• À Vannes, la mobilisation pour l’hôpital fait un flop 

    L’appel à manifester lancé par plusieurs organisations syndicales, dont la CGT, contre les accords signés dans le cadre du Ségur de la santé n’a pas été entendu par le personnel soignant. Ils étaient une vingtaine de salariés à participer au rassemblement devant l’entrée de l’hôpital ce jeudi 5 octobre. « Les gens sont assignés, c’est compliqué dans les services de s’absenter, quand on n’est pas assez nombreux. Même pour une demi-heure », commentait une manifestante.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les manifestants se sont mobilisés entre midi et 14 heures autour d’un casse-croûte gratuit devant l’hôpital du Scorff. Les manifestants se sont mobilisés entre midi et 14 heures autour d’un casse-croûte gratuit devant l’hôpital du Scorff. 

    Un mouvement social était prévu ce jeudi, devant l’hôpital du Scorff, à Lorient. Près de 150 manifestants se sont rassemblés entre 12 h et 14 h.

    Dans le cadre de l’appel à la grève nationale des salariés de l’hôpital public, du social et du médico-social, un rassemblement était prévu ce jeudi devant l’entrée principale de l’hôpital du Scorff. À l’appel de l’Intersyndicale, près de 150 manifestants ont répondu présent à partir de midi pour réclamer, notamment, une renégociation du Ségur de la santé, une revalorisation des salaires et des réouvertures de lits. Le mouvement a pris fin peu après 14 h

    Source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Devant l’hôpital du Scorff à Lorient, la CGT et Sud appellent à la mobilisation.Devant l’hôpital du Scorff à Lorient, la CGT et Sud appellent à la mobilisation. 

    La CGT et Sud-santé appelaient à rejoindre le mouvement de grève nationale, ce jeudi 15 octobre 2020. Localement, plusieurs centaines d’agents ne bénéficient pas des mesures du Ségur de la santé.

    À l’heure de midi ce jeudi 15 octobre, devant l’hôpital du Scorff à Lorient, l’appel de la CGT et de Sud-Santé a été entendu.

    Les « oubliés du Ségur » sont venus dire leur ras-le-bol et leur incompréhension. À l’échelle locale, plusieurs centaines d’agents sont ainsi exclues des mesures de revalorisation salariale (prime de 183 €).

    Cela concerne en effet le Groupement d’intérêt public Blavet-Scorff (la restauration hospitalière, ainsi que la blanchisserie), l’Institut de formation des professionnels de santé, l’Établissement français du sang, la clinique du Ter, les Services de soins infirmiers à domicile et le Centre de soins et d’accompagnement et de prévention et addictologie. 

    Exclus par décret

    « C’est un décret qui est tombé, explique une responsable syndicale, qui n’appelait pas ce jeudi à la grève. Tous ces agents – on ne peut pas nous dire combien pour le moment – sont exclus du dispositif. L’effet est désastreux pour eux, certains ont déjà de faibles salaires. Mais localement, on ne peut rien faire. » 

    La solution peut-elle venir des élus ? Alerter « les politiques » pourrait en tout cas être une piste. Notamment pour les agents de l’Institut de formation des professionnels de santé, organisme qui relève pour partie de la compétence du conseil régional.

    Cette (mauvaise) nouvelle n’est pas de nature à motiver un personnel hospitalier déjà sous pression. Même si pour l’instant, de source syndicale, la 2e vague Covid n’est pas une réalité au Groupe hospitalier Bretagne Sud.

    Mais, si elle doit arriver… « Les gens ne sont pas mobilisés, souligne un agent. On ne pourra pas les solliciter comme en mars… »

     

    Catherine JAOUEN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Georges Gastaud, secrétaire national du PRCF appelle ce 14 octobre 2020 à la vigilance sanitaire oui, mais aussi à la vigilance DEMOCRATIQUE, PACIFIQUE, SOCIALE et PATRIOTIQUE !
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  • Santé : la CGT appelle au rassemblement à Quimper, ce jeudi (LT.fr-14/10/20-19h30)

    L’union locale CGT de Quimper appelle les salariés et la population à se rassembler, ce jeudi 15 octobre, à 14 h 30, devant le centre hospitalier intercommunal de Cornouaille, à l’occasion d’une manifestation intersyndicale.

    Dans un communiqué, le syndicat réclame « un système de santé qui réponde aux besoins de la population » et « l’embauche massive et urgente de personnels ». Dans le même temps, il pointe aussi du doigt le Ségur de la santé et le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, dont les principales mesures viennent d’être dévoilées. « Jugé, il y a quelques mois à peine, trop coûteux et inefficace, le modèle social français, au cœur duquel se situe la Sécurité sociale, s’est avéré être, une nouvelle fois, un amortisseur social alors que l’économie française a été l’une des plus touchées par l’épidémie, écrit notamment la CGT. Mais si la Sécu a été très sollicitée ces derniers mois, il y a fort à parier que la parenthèse sanitaire refermée, ces détracteurs reviendront à la charge pour poursuivre son démantèlement ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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    Le trou financier du centre hospitalier de Quimper continue à se creuser, année après année. L’avenir de l’établissement sera encadré par l’Agence régionale de santé. Le temps que le plan de retour à l’équilibre financier porte ses fruits ?

    31 millions d’euros de déficit cumulé ! « Pourquoi a-t-on laissé le déficit de l’hôpital exploser ? », demandait, ce mardi après-midi, la CGT du centre hospitalier de Cornouaille. L’incompréhension demeure et il n’y a aucune réponse précise à la question dans l’immédiat. À l’issue de la réunion où elle a été élue présidente du conseil de surveillance, ce mardi après-midi, la nouvelle maire de Quimper, Isabelle Assih, elle-même, reconnaissait que les explications avaient manqué.

    La dégradation de la situation financière du grand centre hospitalier de Cornouaille n’est pourtant pas nouvelle.

    Dans un rapport daté de 2016, la Cour régionale des comptes notait que la situation s’était dégradée dès 2012. Même si une réduction du déficit et une amélioration de la capacité d’autofinancement avaient été enregistrées en 2015, le CHIC n’a jamais pu vraiment sortir d’une spirale infernale : 2,90 M€ en 2017, 4,50 M€ en 2018, 7 M€ en 2019. Le trou se creusera encore de 11 M€ cette année, portant le déficit cumulé à 31 M€.

    Un plan de développement de l’ambulatoire « trop ambitieux »

    Une des pistes pour expliquer cette dérive semble être un plan « trop ambitieux » de développement de l’ambulatoire, c’est-à-dire de l’accueil à la journée des patients et donc de diminution des lits d’hospitalisation. Des lits ont bien été supprimés mais l’ambulatoire n’a pas équilibré l’activité dont le bilan financier s’est dégradé. Ce constat est partagé par la direction et les syndicats. « En 2018, l’hôpital a supprimé trente lits pour renforcer les prises en charge alternatives, commentait le directeur Jean-Pierre Heurtel (arrivé en 2018), lors de la cérémonie des vœux, en début d’année. Moins de lits, c’est moins de recettes. Et pour l’instant, les activités ambulatoires n’ont pas compensé ce manque. Nous avons été trop ambitieux ». Pour autant son plan de retour à l’équilibre financier signé en juillet 2019 et qui prévoyait, entre autres, la suppression de deux jours de RTT pour le personnel, n’aura pas suffi à freiner la descente. Il pourrait aussi y avoir un décalage dans le temps. Car l’hôpital a continué à investir dans du matériel coûteux et à embaucher (28 médecins) pour répondre à des besoins. Aurait-il fallu différer certains investissements pour une transition dans la durée vers l’équilibre ?

    L’Agence régionale de santé vient donc en aide à l’hôpital de Quimper. Il n’est a priori pas mis directement sous tutelle, le directeur restant en place, mais tout investissement futur devra être soumis à l’accord de l’ARS. Il faudra du temps pour redresser des comptes. Les investissements sont sans doute compromis pour un certain temps mais cela suffira-t-il ?

    Ronan Larvor

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Petit Navire — Wikipédia

    Sept postes du service comptabilité de l’usine Petit Navire sont menacés à Douarnenez (29). La maison mère Thaï Union Group souhaite externaliser une partie de l’activité comptabilité en Inde afin de réduire les coûts. Ce projet a été confirmé au cours d’une réunion, indiquent les syndicats. Une décision définitive sera annoncée le 13 novembre prochain lors d’un nouveau CSE. Le site Petit Navire à Douarnenez compte 179 salariés.

     

    source: https://www.letelegramme.fr

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