• Ajoutée le 9 juil. 2017 sur: https://www.youtube.com

    Petit coup de gueule de Monique au débat du 8 juillet 2017 : "Quel populisme de gauche face à Macron ?" organisé par Citoyens pour un Peuple souverain et Le Comptoir au Lieu-Dit, Paris 19e... Merci Monique ! :-)

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  • Manifestation, hier, devant la Ville Close, du comité local du Mouvement de la paix, qui prépare aussi une commémoration pour rappeler le bombardement d'Hiroshima, le 6 août 1945, et celui de Nagasaki trois jours plus tard.

     
     

    Beaucoup de monde, hier matin, sur le marché et à l'entrée de la Ville Close. Le comité du Mouvement de la paix y interpellait les touristes pour « dire non aux armes en cette symbolique journée », expliquait Christian Collimard, le président du comité.

    Journée de Fête nationale, hier, et surtout « journée importante pour nous ». C'est ainsi que le responsable du Mouvement de la paix Sud-Cornouaille, Christian Collimard, justifiait l'action des membres du comité local, hier matin. Accrochées au-dessus de la passerelle conduisant à la Ville Close, deux grandes banderoles étaient tendues. Sur l'une était écrit : « bon vent sur des mers sans armes nucléaires » ; l'autre demandait « l'abolition des armes nucléaires ».

    « Un sens détourné »

    Tout en haut des remparts, plusieurs drapeaux aux couleurs du Mouvement de la paix flottaient au vent : « Oui, ça a de l'allure », estimait Christian Collimard, qui faisait signer une pétition aux passants. « Et nous avons même un renfort de la part des Quimperlois », se réjouissait-il. Sans compter Claude Drouglazet, élu du groupe À Bâbord toute, qui était venu « pour soutenir la démarche du Mouvement de la paix ». Les membres du comité rappelaient que, de part l'Histoire de la France, le 14 juillet célèbre l'abolition de la monarchie. « Au fil du temps, les autorités en ont détourné le sens en organisant une parade à la gloire des forces armées ». Et pour Christian Collimard, « c'est un déni de la priorité que le peuple accorde à la paix ».

    « Un danger mortel »

    « Ce 14 juillet est une journée symbolique avec un grand défilé militaire à Paris », poursuivait le président du comité qui compte une cinquantaine de membres. « Un jour important pour la liberté, avec, en plus, la présence du grand chef de l'Otan qu'est Donald Trump, le président des États-Unis », poursuivait-il. « Nous avons donc pensé que l'occasion était bonne pour rappeler qu'il ne faut surtout pas glorifier les armes », enchaîne Christian Collimard. Pour le Mouvement de la paix, « interdire les armes nucléaires est possible ». Hier, le Mouvement rappelait d'ailleurs que « 122 états sur 193 ont adopté, le 7 juillet dernier, un traité d'interdiction des armes nucléaires ».

    « Inciter la France à signer ce traité »

    Pour autant, « 35 pays ont voté contre ce traité d'interdiction des armes nucléaires, dont la France ». Dès lors, et pour sensibiliser les passants au « danger mortel que représentent les armes nucléaires », le Mouvement de la paix demandait, dans la pétition, que « la France soutienne et vote le traité international d'interdiction des armes nucléaires », précisant que « l'Argent public doit aller, en priorité aux services publics et pas à la bombe atomique ».
     
     
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  • Brest-Front social. Rendez-vous en septembre (LT 15/07/2017)Une trentaine de manifestants du Front Social finistérien contre « les guerres, les ordonnances et l'état d'urgence permanent ».

