• Ce 1er mai revêt peut être encore plus cette année un caractère revendicatif, marqué par un résultat au premier tour de ces élections présidentielles où se retrouve deux candidats porteurs de programmes politiques et sociétaux que nous rejetons car nous les  avons combattu et nous les combattrons encore.

    Nous n’appelons pas  à construire un front républicain, nous appelons toutes les citoyennes et tous les citoyens,  les organisations syndicales  de salariés et étudiantes, à venir porter leurs revendications syndicales pourvu qu’elles soient compatibles avec les nôtres.

     

    Le 1er mai doit être et rester un jour de manifestation pour tous les travailleurs, actifs, privés d’emploi et retraités pour porter nos revendications syndicales.

    Nous refusons d’avoir le choix entre le pire et le moins pire. Nous voulons le meilleur !

    La CGT appelle à un rassemblement à 10h 30 place Nevers sur nos revendications syndicales.

     

    Nos  mots d’ordre seront

     

    L’abrogation de la loi travail

    La Baisse du temps de travail (pour les 32 h)

    La défense de l’emploi

    L’augmentation du pouvoir d’achat (hausse des salaires dans le privé comme dans le public)

    La défense de tous les services publics

    La défense de la Sécurité Sociale

    La défense des retraites par répartitions.

    L’amnistie de tous les militants condamnés et l’arrêt des poursuites en cours.

    La paix et la fraternité entre les peuples, le refus du racisme, de la xénophobie et du sexisme.

     A toutes et celles et tous ceux qui le souhaitent  rendez-vous ce lundi 1er mai 10 h 30 place Nevers.

     

    Salutations syndicales

    Le SG UD CGT 08

    Pascal LATTUADA

     

    source: udcgt08.fr

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Hôpitaux du Nord-Finistère-L'inquiétude de la CGT et Sud (LT 29/04/2017)Hier, les représentants CGT et Sud des hôpitaux de Carhaix, Brest, Morlaix et Landerneau ont fait part de leurs craintes pour l'avenir.

    « On ne laissera pas faire tout et n'importe quoi ! » C'est le message que souhaitent faire passer les représentants CGT et Sud des hôpitaux du Nord-Finistère. Réunis à Carhaix hier matin, ils ont fait un nouveau point sur la mise en place des groupements hospitaliers de territoire (GHT). Dans un contexte qu'ils disent déjà miné par une « souffrance du personnel », « un management féroce » et une « qualité de soins qui se dégrade faute de moyens », les deux syndicats veulent alerter sur les « dangers » de la territorialisation de la santé. « Elle induit la mise en place de filières de soins avec le risque que certaines filières ne soient plus présentes localement. On veut nous faire croire que cela va mener à une mutualisation alors qu'on se dirige vers des fusions avec un impact sur l'offre de soins, les conditions de travail et l'emploi », expliquent-ils.

    Craintes pour la maternité

    Ils prennent l'exemple de la blanchisserie de Landerneau qui va être supprimée. « Elle comptait onze salariés. L'activité est transférée à Brest qui ne récupère que trois personnes en plus ». Les syndicalistes redoutent des décisions similaires pour les laboratoires, les pharmacies et les cuisines. Et même pour les services de soins. « Dans le GHT Sud-Finistère, il y a une seule maternité. Ici, on en a quatre (Brest, Morlaix, Landerneau et Carhaix). On nous a clairement dit qu'il n'y en aura plus que deux. Carhaix et Landerneau sont menacées », expliquent-ils tout en dénonçant le fait que ce type de décisions se fasse « sans concertation ». Pour eux, il est « temps que les élus et la population réagissent ». « On ne sait pas jusqu'où ça peut aller. Bientôt, il faudra faire 45 minutes pour bénéficier de soins ». La CGT et Sud précisent qu'ils ont opté pour une position différente de la CFDT. « Nous, on refuse d'accompagner les dégâts que va entraîner la mise en place du GHT. Nous refusons les suppressions de postes, nous voulons une offre de soins de proximité et de bonnes conditions de travail pour le personnel ».

    source: letelegramme.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Solidarité tous azimuts des syndicalistes CFDT, hier matin aux portes de l'intermarché de la zone du Drévers. Solidarité tous azimuts des syndicalistes CFDT, hier matin aux portes de l'intermarché de la zone du Drévers.

    La CFDT appelait les salariés à se mobiliser en soutien d'un des leurs, muté dernièrement. Un climat de défiance envers les responsables du groupe dans un contexte particulier, puisque le nouveau directeur n'a pas encore pris ses fonctions à la suite de la mise en examen de son prédécesseur.

     Une trentaine de syndicalistes de la CFDT se sont retrouvés hier entre 11 h et 13 h devant les portes d'entrées du magasin Intermarché hyper du Drevers. Ils étaient venus de divers services : santé, commerce, administration, bâtiment, de Brest Quimper, et de la région, pour soutenir les salariés du magasin douarneniste dont l'un venait d'être muté.

    « Nous soutenons notre collègue qui, à notre sens, est victime du comportement managérial abusif et contraint à une mutation. Nous voulons alerter la direction sur ce qui se passe et qui pourrait se produire dans d'autres magasins », raconte Jérôme Calvez, délégué syndical local au sein du magasin.

    Pour Jean-Claude Perramant, le secrétaire général des services CFDT du Finistère : "C'est une belle mobilisation pour un magasin comme celui-ci. Mais à travers cette action, on veut alerter le groupement des Mousquetaires".

    Quelques avancées mais qui prennent du temps

    Petite satisfaction toutefois avec la dotation matérielle perçue la veille : des scans douchettes pour les caissières. Cet outil informatique permet à la caissière de ne plus manipuler des sacs pesants et encombrants (charbon de bois, croquettes, terreaux, engrais ou bouteilles).

    « Il aura fallu attendre sept ans et une mise en demeure de la Carsat (Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail) pour les obtenir », explique Joël Le Dantec responsable de l'Union départementale 29 de la CFDT.

    Afin d'éviter le blocage du magasin, une rotation avait été organisée par les syndicalistes CFDT majoritaires dans la grande surface magasin qui compte 85 salariés en CDI et six salariés en CDD.

    Un nouveau directeur, issu du groupement, est attendu mercredi prochain à la suite de la mise en examen de l'ancien directeur.

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Olivier Le Pichon, secrétaire général de l'union locale de la CGT.
    Olivier Le Pichon, secrétaire général de l'union locale de la CGT.

    Un rassemblement aura lieu le lundi 1er mai, à 10 h 30, place de la Liberté, à l’appel de la CGT, Solidaires, la FSU et l’UNEF. La CGT qui, par la voix de son secrétaire générale Olivier Le Pichon appelle à faire barrage au Front national lors du second tour de l’élection présidentielle.

    « Le 1er mai, c’est la journée internationale des travailleurs. » Olivier Le Pichon, secrétaire général de l’union locale de la CGT, expose les thématiques de cette manifestation, qui débutera à 10 h 30 le lundi 1er mai place de la Liberté : « La solidarité internationale, la fraternité, la démocratie, les droits syndicaux, la lutte contra la pauvreté, l’égalité entre les hommes et les femmes. Mais aussi la lutte pour obtenir des salaires dignes.»

     

    Pour la CGT, il s’agit de « montrer qu’en France aujourd’hui il y a des gens qui luttent, pour défendre les conditions de travail et les salaires. »

    L’an passé, 500 personnes étaient rassemblées pour cette manifestation.

    « Pas une voix au FN ! »

    Concernant le second tour de l’élection présidentielle, Olivier Le Pichon assène que « nous sommes résolument opposés au Front national. Pas une voix ne doit se porter sur Marine Le Pen. Pas une voix ! »

    Pour autant, la CGT ne donne pas de consigne de vote. « On estime que les électrices et les électeurs sont majeurs et savent ce qu’ils ont à faire. »

    En précisant, tout de même que « personne ne peut croire que la situation que nous connaissons aujourd’hui n’est pas le produit de la politique qui a été menée pendant des années. »

     

    Un avis partagé par SUD/Solidaires, pour qui « pas une voix ne doit aller au Front National. Ce parti base sa politique sur la « préférence nationale », le racisme et le repli nationaliste, incompatibles avec nos valeurs. Le projet politique qu’incarne Marine Le Pen est avant tout celui d’un nationalisme exacerbé qui ne remet en cause ni le capitalisme, ni le libéralisme qui alimente depuis des années les inégalités et la précarité. »

    Le syndicat précise que : « Pour autant, quel que soit notre vote, il n’y aura pas de soutien à une politique libérale. L’alternative n’est pas la continuité avec les politiques des précédents gouvernements qui ont conduit à l’exaspéra- tion sociale et au renforcement de l’extrême droite. »

    La CFDT aux Capucins et derrière Macron

    Par ailleurs la CFDT du Pays de Brest organise, toujours ce lundi 1er mai, un rassemblement « citoyen et solidaire » à 11 h au plateau des Capucins.

    Par cette mobilisation, elle appelle à « faire barrage au Front national par la seule voie possible qui est de voter pour son adversaire au second tour, Emmanuel Macron. »

    Le syndicat souligne que « le danger d’une victoire FN n’est pas écarté. La CFDT appelle à voter Emmanuel Macron sans pour autant lui donner un chèque en blanc. »

    source: ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Déclaration de la Commission exécutive confédérale

    mardi 25 avril 2017

    Les résultats du premier tour des élections présidentielles françaises confirment les risques pour la démocratie, les droits des salariés et des citoyens.

    Ils sont les résultats des politiques libérales, des lois régressives, des remises en cause des droits, comme des renoncements des gouvernements successifs à œuvrer véritablement pour la justice sociale et la réponse aux besoins sociaux et environnementaux. Pour autant, depuis des mois, de nombreux salariés et citoyens contestent ces choix, s’opposent aux mauvais coups, tels la loi travail et la loi Macron et se mobilisent avec leurs organisations syndicales, notamment la CGT.

    Pour la deuxième fois dans le pays, sous la Vème République, une candidature d’extrême droite, représentée par le front national, sera présente au second tour des élections présidentielles. C’est un danger pour la démocratie, la cohésion sociale et le monde du travail. Les gouvernements, qui depuis 2002 se sont succédés sans jamais répondre aux aspirations légitimes à plus de justice sociale, sans ouvrir de perspectives d’avenir meilleur, en portent une lourde responsabilité !

    La CGT ne se résoudra jamais à accepter un tel scénario. Elle affirme que les salariés doivent, plus nombreux et plus fort, exprimer leurs attentes et leurs exigences revendicatives, faire grandir des mobilisations convergentes capables d’imposer un rapport de force pour gagner de nouveaux droits. Seul le progrès social favorise les solidarités, participe à combattre l’exclusion, les stigmatisations, les mises en concurrence.

    L’utilisation des peurs, du terrorisme, les amalgames éhontés entendus lors de la campagne, la xénophobie, le racisme, le sexisme et l’homophobie, la préférence nationale ne résoudront pas les inégalités, le chômage et les bas salaires.
    La CGT les combat et les combattra sans relâche ! Elle n’aura de cesse de faire barrage à l’extrême droite ! Pas une voix ne doit se porter sur sa candidate !

    L’autoritarisme des gouvernements successifs, les engagements non tenus ou les reniements, le renoncement à une Europe sociale, les dénis de démocratie, l’utilisation à répétition du 49.3 et les politiques menées ont cultivé la désespérance et le fatalisme d’une partie de la population. Cela est renforcé par la casse de l’industrie et des services publics, la montée du chômage et de la précarité, l’abandon des zones rurales et périurbaines.

    La CGT ne croit pas en l’Homme providentiel et c’est la raison pour laquelle, elle revendique une véritable démocratie et de véritables droits d’expression et d’intervention dans toutes les entreprises et les services. Elle propose des alternatives sociales comme, par exemple, l’augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, les 32 heures pour travailler toutes et tous, travailler mieux et moins.

    La CGT appelle l’ensemble des salariés et des organisations syndicales à faire du 1er mai une journée de mobilisation, de lutte et d’expression revendicative exceptionnelle, une journée de rassemblement pour les droits des travailleurs, le progrès social, la liberté, l’égalité, la justice, la fraternité, la paix, la démocratie et la solidarité internationale.

    Montreuil, le 25 avril 2017

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Grève dans les piscines de Brest-Des propositions pour sortir du conflit (LT 28/04/2017)

    Il y a eu, hier après-midi, des avancées dans le conflit qui touche les cinq piscines brestoises depuis un mois et demi. Marc Coatanéa, le vice-président de Brest métropole chargé du personnel, a proposé la création de deux postes titulaires de maître-nageur sauveteur, sur les cinq demandés par les grévistes soutenus par le syndicat Force ouvrière. La question sera examinée lors du prochain conseil communautaire, fin juin. Concernant l'aménagement du temps de travail des agents d'accueil et agents d'entretien, une validation est envisagée courant juin. Il faudra attendre la fin de l'année, pour les maîtres-nageurs. Enfin, sur le plan de la bonification indiciaire en zone prioritaire pour les agents d'entretien à Recouvrance, aucun accord n'a pu être trouvé. « Nous sommes en divergence sur ce point. La collectivité et le syndicat n'ont pas la même lecture des textes. Au syndicat de s'adresser au tribunal administratif pour cette question », a conclu Marc Coatanéa. De son côté, le représentant de FO, Bernard Fabrice, attend le protocole de sortie de grève pour le présenter à la cinquantaine de grévistes concernée. Les agents décideront mardi de la poursuite de la grève ou pas. Hier soir, les piscines de Foch et de Kerhallet étaient une nouvelle fois fermées. Celle de Saint-Marc restait également close sur l'heure de midi, au coeur d'un conflit qui continue de pénaliser les usagers et de coûter à la collectivité (déficit d'entrées et cours annulés).

    source: letelegramme.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Toujours aussi remontés contre les mesures prises par la direction dans le cadre du plan d'économies visant à équilibrer les comptes de l'établissement, les personnels du centre hospitalier des pays de Morlaix ont manifesté leur mécontentement, hier après-midi, à l'appel de la CFDT, de la CGT et de Sud. En usant de la symbolique puisqu'à l'avant du cortège, qui a rejoint le centre-ville à 15 h 45 après être descendu par la rocade, on trouvait un cercueil représentant la mort de l'hôpital. « Nos conditions de travail se détériorent et l'offre de soins diminue », ont à nouveau regretté les agents, la plupart habillés en noir, ambiance funèbre oblige. Le mouvement n'a pas énormément mobilisé. 250 participants, dont des retraités et des membres du comité de défense de l'hôpital, ont défilé. Les manifestants se sont dispersés dans le calme entre 16 h et 17 h.

    Morlaix. Manifestation des personnels hospitaliers par Letelegramme

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Ce mercredi matin, un homme a été victime d'un malaise sur le chantier de démantèlement de la station de traitement des effluents, à la centrale de Brennilis (Finistère).Ce mercredi matin, un homme a été victime d'un malaise sur le chantier de démantèlement de la station de traitement des effluents, à la centrale de Brennilis (Finistère).

    Alors qu’il intervenait en zone non contaminée sur le chantier de démantèlement de la station de traitement des effluents, à la centrale de Brennilis (Finistère), un homme a fait un malaise, ce mercredi matin. Il a été transféré vers l’hôpital de Morlaix.

    Ce mercredi, à 11 h, un salarié d’une entreprise prestataire a été victime d’un malaise sans perte de connaissance. Ce salarié intervenait en zone non contaminée sur le chantier de démantèlement de la station de traitement des effluents, à la centrale de Brennilis (Finistère).

    Absence de contamination

    Les contrôles radiologiques réalisés ont confirmé l’absence de contamination. Les secours externes ont été appelés conformément aux procédures du site.

    L’homme a été pris en charge par les pompiers et a été transféré vers l’hôpital de Morlaix pour des examens complémentaires.

    source: ouest-france.fr

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les internes avaient rendez-vous hier, à 13 h, pour manifester à l'hôpital de la Cavale-Blanche.Les internes avaient rendez-vous hier, à 13 h, pour manifester 
    à l'hôpital de la Cavale-Blanche.

    Une centaine d'internes du CHRU observaient un mouvement de grève, hier, pour protester contre certaines dispositions de la réforme de l'internat, notamment sur la durée de la formation. Il y a urgence, les derniers arrêtés vont être publiés.

    La plupart des internes en grève, hier, ont respecté simplement une heure de débrayage, mais d'autres avaient choisi une journée de grève, reconductible de façon illimitée, comme tous ceux d'hépato-gastro-entérologie, soutenus par leur chef de service, le Pr Michel Robaszkiewicz, et tous les praticiens hospitaliers. « Tous les médecins du service sont en grève, des maintiens en poste ayant été réalisés pour la prise en charge des patients. Cette action nationale est destinée à préserver l'avenir des futurs internes : la réforme doit s'appliquer en novembre prochain », explique le Pr Michel Robaszkiewicz.

    Cinq ans et non pas quatre

    Les internes grévistes se sont retrouvés devant l'internat de l'hôpital de la Cavale-Blanche, avant de défiler jusqu'au hall d'accueil entre 12 h 30 et 13 h 30. « Nous sommes 110 internes grévistes, sur 330 internes au CHRU, mais tous ne sont pas en poste à Brest, les internes sont répartis dans plusieurs établissements.
     
    Nous protestons contre cette réforme bâclée en raison des échéances électorales », souligne Gurvan Dissaux, représentant des internes de Brest, de l'Intersyndicat national des internes (Isni). La Corpo des étudiants en médecine soutient également le mouvement. « La réforme veut réduire à quatre ans la spécialisation médicale sur l'appareil digestif, mais elle doit être de cinq années au minimum. D'autres spécialités, comme la néphrologie, sont aussi concernées par cette réduction du nombre d'années de formation », ajoute le Pr Robaszkiewicz. Tout avait pourtant bien commencé, pour cette réforme que les médecins et les internes appelaient de leurs voeux.

    Relancer la concertation

    « Le ministère de la Santé veut passer en force alors qu'il faudrait laisser le temps à la concertation qui a été réalisée jusqu'à présent. Il y a de bonnes choses dans cette réforme, mais les maquettes avec les durées des formations ne conviennent pas et elles ont été arrêtées unilatéralement », dit Gurvan Dissaux. Hier, le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (Cneser) devait donner son avis sur le second arrêté, qui modifie les durées des formations pour une partie des 44 spécialités, et, aujourd'hui, ce sera au tour de la Commission nationale des études de maïeutique, médecine, odontologie et pharmacie (Cnemmop).
     
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique