• Cimetière de Concarneau. 78e commémoration de la fusillade de Châteaubriant (LT.fr-15/10/19-19h58)André Fidelin et Christian Colimard ont également rendu hommage à Marc Bourhis.

    Les élus, le Comité du souvenir de Châteaubriant et les associations de Résistants et d’Anciens combattants se sont retrouvés, mardi, au cimetière de Concarneau, pour commémorer la mort de Pierre Guéguin, ancien maire de Concarneau, et de Marc Bourhis, instituteur à Trégunc. Le maire, André Fidelin, a déposé une gerbe sur les tombes des deux hommes qui ont été fusillés sous l’Occupation, le 22 octobre 1941. La cérémonie s’est donc tenue une semaine avant l’anniversaire et elle s’est poursuivie au lycée Pierre-Guéguin, en présence des élèves. Pour Christian Colimard, président du comité Sud-Cornouaille du Mouvement de la paix, le sens de cet hommage est « celui d’un plaidoyer pour construire cette Paix, idéal de civilisation d’avenir à laquelle [Pierre Guéguin] aspirait », a-t-il lu.

     

    Dimanche 20 octobre, un déplacement en bus sera proposé aux Concarnois pour la cérémonie qui aura lieu à Châteaubriant. Le départ se fera à 8 h place Jean-Jaurès pour un retour prévu à 19 h

    source: https://www.letelegramme.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les JRCF et le PRCF participeront - et appellent les communistes et les progressistes à participer - à l'hommage aux 27 fusillés de Chateaubriant, ce 20 octobre. D'autant plus que le Parlement européen a voté une résolution criminalisant les symboles communistes au prétexte de "lutte contre le totalitarisme". Explication avec Gilliatt de Staërck.

    Hommage à Chateaubriant en 2018 : https://www.initiative-communiste.fr/...

    La lettre d'H. Murat : https://www.youtube.com/watch?v=ghl7c...

    Sur la résolution du Parlement européen : http://jrcf.over-blog.org/2019/09/ant...

    Rejoignez les JRCF et le PRCF !

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • L’Europe nous supprime la faucille ! Et le marteau ! Nous reste plus que le maquis-par Jean-Marie BOURGET (LGS-6/10/19)

    Le Parlement de Bruxelles à mis en marche l' Europe Nouvelle et "anti totalitaire" On va décoller L'Affiche Rouge, détruire, au cimetière d'Ivry, le monument consacré à Manoukian et ses amis de la MOI, pilonner Aragon et Ferré. Après seulement nous vivrons en liberté.

    Tout bientôt, en tout cas le plus vite possible, le Palais du Luxembourg va changer de nom pour s’appeler « Espace Gérard Larcher ». Ça fait flèche. On ne m’a pas demandé mon opinion, mais j’approuve. La République Française ne peut continuer d’avoir une haute assemblée qui regroupe sa sagesse, certes sous les ors, mais dans un lieu qui évoque Rosa Luxembourg. Si la nouvelle vous étonne, pis encore que la feue place du Vieux Marché à Rouen, c’est que vous avez loupé une marche importante dans l’escalier de l’information, casse-gueule puisque sans rampe. Vous ignorez donc que le 19 septembre dernier l’élégiaque Parlement Européen, qui nous guide si justement, a voté un texte afin d’établir dès maintenant, que le communisme et le nazisme c’est pareil [Voir plus bas le texte intégral. LGS ]. Puisque je sens un moment de flottement dans les serrements de mâchoires, et que la police est occupée à tirer des LBD sur des innocents, je me glisse dans un ultime espace de liberté pour lever le doigt et dire : « Etrange que le peuple qui a empilé vingt-cinq millions de cadavres pour défaire les nazis, et nous libérer par là-même, soit mis dans le même mausolée que le monstrueux caporal et ses amis exterminateurs »... Les temps sont étranges, surprenants et l’air sent le vert de gris.

     

    Donc, Stalingrad c’était pour rire. Juste un règlement de comptes entre fachos, comme à la fac d’Assas dans le temps. Et Yalta passe à la gomme à effacer l’histoire. Mais on va aisément reconstruire. Cette fois dans le bon ordre, et Eric Zemmour et ses amis ont un plan.

