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  • Couverture Initiative Communiste 180-181

    Sommaire n° 180-181 :

    P 4-7 : FREXIT en deçà des Alpes, ITALEXIT au-delà ! – Rencontre avec l’ambassadeur de Cuba – Venezuela : le PC soutient toujours le régime de façon critique
    P 8-10 :  La loi travail électrocutée chez R.T.E. – Nouvelles attaques contre les retraités
    P 12-17 : Après le beau score du vote de classe pour J.-L.M., remporter le 3ème tour face au président mal élu !
    P 11 : Énergie et P.C.F.-P.G.E. : la dérive – Des faits, rien que des faits
    P 18-19 : Le F.N., eurosceptique de pacotille. Les communistes britanniques contre le séparatisme écossais.
    P 20-21 : Marseillaise et Internationale : faut-il choisir ?
    P 22-24 : La campagne présidentielle du P.R.C.F.


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    • faites parvenir vos noms et coordonnées avec règlements par chèque à l’ordre d’ à l’adresser à BP 30111 62802 LIEVIN
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  • Violencespolicières, Interdiction de manifester Amnesty international dénonce la fascisation En Marche ! (IC.fr-2/06/2017)-

    Violences policières, répression des syndicalistes et de journalistes indépendants, dénonce la En Marche ! Dans un rapport, Amnesty International France qui a pu observer sur le terrain les agissement des autorités gouvernementales et de la police à ses ordres durant l’année 2016 – de la résistance contre l’euro aux mobilisations de défense de l’environnement ou des migrants – établie un réquisoire sans équivoque sur le bilan du gouvernement dont est issu M : celui d’une utilisation à sens unique des mesures liberticides de l’Etat d’Urgence non pas pour sécuriser le pays contre le terrorisme, mais bien pour établir un état d’urgence antisociale, totalitaire visant essentiellement à la répression des travailleurs, des syndicalistes.

    En pratique, le bilan de MM Hollande, Valls & Macron, c’est bel et bien celui de l’interdiction de manifester. Celui de plus de 1000 manifestants blessés rien qu’à Paris. Celui de plus de 1000 procès politiques frappant les opposants à l’euro loi travail. Celui du retour des lettres de cachets pour priver de ce droit de l’homme élémentaire – la liberté d’expression – des citoyens innocents. Par une simple décision d’un préfets.

    Comment ne pas citer ce chiffre glaçant mis en évidence par l’ONG : en France, pour imposer par la force avec l’antidémocratique et totalitaire article 49.3 de la Constitution l’euro Loi Travail de M Macron au ordres de la Commission Européenne et du MEDEF, tous les trois jours c’est une qui est interdite. Tous les trois jours, c’est deux citoyens qui sont interdits de manifester, Tous les jours, c’est trois manifestants, syndicalistes, opposants politiques qui sont trainés devant les tribunaux, trois autres qui sont blessés, rien qu’à Paris. C’est également un jeune homme désarmé et pacifiste tué par le jet d’une grenade, une arme de guerre à Sivens, une affaire qui n’a toujours pas été jugé. C’est un photographe plongé dans le coma par le jet d’une grenade par un policier à Paris. C’est un jeune lycéen tabassé par un policier pendant qu’un autre le tien devant son lycée à Paris. C’est des syndicalistes condamnés à de la prison pour des actions syndicale. Cela ne se passe ni en Turquie, ni en Arabie Saoudite, ni en Birmanie, mais bien en France. Est ce exagérer que de dénoncer la fascisation En Marche ? non c’est une prise de conscience collective indispensable : le pouvoir totalitaire de la classe capitaliste ultra minoritaire – Macron n’a réuni sur son nom que 18% des électeurs inscrits, et les français ont voté NON à l’Union Européenne à 55% – pour imposer sa violente politique euro austéritaire de destruction du modèle social, de baisse des salaires, d’exploitation capitaliste de plus en plus brutale à mesure que la crise structurelle du capitalisme s’aggrave  a nécessairement recours à des méthodes de plus brutales, antidémocratiques. Et à défaut d’un rapport des forces suffisamment organisé sur la base de la classe des travailleurs, il est libre de piétiner les plus élémentaires des droits de l’homme.

