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    500 retraités venus de l'ensemble du département ont manifesté, ce jeudi matin, dans le centre-ville de Quimper. Une délégation a été reçue à la préfecture et au conseil départemental. Dans le cadre de cette journée nationale d'action à l'appel de neuf organisations, les retraités voulaient interpeller le gouvernement sur leur situation. Ils s'estiment aussi les grands oubliés de la campagne pour l'élection présidentielle.
     
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  • Douarnenez-Éolane. « Ne pas ruiner les efforts »Le 17 mars et vendredi dernier des salariés d'Éolane ont débrayé. Ils demandent une hausse des salaires et de la prime d'intéressement.

     
    Le 17 mars et vendredi dernier, deux débrayages d'une heure ont eu lieu sur le site d'Éolane, à Lannugat sur la question salariale (Le Télégramme de samedi). Le personnel mobilisé réclame une augmentation de 3 %, ainsi qu'une prime d'intéressement uniforme de 1.000 €, tandis que la direction propose 0,75 %. « Si l'entreprise est aujourd'hui en bonne santé, elle le doit aux volumes supplémentaires et à la politique de réduction des coûts : nous n'allons pas ruiner ces efforts en distribuant des augmentations de salaires hors normes », répond le directeur du site, Yves David. Il met en avant « la concurrence extérieure », aux salaires limités, et « les exigences de la clientèle sur des prix toujours plus bas ». « Avec 0,75 %, l'augmentation proposée va bien au-delà de l'inflation constatée en 2016, qui se chiffrait à 0,2 % », plaide encore le dirigeant. Il précise que les accords ont un effet rétroactif : la hausse des salaires est réintégrée depuis le 1e r janvier.
     
    « Une participation se chiffrant en milliers d'euros »
     
    Concernant la prime d'intéressement, qui entre dans le cadre d'un accord signé voici deux ans et demi, Yves David indique qu'un des critères de performances qui permettent d'activer la prime n'a pas été atteint. « Nous sommes prêts à rediscuter de ce mode de calcul », signale-t-il. Avant d'indiquer que « les salariés vont profiter chacun cette année d'une participation exceptionnelle, se chiffrant en milliers d'euros ». « Cela, les syndicats ont oublié de le dire, c'est regrettable de ne pas tout mettre sur la table », dit le dirigeant, avant de saluer « le personnel très impliqué » dans une entreprise « qui continue à embaucher, à investir ».
     
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  • Snef. Les négociations salariales au point mort  (LT-28/03/2017)Les employés de la Snef de Brest ont été suivis dans leur mouvement par ceux des agences de Quimper et de Lorient.

     
    Ils étaient une quarantaine d'ouvriers de la Snef agence de Brest, hier matin, rejoints plus tard par ceux de l'agence de Quimper, pour manifester leur ras-le-bol devant les bureaux de leur entreprise, près de la cale sèche numéro deux du port de commerce. La raison de ce mécontentement ? L'absence de dialogue social dans l'entreprise. « La direction nous adresse un courrier en début d'année, remerciant le personnel pour les bons résultats obtenus en 2016, mais lors des négociations annuelles sur les salaires, on nous dit que nos demandes ne sont pas supportables financièrement. On ne propose que des augmentations individualisées ».
     
    Les syndicalistes réclament une augmentation de 4 %
     
    Les délégués CGT de l'entreprise refusent ce qu'ils considèrent comme le fait du prince. De plus, les primes qui étaient accordées précédemment en fonction de la nature des travaux effectués, sur les sous-marins nucléaires par exemple, ou certains types de navires, sont rognées d'année en année, alors que l'entreprise gagne de l'argent et vient d'acheter une autre société. Pour les syndicalistes, qui réclament une augmentation de 4 % avec un minimum de 100 € pour chacun et aussi l'application des textes sur les indemnités de déplacement, la direction profite d'un contexte général qui lui est favorable pour durcir le ton. Les délégués CGT ont demandé à rencontrer leur direction afin de faire bouger les lignes. En cas d'échec des discussions et en fonction du vote des salariés, le mouvement pourrait être reconduit.
     
