• Amoco: un titre fort d'Alain Barrière,  malheureusement toujours d'actualité !

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  • Gilliatt de Staërck, responsable national des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France, appelle tous les jeunes travailleurs de France à se mettre en grève et à rejoindre les manifestations pour combattre la contre-réforme des retraites.

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  • Défense du système de Santé : 500 manifestants à Brest (OF.fr-17/12/19-16h52)

    Reportage

    « Les internes sont stressés et épuisés. Au CHU de Brest, 61 % sont en grève. Ils ne font plus de garde à l’hôpital depuis le 10 décembre », lancent Gwenaël Cornec et Gaëlle Gaultier, du Syndicat des internes en médecine générale de Brest (MIG 29).

    « On nous demande toujours plus avec toujours moins. La gestion administrative de l’hôpital, ce n’est plus possible ! », assure Sylvain, infirmier en réanimation au CHRU de Brest depuis vingt ans. « Il faut changer le système de financement de l’hôpital ainsi que sa gouvernance. La règle doit être le juste soin pour le malade au moindre coût et non la recherche du tarif rentable pour l’établissement », confirme le professeur Michel Nonent, radiologue au CHRU.

    Mardi 17 décembre 2019, à Brest, il est 13 h. La manifestation monstre du matin contre la réforme des retraites vient de se terminer devant l’hôpital Morvan. Un symbole de lutte puisque, au CHRU, de nombreux services sont en grève depuis plusieurs mois. Vers 13 h 30, à l’appel d’une intersyndicale interprofessionnelle, une deuxième manifestation commence, également dans un cadre national, pour défendre le système de santé. La seule du département.

    « Pas si mal » 

    Ils sont environ 500, beaucoup moins que les 10 000 (selon la police) à 20 000 (selon les syndicats) du matin qui ont manifesté contre la réforme des retraites. « Ce n’est pas si mal, estime Christine Jacq, secrétaire générale de la CFDT santé sociaux du Finistère. Tout le monde ne peut pas, financièrement, se permettre de faire grève toute une journée. » Le syndicat avait d’ailleurs demandé à ses militants de « se scinder en deux », certains manifestant le matin et les autres, l’après-midi.

    Et puis, à l’hôpital, de nombreux grévistes ont été réquisitionnés pour assurer la continuité des soins.

    Prises de paroles devant la sous-préfecture, qui a aussi reçu quelques sacs de déchets.

    Les manifestants sont de Morlaix, Landivisiau, Landerneau, des Abers, de Bohars, de Brest, etc. Ils travaillent à l’hôpital (psychiatrie, urgences, etc.), dans des Ehpad, ou dans des associations d’aide à domicile. Tous déplorent des cadences infernales, un manque lits ou de places, et des salaires insuffisants.

    Des ordures et des déchets ont été déversés devant l’immeuble où se trouve la permanence du député LREM, Jean-Charles Larsonneur, boulevard Gambetta.

    Profitant des poubelles qui débordent en raison d’une grève des éboueurs, des manifestants ont déversé des ordures devant la permanence du député et la sous-préfecture, symboles du gouvernement et de l’État.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • C’est une journée de mobilisation record. Le chiffre des 2 millions de  est approché. La grève dans les transports est massive à la SNCF, la RATP, comme dans les ports.Les TGV, TER, RER et métros sont désormais à l’arrêt depuis 12 jours.

    La grève dans l’Education Nationale est énorme, avec près de 2 enseignants sur 3 en grève dans le secondaire, plus de 1 sur 2 dans le secondaire.

    L’intersyndicale pour le retrait du plan Macron a réussi à frapper un grand coup en mobilisant plus que la journée record du 5 décembre. Et les images parlent d’elle même. La CFDT comme l’UNSA et la CFTC ont fait un flop retentissant, leurs manifestations étaient vides.

    L’heure est à poursuivre la mobilisation, jusqu’au retrait total de la contre  par points. L’heure est à dénoncer ses commanditaires, l’Union Européenne du Capital qui en a donné l’ordre à son homme de main, Macron, dans ses recommandations écrites de juillet 2019.

    Tous ensemble, unis et déterminés, les travailleurs gagneront.

