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  • Ce 19 mai, c’est le 130 anniversaire de Hô Chi Minh : le père de l’indépendance du Vietnam Socialiste. IC vous propose de revenir dans un dossier spécial sur l’histoire du révolutionnaire vietnamien, figure de la décolonisation et de l’une des plus grandes victoires contre l’impérialisme. Souvenons nous qu’Hô Chi Minh a été l’un des fondateurs en 1920 il y a bientôt 100 ans du Parti Communiste Français, lui qui a ensuite écrit pour l’Humanité.

     

    Lire la suite du dossier sur : https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Face aux menaces de l'OTAN, le 14 mai 1955 est signé le Pacte de Varsovie

     

    Alors que l'Union soviétique doit faire face à l'agressivité du bloc impérialiste occidental, le 14 mai 1955 est signé le Pacte de Varsovie, qui crée une alliance militaire entre (presque tous) les pays socialistes d'Europe et l'URSS.

    La situation internationale de l'URSS est assez compliquée après la mort de Staline (1953). Il y a une guerre froide, des conflits locaux (en Corée, en Indochine) qui peuvent dégénérer en une nouvelle guerre mondiale, et le camp occidental qui s'organise en 1949 au sein de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN). Le bloc occidental entend coûte que coûte contenir le communisme.

    L'Union soviétique avait très justement peur que le continent européen devienne un champ de bataille. La plus grande préoccupation concernait les plans de remilitarisation de l'Allemagne de l'Ouest et son intégration dans le bloc de l'OTAN.

    Malgré l'opposition de l'URSS, en 1954, des accords sont signés à Paris entre les puissances occidentales et la RFA. L'Allemagne de l'Ouest obtient le droit de reconstituer ses forces armées et est admise dans l'OTAN. Une violation des accords de Potsdam de 1945.

    La réponse soviétique est venue avec un traité d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle entre la Bulgarie, la Hongrie, la République démocratique allemande, la Pologne, la Roumanie, l'URSS, la Tchécoslovaquie et l'Albanie (quitte le pacte en 1968), est signé le 14 mai 1955 à Varsovie.

    Les pays qui ont conclu le traité se sont engagés "en cas d'attaque contre l'un d'eux à fournir une assistance immédiate par tous les moyens nécessaires, y compris le recours à la force armée". Sur la base de l'accord signé à Varsovie, l'Organisation du Traité de Varsovie (ATS) a été créée pour coordonner une politique de défense commune. Au sein de l'ATS, il y avait le commandement conjoint des forces armées et le comité consultatif politique.

    Le premier commandant en chef fut le maréchal Koniev.
     
    Nicolas MAURY  

     

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  • Fille de communiste et épouse d’Henri , Cécile  vient de mourir à un âge avancé.

    Elle était d’emblée entrée dans la  clandestine, comme la plupart des cadres révolutionnaires du  qui s’étaient portés au secours de l’Espagne républicaine abandonnée par Blum et qui, sans renier, à juste raison, l’Union soviétique lors du pacte de non-agression Molotov/Ribbentrop, avaient refusé d’abandonner le  interdit et la République française quand la SFIO et d’autres forces de collaboration eurent voté les pleins pouvoirs à Pétain… et exigé la peine de mort pour les communistes…

    C’est ensemble que les communistes qui entouraient Rol lors de l’insurrection parisienne de 1944, durent, non seulement affronter durement les nazis, non seulement libérer notre capitale par les seules forces des  franciliens (principalement composés de FTPF et de -MOI) appuyés par la Deuxième DB, mais aussi faire échec à toutes sortes de manœuvres: celles des Anglo-saxons, qui n’avaient cure de libérer Paris, mais aussi celles du secteur bourgeois de la Résistance qui avait négocié une trêve bien illusoire avec la Wehrmacht dans le dos des insurgés. C’est l’honneur de nos camarades d’avoir mis en échec cette ligne conciliatrice et d’avoir imposé la voie victorieuse de l’insurrection et de la  par lui-même.

    C’est en ce sens que Rol-Tanguy et ses camarades, aux premiers rangs desquels figurait son épouse Cécile, laquelle a toujours souligné le rôle des femmes dans la Résistance, restent à jamais des figures de proue du mouvement ouvrier, du parti communiste et de la Libération nationale.

    Par la suite, Rol et son épouse choisirent de soutenir le tournant révisionniste de 1976, notamment l’abandon du marxisme-léninisme et de la dictature du prolétariat. Cela ne pouvait que les opposer, hélas, aux camarades, anciens Résistants ou fils de Résistants, qui allaient fonder par la suite le PRCF. L’expérience allait vite montrer que la ” mutation” du PCF n’apporterait pas le renouveau du parti, mais sa dénaturation politique et son effondrement électoral…

    Cet épisode politique ne retire rien à l’apport majeur de Cécile et d’Henri Rol-Tanguy à la libération de notre pays et ne montre que plus crûment l’ostracisme révoltant dont est victime, aujourd’hui encore, la Résistance communiste en termes de reconnaissance par la France institutionnelle. Il suffit d’observer que, pas plus que les grands Robespierre et Saint-Just, qui fondèrent la République française, aucun Résistant communiste, aucun ministre communiste de 1945, n’ont jamais été proposés par un président de la République pour figurer au Panthéon de la patrie…

    Honneur à Cécile et à Henri Rol-Tanguy, leur combat pour l’émancipation nationale et sociale continue.

    Léon Landini, Pierre Pranchere, Jean-Pierre Hemmen, Georges Gastaud.

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

     

     

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  • #Vendredi 8mai 2020- participez au web débat antifasciste avec Annie Lacroix-Riz à 15h.

    Ce Vendredi , à l’occasion de l’anniversaire des 75 ans de la victoire patriotique et antifasciste de l’URSS, ainsi que de ses alliés d’alors, sur l’Allemagne hitlérienne, nous recevrons en  sur la chaine YouTube du PRCF notre camarade Annie Lacroix-Riz, professeur émérite d’ contemporaine.

    L’occasion pour nous de traiter de l’ d’hier mais aussi de ses enjeux actuels.

    Vous aurez l’occasion de lui poser vos question, en vous rendant sur notre discord: 

    https://discord.gg/XFbta9

    https://www.facebook.com/events/240747143832458

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  • Le 2 mai 2014, les milices de Pravy Sektor, un groupe fasciste pro-Maidan sous les ordres du gouvernement ukrainien, firent brûler la maison des syndicats d’Odessa, tuant « officiellement » 48 personnes. Un crime qui n’a jamais fait l’objet d’une enquête par les autorités, ni sur le donneur d’ordre de cette attaque, ni sur les causes réelles de la mort de plusieurs des victimes, ni encore sur la lenteur des interventions policières lors du drame.

    Six ans après, la situation ne s’est pas améliorée en Ukraine, même avec l’élection d’un

    nouveau président, car la guerre est toujours faite aux populations du Donbass de l’est du pays, l’antisémitisme et l’anticommunisme connaissent un regain monstrueux en même temps que se développe des groupes fascistes comme le bataillon Azov, sans parler de diverses exactions menées par ces groupes contre les communistes et tous ceux qui défendent une autre opinion.

    Ce triste événement renvoie au processus de fascisation en Europe : en France, nous voyons des syndicalistes et des gilets jaunes menacés par la répression patronale et policière pour avoir dit « NON » à l’injustice, lorsqu’il ne s’agit pas de prison ferme et des mutilations infligées en manifestations. En Europe, l’anticommunisme se développe – et pas seulement en Ukraine- comme on peut le voir avec les défilés d’ancien Waffen SS dans les Etats Baltes et les tentatives d’interdictions du Parti communiste polonais. Un anticommunisme d’autant plus privilégié par la récente résolution du Parlement européen sur le totalitarisme, disant combattre d’un même élan nazisme et communisme, pour mieux criminaliser le second et redorer le blason du premier.

    Une vidéo réalisée avec l'aide des camarades du PRCF du Val-de-Marne.

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  • Le 30 avril 1975, Saïgon était libérée , le Vietnam réunifié par ses propres forcesAujourd’hui, 30 avril, marque le 45e anniversaire de la chute de  en 1975, qui a vu la défaite décisive de la plus grande intervention militaire américaine depuis la Seconde Guerre mondiale. Contraint de retirer ses dernières forces du  deux ans plus tôt, Washington a assisté impuissant à l’effondrement du régime fantoche du général Nguyen Van Thieu et de son armée sud-vietnamienne de 700 000 hommes entraînés et armés par les États-Unis, pratiquement sans combat. Les images du personnel américain fuyant la ville assiégée depuis le toit de l’ambassade US à bord d’hélicoptères ont fini par symboliser une débâcle historique pour la politique étrangère de Washington, dont les effets se font encore sentir aujourd’hui.

    Dans la guerre d’agression criminelle de Washington contre le Vietnam, une succession d’administrations – de Kennedy à Johnson et Nixon – se sont combinées pour mener une guerre génocidaire par la violence infligée à toute une population. Occupant le pays avec, à son apogée, plus de 500 000 soldats américains, l’armée américaine a largué quelque 15 millions de tonnes de munitions dans une campagne aérienne qui a vu des zones entières du pays être bombardées en tapis. En outre, plus de 20 millions de tonnes de produits chimiques toxiques ont été déversés sur le pays, transformant de grandes parties de celui-ci en un désert et laissant des millions de Vietnamiens, y compris des bébés encore nés aujourd’hui, meurtris à vie.

    Bombardement chimique à l’agent orange par l’armée américaine

    Au total, ce sont plus de 3 millions de Vietnamiens qui ont perdu la vie suite à une intervention américaine au cours de laquelle des atrocités hideuses – comme le massacre de plus de 500 villageois de My Lai où périrent femmes, nourrissons, enfants et personnes âgées – sont devenues monnaie courante. Les responsables de la planification et de la poursuite de cette guerre n’ont, bien sûr, n’a jamais été appelé à rendre des comptes.

    En cette date, le PRCF s’incline en hommage de notre camarade Etorix de Angelis, héros décoré du Vietnam, décédé il y a maintenant 5 ans.

     

     A voir également :

    Le Vietnam célèbre les 40 ans de la chute de Saïgon

    et  La chute de Saïgon: une ombre dans l'histoire militaire américaine 

    Les images ont tourné en boucle et les révélations troublantes se sont poursuivies pendant des années. 40 ans après la fin de la guerre du Vietnam, les souvenirs demeurent bien présents et douloureux. Le document réalisé par un étudiant de l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke vient résumer en 3 minutes le déroulement des événements ayant mené à la chute de Saigon. Réalisation : Marc-Alexis Laroche Analyste en formation École de politique appliquée Université de Sherbrooke

    sources: https://www.initiative-communiste.fr/  &  https://www.youtube.com/

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  • La rue Colonel Arnaud-Beltrame remplace la rue Youenn-Drezen

    Ce changement de nom de rue a fait couler beaucoup d’encre. Début décembre, le conseil municipal adoptait une délibération visant à débaptiser la rue Youenn-Drezen en raison du passé trouble de l’écrivain/journaliste durant la Seconde Guerre mondiale. La plaque a été retirée au début du mois d’avril. Place désormais à la rue Colonel Arnaud-Beltrame, en hommage à cet officier de gendarmerie décédé lors de l’attaque terroriste du 23 mars 2018 à Trèbes (Aude). « Un héros d’aujourd’hui », avait commenté le maire, Stéphane Le Doaré, dans nos colonnes. En raison du contexte sanitaire, l’inauguration a été reportée sine die. Le premier magistrat tient toujours à organiser une cérémonie en présence de la famille du gendarme défunt.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le Dr Pierre-Augustin De Bourgues, médecin et adjoint au maire, à Recouvrance (maire de Brest par intérim), au milieu du XIXe siècle.Le Dr Pierre-Augustin De Bourgues, médecin et adjoint au maire, à Recouvrance (maire de Brest par intérim), au milieu du XIXe siècle. (Archives de Brest)

    Brest n’a, bien entendu, pas attendu l’épidémie de grippe espagnole, il y a un siècle, pour connaître une grave crise sanitaire. Au XIXe siècle par exemple, le choléra a sévi à plusieurs reprises, notamment dans les années 1830, puis la toute fin des années 1850.

    Un homme a été particulièrement loué, à l’époque, pour son action : Pierre-Augustin de Bourgues. Un nom tombé aux oubliettes. Sauf pour des gens comme Hugues Courant, des archives de Brest.

    « Lors de l’épidémie de 1832, notamment, les habitants de Recouvrance le remercient pour son action, d’autant que des médecins sont partis. Il a été membre du comité administratif de l’hôpital, président du conseil d’administration de la Caisse d’Épargne ».

    Médecin sur une frégate et fait prisonnier

    Surtout, Pierre-Augustin de Bourgues, adjoint au maire à Recouvrance, a remplacé le maire de Brest, le baron Jean-Hilaire Barchou de Penhoën, lorsque, avec son premier adjoint, il a fui après les Trois Glorieuses, ces trois jours de révolution de la fin juillet 1830. Il a occupé ce fauteuil jusqu’au 10 septembre. Il a ensuite remplacé un pharmacien de marine à la retraite, Charles Fleury, du 15 mai au 2 juillet 1839.

    « Il a également fait office de sous-préfet en son absence, plusieurs fois au cours des années 1830, en dirigeant le conseil d’arrondissement, un territoire qui correspond à peu près à celui de la sous-préfecture aujourd’hui », poursuit l’archiviste.

    Un long texte du journal L’Océan, daté du vendredi 8 février 1850, signé d’un certain J. Feillet, détaille sa vie et en dresse un éloge circonstancié, juste après sa mort. Il est précisé que de Bourgues est né le 29 décembre 1779 à Nantes, d’une famille de magistrats et de médecins. Il a embarqué sur la frégate La Gloire le 24 octobre 1803, pendant trois années, « placé dans un lieu plus ou moins exposé au feu de l’ennemi ». Il a ensuite été fait prisonnier le 26 septembre 1806 « et il passa sur les pontons deux ans et demi d’une captivité dont l’histoire a dit toutes les horreurs ».

    Il meurt en soignant à près de 70 ans

    Devenu médecin civil à Recouvrance en 1814, il a vu les habitants réclamer pour lui la croix d’honneur, après ses offices de 1832. « Cette distinction lui fut refusée, mais il en est une qui ne s’obtient que par la charité et le dévouement : c’est la reconnaissance ! », poursuit le texte.

    À l’aube de ses 70 ans, continuant à soigner le peuple de Recouvrance, « il a succombé sous l’action foudroyante de la terrible maladie qui a si cruellement éprouvé notre population », écrit J. Feillet en prenant soin, pudiquement, de ne jamais la nommer.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • La bande dessinée de Kris et Étienne Davodeau, Un homme est mort, adapté en fiction d’animation, réalisée par Olivier Cossu, est diffusée sur Tébéo ce samedi 18 avril à 20 h45 à l'occasion du 70ème anniversaire de la mort tragique d'Edouard Mazé, ouvrier du batiment de 27 ans, militant de la CGT tué par les forces de l'ordre lors d'une manifestation. La fiction raconte le combat des ouvriers brestois lors des grèves de 1950 et raconte  l'arrivée de René Vautier, un cinéaste engagé qui vient filmer les événements. 

    La fiction d’animation est librement adaptée de l’oeuvre de Kris et Étienne Davodeau. Voici le résumé de l’éditeur, Futuropolis : 

    Brest, 1950. La guerre est finie depuis cinq ans. De la ville, il ne subsiste plus rien. Des bombardements massifs et des combats acharnés de presque un mois ont anéanti la ville, son port, son arsenal. Brest est un désert. Des milliers d’ouvriers vont s’atteler à la reconstruire, pierre à pierre. Mais face aux mauvaises conditions de travail, la contestation gronde, et la grève éclate bientôt. De violents affrontements surviennent lors des manifestations. Jusqu’à ce qu’un homme tombe. 

    Le film d’animation, qui a obtenu le Prix du public au Festival international du cinéma d’animation de Meknès 2018, se concentrera sur l’histoire d’amitié, mais aussi d’amour entre P’tit Zef, un ouvrier, et Paulette, une fille de commerçant qui prend part à la lutte syndicale. Il opérera également une reconstitution de Brest en 3D, au rythme de la musique de Yan Volsy et Pablo Pico. 

    On y verra des événements réels comme la mort d’Édouard Mazé et le film de René Vautier rythmé par le poème de Paul Eluard, Gabriel Péri. Grâce à un cinéma ambulant, Vautier a parcouru la Bretagne pour montrer ce témoignage du combat et de la solidarité des ouvriers. La seule pellicule de ce film a malencontreusement été détruite. Les mots du poète, « Un homme est mort qui n’avait pour défense que ses bras ouverts à la vie », prennent dans ce contexte une dimension bouleversante. 

    « Je trouvais qu’il y avait quelque chose de judicieux dans le fait de ramener cette histoire vers une forme animée. Kris, qui a initié le projet de la bande dessinée et l’a écrite avec moi, partageait cette idée. Après avoir remis à la lumière le film de René Vautier en bande dessinée, l’idée de le voir revenir à l’écran qui est son support originel, par le dessin, c’est magnifique, comme une évidence qui assume et valide les formes successives de ce récit » explique Étienne Davodeau qui a réalisé l’univers graphique du film tandis que Kris participait au scénario et à l’adaptation. 

    « Gabriel Péri, le poème de Paul Eluard, lu et réinterprété par René Vautier lors des projections de son film sur ces événements de 1950, nous permet de ne jamais oublier le combat de ces hommes luttant contre l’injustice, parfois au péril de leur vie. On aime les villes qui n’ont pas à dire qui elles sont ni d’où elles viennent. Brest n’a pas ce luxe mais a su se relever alors qu’elle avait été mise plus bas que terre, tout comme ses habitants et ses travailleurs » complète Olivier Cossu.

    Le film est coproduit par Arte, Les Amateurs et Vivement Lundi. Merci à Tébéo pour cette initiative.

     

    source: https://www.tebeo.bzh/replay/

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