    Chaque citoyen, chaque républicain, chaque démocrate, chaque homme et femme libre se doit de partager ce rapport d’Amnesty International auprès de ses amis, proches et parents : en effet, alors que l’ONG est fréquemment cité lorsqu’il s’agit de mener des campagnes médiatiques d’opinion contre des gouvernements dont le tort est de résister aux diktats de l’impérialisme euro atlantique, chacun aura pu entendre le silence assourdissant de la censure médiatique frappant ce rapport accablant.

    La liberté c’est bien le combat collectif de chacun. C’est également un enjeu des prochaines élections législatives afin que le mouvement du banquier Macron, l’homme des six 49.3, celui qui veut mettre à sac la France pour le CAC40 à coup d’ordonnances et qui défile sur les champs Elysées en blindé militaire n’ait pas les pleins pouvoir, mais trouve face à lui un barrage républicain, antifasciste, populaire.

    JBC pour www.initiative-communiste.fr

    Le rapport implacable de Amnesty International

    L’état d’urgence détourné pour restreindre le droit de manifester

    Depuis novembre 2015 et les terribles attentats qui ont touché la France, l’état d’urgence a été instauré et renouvelé à cinq reprises. Alors que son objet est de prévenir de nouvelles attaques, les mesures de l’état d’urgence ont été utilisées pour interdire 155 manifestations. Tous les 3 jours environ, une manifestation est interdite en France sous ce prétexte. Par ailleurs, 595 interdictions individuelles de manifester ont été ordonnées par les préfectures en France, sous l’argument de prévenir les violences lors des manifestations, alors que le plus souvent il n’existait que peu ou pas d’éléments démontrant que ces personnes auraient participé à des violences.

    L’Etat n’a pas été en mesure de prouver pour chacune de ces interdictions qu’elles visaient à prévenir une menace spécifique, qui ne pouvait être évitée qu’en limitant un droit pourtant fondamental. De telles mesures, sans lien démontré avec la lutte contre la menace terroriste, ont un impact démesuré sur le droit des personnes à exercer leur liberté d’expression pacifique.

    Ainsi, de nombreuses personnes interdites de manifester avaient simplement été présentes lors de manifestations ayant donné lieu à des actes de violences par des manifestants, mais rien ne permettait de leur reprocher la participation aux dites violences.

    639 mesures d’interdictions individuelles de manifester ont été prises contre des personnes dont 21 dans le cadre des manifestations liées à la COP21, et 574 dans le cadre des manifestations contre la loi travail

    Des pratiques policières contestables :

    Nous avons aussi pu constater un usage récurrent de certaines pratiques de maintien de l’ordre contraires au droit international.

    Par exemple, la fouille systématique et la confiscation d’outils de premiers secours, tels que les sérums physiologiques, les lunettes qui ne peuvent pas être considérées comme des armes par destination, empêchent les personnes de se soigner. Le fait que du matériel de premier secours ait été confisqué aux street medics est aussi choquant, car ce matériel peut être indispensable pour prodiguer des soins de première urgence. :

    À chaque fois on leur expliquait qu’on avait besoin de ce matériel pour prodiguer les premiers secours aux manifestants qui, par exemple, se sentaient mal à cause des lacrymogènes. Ils nous répondaient qu’on ne devait pas venir en manifestation si on avait peur que les lacrymogènes puissent être utilisés ».

    Annaliese, une Street-Medic (secouriste) à Nantes

    Des stratégies de maintien de l’ordre peuvent aussi mener à une hausse des tensions et limiter de manière disproportionnée le droit de manifester. Par exemple, l’usage fréquent et prolongé des nasses, cette pratique qui vise à confiner des manifestants pour les empêcher de manifester ou de rejoindre une manifestation, est une atteinte disproportionnée au droit de manifester, en particulier lorsque les personnes « nassées » sont des manifestants pacifiques. Pourtant, il existe des stratégies de maintien de l’ordre qui visent à diminuer les tensions plutôt qu’à les attiser.

