• IL NOUS MENT !!! Notre Nouveau Clip en exclu ! Hommage aux grévistes du CHU de … Toujours joyeux.ses même face à la violence inhumaine !  et inspiré des toulousains Fabulous trobadors !!!  #IlNouMent#CHUDeToulouse#Grèves​ www.cgtchutoulouse.fr

     

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  • Ce lundi 8 mars, pour la journée des droits des femmes, le Planning familial a collé des affiches dans le centre-ville de Brest.Ce lundi 8 mars, pour la journée des droits des femmes, le Planning familial a collé des affiches dans le centre-ville de Brest. 

    À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le Planning familial brestois a participé à diverses opérations, comme le collage d’affiches en ville.

    Des militantes du Planning familial ont collé des affiches, ce lundi au centre-ville de Brest, sur les panneaux destinés à cet effet. Comme devant l’école Simone-Veil, ministre de la Santé qui a porté la loi sur l’avortement en 1974, l’après-midi à 15 h 40, heure symbolique. En cette traditionnelle Journée internationale des droits des femmes, l’association a marqué le coup, entre autres en étalant ces slogans sur divers sujets sensibles pour la condition féminine. « Avorter est un droit fondamental », ou bien « Tous les jours, à partir de 15 h 40, les femmes travaillent gratuitement », pour rappeler les différences salariales avec les hommes, ou encore « Foutez-nous la Paix M. A »…

    Elles évoquaient la hausse des violences conjugales l’an dernier, le fait que 40 % des femmes qui ont fait appel à l’association, en 2019, l’ont fait pour des violences de natures diverses… Et des avortements hors délai, de femmes qui devaient se tourner vers l’Angleterre par exemple, parfois au-delà de vingt semaines.

    Pratique

    Le Planning familial accueille sur rendez-vous chaque lundi de 18 h à 19 h 30 au pôle santé, 16, rue Alexandre-Ribot (près du PL Guérin). C’est plus compliqué, physiquement, en cette période de couvre-feu, mais l’association peut fournir une attestation et il y a le téléphone : 07 68 57 20 91. Courriel : planning.brest@gmail.com

     

    source:   https://www.letelegramme.fr/

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  • Sur l’air du Chant des marais, un texte pour dénoncer les injustices subies par les femmes.Sur l’air du Chant des marais, un texte pour dénoncer les injustices subies par les femmes. 

    Plus de 250 manifestants avaient répondu à l’appel des féministes ce lundi 8 mars 2021 pour la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes devant la sous-préfecture de Brest. Un appel largement soutenu par les syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires.

    « Les femmes subissent particulièrement la précarité, les temps partiels, les petits boulots précaires, l’écart de rémunération persiste à 25 % entre les femmes et les hommes… » Devant la sous-préfecture de Brest, les prises de parole se sont succédé avec le haut-parleur prêté par les sages-femmes qui ont quitté la place de la Liberté (voir article sur la manifestation) pour venir grossir les rangs des féministes.

    Dénoncer les inégalités

    Près de 250 personnes avaient fait le déplacement pour soutenir la cause des droits des femmes, ce lundi 8 mars 2021, à midi. Une manifestation rythmée par l’air du Chant des Marais, _ la chanson composée dans les années 30 par les prisonniers d’un camp de concentration allemand-, dont les paroles avaient été modifiées pour l’occasion.

    Parmi les thèmes abordés par les organisations syndicales (CGT Brest, FO pays de Brest, FSU et Solidaires 29) : les inégalités hommes-femmes dans les domaines du travail, des salaires, de l’éducation, du logement, des relations sociales, des tâches domestiques, des loisirs…

    La grève féministe pour défendre les droits des femmes s’est rassemblée devant la sous-préfecture de Brest lundi 8 mars 2021. 

    Les manifestants profitent de cette journée dédiée aux droits des femmes pour alerter sur la crise sanitaire « qui aggrave la situation de nombreuses familles ». Ils dénoncent « l’augmentation des violences sexistes et sexuelles, des charges domestiques et familiales » ainsi qu’« un droit à l’avortement fragilisé ».