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  • Pouvoir d'achat des retraités. Mobilisation jeudi pour le défendre  (17/03/2017)Michelle Lollier (FGRFP), Gilbert Phelep et Daniel Edelin (USR CGT) et Paul Abily (Retraités FSU).

     
    Plusieurs organisations syndicales et associatives de retraités appellent à manifester, jeudi, à 10 h 30, depuis la place de la Résistance, à Quimper. Elles revendiquent notamment une revalorisation des pensions. « Nous avons fait le choix d'une seule manifestation départementale car il faut que l'on se montre et que l'on se fasse entendre. Le mot "retraités" n'apparaît pas beaucoup dans le discours des candidats en campagne pour l'élection présidentielle », estime Gilbert Phelep, le secrétaire de l'Union syndicale des retraités CGT du Finistère. Neuf organisations syndicales et associatives appellent une mobilisation nationale jeudi. À l'échelle du Finistère, la FSU, la Fédération générale des retraités de la fonction publique, Solidaires et Loisirs solidarité retraités ont préparé la manifestation quimpéroise avec la CGT. « Les pensions sont bloquées depuis quatre ans, à part le 0,1 % du 1er octobre. Nous demandons une revalorisation par un rattrapage de 300 € et que l'évolution des pensions soit indexée sur celle des salaires et non des prix », revendique Gilbert Phelep. « Depuis vingt ans qu'elles sont indexées sur les prix, le niveau des retraites a baissé de 1 % par an », pointe Paul Abily, pour la FSU. « La pension, c'est un droit des salariés et pas une allocation sociale comme certains voudraient nous le faire croire. Notre problème, c'est que la place des retraités n'est pas organisée. Il n'existe aucune instance qui nous permettrait de discuter des conditions de notre niveau de vie », regrette Michelle Lollier, de la Fédération générale des retraités de la fonction publique.
     
    Renoncement aux soins
     
    Derrière l'érosion du pouvoir d'achat se cache la question de l'accès aux soins. « De plus en plus de retraités nous disent y renoncer à cause du coût. L'accord qui a généralisé les complémentaires santé privées a laissé de côté beaucoup de retraités, comme les chômeurs ou les fonctionnaires », insiste Paul Abily. « Pour les retraités, une mutuelle ça peut monter jusqu'à 150 € par mois. Aujourd'hui, la prise en charge de la Sécu, c'est en moyenne 62 %, on va tout droit vers 50 % », redoute Daniel Édelin, de l'USR CGT. Son camarade Gilbert Phelep fait aussi référence au handicap, à l'accompagnement des personnes âgées dont le reste à charge dans les Ehpad a tendance à grimper, mais aussi à « la différence inacceptable des écarts de pension entre les hommes et les femmes, 1.200 € moyenne pour les premiers, 800 € pour les secondes ». Jeudi, les organisations impliquées projettent d'interpeller le préfet et la présidente du conseil départemental du Finistère. Des cars de manifestants devraient partir de Brest, Morlaix et Quimperlé et converger vers Quimper.
     
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  • Environ 5000 personnes ont défilé dans Roscoff.Environ 5000 personnes ont défilé dans Roscoff.

    Organisée en soutien au personnel du centre de Perharidy, menacé par une réforme du financement des soins, la marche citoyenne prévue ce samedi matin a rassemblé quelque 5 000 personnes à Roscoff (Finistère).

    Après une pétition sur change.org ayant réuni près de 9 000 signataires, les organisateurs espéraient beaucoup de monde à la marche citoyenne en soutien au personnel du centre de Perharidy. Pari réussi : ils étaient environ 5 000 ce samedi à 10 h 30, au départ de la gare de Roscoff !

    Le vieux port noir de monde pendant les prises de parole. Le vieux port noir de monde pendant les prises de parole. | Photo Ouest-France

    La mobilisation est très forte depuis l’annonce, en fin d’année dernière, d’une réforme du financement pour les établissements de soins de suite et réadaptation (SSR).

    Le centre de Perharidy est à la pointe dans le traitement de la mucoviscidose.
    Le centre de Perharidy est à la pointe dans le traitement de la mucoviscidose. 