    Un usage disproportionné et arbitraire de la force

    Notre recherche, confortée par l’observation de plusieurs manifestations, nous a permis de constater le recours par les forces de l’ordre à un usage disproportionné de la force. Selon des témoignages concordants recueillis auprès des streets medics, des bénévoles qui soignent les personnes blessées au cours de manifestations, plus de 1000 personnes auraient été blessées rien qu’à Paris lors des manifestations contre la loi travail. Bien sûr, les actes de violence de la part de certains manifestants à l’encontre des forces de l’ordre doivent aussi être condamnés. Toutefois, ils ne peuvent justifier une violence disproportionnée de la part des forces de l’ordre.

    Ces pratiques d’usage de la force, outre qu’elles peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les personnes touchées, peuvent également, selon de nombreux témoignages, avoir un impact sur le droit de manifester en lui-même, les personnes ayant peur de revendiquer leurs droits en participant à des manifestations.

    Je manifeste depuis mon jeune âge et je n’ai jamais vu une telle agressivité des forces de police. Je suis une femme de 50 ans, cadre dans le secteur privé et pacifique.

    Sandrine, manifestante à Rennes.

    Elle rajoute « et je veux démentir les autorités qui disent que la police ne s’en est prix qu’aux casseurs lors des manifestations du printemps 2016 ».

    Plus de 1000 personnes auraient été blessées rien qu’à Paris lors des manifestations contre la loi travail

    Des journalistes intimidés et violentés

    Les violences à l’encontre de journalistes et autres travailleurs des médias lors des récentes manifestations ont fait le tour de la presse.

    L’usage de la violence de la part des forces de l’ordre contre des personnes filmant ou documentant des manifestations est particulièrement inquiétant car il remet en cause le droit à une information libre. Même en cas de violence, il est du devoir des autorités de permettre aux journalistes de mener à bien leur travail.

    Je n’ai pas d’autres explications que d’avoir été visé volontairement car je filmais l’interpellation violente d’un manifestant. Il n’y avait pas d’autres manifestants autour de moi, ils étaient à au moins 20/30 mètres à l’arrière et ils étaient en train de se disperser.

    Joël, réalisateur indépendant

    Manifester est un droit, pas une menace

    Une manifestation doit toujours être considérée comme légale a priori, à moins que l’Etat puisse avancer des éléments précis justifiant son interdiction.

    De plus, les actes de violences commis pendant une manifestation ne peuvent être imputés qu’à leurs auteurs et ne suffisent pas à qualifier une manifestation de violente.

    Ainsi, toute intervention des forces de l’ordre ne doit viser que les individus responsables des violences. Il est du devoir de l’Etat de reconnaitre que les manifestations sont un usage légitime de l’espace public et il doit justifier d’une certaine tolérance envers les éventuelles perturbations non violentes qui pourraient avoir lieu. Pourtant, depuis l’instauration de l’état d’urgence, un glissement dangereux s’est opéré : des stratégies de maintien de l’ordre sont mises en place qui impactent fortement des droits fondamentaux dans l’objectif de prévenir des risques qui pourraient avoir lieu, sans aucune preuve concrète et solide que des événements dangereux pour la nation vont en effet arriver et que la seule solution pour y faire face est la restriction d’un ou de plusieurs droits fondamentaux. Cette logique dangereuse est celle de l’état d’urgence.

    Il est temps de mettre un terme à cette dérive : manifester est un droit, pas une menace.


    Envoyer un mail ou un courrier à Emmanuel Macron

    > Copier-coller ce message ci-dessous et rendez-vous sur cette page du site de l’Elysée

    > Vous pouvez aussi imprimer ce message ci-dessous chez vous et l’envoyer à l’adresse suivante :

    Présidence de la République

    55 Rue du Faubourg Saint-Honoré

    75008 Paris

    A savoir : les correspondances au Président de la République française sont dispensées d’affranchissement

    Monsieur le Président,

    J’ai pris connaissance du rapport d’Amnesty International sur les restrictions abusives au droit de manifester en France depuis l’instauration de l’état d’urgence. Intitulé Un droit, pas une menace. Restrictions disproportionnées à la liberté de réunion pacifique sous couvert de l’état d’urgence en France, il dresse un état des lieux inquiétant des atteintes portées à ce droit fondamental auquel notre pays est profondément attaché, par son histoire comme par ses engagements internationaux.

