• Finistère. Baisse du chiffre d’affaires en vente directe : la confédération paysanne alerte. ( OF.fr - 29/09/21 - 12h04 )                  La hausse du prix des matières premières et la mauvaise météo de ces derniers mois continuent d’inquiéter les agriculteurs.

    La confédération paysanne du Finistère, syndicat agricole, s’inquiète de la baisse de leurs chiffres d’affaires en ventes directes depuis le dernier déconfinement de mai 2021.

    La confédération paysanne du Finistère, syndicat agricole, s’inquiète de la baisse de leurs chiffres d’affaires en ventes directes. Lors des premiers confinements, la vente en circuit court a été plébiscitée par les consommateurs. « Cependant, avec le dernier déconfinement et le développement de la vaccination depuis mai 2021, les marchés à la ferme, magasins de producteurs et marchés locaux hors zones touristiques ont souvent affiché des baisses de chiffres d’affaires allant jusqu’à 30 % », indique le syndicat dans un communiqué.

    La hausse du prix des matières premières et la mauvaise météo de ces derniers mois continuent d’inquiéter les agriculteurs quant à leurs revenus. Le syndicat appelle donc à privilégier la vente directe et les filières respectueuses du revenu paysan.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Maxime Touzé, Hugues Tupin, Cécile Dulu-Martin, Yolande Bouin et Florence Crom trouvent ce dossier « exemplaire d’un manque de démocratie locale ». Maxime Touzé, Hugues Tupin, Cécile Dulu-Martin, Yolande Bouin et Florence Crom trouvent ce dossier « exemplaire d’un manque de démocratie locale ». 

    Dans le dossier de la Poste à Tréboul, l’opposition de gauche à Douarnenez dénonce la méthode de Jocelyne Poitevin : « Elle décide seule, sans transparence ».

    « Si nous n’avions pas proposé un vœu lors du dernier conseil municipal nous n’aurions toujours aucune information sur la fermeture de la Poste à Tréboul et sa transformation en agence postale, ce n’est pas un fonctionnement démocratique ». Le conseiller municipal « Terre Citoyenne », Maxime Touzé, dénonce la méthode employée par la maire Jocelyne Poitevin. « Elle décide seule, sans transparence, et affirme qu’elle a ferraillé depuis un an : nous n’en avons aucune preuve, car elle a mené ce dossier dans son coin, en catimini, sans impliquer les élus municipaux », déplore-t-il, parlant d’un « fonctionnement pyramidal ».

    Selon lui, mettre les échanges avec La Poste sur la place publique et faire appel à « l’intelligence collective » aurait peut-être permis une autre issue. Et de citer l’exemple de Pont-Croix, où une commission municipale mène les discussions avec La Poste sur le maintien du bureau. « La population doit être mise au courant dans ce type de situation, d’autant qu’elle va financer le poste créé par cette nouvelle agence postale, tout en achetant toujours le timbre et l’enveloppe, et ainsi payer deux fois pour un même service », complète Hugues Tupin. C’est l’une des critiques majeures de cette transformation en agence postale avec également, selon les syndicats, une baisse considérable du nombre de services, bancaires notamment.

    « Il existe d’autres leviers »

    « La maire n’a pas tout tenté, il existe d’autres leviers comme la Commission départementale de présence postale territoriale qui doit se prononcer sur ces fermetures : a-t-elle été mise au courant ? Nous lui écrivons pour savoir », reprend Yolande Bouin, autre conseillère d’opposition.

    Plus largement, la gauche douarneniste s’interroge sur l’accueil des services publics sur la ville, en commençant la liste historique par les fermetures de la maternité et du commissariat de police. « Nous voulons savoir comment se positionne Jocelyne Poitevin sur ce sujet », avance « Terre Citoyenne ». Qui affirme vouloir être une « opposition constructive » : « Encore faudrait-il que nous soyons tenus au courant des projets, or nous ne le sommes pas… Et la population encore moins ».

     

    Rodolphe Pochet

    source: https://www.letelegramme.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • La crise sanitaire n’a pas interrompu la réduction des capacités hospitalières. Au contraire, elle a en partie amplifié les fermetures.

    Plus de 5 700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps, près de 1 400 places d’hospitalisation partielle, selon une étude du ministère de la santé publiée mercredi 29 septembre.

    Le Covid-19 n’a pas interrompu la réduction des capacités hospitalières. Au contraire, la crise sanitaire a en partie amplifié les fermetures de lits. Signe de ce déclin, la France compte désormais moins de 3 000 hôpitaux et cliniques. « Sous l’effet des réorganisations et des restructurations », 25 établissements publics et privés ont fermé l’an dernier, explique la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees, rattachée au ministère de la santé).