     
    Une trentaine de personnes appartenant au Front social finistérien ont manifesté, hier, à 10 h, place de la Liberté, peu avant le défilé militaire prévu sur le cours Dajot. Un symbole pour ces militants venus manifester « contre les guerres, les ordonnances et l'état d'urgence permanent ». Un moyen aussi de prévenir que la lutte contre « la guerre sociale de Macron » ne faisait que débuter. Dans la soirée de jeudi, des militants sont également allés à la rencontre des Brestois, avant le feu d'artifice, pour distribuer des tracts. « Nous voulons rappeler à la population le contenu des ordonnances voulues par Emmanuel Macron. Les parlementaires fraîchement élus se  dénient eux-mêmes et se  moquent des électeurs et de la population, en votant l'habilitation à légiférer par ordonnance. De qui se sont moqués pendant des années les Richard Ferrand et Didier Le Gac, longtemps adhérents du Parti socialiste ! », soulignent Chris et Mathieu, du Front social finistérien.

    « Aller jusqu'au blocage de l'économie »

    Ils annoncent une journée de mobilisation interprofessionnelle contre la « loi Travail 2.0 », le mardi 12 septembre, ainsi qu'un mouvement national le mercredi 20 septembre. « Nous allons monter en intensité d'ici-là. Nous sommes déjà sur les réseaux sociaux. Actuellement, nous construisons nos réseaux dans le Finistère, avec l'idée d'aller jusqu'au blocage de l'économie parce qu'il faudra un rapport de force. L'insurrection du peuple est incontournable : soit on plie le dos, soit on se  rebelle. En attendant, il faut informer la population. Les ordonnances sont applicables dès leur publication et le Parlement n'est consulté que plusieurs mois après leur entrée en vigueur, pour les approuver. Nous avons prévu un rassemblement, cette semaine, avec les Insoumis ».

    Pratique
    La prochaine réunion du Front social finistérien est prévue lundi, à 18 h, à la Maison du Peuple. Quatre groupes de travail seront constitués.
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    Mireille Robert, députée LREM de la 3ème circonscription de l’Aude vient de se faire remarquer dans une vidéo. Elle raconte de façon très (très) surprenante ses premiers pas à l’Assemblée nationale.

    On avait découvert Anissa Kheder, rendue célèbre par ses prises de parole. On connaissait aussi Annaïg Le Meur, pour ses imprécisions notoires. On appréciait Fabienne Colboc et sa clarté dans les débats publics. Voilà Mireille Robert, députée La République en marche de la 3ème circonscription de l’Aude. Dans une vidéo repérée par Le Lab, elle raconte de façon très (très) surprenante ses premiers pas à l’Assemblée nationale.

    « Depuis que je suis députée et que je vais à l’Assemblée nationale, je suis allée à des cocktails et des cocktails et des cocktails, chez des ministres, des secrétaires d’État, dans de beaux endroits. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est qu’on nous sert essentiellement du vin et du champagne. Je regrette bien évidemment qu’on nous serve pas de la Blanquette (NDLR: de Limoux), mais j’apprécie qu’ils servent des produits français et de bonne qualité » raconte Mireille Robert. Des divagations (alcoolisées) qui font en tout cas le bonheur des réseaux sociaux.

    source: http://www.lopinion.fr

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  • Appel du 14 juillet : S’unir pour un Frexit progressiste, pour une France Franchement Insoumise à l’UE/OTAN du grand capital

    L’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée peut s’avérer extrêmement grave, voire mortifère, pour notre pays.

    Directement mandaté par l’oligarchie internationale, le nouveau président a pour mission d’effectuer en marche forcée le « saut fédéral européen » (« gouvernement de la zone euro », « défense européenne » intégrée à l’OTAN…). En transférant ce qui reste de la souveraineté française à l’Empire euro-atlantique en gestation, ce « saut fédéral » neutraliserait définitivement la résistance populaire à la casse de la nation et à l’ubérisation générale du travail. Accélérant et parachevant l’œuvre délétère de Sarkozy et de Hollande, le projet macronien est tellement antinational qu’il risque fort de s’accompagner du désétablissement final de la langue française, prise en étau entre la marche au tout-anglais « transatlantique » et la Charte européenne des langues régionales et minoritaires promue par Bruxelles et Berlin

    Par ailleurs, « l’alternative » portée par le FN et par ses satellites n’est qu’un leurre politique destiné à diviser les travailleurs, à stimuler la fascisation de l’État et à servir de repoussoir aux tenants de la dictature euro-atlantique travestis en « antifascistes internationalistes ». En effet, incapable de par son ancrage social, de rompre avec la « construction » euro-atlantique, le FN a ouvertement renoncé à toute velléité de rompre avec l’euro, l’ et l’OTAN au fur et à mesure qu’approchait le 6 mai 2017. En réalité, le FN et ses alliés pseudo-souverainistes n’ont d’autre but que de mettre « la France en ordre » (sic) en cultivant la xénophobie, en exaspérant les communautarismes, en aiguillonnant la marche à l’État policier et en réprimant le mouvement ouvrier pour le seul profit d’une oligarchie financière fanatiquement attachée à l’UE pilotée par l’Axe Washington-Berlin-Bruxelles.

    Tout cela est d’autant plus dangereux pour la France et pour la paix mondiale, que la marche à l’Europe fédérale, puis à l’ « Union transatlantique » (à quand la résurgence du TAFTA ?) ont pour toile de fond la confrontation guerrière entre, d’une part, le bloc atlantique conduit par les USA, et d’autre part, la Chine et la Russie. Sans oublier toute une série de théâtres militaires où la situation est explosive, de l’Ukraine à la péninsule coréenne en passant par le Proche-Orient et l’Amérique latine.

    En réalité, l’affrontement en trompe-l’œil entre Macron et le FN prend en étau le peuple français pour l’obliger à « choisir » entre la xénophobie déshonorante et l’euro-dissolution dans la mondialisation néolibérale. Notre peuple doit pourtant refuser de « choisir » entre ces deux genres de mort et de déshonneur, ces deux voies vers la fascisation et l’État policier, ces deux chemins vers l’éclatement communautaire et/ou régionaliste du pays, vers la précarisation générale du travail et vers le reniement des avancées humanistes qui ont rythmé notre histoire, de la Renaissance au CNR en passant par l’Édit de Nantes, par la Révolution française, par les insurrections populaires de 1830, 1848 et 1871, par la loi laïque de 1905 et par le Front populaire.

    C’est pourquoi les signataires de cet appel – qui se réclament tous des Jours heureux, le lumineux programme du CNR –, appellent les citoyens à s’unir dans leur diversité pour engager ensemble une intense bataille idéologique, politique, sociale, culturelle. Pour se reconstruire, la France doit sortir, par la voie progressiste (nationalisation des secteurs-clés de l’économie, reconstruction du secteur public industriel, des services publics, de la protection sociale, du produire en France…) de l’OTAN, de la zone euromark dominée par la finance, de l’UE supranationale et des institutions de la mondialisation financière. C’est indispensable pour que notre pays reprenne la route de l’indépendance nationale, du progrès social, de la fraternité, de la paix, de la défense de l’environnement contre le tout-profit et de la coopération internationale entre peuples souverains. Rejetant toute forme de collusion avec le fascisme, le racisme, le communautarisme, combattant les guerres impérialistes et les ingérences néocoloniales, les signataires de cet appel refusent d’opposer le drapeau tricolore de la République au drapeau rouge des travailleurs, ces étendards qui guidèrent ensemble les combats de l’An II contre l’Europe des privilèges.

    Cet engagement de salut public pour un antifasciste, progressiste et patriotique porté par une France Franchement Insoumise à l’UE atlantique, au MEDEF et aux politiciens qui les servent, nous le tiendrons ensemble, sur la durée et indépendamment des échéances électorales qui viennent périodiquement détruire les efforts unitaires des républicains patriotes. Et nous userons de tous les moyens démocratiques existants (conférences, débats, vidéos, analyses, interpellations unitaires des mobilisations sociales et civiques, présence sur l’internet et sur les réseaux sociaux…) pour promouvoir cette perspective émancipatrice.