    Ce rapport démontre en effet que des centaines de mesures restreignant de manière injustifiée le droit de circuler librement et le droit à la liberté de réunion pacifique ont été imposées sous prétexte de lutter contre le terrorisme. L’état d’urgence, conçu pour protéger la population française contre la menace de nouveaux attentats, a été utilisé abusivement pour restreindre son droit à manifester pacifiquement. Sous couvert de ce régime d’exception, des centaines de militants, défenseurs de l’environnement et militants pour les droits des travailleurs ont été privés de leur droit de manifester, lorsqu’il leur a été interdit, sans raison, de participer à des manifestations.

    Par ailleurs, si je déplore profondément que de nombreux représentants des forces de l’ordre aient été blessés au cours de plusieurs manifestations, je déplore aussi que des milliers de manifestants pacifiques aient souvent été confrontés à un usage disproportionné de la violence par les forces de sécurité. Des matraques, des balles en caoutchouc, des grenades de désencerclement et du gaz lacrymogène ont été utilisés contre des manifestants pacifiques qui ne semblaient pas menacer l’ordre public, faisant un grand nombre de blessés. Les stratégies de maintien de l’ordre employées ont aussi dans certains cas semblé contribuer à attiser les violences et les tensions, plutôt que de les apaiser.

    Monsieur le Président, le droit de manifester pacifiquement est un droit essentiel à l’exercice de la liberté d’expression, indispensable au bon fonctionnement de toute démocratie. Vous-même, lors de la campagne présidentielle, vous êtes publiquement engagé à protéger et garantir ce droit.

    Le rapport d’Amnesty International porte de nombreuses recommandations. Parmi celles-ci, j’attire votre attention sur les demandes suivantes:

    – l’état d’urgence doit être levé dans les plus brefs délais, à moins que les pouvoirs publics n’apportent la démonstration de sa nécessité ;

    – tant que ce régime d’exception est en place, les mesures de l’état d’urgence ne doivent pas être détournées de leur objet, à savoir la prévention d’attaques terroristes, pour restreindre abusivement la liberté de manifester. Cela passe par une révision de la loi sur l’état d’urgence, si celui-ci devait être reconduit, ainsi que par des instructions claires données aux préfets ;

    – les forces de l’ordre ne doivent utiliser la force qu’en dernier recours, de manière strictement nécessaire et proportionnée à la menace ;

    – les violences excessives ou arbitraires commises par les forces de l’ordre à l’encontre des manifestants pacifiques doivent faire l’objet d’une vigilance active des autorités, et être sanctionnées par des enquêtes impartiales et indépendantes.

    En vous remerciant de l’attention que vous voudrez bien porter à ces recommandations, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération,

    Le rapport intégral de Amnesty International

    AI_Rapport_Un_droit de manifester en france

     

    source: initiative-communiste.fr

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  • Législatives 20171ère circonscription 29-la tribune de Jugdeep HARVINDER, la France insoumise (OF 2/06/2017)« Habitant à Quimper et étudiante en fin de Master sur les institutions médiévales, j'ai commencé à m'engager au lycée contre la casse du service public : régressions sociales, baisses de subventions dans l'Éducation, diminutions de budget et des personnels, réformes des retraites, Loi Travail, grands projets inutiles (aéroport de Notre-Dame-des-Landes etc.).

    Engagée dans le syndicalisme étudiant à la Sorbonne, avec Marie-George Buffet et le Front de Gauche sous Hollande, j'ai suivi la démarche de Jean-Luc Mélenchon et me suis reconnue dans le programme écologiste, social et démocratique de la France Insoumise : l'Avenir en commun (disponible sur laec.fr).