    « Virage ambulatoire »

    Les 2 983 structures encore ouvertes à la fin de 2020 disposaient très exactement de 386 835 lits d’hospitalisation complète, soit 5 758 de moins en un an – comparé au dernier bilan pour l’année 2019, publié en juillet par la même direction statistique. Cette baisse est « un peu plus marquée » que les années précédentes, ce qui « pourrait s’expliquer par le contexte d’épidémie », avec « de nombreuses chambres doubles transformées en chambres simples pour limiter la contagion », ainsi que des déprogrammations massives pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins critiques.

    Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a d’ailleurs terminé l’année en hausse de 14,5 % (soit environ 6 200). Cela n’a pas empêché la tendance de fond du « virage ambulatoire » – sur fond de « contraintes de personnel » – de se poursuivre : 1 369 places d’hospitalisation « de jour » ont été ouvertes en 2020, portant leur nombre total à 80 089.

    L’hospitalisation à domicile a dans le même temps connu une « croissance particulièrement vive » de 10,8 %, soit 21 276 patients « pouvant être pris en charge simultanément sur le territoire ». Ce mode de prise en charge représentait ainsi, à la fin de 2020, « 7 % des capacités totales en hospitalisation complète » hors psychiatrie, contre 2,1 % en 2006.

    Source : https://www.lemonde.fr

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Vendredi 24 septembre, une série d’arrestations de membres du Parti communiste de la Fédération de Russie et d’activistes publics a eu lieu à Moscou. L’attention des représentants des forces de l’ordre a été attirée par ceux qui ont participé à la réunion avec le député de la Douma d’État V.F. Rashkin suite aux résultats des élections, qui ont eu lieu le 20 septembre. De fait, le parti communiste principale et première force d’opposition, arrivé par exemple en tête dans les urnes à Moscou avant que d’étranges publications de votes électroniques ne le fasse reculer, conteste les publications de résultats des élections faites par le régime Poutine. Les communistes de France avec le PRCF appellent comme le revendique le peuple russe avec le KPRF à la libération immédiate des camarades, et se réjouit de constater que la communauté russe en France a placé en tête des élections le KPRF.

    Sergueï Obukhov à propos de sa détention dans le métro : Nous sommes tous sous le coup de « Big Brother » depuis longtemps

    Samedi 25 septembre, Moscou a accueilli une manifestation des députés de la faction Parti communiste à la Douma d’Etat et des élus de la Douma d’Etat de la huitième convocation avec les électeurs. Y ont assisté : Vice-président du Comité central du Parti communiste V.I. Kashin, secrétaires du Comité central du Parti communiste de la Fédération de Russie S.P. Obukhov et N.V. Arefiev, premier secrétaire du comité municipal de Moscou du parti communiste V.F. Rashkin, secrétaire du comité municipal de Moscou du Parti communiste de la Fédération de Russie D.A. Parfenov, chef de l’Association de l’ensemble de l’Union « Nadezhda Rossii » N.А. Ostanina, le premier secrétaire du comité régional d’Oulianovsk du Parti communiste de la Fédération de Russie A.V. Kurinny, lieutenant-général V.I. Sobolev.

    https://kprf.ru/actions/kprf/205664.html

    S’exprimant lors du meeting des députés de la Douma d’État avec des Moscovites, un membre du Présidium, secrétaire du Comité central du Parti communiste, élu député de la Douma d’État de la huitième convocation S.P. Obukhov a remercié les Moscovites d’avoir soutenu le Parti communiste et d’avoir fait preuve de courage et d’être descendus dans la rue.

    « Ceux qui sont venus ici n’ont pas eu peur et ont exprimé leur position civique, malgré les intimidations », a-t-il déclaré.

    «Nos camarades sont détenus uniquement parce qu’ils ont diffusé des informations sur une action absolument légale. À la veille de notre réunion parlementaire, environ 60 militants du Parti communiste de la Fédération de Russie, y compris des candidats à la Douma d’État, ont été arrêtés. Leur détention nécessite la sanction du procureur, mais il n’y a pas de telles sanctions – une anarchie totale. Le comité du parti de la ville de Moscou a été bloqué. Ils bloquent la sortie de la Douma de la ville de Moscou afin d’arrêter les députés communistes et leurs assistants. Nous parlons de la répression politique la plus réelle », a souligné Obukhov.

    Manifestation du parti communiste russe (KPRF) à Moscou pour dénoncer la fraude électorale et faire appliquer la victoire du KPRF à Moscou.

    Sergueï Obukhov a cité les faits de répression les plus récents. Sur le chemin de la place Pushkinskaya, un candidat à la suppléance de la Douma de la ville de Moscou, chef du Komsomol de Moscou Daria Bagina, a été arrêté. Le candidat à la Douma d’État, secrétaire du Comité municipal de Moscou du Parti communiste de la Fédération de Russie, Nikolai Volkov, a été arrêté. L’un des dirigeants du Front de gauche, Leonid Razvozzhaev, est détenu au commissariat de Golyanovo depuis déjà 24 heures, accusé d’avoir republié une vidéo du discours d’Obukhov lors d’une réunion avec des députés le 20 septembre. La députée à la Douma de la ville de Moscou, Elena Yanchuk, candidate à la Douma d’État, a été arrêtée. Tous les détenus sont en fait des prisonniers politiques.

    « Nos camarades réprimés doivent être libérés immédiatement. Je lance un appel au procureur général dans le cadre de cette honte – arrêtez l’anarchie! », A déclaré le politicien.

    « Nous allons poursuivre en rapport avec ce qu’on appelle le vote électronique à distance. À mon avis, le DEG est une boîte à bananes avec des ampoules et une calculatrice qui vient d’imprimer de faux résultats de vote. Nous exigeons l’annulation des résultats de la DEG ! Le combat continue », a déclaré Obukhov.

    Sergueï Obukhov a appelé le pouvoir à libérer tous les détenus.

    En France, le parti communiste vainqueur des élections à la Douma :

    Le scrutin était organisé à l’Ambassade de Russie à Paris (bureau de vote n° 8308) rattaché administrativement à l’oblast de Tomsk (Sibérie) sur la circonscription uninominale N°181. Nicolas Maury sur son blog rapporte :

    Il y a eu 1190 votant.e.s (dont Gérard Depardieu).

    Pour le scrutin de liste, le Parti Communiste de la Fédération de Russie arrive en tête.

    Les suffrages se répartissent de la manière suivante :

    Parti Communiste de la Fédération de Russie : 345 (31,36%)
    Russie Unie : 233
    Nouveau peuple : 73
    Russie Juste – Pour la vérité : 68
    Parti écologiste russe Les verts : 25
    L’alternative verte : 21
    Parti des retraités : 21
    Parti russe de la liberté et de la justice : 14
    Parti de la Croissance : 13
    Communistes de Russie : 7
    Plateforme civique : 6
    Rodina : 6

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Même s’il n’est plus sur Twitter, Facebook ou YouTube, l’ultranationaliste Boris Le Lay, l’un des plus influents membres de la « fachosphère » française, est toujours accessible, aisément, sur interne Même s’il n’est plus sur Twitter, Facebook ou YouTube, l’ultranationaliste Boris Le Lay, l’un des plus influents membres de la « fachosphère » française, est toujours accessible, aisément, sur internet. 

    Condamné à de nombreuses peines de prison ferme, le néonazi breton Boris Le Lay a su jusqu’à présent échapper à toute sanction. Réfugié au Japon, sa liberté de mouvement semble cependant désormais entravée.

    Il n’est plus sur Twitter, ni sur Facebook. On ne le trouve plus sur YouTube depuis près d’un an. Il a même été éjecté du très complaisant réseau social russe VK, où se réfugiaient tous les extrémistes occidentaux refoulés des réseaux sociaux traditionnels. Mais l’ultranationaliste Boris Le Lay, l’un des plus influents membres de la « fachosphère » française, est toujours accessible, aisément, sur internet.

     

    Déjà condamné quinze fois

    Ce Breton originaire du Sud-Finistère, aujourd’hui âgé de 40 ans, cumule d’après notre décompte, au moins quinze condamnations représentant plus de 11 années de prison ferme (2 ans et 8 mois pour la peine la plus lourde) depuis 2013, pour incitation à la discrimination, à la haine et à la violence raciales, contestation et apologie de crimes contre l’Humanité, menace de mort, diffamation…

    Boris Le Lay fait l’objet de mandats de recherche français et internationaux (notice rouge d’Interpol). Le 3 juin dernier, le tribunal correctionnel de Quimper devait le juger pour de nouveaux faits de même nature. Mais l’audience a été renvoyée. Depuis 2014, par ailleurs, il ne répond plus aux convocations judiciaires. Il s’est réfugié au Japon, où il vit avec une citoyenne japonaise. Il réside toujours, selon de récentes informations, à Kashiwa, une ville de plus de 400 000 habitants, située à une trentaine de kilomètres au nord-est de la capitale nipponne. Aucun accord d’extradition n’existe entre Tokyo et Paris. Boris Le Lay, qui héberge ses sites web aux États-Unis, protégés par le premier amendement garantissant une totale liberté d’expression, jouit donc d’une impunité de fait.

    Renouvellement du passeport français refusé

    Selon les derniers éléments que nous avons pu collecter, le Breton disposerait actuellement d’un titre de séjour japonais valide jusqu’en 2026. Mais son passeport français, arrivé à expiration il y a déjà plusieurs années, lui, ne l’est plus. Parce qu’il est inscrit au fichier des personnes recherchées (FPR), au titre des « personnes susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l’État (fiche S) et à la sécurité publique », l’ultranationaliste et multirécidiviste s’est vu refuser le renouvellement de sa pièce internationale d’identité par les autorités françaises. Il ne peut donc plus, en théorie, sauf à risquer de se faire refouler et éventuellement arrêter, quitter le Japon et voyager à l’international de manière légale. Et, de fait, selon nos sources, aucun signe de sa présence n’a été détecté en France depuis plusieurs années.

    Il est, en revanche, très présent sur le web. C’est lui qui est soupçonné d’administrer l’un des sites les plus radicaux en Europe : Démocratie Participative. Un site dont la violence surpasse celle déjà observée sur ses précédents blogs, où il appelait pourtant déjà à « identifier, repérer et détruire » des militants bretons (avec photos et biographies) défendant la cause des sans papiers, injuriait des élus, ou réclamait le « champagne et la croix de fer » pour le conducteur d’un train ayant accidentellement et mortellement fauché un dirigeant local du Mrap de confession juive…

    Site déjà bloqué plus de 20 fois en trente mois

    Malgré la décision de justice de novembre 2018 ordonnant aux fournisseurs français d’accès à internet de bloquer l’adresse de Démocratie Participative, le site renaît régulièrement depuis, via d’autres adresses. « Nous les transmettons au fur et à mesure, systématiquement, aux opérateurs qui la bloquent dans la foulée, sans avoir besoin de relancer la machine judiciaire. Et cela, grâce au jugement historique de novembre 2018 », précise la délégation interministérielle contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH).

    Depuis fin 2018, « plus d’une vingtaine de blocages ont ainsi été opérés, à la demande du parquet de Paris », précise au Télégramme Me Ilana Soskin, avocate de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra). « C’est un combat contre une hydre. À peine a-t-on coupé une tête qu’une autre repousse, convient une source travaillant sur ce dossier. Mais cela complique beaucoup les choses pour les administrateurs du site et ceux qui veulent y accéder. »

    Il n’est pourtant guère compliqué d’en retrouver la trace. D’autant plus que des sites miroirs, avec le même nom ou pas, reprennent son contenu, expliquent comment continuer à y accéder, allant jusqu’à livrer des « conseils informatiques » pour préserver son anonymat.

     

    Hervé Chambonnière

    source: https://www.letelegramme.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Sept organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR et CFE CGT) ont présenté les thèmes de la journée de mobilisation du 1er octobre sous le signe « Bien vivre sa retraite, une exigenSept organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR et CFE CGT) ont présenté les thèmes de la journée de mobilisation du 1er octobre sous le signe « Bien vivre sa retraite, une exigence ! ».

    Lundi 27 septembre, à la Maison du peuple à Brest, sept organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR et CFE CGT) ont présenté les thèmes de la journée de mobilisation du 1er octobre sous le signe « Bien vivre sa retraite, une exigence ! ». Les syndicats expliquent que « la priorité est la revalorisation du pouvoir d’achat, sachant que 65 % ont du mal à finir le mois, et 17 % vivent même avec moins de 600 € par mois. La santé pour tous et l’autonomie sont un des thèmes de cette journée. Avec l’augmentation de la CSG et de certaines cotisations de complémentaires, certains n’ont plus accès aux soins ».

    « 85 % des retraités votent... »

    Les organisations contestent que les augmentations des retraites ne soient plus indexées sur le taux d’inflation. « Cette mobilisation doit montrer au gouvernement que sur 17 millions de retraités en France, 85 % votent et veulent être reconnus comme parties intégrantes de la société ».

    Il est à noter que le 1er octobre a été reconnu comme Journée internationale des personnes âgées par l’ONU en 1990.

    Rassemblements prévus à Brest, place de la Liberté à 10 h 30 ; Quimper, à 10 h 30 ; Morlaix et Carhaix, à 11 h.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les psychologues se sont rendus à la sous-préfecture de Brest, où une délégation a été reçue.Les psychologues se sont rendus à la sous-préfecture de Brest, où une délégation a été reçue. 

    Une bonne centaine de psychologues se sont mobilisés, ce mardi 28 septembre, devant la fac de lettres à Brest, pour dénoncer certaines décisions gouvernementales concernant leur profession.

    « Défendre un accès aux soins psychiques pour tous, sans discrimination et sans tri parmi les patients, parce que c’est le risque avec ce qui est mis en place » : voilà pourquoi les psychologues étaient réunis devant la faculté Victor-Ségalen, ce mardi 28 septembre à Brest.