     

    Sabine NICLOT-BARON 

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Environ 200 personnes se sont réunies devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi midi, pour exiger « la fin des inégalités dans la société française ».Environ 200 personnes se sont réunies devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi midi, pour exiger « la fin des inégalités dans la société française ».

     

    Un peu plus de 200 personnes se sont rassemblées devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi midi, dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes.

    Ils partirent 50, mais par un prompt renfort de sages-femmes, ils se virent finalement relativement nombreux devant les grilles de la sous-préfecture de Brest, ce lundi midi. À l’appel d’une intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires, plus de 200 personnes sont allées, symboliquement, réclamer davantage d’égalité « dans tous les domaines de la vie ».

     

    Parmi les revendications syndicales, figuraient notamment « des mesures ambitieuses pour mettre fin aux inégalités de carrière, la revalorisation des métiers à prédominance féminine ou encore une protection renforcée de toutes les victimes de violences sexuelles ou sexistes, et la sanction réelle des agresseurs ».

    « Toujours ce plafond de verre »

    « J’ai de la chance, j’ai fait carrière dans un milieu bienveillant », exposait, au milieu des manifestants, Anne, retraitée de l’Éducation nationale. « Mais il y a toujours ce plafond de verre pour les femmes dans la société. Et encore, on a de la chance de vivre en France et en Europe, comparé à ce qui se passe ailleurs. Mais ça ne doit pas nous empêcher de batailler ».

    La relève est manifestement assurée. Au micro, devant le cortège, de jeunes représentants du mouvement LGBT + ont ainsi souhaité profiter de cette journée pour prendre la défense des femmes blessées : « Les folles, les grosses, les sans papiers, les actrices de films pornos, les trans, les putes… ». Avant que deux lycéens ne jettent aux huées « la tenue républicaine exigée » par leur ministre et appellent à « une vraie réforme du programme d’éducation sexuelle ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • En 2019, une cellule confidentielle d’écoute et de recueil de la parole a été créée pour les agents du conseil départemental, composée d’un médecin, d’un psychiatre et d’assistants sociaux.En 2019, une cellule confidentielle d’écoute et de recueil de la parole a été créée pour les agents du conseil départemental, composée d’un médecin, d’un psychiatre et d’assistants sociaux

    Tolérance zéro. C’est le message que veut faire passer la présidente du conseil départemental du Finistère à ses 3 800 agents concernant le sexisme au travail. C’est la deuxième année que le Département lance cette campagne.

    « Y’a du monde au balcon dis donc ». « Mmmmhh, tu as mis ton joli petit jean ». « Fais-moi un petit café ma jolie ». « C’est de l’incitation au viol, ça ! » « T’as tes règles ou quoi ? » Depuis ce 8 mars 2021, Journée des droits des femmes, voici ce que les 3 800 agents du conseil départemental du Finistère vont pouvoir lire sur des affiches placardées un peu partout au sein des services et sur le site intranet du Département. Il s’agit de la deuxième campagne de sensibilisation de la collectivité contre les violences sexistes et sexuelles au travail.

    Formations et cellule d’écoute

    « C’est parfois un peu caricatural, mais cela lance le débat sur les agissements, les outrages, les harcèlements ou encore les agressions. Le message est tolérance zéro, personne au conseil départemental ne doit tolérer ces agissements-là », tonne la présidente, Nathalie Sarrabezolles, qui rappelle tout l’engagement du conseil départemental du Finistère pour l’égalité femmes hommes. « Le lancement de cette démarche au sein de notre collectivité remonte au début des années 2000 ».

    Et la présidente de rappeler la mise en place de formations obligatoires dans ce domaine pour ses agents ou encore le travail mené avec les chefs de service « afin qu’ils se sentent moins démunis ». En 2019, une cellule confidentielle d’écoute et de recueil de la parole a été créée, composée d’un médecin, d’un psychiatre et d’assistants sociaux. Pour l’heure, elle a eu peu de retours. Mais la présidente assure que toutes ces initiatives ont un mérite, celui de libérer la parole. « Nous avons été confortés par les retours d’agents femmes. Certaines ont pu s’exprimer. D’autres ont réalisé qu’une bise volée ou qu’une main aux fesses était une agression sexuelle. Tout cela casse la spirale du silence. En France, 9 % des femmes ont un rapport non consenti au travail et plus de 30 % font l’objet de violences sexuelles. Le chantier à mener est vaste ».