    Avant d’avancer un peu plus, je m’absente le temps de vomir en vous livrant, comme un Deliveroo, les noms des glorieux députés européens qui ont voté ce texte indigne. Une offense à la vérité, une insulte au sang versé par les martyrs « Morts pour la France ». Le corps crevé afin que 75 ans plus tard, ces chouchous de Bruxelles, aient le droit, leurs petites fesses au chaud, de voter pour leurs fantasmes.

    Groupe des Verts/Alliance libre européenne :
    Gwendoline DELBOS-CORFIELD
    Benoît BITEAU
    François ALFONSI

    Groupe de l’alliance progressiste des socialistes et démocrates (PS et Place publique) :
    Pierre LARROUTUROU
    Aurore LALUCQ
    Sylvie GUILLAUME
    Raphaël GLUCKSMANN

    Groupe Renouveler l’Europe (LREM et alliés) :
    Stéphanie YON-COURTIN
    Chrysoula ZACHAROPOULOU
    Professor Véronique TRILLET-LENOIR
    Stéphane SÉJOURNÉ
    Dominique RIQUET
    Fabienne KELLER
    Valerie HAYER
    Bernard GUETTA
    Pascal DURAND
    Jérémy DECERLE
    Pascal CANFIN
    Sylvie BRUNET
    Stéphane BIJOUX
    Marie-Pierre VEDRENNE
    Irène TOLLERET
    Nathalie LOISEAU
    Pierre KARLESKIND
    Christophe GRUDLER
    Laurence FARRENG
    Gilles BOYER

    Groupe du Parti populaire européen (LR) :
    Nadine MORANO
    Brice HORTEFEUX
    Agnès EVREN
    Geoffroy DIDIER
    Arnaud DANJEAN
    François-Xavier BELLAMY
    Anne SANDER
    Nathalie COLIN-OESTERLÉ

    Groupe Identité et démocratie (RN et alliés) :
    André ROUGÉ
    Maxette PIRBAKAS
    Philippe OLIVIER
    Thierry MARIANI
    Julie LECHANTEUX
    Gilles LEBRETON
    Jean-François JALKH
    France JAMET
    Catherine GRISET
    Gilbert COLLARD
    Dominique BILDE
    Aurelia BEIGNEUX
    Nicolas BAY
    Jordan BARDELLA
    Mathilde ANDROUËT
    Jérôme RIVIÈRE
    Hélène LAPORTE
    Virginie JORON
    Annika BRUNA

    Et la poignée de salopards anti démocratie et Droits de l’Hommes qui a voté contre est.....

    Groupe de la GUE-NGL (France Insoumise) :
    Manon AUBRY
    Emmanuel MAUREL
    Younous OMARJEE
    Anne-Sophie PELLETIER

    Dans ce car de police de l’histoire, notons en particulier les menottés à tête de gondole les plus médiatiques : Guetta, de LREM et Glucksmann, de P... Publique. Avec l’airain de leur conviction on doit pouvoir fabriquer la fusée qui va lancer le « Nouveau monde » et nous permettre de crier, enfin libres : « good bye Lénine ». Je ne vais pas vous ouvrir la porte de ma sacristie mais un peu quand même. Il se trouve que, quatre fois par an, mon père et ma mère très gaullistes, façon « résistance » me trainaient le dimanche dans un lieu auquel je ne comprenais rien. L’avantage étant d’échapper aux vêpres. C’était un large trou dans le sable et la terre, mon père parlait d’une « carrière », pourtant un gazon poussait au fond. Au milieu il y avait un monument étrange, des hommes tout nus collés dans le même bloc de pierre, et la tête dressée au ciel. C’était à Châteaubriant, à une heure en « Simca 5 » de la maison. Dès la première fois, j’ai compris qu’il s’agissait d’une affaire triste. Et héroïque. D’hommes qui avaient « donné leur vie », expliquait ma mère. Quelquefois nous allions sur une rive de l’étang de la Blisière, où des troncs d’arbre portaient encore les traces laissées par les balles après qu’elles eussent percé la poitrine d’autres héros que je ne connaissais pas. J’étais attaché à ce culte. Et j’y suis toujours.

    Ce n’est que près de vingt ans plus tard que j’ai découvert que mes parents, des cathos +, et conservateurs, me proposaient depuis l’enfance de pleurer sur des communistes fusillés. Mon père disait « Dans le lot il y avait un enfant, juste un peu plus vieux que toi ». Ce qui ne me touchait guère puisque la mort fait partie de la jeunesse. C’est tous ces fusillés, ensemble, que j’aimais bien. En bloc, comme la statue. J’ai demandé à mon père qui abhorrait les rouges, la raison de ce pèlerinage à la carrière ? « Il faut prier pour eux, les tenir en exemples, puisque ce sont des frères ».

    Voilà des réalités. Trop vastes pour franchir le paillasson du cerveau d’un Glucksmann ou d’un Guetta. Pour lesquels il n’y a de bon rouge que mort. Dans la putritude du texte voté à Bruxelles, signalons les plus jolies perles du collier.

    Il y va de "l’importance de la mémoire européenne pour l’avenir de l’Europe" , et que pour cette dernière vive, le Parlement rappelle "que les régimes communiste et nazi sont responsables de massacres, de génocide, de déportations, de pertes en vies humaines et de privations de liberté d’une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité, qui auront à jamais marqué le XXe siècle". Les parlementaires condamnent "sans réserve les actes d’agression, les crimes contre l’humanité et les atteintes aux droits de l’homme à grande échelle perpétrés par les régimes totalitaires nazis, communistes et autres." Avec ce petit mot lâché dans la hâte de l’écrivain à sec, « autres », le Parlement aurait dû être plus prudent. Imaginez que les Palestiniens, les Yéménites (et « autres »), s’en viennent demander à l’Europe d’appliquer ses principes. Pauvre Guetta, pauvre Glucksmann, pauvre misère.

    En bonne forme, en attendant pour bientôt les premières vacances de ski, le Parlement s’est lancé sur une autre piste, et "condamne toute démonstration et toute propagation d’idéologies totalitaires, telles que le nazisme et le stalinisme, dans l’Union européenne" et se dit “préoccupé par le fait que des symboles de régimes totalitaires continuent à être utilisés dans les espaces publics et à des fins commerciales, tout en rappelant qu’un certain nombre de pays européens ont interdit l’utilisation de symboles nazis et communistes."

    La seconde cartouche de ce fusil à deux coups sera donc de nous interdire de revêtir un maillot orné du « Che », ou d’une faucille et d’un marteau. Là on peut éventuellement approuver, le marteau étant un outil de raisonnement très prisé au Parlement européen, faut pas partager. Le flou de ce texte, qui va certainement prendre du poids et de jolies cotes, est aujourd’hui gênant. Marx était-il coco ? Et Engels ? Nos amis du Parlement vont-ils embarquer Lénine au poste ? Et Louise Michel ? On en fait quoi ? Ça va être beaucoup de travail à faire, bien capable de provoquer des ampoules au cerveau. Surtout en cette période où les Urgences ne le sont plus. Et les peines encourues ? La prison ou, pire, réciter un vieil article de Guetta ? Faut travailler les gars. Bientôt je dois retourner à la carrière, puisque mes aînés n’y seront plus... Je veux savoir ce que je risque ? Faut-il prendre le maquis ? Face au poids de ce dossier nul ne peut affirmer que nos députés ne font rien : ils pompent.
    Préparons-nous aussi au nouveau plan du Métro parisien. Qui va nous désorienter. Bien sûr la station Stalingrad disparait. Mais il y a plein d’autres stops où des salopards cocos (si vous me permettez le pléonasme), ont laissé leurs noms. Bon, ils ont été fusillés par les Allemands. Oui, certes, mais si l’on replace l’évènement dans le cadre de temps, celui du grand match nazis contre communistes, on ne va pas en faire une histoire. Torturés, souvent ! Et alors je te torture, tu me tortures, on se torture. C’est ça le totalitarisme comme on l’aime.

    Un petit pense-bête que vous lirez dans le panier à salade en allant vers la Santé. Le CNR, fini, les FTP, finis, l’Affiche Rouge, décollée et Aragon et Ferré à Guantanamo. Les Vaillant Couturier, Rol Tanguy, le colonel Fabien, Raymond Losserand, Léon Frot, Gaston Carré, Ambroise Croizat, Corentin Celton, Charles Michels, Corentin Cariou, Gabriel Péri, Frédéric Joliot Curie, Pablo Picasso. Cette liste rouge annonce une embellie pour les marchands de pancartes et le commerce des plans de Métro. Et j’allais oublier cette ordure d’Eluard, une vipère lubrique qui a tenté de nous enseigner : « Il ne faut pas de tout pour faire un monde ». Quel salaud !