    Il faut en finir avec l'évasion fiscale des grands groupes et cette caste, l'oligarchie, incarnée par Macron.

    À l'Assemblée nationale, je me battrai pour la VIe République, les énergies renouvelables et la sortie du nucléaire, l'augmentation des salaires et minima sociaux, le 100 % bio dans les cantines et l'agriculture paysanne.

    J'ai 26 ans, je voterai des lois dont je mesurerai les conséquences dans trente ans.

    Les jours heureux sont possibles et le goût du bonheur est contagieux, les 11 et 18 juin, votons pour la France insoumise ! »

    source: ouest-france 2/06/2017

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  •  40 ans après, le rallye des Bradés repart (OF 2/06/2017)

    En 1977, la CGT avait imaginé le rallye des Bradés pour dénoncer les suppressions d'emplois. Quarante après, elle relance l'opération.

    Une vingtaine de véhicules, couverts d'affiches et de drapeaux CGT, se sont regroupés jeudi matin à Ergué-Gabéric, à deux pas du bureau de poste (menacé de fermeture) du Rouillen.

    Point de départ symbolique pour le rallye des Bradés organisé quarante ans après la première édition en 1977. « À l'époque, on parlait d'emplois bradés. Il s'agissait essentiellement de suppression d'emplois du secteur privé (Donval à Rosporden, Sopromer à Concarneau et Trégunc, Transocéan à Brest, Papeteries de Scaër) », rapporte Anne-Véronique Roudaut, secrétaire générale de l'union départementale CGT. À l'époque, les conflits sociaux étaient nombreux et fréquents.

    Énergies marines renouvelables à Brest

    « En 2017, le département compte 73 000 demandeurs d'emploi contre 20 000 en 1977. Les pertes d'emploi dans le privé sont toujours d'actualité. Mais aujourd'hui, les services publics suscitent le plus d'inquiétudes. Le rallye des Bradés va réunir des hospitaliers, des territoriaux, la Poste... »

    Revendicatif, le rallye se veut aussi un moment privilégié pour faire des propositions. « Les énergies marines renouvelables constituent un gisement d'emplois à Brest. » Après avoir sillonné le sud Finistère jeudi, et passé une nuit à Carhaix, le rallye abordera le nord du département ce vendredi. Avant de se conclure sur le port, à Brest, lors d'un moment festif.

    C'est l'un des aspects de ce rallye. La CGT veut gagner en « visibilité », pas seulement dans un piquet de grève ou lors d'une manifestation : un syndicat qui sait concilier revendication et ouverture sur la société. Sur ce point, le rallye de 2017 se rapproche de celui de 1997.

    Jean-Pierre LE CARROU.

    source Ouest-France 2/06/2017

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  • «Des pinceaux et pastels pour la paix»

              «Non aux manœuvres militaires de l’OTAN         en Bretagne»

     Ces manœuvres auront comme centre névralgique la base aéronavale de Landivisiau qui accueille les avions rafales, porteurs potentiels de l’arme nucléaire , et ne peuvent qu’intégrer la base de sous-marins nucléaires de l’ile Longue située à quelques kms de Landivisiau et de la base de Lanvéoc où sera regroupée le une partie essentielle de la logistique.

    Cette base aéronavale prépare par ailleurs les mêmes avions Rafale dans leurs missions d’accompagnement du Porte avion Charles De Gaulle pour des opérations et des guerres extérieures.

    C’est pourquoi Le Mouvement de la paix appelle toutes celles et tous ceux qui ont la paix au cœur à participer au rassemblement citoyen, artistique et pacifique organisé le :

    mardi 6 juin 2017 à partir de 12 heures autour de la chapelle

    Saint-Michel de Brasparts.

    Sous l’intitulé « des pinceaux et pastels pour la paix » la contribution des artistes et des plasticiens est la bienvenue, de même que les musiciens et les citoyens pour un moment de rencontres au cœur de ce parc d’Armorique qui respire la paix et la beauté du vivant et appelle à la fraternité et à la paix.