    64 % des encadrants sont des femmes

    Sur les 3 800 agents recensés au conseil départemental, 67 % sont des femmes. Ces dernières représentent 62 % des agents de la filière culturelle, 84 % de la filière administrative et 92,5 % de la filière sanitaire et sociale. 63 % des agents de la filière technique sont des hommes.

    Reste que si au niveau de l’encadrement supérieur, les femmes tirent sacrément leur épingle du jeu avec 64 % de femmes à des postes d’encadrants, les écarts de salaire moyen demeurent importants. 800 € de plus pour les hommes en catégorie A, et 200 € de plus pour les catégories B et C.

    Du côté des élus, la parité est forcément respectée dans la répartition des sièges avec des binômes femme homme par canton depuis 2013. 54 % des membres du bureau et 67 % des conseillers délégués sont des femmes.

     

    source: 

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  • Cette semaine, le Secrétaire du Syndicat CGT vous fait un nouveau point concernant l’actualité du CHRU Brest L’actualité de la semaine démarre par la journée du 8 mars, journée internationale pour le droit des femmes. Il est normal que dans notre secteur professionnel elle soit particulièrement marquée. Il évoque ensuite les difficultés pour le personnel du CHRU de se faire vacciner contre le Covid 19 Et les discours culpabilisateurs du gouvernement envers les personnels soignants. Enfin, il termine par ce que la CGT considère comme de graves dérives autoritaristes qui sont en train de se mettre en place dans l’établissement. Ensuite, Bahar va faire un point Sur la situation particulière de deux services de la Cavale Blanche où il manque cruellement de moyens.

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  • Les clients et partenaires de Penn da Benn se sont réunis vendredi midi pour les 25 ans de la librairie. Les clients et partenaires de Penn da Benn se sont réunis vendredi midi pour les 25 ans de la librairie.

    La librairie Penn da Benn, spécialisée en culture bretonne, a ouvert ses portes, le 8 mars 1996. Ce lundi, elle fête ainsi ses 25 ans. Une trentaine d’amis et partenaires de cette librairie spécialisée en culture bretonne se sont réunis devant, vendredi midi, pour adresser un mot à la gérante et propriétaire, Marijo Mellouët, qui n’était pas là : « Deiz ha bloaz laouen Penn da Benn » (Joyeux anniversaire Penn da Benn). Pour fêter ces 25 ans, un événement autour de la lecture sera organisé dans l’année.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Un piquet de solidarité pour les femmes palestiniennes sera organisé le 10 mars, à 16 h 30, rue Kéréon, à Quimper. Un piquet de solidarité pour les femmes palestiniennes sera organisé le 10 mars, à 16 h 30, rue Kéréon, à Quimper. 

    Le groupe du pays de Cornouaille de l’Association France-Palestine solidarité organise un piquet de solidarité, le 10 mars, à 16 h 30, rue Kéréon, à Quimper, pour les femmes palestiniennes.

     « En ce 8 mars, à l’occasion de la Journée des femmes en lutte pour leurs droits, le groupe du pays de Cornouaille de l’association France-Palestine solidarité tient à saluer la lutte des femmes palestiniennes », écrit l’association dans un communiqué. Les Palestiniennes sont « victimes directement et indirectement de la violence de l’occupation et de la colonisation israéliennes : harcèlement par les soldats de l’occupant, spoliation des terres et des ressources, destruction d’habitations, entraves à la circulation et à l’accès à la santé et à l’éducation ». Elles « doivent gérer l’augmentation de l’instabilité, de la précarité, de la pauvreté, mais aussi celle des violences domestiques exacerbées par les humiliations que subissent les hommes du fait de l’occupation » et « endurent une double oppression mais refusent de la subir », tout en participant « à l’évolution de la société palestinienne et à la lutte de libération nationale, qui peut les mener en prison ».
     