     

    Les chiffres : 1 800 000 manifestants dans 260 manifestations

    1.  : 350 000
    2.  : 200 000
    3. Toulouse : 120 000
    4. Bordeaux : 70 000
    5. Lyon : 45 000
    6. Nantes : 40 000
    7. Rouen : 35 000
    8. Lille : 30 000
    9. Le Havre : 30 000
    10. Grenoble : 30 000
    11. Rennes : 20 000
    12. Montpellier : 25 000
    13.  : 20 000
    14. Caen : 20 000
    15. Clermont Ferrand : 20 000
    16. Saint Etienne : 20 000
    17. Brest : 20 000
    18. Albi : 15 000
    19. Limoges : 15 000
    20. Toulon : 15 000
    21. Avignon : 15 000
    22. Perpignan : 15 000
    23. Nîmes : 15 000
    24. Tours : 15 000
    25. Valence : 15 000
    26. Pau : 14 000
    27. Nice 10 000
    28. Niort : 10 000
    29. Tarbes : 10 000
    30. Béziers : 10 000
    31. Saint Nazaire : 10 000
    32. Nancy : 10 000 (média)
    33. Bayonne : 8000 (média)
    34. Cherbourg : 9000
    35. Le Puy en Velay : 8000
    36. Quimper 7000
    37. Lorient : 7 000
    38. Angers : 6000 (police)
    39. Metz : 6500 (médias)
    40. Besançon : 6 000
    41. Dijon : 6000
    42. Blois : 6 000
    43. Chateauroux : 5 000
    44. Mulhouse : 5000
    45. Reims : 5000
    46. Périgueux 5000 (police)
    47. Valencienne : 4500
    48. Boulogne sur Mer : 4500
    49. Charleville Mézières : 4000
    50. Rodez : 4500 (police)
    51. Le Mans : 4400 (médias)
    52. Epinal : 4000
    53. Orléans : 4000 (police)
    54. Chambéry : 4000 (police)
    55. Angoulême : 3800 (police)
    56. Carcassonne 3500
    57. Narbonne 3500
    58. Troyes : 3000
    59. Montélimar : 3000
    60. Belfort : 3000
    61. Alès : 3000 (médias)
    62. Vannes : 3000 (Police)
    63. Auch : 2000 (Police)
    64. Agen : 2000 (média)
    65. Digne : 1900 (Police)
    66. Privas : 1500
    67. Calais : 1500 (médias)
    68. Draguignan : 1200 (Polices)
    69. Douai : 1000 (médias)
    70. Abbeville : 800

    Police indique un chiffre de la police, médias un chiffre de la presse local ne précisant pas la source

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Brest. Olivier Le Pichon : « Pour discuter avec le gouvernement, le préambule est le retrait » (OF.fr-17/12/19-18h31)Olivier Le Pichon, secrétaire général de l’union locale de la CGT du Pays de Brest

    Il y a un an, les syndicats riaient jaune. Aujourd’hui, ils parviennent à nouveau à rassembler contre le projet de réforme des retraites. Avec, pour la majorité de l’intersyndicale, un retrait de ce projet en préambule de négociations. Entretien avec Olivier Le Pichon, secrétaire général de l’union locale de la CGT du Pays de Brest.

    Ce 17 décembre, la mobilisation a été importante. Quels sont les chiffres de l’intersyndicale ?

    Il y avait plus de manifestants, à Brest et dans le département que lors de la manifestation du 5 décembre. On estime aujourd’hui, toutes villes confondues, le nombre des manifestants à 33 000 dans le Finistère, dont 20 000 à Brest. Cela montre que cette question des retraites est bien une affaire de société, intergénérationnelle, qui concerne les femmes et les hommes, les travailleuses et travailleurs mais aussi ceux qui sont privés d’emploi.

    Ce mois de décembre, le syndicalisme a retrouvé des couleurs. Il y a un an, lors du mouvement des Gilets jaunes, c’était plus compliqué…

    Nous avons vu l’an passé l’émergence dans l’espace public de personnes que nous, syndicalistes, avions du mal à contacter. Le syndicalisme est bien implanté dans les entreprises mais est plus en difficulté dans le monde du travail ubérisé, qui est plus le profil du Gilet jaune. Des individus seuls, atomisés, qui avaient besoin, à juste titre, de se montrer en public. Nous le reconnaissons, le syndicalisme n’était pas en capacité d’intégrer ces travailleurs précaires.

    Comment expliquez-vous l’ampleur de la mobilisation ?

    Les annonces du gouvernement ont joué. Il s’est empêtré dans une série de déclarations confuses. Le porteur de la réforme, Jean-Paul Delevoye, est embarqué dans une série de collusion avec des entreprises bancaires, du secteur de l’assurance, qui laisse l’ouverture à la possibilité de la capitalisation. C’est la destruction d’un pacte social. Ce projet du président Macron : une retraite plancher avec système à points, porte l’obligation de trouver un complément individuel pour assurer son avenir, explique le nombre important de manifestants.