    Les assises de la santé mentale et de la psychiatrie se déroulaient au niveau national ces lundi 27 et mardi 28. Un appel à manifester a été lancé à Brest, comme à Rennes. Ils étaient une centaine devant la faculté de lettres à midi, 150 au plus gros de la mobilisation, selon Vincent Madec, secrétaire adjoint départemental de Sud santé sociaux.

    « On n’est pas des paramédicaux »

    Les professionnels de la psychologie ont exprimé leur mécontentement sur des projets du gouvernement. « Des décisions qui ont été prises à l’écart du processus démocratique », soulignent Laëtitia, Catherine et Maëlys, venues d’un établissement de santé à Roscoff.

    La paramédicalisation du secteur est contestée. « On n’est pas des paramédicaux », appuient Gaëlle et Valérie, venues de l’Établissement public de santé mentale (EPSM) du Sud-Finistère. Leur collègue, Vincent, confirme : « On est des professionnels des sciences humaines ».

    Des orientations thérapeutiques multiples

    La création d’un ordre des psychologues est loin de faire l’unanimité. Il existe déjà des syndicats et des associations de psychologues, « qui n’ont pas été consultés sur ce projet », indiquent les manifestants. Franck Monfort, secrétaire départemental santé et action sociale à la CGT, rappelle que « la pluralité des approches est très importante ». Une variété des courants et d’approches thérapeutiques existe. « Ils sont mis en danger avec la prescription médicale nécessaire aux séances ». Il serait en effet nécessaire de consulter son médecin traitant avant de pouvoir aller chez le psy.

    À Brest, les professionnels de la santé mentale défendent la pluralité des approches thérapeutiques, qui est remise en question.À Brest, les professionnels de la santé mentale défendent la pluralité des approches thérapeutiques, qui est remise en question. 

    Des membres de la CGT et de Sud Solidaires ont été reçus par le sous-préfet en début d’après-midi. « Il fera remonter nos revendications au ministre de la Recherche et de l’Enseignement supérieur, ainsi qu’à celui de la Santé », rapporte Vincent Madec.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Séverine Floch

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Sous la pluie, les manifestants ont quitté la place de la Liberté pour rejoindre l’entrée de l’hôpital Morvan.Sous la pluie, les manifestants ont quitté la place de la Liberté pour rejoindre l’entrée de l’hôpital Morvan. 

    Ils étaient une centaine, ce mardi soir, à Brest, à avoir bravé la pluie pour se rejoindre place de la Liberté, à l’occasion de la Journée mondiale du droit à l’avortement. Vers 18 h 30, les manifestants ont descendu les marches de la mairie, sur lesquelles ils avaient trouvé un abri, pour rejoindre l’hôpital Morvan, à 200 m de là. Scandant « Mon corps m’appartient, mon choix c’est le mien. Ton corps t’appartient, ton choix c’est le tien ».

     
    Une centaine de personnes était réunie ce mardi soir, à Brest.Une centaine de personnes était réunie ce mardi soir, à Brest. 
     

    Le cortège, composé de nombreux jeunes, a ensuite franchi les grilles du centre hospitalier puis fait le tour du rond-point à l’entrée avant de ressortir. « On est là pour soutenir la cause. C’est terrible tous ces jugements sur l’IVG (interruption volontaire de grossesse) alors que ça ne concerne que la personne qui le fait », se désolait un groupe de lycéens. Regrettant que « ça régresse au niveau international », des manifestantes réclamaient notamment, au niveau départemental, une généralisation de l’acte sous anesthésie locale.

    De nombreux jeunes composaient le cortège, comme Chloé, venue manifester pancarte en main.De nombreux jeunes composaient le cortège, comme Chloé, venue manifester pancarte en mains. 
     
    Source : https://www.letelegramme.fr
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Nicole et Félix Le Garrec ont filmé le mouvement antinucléaire à Plogoff en 1980. Leur documentaire a marqué à jamais le cinéma militant. Nicole et Félix Le Garrec ont filmé le mouvement antinucléaire à Plogoff en 1980. Leur documentaire a marqué à jamais le cinéma militant. 

    Événement ce week-end à Penmarc’h. Pour la première fois, une rétrospective cinématographique de l’œuvre de Nicole et Félix Le Garrec est organisée. Entretien avec Roger Hélias, cinéphile averti et initiateur de cette programmation.

    Pourquoi cette rétrospective ?

    « Elle s’inscrit en complément de l’exposition « 60 ans de photographies » de Félix Le Garrec, au Vieux Phare, à Penmarc’h (jusqu’au 3 octobre). J’ai toujours considéré qu’avec Nicole et Félix Le Garrec, le Pays bigouden possédait un couple de cinéastes exceptionnel. Bizarrement, aucune rétrospective ne leur avait encore été consacrée. » 

    Comment avez-vous choisi les films ?

    « Il s’agit de longs et moyens métrages, des fictions et des documentaires. Certains films ont été perdus, d’autres, trop altérés car mal conservés, ne sont pas diffusables. Nous allons montrer l’intégralité de ce qui est disponible (soit onze films au total). Ils forment un tout. »

    « Plogoff, des pierres contre des fusils » tient une place à part dans cette filmographie…

    « Oui, c’est leur chef-d’œuvre. Tout le monde connaît ce documentaire. Mais il faut souligner qu’il est le résultat d’une décennie de travaux et d’expérimentations notamment auprès de René Vautier. Il faut aussi rappeler le contexte. Les années 70 étaient une période d’intense bouillonnement. Nous étions en plein renouveau de la culture bretonne avec des artistes comme Alan Stivell ou Gilles Servat. Il y avait un désir de comprendre et de changer le monde. Le cinéma militant de Nicole et Félix a accompagné de nombreuses luttes. Félix avait un sens inné du cadre tandis que Nicole possédait une capacité d’écoute exceptionnelle. »

    Pour autant, leurs productions, hormis « Plogoff », sont restées relativement confidentielles, non ?

    « C’était un cinéma hors des grands circuits. C’est d’ailleurs cela qui a poussé le couple, en 1969, à monter, avec René Vautier, la société UPCB, l’Unité production cinéma Bretagne, une société de long-métrage (NDLR : qui produira le film « Avoir 20 ans dans les Aurès », en 1972). Rappelons aussi que les époux Le Garrec vont être victimes de l’ostracisme parisien. Ces autodidactes n’étant pas issus des beaux quartiers seront discriminés par les élites. À l’époque, seules quelques revues militantes évoquent leurs œuvres. »

    La sélection de « Plogoff » au festival de Cannes en 2019 est donc une sacrée revanche ?

    « C’est un juste retour des choses. »

    Le couple a-t-il tracé une voie pour le cinéma militant ?

    « Plogoff reste une pièce majeure mais paradoxalement le documentaire marque la fin d’une phase ardente. La gauche arrive au pouvoir en 1981 et tue dans l’œuf le cinéma militant. On assiste aujourd’hui à un renouveau du genre lié au contexte des violences policières ou du mouvement des Gilets jaunes. Quant aux sujets abordés par Nicole et Félix Le Garrec, ils sont toujours d’actualité comme l’avenir de la pêche, les combats écologiques ou encore la sauvegarde de la langue bretonne. Ils étaient à l’avant-garde. »

    Pratique

    Projections du vendredi 1er au dimanche 3 octobre, au cinéma Eckmühl, à Penmarc’h. Toutes les séances seront présentées par Roger Hélias en présence de Nicole et Félix Le Garrec le vendredi soir, le samedi en fin de séance « programmes courts 1 » et pour « Plogoff », le dimanche. Un échange avec le public est également prévu le dimanche matin au café « Chez Cathy » à Saint-Guénolé (Penmarc’h). Contact : tél. 02 98 58 64 45.

     


    Steven Lecornu

    source: https://www.letelegramme.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    Retrouvez ici ma publication expliquant mon absence des derniers mois : https://www.facebook.com/935380270000...

     
     
    BIENTÔT, J’ARRETERAI TOUT … ET JE COMPTE SUR VOUS
     
    C’est avec le cœur lourd que j’écris ces lignes. C’est même un déchirement après m’être tant investi dans le combat pour la liberté et l’égalité depuis ce jour du 17 novembre 2018. Mais jusqu’au bout, je veux être honnête et transparent avec vous. Alors après plusieurs mois de réflexion, je vais vous dire les choses telles qu’elles me viennent, sans détour et sans filtre.
     
    Nous entrons dans une période bien sombre de notre Histoire. Pendant des mois, j’ai espéré. J’ai tenté à mon niveau d’agir pour le mieux. Mais chaque jour qui passe me convainc un peu plus de l’impossibilité de nous faire dévier de notre trajectoire. Me confronter quotidiennement à mon impuissance ne serait-ce qu’à participer à une dynamique collective positive m’a usé. Et le résultat final est que je n’y crois plus, pas dans la période actuelle en tout cas. Ma conviction est qu’il faudra que nous touchions le fond pour enfin commencer à nous relever du chaos que nous aurons nous-mêmes engendré. Quand ce moment se produira-t-il ? Dans 2 ans, 5 ans, 10 ans, 30 ans ? Impossible à dire.
     
    Il y a mille raisons qui m’ont amené à ces conclusions. Je n’en citerai que les plus importantes.
    Il y a bien sûr les dominants qui usent et abusent de leurs privilèges, de leurs positions d’influence et de leurs réseaux pour maintenir de force un système inique et voué désormais à imploser. C’est par leur faute principalement que nous nous dirigeons vers un effondrement généralisé (politique, économique, social, écologique) puisqu’outre le fait d’être les ordonnateurs de ce marasme, elles s’appliquent à maintenir le maximum de gens sous l’aliénation des plaisirs illusoires de la consommation et du divertissement pour neutraliser toute capacité de réaction. Mais ça, je le savais déjà quand je me suis engagé dans le mouvement des gilets jaunes.
     
    Ce qui a vraiment eu raison de mon optimisme, c’est le comportement de tous ceux qui se prétendent être du camp des « résistants ». Du simple citoyen lambda qui vomit sa haine ou répand des thèses délirantes sur les réseaux sociaux au leader d’opinion, tantôt opportuniste tantôt prisonnier de ses récits extravagants et hallucinés, tous partagent les mêmes faiblesses. Incapacité à se remettre en question et à faire prévaloir la raison sur l’émotion, besoin pathologique de reconnaissance pour se sentir exister. Ce sont ces maux qui nous empêchent de constituer une équipe soudée et intelligente à même de bâtir un autre modèle de société fondé sur la coopération et le partage. Si je n’en veux pas à tous ceux qui écrivent seuls sur leur clavier car ils sont les victimes d’un système qui écrase les individus, je ne peux pas dire autant de ceux qui prétendent porter le flambeau de la résistance et ne recherchent en réalité que la lumière des projecteurs.
     
    Si j’étais cynique, je pourrais faire comme ces irresponsables souvent victimes d’eux-mêmes : surfer sur la moindre polémique pour caresser les passions tristes dans le bon sens du poil et faire prospérer ma petite boutique. Je volerais votre temps si précieux en focalisant votre attention sur des sujets suscitant de vives émotions sur l’instant mais, au fond, totalement insignifiants. J’en tirerai certainement quelques satisfactions : des dizaines voire des centaines de milliers d’abonnés en plus, des commentaires de supporters à ma gloire personnelle, et peut-être quelques opportunités professionnelles, qui sait ? En agissant de la sorte, je sais que je ne ferai que reproduire le comportement de nos « élites » corrompues. Je n’agirai pas dans le sens du bien commun mais uniquement au service de ma petite personne et de mon ego, cette petite voix dans la tête qui ne cesse de quémander des flatteries pour se persuader qu’elle est importante dans l’univers.
     
    Je me fais, je crois, une idée bien trop noble de ce que doit être le combat pour la liberté et l’émancipation pour céder à pareilles bassesses intellectuelles et morales. Je n’ai jamais voulu le pouvoir et je me méfie terriblement des effets psychologiques qu’il peut avoir sur les individus qui en deviennent les dépositaires. C’est pourquoi je me suis évertué à rendre le peu de pouvoir que j’ai acquis au cours de mon engagement en partageant avec vous mes connaissances. Car à mes yeux, le seul pouvoir qui soit sain pour les êtres humains est celui du savoir.
     
    Or, je ne crois pas que ce soit la quête de la vérité et de l’intérêt général qui animent un certain nombre des bruyants porte-voix qui agitent le débat public, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les médias autorisés. Tout n’est plus que cacophonie, entre polémiques stériles et règlements de compte personnels ou partisans. Dans cet océan de bêtise et de paresse intellectuelle, les voix rationnelles s’éteignent peu à peu. Bientôt l’obscurité règnera sans partage. Je préfère me retirer avant qu’elle ne m’atteigne à mon tour.
     
    Mais je ne serais pas complet si j’en restais là. Ce que je viens de décrire ne serait pas rendu possible sans la complicité objective de tous ceux qui suivent et soutiennent ces gourous et autres charlatans du débat public. Je risque peut-être ici de froisser la sensibilité de certains, mais tant pis. Plus le temps de tourner autour du pot ou de prendre des précautions sémantiques telles que le message n’a plus aucune consistance. Je veux pointer la responsabilité de nombreuses personnes qui choisissent de suivre, de croire et de soutenir n’importe qui, pourvu que cela leur fasse du bien. Aujourd’hui, il suffit pour les beaux parleurs de conforter les opinions et les émotions de tous les désespérés pour s’attirer une certaine popularité confinant parfois à une adulation sans limite. Si les raisons qui poussent autant de personnes à accorder leur confiance au premier « antisystème » venu ou autoproclamé sont éminemment compréhensibles, il n’en demeure pas moins que c’est une impasse.
     