    Primo-signataires : Léon Landini, anc. officier du bataillon Carmagnole-Liberté des Francs-Tireurs et Partisans de la Main d’œuvre Immigrée, Grand Mutilé de Guerre, Médaille de la Résistance, Officier de la Légion d’honneur, président du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF) ; Pierre Pranchère, ancien Franc Tireur et Partisan de France (Corrèze), anc. député et eurodéputé, anc. membre du CC du PCF, vice-président du PRCF; Caroline Andréani, membre du CN du PCF (93) ; Aurélien Bernier, analyste politique ; Geneviève Blache, militante gaulliste de gauche (06) ; Anouk Breton, élue Front de gauche à Grenay, syndicaliste ; Christophe Breysacher, Mouvement pour le Socialisme du 21ème siècle ; Catherine Cazenave, professeur de philosophie (06) ;  Jean-Pierre Combe, ingénieur polytechnicien, officier de réserve ; Stevens Daoust, étudiant, militant des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (34), Michel Debray, vice-amiral, anc. commandant de l’aviation embarquée et du groupe des porte-avions, commandeur de la Légion d’honneur et de l’Ordre national du Mérite, anc. président de l’Institut Charles de Gaulle ; Jean-François Dejours, professeur de philosophie (62) ; Jean-Marc Del Percio, docteur en sciences politiques, anc. chargé d’enseignement à l’IEP de Lyon ; Aurélien Djament, mathématicien (CNRS), syndicaliste CGT (44) ; Serge et Mireille Dombrowski, militants du MS-21 ; Vincent Flament, rédacteur en chef d’Initiative communiste, responsable internationaliste ; Michèle Fraize, porte-parole du MS-21 ; Georges Gastaud, fils de Résistant, philosophe, secrétaire national du PRCF (62) ; Marc-Olivier Gavois, rédacteur en chef de la revue Etincelles ;  Gilda Guibert, professeur agrégé d’histoire (78) ; Bruno Guigue, ancien haut fonctionnaire, analyste politique (98); Jean-Pierre Hemmen, Fils de Fusillé de la Résistance, arrière-petit fils d’un dirigeant de la Commune, réprimé lui-même en 1957 pour avoir refusé de porter les armes sous le commandement du général Speidel (ex-officier de la Wehrmacht devenu chef d’état-major de l’OTAN) (80) ; Patrice Hemet, porte-parole national du MS-21 ; Jo Hernandez, syndicaliste (EDF), secrétaire de la commission luttes du PRCF (81) ; Fadi Kassem, prof. agrégé d’histoire, diplômé Sciences Po Paris (78) ; Jacques Kmieciak, journaliste (62) ; Alexis Kurkdjian, cadre informaticien (92) ; Annie Lacroix-Riz, historienne, petite-fille de déporté, historienne, professeur émérite d’histoire contemporaine (Paris VII); Denis Lemercier, maître de conférence retraité ; Yves Letourneur, poète, philosophe ; Nicole Lochouarn, syndicaliste CGT-Territoriale (92) ; Antoine Manessis, responsable aux relations unitaires du PRCF, fils de Résistants (38); Annette Mateu-Casado, responsable PRCF, fille d’antifascistes espagnols (66) ; Joël Mayet, petit fils et neveu de déportés, ingénieur retraité de la FP territoriale (59) ; Aymeric Monville, éditeur (92) ; Dominique Mutel, professeur agrégé d’anglais (62) ; Laurent Nardi, conseiller municipal de Passy (74) ; Pierre Peuch, militant associatif, 19 ;  Bernard Parquet, syndicaliste EDF (94), fils de FTP ; Gaston Pellet, résistant linguistique au tout-anglais « transatlantique » (30) ; Anna Persichini, syndicaliste CGT-Métallurgie, 06 ; Christophe Pouzat, neurobiologiste (94) ; André Prone, environnementaliste, initiateur des études sur l’ « écomunisme » ; Jean-Luc Pujo, président des Clubs Penser la France (75) ; Régis Ravat, délégué CGT à Carrefour-Nîmes Sud ; Adrien Roussel, photographe retraité de l’ENES ; Louis Saisi, juriste, docteur en Sciences de l’éducation, ingénieur de recherche ; Jany Sanfelieu, militante communiste, fille de combattant républicain espagnol (89) ; Roger Silvain, anc. responsable CGT à Renault-Billancourt, militant du Front syndical de Classe ; Stéphane Sirot, historien du syndicalisme (59) ; Gilliatt de Staërck, traminot, animateur des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (22); Betty Tambuscio, syndicaliste, ancienne présidente de l’Union des Syndicats de Monaco, militante PRCF (06) ; Yves Vargas, philosophe ; Bernard Vitalis, fils de Pierre Vitalis, pendu par les nazis à Tulle le 9 juin 1944 ; Joël Vuylsteker, enseignant, syndicaliste (FSU), militant PRCF et FSC ;

    Rejoignez l’appel, signez en ligne, cliquez ICI !

    Merci d'avoir rejoins l'. Pour la paix, la démocratie, la souveraineté du peuple !
    N'hésitez pas à le partager le plus largement autour de vous : vos amis, vos proches, vos collègues seront sans aucun doute motivez pour le signer.
    Partagez le sur les réseaux sociaux, par courriel afin que tous ensemble nous fassions place aux peuples !
     
     
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  • David Cocault, délégué départemental de l'Union syndicale Solidaires 22, lit la lettre ouverte adressée par le Front social à Bruno Joncour.David Cocault, délégué départemental de l'Union syndicale Solidaires 22, lit la lettre ouverte adressée par le Front social à Bruno Joncour.

    Le Front social, composé d’organisations syndicales, politiques et citoyennes, s’est rassemblé devant l’ancien local de campagne de Bruno Joncour, député LREM, jeudi soir à 18 h. Ils ont souhaité l’interpeller concernant les réformes par ordonnances annoncées par le président Macron.

    Entre cinquante et soixante personnes du Front social de Saint-Brieuc se sont rassemblées sur la place de la Grille, jeudi soir à 18 h, devant l’ancien local de campagne de Bruno Joncour, ancien maire de Saint-Brieuc et ancien président de Saint-Brieuc Armor Agglomération, maintenant député LREM. Bien que le local soit maintenant vide, les représentants des organisations ont émis leurs revendications.

     Clotilde Percheminier

    Entre cinquante et soixante personnes se sont réunies devant l'ancien local de campagne de Bruno Joncour, maintenant vide.

    Serge Le Quéau, porte-parole de Solidaires 22, explique queles réformes annoncées par le président et le gouvernement concernant le Code du travail mènent à un « asservissement des travailleurs ». « Nous allons droit vers une déconstruction du Code du travail et du modèle de société construit par le Conseil National de la Résistance », continue-t-il.

    Entre cinquante et soixante personnes se sont réunies devant l'ancien local de campagne de Bruno Joncour, maintenant vide.

     Une lettre ouverte à Bruno Joncour

    David Cocault, délégué départemental de l’Union syndicale Solidaires 22, a lu une lettre ouverte adressée au nouveau député, lui demandant de s’opposer à ces réformes et lui demandant de « voter contre la loi d’habilitation autorisant le gouvernement à légiférer par ordonnances ».

    source: http://www.ouest-france.fr

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  • #frontsocial : forte mobilisation contre les ordonnances, l’état policiers Ni #Trum Ni #Macron (IC.fr-14/07/2017)

    C’est plusieurs milliers de personnes qui, malgré les barrages policiers, ont répondu à l’appel du #FrontSocial pour manifester aux slogans de Ni Trump, Ni Macron contre la guerre social menée contre les peuples.

    Guerre sociale avec les ordonnances  Macron qui s’attaque au code du travail, aux salaires et aux droits des travailleurs pour renforcer l’exploitation capitaliste.

    Guerre sociale avec les augmentations massives de taxes (CSG) visant les retraités et les fonctionnaires en premier lieu. Guerre sociale avec l’annonce par Macron qu’il compte dès l’hiver et le printemps s’en prendre à l’indemnisation des chômeurs et aux retraites.Guerre sociale avec l’état d’urgence permanent restreignant les libertés publiques pour mieux réprimer et toujours plus violemment le mouvement social et l’opposition politique au régime

    Une guerre sociale qui est le résultat direct de l’application du programme de gouvernement imposé par l’UE et dicté par le MEDEF. Et guerre tout court avec les interventions militaires de Paris et Washington dans des guerres néocolonialiste, de la Syrie au Mali en passant par la Lybie. Avec les menaces graves contre la paix mondiale avec la course aux armements et aux provocations engagé par l’OTAN, l’Axe Euro Atlantique aux frontières russes, coréennes et chinoises.

    Oui l’heure est à la résistance, tous ensemble et en même temps, dans la rue, dans nos entreprises et nos services publics. #frontsocial !

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    Syndicats, associations et collectifs ont défilé vendredi à Paris pour manifester contre la venue de Donald Trump ainsi que la future réforme du Code du travail.

    "Contre Trump, Macron et sa guerre sociale" : c'est sur ce slogan que 1.100 personnes, selon la préfecture de police, ont défilé vendredi à Paris, de la place de Clichy en direction de la Porte de la Chapelle où elles comptaient rejoindre les migrants. En ce 14 juillet, le "Front social", composé de syndicats CGT (Goodyear, InfoCom), SUD, d'associations et de collectifs (Droit au logement, Droits devant) souhaitait dénoncer la réforme du Code du travail, "la guerre", la présence de Donald Trump au défilé ou encore "l'état d'urgence permanent".

    Contre les ordonnances et Donald Trump. Philippe Poutou, candidat du NPA à la dernière élection présidentielle, a admis que "ce ne serait pas la grosse manif" qui va marquer l'été mais il a jugé "important d'être là" et "de construire une riposte" contre les ordonnances à venir sur le Code du travail. Le défilé a démarré dans une ambiance bon enfant avec fanfare et slogans variés.

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    Une vingtaine d'Américains anti-Trump étaient réunis derrière une banderole "Paris against Trump". Nancy Sadovsky, Américaine retraitée vivant à Paris, est venue manifester "de tout son cœur contre Trump" à qui elle reproche ses positions sur la santé et le climat. "Je ne comprends pas pourquoi Emmanuel Macron l'a invité. Trump n'aime pas du tout la France", a-t-elle dit. Des opposants au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, attendu dimanche à Paris, étaient également présents.

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    "Une politique bien pire que Sarkozy et Hollande". Jean Marc, éducateur spécialisé à la retraite, membre de SUD santé, a exprimé la crainte d'"une forme de régression sociale", avec "une loi Travail XXL". "Sous ses sourires de playboy, Macron nous prépare une politique bien pire que celles de Sarkozy et de Hollande", selon lui.  

    Manifestation à Paris contre la réforme du travail et la venue de Trump (Eurpe1 14/07/2017)

    En cours de cortège, plusieurs dizaines de personnes, en noir et cachées sous des capuches, foulards et lunettes pour certains se sont placés devant la banderole de tête. "État d'urgence, État policier, on ne nous empêchera pas de manifester", scandaient-ils, face à un cordon de gendarmes boulevard de la Chapelle. La manifestation s'est achevée dans le calme. Depuis la présidentielle, le collectif Front social a déjà appelé à plusieurs rassemblements contre les projets de réformes sociales d'Emmanuel Macron.

    source: http://www.europe1.fr

     

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