     

    A l’initiative du Mouvement de la paix et du réseau des artistes pour la paix

     

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  • Richard Ferrand. Une enquête préliminaire ouverte par le Parquet de Brest (LT.fr -1/06/2017)

    C'est un véritable coup de tonnerre qui se produit dans le dossier Richard Ferrand. Le parquet de Brest a finalement décidé d'ouvrir une enquête préliminaire sur les faits signalés ces derniers jours.

    Les appels, insistants, s'étaient multipliés ces derniers jours. Partis et élus politiques, simples citoyens réclamaient une enquête sur "le dossier Ferrand". Une situation intenable pour le parquet de Brest, qui a finalement cédé. D'abord face à l'accumulation de faits rapportés dans la presse ces derniers jours. Et surtout face à la confusion générée par les déclarations, parfois contradictoires, des différents acteurs du dossier.

    Le parquet de Brest a finalement estimé que seules des investigations permettraient de lever les incertitudes qui pèsent dans ce dossier. Le procureur de la République brestois a donc logiquement décidé d'ouvrir une enquête préliminaire, qui est confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire de Rennes.

    Un champ d'enquête très large

    Le spectre des investigations est très large, puisqu'il vise tous les faits susceptibles de constituer des infractions pénales en matière d'atteintes aux biens (infractions économiques et financières, etc.), de manquement au devoir de probité et aux règles spécifiques du code de la mutualité.

    Sont d'abord et principalement visées les conditions d'acquisition et de location de l'immeuble brestois où les Mutuelles de Bretagne ont établi un centre de soins, en 2011. Epoque à laquelle Richard Ferrand était directeur-général de la mutuelle, et dont la compagne était un conseil juridique et la propriétaire officielle des locaux, via une société civile et immobilière (SCI). Le champ de l'enquête concerne aussi l'ensemble des faits et possibles conflits d'intérêts révélés par le Canard Enchaîné et Le Monde. Les enquêteurs devront également recouper les nombreuses déclarations des différents acteurs du dossier, notamment rapportées par Le Télégramme et Le Parisien.

    Deux ministres visés par des enquêtes

    Ce coup de tonnerre intervient alors que Richard Ferrand se prévalait jusqu'à présent, justement, de l'absence d'enquête déclenchée par la justice. Le parquet national financier avait indiqué que les faits signalés n'entraient pas dans son champ de compétence. Et le parquet de Brest avait estimé que ces mêmes faits n'étaient alors pas susceptibles de constituer des infractions. Cette nouvelle étape va-t-elle conduire Richard Ferrand à démissionner de son poste de ministre ? Non, si l'on en croit les dernières déclarations du Premier ministre.

    Ce mardi soir encore, Edouard Philippe rappelait les règles qu'il a fixées pour les membres de son gouvernement : un ministre doit présenter sa démission s'il est mis en examen. C'est-à-dire si l'enquête relève "des indices graves ou concordants, rendant vraisemblable la participation du mis en cause, comme auteur ou complice, à la commission d'une infraction". L'enquête n'a pas encore débuté. Mais on imagine qu'elle devra être menée au pas de charge. Avec deux ministres visés par des enquêtes judiciaires, le gouvernement va devoir faire face à une pression supplémentaire dont il se serait bien passé. A onze jours du premier tour des élections législatives.

     
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  • Qualité de vie au travail au CHRU de Brest. Le syndicat Sud boycotte la commission (LT 1/06/2017)Dans un communiqué, le syndicat Sud du CHRU de Brest annonce qu'il a décidé de ne pas participer, hier, à la commission sur la qualité de vie au travail mise en place par la direction du CHRU Brest Carhaix : « Car les sujets importants, comme les préconisations de l'expertise Syndex, qui a montré le mal-être des soignants du CHRU de Brest, ne faisaient pas partie des priorités de cette réunion ». Sud se déclare aussi solidaire de l'appel au débrayage de la CFDT concernant les Ehpad des sites de Brest et Carhaix, tous les jeudis.

    source: letelegramme.fr

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  • 2ème circonscription du Finistère (Brest rural). L'insoumise Christine Panaget et son suppléant Bertrand Seys souhaitent « la fin des politiques d'austérité »(LT 1/06/2017)

    Christine Panaget a reformé le binôme de 2012 avec Bertrand Seys, mais, cette fois, c'est elle la titulaire.