    Je vous demande de bien y réfléchir : nous n’obtiendrons aucun progrès si nous continuons à utiliser les schémas du passé. Le mal est si profond qu’il ne s’agit plus seulement de remplacer les représentants actuels par d’autres qui seraient plus justes ou plus méritants. S’arrêter à cela ne nous mènera nulle part. Nous ne devons plus adhérer à tel ou tel discours comme nous nous attachons parfois à telle marque ou produit de consommation sur un vague ressenti ou une simple intuition. L’étape essentielle que nous devons franchir consiste à ce que chacun augmente son niveau de connaissances pour se donner les moyens, à terme, d’identifier de bons représentants et de contrôler leurs actions.
     
    Ce que je veux vous dire, c’est que c’est avant tout à chacun de vous, derrière votre écran, de reprendre le contrôle, de redevenir acteur de votre réflexion et non plus seulement consommateur d’idées préconçues et simplistes. Autrement dit, nous devons travailler à élever notre niveau de conscience pour aiguiser notre esprit critique. Il s’agit très concrètement de prendre le temps de réfléchir, de lire des livres, d’écouter des conférences, d’accepter de débattre contradictoirement. Penser contre soi-même, se remettre en question, faire preuve d’humilité. Tous les jours, sans relâche. « Ai-je raison de penser cela ? Pourquoi celui-là n’est-il pas d’accord avec moi ? Il doit avoir des raisons. Je dois impérativement les comprendre avant de le juger ». Cela n’a rien à voir avec le fait de s’intéresser et de réagir au gré des informations qui nous parviennent sur notre mur Facebook. C’est un tout nouvel état d’esprit qui doit nous habiter empreint de curiosité, de tolérance et d’une soif insatiable de progresser. Lâchez votre téléphone ! Pensez, débattez, instruisez-vous ! Là est notre salut. J’ai conscience que le chemin du savoir est très difficile et exigeant, mais si j’ai une seule certitude, c’est qu’il n’en existe aucun autre. Et s’il est une chose que je peux vous garantir, c’est que connaissance et bienveillance sont les ingrédients qui nous permettront de produire un bouleversement majeur, une rupture radicale avec le monde d’aujourd’hui.
     
    En cette période où les tempêtes ne font que commencer, ne vous méprenez pas : aucun de ceux qui participent au débat public ne sont des héros et je m’inclus évidemment dans cette vérité. L’heure des choix sacrificiels qui révèlent les courageux n’a pas encore sonné. Les êtres exceptionnels, les authentiques, sont tous ceux qui consacrent une part de leur temps au quotidien pour aider leurs prochains. Réservez votre admiration à ces héros du quotidien plutôt qu’a ceux qui paradent sur les plateaux de télévision et autres médias internet. Et par-dessus tout, je vous en conjure : fiez-vous aux idées, pas aux personnes.
     
    Pour ce qui me concerne, j’irai au bout des objectifs que je m’étais assignés : écrire un livre et partager mes analyses en vidéo pour tenter de donner des clés de compréhension essentiels sur notre système politique actuel et proposer les moyens de le dépasser.
     
    Il me reste encore une quinzaine de vidéos à produire sur la chaîne You Tube pour restituer le contenu de mon livre. C’est ce que je vais m’appliquer à faire jusqu'aux présidentielles, et je profiterai certainement de la campagne électorale pour publier des vidéos supplémentaires qui viendront compléter mes explications.
     
    Après cela, je crois que j’aurais fait ma part. Et il sera alors vraisemblablement temps pour moi de me retirer de la vie publique. Sans joie certes, mais je l’espère sans regret et avec le sentiment au moins partiel du devoir accompli. Je reprendrai le fil de ma vie là où je l’aurai laissé près de quatre ans auparavant. Je continuerai bien sûr à suivre attentivement l’évolution de notre pays, mais de loin. Loin en tout cas de l’hystérie collective qui s’est emparée des consciences. Je m’efforcerai à acquérir de nouvelles connaissances pour affiner ma compréhension du monde. Je ferai de mon mieux pour faire le bien autour de moi. Avec l’espoir qu’un jour peut-être, grâce au travail que chacun de nous aura réalisé à l’ombre des regards, les jours heureux soient de nouveau à portée de main. Ce jour-là n’adviendra que si nous réussissons à faire taire nos intérêts égoïstes pour agir collectivement et privilégier le bien commun.
     
    Je préférais vous dire dès à présent ce que j’ai à l’esprit pour éviter de vous prendre au dépourvu. Je sais la période assez désespérante et inquiétante pour ne pas ajouter la surprise à la déception.
     
    Je veux remercier tous ceux qui m’ont soutenu, même avec un esprit critique parfois, mais toujours avec bienveillance. Vous m’aurez donné une force que vous ne pouvez pas imaginer.
    Merci.
     
    F. BOULO, le 14/09/21
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire