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  • Le 12/10/2020, à 11:51, Sec. Politique Ambassade du Venezuela a écrit :

    Chers amis -   Chers Camarades

    Trouver ci-joint : Lettre adressée par le président Nicolas Maduro Moros aux peuples du monde. 

    A diffuser sans modération.

    Fraternellement, 

     Ambassade de la République Bolivarienne du Venezuela en France 

     

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  • Rencontres, échanges et débats pour faire connaitre leur démarche au sein du mouvement. Rencontres, échanges et débats pour faire connaitre leur démarche au sein du mouvement.

    Quelques collégiens et lycéens, animés par la volonté de protection de l’environnement, avaient rendez-vous, samedi, pour informer sur le mouvement Younth for climate.

    Ils sont jeunes et inquiets pour le devenir de la planète. Lucas, Elouann et Pénélope se sont réunis ce samedi après-midi, place Jules-Ferry, pour informer sur le mouvement Younth for climate, mobilisation des jeunes pour la justice climatique et sociale. Ils se sont retrouvés pour débattre, mais surtout remettre en ordre de marche, avec d’autres jeunes, une dynamique de groupe sur le pays de Lorient. Quentin souhaite impulser un collectif pour organiser des marches et actions. Elouannn, sensibilisé très jeune à la protection de l’environnement et la justice sociale, explique : « C’est un engagement personnel. Il faut que les consciences se réveillent ». Pénélope rappelle les marches des jeunes en 2018. Tous sont collégiens et lycéens et animés par la volonté de protection de l’environnement.

    Pour les joindre : younthforclimatelorient

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Alexandre Boceno, au centre, se félicite de l’arrivée de trois praticiens au service de chirurgie orthopédique ces dernières années. Il compte aussi sur un assistant et une médecin généraliste, rare e Alexandre Boceno, au centre, se félicite de l’arrivée de trois praticiens au service de chirurgie orthopédique ces dernières années. Il compte aussi sur un assistant et une médecin généraliste, rare et précieux dans un service. 

    En effectif réduit depuis plusieurs années, le service de chirurgie orthopédique et traumatologique du Groupe Hospitalier Bretagne Sud a vu arriver de nouveaux praticiens, ces dernières années. L’équipe souhaite accentuer les opérations programmées et développer, entre autres, les liens avec les médecins du sport.

    Le service d’orthopédie se renforce au Groupe Hospitalier Bretagne sud qui compte aujourd’hui six chirurgiens après l’arrivée de Karim Messedi en novembre 2019, Damien Potage en février 2020 et Meriem Belhouchet arrivée comme interne en novembre 2018 et qui sera à temps complet à partir de novembre 2021. « L’orthopédie survivait, on était la tête dans le guidon et nous ne faisions presque exclusivement de la traumatologie », se souvient Frédéric Turlin, chirurgien. Une équipe jeune et dynamique qui espère maintenant récupérer sa part de chirurgie orthopédique. « Nous avons un effectif complet avec des chirurgiens de la main, pied-cheville, épaule. Les patients étaient souvent envoyés à Vannes pour la chirurgie de la main, Meriem Belhouchet travaille avec deux autres chirurgiens de la Clinique du Ter », se félicite Alexandre Boceno, le chef de service.

    400 opérations après fracture du col du fémur

    La difficulté à trouver des praticiens explique en partie les années compliquées du service qui souhaite, aujourd’hui, retrouver les opérations programmées : « les poses de prothèses de hanches, d’épaule, de genou. Pour le pied et l’épaule, l’offre restait marginale à Lorient avec beaucoup de patients qui allaient se faire opérer à Rennes ou Nantes. On retrouve de la programmation dans le service public », se réjouit le chef de service.

    Parmi les opérations les plus effectuées chaque année à Lorient, 400 concernent les fractures de col du fémur. L’orthopédie lorientaise assure mettre en œuvre toutes les dernières techniques de la société savante avec de la chirurgie de moins en moins invasive, qui favorise la récupération et réduit le temps passé à l’hôpital. « Nous souhaitons aussi développer la chirurgie du sportif, en lien avec la médecine du sport et Kerpape, en mettant en place des consultations avec les médecins du sport et les orthopédistes pour une prise en charge médicale et/ou chirurgicale ».

    Un médecin généraliste à « l’ortho »

    Le service se félicite de compter dans ses rangs un médecin généraliste, Myriam Rochas, « car des patients qui arrivent ici des urgences n’ont parfois pas vu de médecin depuis des années », explique Alexandre Boceno. Les prises de sang avant opération soulèvent parfois des problèmes, « et il ne s’agit pas d’opérer le patient et de le renvoyer chez lui. Il est rare d’avoir un médecin généraliste, Lorient est précurseur », assure Damien Potage. Le service de chirurgie orthopédique et traumatologique développe aussi la RAC, la Réhabilitation améliorée après chirurgie. « Le patient devient acteur de sa prise en charge, il y a un protocole avant opération pour mieux informer et le patient peut sortir plus vite », résume Alexandre Boceno.

    Pratique

    Service chirurgie orthopédique et traumatologique du Scorff : tél. 02 97 06 97 06. Consultations avancées deux fois par semaine à Quimperlé, tél. 02 98 96 60 45

    Céline LE STRAT

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  • Saint-Guénolé (29). Le chalutier hauturier L'Estran à son retour d'une campagne de pêche au large de l'Irlande

    Au menu des discussions, cette semaine à Bruxelles, les négociations pour un accord de pêche avec le Royaume-Uni entrent dans la dernière ligne droite. Un sujet d’inquiétude pour les pêcheurs bretons, premier volet de notre enquête consacrée au Brexit.

    Balayé par les bourrasques, le port de Saint-Guénolé (29), à la pointe de Penmarc’h, attend de connaître le sort réservé à la pêche française. Le long des quais presque déserts, L’Horizon et les Calanques, deux chalutiers bleus et blancs de l’armement La Houle, sont en relâche, bientôt prêts à rejoindre l’ouest Irlande et la mer Celtique, deux des zones de la pêche hauturière où travaillent les Bretons. Depuis son bureau qui domine le port, Jacques Pichon, le directeur de l’armement, l’un des principaux de la pointe bretonne, se dit davantage préoccupé par le marché du poisson, à la peine dans le contexte de la crise sanitaire, que par les négociations entre l’Union européenne et les Britanniques sur le Brexit. Le dirigeant semble malgré tout confiant : « Il y a une possibilité d’accord juste et équitable ».

    Bras de fer

    Rien n’est pourtant gagné pour la pêche française, dans le flou total à moins d’une semaine de la « deadline » fixée par le gouvernement de Boris Johnson. Depuis la réouverture des négociations, mercredi, le bras de fer se poursuit entre les Britanniques , dont la volonté est de contrôler leurs eaux poissonneuses et une Union européenne divisée sur la question, malgré le signe d’apaisement de Michel Barnier, évoquant la nécessité d’un compromis.

    Politique pour le gouvernement britannique, l’enjeu est d’abord économique de ce côté-ci de La Manche. Principale organisation de producteurs française, avec un total de 650 navires, Pêcheurs de Bretagne a fait ses comptes. « Sur les 300 M€ de chiffre d’affaires de nos adhérents, la moitié est réalisée par une centaine de navires dépendant directement, entre 20 et 100 %, des eaux britanniques », souligne Yves Foëzon, son directeur. Une dizaine de bateaux de la Cobrenord, travaillant en Manche ouest et mer Celtique, sont également concernés.

    « Partir de mer Celtique ne se fera pas du jour au lendemain »

    Carte des traits de pêche à l’appui, Jacques Pichon évoque la politique récente de l’armement, depuis l’arrivée de capitaux irlandais : « Nous sommes moins dépendants des eaux britanniques que nous l’avons été ». Ne plus pêcher dans la zone économique de la Grande-Bretagne, au 1er janvier prochain, n’est pourtant pas envisageable. Chaque hiver, les bateaux de l’armement habitués à l’ouest Irlande ont besoin de se replier dans le sud du canal Saint-George quand la mer devient mauvaise. « Partir de mer celtique ne se fera pas du jour au lendemain », prédit le directeur d’armement.

    Une réalité encore plus criante pour les trois chalutiers de 46 mètres de la Scapêche (Lorient), premier armement français à la pêche fraîche avec 24 navires. Les trois bateaux en base avancée à Lochinver (Highlands) n’ont pas d’autre solution technique que de continuer à pêcher dans l’ouest de l’Écosse. Jean-Baptiste Saria, le président du groupe Agromousquetaires, ne cache pas son inquiétude : « Nous étudions plusieurs scénarios mais la difficulté est que nous n’avons pas vraiment de visibilité ». L’enjeu est double pour le groupe dont la pêche est transformée dans ses ateliers.

    L’avenir de la pêche bretonne suspendu au Brexit

    La rentabilité en question

    Dans la perspective d’un « no deal », le principal risque est une concentration de l’effort de pêche dans les eaux communautaires. Pour Olivier Le Nézet, le président du comité régional des pêches de Bretagne, la politique des quotas doit permettre de réguler la pêche. Mais les pêcheurs bretons s’inquiètent malgré tout d’un possible report sur des espèces comme la lotte pour laquelle des quotas restent disponibles. « Si la pression augmente, on risque à terme de voir les rendements baisser et la rentabilité économique des entreprises se réduire », souligne le directeur de Pêcheurs de Bretagne.

    Une pression dont la pêche côtière pourrait devenir victime, par ricochet. Si Olivier Le Nézet promet des moyens pour protéger la bande côtière des 12 milles, les pêcheurs de bar craignent de souffrir un peu plus de la raréfaction de la ressource, par effet domino.

    Dans ces conditions, ni le Royaume Uni, ni l’Union européenne ne semblent avoir un intérêt à ne pas tomber d’accord. Il y va de l’avenir de la pêche bretonne qui pèse pour moitié à l’échelle nationale. Dans le Pays bigouden, où La Houle vend son poisson comme sur l’ensemble du littoral, l’avenir de toute la filière est suspendu aux conditions de l’accord.

    Jean Le Borgne

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • EXCLUSIF. 90 sportifs de haut-niveau, représentants d'établissements, de salles ou d'institutions, docteurs, professeurs de médecine lancent un appel pour la réouverture des établissements et associations accueillant la pratique d'activités physiques et sportives.

    Zinédine Zidane, Stéphane Diagana, Marie-Amélie Le FurZinédine Zidane, Stéphane Diagana, Marie-Amélie Le Fur

     

    En raison de l'épidémie de Covid-19, les salles de sports, gymnases et salles polyvalentes sont fermés dans de nombreuses métropoles, classées en alerte renforcée ou alerte maximale. 90 signataires, sportifs de haut-niveaux, notamment Zinédine Zidane, Stéphane Diagana ou Marie-Amélie Le Fur, représentants d’établissements et d'institutions, docteurs et professeurs de médecine, demandent un changement de regard sur un secteur "injustement pointé du doigt". Voici leur tribune pour le JDD. "Nous, professionnels de l'encadrement de l'activité physique et sportive, sportifs de haut niveau et professionnels de la santé, déplorons la stigmatisation des lieux de pratique d'activité physique et sportive comme vecteurs de propagation de la pandémie actuelle.

    Lire aussi Covid-19 : enfants, adultes… quelle pratique sportive est-elle encore possible?

    Il ne s'agit pas de nier la gravité de cette dernière, ni d'affirmer l'absence totale de risque au sein de ces établissements, mais bien de dénoncer des décisions infondées, sur le plan sanitaire, social et économique. En effet, dans le respect des protocoles actuels en vigueur, le risque de pratiquer une activité physique et sportive dans un établissement dédié, salle ou gymnase, n'est pas démontré scientifiquement. Aucun cluster issu de ces structures n'a d'ailleurs été signalé à date par les Agences Régionales de Santé (ARS).

    Ce message erroné, anxiogène et aux conséquences désastreuses, ne doit plus être répété

    Les bénéfices de l'activité physique et sportive sur la santé des Français sont aujourd'hui incontestables et incontestés. Il est également formellement démontré que dans d'autres épisodes épidémiques d'infection, les personnes pratiquant régulièrement une activité physique ou sportive ou ayant une bonne capacité physique, étaient moins gravement atteintes.

    Le confinement a déjà entrainé l'arrêt brutal de l'activité physique et sportive de nombreux Français. Le corps médical a par ailleurs eu la plus grande difficulté à poursuivre ses recommandations auprès de patients persuadés de prendre plus de risques à continuer cette pratique sportive, qu'à l'arrêter. Ce message erroné, anxiogène et aux conséquences désastreuses, ne doit plus être répété.

    Lire aussi TRIBUNE. Faire du sport-santé "une priorité du monde de demain"

    Après cette période de confinement qui a meurtri les corps et les esprits, mais également les trésoreries, les acteurs du sport se sont mobilisés pour accueillir leurs adhérents et licenciés dans les meilleures conditions sanitaires possibles. Dès lors, pourquoi ces fermetures? Il est hors de question pour les professionnels de santé d'interdire aux malades chroniques de prendre leur traitement, l'activité physique et sportive en étant une des composantes à part entière.

    Les inégalités dans l'accès aux activités physiques et sportives se creusent

    Nos inquiétudes se confirment également sur le plan social, puisque nous constatons que les inégalités dans l'accès aux activités physiques et sportives se creusent, touchant principalement les femmes, les seniors et les catégories socioprofessionnelles les moins élevées. 

    Face à cette situation injustifiée et désastreuse pour l'ensemble du secteur, nous refusons de voir sacrifier la dernière tentative pour ces acteurs d'assurer la reprise de leur activité après une crise lourde de conséquence. Sinon, nombre de ces fermetures temporaires deviendront malheureusement définitives…

    Lire aussiCrise sanitaire : près de 5 millions de licenciés en moins

    A la lumière de ces éléments, nous demandons aujourd'hui solennellement aux pouvoirs publics la réouverture de l'ensemble des établissements et associations accueillant la pratique d'activités physiques et sportives quelles que soient les zones, un soutien économique ciblé pour soutenir des entreprises et associations sportives en perte de fréquentation alarmante et une prise en compte des protocoles sanitaires déjà opérants et évolutifs afin de préserver la santé des Français et l'économie de notre pays."

    Les signataires 

    Stéphanie BARNEIX, multi-championne du Monde de sauvetage en mer ; Dr Denys BARRAULT, Président de la société française de médecine de l’expertise et du sport ; Sébastien BEQUART, co-Fondateur GymLib ; Dr Karim BELAID, Médecin du sport et président du réseau ETP diabète ADDIAMO ; Emmanuelle BESCHERON, championne du monde de sauvetage ; Jérémy BONDER, Champion de France escalade ; Frederic BOONAERT, médecin du sport, kinésithérapeute et ostéopathe - Martinique) ; Gilles BRAVO, Fondateur Hoops Factory ; Charles BRUMAULD, diététicien-nutritionniste ; Bruno CHEYROU, Ex-International de Football ; Virgile CAILLET, directeur-général d'UNION Sport et Cycle ;  Dr Audrey CAMARZANA, Médecin cardiologue ; Samy CAMARZANA, co-fondateur Arkose ; Pr François CARRE, Professeur en physiologie cardio-vasculaire ; Alizé CORNET, Joueuse de tennis ; Sébastien CORNET, Fondateur Esprit Padel ; Guillaume DEBELMAS, co-Fondateur le FIVE ; Grégoire de BELMONT, Co-Fondateur Arkose ; Fabienne DELAIRE, Dirigeante COMSPORTS – Présidente du SY.DEL ; Gregory de RADIGUES, Président Keep Cool ; Stéphane DIAGANA, Champion du monde d'athlétisme ; Philippe DIALLO, Président du CoSMoS ; Leslie DJHONE, champion du monde d'athlétisme ; Thierry DOLL, Président FranceActive ;  Cédric DOUMBE, Champion du monde de KickBoxing ; Daniel Du LAC, Entraineur de l’équipe de France d’escalade de bloc ; Gaëtan DUBUISSON, Directeur Général Fitness Park ; Pr Martine DUCLOS, Service de Médecine du Sport et des Explora, Fondatrice COPPELLIA DANSE ; Gaelle FRIZON de LAMOTTE, Fondatrice OLY BE ; Elodie GARAMOND, Fondatrice le TIGRE YOGA ; Johanna GEYER CARLES, Championne de France de Cross-Country ; Yosi GOASDOUE, Champion de France de Semi-Marathon ; Dr Youna GOURRONC, Médecin cardiologue ; Lucile GRENTZINGER, co-Fondatrice Blast ; Dr Jean-Luc GRILLON, Médecin conseiller DRJSCS ; Jean-Pierre GRUPPI, Dirigeant CONVISPORT ; Cédric GUELLE, co-Fondateur URBAN SOCCER ; Steve GUILLOU, co-Fondateur Arkose ; Dr Christophe HAUSWIRTH, Médecin expert scientifique dans les domaines du sport santé ; HIT THE ROAD, YouTubeur et athlètes de parkour ; Gérard HOLTZ, ex-Journaliste sportif ;Tony JALINIER, co-Fondateur le FIVE ; Vanessa JODAR, directrice Planet Fitness Group ; Dr Roland KRZENTOWSKI, Président Mon Stade Paris Maison Sport Santé ; Julien LALANNE, champion du monde de sauvetage ; Mickael LANDREAU (Ex-International de Football ;  Benjamin LANG, Double vice-Champion du Monde d’aviron ; Antoine LAYMOND, Instructeur de Muay Thaï et de  Krav Maga ; Preston LEE RAVAIL, Coach sportif ; Guillaume Le FLOCH, Dirigeant d’établissements de Fitness et de Foot5 dans le 93 ;  Marie-Amélie LE FUR, Présidente du comité paralympique et sportif français ; Yann Le MEUR, Physiologiste du sport ; Mélissa Le Névé, Double championne de France d’escalade ; Thierry LOUVET, finaliste olympique aviron– Fondateur Incept-sport ; Alexandra LUX, Championne du monde de sauvetage ; Stéphane MADELENAT, Fondateur Apollo sporting club ; Véronique  MAILLET, Fondatrice QEE Yoga ; Olivier MARYNX, Gérant ALTISSIMO ; Denis MASSEGLIA, Président du Comité national olympique et sportif français ; Christophe MATEUS, Fondateur Magic-Form ; Mickael & Bassa MAWEN, Champions de France escalade - qualifiés aux jeux olympiques de Tokyo ; Lyes MEKESSER, co-Fondateur ARKOSE ; Thomas MONNIER, Directeur Général Adjoint KEEP COOL ; Nicolas MOUSQUES, Président Groupe Impulsion ; Safi N’DIAYE, membre de l’équipe de France de Rugby Féminin ; Valérie NICOLAS, ex-Internationale et championne du Monde de Handball ; Mathieu NICOURT, Champion d’Europe d’arts martiaux, acteur, fondateur de la Free Fight Academy ; Dr Yves PAGES, Président de la Société Française de Sport Santé ; François PETIT, Champion du monde, Président du groupe Climb Up ; Pr Aurélien PICHON, Directeur de la Faculté des Sciences du Sport de l'Université de Poitiers, Président de la Conférence des Directeurs et Doyens d’UFR STAPS ; Solenne PIRET, Double Championne du monde Paraclimbing ; Christine POURCELOT, Fondatrice La Salle de Sport ; Pr Léandre POURCELOT , Chef du département de médecine nucléaire et ultrason du CHU de Tours, Directeur de l’unité INSERM 316 ; Thomas REMOLEUR, ex-kinésithérapeute du sport, directeur d’Olbia conseil ; Thomas RIBOLLET, médecin du sport-Bordeaux ; Nicolas SAVINAUD, Ex-Footballeur ; Dr Dorothée SCHMIDT, médecin du sport ; Régis SONNES, entraineur Stade Toulousain ; Stéphane SUZZONI, Directeur général Mon stade ; Pr. Jean-François TOUSSAINT, Professeur de Physiologie, Université de Paris & CIMS, Hôtel-Dieu, Directeur de l’Institut de Recherche Médicale et d'Epidémiologie du Sport ; Stéphane TRAINEAU, Champion du Monde de Judo, Directeur des équipes de France de Judo ; Jérôme VALENTIN, Président UNION Sport et Cycle ; Frédéric VALLET, Fondateur On AIR ; Dr Charlotte VERGNENEGRE, Praticien hospitalier, Service des Maladies Respiratoires ; Joseph VIEIVILLE, co-Fondateur Le FIVE ; Nicolas Warter, Co-Fondateur Urban Soccer ; Céline WISSELINK, co-Fondatrice Groupe Verona ; Lucille WOORDWARD (journaliste scientifique, professeur de fitness ; Zinédine ZIDANE, ex-International de Football. 

     

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  • Si le confinement des premières semaines a été salutaire pour organiser la prise en charge hospitalière de nos malades, il faut désormais mettre fin à cette médecine sanitaire préventive de groupe qui paralyse la France entière. Empêcher un virus de circuler est une illusion, écrit le professeur Alexandre Carpentier. Plus de 60 % de la population sera atteinte, quel que soit le niveau de coercition.

    Une file d'attente devant un centre de dépistage du coronavirus SARS-CoV-2 dans le 18e arrondissement de Paris.

    par le Professeur Alexandre CARPENTIER (chef de service de neurochirurgie à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière)-publié le 23/09/2020 (14h05)

     

    A la mi-mars, le monde s'arrêtait de tourner, grippé par le Covid-19. Six mois plus tard, les bavettes chirurgicales à la pâleur spectrale masquent les visages sur tous les continents. La peur de la contagion immobilise… Mais est-ce bien raisonnable de la laisser asphyxier notre pays ? Est-ce bien sensé de la laisser nous étrangler ?

    Si le confinement des premières semaines a été salutaire pour organiser la prise en charge hospitalière de nos malades, je m'insurge qu'en cette rentrée scolaire, parce que trois enfants sont révélés positifs au Covid-19, des écoles entières ferment à peine ouvertes, renvoyant pléthores de parents et d'enfants dans leurs charentaises. Je m'insurge que ce virus serve d'alibi béni à tous nos désengagements : ceux-là sont bien plus assassins.

    Un enfant qui décroche, un autoentrepreneur qui se suicide, un chef d'entreprise qui licencie ne méritent-ils pas qu'on se libère de nos excès de précaution ?

    Peut-on revenir à la raison et mettre fin à cette médecine sanitaire préventive de groupe qui paralyse la France ? On égrène nos morts dans des litanies Covid à faire pâlir notre quatrième âge, mais pourrait-on mettre en balance toutes les victimes collatérales ô combien nombreuses : suicides, dépression, pauvreté et exclusion, surendettés, licenciés, déscolarisés, patients non-Covid et faillis ? Un enfant qui décroche, un autoentrepreneur qui se suicide, un chef d'entreprise qui licencie faute de commandes, ne méritent-ils pas qu'on se libère de nos excès de précaution ?

    Circuler, c'est la vie d'un virus

    Empêcher un virus de circuler est une illusion. Plus de 60 % de la population sera atteinte, quel que soit le niveau de coercition des règles sanitaires. Ce sera ainsi et ce sera « la faute à personne ». C'est la vie d'un virus.

    Chaque année, des gens meurent de la grippe, bien que vaccinés. La maîtrise d'un virus n'est donc que partielle. Elle le sera tout autant avec le prochain antidote Covid. Et rappelons aussi que 80 % des personnes emportées par les grippes saisonnières ou le Covid-19 ont plus de 75 ans : à quel âge la mort a-t-elle le droit de voler son butin sans qu'on l'impute à un autre ?
    Reprenons donc le cours de nos vies, acceptons de prendre le risque raisonnable d'être contaminé comme nous l'avons toujours fait. A-t-on jamais arrêté le pays pour pic épidémique de grippe ? Le « protéger quoi qu'il en coûte » aura un effet boomerang trop considérable pour que nous poursuivions ainsi plus longtemps.

    Testons, isolons, mais ne fermons pas

    Alors ne parlons plus de confinement à grande échelle. Gardons nos masques et nos gels : ils nous protègent individuellement et collectivement en lissant les contaminations. Ceci évite la saturation des services de santé et, de facto, permet une meilleure prise en charge. Voilà notre responsabilité : un engagement de chacun et une responsabilité partagée.
    Que celui qui est testé positif s'isole pour préserver les autres. Si un élève se révèle positif, ne fermons pas l'établissement ! Si un salarié est Covid+, ne fermons pas l'entreprise ! Que celui qui est médicalement fragile se confine pour se préserver : son médecin traitant saura le guider.

    Que tout prélèvement soit étiqueté du numéro de téléphone du patient. S'il revient positif, les agences régionales de santé pourront immédiatement avertir le porteur, lui rappeler son devoir d'isolement, lui attribuer l'arrêt maladie ad hoc et le surveiller (médicalement parlant, c'est entendu) si besoin.

    Sacrifice d'une génération

    Libérons de toute responsabilité morale les directeurs d'école, les chefs d'entreprise et nos gouvernants pour que la vie ne s'arrête plus, pour que les conséquences sociétales déjà majeures ne s'alourdissent pas. Le ralentissement économique d'un pays peut très vite engendrer une double faillite, sociale et sociétale, impactant non pas seulement une population à un temps T, mais plusieurs générations. Aujourd'hui nous sacrifions l'avenir, nous sacrifions nos jeunes.

    Alors, acceptons le risque d'être vivants et vivons pleinement notre vie de mortels. Là seulement réside notre vraie responsabilité.


    Alexandre Carpentier, Chef de service de neurochirurgie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
     

     

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