    Elle a déjà brigué différents mandats en qualité de suppléante. Cette fois, Christine Panaget, 54 ans, est la candidate titulaire dans ces législatives sur Brest rural. Elle s'identifie pleinement à la gauche de rupture incarnée par la France insoumise.

    Pourquoi n'y a-t-il pas eu d'entente avec le PC, BNC et Europe Écologie Les Verts ?
    La puissante dynamique qui a porté Jean-Luc Mélenchon à plus de 20 % sur la circonscription peut se poursuivre et s'amplifier aux législatives. « L'avenir en commun » rassemble autour d'une France solidaire et fraternelle. La porte est ouverte, mais d'autres ont souhaité, ou porter leur propre programme, ou former des duos vers d'autres chemins, ou passer leur chemin. C'est leur choix. Mais ne laissons pas la logique de partis brouiller l'élan populaire. Respecter le programme et la charte de la France Insoumise, c'est respecter les gens qui ont fait la dynamique du succès.

    Citez deux nouvelles lois que vous défendrez au Parlement si vous êtes élue.

    D'abord, le retrait de la loi El Khomri pour la dignité et le respect des salariés, pour le maintien de la protection du Code du travail, dont la lourdeur provient de nombreux amendements apportés par le patronat. Nous refusons la soi-disant simplification qui annule ce qui a pu être obtenu par les luttes, la dynamique individualiste, la mise en concurrence des personnes et des entreprises par le moins-disant social. Nous proposons la coopération et la solidarité ; le partage des richesses ; et la planification pour la transition écologique, associée au renforcement des services publics. Nous voulons aussi l'augmentation immédiate du smic de 175 euros net et des minima sociaux. Mettre fin aux politiques d'austérité, c'est le premier moyen pour relancer l'économie, comme l'a finalement constaté le FMI. Puis nous travaillerons sur le partage du travail et le formidable levier pour l'emploi de la cantine bio et gratuite à l'école.

    Pourquoi faut-il voter pour vous ?

    Parce que nous sommes les représentants de la société civile dans toute sa diversité (jeunes, chômeurs, employés, salariés, fonctionnaires...) et n'avons aucun mandat en cours pour 94 % d'entre nous. Nous formerons un groupe solidaire et cohérent. Avec la VIe République, nous voulons rétablir un régime équilibré où l'Assemblée nationale retrouve sa légitimité face à la monarchie présidentielle Nous y introduirons la Règle verte pour arrêter de prélever sur la nature plus qu'elle ne peut nous rendre. Nous visons la majorité pour une cohabitation qui nous permettra de changer le cap du pays.

    source: letelegramme.fr

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  • L'entreprise de réparation navale attend l'arrivée de deux navires en juin. L'entreprise de réparation navale attend l'arrivée de deux navires en juin.

    La mesure d'activité partielle a de nouveau été activée au chantier naval Damen à Brest. Le plan de charge n'étant pas suffisant, plus de 140 salariés de l'entreprise de réparation navale sur le port à Brest, sont priés de rester à la maison depuis lundi. A disposition de l'entreprise sous 24 heures, ils touchent l'intégralité de leur salaire et attendent le retour des navires dans les cales sèches brestoises. Cette nouvelle période de vaches maigres fait suite à une période similaire démarrée l'année dernière. Le début d'année 2017 avait vu le retour de quelques unités et le timide redémarrage de l'activité. Seule une vingtaine de salariés est actuellement sur le pont pour assurer les tâches administratives et tenter de décrocher de nouveaux contrats. Deux navires d'une société fidèle à Damen sont attendus en juin. On évoque la possibilité de réaliser de nouveaux chantiers courant juillet. L'inquiétude est légitime de la part des salariés qui enchaînent, en moins d'un an, cette deuxième période d'inactivité.
     
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