    Si elle est appliquée en l’état, le centre pourrait voir son budget amputé de 33 % sur cinq ans. « Le nouveau mode de calcul ne valorise qu’une seule pathologie, ne tenant donc aucun compte des autres soins réalisés », explique l’intersyndicale CFDT-CFE-CGC-CGT-Sud de la Fondation Ildys, citant l’exemple « d’un patient obèse, amputé et dialysé ».

    Avec un très probable impact sur la masse salariale, 600 salariés à Roscoff, sans compter les emplois indirects.

    « Ce centre, c'est l'image de Roscoff !  »

    Samedi matin, dans les rues de Roscoff, ils étaient sans doute tous là, ou presque, ainsi que leur famille et proches. « J’ai des amis qui y travaillent, donc je les soutiens », raconte Fabien, de Saint-Pol. Mais ce centre, c’est plus encore : « Comme la station biologique, c’est l’image de Roscoff ! »

    "Perharidy, c'est la vie !", selon cette petite fille. "Perharidy, c'est la vie !", selon cette petite fille. 

    Dans les rangs du tranquille cortège, le consensus est total. Syndicats, élus, direction, conseil d’administration de la fondation Ildys, soignants, patients… « Ensemble, sans clivage pour une cause juste : défendre un site d’exception pour les soins d’exception prodigués à nos enfants et nos familles », souligne Nicolas Floch, maire de Saint-Pol-de-Léon.

    Parmi les élus, Nicolas Floch (maire de Saint-Pol), Joseph Seité (maire de Roscoff), Maël de Calan (conseiller départemental). Parmi les élus, Nicolas Floch (maire de Saint-Pol), Joseph Seité (maire de Roscoff), Maël de Calan (conseiller départemental).

    Stéfano De Blasio, délégué Sud, syndicat majoritaire à la fondation Ildys, « n’avait pas de doute sur cette participation massive, car je sais qu’il existe une histoire commune, je dirais même une histoire d’amour, entre le centre de Perharidy et la population. Et elle n’est pas près de s’arrêter ».

    Adrien Kervella, président de la fondation Ildys, Hélène Blaize, directeur général et Stéfano De Blasio, délégué Sud, syndicat majoritaire à la fondation Ildys. Adrien Kervella, président de la fondation Ildys, Hélène Blaize, directeur général et Stéfano De Blasio, délégué Sud, syndicat majoritaire à la fondation Ildys.

    L’intersyndicale « demande au gouvernement que la dotation modulée à l’activité, telle qu’elle est mise en place depuis le 1er mars, soit abandonnée ou modifiée pour les SSR spécialisés comme le centre de Perharidy ».

    source: ouest-france.fr

     

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  • Roscoff. Au moins 5.000 manifestants pour... par Letelegramme

    Au moins 5.000 personnes se sont réunies ce samedi matin, à Roscoff (29), en soutien au centre de Perharidy. Les conséquences de la réforme du financement des activités des soins de suite et de réadaptation font craindre la disparition du centre. Et ce, malgré des spécificités largement reconnues.

    Roscoff. Au moins 5.000 manifestants pour soutenir Perharidy  (LT.fr-25/03/2017)

    Le cortège, réuni près de la gare, a ensuite pris la direction du port en passant par la ville. Dans la foule, des habitants du secteur, des patients, des soignants qui, tous, n'imaginent pas la fermeture du centre qui a fait sa réputation sur la pédiatrie et les soins apportés aux malades de la mucoviscidose.

    Roscoff. Au moins 5.000 manifestants pour soutenir Perharidy  (LT.fr-25/03/2017)

    Le maire de la ville, Joseph Séité, le président de la communauté de communes, Nicolas Floch, ainsi que l'ensemble des syndicats ont pris la parole pour rappeler la valeur pour le territoire, en terme de soins et d'emplois, du centre. C'est le président de la Fondation Ildys, Adrien Kervella, qui a conclu en appelant a rester vigilant malgré les bons signaux reçus ces derniers jours. L'ensemble des acteurs restent mobilisés.
     
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  • Roscoff : au moins 5 000 manifestants pour défendre le centre de Perharidy Grosse mobilisation en soutien au centre de rééducation de Perharidy à Roscoff

    Au moins 5 000 personnes ont manifesté ce samedi matin, à Roscoff (29). C'était une très grosse manifestation de soutien au centre de Perharidy. Les manifestants dénoncent la réforme du financement des activités des soins de suite et de réadaptation, qui menacerait le centre. 

    C'est une véritable démonstration de force de la part des habitants de la région de Roscoff. Ils étaient 5 000 à battre le pavé dans le calme, en soutien au centre de rééducation de Perharidy, ce samedi matin. Parmi eux, des élus, des représentants syndicaux, du personnel du centre de rééducation et donc des habitants de la région.

    Suite à la réforme du financement des activités de soins de suite et de réadaptation, tous s'inquiètent pour l'avenir du site de Perharidy. 

    Pourquoi manifestent-ils?

    Un nouveau système de tarification à l'activité (T2A) va entrer en vigueur pour financer les centres de rééducation. Il se base sur des groupes homogènes de malades pour mesurer l'activité des sites et ensuite fixer leur budget. Ce modèle est déjà en place dans les hôpitaux depuis 2005.

    Dans ces centres, comme Perharidy, Kerpape ou Tréboul ou Trestel, ce type de tarification pose question, car ils n'accueillent pas de groupes de patients homogènes. Ils offrent des soins adaptés, individualisés qui coûtent cher. 

    Avec ce nouveau mode de financement, le centre de Perharidy pourrait voir son budget amputé de 33 % sur cinq ans
    600 personnes travaillent sur ce site.

    La Bretagne en pointe au niveau de ces établissements de rééducation.

    Dans les domaines du handicap, de la rééducation et de la réadaptation fonctionnelle, peu de régions françaises peuvent compter sur autant de sites reconnus : Kerpape à Ploemeur (56), Perharidy à Roscoff (29), Tréboul à Douarnenez (29), Trestel, à Trévou-Tréguignec (22), Bodiffé à Plémet (22), clinique Saint-Yves à Rennes... Ils développent des savoir-faire uniques : Kerpape est aujourd'hui le plus grand centre de rééducation fonctionnelle d'Europe ; Perharidy occupe une place majeure dans la lutte contre la mucoviscidose chez les enfants et les adultes, les maladies cardio-vasculaires. A Saint-Yves à Rennes, on accueille les patients pour de la rééducation digestive et nutritionnelle. 

    source: france3-bretagne
     
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  •  Jean-Luc Mélenchon, candidat à l'élection présidentielle, a participé samedi avec des syndicalistes CGT à une action de blocage d'un restaurant McDonald's à Paris.Jean-Luc Mélenchon, candidat à l'élection présidentielle, a participé samedi avec des syndicalistes CGT à une action de blocage d'un restaurant McDonald's à Paris.

    Jean-Luc Mélenchon, candidat à l’élection présidentielle, a participé samedi avec des syndicalistes CGT à une action de blocage d’un restaurant McDonald’s à Paris, pour protester contre la "rapacité" et la "cupidité" des multinationales et plaider pour une "harmonisation fiscale" européenne.

    Arrivé peu après midi devant le restaurant McDonald’s proche de la gare de l’Est à Paris, le candidat de La France insoumise a été accueilli par une dizaine de syndicalistes CGT, qui scandaient « Si t’aimes pas la fraude fiscale, tape dans tes mains ».

    "En appui aux luttes sociales"

    Jean-Luc Mélenchon, venu « appuyer les luttes sociales », a fustigé le fonctionnement du groupe américain McDonald’s, visé pour une plainte pour blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux.« McDonald’s est le symbole d’un système général de rapacité, de cupidité des multinationales qui pratiquent toutes la fraude fiscale », a déclaré le député européen.

    Soupçonné de diminuer artificiellement ses bénéfices au moyen de redevances versées à sa maison mère européenne basée au Luxembourg, McDonald’s est dans le collimateur du fisc français depuis plus de trois ans.« Qui a décidé d’organiser cette triche gigantesque ? C’est Jean-Paul Juncker », le président de la Commission européenne, a accusé Jean-Luc Mélenchon, qui a estimé à 75 millions d'€ le manque à gagner pour l’État.

    Le parquet national financier enquête

    Une enquête préliminaire a été ouverte début 2016 par le parquet national financier après le dépôt d’une plainte d’élus syndicaux contre McDonald’s France pour « blanchiment de fraude fiscale en bande organisée ».« Le système de flux financiers qui circulent entre restaurants et maison mère affaiblit chacun de nos restaurants », affirme Gilles Bombard, secrétaire général du syndicat CGT McDonald’s, avec pour conséquence « pas de bénéfices, donc pas d’impôts sur les sociétés et pas de prime de participation pour les salariés ».

    Tacle à François Fillon

    Le candidat de La France insoumise a salué l’action des employés, estimant que le pays « possède (ait) une force d’indignation très puissante », dont la campagne a « besoin » mais « les affaires finissent par faire diversion », dans une allusion aux enquêtes visant le candidat des Républicains, François Fillon.Interrogé au sujet des célébrations du 60e anniversaire du traité de Rome, Jean-Luc Mélenchon a plaidé pour « l’harmonisation fiscale et sociale » de l’Europe. « L’Europe de demain ne sera pas celle d’aujourd’hui. À l’époque, Pierre Mendès France n’avait pas signé le traité de Rome […] l’Europe du futur doit impérativement mettre en place l’harmonisation sociale et fiscale », a-t-il conclu.

    source: ouest-france.fr

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  • La grève à Bibus s'étend désormais aux week-ends.

    Jusqu’ici, le préavis de grève des agents de Keolis, qui court jusqu’au 14 juin, concernait les jours de semaine. Désormais, à partir de ce samedi 25 mars, les débrayages auront aussi lieu le week-end.

    Le conflit entre la CFDT et la direction de Keolis dure depuis la mi-décembre. Depuis quelques semaines, il avait pris la forme de débrayages de 59 minutes, du lundi au vendredi.

    Mais désormais, certains chauffeurs du réseau tram et bus ont indiqué vouloir aussi faire grève le week-end. "Environ une quarantaine", selon la CFDT.

    85 % des services assurés selon Keolis

    Le réseau sera donc à nouveau perturbé dans les prochains jours. Keolis informe que les départs non assurés par ligne sont disponibles sur bibus.fr à titre indicatif (des modifications de dernière minute peuvent intervenir).

    Environ 85 % des services seront assurés.

    source:ouest-france.fr

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  • Douarnenez. 85 salariés d’Éolane ont débrayé une heure, vendredi (OF.fr-25/03/2017)Les salariés étaient plus nombreux ce vendredi à débrayer pour une augmentation de salaires

    À Lannugat, la moitié des 170 salariés de l’entreprise Éolane a débrayé pendant une heure, vendredi 24 mars, dans le cadre des négociations annuelle de salaires (NAO).

    Spécialisée dans les réseaux de télécommunication, l’entreprise Éolane de Douarnenez conçoit, fabrique et teste des câbles, cartes électroniques, assemble des modules et terminaux.

    Elle est leader des services industriels en électronique et solutions connectées, indique la société sur son site internet.

    Négociations annuelles des salaires

    Cent soixante-dix salariés y travaillent, dont une vingtaine d’intérimaires.

    Dans le cadre des négociations annuelles des salaires (NAO), il y a quinze jours, le syndicat CGT majoritaire a revendiqué une augmentation de salaire de 3 % avec un plancher de 60 €. Et réclamé une prime d’intéressement de 1 000 €, pour chaque salarié, au titre de l'année 2016.

    Des revendications « en rapport avec les résultats de l’entreprise, 2,2 millions d’euros en 2016, estime Marc Le Meil, délégué syndicat CGT. Les salariés réclament leur part, d’autant plus qu’ils ont fait beaucoup d’efforts en travaillant de nuit et en effectuant des heures supplémentaires. »

    Las. Après deux réunions de concertation, « la direction campe toujours sur ses positions et propose 0,75 % avec un plancher de 20 € », déplore la CGT. Une assemblée générale des salariés a donc confirmé le maintien des revendications.

    « On a l’impression que la direction cherche à faire traîner le sujet », regrette le syndicat. Une prochaine réunion aura lieu mardi matin pour décider de la poursuite de l’action.

    source: ouest-france.fr/

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