    Y a-t-il eu un effet CFDT, avec son arrivée dans l’intersyndicale ?

    La CFDT était peu nombreuse dans le cortège brestois. Nous estimons qu’ils étaient entre 1 000 et 1 200 pour les meilleures estimations. Très clairement, il y a une opposition entre ceux qui acceptent le principe de la retraite à points (ndlr : dont fait partie la CFDT) et les autres. L’unité s’est faite autour de l’idée du retrait de ce projet de réforme. Ce qui était le cas de la majorité dans les rues de Brest.

    Avez-vous vu le nombre de vos adhérents augmenter ces dernières semaines ?

    Nous avons eu quelques adhésions, pas un flux phénoménal. Nous avons beaucoup de témoignages de solidarité et de sympathie de gens qui, il y a encore quelques mois, nous disaient que nous servions à rien mais qui aujourd’hui nous trouvent utiles.

    Quelle va être la suite ?

    Pas de discussion sans retrait. La balle est dans le camp du Président de la République. Il doit retirer son plan avant de mettre tout le monde autour de la table pour discuter de l’amélioration du système actuel. Pour qu’il y ait cette ouverture de négociation nous prenons l’engagement, nous trouverons toutes les voies de la mobilisation.

    Entretien recueilli par Philippe GUEGAN. 

    Source: https://www.ouest-france.fr/

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  • À Brest, le coefficient monte contre la réforme des retraites (LT.fr-17/12/19-16h28)Combien étaient-ils cette fois ? 12 000, voire encore plus ? Une chose est sûre, la mobilisation contre la réforme des retraites est encore montée d’un cran à Brest, ce mardi 17 novembre. À l’appel de l’intersyndicale, c’est une foule colossale qui a envahi les rues de la ville.

    Plus de 12 000 personnes ont participé à la mobilisation contre les réformes des retraites, ce mardi à Brest. Un cortège plus imposant que les semaines précédentes, gonflé par les militants de la CFDT.

    La mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas à Brest. Douze jours après la première manifestation, plus de 12 000 personnes ont battu le pavé, depuis la place de la Liberté, pour dénoncer le projet de loi, ce mardi. Après plusieurs actions matinales, notamment le blocage du rond-point des Foulques (le dernier rond-point avant d’arriver à Brest, à la sortie de la RN 165), les manifestants se sont retrouvés place de la Liberté à 11 h tapantes. Pour la première fois depuis le 5 décembre, les militants de la CFDT ont défilé aux côtés des autres organisations syndicales.

    En queue de cortège et en laissant filer 50 m devant les autres participants, la mobilisation de la CFDT (et de la CFTC) n’est pas passée inaperçue. Une présence qui a déclenché un certain nombre de remarques et parfois de sarcasmes de la part de manifestants évoluant sous d’autres couleurs.

    Les salariés de l’Arsenal ont bloqué pendant environ 30 minutes le pont de Recouvrance, vers 10 h. Avant cela, dès 5 h 30, un groupe de CGT métallurgie avait filtré la circulation sur le rond-point des Foulques, entraînant un important ralentissement à l’entrée du port de Brest.

    « On veut des ronds, pas des points ! ». On ne peut pas faire plus carré du côté de Solidaires, qui ne tourne pas autour du pot pour demander l’annulation pure et simple de la réforme. Et en profite pour ratisser l’ensemble des mécontentements.

    Jeux de mots bien sentis. Déguisements colorés. Ou simples messages à prendre au deuxième voire troisième degré. Pour marquer les esprits et leur opposition à la réforme des retraites, quelques dizaines de manifestants ont affiché leur colère sur des pancartes. Effet garanti !

    Ils ont moins de trente ans, sont marins à bord du méthanier CNG Unity, sont passionnés par leur métier mais ne se voient pas travailler jusqu’à 62 ans (contre 55 ans aujourd’hui) comme marins embarqués. Absence deux mois non-stop, travail de nuit, vibrations, bruit… « Les anciens du bord nous le disent aussi ».

    Après la grande manifestation, 500 personnes ont défendu la santé, l’hôpital public, le médico-social, les Ehpad… Des poubelles ont été déversées devant la permanence du député LREM Jean-Charles Larsonneur, puis devant la sous-préfecture protégée par des policiers casqués.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • 5 000 manifestants à Quimper pour la défense des retraites (LT.fr-17/12/19-17h30)Plus de 5 000 manifestants ont défilé dans les rues du centre-ville de Quimper, ce mardi.

    Plus de 5 000 personnes se sont mobilisées contre le projet de réforme des retraites, ce mardi, dans les rues de Quimper. Des manifestants prêts à poursuivre le mouvement.

    Les discours n’ont pas varié, près de deux semaines après la première manifestation contre la réforme des retraites. Opposées au projet du gouvernement, plus de 5 000 personnes sont descendues dans les rues de Quimper, ce mardi, à la veille d’une rencontre entre le Premier ministre et les syndicats.

     
     

    En tête de cortège, David Pico réclame un retrait pur et simple du projet de retraite par points. « Est-ce qu’on peut se satisfaire d’une promesse d’une retraite minimum de 1 000 € ? Pas moi », martèle le représentant de la CGT. Faute de retrait, le syndicaliste craint de voir « le fossé se creuser de plus en plus entre travailleurs et dirigeants ».

    Unis malgré les divergences

    La journée commencée au petit matin par une tentative de blocage du lycée Thépot, s’est déroulée dans le calme. Parmi les premiers à déployer leurs drapeaux place de la Résistance, les syndicalistes de la CFDT redoutaient pour certains des réactions à leur entrée tardive dans le mouvement. « On n’a pourtant pas à rougir de nos cohérences », défend l’un d’eux.

    Privé de prise de parole, le secrétaire départemental du syndicat n’y voit pas d’inconvénient. « On ne se sent pas en marge », explique Joël Le Dantec, relégué avec ses troupes en fin de cortège.

    Il préfère retenir le succès de la manifestation unitaire, comptabilisant plusieurs centaines de chasubles orange, privé et public confondus. Une satisfaction de la mobilisation partagée par David Pico : « C’est bien qu’une manifestation intersyndicale montre au gouvernement qu’on n’est pas d’accord, malgré nos divergences ».

    La CFDT et la CFTC se sont jointes au rassemblement, ce mardi, devant la préfecture.

    « Demain on continue »

    Pour les organisateurs, le principal enseignement de ce cinquième rendez-vous, c’est le front commun de toutes les catégories de travailleurs présents aux côtés des retraités et d’une centaine de lycéens venus de Thépot, Cornouaille et Brizeux.

    Des manifestants visiblement prêts à poursuivre le mouvement. « Demain, on sait ce qu’il va se passer. L’âge pivot, il va sauter. C’est de la manipulation politique », dénonce David Pico. « Demain, on continue, on ne lâche rien », renchérit Joël Le Dantec. Moins nombreux que le 5 décembre, les enseignants reviendront dans la rue pendant les vacances s’il le faut, soutient Jean-Marc Cléry, pour la FSU.

    En attendant, les manifestants se sont donné rendez-vous, jeudi, devant le commissariat quimpérois pour soutenir l’un d’eux, convoqué par la police après la plainte pour dégradation de la députée Annaïg Le Meur (LREM).

     

    Jean LE BORGNE

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    1 300 personnes sont mobilisées contre la réforme des retraites, ce mardi matin, à Quimperlé.

    12 h 40

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    Alors que les manifestants commencent à se disperser, place aux dernières prises de paroles. Collectif des gilets jaunes, retraités et intersyndicale se succèdent au micro devant une assemblée de plus en plus clairsemée. 

    12 h 15

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    Le cortège vient de faire un arrêt devant le collège de La Villemarqué. Une assemblée générale des professeurs du territoire de Quimperlé doit s'y tenir à 12 h 30. Le cortège poursuit sa route vers le rond-point Jean-Charter pour une dernière prise de paroles.

    11 h 50

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    Après une prise de paroles devant l'hôpital, les 1 300 manifestants sont arrêtés devant le site Bigard pour une nouvelle prise de paroles. Le rond-point Lucien-Bigard vient d'être rebaptisé «rond-point de la lutte» par Michel Le Goff, délégué syndical CGT-Bigard. 

    10 h 45

    Réforme des retraites : 1 300 manifestants à Quimperlé (LT.fr-17/12/19)

    La manifestation contre le projet de réforme des retraites vient de débuter à Quimperlé. Le cortège ouvert par la CGT compte déjà un millier de personnes.


    source:  https://www.letelegramme.fr/
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  • Communiqué de l'AFPS Centre-Bretagne


    Sous le prétexte de lutter contre l’antisémitisme l’Assemblée Nationale vient d’ adopter une résolution qui fait un amalgame intolérable entre antisémitisme et antisionisme.

    Cette résolution n’apporte aucune arme supplémentaire pour combattre l’antisémitisme contre lequel l’arsenal juridique actuel est largement suffisant. Par contre en le confondant avec l’antisionisme elle vise à faire taire toute critique de la politique de colonisation et de violation permanente du droit international pratiquée par les gouvernements israéliens.


    C’est une atteinte inacceptable à notre liberté d’expression . Le sionisme d’aujourd’hui ce n’est pas la justification de l'existence de l’Etat d’Israël mais la poursuite sans fin de son expansion qui va de pair avec le refus de reconnaître aux Palestiniens le droit d’avoir leur propre Etat , seule solution ouvrant pourtant la voie de la Paix au Moyen Orient.


    L’AFPS Centre Bretagne est consternée qu’aucun député Finistérien ne se soit opposé à l’adoption de ce texte. En s’abstenant ou même en refusant de prendre part au vote, comme le député de notre circonscription Richard Ferrand, ils ont permis son adoption et répondu ainsi au vœu du gouvernement Israélien et des milieux de l’extrême-droite de ce pays comme et de leurs relais communautaristes en France .


    Pour faire reculer le terrorisme, pour faire aboutir une paix juste entre Palestiniens et Israéliens, La France doit cesser d’avoir une politique étrangère à géométrie variable. La France doit reconnaitre immédiatement un Etat Palestinien libre et indépendant dans les frontières de 1967, les seules reconnues par l’ONU.


    Carhaix, le 4 décembre,

    France Palestine Solidarité Centre Bretagne

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  • Déclaration de l’ARC29/PRCF

     

    Appel de l'ARC29/PRCF pour la journée d'action,de grève et de manifestation du mardi 17 décembre 2019

     

    Le 17 décembre toutes et tous dans l’action et la grève !

    Macron, l’Union européenne et le MEDEF

    cassent nos conquis et notre pays !

    Tous ensemble et en même temps,

    bloquons le bras des casseurs et dégageons les !!

     

    Au soir du 11 décembre après les annonces gouvernementales, c’était l’  « incompréhension » chez les commentateurs. Pourquoi donc Macron & Philippe n’avaient-ils pas fait semblant d’accorder une miette à la CFDT pourtant prête à poignarder avec entrain, une fois de plus, les travailleurs de France pour faire plaisir au grand patronat ? Le Premier Ministre Edouard Philippe venait en effet d’indiquer qu’il restait droit dans ses bottes et qu’avec ses bottes il piétinait la CFDT et les organisations de collaboration de classe en imposant un recul de l’âge de départ à la retraite à taux plein à 64 ans...pour commencer.Une violence inouïe qui avait provoqué la satisfaction des grands patrons du MEDEF.

     

    Pourquoi ? Simplement , le « système de retraite unique », la baisse des pensions, la réduction des dépenses de retraites en proportion du PIB sont des injonctions de l’UE.

     

    En application des traités européens la France doit soumettre son budget à la validation de Bruxelles.La Commission Européenne fixe alors ses ordres. En clair la Commission Européenne fixe les grandes orientations du régime Macron. En 2018 elle avait prévu « la réforme de l’assurance-chômage ». Qu’a fait le régime Macron ? Il a exclu de toute indemnisation 1,2 million de chômeurs...et réduit l’indemnité de l’autre moitié des chômeurs pouvant prétendre à une indemnité. En 2019 qu’a ordonné la Commission européenne ? « la réforme des retraites ».Il est « recommandé » à la France de :  « réformer le système de retraite pour uniformiser progressivement les règles des différents régimes de retraite, en vue de renforcer l’équité et la soutenabilité de ces régimes ».(cf Recommandations- France 2019).

     

    L’Association pour la Renaissance Communiste en Finistère (ARC29/PRCF) appelle les salariés et la population du Finistère à généraliser l’action revendicative, la grève et à manifester ce mardi 17 décembre décembre :

     

    Brest : RDV 11h-Place de la Liberté

    Morlaix : RDV 11h-Place des Otages

    Carhaix : RDV 11h-Place du Champ de Foire

    Quimper : RDV 11h-Place de la Résistance

    Quimperlé : RDV 10h30-Coat Kaer 

    le 15/12/2019

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