• Cette semaine, Thomas BOURHIS, le Secrétaire du Syndicat CGT revient sur le "Bug" de la vaccination du personnel du CHRU Brest avec AstraZeneca, le CHSCT extraordinaire qui s'en est suivi. Deux bonnes nouvelles aussi : concernant l'impact du Covid sur la prime de service et des victoires au tribunal administratif qui ouvrent des perspectives en matière de reconaissance de maladie professionnelle. Il fait aussi le point sur les actions revendicatives des personnels administratifs d'ORL, les sages-femmes, les "oubliés du Ségur" et l'action du 19 février. Il termine la vidéo par un rappel concernant les élections à la CNRACL (Caisse de retraite des personnels de l'hôpital)

     

     

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  • Une quinzaine d’enseignants du lycée Amiral-Ronarc’h étaient mobilisés en marge du conseil d’administration de l’établissement, ce mardi soir. Une quinzaine d’enseignants du lycée Amiral-Ronarc’h étaient mobilisés en marge du conseil d’administration de l’établissement, ce mardi soir. 

    Une quinzaine d’enseignants du lycée Amiral-Ronarc’h, à Brest, ont manifesté leur mécontentement, ce mardi 16 février, en marge du conseil d’administration de l’établissement. En cause, notamment, la suppression annoncée d’un poste.

    Ce mardi soir, les représentants du personnel enseignant du lycée Amiral-Ronarc’h, à Brest, ont déposé une motion, lors du conseil d’administration de l’établissement. Leurs inquiétudes portent sur la dotation globale horaire et les « graves conséquences qu’elle implique pour les personnels, les élèves et les conditions de travail de tous. Malgré la volonté de faire au mieux manifestée par notre équipe de direction ». 

    « La politique de l’académie est d’imposer deux heures supplémentaires à chaque enseignant, explique une professeure. Les conséquences, c’est que si on fait tous des heures en plus, il y a besoin de moins de personnels. Aujourd’hui, nous déplorons la suppression d’une classe de STMG à la rentrée 2021, entraînant celle d’un poste d’enseignant en gestion ».

    Plus généralement, les enseignants s’insurgent contre la mise en place de la réforme du lycée qui a, selon eux, « dégradé les conditions de travail. M. Blanquer parle d’une très bonne réforme, alors que ce n’est pas du tout le ressenti de terrain ». La motion rédigée par les élus représentant les enseignants va être glissée au procès-verbal de séance, « afin que le rectorat ait connaissance de nos inquiétudes », conclut un enseignant.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Jean Kervision est décédé à l’âge de 93 ans.Jean Kervision est décédé à l’âge de 93 ans. 

    Très engagé politiquement, Jean Kervision est décédé à l’âge de 93 ans. Né en 1928 au Guilvinec, l’homme avait adhéré aux Jeunesses communistes en septembre 1944 puis, en mars 1945, au PCF. Il fut ensuite militant communiste dans la section de Plozévet. À partir de 1961, il milita dans la section communiste du Guilvinec et en fut le secrétaire à partir de 1972. Puis, il fut secrétaire de la section communiste du Pays bigouden, qui regroupait les différentes sections des cantons du Guilvinec et de Pont-l’Abbé. Il fut le directeur et le rédacteur en chef du Travailleur bigouden, mensuel puis trimestriel des sections bigoudènes du PCF, de sa fondation en 1966 à sa disparition en 1993.

    Conseiller municipal et adjoint au maire du Guilvinec de 1983 à 1989

    Jean Kervision s’était aussi investi dans les luttes laïques du département. Secrétaire général du Comité départemental d’action laïque, il fut directeur de la revue Action laïque Bretagne. Il s’était présenté comme candidat au Conseil général dans le canton de Pont-l’Abbé en 1979. Il fut élu conseiller municipal et adjoint au maire du Guilvinec de 1983 à 1989. Toujours militant, il avait poursuivi son engagement au sein du comité du Secours populaire Treffiagat-Plomeur jusqu’au milieu de l’année 2010.

    Jean Kervision avait fait toute sa carrière professionnelle en tant qu’instituteur. Il avait débuté en 1949, à Guiller-sur-Goyen, puis était devenu, en 1961, directeur de l’école de Plomeur où il était resté jusqu’à sa retraite en 1983.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • À Quimper, ouverture de l’épicerie solidaire étudiante ce mardi à 15 h

    C’est parti ! Les associations étudiantes de Quimper (Acid Quimper, Sen’art et la League) concrétisent, ce mardi, leur projet d’épicerie solidaire à destination des étudiants en difficulté.

    L’épicerie solidaire dédiée aux étudiants ouvrira pour la première fois ce mardi, à 15 h, dans les locaux du foyer des étudiants sur le pôle universitaire Pierre-Jakez-Helias, à Créac’h-Gwen, à Quimper.

    L’épicerie solidaire, montée par trois associations étudiantes quimpéroises, est ouverte à tous les étudiants en difficulté dans ce contexte de crise sanitaire.

    Elle est ouverte tous les mardi et vendredi de 15 h à 17 h 30, à partir compter de ce mardi. Les étudiants se verront proposer un panier de denrées alimentaires et autres produits d’hygiène pour la somme de 1 €.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • De nombreuses mobilisations ont déjà eu lieu dans le Finistère, comme ici à l’école Ferdinand-Buisson de Brest.De nombreuses mobilisations ont déjà eu lieu dans le Finistère, comme ici à l’école Ferdinand-Buisson de Brest. 

    Dans une lettre adressée ce mardi 16 février au ministère de l’Éducation nationale et au recteur d’académie, 22 associations de parents d’élèves du Finistère montent au créneau contre les suppressions de classe envisagées dans l’enseignement primaire.

    Souhaitant exprimer leur « désarroi » face au projet de carte scolaire pour la rentrée 2021 dans l’enseignement primaire dans le Finistère, 22 associations de parents d’élèves ont rédigé une lettre ouverte à l’attention du Comité technique spécial du Finistère. Celui-ci se tiendra jeudi 18 février. « Nous avons appris par voie de presse la fermeture annoncée de 54 classes dans le département, dans des écoles monolingues et bilingues, dans des écoles en Rep (Réseau d’éducation prioritaire) ou non, des écoles de campagne ou de centre-ville. Nous sommes tous concernés ! Cette décision du comité technique spécial départemental (CTSD) ne peut nous laisser indifférents et nous souhaitons collectivement manifester notre désapprobation face à cette décision lourde de conséquences pour nos enfants et nos enseignants ».

    « Nous n’avons clairement pas été entendus ! »

    Le collectif d’associations de parents d’élèves poursuit : « Ces suppressions de poste, basées uniquement sur des suppositions d’effectifs à la rentrée prochaine, nous paraissent totalement irrespectueuses des besoins des élèves. Nombre d’entre nous avons tenté de nous faire entendre par des rassemblements dans le respect des gestes barrières, des communiqués de presse, des pétitions. De nombreuses écoles ont également reçu le soutien des élus locaux. Pour autant, le 9 février, le comité technique spécial départemental, après un vote contre et la mobilisation des parents, a choisi de représenter son projet dans la même soirée sans aucune modification. Nous n’avons clairement pas été entendus ! »

    En conséquence, les parents d’élèves et représentants des conseils d’école demandent à « être entendus et reçus par le comité technique spécial départemental pour l’avenir de nos enfants. Nos enfants ne sont pas simplement des chiffres. Les enseignants méritent également plus de respect et ne méritent pas ces suppressions de poste annoncées (quatorze postes de remplaçants supprimés). Ne sacrifiez pas l’éducation de nos enfants sur la base d’un tableau excel ! »

    Les 22 associations signataires :

    - Association de parents d’élèves - Amicale laïque de Lambézellec - Brest

    - Parents élus au Conseil d’école – Groupe scolaire Ferdinand Buisson - Brest

    - Représentants des parents d’élèves des Cormorans - Carantec

    - Association de parents d’élèves du groupe scolaire des 4 Moulins - Brest

    - Parents élus du groupe scolaire des 4 Moulins - Brest

    - Association de parents d’élèves de l’école publique Ar Roudour - Guerlesquin

    - Parents élus au conseil d’école du groupe scolaire du Bourg - Plouzané

    - Association de parents d’élèves école Jules Ferry - Plounéour-Ménez

    - Association des Parents d’élèves de l’école du Marronnier – Rédéné

    - Association de parents d’élèves Gouleou Jules Ferry - Saint-Martin-des-Champs.

    - Association de parents d’élèves Div Yezh Plozeved de l’école Georges Le Bail - Plozévet

    - Parents élus au conseil d’école d’Emile Zola - Quimper

    - Parents élus de l’école Quéliverzan - Brest

    - Association de parents d’élèves de l’École du Lac - Plabennec

    - Parents élus au conseil d’école de l’école Jacques Prévert - Brest

    - Représentants des parents de l’école Marc Bourhis - Trégunc

    - Association de parents d’élèves de l’école du Véléry – Plourin Les Morlaix

    - Association des Parents d’Élèves de l’école publique intercommunal Pierre Jakez Hélias - Pouldreuzic/Plovan.

    - Association Div Yezh Kleder de l’école Per Jakez Helias – Cléder

    - Représentants des parents d’élèves de l’école du bourg de Plouégat-Guérand.

    - Amicale Laïque de Plouégat-Guérand

    - Association Div Yezh Ar Vro Vigouden de l’École Publique Louis Courot à Plomeur

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Une classe de l’école primaire Kersquine serait supprimée à la rentrée 2021. (Photo d’illustration)

    Pour lutter contre la fermeture de classe, l’association des parents d’élèves de l’école Kersquine à Quimperlé (Finistère) a lancé une pétition pour collecter un maximum de signatures sur le site Change.org.

    L’association des parents d’élèves (APE) de l’école Kersquine, à Quimperlé (Finistère), vient de lancer une pétition contre la fermeture d’une classe de primaire à la rentrée 2021.  Il n’est pas prévu de remplacer un des enseignants partant à la retraite dans le but de supprimer une classe au sein de ce groupe scolaire », ​écrit l’association en introduction de sa pétition.

    L’école de Kersquine, c’est environ 300 élèves divisés sur douze classes de la petite section au CM2, donc en moyenne 25 élèves par classe.

    « Des risques d’augmentation de classe à demi-niveau »

    Pour l’association des parents d’élèves,  une classe en moins c’est : des classes (sur)chargées à leur maximum, des difficultés de respect du protocole sanitaire (plus d’enfants dans une classe dans des locaux qui ne sont pas extensibles), des risques d’augmentation de classe à demi-niveau. 

    Ce mardi 16 février 2021, pas loin d’une centaine de personnes a déjà signé la pétition mise en ligne le 14 février sur le site Change.org.  Nous avons besoin de l’aide de tout le monde, parents d’élèves et habitants de Quimperlé pour signer cette pétition et la faire partager un maximum, poursuit l’APE. Supprimer un poste, donc une classe, est très simple. Mais regagner un poste par la suite s’avère souvent quasi impossible… 

    D’autres pertes de classes

    À noter que, outre une classe à Kersquine, selon les syndicats de l’éducation nationale, les documents de travail de la prochaine rentrée évoquent la perte d’une classe pour les écoles élémentaires Bertrand-Ollivier de Locunolé, du bourg à Moëlan-sur-Mer, du Marronnier à Rédéné. Par ailleurs, les mêmes documents envisagent l’ouverture d’une classe à l’école Pierre-Jakez-Hélias à Mellac et à l’IME (Institut médico-éducatif) François-Huon de Quimperlé. 

    Contact : ape.kersquine@gmail.com

    source: https://www.ouest-france.fr/

    A lire également: Une pétition contre la fermeture d’une classe à l’école Kersquine à Quimperlé-letelegramme.fr du 16/02/21

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  • Santiago du Chili, 14 février (Prensa Latina) Le Parti communiste du Chili (PC) a officiellement lancé aujourd'hui dans cette capitale ses candidatures pour les importantes élections qui auront lieu le 11 avril prochain.

    Ce jour-là, plus de 15 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire les gouverneurs régionaux, les maires, les conseillers et les 155 membres de la Convention constitutionnelle qui rédigera la nouvelle Constitution.

    A l'extérieur du Musée des Beaux-Arts, la liste du PC et des indépendants a été présentée, composée de représentants du monde social, syndical, culturel et politique.

    Les dirigeants ont lu un manifeste dans lequel ils ont réaffirmé leur engagement à "construire un Chili solidaire, inclusif, paritaire, multiculturel, diversifié et juste".

    Sous la direction du maire Daniel Jadue, candidat à la réélection, et sous le slogan "Jusqu'à ce que nous construisions un Chili digne et sans peur", les candidats ont souligné la nécessité de travailler à une nouvelle Constitution "des droits au service du peuple, démocratique, féministe et inclusive, qui jette les bases d'un modèle de développement durable".

    Nous sommes prêts à prendre l'engagement de construire un Chili différent, un pays solidaire, inclusif, égalitaire, multiculturel, diversifié et juste ; un pays où la peur de tomber malade, de vieillir, de manger ou d'étudier ne nous submerge plus", a déclaré Jadue, qui est également la personne la plus cotée dans les sondages pour une candidature à la présidence.

    Pour sa part, Karina Oliva, candidate au poste de gouverneur de la région métropolitaine, le deuxième poste le plus important du pays, a souligné la "vocation et la responsabilité politique de construire l'unité" avec ceux qui, au cours des 30 dernières années, ont été relégués de la vie politique, mais qui, depuis le 18 octobre 2019, se sentent suffisamment forts pour décider collectivement.

    Le président du PC, Guillermo Teillier, a souligné l'importance que la campagne électorale continue à être accompagnée par la lutte sociale de tant d'années et qui a pris une force particulière avec la révolte populaire d'octobre 2019.

    Il a expliqué que les candidats du parti font partie des expressions avec lesquelles le mouvement social se manifeste et est appelé à voter sans peur, comme l'exprime le slogan, et à ce que la population s'exprime fortement le 11 avril, comme cela s'est produit lors du plébiscite du 25 octobre 2020.

    L'activité a coïncidé avec la mobilisation de centaines de "cyclistes contre la répression", qui ont parcouru les rues importantes de la capitale, exigeant la libération des prisonniers politiques, et qui ont été accueillis par les candidats communistes à leur passage.

     

    source en espagnol:https://www.prensa-latina.cu/ 

    source en français: http://mouvementcommuniste.over-blog.com/

     

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  • 15/02/21 9H36
    Le Parti communiste du Venezuela (PCV) soutient les conclusions préliminaires du rapport présenté par le rapporteur spécial des Nations unies (ONU), Alena Douhan, après sa visite au Venezuela, où elle souligne que "les sanctions ont aggravé les problèmes préexistants et ont contribué à la perte des droits de l'homme de la population", et exige donc que les États-Unis et l'Union européenne lèvent ces mesures coercitives unilatérales imposées illégalement dans le but d'apporter un changement politique par des moyens non démocratiques dans le pays.

    Les effets de ces mesures, comme le souligne le document, ont été dévastateurs principalement sur les secteurs les plus vulnérables de la société : les personnes vivant dans l'extrême pauvreté, les femmes, les enfants, le personnel médical, les personnes handicapées ou souffrant de maladies chroniques et les populations autochtones.

    L'impact négatif des mesures coercitives, combiné à la crise générée par l'effondrement du modèle rentier, aux erreurs dans les politiques de planification économique et aux déviations telles que la corruption et l'inefficacité dans la gestion de l'État vénézuélien, ont provoqué la migration forcée de milliers de compatriotes, la fuite des cerveaux et de la main-d'œuvre qualifiée qui contribuent à la débâcle de notre système productif qui présente aujourd'hui des indicateurs désastreux uniquement comparables aux pays frappés par les guerres impérialistes.

    Nous considérons que la situation actuelle non seulement viole les droits de l'homme, y compris les droits à la vie, à l'alimentation, à la santé et au développement, mais qu'elle affecte aussi gravement l'exercice des droits démocratiques en favorisant une balkanisation de la politique où des intérêts concurrents s'opposent au contrôle des institutions, des ressources financières et du pouvoir de l'État, ce qui provoque des tensions qui empêchent la réalisation d'un dialogue transparent et global incluant tous les secteurs de la société pour la solution du conflit interne.

    Nous avertissons également que l'accentuation des contradictions dans la sphère économique et politique a pour conséquence l'accentuation des courants philo-fascistes et d'ultra-droite sur la scène politique.

    Nous soutenons la demande du rapporteur aux gouvernements du Royaume-Uni, du Portugal et des États-Unis et aux banques correspondantes de débloquer les actifs de la Banque centrale du Venezuela pour l'achat de médicaments, de vaccins, de nourriture, d'équipements médicaux et autres, de pièces de rechange et d'autres biens essentiels afin de garantir les besoins humanitaires aggravés par la pandémie de Covid-19.

    Depuis 2015, date à laquelle l'administration Obama a déclaré que le Venezuela représentait une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité intérieure des États-Unis, le Parti communiste du Venezuela (PCV) et le mouvement communiste international ont mené de nombreuses campagnes contre l'application et pour la cessation des mesures coercitives en tant qu'outil d'ingérence dans notre système démocratique.

    Les travailleurs du Venezuela souffrent également des conséquences de la crise capitaliste mondiale dans le scénario post-pandémique, aggravée par la situation économique interne complexe et par les mesures coercitives illégales imposées par l'impérialisme.

    La perte presque totale de la valeur du salaire, dont le montant ne couvre même pas aujourd'hui 1% du panier alimentaire de base, expose 90% de la population au niveau de pauvreté extrême et rend la population de plus en plus dépendante des subventions et de l'aide du gouvernement, des transferts de fonds et des activités informelles et illégales pour survivre, tout en annulant les gains des travailleurs et du peuple obtenus dans le cadre du processus de libération nationale au cours des 20 dernières années.

    Le débat sur les salaires doit tenir compte de la situation générée par les mesures coercitives, mais celles-ci ne doivent pas être une excuse pour ne pas faire de la nécessité d'un large consensus sur la récupération des revenus des familles vénézuéliennes, incluant tous les secteurs, mais surtout les travailleurs, et pas seulement le gouvernement et l'élite des entreprises, une priorité dans le scénario actuel.

    Il est de plus en plus évident qu'il n'y a pas de sortie de crise en faveur du peuple dans les limites du système capitaliste, et c'est pourquoi il est nécessaire de chercher des solutions qui tiennent compte de la vision des travailleurs de la campagne et de la ville, des secteurs populaires, qui sont aujourd'hui majoritaires dans le pays et qui ne sont pas représentés dans les mesures néolibérales définies par la loi anti-blocage qui cherche uniquement à attirer les capitaux et l'argent facile et rapide, et non la réactivation productive du pays.
     

    Dans ces conditions difficiles et complexes, le Parti Communiste du Venezuela (PCV) appelle à poursuivre l'unité populaire des secteurs des travailleurs, des paysans, des communards, des couches moyennes appauvries, à avancer dans la défense de leurs droits et dans la promotion de la production nationale ; de poursuivre l'avancée vers la formation d'un large front anti-impérialiste national et mondial de continuer l'activisme en exigeant des puissances impérialistes la fin des mesures coercitives afin que le peuple vénézuélien puisse, sans aucune contrainte, pratiquer l'exercice de la démocratie et trouver un consensus pour surmonter le conflit existant et qui s'aggrave dans la vie économique, politique et sociale du pays aujourd'hui.

    Le Parti communiste du Venezuela (PCV) et le mouvement populaire révolutionnaire vénézuélien exigent non seulement la fin des mesures coercitives, mais aussi l'exercice d'actions visant à exiger la réparation des dommages causés à la nation, la réintégration des biens appartenant à l'État vénézuélien et la cessation de l'impunité de ceux qui ont commis des crimes contre l'humanité contre le peuple en demandant l'application de sanctions comme moyen de pression politique.

     

    sources: 

    https://prensapcv.wordpress.com/2021/02/14/pcv-sanciones-propician-balcanizacion-de-la-politica-y-resurgimiento-de-corrientes-de-ultraderecha/

    http://www.solidnet.org/article/CP-of-Venezuela-Sanciones-propician-balcanizacion-de-la-politica-y-resurgimiento-de-corrientes-de-ultraderecha/

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  • Quito, 15 février (Prensa Latina) Le Conseil National Electoral (CNE) de l’Équateur prépare aujourd’hui les détails pour le recompte des voix convenu avec des candidats en litige pour une place au second tour des élections présidentielles.

    Au cours de cette journée l’institution prévoit de définir l’instruction pour la révision qui sera faite cette semaine dans 17 des 24 provinces du pays, à la suite d’une réunion avec Yaku Pérez (candidat pour la coalition Pachakutik) et Guillermo Lasso (pour CREO) qui concourent pour la deuxième place et le passage au ballotage, après avoir obtenu une égalité technique de votes dans le calcul initial.

    Selon la décision de la rencontre, le CNE devrait recompter 100 pour cent des suffrages dans la province de Guayas et 50 pour cent dans les 16 autres provinces : Azuay, Bolivar, Chimborazo, Cotopaxi, Chimborazo, El Oro, Esmeraldas, Imbabura, Loja, Los Rios, Manabí, Morona Santiago, Pichincha, Tungurahua, Santo Domingo et Santa Elena.

    La Directrice du processus électoral du Conseil, Lucy Pomboza, rédigera l’instruction.

    Le document contiendra des spécifications sur le mécanisme de comptage de 50 % des suffrages dans les 16 provinces susmentionnées et sur les conseils de réception des votes choisis pour cette procédure.

    Selon certaines sources, cette révision comprendra environ 6 millions de bulletins de vote, soit 45 % des personnes recensées, un peu plus de 13 millions de citoyens.

    Le candidat qui en sortira gagnant affrontera le 11 avril prochain Andrés Arauz, candidat pour le mouvement progressiste Union pour l’espoir (UNES), vainqueur du premier tour avec 32,7% du total des bulletins.

     

    source en espagnol:  http://frances.prensa-latina.cu/

    source en français: http://mouvementcommuniste.over-blog.com/

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