    Jacques-Marie BOURGET

    PS. Pardon si, trainant dans un coin de cercueil, j’ai oublié un vieux coco fusillé, le futur « Commissariat Européen aux Affaires Communistes » va s’en occuper.
     

    [Le texte voté-http://www.europarl.europa.eu/doceo/document/TA-9-2019-0021_FR.html

    Léo Ferré chante : L’affiche rouge- l’armée du crime

     


     
    source:  https://www.legrandsoir.info/l-europe-nous-supprime-la-faucille-et-le-marteau-nous-reste-plus-que-le-maquis.html
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    Le lundi 7 octobre 2019, de 20h30 à 21h30 sera diffusé, sur la chaîne parlementaire LCP/AN, Public Sénat, canal 13 (107 sur canal Sat), le documentaire « La tondue de Chartres », conforme à la vision horrifiante de « l’ sauvage » déferlant à la Libération sur une France « à feu et à sang ».

    Il sera suivi, de 21h30 à 22 h, d’un débat, dit «  », sur l’épuration ‑‑ ou sur la non-épuration ‑‑ dirigé par , auxquels participeront les historiens Alya AglanAnnie Lacroix-Riz et Fabrice Virgili.

    Rediffusion : dimanche 13 octobre 2019 à 19h00 ; mardi 15 octobre 2019 à 01h30.

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

    Programme :

    Samedi 19 octobre 2019
    -10h30 Hommage devant la Stèle du site du camp de Choisel

    -11h00 Hommage dans la cour du Château de Châteaubriant, où furent entreposés les corps  des fusillés

     -14h00 Inauguration d’une plaque en souvenir des trois fusillés inhumés au cimetière de Saint Aubin des Châteaux

     -16h30 Inauguration de l’exposition temporaire au Musée avec les Amis du Musée de Châteaubriant

     

    Dimanche 20 octobre 2019

     -10h00 Hommage aux 9 fusillés du 15 décembre 1941 devant la Stèle à la Blisière

     -13h30 Rendez-vous au rond-point Fernand Grenier pour un hommage puis départ du cortège

     -14h00 Rendez-vous à la carrière avec les officiels

     -14h30 Cérémonie officielle : sous la présidence d’Odette Nilès, présidente de l’Amicale, et d’Alain Hunault, maire de Châteaubriant, en présence de Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT et des Comités de l’Amicale.

     -15h00 Présentation des classes qui ont collecté les terres pour le projet pédagogique de restauration des alvéoles du monument

     -15h30 Évocation théâtrale « Ils défendaient la vie » préparée avec les Tréteaux de France, Centre dramatique national, et les élèves de CM1 et CM2 de l’école Lucie Aubrac de Saint Vincent des Landes ainsi que leurs enseignants.
    Mise en scène de Solenn Goix, comédienne.
    Texte écrit par Evelyne Loew. Son : EUROLIVE

     -16h30 Remerciements et fin de la cérémonie

     

    Entrée libre
    Suivez-nous sur Facebook : Amicale de Châteaubriant

    Site : https://www.amicaledechateaubriant.fr/
    Contact : sg.amicale.chateaubriant@gmail.com

    Dans l’après-midi : dédicace de la Bande Dessinée « Immortels ! » proposée par le Comité Départemental du Souvenir en présence de la dessinatrice Camille Ledigarcher au stand de la littérature.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Concarneau. L’hommage géant des gilets jaunes à « Johnny » (LT.fr-18/08/19-20h18)Plus de 250 Gilets jaunes ont fait la ronde au giratoire de la Boissière, pour rendre hommage à Johnny, ce dimanche.

    Plus de 250 gilets jaunes ont rendu hommage à Johnny, de son vrai nom Bernard Lucas, ce dimanche, sur le rond-point de la Boissière.

    Alors que la ville était en bleu et que la musique bretonne y était reine, en ce dimanche après-midi, le rond-point de la Boissière était quant à lui jaune, et c’est la voix de Johnny Hallyday qui résonnait. Car les gilets jaunes de Concarneau avaient décidé de rendre hommage à l’un des leurs, Bernard Lucas, décédé jeudi à l’âge de 69 ans. Un militant plus connu, depuis de très nombreuses années, sous le surnom de Johnny, en tant que grand fan du chanteur.

     
    À lire:

    Bernard Lucas est parti rejoindre Johnny

    Johnny et sa voiture allument le feu

     

    De tout le Finistère et du Morbihan

    Et au total, de nombreux comités des gilets jaunes, venant de tout le Finistère, mais aussi du Morbihan, ont répondu à l’appel. Car comme le rappelait vendredi Claude, un de ses amis et compagnons de lutte, « à Châteaulin, Quimperlé, Quimper, Landerneau, Johnny était de toutes les manifs ».

    Pas de manif, ni de revendication, cette fois, à la Boissière. Mais une très longue minute de silence. Des concerts de klaxons aussi, offerts par les automobilistes empruntant le giratoire. La musique de l’idole des jeunes également, poussée à fond, comme l’aurait fait Bernard Lucas, lorsqu’il était au volant de sa voiture. Et enfin une immense ronde, tout autour du rond-point, en guise d’adieu.

    source: https://www.letelegramme.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Concarneau. Une ronde autour du rond-point pour « Johnny », le Gilet jaune (OF.fr-18/08/19-20h18)Plus de 250 Gilets jaunes ont rendu hommage, dimanche après-midi, à « Johnny », alias Bernard Lucas, l’un des leurs, disparu jeudi.

    Plus de 250 Gilets jaunes ont rendu hommage dimanche après-midi à Bernard Lucas, alias « Johnny », l’un des leurs, disparu jeudi à Concarneau.

    C’est sur les paroles de Johnny Hallyday Un jour l’amour te trouvera que les amis de « Johnny » le Concarnois, alias Bernard Lucas se sont retrouvés dimanche après-midi au QG de La Boissière, à Concarneau.

    Plus de 250 personnes, vêtues de jaune pour la plupart ont rendu un hommage à leur camarade disparu jeudi. Un moment émouvant pour lui dire « Kenavo Johnny et bon vent ».

    Avec une très longue minute de recueillement dans le silence aux sons des voitures empruntant la bretelle d’accès nord à Concarneau.

    Johnny, alias Bernard Lucas, une figure de Concarneau et des Gilets jaunes, s'en est allé. 

    Et une ronde main dans la main autour du rond-point de La Boissière qui aurait bien plus à « Johnny », Gilet jaune de la première heure. À coups de klaxon aussi, les conducteurs ont salué à leur manière l’une des figures locales de Concarneau, qui parcourait les rues de la ville dans sa Ford Ascona verte déversant à plein volume les chansons de Johnny, son idole.

    source: https://www.ouest-france.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • ARTE
    Ajoutée le 17 juil. 2019

     

    [Disponible jusqu'au 13 août 2019]
    Dédiée au leader de l’ANC Nelson Mandela, à l’époque emprisonné depuis 24 ans, "Asimbonanga" est une de ces rares chansons qui font l’histoire. Portrait de son auteur et chanteur récemment décédé, Johnny Clegg, qui fit de la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud un combat. Les chansons qui font l’histoire sont rares. "Asimbonanga" en fait partie. Elle a propulsé Savuka, le groupe du chanteur et danseur Johnny Clegg, en tête des ventes de disques en 1987, avant de s'imposer en hymne de la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud. Dédiée au leader de l’ANC Nelson Mandela, à l’époque emprisonné depuis vingt-quatre ans, la chanson du "Zoulou blanc" marque un jalon dans la trajectoire d’un artiste qui a passé sa jeunesse à braver la censure. Confession intime Alors qu’il avait jusqu’ici refusé tout projet de documentaire sur sa vie, Johnny Clegg a accepté de se laisser filmer par Amine Mestari, chez lui à Johannesburg. Âgé de 65 ans et se sachant condamné à brève échéance par un cancer incurable, la star a souhaité revenir sur son enfance, sa jeunesse et sa carrière. Particulièrement émouvant, ce portrait entremêle confessions intimes d’un homme affaibli mais au regard toujours pétillant, témoignages de ses compagnons de route, à l’instar de Sipho Mchunu, avec lequel il fonda son premier groupe, Juluka, images de la vie quotidienne sous l’apartheid et extraits de concerts d’un artiste engagé, dont on sait moins qu’il est aussi anthropologue et grand spécialiste... des Zoulous.
     
    Johnny Clegg, le Zoulou blanc Documentaire d'Amine Mestari (France, 2018, 53mn)

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique