisent une nouvelle fois pour la revalorisation de leur statut, ce mercredi, devant l’entrée de l’hôpital de Quimper.

    Ce nouveau mouvement d’humeur s’inscrit dans le cadre d’une mobilisation nationale organisée à l’occasion de la Journée mondiale des sages-femmes, ce mercredi 5 mai. « Plutôt que d’envoyer une délégation quimpéroise à Paris où est prévu le rassemblement principal, nous avons préféré nous mobiliser ici », expliquent Julie Danilo, 41 ans, et Bénédicte Nicolas, 40 ans, toutes deux sages-femmes depuis respectivement seize ans et quatorze ans. Non pas que la situation soit plus difficile au Chic, au contraire : « Nous travaillons, ici, en intelligence avec nos médecins : nous sommes reconnues. Reste que les problèmes constatés ailleurs et qui n’ont pas à voir avec l’établissement sont les mêmes ».

    Reconnaissance par la réforme du cursus

    Cette complémentarité et liberté d’exercice professionnel conformes à leurs compétences ne sont pas partout en vigueur. Plus que leur rémunération figurant néanmoins aussi au nombre de leurs revendications, les sages-femmes défendent leur place auprès des parturientes en particulier et des femmes en général, sans marcher sur les plates-bandes des gynéco-obstétriciens : « Nous restons dans le champ de la physiologie. Et de l’accompagnement des femmes tout au long de leur vie ».

    Les sages-femmes demandent ainsi « la reprise des travaux sur les décrets de périnatalité et la réforme des autorisations d’exercice ». Toujours solidement soutenues par la CFDT, les Quimpéroises continuent également à réclamer une réforme du cursus, le faisant passer de cinq à six ans : « Cette sixième année serait celle de la thèse d’exercice, avec un accent sur la prévention en maïeutique et santé périnatale ». Il est aussi question de faire évoluer la reconnaissance par la création de postes hospitalo-universitaires pour les sages-femmes.

    Une avancée

    Le gouvernement a bougé, puisque dans le cadre de la loi Rist promulguée le 26 avril, les sages-femmes ont désormais le droit de prolonger les arrêts de travail maternité au-delà de quinze jours, comme elles en avaient déjà le droit. Mais à condition d’avoir suivi la patiente dès le début de sa grossesse.

    « Nous n’avons pas, en revanche, d’information selon laquelle les sages-femmes sont concernées par la revalorisation de leur grille indiciaire », observent Julie Danilo et Bénédicte Nicolas. « Un groupe national constitué de sages-femmes va prendre place à la table des négociations qui débuteront courant mai ».

    En attendant, ce mercredi entre 13 h et 14 h, entre le parking de l’hôpital quimpérois et l’entrée de l’établissement, les grévistes veulent distribuer des tracts et probablement inviter les usagers à signer une pétition ».

     

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  • Les salariés de la Fonderie de Bretagne occupent toujours l’usine de Caudan ce lundi 3 mai. " Hors de question de lâcher " assurent-ils. Les salariés de la Fonderie de Bretagne occupent toujours l’usine de Caudan ce lundi 3 mai. " Hors de question de lâcher " assurent-ils.

    Ce mardi, cela fera une semaine que les salariés de la Fonderie de Bretagne bloquent l’usine de Renault à Caudan. Depuis, aucune avancée significative, la CGT s’impatiente et elle le fera savoir à la préfecture ce mardi.

    Presque une semaine de mobilisation à la Fonderie de Bretagne à Caudan. Les salariés occupent toujours l’usine pour protester contre le départ de Renault et exiger du constructeur le retour des volumes, partis à l’étranger depuis l’incendie en 2019. Après un 1er mai réussi et le défilé de 2 000 personnes, fondeurs en tête, les militants abordent leur deuxième semaine d’occupation avec détermination. « On vient d’apprendre que la ligne de la Zoé, à l’usine du Mans, est arrêtée car il n’y a plus de pièces venues de la Fonderie de Bretagne, cela montre bien que oui, la Fonderie de Bretagne produit pour les véhicules électriques », clame Maël Le Goff, devant une centaine de salariés ce lundi.

    10 000 € collectés

    La CGT est toujours dans l’attente d’une médiation demandée mercredi 28 avril. « Il est grand temps que ça bouge. Alors on va le montrer à la préfecture demain » annonçait ce lundi Maël Le Goff, aux salariés. Ils partiront en convoi de voitures direction Vannes en opération escargot, à 8 h 30 et les fondeurs comptent bien être reçus par les services de l’État.

    La cagnotte de solidarité, mise en ligne la semaine dernière par les fondeurs, affiche plus de 3 900 € ce lundi et 6 000 € ont été collectés sur place.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le 2 mai 2014, les milices de , un groupe fasciste pro-Maidan sous les ordres du gouvernement ukrainien, firent brûler la maison des syndicats d’Odessa, tuant « officiellement » 48 personnes. Un crime qui n’a jamais fait l’objet d’une enquête par les autorités, ni sur le donneur d’ordre de cette attaque, ni sur les causes réelles de la mort de plusieurs des victimes, ni encore sur la lenteur des interventions policières lors du drame.

     

     

    Sept ans après cet horrible incendie, le PRCF 94 a pris l’initiative d’une mobilisation ce 2 mai 2021 pour rendre hommage aux victimes devant l’ambassade de l’ à Paris. Une mobilisation où Fadi Kassem secrétaire du PRCF et Aymeric Monville secrétaire de sa commission internationale, en compagnie de militants du PRCF 94 mais également avec une prise parole de Bruno Drewski ont pu dénoncer haut est fort et plus largement la fascisation galopante en Europe et en France, véritable fléau des peuples.

    En Ukraine, le régime issu du putsch fasciste d’euromaidan impulsé par les USA et l’Union Européenne, avait dans une nouvelle provocation choisi de déployer des groupes de combat devant la maison des syndicats d’Odessa

    Dans un communiqué les camarades du PRCF 94 souligne : “Les militants du PRCF, héritier des combats de la résistance dont ceux des FTP-MOI, se battrons toujours contre le fascisme, peu importe comment il se présente, et nous assurons de notre solidarité tous les camarades victimes du fascisme dans le !”. Un appel qui résonne en écho dans les cœurs de tous les antifascistes.

    Si cette manifestation a été totalement censuré par les médias des milliardaires en France, elle a cependant fait l’objet d’un reportage par le journal télévisé de RT France.

    2 mai 2014 : rassemblement ce dimanche 2 mai 2021 pour commémorer le massacre d’Odessa

    à l’initiative du PRCF 94

    A lire : le compte rendu de la manifestation par le PRCF 94 sur sa page facebook cliquez ici

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Pré-campagne pour une Alternative Rouge et Tricolore

    communiqué n°8

     

    Avec FADI KASSEM et le PRCF, PORTONS L’ALTERNATIVE ROUGE ET TRICOLORE

     

    Le Premier Mai 2021 a permis l’expression de la colère sociale en gestation partout en France. Activement présent dans les manifestations à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Nice ou encore Rennes, le Pôle de Renaissance communiste en France (PRCF) a reçu un accueil très positif auprès des travailleurs en lutte en distribuant des milliers de tracts.

    Ce Premier Mai doit être le début d’une vaste offensive populaire; le prochain, date-anniversaire de la victoire du NON à la Constitution européenne de 2005 et jour de célébration du 150e anniversaire de la Commune, sera une étape majeure pour nourrir la « tempête sociale » crainte par la Macronie et par ses satellites LR-PS-EELV. Mais pour que cette tempête ne profite pas à l’extrême droite putschiste, il est indispensable que les forces populaires et patriotiques ne s’entre-déchirent pas et que convergent autour du des travailleurs et du drapeau tricolore de la nation tous ceux qui veulent un changement véritable. Dans cet esprit, le PRCF condamne l’agression perpétrée contre les camarades de la CGT 94.

    La seule solution réside dans l’Alternative Rouge-Tricolore portée par Fadi Kassem et le PRCF, nécessitant une franche sortie de l’UE du Capital et la reconquête de la souveraineté nationale et populaire, et non une pseudo « Europe sociale » portée par les dirigeants mutants du PCF, des syndicats (dont la CGT) et, de plus en plus hélas, de la France “insoumise”.

    Pour un mois de mai de combat de classe et de masse, avec Fadi KASSEM, portons l’Alternative Rouge et Tricolore !

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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