• Brest. Une manifestation intersyndicale ce mardi 5 octobre. ( OF.fr - 01/10/21 - 18h49 )              Lors d’une précédente manifestation intersyndicale à Brest, en septembre 2020

    Un rassemblement aura lieu mardi 5 octobre 2021 place de la Liberté, à Brest (Finistère), dans le cadre d’un mouvement social national.

    Plusieurs organisations syndicales locales, dont la CGT, FSU, Sud Solidaires et l’Union nationale lycéenne, appellent à la grève et à la manifestation ce mardi 5 octobre 2021 à Brest (Finistère). Ils s’inscrivent dans le cadre d’un mouvement national.

    « Salaires, protection sociale, droit du travail : les derniers mois du quinquennat n’augurent rien de bon pour les salariés et en particulier pour les plus fragiles », regrettent-ils dans un communiqué. Le rassemblement aura lieu à 11 h place de la Liberté. Ce mouvement social perturbera notamment les établissements municipaux de petite enfance et gestion des activités périscolaires.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Cette semaine, nouveau point concernant l’actualité du syndicat CGT du CHRU Brest Thomas va vous parler de la lutte des psychologues et plus globalement du sort de la psychiatrie dans l’établissement. Dans l’actualité, ce sont toujours les sages-femmes et aujourd’hui la journée d’action des retraités. Bien évidemment, la suite c’est aussi la journée d’action interprofessionnelle du 5 octobre et pour finir, nous rendrons hommage à notre camarade Jean-François disparu hier….

    Source : https://www.facebook.com

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  • Ils étaient près de 200 à Brest à défendre leurs intérêts, ce vendredi, dans les rues de Brest.Ils étaient près de 200 à Brest à défendre leurs intérêts, ce vendredi, dans les rues de Brest. 

    Près de 200 retraités étaient présents place de la Liberté, à Brest, ce vendredi, pour défendre leur retraite, le service public et la protection sociale.

    « Nous sommes là pour défendre les intérêts des retraités, mis à mal actuellement », explique Bruno Goulian, syndiqué à la CGT et membre de l’Union syndicale des retraités du Finistère. À ses côtés, ils étaient près de 200, ce vendredi 1er octobre, place de la Liberté, à Brest. Une manifestation organisée dans le cadre d’un appel national à une date symbolique, puisque le 1er octobre a été déclaré journée du bien vieillir par l’Organisation des nations unies (Onu).

    Une motion a été lue place de la Liberté.Une motion avec les revendications a été lue, place de la Liberté.

    Trois revendications étaient défendues : la hausse des retraites et des pensions, « car beaucoup de gens vivent avec une retraite de moins de 1 000 € », souligne André Garçon, retraité de France Telecom et syndiqué à Sud Solidaires ; la protection du social et la défense des services publics. « Les personnes âgées ont besoin des services publics de proximité », poursuit le retraité. Place de la Liberté, une motion a été lue, puis les manifestants sont allés à la sous-préfecture la déposer.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • L'Île-Longue est, depuis 1970, le port base des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins français
    L'Île-Longue est, depuis 1970, le port base des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins français.

    Un sociologue de l'université de Brest vient de boucler une étude sur les anciens pyrotechniciens de l'Ile-Longue. De 1972 à 1996, ces ouvriers d'Etat ont assemblé les têtes de missiles nucléaires "sans aucune protection". Un quart d'entre eux sont décédés de manière précoce.

    A la question, 'de quel équipement de protection individuelle bénéficiez-vous ?', les réponses des anciens ouvriers de la base des sous-marins nucléaires de l'Ile-Longue laissent perplexe : chaussures de sécurité et casque. Ni plus ni moins. De 1972 à 1996, ils ont travaillé à l'assemblage des têtes nucléaires des missiles. Ce sont ces 200 salariés de l'atelier de pyrotechnie que l'enquête du sociologue Jorge Muñoz a donc ciblé. Un seul lieu sur une période donnée pour "savoir ce qu'ils sont devenus en termes de santé" et évaluer leurs conditions de travail.

    35 % de cancers

    Sur les 200 personnes visées par cette étude, 54 étaient décédées de manière précoce avant même qu'elle ne démarre. Leur moyenne d'âge : 62 ans, "or, l'espérance de vie des ouvriers en France est de 77 ans, souligne Jorge Muñoz. Cela interroge forcément car nous avons quand même affaire à des ouvriers d'Etat avec des conditions d'emplois plus stables et bien plus favorables que dans d'autres filières".

    97 ont accepté de répondre au questionnaire du sociologue. 63 déclarent avoir des problèmes de santé : des cancers pour 23 d'entre eux. "Leucémies, cancers de la thyroïde, des poumons, de la vessie, du colon, des testicules, précise l'universitaire. Ces ouvriers ont été polyexposés. Certes, il y avait des radiations, de l'amiante, mais ils manipulaient aussi des solvants, des huiles, ils avaient des postures de travail pénibles, des horaires décalés, ils étaient soumis perpétuellement aux bruits. Toute une série d'autres risques venaient s'ajouter à celui des radiations".


    On nous disait que les missiles ne rayonnaient pas plus que le granit

    Francis Talec, président des Irradiés de l'Ile-Longue


    Au sein des "Irradiés de l'Ile-Longue", l'antenne brestoise de l'association Henri-Pézerat qui regroupe les anciens ouvriers du nucléaire et leurs familles, les résultats de l'enquête ne sont pas une surprise. Son président Francis Talec parle même de "mensonge d'Etat" car, dit-il, "aucun de nous ne connaissait les risques et la Marine nationale s'était bien gardée de nous en informer. On nous disait que les missiles ne rayonnaient pas plus que le granit".

    Secret défense

    Ce combat pour la vérité, les ouvriers l'ont entamé en 1996. A l'époque, les ateliers s'arrêtent durant trois semaines. "On a découvert que les nouvelles têtes de missiles TM75 rayonnaient plus que les précédentes" relate Francis Talec. Un dosimètre oublié par un agent du Commissariat de l'énergie atomique près d'une tête nucléaire met l'atelier de pyrotechnie en alerte. "L'appareil de mesure était en saturation, se souvient Pierre Bihannic. On a voulu savoir ce qui se passait".

    Pour ces anciens ouvriers de l'Ile-Longue, le combat continue au sein de l'antenne brestoise de l'association Henri-Pézerat
    Pour ces anciens ouvriers de l'Ile-Longue, le combat continue au sein de l'antenne brestoise de l'association Henri-Pézerat.


    Le CHSCT de l'Arsenal tape du poing sur la table et exige une enquête sur les conditions d'exposition à la radioactivité des ouvriers. Rédigé par le contre-amiral Geeraert, le rapport est très vite classé secret défense. Une longue bataille judiciaire pour obtenir sa déclassification va s'engager. Elle aboutira en 2020, "par une levée très partielle du secret défense indique Francis Talec. Néanmoins, on peut y lire ces deux phrases qui corroborent les faits que nous dénonçons : 'L’intensité du rayonnement est supérieure aux valeurs initialement prises en compte', et 'ces mesures révèlent en outre que la composition du rayonnement est différente de celle qui était alors estimée', ce qui veut dire que les travailleurs ont effectivement été exposés, non seulement aux rayons gamma, mais également aux rayonnements alpha et neutroniques, particulièrement dangereux, les uns et les autres étant des toxiques sans seuil".
     

    Préjudice d'anxiété 

    Après 1996, les pyrotechniciens de la base sous-marine vont recevoir des dosimètres individuels. "Cela ne protège pas, remarque le président des Irradiés de l'Ile-Longue. On peut déclencher des maladies par effets d'accumulation des faibles doses d'exposition. C'est démontré".
    L'antenne brestoise de l'association Henri-Pézerat porte le fer sur la reconnaissance comme maladies professionnelles des cancers ne figurant pas dans le tableau numéro 6 de la Sécurité sociale. "Alors qu'ils sont répertoriés par la loi d'indemnisation des victimes des essais nucléaires" remarque Francis Talec.


    L'armée continue d'affirmer que nous étions protégés à l'époque. Ce mensonge est insupportable et d'une indécence rare vis-à-vis des victimes.

    Francis Talec, président des Irradiés de l'Ile-Longue


    Le préjudice d'anxiété subi par ces ouvriers est un autre cheval de bataille du collectif. En mai 2021, le tribunal administratif de Rennes a rendu trente-et-une décisions et reconnu le préjudice moral lié à l'exposition aux rayonnements ionisants. "Mais l'Etat a fait appel sur toutes les décisions qui nous étaient favorables" déplorent les Irradiés de l'Ile-Longue.

    Si les tribunaux ont depuis quelques années prononcé la "faute inexcusable" de l'employeur - à savoir le ministère de la Défense - pour une dizaine d'ouvriers atteints de maladies radio-induites reconnues et aujourd'hui décédés, "il n'en reste pas moins que l'armée continue d'affirmer que nous étions protégés à l'époque, constate amèrement Francis Talec. Ce mensonge est insupportable et d'une indécence rare vis-à-vis des victimes".

    Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr

    Auteur : Carole Collinet-Appéré

     
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  • Isabelle Le Guillou (Union locale CGT de Quimper), Youenn Le Flao (Solidaires) et Marie Le Berre (Union locale CGT de Quimper).Isabelle Le Guillou (Union locale CGT de Quimper), Youenn Le Flao (Solidaires) et Marie Le Berre (Union locale CGT de Quimper).

    Plusieurs syndicats appellent à manifester et faire grève mardi 5 octobre 2021. À Quimper (Finistère), un rassemblement est prévu, à 11 h, place de la Résistance.

    Un mouvement social est prévu, à l’échelle nationale, mardi 5 octobre 2021. Il trouvera écho dans plusieurs villes du Finistère. À Quimper, un rassemblement est prévu à 11 h, place de la Résistance. Plusieurs syndicats – la CGT, Solidaires, Force Ouvrière et la FSU – appellent ainsi à « dire ce qu’on ne veut plus. Plus on sera nombreux à montrer notre colère, plus on sera entendu ». L’emploi est au cœur de leurs revendications : « il faut arrêter les suppressions d’emploi et conditionner les aides publiques au maintien et à la création d’emplois, qui plus est pérennes, c’est-à-dire à temps plein, avec des salaires décents et des conditions de travail qui tiennent la route », argumentent Isabelle Le Guillou et Marie Le Berre (Union locale CGT de Quimper) et Youenn Le Flao (Solidaires).

    Ils plaident aussi, entre autres, pour une meilleure redistribution des richesses, le dégel du point d’indice pour les fonctionnaires, le maintien des services publics avec des moyens, pour les retraites… « Manifester est primordial. Faire grève aussi car c’est ça qui touche le patronat et l’État, et que l’économie tourne grâce aux salariés. Les augmentations de salaire sont toujours venues par des mouvements de grève massifs », soulignent les représentants syndicaux.

     

    Rose-Marie DUGUEN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Mobilisation interprofessionnelle unitaire le 5 octobre. ( Fb.com - 30/09/21 )

    Source : https://www.facebook.com

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  • Les salariés de la CAT du Finistère sont appelés à faire grève durant quatre jours, début octobre.Les salariés de la CAT du Finistère sont appelés à faire grève durant quatre jours, début octobre.

    À l’appel de la CGT, les salariés de la Compagnie armoricaine de transport (CAT, filiale de Transdev) du Finistère sont appelés à faire grève durant quatre jours, les 1er, 6, 8 et 11 octobre, « à la journée ou débrayage », indique le syndicat. Il dénonce notamment l’organisation et les conditions de travail. Un rassemblement est prévu le 6 octobre au matin, rue de Kerervern, sur le site de Brest. Cela concerne les salariés des sites de Morlaix, Lesneven, Brest, Carhaix, Quimper, Châteaulin et Lanvéoc. À noter que le mouvement social pourrait engendrer des perturbations sur le réseau de cars.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Finistère. La secrétaire générale de la CGT Anne-Véronique Roudaut va passer la main. ( OF.fr - 30/09/21 - 09h44 )              Anne-Véronique Roudaut, secrétaire générale de la CGT du Finistère depuis 2012, et Ludovic Morin, qui devrait lui succéder.

    Anne-Véronique Roudaut ne briguera pas de quatrième mandat de secrétaire générale lors du congrès départemental de la CGT, les 7 et 8 octobre 2021, à Morlaix (Finistère). C’est Ludovic Morin, 52 ans, actuellement secrétaire général de la CGT Finances publiques 29, qui est pressenti pour lui succéder.

    À la tête de la CGT du Finistère depuis 2012, Anne-Véronique Roudaut quittera son poste à l’issue du congrès départemental, qui se tiendra les 7 et 8 octobre 2021, à Morlaix. « On dit qu’il faut trois mandats : un pour apprendre, un pour faire et un pour transmettre. Je ne voulais pas me lancer dans le mandat de trop », explique celle qui travaille à la Caisse primaire d’assurance maladie du Finistère.

    Depuis le début de l’année, un tuilage est organisé avec celui qui est pressenti pour lui succéder : Ludovic Morin, âgé de 52 ans. Syndiqué à la CGT depuis 20 ans, ce Normand est arrivé en 2014 dans le Finistère. Il est actuellement secrétaire général de la CGT Finances publiques 29. « C’est une Union départementale qui fonctionne très bien, salue-t-il. À la CGT, nous sommes un syndicat qui continue d’être fort. Nous avons aussi des choses à proposer, nous ne sommes pas seulement dans l’opposition. »

    Se rapprocher des travailleurs isolés

    Si son élection est confirmée lors du congrès départemental, Ludovic Morin souhaite travailler particulièrement sur « les travailleurs isolés, que ce soit dans les TPE ou les indépendants comme les livreurs, pour qui il est parfois difficile de se syndiquer ».

    Autres sujets à suivre : la préparation des élections dans la fonction publique, fin 2022 ; le suivi des « ingénieurs cadres techniques », dont le salariat se développe de plus en plus dans le département ; et la « continuité syndicale », pour pousser les personnes syndiquées à poursuivre leur engagement une fois à la retraite.

    La CGT compte environ 11 400 adhérents dans le Finistère, selon les dernières estimations.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laura Daniel

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  • À Quimper, une semaine autour des 40 ans de la lutte anti-nucléaire à Plogoff  (OF.fr-30/09/21-10h33)Le film « Plogoff, des pierres contre des fusils », de Nicole Le Garrec, a été remastérisé et sélectionné au festival de Cannes en 2019. Il sera diffusé vendredi 8 octobre 2021 au Novomax à Quimper (Finistère). | ARCHIVES EUGÈNE LE DROFF

    Du lundi 4 au dimanche 10 octobre 2021, Tir ar Vro et Polarité [s] proposent une semaine autour de la thématique des désobéissances civiles. Au programme : ciné concert ou encore conférences sur les luttes sociales en Bretagne et notamment les 40 ans de la lutte anti-nucléaire à Plogoff (Finistère).

    Retour dans les années 1980 au cœur de la lutte contre le projet d’installation d’une centrale nucléaire à Plogoff (Finistère). C’est l’objectif de Ti ar Vro et Novomax à Quimper. Du lundi 4 au dimanche 10 octobre 2021, ils proposent un parcours thématique autour des luttes sociales en Bretagne. « C’est l’occasion de célébrer le 40e anniversaire de la lutte de Plogoff autour d’une série d’événements. On s’est dit qu’il y avait une histoire à raconter autour de la notion de la désobéissance civile et des luttes sociales en Bretagne », explique Christophe Dagorne, directeur du Novomax.

    Une exposition sur les évènements de Plogoff sera ainsi à découvrir à Ti ar Vro du lundi 4 au dimanche 10 octobre 2021. La lutte de Plogoff « est une lutte qui continue à fasciner. C’est un mouvement de désobéissance civile et aussi un symbole qui a complètement essaimé en France et en Europe », pointe Christophe Dagorne.

    « Donner la parole aux acteurs de ces luttes sociales »

    Les festivités débuteront le vendredi 8 octobre 2021 avec un ciné concert autour du documentaire de Nicole Le Garrec Plogoff des pierres contre des fusils. Pour ce parcours thématique, « on a fait appel aux figures emblématiques de Plogoff qui ont suivi l’évolution des luttes sociales », souligne Christophe Dagorne. À l’image de Jean Moalic, acteur de la lutte et historien. Il interviendra samedi 9 octobre 2021 lors d’une conférence sur les 40 ans de Plogoff. Elle sera suivie d’une présentation du livre Plogoff – Une lutte au bout du monde , qu’il a co-dirigé. ​ « Le livre parlera du nucléaire, de l’histoire du lieu, des médias », précise David Ansquer, directeur de Tir ar Vro. Ce livre collectif sera disponible en librairie à partir du vendredi 22 octobre 2021. La journée finira avec la projection du film Plogoff, mon amour – Mémoire d’une lutte et d’un échange avec sa réalisatrice Laure Dominique Agniel.

    Le dimanche 10 octobre 2021, le journaliste et universitaire Tudi Kernalegenn proposera une conférence sur l’historique des luttes sociales. Avec la diffusion du film Penn Sardines, suivi d’un concert autour des chants des sardinières qui devinrent rapidement des chants de contestation, l’après-midi sera, lui, consacré à la lutte des sardinières. Ces ouvrières de conserverie qui ont mené une série de grèves pour demander une augmentation de salaire.

    Pratique : Ti ar Vro. 3 Esplanade Famille Gabai à Quimper. Novomax. Boulevard Dupleix, Quimper. Lundi 4 au dimanche 10 octobre 2021. Renseignements et billetterie sur : lenovomax.bzh ou au 02 98 53 14 55 ou sur tiarvro-kemper.bzh ou au 02 98 90 70 43. Ciné concert Plogoff des pierres contre des fusils, vendredi 8 octobre 2021. Sur réservation. Tarifs : de 7 à 11 €.

     

    Lydia REYNAUD.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Le Comité de défense de l’hôpital de Concarneau appelle à manifester mardi à Quimper. Le Comité de défense de l’hôpital de Concarneau appelle à manifester mardi à Quimper.

    Dans le cadre de la journée de mobilisation du 5 octobre en soutien au service public de santé, le Comité de défense de l’hôpital de Concarneau appelle à la mobilisation. « La crise sanitaire a mis en évidence la faiblesse du service public hospitalier et pourtant les fermetures n’ont jamais cessé. Les personnels, pris dans des injonctions paradoxales, sous-payés, confrontés à des conditions de travail délétères, démissionnent », déclarent les membres du comité, qui rappellent que « depuis 2013, 17 500 lits d’hospitalisation complète ont été fermés, dont 5 700 pour l’année 2020. Soit une baisse de 4,2 % en cinq ans. Cet été, de nombreuses fermetures “provisoires" ont eu lieu dont 45 à Lorient, faute de personnels ».

    « Le manque de soignants et l’éloignement des structures hospitalières, mettent en danger les patients, c’est pourquoi le Comité de défense de l’hôpital de Concarneau appelle à participer à cette journée d’action », poursuivent-ils.

    « Un recrutement massif » exigé

    Le comité demande « que le droit à la santé soit respecté partout et pour tous. Pour cela un service public est une nécessité, tant pour la médecine de premier recours que pour les soins spécialisés. » La structure exige aussi « l’arrêt immédiat de toutes les fermetures et réductions de postes, de lits et de services » et réclame « un recrutement massif des personnels et une répartition égalitaire de ceux-ci sur tous les territoires en fonction des besoins et de l’intérêt général ».

    Pratique

    La manifestation débutera à 11 h, à Quimper. Un départ en covoiturage est prévu depuis l’ancienne gare de Concarneau, à 10 h.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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