• À l’appel de la CGT, les ambulanciers du GHBS sont appelés à faire grève jeudi 1er juillet 2021.À l’appel de la CGT, les ambulanciers du GHBS sont appelés à faire grève jeudi 1er juillet 2021. 

    La CGT du Groupe hospitalier Bretagne Sud à Lorient (Morbihan) appellent les ambulanciers hospitaliers à faire grève, jeudi 1er juillet 2021. Pour le syndicat, cette profession manque de reconnaissance.

    La CGT du Groupe hospitalier Bretagne Sud (CHBS) à Lorient (Morbihan) appelle les ambulanciers du groupe à faire grève ce jeudi 1er juillet 2021.

    La raison de ce mouvement social ? Le syndicat demande l’ouverture « de vraies discussions avec le ministère de la Santé, afin que ces professionnels, mis largement à contribution durant la crise sanitaire, obtiennent une reconnaissance digne de ce nom ».

    Pour la CGT, « les ambulanciers sont aussi des oubliés du Ségur ». À noter que les agents concernés par ce mouvement de grève sont assignés.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Depuis 5 h du matin, ce jeudi 24 juin 2021, une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève. Ils s’inquiètent notamment de l’augmentation des accidents du travail.Depuis 5 h du matin, ce jeudi 24 juin 2021, une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève. Ils s’inquiètent notamment de l’augmentation des accidents du travail. 

    Plus d’une centaine de salariés des usines des Salaisons celtiques ont débrayé, tôt ce jeudi matin 24 juin 2021, au Sourn (Morbihan) et à Baud. Les grévistes ont échangé avec leur direction, qui a pris des engagements écrits pour améliorer les conditions de travail. En fin d’après-midi, décision a été prise de reprendre le travail demain.

    En une journée de grève, ce jeudi 24 juin 2021, la centaine d’ouvriers de l’usine de charcuteries Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan) a obtenu gain de cause.

    Ces salariés avaient débrayé dès 5 h du matin pour dénoncer l’augmentation des accidents du travail, les conditions de travail, la pression croissante dans leurs ateliers.

    Ils ont pu échanger avec leur direction, dans l’après-midi.

    Un groupe d’écoute dans chaque atelier

    Nous avons obtenu des engagements écrits pour l’amélioration de nos conditions de travail, avec une présence renforcée des encadrants dès ce vendredi, la mise en place d’un groupe d’écoute dans chaque atelier réunissant les responsables et les salariés​, détaille Ronan Le Nézet.

    Le délégué syndical central CGT a indiqué que les grévistes ont voté la reprise du travail, ce vendredi.

     

    Julie SCHITTLY.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Depuis 5 h du matin, ce jeudi 24 juin 2021, une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève. Ils s’inquiètent notamment de l’augmentation des accidents du travail.Depuis 5 h du matin, ce jeudi 24 juin 2021, une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève. Ils s’inquiètent notamment de l’augmentation des accidents du travail. 

    Une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève, ce jeudi 24 juin 2021. Les salariés de l’entreprise de charcuterie dénoncent « les conditions de travail, la pression, les salaires et la sécurité qui posent trop problème ». Un comité social et économique est prévu demain.

    Depuis 5 h du matin, ce jeudi 24 juin 2021, une centaine d’ouvriers de l’usine Salaisons Celtiques du Sourn (Morbihan), près de Pontivy se sont mis en grève. Ils s’inquiètent notamment de l’augmentation des accidents du travail.

    Il y en a eu autant début 2021 que pendant toute l’année 2020​, s’est alarmé Ronan Le Nézet, technicien de maintenance dans l’entreprise et délégué syndical central CGT, vers 11 h, à la sortie d’un rendez-vous avec la direction.

    Un comité social et économique prévu demain

    On ne peut pas se laisser faire. Les conditions de travail, la pression, les salaires et la sécurité posent trop problème​, estiment les grévistes.

    La direction de l’usine doit communiquer dans l’après-midi.

    Un comité social et économique est prévu demain.

     

    Julie SCHITTLY.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • À l’appel de la CGT, près de 80 salariés du service du matin avaient arrêté le travail, jeudi à 10 h, en attendant leurs collègues de l’après-midi, deux fois plus nombreux. À l’appel de la CGT, près de 80 salariés du service du matin avaient arrêté le travail, jeudi à 10 h, en attendant leurs collègues de l’après-midi, deux fois plus nombreux. 

    Ils étaient près de 80 grévistes jeudi matin : les salariés des Salaisons Celtiques, au Sourn, ont arrêté le travail pour dénoncer les risques psychosociaux auxquels ils sont exposés et espérer de meilleures conditions de travail. Ils ont obtenu des engagements en fin de journée.

    Près de 80 grévistes étaient, jeudi matin, devant l’usine sournaise spécialisée dans la charcuterie, Les Salaisons Celtiques, appartenant au groupement Les Mousquetaires (Intermarché, Netto).

    « Les conditions de travail se dégradent mais les salaires ont progressé de 0,5 % », pose Julien Le Tutour, 35 ans « et déjà deux hernies discales. Pourtant, en 2020, on était les héros, à travailler pour nourrir tout le monde. Aujourd’hui, c’est oublié. On nous demande toujours plus de productivité, mais il n’y a pas de remplacements et en cas d’absence, c’est le copain d’à côté qui fait le travail pour deux ». Lui touche environ 1 500 € « après 15 ans de boîte, en comptant les heures de nuit ».

    « Chasse aux accidentés du travail »

    « Il y a un ras-le-bol général, des démissions… C’est les salaires de l’agro, des salaires de misère alors qu’on se lève une semaine sur deux à deux heures du matin », soupire son collègue, Jean-Marc Jolly. Lui, dénonce la « chasse aux accidentés du travail : la direction appelle les gens pour les inciter à revenir au travail malgré le fait qu’ils soient arrêtés, pour avoir des statistiques nickel au niveau de l’assurance maladie et éviter la surcote de leurs cotisations ».

    Derrière lui, un affichage à l’entrée de l’usine vante pourtant les bonnes conditions de travail qu’elle offrirait à ses 250 salariés. Mais d’après un autre employé, « arrivé au mois de juin, on a déjà 22 accidents du travail, c’est autant que sur toute l’année dernière. C’est pas étonnant de voir autant de TMS (troubles musculosquelettiques, NDLR) quand on travaille par quatre degrés, mais ils veulent même nous supprimer les primes de froid pendant les temps de pause ! On nous incite même à prendre en charge les formations de secourisme ou de maintenance électrique sur notre compte personnel de formation, alors que ce devrait être assuré par l’entreprise ».

    Accord trouvé

    Alors que le site de Baud s’était aussi mobilisé, la situation s’est débloquée dans la journée, à la suite d’une discussion ente la délégation syndicale et la direction.

    « La forte mobilisation des salariés a débouché sur des engagements écrits de la direction portant sur l’amélioration des conditions de travail et la suspension de l’avenant à l’accord sur le temps de travail », a déclaré Ronan Le Nezet, secrétaire de l’Union locale de CGT de Pontivy, en fin d’après-midi. L’assemblée générale des grévistes a voté la reprise du travail dès le vendredi 25 juin.

    Riwan Marhic

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les salariés de la Fonderie de Bretagne ont été en grève du 27 avril au 18 juin. La reprise de l’activité est très lente selon eux. Les salariés de la Fonderie de Bretagne ont été en grève du 27 avril au 18 juin. La reprise de l’activité est très lente selon eux. 

    Les salariés de la Fonderie de Bretagne, à Caudan, ont officiellement repris le travail ce lundi 21 juin mais l’activité est très faible.

    Un conseil social et économique (CSE) était organisé, ce jeudi 24 juin, à la Fonderie de Bretagne, alors que les salariés ont annoncé la fin de la grève, vendredi 18 juin. « Un seul point a été abordé, l’organisation de travail sur le mois de juillet. La direction a levé la séance car nos questions les dérangent, et la présence d’un membre du comité directeur nous dérange », explique Maël Le Goff.

    « La direction est complètement à la ramasse et n’arrive plus à gérer l’entreprise. Cela devient dramatique et problématique », écrit la CGT sur sa page Facebook. Le travail a officiellement repris à Caudan, « les salariés sont à poste mais n’ont pas grand-chose à faire. La ligne de moulage ne reprendra que mardi 29 juin. La seule reprise que l’on fait c’est sur les boîtiers BMW, même pas pour Renault ».

    Être vus pendant le Tour de France

    Maël Le Goff se rendra, ce vendredi, à la Fonderie du Poitou, avec Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, à l’occasion d’un point presse sur la situation des fonderies françaises. Même s’ils ont mis un terme à la grève, les salariés veulent continuer à se mobiliser et seront présents sur le parcours du Tour de France, lundi 28 juin, à Merlevenez. « Pas pour le bloquer, juste pour se faire voir », insiste Maël Le Goff.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • L’union locale CGT Pontivy Loudéac appelle à la grève jeudi, chez Salaisons Celtiques.L’union locale CGT Pontivy Loudéac appelle à la grève jeudi, chez Salaisons Celtiques. 

    Le syndicat CGT de l’entreprise spécialisée dans les produits de charcuteries et de salaisons, installée dans la zone de Tréhonin, au Sourn, appelle à la grève jeudi 24 juin 2021. Le syndicat pointe du doigt une « dégradation des conditions de travail ».

    L’union locale CGT Pontivy Loudéac appelle à la grève, jeudi 24 juin 2021, sur le site du Sourn de l’entreprise Salaisons Celtiques, spécialisée dans les produits de charcuteries et de salaisons.

    Ronan Le Nezet, technicien en maintenance dans l’entreprise et délégué syndical central CGT dénonce unedégradation des conditions de travail, un ras-le-bol général et un manque de reconnaissance ». Et ajoute : En cinq mois en 2021, nous avons eu autant d’accidents qu’en 2020. Les indicateurs sociaux ne sont pas bons du tout.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Face aux dégradations des conditions de travail, la CGT vient de lancer un appel à la grève aux salaisons Celtiques, sur la commune du Sourn. Le mouvement devrait démarrer ce jeudi 24 juin, à partir de 5 h et durer toute la journée.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • « On a tout rangé avant même la signature du protocole, on a vraiment fait les choses bien. »« On a tout rangé avant même la signature du protocole, on a vraiment fait les choses bien. »

    Le protocole de fin de grève a été signé par la direction de la Fonderie de Bretagne et les grévistes vendredi 18 juin 2021. La reprise progressive du travail prévue lundi 21 juin n’a toujours pas démarré.

    « Stéphane, tu sais, il faut de la résilience, il faut qu’on continue à être solidaire. » Ce mardi 22 juin 2021, A deux pas des bureaux du comité social et économique, Eric, Stéphane et Eric pansent les plaies des huit semaines de grève qui ont secoué leur usine, la Fonderie de Bretagne, à Caudan, près de Lorient (Morbihan). « On ne va pas bien, lâche Stéphane, en serrant les dents. Familialement, ça a été compliqué. Je suis quelqu’un qui, d’ordinaire, parle beaucoup. À la maison, je ne parlais plus. J’ai loupé des choses… »

    Portés par la lutte sociale

    Le 27 avril 2021, les deux tiers des salariés de la Fonderie de Bretagne se sont mis en grève pour réclamer le maintien de leur usine dans le groupe Renault, la promesse d’un volume de pièces, des engagements pour une stratégie d’avenir. Durant huit semaines, ils ont manifesté, lancé des actions symboliques« On n’a pas été violent, on n’a rien cassé, on a été responsables. »

    Une lutte sociale longue qui a porté les grévistes. « Beaucoup de liens se sont consolidés entre nous, alors qu’on ne se connaissait pas forcément. » L’un travaille de nuit, l’autre, manutentionnaire le matin, le troisième, technicien, de jour. « On est une famille, on s’est battu pour garder notre outil de travail, pas pour négocier une prime de départ. »

    Des jours chômés, rémunérés

    Vendredi 18 juin 2021, le protocole de fin de grève a été signé par la direction de la Fonderie de Bretagne et les grévistes. « La reprise progressive de l’activité est prévue à partir de lundi », avait alors annoncé la direction de FDB. Dimanche soir, les salariés n’avaient aucune nouvelle des conditions de leur retour. « J’ai finalement appelé par le directeur des ressources humaines, dit Maël Le Goff, délégué CGT FDB, qui m’a demandé de prévenir les salariés de ne pas venir lundi, que la journée serait rémunéré. » Et ce mardi 22 juin 2021, même chose.

    Ce qui devait être un retour difficile à l’entreprise se transforme en chaos dans l’esprit des ouvriers. « Pendant des semaines la direction a réclamé la reprise, et là, on demande au délégué CGT de communiquer. On n’a pas un mot de nos chefs de service ! »

    Ou au compte-gouttes. Stéphane, posté la nuit, a reçu un SMS ce mardi pour l’informer que l’usine allait redémarrer doucement. « L’équipe de nuit ne reprendra pas au mieux, avant septembre. Sauf que moi, ma vie de famille est organisée autour de mon travail de nuit, avec mes enfants. »

    « L’impression d’être un fantôme »

    Le doute s’installe déjà pour l’avenir. « On a l’impression que Renault n’avait pas prévu de relancer l’usine. » De son côté la direction de FDB explique que « la reprise se fait progressivement de façon à garantir la sécurité les conditions de sécurité pour tous ». Un processus qui va durer tout le mois de juin. Elle assure par ailleurs que les managers sont au contact de leurs équipes. Eric, ce mardi matin, est quand même venu au travail : « On m’a lancé : « Il faut appeler le numéro vert. » J’ai l’impression d’être un fantôme dans cette entreprise, alors que j’y suis depuis 27 ans. »

     

    Delphine LANDAY

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Deux protocoles de fin de grève et une longue attente, voilà comment résumer la journée de ce vendredi 18 juin 2021, à la Fonderie de Bretagne.Deux protocoles de fin de grève et une longue attente, voilà comment résumer la journée de ce vendredi 18 juin 2021, à la Fonderie de Bretagne.

    Ultime journée de bras de fer entre la direction de la Fonderie de Bretagne, à Caudan (Morbihan) et ses salariés grévistes. Ce vendredi soir, ces derniers ont voté pour la reprise du travail.

    « Les salariés ont voté pour la reprise du travail à 75 %, a annoncé Maël Le Goff, délégué CGT Fonderie de Bretagne, peu après 20 h. On a négocié toute la journée avec la direction. » Les salariés de la Fonderie de Bretagne étaient en grève depuis le 27 avril dernier. Huit semaines de grève qui, pour en sortir devait aboutir à la signature d’un protocole de fin de grève qui définit les conditions de la reprise. Jeudi soir, la direction de la FDB a adressé une version. Refusée par la CGT qui elle-même a fait une proposition, en six articles.

    Nouveau point en septembre

    Le document détermine notamment le tonnage de volume sur lequel Renault s’engage pour l’année 2021, l’accompagnement du groupe jusqu’à la reprise par un acquéreur. Il y figure également les négociations pour limiter l’impact des jours de grève sur les revenus des salariés.

    Dans un communiqué Renault confirme « qu’il s’engage à accompagner Fonderie de Bretagne jusqu’à la reprise par un acquéreur en discutant des volumes, des investissements et de la diversification sur la base d’un projet industriel d’avenir. Ces sujets feront l’objet d’un nouvel échange en septembre avec les partenaires sociaux de la Fonderie de Bretagne. »

    Il a été acté par ailleurs que neuf journées de négociations ainsi que celle de ce vendredi 18 juin seront rémunérées sur la période de 40 jours d’arrêt du site. Enfin Renault s’engage à augmenter le volume de production en 2021, en le portant de 19 000 à 21 000 tonnes en année pleine, soit une augmentation de 10 %.

    « Nous resterons vigilants, dit Maël Le Goff, car nous restons inquiets pour l’avenir. On va continuer à batailler. »

     

    Delphine LANDAY

    source: https://www.ouest-france.fr/

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