• Pour cause de grève, il n'y aura pas de vols Hop ! ce vendredi 7 avril à l'aéroport de Brest-BretagnePour cause de grève, il n'y aura pas de vols Hop ! ce vendredi 7 avril à l'aéroport de Brest-Bretagne

    par Sabine NICLOT-BARON.

    Trois syndicats du personnel de la compagnie aérienne Hop ! Air France (syndicats de personnel au sol, d’hôtesses de l’air et de stewards) appellent à la grève les vendredi 7 et samedi 8 avril. Cela aura un impact direct à l’aéroport de Brest-Bretagne, vendredi 7 avril, où tous les vols Hop ! pour Lyon et Paris sont annulés. La grève doit se poursuivre aussi samedi 8 avril.

    Les syndicats CGT, CFDT et Unsa dénoncent ce qu’ils appellent « l’échec de la fusion entre Airlinair, Britair et Regional ». Ils reprochent à la direction de tenter d’imposer des « accords collectifs low-cost en détruisant les garanties sociales et salariales », au lieu « d’harmoniser les conventions des salariés de Hop !, Lyon Maintenance, Hop Training, Airlinair, Brit’Air et de Regional ».

    Les syndicats estiment l’avenir de la compagnie menacé.

    Tous les vols Hop ! annulés

    Même si la compagnie aérienne prévoit d’assurer 85 % des vols prévus ce vendredi, premier jour de grève, l’aéroport de Brest-Bretagne est particulièrement impacté, avec 100 % des vols annulés.

    Les vols de 6 h 35, 13 h 20 et 17 h 45 vers Lyon sont annulés ainsi que le vol pour Paris-Orly de 17 h 10.

    Les vols en provenance de Lyon, à 10 h 15, 17 h 05 et 21 h 30, sont eux-aussi annulés, tout comme celui de 16 h 15, en provenance de Paris-Orly.

    Les annulations de vols du samedi 8 avril seront annoncées vendredi, dans la journée. La compagnie invite à se rapprocher des services de réservation Hop ! et Air France pour échanger gratuitement ses billets.

    Pour les Brestois, cette grève arrive au plus mauvais moment, juste au début des vacances scolaires de Pâques. Mais elle fait déjà un gagnant : Easyjet. La compagnie low-cost britannique assurera normalement son vol direct pour Lyon, ce vendredi.

    Sans surprise, il est déjà complet dans les deux sens…

    source: ouest-france.fr

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  •  Les salariés devant l’entrée du Malamok. Étaient présents à leurs côtés Marie Cariou, membre du bureau et du conseil d’administration, et Jean-Marie Becker, trésorier bénévole.

    Les salariés devant l’entrée du Malamok. Étaient présents à leurs côtés Marie Cariou, membre du bureau et du conseil d’administration, et Jean-Marie Becker, trésorier bénévole.

    par Ludovic Le Signor.

    Les salariés attendent désormais que le commissaire aux comptes convoque un conseil d’administration pour valider la cessation de paiement de la structure, annoncée vendredi.

    « 60 000 € de subventions en moins sur les deux dernières années » : Cédric Boudjema explique ainsi la difficulté de l’équation à résoudre quand, en parallèle, « on a décidé de maintenir les services à la population avec moins d’argent ».Pour éviter « l’effet ciseau » (charges en augmentation et recettes en baisse) redouté dans les perspectives financières, un licenciement et une diminution des temps d’activités périscolaires (TAP) ont tout d’abord été proposés. « Le bureau et le conseil d’administration ont refusé », dévoile le directeur.

    Un dispositif local d’accompagnement (DLA) via l’espace associatif de Quimper a été également sollicité. « À la vue des premiers rapports, certains membres du bureau ont décidé de tout stopper », poursuit Cedric Boudjema.Quant au plan de redressement ensuite proposé aux trois communes partenaires, « il a été jugé viable par la Caf, TMO (1) et la mairie de Treffiagat », insiste le directeur.Les communes du Guilvinec et Plomeur refusant la poursuite de financement exceptionnel. Pour rappel, le déficit du Malamok à fin 2016 est de 124 356 €.« Avec la subvention de 80 000 € partagée entre les trois communes et le prêt, également de 80 000 €, le plan de redressement était viable », affirme le directeur du Malamok.

    Un audit « pertinent »

    À la question « Où est l’argent », posée lundi par les élus guilvinistes et plomeurois, Cédric Boudjema répond simplement : « On a un budget d’1,1 million d’euros par an. Il sert à payer les salaires et au fonctionnement ». Quant à l’activité loisir Ty-Malamok (ALSH), « on a reçu 70 000 € du Guilvinec en janvier. C’est tout. Plomeur a voté 33 000 € mais non-versés ; et Treffiagat 34 000 € non-versés également ».Pour le personnel et la direction, il n’y avait donc pas d’autre solution que la fermeture de l’ALSH. « Mais le centre de loisirs sera ouvert ce mercredi, ainsi que la ludothèque, les espaces Jeunes et les TAP jusqu’à vendredi. Car ces activités n’engendrent pas de frais supplémentaires », assure Danièle Dubois, salariée et déléguée du personnel FSU.

    Direction et salariés regrettent aussi le manque de communication de TMO sur les résultats de l’audit. « Pourtant, cet audit est pertinent, il n’a pas été fait à charge », reconnaît Cédric Boudjema, qui conclut à une co-responsabilité élus-Malamok dans la situation actuelle : « On prend acte du sur-encadrement, mais le projet était sous-financé ». Et de pointer aussi un problème de gouvernance au sein du bureau : « Quatre présidents durant les trois derniers exercices… »Désormais, le commissaire aux comptes devra convoquer un conseil d’administration pour valider la cessation de paiement. Puis, le tribunal de grande instance décidera : soit une mise en redressement judiciaire, ou directement une liquidation, ce qui paraît le plus probable.« Le Malamok, c’est 16 équivalents temps plein et, en cas de redressement ou liquidation judiciaire, ce serait 21 licenciements économiques et 12 CDD qui ne seraient pas honorés », assure Danièle Dubois. Chiffres auxquels s’ajoutent une dizaine de prestataires extérieurs.Le Malamok, c’est aussi 1 100 adhérents pour l’ensemble de la structure dont 600 adhérents dans le cadre des activités et des cours. « En cas de liquidation, c’est toute la vie associative locale qui va en pâtir », déplore Danièle Dubois. Pour expliquer à la population les conséquences d’une fermeture du Malamok, une rencontre d’information est organisée, samedi 8 avril, à 10 h 30, sur place.

    (1) L’entreprise en charge de l’audit commandé fin décembre.

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    Ni la sortie de l’UE, ni la sortie de l’ ni la sortie de l’OTAN ne sont au programme du Front National. Marine ne cesse d’ailleurs de lancer des appels du pied rassurant auprès des multinationales, elle qui s’est rendue auprès du MEDEF pour faire approuver son programme par le grand patronat, pour bien faire savoir que derrière la rhétorique euro critique du , son programme est surtout que rien ne change. Voici ce que par exemple la candidate du a déclaré sur les ondes de RMC il y a quelques jours

    « Ce que je souhaite, c’est que (l’) se transforme. Je ne souhaite pas le chaos » – Marine Le Pen – RMC

    Et pour ceux qui douterait, l’économiste en chef du Front National Bernard Monot clarifie la situation en déclarant

     « Nous sommes très interrogés sur l’euro. Nous rappelons que nous réclamons la tenue d’un sommet européen pour obtenir un statut dérogatoire à la France. Pas question de claquer la porte comme le fait Theresa May avec le Brexit. Nous sommes très attentifs à la stabilité monétaire et financière.  Les banquiers arrivent avec une vision caricaturale et repartent très étonnés.  Nous voulons négocier,  pas spolier. Je suis un homme de marchés  ».Le Monde mardi 21 mars 2017.

    Donc oui le FN ne sortira ni de l’OTAN, ni de l’UE, ni de l’Euro. Cela ne figure pas dans son programme, à l’inverse d’une ribambelle de mesures reprises directement des cahiers de revendications du MEDEF ! Hamon, Fillon, Le Pen, Macron, même combat, servir les patrons, écraser les travailleurs pour que l’oligarchie s’en mette plein les coffres en faisant les poches des ouvriers.

    Ce n’est pas une nouveauté, il n’a jamais été pour,  lui qui par exemple n’a pas voté contre l’Acte Unique, contrairement aux communistes. La nouveauté c’est que désormais Marine Le Pen revendique ouvertement ne pas vouloir sortir de l’euro.

    sarko le pen fn, LR UMPEN, brun bonnet

    A l’issue d’un séminaire rassemblant les dirigeants du au début du mois de février 2016, le sénateur maire FN de Fréjus David Rachiline précise qu’il est « faux » de dire que « le FN veut sortir brutalement de l’euro » ajoutant que l’objectif du FN est de « discuter, négocier ». Florian Philippot lui déclare que « ’il faut déminer comme fausses idées qu’ont les gens en tête sur le Front ».

    Bref, une fois de plus, les faits donnent raison aux qui peut se targuer d’avoir vu juste depuis des années :

    •   Le FN n’a jamais sincèrement voulu sortir de l’UE et de l’euro :

      si l’on consulte son site et son programme officiel, on constate que le FN prône seulement « la sortie concertée de l’euro » et qu’en conséquence, ces étranges « souverainistes » soumettent la sortie française de l’euro à l’accord préalable des 18 pays de la zone euro, Allemagne en tête…  Le FN et Marine Le Pen se borne à distiller un discours aux accents eurocritiques sans jamais appeler à la sortie de l’euro et de l’Union Européenne. Cette duplicité est diamétralement opposée à la franchise prolétarienne du PRCF qui vient, avec d’autres, de lancer un appel-pétition exigeant un référendum « pour permettre au peuple français de dire non à l’euro et à l’UE » (que chacun peut signer en ligne)

    • le FN s’inscrit à 100% dans la tradition ANTIpatriotique de l’extrême droite : des Emigrés de Coblence combattant la Révolution française dans les rangs de la coalition monarchique européenne à Pétain « collaborant » avec Hitler, en passant par Thiers (qui s’acoquina avec Bismarck pour mater l’insurrection patriotique ET internationaliste des Communards), la réaction a toujours trahi la France alors que les classes populaires ont toujours défendu la patrie. Du reste,l’euro-groupe parlementaire du FN intègre le Vlaams Belang, qui revendique le rattachement de Lille et Dunkerque à une future « Flandre indépendante » dont le mot d’ordre antifrançais, anti-belge et anti-wallon est « ras français, foutez le camp ! ». Drôle de façon d’aimer la France !
    • Mme Le Pen a fait un nouveau pas vers la consolidation de la future UM’ Pen sous sa houlette, après avoir constaté le semi-echec de son parti aux élections régionales. ! La réalité est que Mme Le Pen « tend la main » au MEDEF et à la droite sarkozyste et qu’elle veut rassurer la grande bourgeoisie sur la future fiabilité européenne du FN. Déjà Louis Alliot avait annoncé que Mme Le Pen accepterait, s’il le fallait, de devenir Premier ministre de cohabitation sous la présidence de Hollande et que dans cette hypothèse, elle remettrait à plus tard ses critiques sur l’euro, l’essentiel étant de « reprendre en main » le pays (avis aux amateurs !). Sur cette lancée, et sans être Nostradamus on peut s’attendre (comme nous l’avions dès longtemps envisagé) à ce que, si Mme Le Pen figure au second tour des présidentielles, elle mettra totalement en sourdine son bavardage « eurosceptique » pour obtenir les voix UMP et surtout, la bénédiction du grand patronat pour qui un parti de gouvernement se doit d’être euro-atlantiste ! D’ailleurs, la Le Pen sait que si elle accédait à l’Élysée, elle aurait besoin pour gouverner d’une majorité de députés U.M.’ Pen pour gouverner le pays, mettre au pas le mouvement ouvrier et « reprendre en main » la jeunesse, la justice… et les quartiers populaires ! Il est ainsi significatif de voir que ce séminaire a été l’occasion pour Marine Le Pen d’acter la mise en sourdine des accents eurocritiques de son discours risquant d’effrayer le patronat, pour au contraire mettre en avant le soutien du FN « à l’entreprise ».

    Aucun travailleurs, aucun républicain, aucun patriote ne peut désormais plus s’y tromper. Et ceux qui imaginaient encore il y a peu que le FN se tournerait vers la sortie de l’euro et de l’union européenne se devraient de reconnaitre que le FN ne fait absolument pas partie de la solution mais est bien l’une des dangereuse composante du problème.

     

    source: initiative-communiste.fr

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  • Le comité des usagers et la CGT sont inquiets (OF.fr-4/04/2017)

    par Audric Guerrazzi

    Apparemment, cette présentation du tout nouvel équipement ne suffit pas à lever tous les doutes du syndicat CGT et du comité des usagers de l'hôpital, qui se disent toujours « inquiets » de la mise en place du groupement hospitalier de territoire (comprenant notamment Quimper, Douarnenez et Pont-l'Abbé).

    En cause, selon eux : « Le manque de communication précise de la part de la direction, qui nous fait craindre qu'après la chirurgie, ce soient les urgences qui finissent par disparaître de l'offre de soin. »

    Morts de la grippe

    Car si Sébastien Le Corre, le directeur, a expliqué qu'il faudrait embaucher six équivalents temps-plein pour compenser le passage à 39 heures des médecins urgentistes, Marceline Séverac, secrétaire générale de la CGT, se demande « comment on va pouvoir attirer ces urgentistes si on lui ôte petit à petit toute attractivité ».

    Yves Jardin, du comité des usagers, craint que cet argument, l'impossibilité de recruter, ne serve à terme à justifier la fermeture des urgences, voire de l'hôpital : « Comment feront les habitants de Plogoff ou de Crozon : ils ne se soigneront plus, ou moins. »

    Marceline Séverac pointe le risque de saturation que ces fermetures progressives font courir lors des épidémies, comme lors de la grippe de cet hiver : « Nous pensons, à la CGT, que des gens sont morts de la grippe par défaut de prise en charge »,assène-t-elle même, la mine grave.

    Et elle déplore que, durant l'été 2017, « il soit prévu de fermer huit lits, simplement pour diminuer le recours à l'intérim et faire des économies ».

    Logique comptable insupportable, pour Yves Jardin, qui diffusera bientôt un questionnaire élaboré par le comité pour tenter d'évaluer les besoins de la population.

    source: ouest-france.fr

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  • L'avenir du bureau de La Poste de la commune est bien sombre. Les élus appellent à une mobilisation le samedi 8

    Refusant la fermeture programmée du bureau de La Poste, à l'été, les élus lancent une pétition et appellent à un rassemblement.

    La fermeture du bureau communal de La Poste, annoncée en conseil municipal le 23 mars, entraîne une vive réaction de l'ensemble des élus du conseil municipal : « Nous lançons, dès aujourd'hui une pétition, en mairie, relaie Pascal Prigent, adjoint en charge du dossier. La population est invitée à venir la signer, et ce jusqu'au 30 avril. »

    Le conseil invite tous les usagers du service à une manifestation devant La Poste, le samedi 8, à 10 h. « Nous remettrons le texte de la pétition au personnel présent », poursuit Pascal Prigent. Les élus de Pont-de-Buis, chef-lieu de canton de 4 000 habitants, demandent « avec force, le maintien du service actuel de La Poste ».

    Un projet planifié en plusieurs étapes, dénonce l'élu.

    Depuis 2011

    2011 a marqué la première étape du plan de la restructuration : ouverture réduite à cinq matinées par semaine. « Très vite, des fermetures inopinées et cavalières ont fragilisé un service déjà très réduit. »

    Une pétition de 4 000 signatures et une manifestation importante n'ont pas infléchi la tendance. « Bien au contraire, poursuit l'élu. La Poste a poursuivi et conforté l'érosion du service, le rendant moins accessible et peu attractif à l'usager. »

    En 2016, nouvelle étape avec le départ des facteurs et du courrier à Pleyben. « Un déménagement effectué dans des conditions inacceptables pour le personnel. »

    Aujourd'hui, étape ultime de ce plan, la fermeture du bureau actée dans deux mois. « La Poste se repose sur la municipalité pour pérenniser le service. Après la perte de la délivrance par la commune des cartes nationales d'identité, c'est un nouveau coup dur porté aux services publics de proximité. »

    Samedi 8, à 10 h, rendez-vous devant la mairie pour la manifestation.

    source: ouest-france 5/04/2017

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  • CGT Centre Hospitalier du Pays de Morlaix : « Nous irons au tribunal s'il le faut » (OF-5/04/2017)

    « C'est un plan social qui ne dit pas son nom, explique la CGT du centre hospitalier du Pays de Morlaix (CHPM). Il y a des suppressions de postes, de lits... Des contractuels qui ne sont pas renouvelés. La direction se plaint d'un problème de recrutement mais il faudrait s'interroger sur les conditions de travail et l'attractivité. Nous irons au tribunal dès qu'on pourra, à chaque fois qu'il y aura atteinte aux droits. Nous pouvons le faire, on l'a déjà fait et on le refera, la direction est prévenue. »

    C'est hier que se tenait le congrès du syndicat. Le bureau de la commission exécutive, autrement dit l'organisme directeur, a été élu : Christophe Boudrot, secrétaire ; Julie Hamon, secrétaire adjointe ; Jocelyne Urpin, secrétaire à la politique financière ; Annick Le Guern, adjointe à la politique financière ; Eric Philipponneau, secrétaire à l'organisation ; David de Peru, adjoint à l'organisation ; Françoise Morvan, secrétaire à la communication ; Madenn Gruat, adjointe à la communication.

    source: ouest-france 5/04/2017

     

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  • Finistère-FO finances publiques contre les fermetures (OF 5/04/2017)Eric Herry à gauche, Florence Javelot, secrétaire générale adjointe nationale et William Thubert, élu national, au Vieux-Bourg de Chateaulin.

    Lors de son assemblée générale, hier mardi, au Vieux-Bourg à Châteaulin, le syndicat majoritaire dans les Finances publiques s'est élevé contre les diminutions d'emplois, « 30 par an depuis 2009, selon Éric Guerry, secrétaire départemental FO 29. En 10 ans, plus d'une dizaine de trésoreries ont fermé. Un nouveau plan de réduction d'horaires est en marche, notamment à Brest-Duquesne, deux après-midi par semaine. »

    Pour Force Ouvrière, « Internet n'est pas accessible à tous, surtout les sites des impôts. Cela pénalise les populations fragilisées. » FO a participé avec les autres syndicats au boycott du comité technique le 3 janvier, mais pas en mars. « Nous ne sommes pas pour un boycott systématique. Il faut se confronter à la direction, qu'elle sache ce que l'on pense. » Dans le département, 1200 agents travaillent aux finances publiques.

    source: ouest-france 5/04/2017

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  • Le Numéro 179 d'Initiative Communiste d'Avril 2017 est paru !Demandez-le aux militants du PRCF

    Sommaire d’ numéro 179 :

    Pages 4-7 : D’Obama à Trump : ruptures et continuité
    Pages 8-11 : La Guyane montre l’exemple – le syndicalisme de classe doit reprendre l’offensive !
    Pages 12-15 : Ensemble pour un FREXIT progressistes prenant appuis sur la dynamique de la «France Insoumise» !
    Pages 16-17 : L’«ITALEXIT» a le vent en poupe !
    Pages 18-21 : Ne laissons pas la réaction encenser Thermidor et traîner Octobre dans la boue !
    Page 22 : La C.C.-59 et le P.R.C.F. pour Mélenchon et les «Quatre Sorties» !

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