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  • À Quimper, une soixantaine de personnes pour l’égalité salariale 

    À l’appel de l’union locale de la CGT, une soixantaine de personnes s’est réunie, ce lundi 8 mars, à midi, au niveau de l’esplanade François-Mitterrand, à Quimper. L’occasion de célébrer la journée de lutte pour les droits des femmes mais aussi de faire part de leurs revendications, « toujours d’actualité », à savoir l’égalité salariale, l’accès pour les femmes aux postes à responsabilités mais aussi l’égalité pour les conditions de travail, sans compter la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Parmi les personnes rassemblées, une quinzaine d’hommes. « C’est une lutte commune, pointe Sandrine Allain, du bureau de l’union locale. On n’y arrivera pas seules ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • De gauche à droite : Gaëlle Kervégant (Ville de Vannes), Denis Chopinet (directeur de l’école Calmette), Isabelle Le Nabat (inspectrice de l’éducation nationale en charge des langues et cultures régio De gauche à droite : Gaëlle Kervégant (Ville de Vannes), Denis Chopinet (directeur de l’école Calmette), Isabelle Le Nabat (inspectrice de l’éducation nationale en charge des langues et cultures régionales), David Robo (maire de Vannes), Christine Penhouët (adjointe au maire), Philippe Kérébel (inspecteur de circonscription), Laëtitia Demarié (Office de la langue bretonne), Jean-Jacques Page (conseiller délégué à la culture et la langue bretonne), Ronan Postic (Office de la langue bretonne).

    Une filière français-breton s’ouvre à la rentrée de septembre 2021 à l’école maternelle Calmette de Vannes.

    « Seule ville au monde à avoir une filière bretonnante de la crèche au bac », dixit le maire David Robo, Vannes poursuit son effort en faveur de la langue de Per-Jakez Hélias. À la rentrée prochaine, une filière français-breton va s’ouvrir à l’école maternelle publique Docteur Calmette. Après Cliscouët et Rohan, ce sera la troisième école du genre dans la préfecture du Morbihan.

    Un troisième site vannetais

    « Pendant longtemps, Vannes a été en tête des villes bretonnes à avoir le plus grand nombre d’enfants scolarisés en bilingue. Il manquait un troisième site pour consolider la filière bretonnante » renseigne David Robo qui n’aurait rien contre rattraper un jour Rennes, Brest et Quimper en nombre de petits locuteurs.

    Une vingtaine de places à pourvoir

    Une dizaine d’élèves a minima (soit une demi-classe) sont attendus en septembre, explique Isabelle Le Nabat inspectrice de l’Éducation Nationale en charge des langues et cultures régionales. « Si besoin, on ouvrira une classe entière. Le poste d’enseignant bilingue est prévu » détaille Philippe Kérébel, inspecteur de circonscription.

    Rien d’inaccessible à entendre Denis Chopinet, directeur de l’école, qui sait que six enfants de son établissement sont déjà préinscrits sur une vingtaine de places à pourvoir. « Cette ouverture va dynamiser l’école » apprécie-t-il, relevant que les locaux offrent la place suffisante pour ouvrir trois classes supplémentaires, à terme.

    Réunion d’information le 15 mars

    Pour anticiper au mieux la rentrée, les parents sont invités à participer à une réunion d’information en visio-conférence « le 15 mars » explique Ronan Postic, de l’Office de la langue bretonne (*). À noter que pour inscrire son enfant, il n’est pas nécessaire de parler préalablement breton.

    Plus de 10 % des élèves en filière français-breton

    « Le bilinguisme précoce en breton, c’est un avantage pour l’apprentissage des autres langues » fait valoir David Robo, tandis que Jean-Jacques Page (conseiller délégué à la culture et la langue bretonne) cite Guillevic : « Plus on est enraciné, plus on est universel ».

    Trois cent trente-quatre enfants sont scolarisés en classe bilingue, à Vannes. Leur nombre est porté à 570 en ajoutant le collège Diwan, les collégiens de Jules Simon, et les élèves de Saint-François Xavier. Soit plus de 10 % des élèves de la ville.

    * Pour y participer, prière de demander un lien internet au 06 87 35 84 85.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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