• Kalune

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  • Dès le 23 mars, et durant près de trois mois, Mona Amraoui, infirmière du CHRU de Brest, a apporté son aide à l’hôpital Lariboisière de Paris. Yann Castanier, Ouest FranceDès le 23 mars, et durant près de trois mois, Mona Amraoui, infirmière du CHRU de Brest, a apporté son aide à l’hôpital Lariboisière de Paris. 

    Au printemps dernier, alors contractuelle au CHRU de Brest, elle s’était portée volontaire auprès des hôpitaux de Paris, débordés par l’épidémie. Virée injustement puis réembauchée, elle a quitté l’hôpital. Elle se refait une santé dans une entreprise brestoise.

    Mona Amraoui, 26 ans, est toujours infirmière. Mais pas au CHRU de Brest. « Qu’on ne me parle plus de l’hôpital ! » Depuis six mois, elle est infirmière référente Covid-19, en intérim, au sein de la médecine au travail, à Naval Group, à Brest.

    Un service important dans cette entreprise spécialisée dans la Défense navale. « On m’a surnommée Miss Covid », sourit-elle. Elle apprécie son poste. « Je peux mettre à profit mon expérience de l’épidémie. »

    Elle définit des protocoles pour des essais en mer, réalise des tests PCR ou antigéniques, des tracings de cas contacts, ou gère des « foyers épidémiques ». « Il y a eu beaucoup de travail fin octobre et début novembre. »

    « Des horaires stables »

    « C’est très différent de l’hôpital. Je fais davantage d’administratif, même s’il m’arrive encore de donner des soins en cas de blessure. » Elle a « des horaires stables, du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h 30. » Fini le travail de nuit ou les week-ends.

    Mona peut enfin s’occuper pleinement de sa petite fille de deux ans. Et reprendre pied après une année 2020 traumatisante. En cette fin décembre, elle profite même d’une semaine de congés, à Paris, chez son père. « Mes premières vacances depuis très longtemps ! »

    Pour rappel, alors jeune diplômée de l’école d’infirmiers de Brest en juin 2019, Mona Amraoui travaille comme contractuelle au CHRU de Brest. En mars 2020, l’activité classique de l’hôpital est arrêtée en raison de l’épidémie. Comme la plupart des agents, Mona se retrouve désœuvrée chez elle. 

    Une aide spontanée

    Le 20 mars, lorsque l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), débordée, lance un appel à volontaires, l’infirmière brestoise répond spontanément. Elle part seule et se retrouve, dès le 23 mars, à travailler, de nuit, auprès de malades Covid. Sa situation est régularisée entre les deux hôpitaux. Mais elle découvre que son contrat a été rompu par le CHRU qui lui reproche un abandon de poste !

    Face au scandale, l’hôpital brestois réembauche l’infirmière pour trois mois même si elle reste à disposition de l’hôpital Lariboisière. Jusqu’en juin, elle travaille à Paris. Trois mois en enfer !

    « Le Covid, ce n’est pas une légende ! Ni une gripette ! » A Lariboisière, elle exerce dans un service Covid classique. Les moyens manquent. « Quand certains étouffaient faute d’oxygène, on ne savait jamais s’il y aurait de la place en réanimation. Certains sont décédés… » 

    « Pas du cinéma, ma vie ! »

    Elle est sans doute l’infirmière volontaire brestoise qui a aidé les hôpitaux parisiens sur la période la plus longue.

    De retour à Brest, elle a un entretien avec les Ressources humaines du CHRU. « L’hôpital n’a pas eu un mot pour mon engagement. Pire, on m’a dit : « On ne va pas refaire le film de votre histoire ». Sauf que ce n’était pas du cinéma, c’était ma vie ! »

    Mona décide de quitter cet hôpital si peu bienveillant à son égard. « Je ne regrette pas l’institution mais le métier me manque. » Son intérim à Naval Group se terminera fin mars. Ensuite, elle envisage de devenir infirmière en libéral, en espérant un statut moins précaire. Pour « refaire du soin », sa raison d’être. Tout en continuant de se former.

    « Un jour, une ancienne patiente m’a dit qu’elle avait écrit à l’hôpital pour signaler que je m’étais bien occupée d’elle. Ça m’a touchée ! »

    Laurence GUILMO 
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  • Colette David, pour Amnesty International, lors de la prise de parole samedi à Quimperlé.Colette David, pour Amnesty International, lors de la prise de parole samedi à Quimperlé

    Ce samedi après-midi, à Quimperlé (Finistère), 80 personnes ont manifesté contre la loi de sécurité globale.

    Ils étaient un peu moins que samedi dernier, place Saint-Michel, en haute-ville de Quimperlé. Mais leur motivation ne faiblit pas pour dire « stop à la loi de sécurité globale. Des prises de paroles ont eu lieu de différents mouvements et associations : Ligue des droits de l’Homme, Mouvement de la Paix, Gilets jaunes, Amnesty International. Samedi prochain, le rendez-vous est pris pour manifester cette fois-ci à Lorient.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Frédéric Taddeï reçoit Michel Collon, fondateur d’Investig’Action, qui publie en deux volumes «Planète malade», la première véritable enquête internationale sur la pandémie de Covid-19.Frédéric Taddeï reçoit Michel Collon, fondateur d’Investig’Action, qui publie en deux volumes «Planète malade», la première véritable enquête internationale sur la pandémie de Covid-19.

     

     Retrouvez Investi'Action: ICI

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  • Forte de ses plus de 100 millions de syndicalistes dans le monde entier, la Fédération Syndicale Mondiale est engagée pour la paix. En 2021 elle appelle à rejoindre sa campagne pour la libération des enfants palestiniens prisonniers des geôles israéliennes.

    Plus de 200 enfants palestiniens sont actuellement emprisonnés par le régime de Tel Aviv. Depuis 2000 c’est 12 000 enfants palestiniens qui ont ainsi été emprisonnés. L’association France Palestine dans son rapport annuel sur les prisonniers politiques palestiniens en Israël rappelle :

    ” Le nombre de mineurs palestiniens arrêtés par les militaires israéliens, les mauvais traitements qu’ils subissaient entre leurs mains et les peines excessives auxquelles ils étaient condamnés – pour des jets de pierre le plus souvent – ont justifié la rédaction par l’ d’un rapport sous le titre « Enfants palestiniens détenus : observations et recommandations », qu’elle a rendu public le 3 mars 2013 avec une solennité inhabituelle. Ce rapport relève que les mauvais traitements auxquels les militaires israéliens soumettent les enfants palestiniens qu’ils arrêtent – à raison de 700 par an – s’inscrivent dans un système de détention « systématique et institutionnalisé » qui « n’existe dans aucun autre pays »

    Observons que les soit disant chantre des droits de l’homme mais vrais propagandiste des guerres impérialistes et commerciales, qui actuellement ne cessent de mener une campagne guerrière contre la Chine, sont totalement silencieux sur la question.

    JBC 

     

    CAMPAGNE INTERNATIONALE DE LA FSM: Libérez tous les enfants Palestiniens prisonniers des prisons israéliennes! Appel à des actions de solidarité partout dans le monde

    La campagne internationale de la  pour la libération des prisonniers Palestiniens, en particulier les enfants, des prisons israéliennes, qui a débuté le 1er janvier 2021, est une importante campagne internationaliste pour la libération de plus de 155 enfants qui sont actuellement détenus dans les prisons d’occupation. Nous demandons également la libération de 4.500 prisonniers politiques Palestiniens, parmi lesquels des femmes, des personnes âgées, des malades et des handicapés. Leurs droits sont violés par l’état Israélien, il n’y a pas de protection de leur santé avec des soins de santé adéquats et aucune mesure de protection ou de vaccination contre le Coronavirus pendant la Pandémie de COVID-19.

    Le 6 janvier, la FSM a adressé un mémorandum au Comité  de la Croix-Rouge en , pour les prisonniers Palestiniens, en particulier les enfants, demandant leur libération immédiate et la protection de leurs droits, et des manifestations de solidarité ont eu lieu dans trois villes de Palestine et au Liban devant les bureaux de la Croix-Rouge. Nous appelons tous les syndicats militants, membres et amis de la FSM dans le monde entier, à organiser des manifestations au mois de janvier 2021, devant les bureaux de la Croix-Rouge de votre pays, adresser des mémorandums à la Croix-Rouge soutenant la campagne, prendre des photos de vos manifestations et après envoyer ces photos aux Bureaux Centraux de la FSM.

    Joignons nos efforts et nos voix, pour défendre la liberté et les droits des enfants Palestiniens, pour défendre les intérêts du peuple Palestinien, des travailleurs de tous les pays, contre toute injustice et action criminelle à l’encontre des travailleurs et de leurs familles.

    Que personne ne soit seul dans les luttes!

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • OUI ! À L’alternative Écologique Et Sociale

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  • Une mobilisation est prévue mardi 12 janvier 2021, de 8 h à 9 h, au collège Jean-Marie Le Bris à Douarnenez (Finistère).Une mobilisation est prévue mardi 12 janvier 2021, de 8 h à 9 h, au collège Jean-Marie Le Bris à Douarnenez (Finistère).

    Mardi 12 janvier 2021, de 8 h à 9 h, un collectif d’enseignants du collège Jean-Marie Le Bris à Douarnenez (Finistère) lance un appel à la mobilisation. Il réclame l’affectation d’auxiliaires de vie scolaire dans plusieurs classes.

    Mardi 12 janvier 2021, de 8 h à 9 h, un collectif d’enseignants appelle à la mobilisation au collège Jean-Marie Le Bris à Douarnenez (Finistère). Depuis plusieurs semaines, ces enseignants remettent en cause « un important dysfonctionnement » sur l’affectation d’auxiliaires de vie scolaire (AVS) dans plusieurs classes du collège. « Depuis le 2 novembre 2020, ce sont plus de 500 heures qui n’ont pas été remplacées, au détriment de la qualité d’accueil de l’ensemble des collégiens », explique le collectif dans un communiqué.

    Des demandes laissées sans réponses

    Le collectif indique que la direction du collège a formulé des « demandes instantes auprès des services compétents ». Mais à ce jour, « nous n’avons ni remplaçant, ni nouvelle nomination », regrette-t-il.

    Sans compter que des demandes d’AVS auraient été formulées, en ce début d’année, par la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) pour deux élèves. Des nouvellesnotifications qui « ne sont pas respectées »

    « Des élèves risquent de décrocher »

    Pour ces enseignants, la situation est critique et intolérable. « Des élèves, habituellement accompagnés par un AVS, risquent de décrocher alors qu’ils étaient en réussite scolaire jusqu’ici. » Ils ajoutent aussi que ce dysfonctionnement entraîne une situation ingérable dans l’exercice de leurs fonctions. « Comme nous devons pallier le manque d’AVS, nous sommes moins disponibles pour soutenir et faire progresser l’ensemble des élèves. » 

    Le proviseur de la cité scolaire, Régis Dordor, a fait part aux enseignants « de nouvelles demandes communiquées cette semaine aux instances concernées en expliquant la gravité de la situation ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les cours en présentiel vont d’abord reprendre pour les étudiants en première année, et avec beaucoup de précautionsLes cours en présentiel vont d’abord reprendre pour les étudiants en première année, et avec beaucoup de précautions

    À Brest, Quimper, ou Morlaix, ils n’ont plus de cours dans les locaux de l’Université de Bretagne occidentale depuis le 2 novembre 2020. Les premières années reprendront en priorité, à partir de lundi 11 janvier 2021, mais en très limité. Pour les autres, la date du 8 février est avancée mais reste théorique, en fonction de l’épidémie.

    Du 11 au 19 janvier, dix max

    Quel retour des étudiants finistériens en présentiel ? À l’Université de Bretagne occidentale (UBO), la reprise sera très limitée et avec beaucoup de précautions. Elle s’effectuera dans le cadre d’une circulaire ministérielle du 20 décembre. Elle concerna en priorité les post-bacs. À partir de lundi 11 janvier 2021, des groupes de 10 étudiants de première année (licence, IUT, etc.) seront autorisés à revenir sur site. « Ce ne sera pas des cours mais un tutorat pédagogique, précise Matthieu Gallou, président de l’UBO, sensible à la situation difficile que vivent les étudiants. Ils pourront échanger entre eux, avec un tuteur ou un enseignant, sur leur vécu. Ils pourront aussi évoquer le retour sur les examens qu’ils ont eu décembre. » Précisons que les travaux pratiques (TP) demeurent possibles, sur dérogation du rectorat, pour toutes les promotions, quel qu’en soit le niveau.

    Du 20 janvier au 6 février inclus

    À partir du mercredi 20 janvier, toujours pour les étudiants de première année, la jauge autorisée sera augmentée à 50 % des effectifs. « Attention, ce n’est pas garanti. C’est soumis à l’évolution sanitaire », précise le président. Une jauge identique à celle qui avait été mise en place en septembre 2020. « Pas de cours en amphi mais de vrais enseignements sur site. » Les étudiants en recherche de stage peuvent contacter Cap Avenir.

    À partir du 8 février

    Le 8 février est la date théorique à partir de laquelle pourraient reprendre les enseignements en présentiel pour tous les niveaux de l’UBO. Là aussi, avec 50 % des effectifs. Mais il faudra que l’épidémie soit contenue. Et « même si le Finistère est moins touché par l’épidémie que d’autres départements, la logique demeure nationale concernant les universités. On doit faire avec… », commente Matthieu Gallou.

    Laurence GUILMO

    source:  https://www.ouest-france.fr/

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  • Les agents grévistes se sont relayés devant le dépôt de la Qub, au Petit-Guelen, ce vendredi 8 janvier 2021 à Quimper (Finistère).Les agents grévistes se sont relayés devant le dépôt de la Qub, au Petit-Guelen, ce vendredi 8 janvier 2021 à Quimper (Finistère). 

    Ces femmes et ces hommes conduisent les bus de la Qub à Quimper (Finistère). Ce vendredi 8 janvier 2021, environ 70 d’entre eux ont fait grève pour exprimer leur incompréhension après le licenciement d’un des leurs. Leurs représentants syndicaux appellent à davantage d’échanges et de médiation avant la prise de sanctions. Sanction qu’ils jugent en ce cas disproportionnée.

    Devant le dépôt de la Qub, le réseau de transports de bus de Quimper (Finistère), le brasero chauffe depuis le petit matin de ce vendredi 8 janvier 2021. Près de 70  conductrices et conducteurs de bus s’y sont relayés pour exprimer leur « incompréhension » après le licenciement pour faute grave d’un des leurs, en décembre  2020.

    La direction considère que ce chauffeur n’a pas respecté les consignes de sécurité et n’a pas adopté le comportement approprié vis-à-vis d’un passager en fauteuil roulant.

    Pour les grévistes, de la qualification de « faute grave » au déroulement de la procédure, rien ne va. « Il lui a dit par trois fois de s’installer dans l’espace dédié, rappelle Frédéric Le Brun, délégué syndical Unsa. La troisième fois un peu plus sèchement… » 

    « La peur dans la tête des collègues »

    Ce n’est pas le motif retenu pour qualifier la faute grave : « Il lui est reproché d’avoir continué à rouler », précise Éric Herpin, de la CFDT. Après dix jours à la maison, « une mise à pied à titre conservatoire que l’on juge injustifiée », le sort du chauffeur a été scellé en « à peine vingt-quatre heures », déplore-t-il. La rédaction du procès-verbal laisse également perplexes les représentants syndicaux.

    Un panneau posé devant les grilles du dépôt de la Qub Quimper (Finistère) en ce jour de grève, ce vendredi 8 janvier 2021. 

    Ce licenciement, rare au sein de l’entreprise, tout comme l’est la grève, sème « la peur dans la tête des collègues », relaie Azzedine Dahmani, représentant du personnel Unsa.Une délégation s’est rendue à la médecine du travail : « Le directeur s’est engagé à rencontrer notre direction », rapportent les responsables syndicaux qui réclament davantage de médiation et d’échanges après des situations délicates voire conflictuelles.

    Une délégation d’agents grévistes de la Qub s’est entretenue avec un médecin et le directeur de la médecine du travail ce vendredi 8 janvier 2021 à Quimper (Finistère). 

    « Nous sommes des humains, pas une ressource », s’affiche sur un panneau à l’entrée du dépôt : « Un chauffeur assure un service de huit heures ou huit heures et demie. On doit gérer tous les passagers, le Code de la route, la sécurité, les temps de parcours, liste Éric Herpin. Que la direction sorte des bureaux et nous accompagne pendant un service entier ! »

    Nelly CLOAREC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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