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    La casse des indemnités chômage voulue par Macron.. reportée, mais pas retirée

    En pleine crise économique et profitant de la crise sanitaire du , le régime s’acharne à durcir les règles d’indemnisation des chômeurs : 800 000 privés d’ vont donc subir une baisse de leur indemnités. Cela en raison de l’augmentation de la durée de cotisation pour bénéficier de l’indemnisation, de la baisse des indemnités à partir du 7e mois pour les moins de 57 ans, et calcul plus défavorable pour les plus précaires alternant contrats courts et . La pénalisation des employeurs utilisant les contrats courts est elle toujours reportée aux calendes grecques. Faire payer la crise quoi qu’il en coûte aux travailleurs, leur faire les poches pour remplir les coffres des capitalistes, le cap du régime Macron UE MEDEF ne bouge pas. La riposte populaire s’impose.

     

    Alors que, crise aidant, tant de Français ont rejoint les rangs des chômeurs et qu’un Français sur trois, parmi lesquels il faut compter de nombreux enfants, des personnes âgées et des malades, ne peuvent plus faire trois repas par jour en France (chiffres de la MGEN), le gouvernement à la botte du MEDEF et de l’UE (laquelle n’a pas cessé, en pleine pandémie, de réclamer la “baisse des dépenses publiques” au nom de la sacro-sainte monnaie unique…) s’entête à réduire les indemnités chômage, que ce soit en plafonnant lesdites indemnités ou en exigeant des chômeurs éligibles une plus longue durée de mois travaillés – alors que tant de boîtes ferment ou délocalisent ! – pour postuler auxdites indemnités. 

    Le résultat est certain et voulu : une nouvelle baisse de revenus pour des millions de gens déjà dans la gêne… Et du même coup, une injonction supplémentaire faite aux chômeurs d’accepter n’importe quel emploi hors région et hors qualification – en clair, un déclassement professionnel et une déqualification lourds de conséquences futures – pour pouvoir nourrir leur famille: si bien que lesdits chômeurs rabattus de force vers les emplois déqualifiés ne feront, à leur corps défendant, que peser davantage sur le marché du travail en tirant vers le bas les , et notamment les bas salaires, vu que ceux-ci sont régis entre autres, en régime capitaliste, par le jeu de l’offre et de la demande (plus il y a de chômeurs non ou mal indemnisés, plus les salaires de ceux qui travaillent sont tirés vers le bas, c’est mécanique).Et qui bénéficiera au final de la manoeuvre si ce n’est le MEDEF? Un MEDEF auquel, en revanche, on ne plaint pas les subventions à milliards sans contrepartie aucune en termes de maintien des salaires et du “produire en France”, SANOFI remportant la palme du cynisme en continuant à supprimer des emplois tout en palpant l’argent public à jet continu… sans même être capable de fournir un vaccin (dans le même temps, la petite Cuba a produit trois vaccins!).

    Quand vous entendrez des gens qui travaillent dur pour le SMIG se plaindre sottement que “en France, on indemnise trop les chômeurs”, expliquez-leur donc que chaque fois que l’Etat et le MEDEF s’entendent pour dé-protéger les chômeurs, c’est l’ensemble de la classe des travailleurs salariés dont les revenus piquent mécaniquement du nez.

    De même Bruno Le Maire ne cesse-t-il de brâmer qu’il faut au plus tôt “faire la des retraites” exigée par Bruxelles, toujours au titre de la “baisse des dépenses publiques”. Outre que ce type de propos devient franchement odieux au moment où Merkel et Macron arrosent sans compter les entreprises, qu’elles soient ou non largement bénéficiaires, le propos réel des gouvernants bourgeois est invariablement le même: en diminuant les pensions et en retardant l’âge de la retraite, ils forcent indirectement des millions de gens à rester plus longtemps sur le marché de l’emploi; ce faisant, ils augmentent la concurrence entre salariés – plus nombreux à se disputer un même nombre d’emploi -, ils déséquilibrent l’offre d’emploi au détriment de la demande et font du même coup BAISSER LES SALAIRES (et les futures pensions) DE TOUS.

    Moralité: actifs, retraités et chômeurs, pas de sottes jalousies entre nous, nous faisons partie de la même classe, celle des travailleurs salariés. Alors, TOUS ENSEMBLE ET EN MEME TEMPS pour l’emploi, les salaires, la protection sociale, les services publics, les pensions et les indemnités chômage !

    Floréal

    source: https://www.initiative-communiste.fr/


    Communiqué CGT : Assurance chômage : un gouvernement, isolé et déconnecté des réalités, qui passe en force

    La ministre du Travail a présenté la réforme de l’assurance chômage aux organisations syndicales et patronales. Malgré l’opposition unanime et unitaire des confédérations représentant les salarié.e.s et surtout malgré la crise sanitaire et l’augmentation du chômage, le gouvernement déroule son plan sans écouter personne.Dès le 1er juillet 2021, il entend baisser les allocations de façon très importante, notamment pour les travailleurs les plus précaires (intérimaires, saisonniers, extra hôteliers, guides conférenciers, etc.). Pour faire semblant « d’équilibrer », un bonus-malus (modulation à la hausse ou à la baisse des cotisations patronales) serait mis en place… mais seulement en septembre 2022 ! Selon un indicateur « de retour à meilleure fortune », montrant une baisse du chômage, deux autres mesures violentes pourraient entrer en vigueur de façon « automatique » : hausse du seuil d’accès aux allocations (de 4 à 6 mois travaillés au cours des 24 derniers mois hors période de pandémie) et dégressivité pour les cadres (au 9ème mois au lieu du 7ème mois de chômage comme prévu initialement dans le projet de réforme). Malgré son isolement face à tous les syndicats et aux critiques – même du petit patronat, le gouvernement passe en force sa réforme dès cet été, en totale déconnexion avec la réalité des travailleuses et travailleurs précaires et/ou au chômage. Un décret doit être publié au 1er avril. Pour la CGT, le combat contre cette réforme continue. Nous considérons que la décision, que nous avons obtenue du Conseil d’État en novembre dernier et qui a annulé la réforme du mode de calcul de l’indemnisation journalière et donc de l’allocation, n’est pas respectée : nous allons étudier de nouveaux recours. La CGT continue à informer les premières et premiers concerné.e.s et à mener des actions unitaires pour rétablir a minima les droits perdus et obtenir un emploi et une protection sociale pour toutes et tous.

    Montreuil, le 2 mars 2021

     

    Le tract de la cgt chômeurs/précaires

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Le monde de la culture manifestait, ce jeudi matin, à Brest.
    À Le monde de la culture manifestait, ce jeudi matin, à Brest.

    Depuis 11 h, ce jeudi, quelque 300 personnes, essentiellement acteurs du monde de la culture, manifestent place de la Liberté, à Brest.

    « On ne pensait pas devoir fêter un si triste anniversaire » : après un an où les salles de spectacles ont, pour la majorité, conservé portes closes sans interruption, où festivals et artistes ont été maintenus au silence, les acteurs du milieu culturel ont tenu à redire leur colère et désarroi, ce jeudi matin. 

    Place de la Liberté, les organisations du spectacle et ceux qui ne digèrent pas d’être considérés comme « non-essentiels », appellent le gouvernement à prendre la mesure de leur détresse et à réagir. Ils demandent notamment « une méthodologie de travail pour la réouverture, dans un calendrier réaliste, des lieux culturels et un engagement sur la tenue des festivals et des spectacles occasionnels permettant d’arrêter de naviguer à vue de quinzaine en quinzaine ».

     

    source:

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  • Les filets de pêche seront démontés à l’Esat de Plourivo.Les filets de pêche seront démontés à l’Esat de Plourivo

    Paimpol va servir de site pilote pour le projet national de pêche propre. À partir de juin, les filets de pêche y seront ramassés pour être transformés.

    « On espère pouvoir commencer à démonter des filets au mois de juin », précise Yannick Hémeury, le président de la Coopérative maritime. Une expérimentation va être menée cette année sur Paimpol, dans le cadre d’un programme national. « C’est le projet de pêche propre qui est porté par la coopération nationale. Il est train de se mettre place. Paimpol va être le quartier référent au niveau national ». Ce programme a été baptisé Recy pêche pour recyclage des filets de pêche. À partir de 2024, une directive européenne prévoit qu’une pénalité sera appliquée si les filets ne sont pas transformés.

    La Coopérative maritime travaille avec Guingamp Paimpol agglomération et Lannion-Trégor Communauté pour démarrer cette expérimentation. Les filets seront ramassés sur les ports (Locquémeau, Pors even, Trébeurden, Loguivy…) avec le nouveau camion plateau de la Coopérative maritime. Ils seront ensuite amenés à l’Esat de Plourivo pour être démontés. Cette opération sera facturée aux pêcheurs.

    L’image des ports

    La société Fil et Fab, qui est basée à Brest, récupérera ensuite les filets. « Ils seront transformés, dans une usine, en billes de plastique. Ça servira, par exemple, à faire des lunettes ». Ce sont quelque 50 tonnes de filets de pêche par an, dans le secteur, qui devraient être recyclés.

    « D’un programme national, on va donner du confort aux pêcheurs. Ce n’est pas le boulot le plus sympa de démonter les filets. Avant, ce sont eux qui le faisaient. Une entreprise belge venait les prendre après pour être enfouis au Portugal. On ne peut plus tolérer ça aujourd’hui », ajoute Yannick Hémeury.

    Les ports seront ainsi plus régulièrement débarrassés des filets de pêche en fin de vie. « Les pêcheurs parlent désormais d’éco environnement et de respect de la nature. Ça va participer à l’amélioration de l’image des ports. On va servir de modèle pour un programme national », conclut-il. Cette expérimentation va bénéficier d’aides de la région Bretagne, de l’Europe et des agglomérations concernées pour sa mise en route.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • « Exerçant une profession médicale et majoritairement féminine (98 %), les sages-femmes font savoir, depuis la fin janvier, leur ras-le-bol et leur besoin de reconnaissance », martèlent les syndicats « Exerçant une profession médicale et majoritairement féminine (98 %), les sages-femmes font savoir, depuis la fin janvier, leur ras-le-bol et leur besoin de reconnaissance », martèlent les syndicats qui appellent à manifester, lundi, à 11 h, place de la Liberté. 

    À l’appel de l’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), de l’Union nationale syndicale des sages-femmes (UNSSF) et de la CGT du Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Brest, les sages-femmes salariées du public et du privé, et libérales manifesteront à l’occasion de la journée pour les droits des femmes, le lundi 8 mars, à 11 h, place de la Liberté, avant de rejoindre la sous-préfecture, à midi. « Exerçant une profession médicale et majoritairement féminine (98 %), les sages-femmes font savoir, depuis la fin janvier, leur ras-le-bol et leur besoin de reconnaissance. Après un parcours universitaire complexe de cinq ans, débutant par un concours reconnu comme étant prestigieux de par son niveau d’exigence, elles commencent leur carrière avec un salaire avoisinant les 1 700 €. Elles sont en première ligne en ce qui concerne les droits des femmes (droit à l’avortement, violences faites aux femmes, etc.) », soulignent les organisations qui appellent à manifester.

     
     
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  • Quatre patients ont été transférés à Brest et Quimper.Quatre patients ont été transférés à Brest et Quimper.

    Quatre patients atteints par la covid-19 ont été transférés de Provence-Alpes-Côte d’Azur vers la Bretagne, ce mercredi. Ils ont été pris en charge dans des hôpitaux de Brest et Quimper.

    Quatre patients, qui étaient hospitalisés dans des services de réanimation en Provence-Alpes-Côte d’Azur, ont été transférés par avion en Bretagne ce mercredi. Deux d’entre eux, en provenance du centre hospitalier universitaire de Nice, ont été accueillis à l’hôpital d’instruction des Armées Clermont Tonnerre, à Brest. Un troisième, en provenance du centre hospitalier d’Antibes, a été pris en charge au centre hospitalier régional universitaire de Brest. Et le quatrième, venant également du centre hospitalier d’Antibes, a été transféré au centre hospitalier intercommunal de Cornouaille, à Quimper. 

    « Les disponibilités actuelles de réanimation en Bretagne permettent effectivement de réaliser cet accueil dans le cadre de la solidarité nationale entre régions », souligne une représentante de l’Agence régionale de santé. Lundi, le taux d’incidence dans les Alpes-Maritimes s’élevait à 617 pour 100 000 habitants, il n’était que de 54,6 dans le Finistère.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les candidats au départ volontaire ont jusqu’à août 2022 pour se déclarer, suivra une période de congé de reclassement de treize mois pour les autres salariés.Les candidats au départ volontaire ont jusqu’à août 2022 pour se déclarer, suivra une période de congé de reclassement de treize mois pour les autres salariés.

    Alors que le Plan de sauvegarde de l’emploi de Hop ! vient d’être retoqué, sur le site morlaisien, certains salariés ont déjà enclenché leur reconversion professionnelle.

    Le Plan de sauvegarde de l’emploi de la compagnie aérienne Hop ! a été retoqué par l’administration du travail le 16 février 2021. Si l’ouverture du plan de départ volontaire, initialement prévue fin janvier 2021, est en conséquence retardée, cela ne change en rien le sort de ses salariés qui quitteront l’entreprise au plus tard à la fin de l’année 2022.

    Partir maintenant ou rester jusqu’à la fin ?

    Avec pour chacun des arbitrages très personnels (critère géographique, sécurité de l’emploi, salaire…), se pose aux 276 salariés l’épineuse question : faut-il partir maintenant ou rester jusqu’à la fin ? Quel que soit leur choix, tous bénéficieront d’une prime de départ indexée sur leur ancienneté, cette prime étant d’autant plus élevée que les salariés quittent tôt l’entreprise. Alors certains jouent la carte de la prudence, préférant attendre jusqu’au bout que la conjoncture économique soit meilleure, en maintenant leur salaire. D’autres tournent la page pour se projeter au plus vite sur un nouvel emploi.

    Explorer de nouvelles voies professionnelles

    Ces derniers ont opté pour une période de disponibilité, une solution transitoire « pour permettre de ne pas louper d’opportunités de travail, car elles ne se présentent pas deux fois », explique Sébastien Grandjean, mécanicien. À la maintenance, qui compte environ 200 salariés, ils sont une vingtaine dans cette situation. Une façon pour eux d’anticiper l’après-Hop !, sans menacer leurs conditions de sortie, cette période étant « mise à profit pour tester de nouvelles pistes professionnelles ». Sans prendre de risque : « Si le salarié s’aperçoit qu’il a fait fausse route, il a la possibilité de revenir. Loin d’être un échec, une expérience dans un grand groupe agroalimentaire ou sur un chantier naval ont permis à des personnes d’écarter ce vers quoi elles n’iront pas après ».

    Des profils hautement qualifiés

    Car si quelques-uns peuvent être reclassés en interne, sur les sites Hop ! de Nantes ou Clermont-Ferrand, beaucoup devront faire une croix sur leur métier de cœur. « On aime notre métier, on l’a choisi pour exercer dans l’aérien, mais sur la région il n’y aura rien pour nous », fait savoir le mécanicien. Qui souligne cependant que « les techniciens de maintenance, aux profils hautement qualifiés, sont assez recherchés ». L’Atelier industriel aéronautique de Bretagne (AIA) a d’ailleurs annoncé mi janvier le recrutement de personnels civils en maintenance aéronautique.

    Hors aéronautique, leurs profils intéressent d’autres entreprises, dont certaines venues chez Hop ! présenter leurs métiers : c’est le cas de Naval Group (Brest et Lorient), qui prévoirait des embauches en 2021, l’équipementier visant une partie du marché du futur porte-avions à Saint-Nazaire, et de la coopérative laitière Laïta, à Landerneau. D’autres sociétés, comme Paprec (recyclage), Thalès (défense et électronique), Navtis (sous-traitant de Naval Group) ou encore Siemens (centrale à gaz de Landivisiau) se seraient également manifestées.

    Quelle reconversion sur le pays de Morlaix ?

    Reste que des reconversions vers ces entreprises se traduiront par une fuite de compétences et de pouvoir d’achat du bassin de vie morlaisien, même si localement des pistes se profilent : Veolia eaux, Claas (engins agricoles) ou l’entreprise agroalimentaire spécialiste du surgelé, Primel Gastronomie, ont d’ores et déjà donné leur chance à d’anciens salariés de la compagnie aérienne. La Sermeta (échangeurs thermiques pour chaudières) chercherait aussi à recruter. Quant à la compagnie Chalair aviation, sa récente annonce d’ouverture d’un site de support maintenance à Morlaix (une dizaine de postes), a ouvert des perspectives de reclassement local.

    En attendant, les salariés du site morlaisien ne chôment pas : deux avions sont actuellement en maintenance, dont un CRJ700 qui partira prochainement aux États-Unis rejoindre deux autres CRJ, déjà livrés outre-Atlantique.

    Sophie Guillerm

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Brest Métropole souhaite réaliser une cartographie des nappes d’eaux pluviales de son territoire pour permettre une meilleure prévention des risques d’inondation et de pollution.Brest Métropole souhaite réaliser une cartographie des nappes d’eaux pluviales de son territoire pour permettre une meilleure prévention des risques d’inondation et de pollution. 

    Brest Métropole souhaite réaliser une cartographie des nappes d’eaux pluviales de son territoire. Elle permettra une meilleure prévention des risques d’inondation et de pollution.

    Dans l’optique d’améliorer la gestion des eaux pluviales de son territoire, Brest Métropole va lancer une vaste campagne de mesure des eaux souterraines peu profondes, en partenariat avec la Direction régionale Bretagne du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Cette campagne, qui se déroulera du 4 au 12 mars 2021, permettra d’établir une cartographie de la profondeur des nappes souterraines superficielles sur les huit communes de Brest Métropole. Une première campagne s’est déroulée du 24 septembre jusqu’au 7 octobre.

    Pour réaliser cette carte, cinq techniciens et hydrogéologues du BRGM effectueront des mesures sur le terrain, à l’aide de sondes piézométriques. Il s’agit d’un simple dispositif d’électrodes disposées au bout d’une bobine de fil métré qui sonne ou allume une lumière lorsqu’elle entre en contact avec l’eau. Les équipes du BRGM chercheront près de 300 puits et forages publics et privés, répartis sur l’ensemble du territoire de Brest Métropole, afin de mesurer le niveau de la nappe située sous le sol.

    Appel à la collaboration des habitants

    En domaine urbain, l’accès à ces points de mesure est parfois peu aisé. Aussi, le BRGM aura besoin de la collaboration des habitants de la métropole, afin de pouvoir accéder aux puits et forages en domaine privé. La réussite de l’opération dépend grandement du nombre de points mesurés. Cette carte sera utile dans différents domaines, notamment l’aménagement du territoire.

    Prévention des risques d’inondation

    Cette étude permettra une meilleure prévention des risques d’inondation et de pollution, en facilitant l’analyse de la régulation des débits des eaux pluviales s’écoulant sur les surfaces imperméabilisées et se jetant dans le milieu naturel lors des événements pluvieux denses. La gestion des réseaux d’eau potable et d’assainissement pourrait également s’en trouver améliorée. Les données pourront aussi être utilisées pour la réalisation de nouveaux forages ou l’implantation d’ouvrages en sous-sol.

     

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  • « Femmes de la terre », une sélection de films avec des agricultrices ou des femmes d’agriculteurs…« Femmes de la terre », une sélection de films avec des agricultrices ou des femmes d’agriculteurs…

    Avec des rendez-vous à 20 h chaque jeudi de mars, la Cinémathèque de Bretagne, basée à Brest (Finistère) décline une programmation en ligne au féminin.

    Basée à Brest, la Cinémathèque de Bretagne décline désormais sa programmation en ligne : via sa page Facebook ou via la Vingt-Cinquième Heure, sa salle de cinéma virtuelle.

    En écho à la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes, la sélection de mars se conjugue essentiellement au féminin, chaque jeudi à 20 h.

    Jeudi 4 mars : « L’art de la céramique »

    Une sélection de films dans le cadre de la 21e édition des Rencontres culturelles Sevenadur. Avec « Argile, terre vivante » d’Alain Henriot et Adolphe Kerisit (1957, 24 min), « Un artisan céramiste » de Fernand Le Garrec et Jean Bedouet (1960, 17 min).

    Jeudi 11 : « Elles ont filmé la Bretagne et le monde »

    Ethnologues, exploratrices, journalistes, documentaristes, artistes, voyageuses, militantes, vacancières… Plus de 400 femmes réalisatrices sont présentes dans les collections de la Cinémathèque de Bretagne. Munies de leurs caméras, d’un bout à l’autre du monde, elles ont capturé des images, enregistré des sons et raconté des histoires.

    Jeudi 18 : « Torr e Benn »

    Une aventure du « cinéma militant », une séance dédiée au cinéma de Jean-Louis Le Tacon. Avec : « Nous irons jusqu’au bout », la grève des Kaolins de Plémet (1976, 36 min). « Marche au Larzac vue d’un œil breton » (1973, 23 min), une séance suivie d’une rencontre avec le réalisateur.

    Cinémas, musées, théâtres, salles de sport restent fermés... Comprenez-vous cette décision ? 

    Jeudi 25 : « Femmes de la terre » 

    Épouses d’agriculteurs, le labeur quotidien des épouses d’agriculteurs n’est guère reconnu comme en témoignent les films présentés. Entre tâches ménagères, gestion des enfants, alimentation et traite des animaux, l’agricultrice revendique son statut d’exploitante à part entière, dans un contexte productiviste et essentiellement masculin. En contrechamp, le regard et la vie d’Anjela Duval, agricultrice et poète.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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    Dans le cadre de la Journée internationale de lutte et de grève pour les droits des femmes, à l’appel du Planning familial de Douarnenez, Comité de défense de l’hôpital de Concarneau, de l’AFPS du pays de Cornouaille, de la Libre Pensée 29, de la LDH, de Solidaires 29, de la CNT 29, de la FSU 29, des Gilets jaunes, d’Ensemble Cornouaille, du PCF, de Générations Quimper et du NPA mais aussi de femmes tout simplement, appelons à organiser le dimanche 7 mars une journée de mobilisation, à 14 h 30, place Saint-Corentin où la parole sera libre.

    Suite à ce premier rassemblement, une déambulation à travers la ville sera émaillée de différentes initiatives pour rappeler que les confinements ont mis en lumière le rôle indispensable des femmes – invisibilisées en permanence –, au bon fonctionnement de la société.

    • Nous serons dans la rue pour nous élever contre l'exploitation des femmes, pour réclamer la revalorisation des métiers à prédominance féminine et de réelles hausses de salaires !

    • Nous serons dans la rue pour nous élever contre notre exploitation, pour l’égalité salariale femmes-hommes et revendiquer un réel partage des tâches domestiques !

    • Nous serons dans la rue pour réclamer des logements décents et accessibles à toutes et tous, des services publics accessibles à toutes sur l’ensemble du territoire et sans conditions !

    • Nous serons dans la rue pour dénoncer les discriminations, de genre, de classe, de race, aggravées pour certain·es, par les lesbo, bi, transphobies.

    • Nous serons dans la rue pour lutter contre les violences sexuelle, raciste et institutionnelle faites aux femmes migrantes, contre leur exploitation, pour réclamer la liberté de mouvement à travers les frontières et pour un permis de séjour illimité et sans conditions !

    • Nous serons dans la rue pour exiger que l’accès à l’avortement soit possible partout et même pendant le confinement, pour que le délai légal soit étendu au-delà de 12 semaines.

    • Nous serons dans la rue pour dénoncer la double peine qui tombe sur les femmes qui osent quitter les bourreaux.

    • Nous serons dans la rue pour dénoncer les effets d’annonces de ce gouvernement qui ne sont pas suivis d’actes.

    • Nous serons dans la rue pour rappeler que nos conquis, nos droits ne sont gagnés que par nos luttes.

    Et il reste à en gagner bien d’autres.

    Et lors de cette journée internationale de convergence de toutes nos luttes, celles des femmes d’ici et d’ailleurs, nous dénoncerons les conditions de détention des femmes palestiniennes dans les geôles israéliennes mais aussi de toutes les femmes enfermées, torturées, et parfois exécutées parce qu'elles ont osé demander de simples droits comme celui de conduire ou de pouvoir choisir de porter ou non un foulard en Arabie Saoudite, en Iran ou qu'elles ont eu une relation sentimentale hors mariage comme au Maroc ... 

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  • Dans le collimateur de la justice à propos d’une impressionnante série d’ “”, l’arrogant finira-t-il prochainement sous les verrous ? Il vient en tout cas d’être condamné en première instance dans une affaire où il est accusé d’avoir trafiqué de son influence pour obtenir des informations confidentielles… dans une autre affaire où il était déjà mis en examen ! Aussitôt, la droite LR, inversant les données réelles comme elle sait si bien le faire, et dénigrant les décisions de justice au lieu d’appeler à les appliquer, hurle à la “politisation des juges”…  Ayant fait appel de ce jugement de première instance, Sarkozy bénéficie toujours de la présomption d’innocence.

    Certes, il existe bien une dans ce pays comme ne le savent que trop les Gilets jaunes et autres syndicalistes de classe condamnés à la chaîne à de lourdes peines par des juges statuant en comparution immédiate… alors que les policiers auteurs d’éborgnage et d’autres exactions demeurent intouchables! 

    En réalité, ce qui serait vraiment extraordinaire, c’est qu’enfin les tripatouilleurs de l’oligarchie politico-financière qui passent régulièrement au travers des mailles des affaires les plus sanglantes (cf récemment l’affaire “Karachi”…) se retrouvent enfin en , une case infamante que Chirac, “parrain” de Sarkozy, sans parler de Balladur, a su éviter toute sa vie. Mais si c’était enfin le cas, ces accros de l’impunité d’Etat exécuteront-ils vraiment leur peine avec le commun des délinquants, comme y oblige le principe d’égalité, ou seront-ils complaisamment cantonnés dans quelque aimable quartier V.I.P. de manière à rendre leur peine, si peine il y a, quasiment symbolique?


    La liste des principales affaires judiciaires de Nicolas Sarkozy

    au 3 mars 2021

    • Affaire Sarkozy Bismuth – juge Azibert : condamné en 1ere instance à 3 ans de prison dont un ferme pour et trafic d’influence, a interjeté appel, et donc présumé innocent.
    • Compte de la campagne de 2012 ( affaire Bygmalion) : procès du 17 mars au 15 avril
    • Soupçons de financement libyen de la campagne de 2007 : mise en examen
    • Affaire de l’attentat de Karachi et des commissions des ventes d’armes au Pakistan et Arabie Saoudite, financement de la campagne de 1995 : témoin assisté
    • Affaire Réso Garantia : enquête préliminaire
    • Affaire Tapie de l’arbitrage du Crédit Lyonnais : immunité présidentielle
    • Sondages de l’Elysée : immunité présidentielle
    • Affaire Bettencourt : non lieu

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    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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