• Une centaine d’opposants ont manifesté, samedi, contre l’implantation de trois à quatre éoliennes de 158 m de haut.Une centaine d’opposants ont manifesté, samedi, contre l’implantation de trois à quatre éoliennes de 158 m de haut. 

    Une centaine d’opposants ont manifesté, samedi 6 mars 2021, à l’appel du comité anti-éolien de Drouloué-Kerbescontes-Leurven, à Langonnet (Morbihan), contre l’implantation de trois à quatre éoliennes de 158 m de haut dans ce secteur.

    Une centaine d’opposants ont manifesté, samedi 6 mars 2021, à l’appel du comité anti-éolien de Drouloué-Kerbescontes-Leurven, à Langonnet (Morbihan), contre l’implantation de trois à quatre éoliennes de 158 m de haut dans ce secteur.

    Un autre projet annulé il y a 10 ans

    Le rendez-vous avait lieu à 15 h, devant le mât de mesure de 80 m de haut, installé par la société RWE, porteuse du projet. Ce rassemblement était animé par Marcel Le Goff, porte-parole du comité anti-éolien, Corinne Grosjean, membre du comité, rejoint par Éric Ferrec, président de l’association Vents de Folie. Cette dernière avait déjà combattu un autre projet, il y a 10 ans, dans le même secteur, qui avait abouti à son annulation par le Conseil d’État.

    « Ce projet dégradera le paysage »

    « Les conséquences seront catastrophiques. Ce projet dégradera le paysage. En revenant du bourg, les éoliennes cacheront la Calotte Saint-Joseph, point culminant du Morbihan et à cela viendront se greffer les impacts négatifs sur l’environnement et la santé, sans compter la reprise des ventes immobilières en plein essor actuellement », ajoute Marcel Le Goff.

    Des alternatives existent, comme la commune voisine de Plévin qui a décidé d’installer une centrale solaire, précise le comité.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Cent trente opposants se sont rassemblés, dimanche 7 mars 2021, sur le futur lieu d’implantation d’une antenne Orange, à Riantec (Morbihan).Cent trente opposants se sont rassemblés, dimanche 7 mars 2021, sur le futur lieu d’implantation d’une antenne Orange, à Riantec (Morbihan).

    Les opposants à l’installation de la future antenne-relais d’Orange, à Riantec (Morbihan), ont répondu, dimanche 7 mars 2021, à l’appel du collectif Riverains de la future installation, et de Locmiquélic citoyenne.

    C’est sur un lieu situé en limite des trois communes de Port-Louis, Locmiquélic et Riantec (Morbihan), à un peu plus d’une centaine de mètres du bord de mer, sur le territoire de Riantec, qu’Orange a pour projet d’implanter une antenne, sur une parcelle privée (avec l’accord de son propriétaire), pour améliorer localement la couverture de son réseau de téléphonie mobile.

    C’est par hasard que des promeneurs ont découvert, en fin d’année dernière, le panneau annonçant le projet. Depuis, un collectif s’est constitué et s’est déjà mobilisé, à plusieurs reprises, pour obtenir des réponses, la zone étant protégée par le Scot (Schéma de cohérence territoriale). Il précisait toutefois qu’il n’était pas opposé à l’installation d’une antenne, mais ne comprenait pas pourquoi l’implanter sur ce lieu.

    Des études se poursuivent

    « Des travaux préparatoires se sont récemment poursuivis, comme des études de sol, a expliqué Claude Courtet, animateur de ce rassemblement, dimanche 7 mars 2021. Il faut savoir que par la loi, la construction de ce type d’ouvrage peut se faire sans permis de construire et nécessite juste une déclaration préalable. À ce jour, nous n’avons pu obtenir aucun contact avec l’opérateur, et nous n’avons aucun retour sur les différents recours déposés. »

    Rappelons que le maire de Riantec, Jean-Michel Bonhomme, avait pris une décision d’opposition à ce projet le 27 septembre 2019, notifiée le 30 à la société Orange, soit une journée après le délai franc (bien que le 29 soit un dimanche), à l’expiration duquel une décision tacite de non-opposition a été générée. 

    Une prise de photo aérienne

    Un drone, de la société AB Drone, de Guidel, a pris des photos aériennes du site et du rassemblement. 

    Un autre objectif de la journée, c’était de prendre des photos aériennes du site. Pour cela, le collectif a fait appel à la société AB Drone, de Guidel, venue tout spécialement avec un de leurs drones.

    « Ni le préfet ni le maire ne souhaitent cette implantation »

    Le député Jimmy Pahun, venu soutenir le collectif, a reconnu qu’il y avait eu « une demande forte pour mieux mailler le réseau de téléphonie mobile, mais ni le préfet ni le maire ne souhaitent cette implantation. Et il y a à 500 m d’ici, au Sdis (Service départemental d’incendie et de secours), un pylône d’antennes qui pourrait être techniquement utilisable ».

    Le maire, Jean-Michel Bonhomme, avait déjà confirmé sa position, fin décembre : « Bien que le juge des référés dise que nous avons envoyé à Orange le refus un jour après la date limite, il précise que l’autorisation ne pouvait être légalement autorisée eu égard aux dispositions du Code de l’urbanisme », ajoutant aussi que « dans le cas où Orange passerait outre et commencerait les travaux, la commune procéderait à un référé pour les faire stopper. »

    Contact : par mail à impulsion@locmiquelicitoyenne.co.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Des sages-femmes libérales du pôle médical de Pontivy (Morbihan) feront grève ce lundi 8 mars 2021.Des sages-femmes libérales du pôle médical de Pontivy (Morbihan) feront grève ce lundi 8 mars 2021. 

    Lors de la Journée internationale du droit des femmes, ce lundi 8 mars 2021, les professionnelles du pôle médical de Pontivy (Morbihan) feront grève. Pendant la journée, elles continueront de travailler, mais vêtues de noir.

    « Un manque de reconnaissance depuis tant d’années. » Voici le regret des deux sages-femmes libérales du pôle médical de Pontivy (Morbihan), Émilie Le Petit et Adeline Hays Le Gallic, les motivant à faire grève ce lundi 8 mars 2021. Pendant la journée, elles travailleront, mais vêtues de noir, symboliquement.

    Elles répondent ainsi à un appel national, soutenu par l’ONSSF (Organisation nationale syndicale des sages-femmes), dans le cadre de la Journée internationale des droits de la femme.

    Valentin CHOMIENNE

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La petite place devant le commerce n’a pas été assez grande pour accueillir toutes les personnes qui ont dû aussi prendre place devant l’église pour manifester leur soutien au commerce.Ce samedi 6 mars 2021, environ 500 personnes se sont réunies devant l’épicerie Kesten à Penquesten, dans la commune d’Inzinzac-Lochrist (Morbihan).

    Ce samedi 6 mars 2021, environ 500 personnes se sont réunies devant l’épicerie Kesten à Penquesten, dans la commune d’Inzinzac-Lochrist (Morbihan).

    Ce samedi 6 mars 2021, environ 500 personnes se sont réunies devant l’épicerie Kesten à Penquesten, à Inzinzac-Lochrist (Morbihan). À l’initiative d’un groupe d’habitants du bourg, une opération de soutien a été organisée pour soutenir le commerce en difficulté et ne pouvant bénéficier des aides d’État.

    Des soutiens venus d’autres communes

    Venues de toute la commune, mais aussi de Languidic, Lanvaudan et même Quistinic, les personnes ont marqué leur soutien aussi à la ruralité. « C’est dommage. Nous ne devrions pas être là aujourd’hui pour demander la considération de l’État en faveur des petits commerces. Nous avons l’impression que la ruralité est oubliée des mesures gouvernementales à l’image des petits commerces de proximité qui ne correspondent à aucune case et se retrouvent en péril », déplore Lysiane, une habitante du bourg. « Ces commerces font la vie des bourgs et dans les villages ils sont bien plus qu’un simple acteur économique. Ils sont un vecteur de lien social », analyse Michel, habitant de la commune.

    Une pétition lancée

    En moins d’une demi-heure, 300 personnes avaient signé la pétition et qui sera adressée au ministre de tutelle via le député de la circonscription, Jean-Michel Jacques, qui suit le dossier.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Au cours de la manifestation, la place Paul-Bert de Lorient a été symboliquement rebaptisée « Place des femmes » à l’aide de pancartes éphémères. Le collectif d’associations milite pour que plus de noAu cours de la manifestation, la place Paul-Bert de Lorient a été symboliquement rebaptisée « Place des femmes » à l’aide de pancartes éphémères. Le collectif d’associations milite pour que plus de noms de femmes soient donnés aux rues lorientaises. 

    Plusieurs associations se sont rassemblées, ce samedi, vers 15 h, place Aristide-Briand, à Lorient, avant de défiler dans les rues du centre-ville pour dénoncer les inégalités salariales et rebaptiser symboliquement certaines rues du nom de femmes engagées.

    « Nous sommes fortes, nous sommes fières, féministes, radicales et en colère », pouvait-on entendre ce samedi après-midi dans les rues du centre-ville de Lorient, sous un soleil radieux. Un des nombreux slogans scandés par le cortège d’associations mobilisé un peu en amont de la Journée internationale de la femme prévue lundi 8 mars.

     

    « Le lundi, c’est le jour officiel, il y aura une mobilisation importante mais tout le monde ne peut pas venir car les gens bossent alors on a pris l’habitude de s’organiser comme ça », explique Alexandre Scheuer, du collectif Lanester en commun, La France Insoumise. Pour ce militant, le 8 mars est une date importante : « Il y a un vrai enjeu d’égalité homme-femme à rééquilibrer, c’est encore loin d’être gagné car à diplôme égal, les femmes sont moins bien payées ».

    Combattre les inégalités salariales

    L’inégalité salariale, une question qui revient dans toutes les bouches des manifestants ce samedi. Pour Alain, militant de la Ligue des droits de l’homme : « On sait que 30 % des femmes sont à temps partiel, et pourquoi ? Parce que dans un couple, c’est le plus gros salaire qui prend le moins de temps partiel et les hommes sont mieux payés. Même si ça évolue et que certains hommes prennent le temps partiel, il y a encore du chemin ».

    Une position défendue par les nombreuses associations participant à ce rassemblement : les Gilets jaunes de Lorient, Génération. S, l’UD-CGT, LFI ou encore le collectif Nous toutes auquel appartient Christelle Rissel.

    « C’est un premier rassemblement autour des différences en attendant la grande manifestation parisienne de lundi, on va renommer symboliquement des rues de Lorient pour rappeler qu’il faut donner plus de noms de femmes aux rues », souligne-t-elle.

    Plus de noms de femmes pour les rues

    Parti de la place Aristide-Briand, le cortège de 120 personnes a ensuite fait escale place Paul-Bert, que les militants ont rebaptisée « place des femmes » pour l’occasion à l’aide de pancartes de rues éphémères collées aux quatre coins. D’autres pancartes de rues ont été collées à différents endroits : Gisèle Halimi, Louise Michel ou encore Benoîte Groult.

    « La place de la femme dans la société doit être encore défendue, que ce soit en termes de promotion, d’études, d’orientation et même de précarité menstruelle, rappelle Christelle Rissel. On parle des étudiantes et c’est bien, des choses sont faites mais il y a aussi des salariées qui sont dans des situations très compliquées ».

    Le cortège s’est ensuite dirigé vers la mairie où les manifestants sont restés un moment avant de se disperser aux alentours de 17 h 30.

    Charles-Henri Raffin

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Environ 150 personnes ont défilé dans les rues de Lorient, samedi 6 mars 2021, en faveur des droits des femmes.Environ 150 personnes ont défilé dans les rues de Lorient, samedi 6 mars 2021, en faveur des droits des femmes

    Plusieurs organisations politiques et syndicales – Génération. S, la Confédération générale du Travail (CGT), la France Insoumise, le collectif #Nous toutes, les Gilets jaunes, la Ligue des droits de l’Homme, le Parti communiste français – ont appelé à manifester ce samedi 6 mars 2021, à Lorient (Morbihan), pour les droits des femmes.

    Depuis 15 h, environ 150 personnes participent à la manifestation.

    Depuis 15 h, ce samedi 6 mars 2021, à Lorient, environ 150 personnes participent à la manifestation.

    Le rôle de la femme dans la société, et plus précisément au sein de l’espace public, est au cœur du débat (dans les transports en commun, dans les rues la nuit).

    Les manifestants ont rebaptisé quelques rues lorientaises avec des noms de femmes, à l’image de la place Paul-Bert renommée le temps d’une journée la « Place des Femmes »

    Moment marquant de l’après-midi, les manifestants ont rebaptisé quelques rues lorientaises avec des noms de femmes, à l’image de la place Paul-Bert renommée le temps d’une journée la « Place des Femmes ».

    Les manifestants ont rebaptisé quelques rues lorientaises avec des noms de femmes, à l’image de la place Paul-Bert renommée le temps d’une journée la « Place des Femmes ».

     

    Un autre rassemblement est prévu à Lorient, lundi 8 mars 2021, Journée internationale des femmes.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • « L’objectif est de rajouter 67 heures par an à la durée du travail de chaque agent », proteste la CGT.« L’objectif est de rajouter 67 heures par an à la durée du travail de chaque agent », proteste la CGT.

    La CGT territoriaux de Lorient organise des permanences d’information à destination des agents de la Ville sur l’augmentation du temps de travail, prévue dans la loi de transformation de la fonction publique.

    La loi de transformation de la fonction publique prévoit une hausse du temps de travail des agents. À Lorient, un cabinet d’étude a été mandaté par la Ville de Lorient et a présenté « leur méthode de travail pour organiser l’augmentation du temps de travail », dit la CGT qui réfute ces propositions.

    « L’objectif est de rajouter 67 heures par an à la durée du travail de chaque agent. À l’échelle de la Ville de Lorient, cette augmentation représente l’équivalent de 52 postes à plein temps. La position de la CGT est de créer des postes supplémentaires qui font défaut aujourd’hui dans les services. La municipalité a l’air de faire le choix d’aggraver nos conditions de travail en supprimant l’équivalent de 9,5 jours de congé aux 1 200 agents territoriaux de la ville ».

    Des permanences en mars

    L’organisation syndicale dit ne pas « accepter ce recul social » et souhaite donner la parole aux agents.

    Des permanences d’information seront organisées : aux services techniques, salle du CTM, les 8 et 22 mars, de 8 h à 12 h, et les 15 et 29 mars, de 13 h 30 à 17 h ; à l’Hôtel de ville, de 10 h à 14 h, salle Galway, les 8 et 29 mars ; salle du conseil , le 15 mars, et salle des commissions, le 22 mars.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les territoriaux CGT de Lorient tiendront des permanences tout au long du mois du mars (photo illustration)Les territoriaux CGT de Lorient tiendront des permanences tout au long du mois du mars 

    La CGT Territoriaux de la Ville de Lorient est contre l’augmentation de la durée du travail pour les agents. Le syndicat préfère la création « des postes supplémentaires qui font défaut aujourd’hui dans les services ».

    Selon la CGT Territoriaux, la Ville de Lorient et son cabinet d’études Politeia ont présenté aux organisations syndicales leur méthode de travail pour organiser l’augmentation du temps de travail.

    « L’objectif est de rajouter 67 heures par an à la durée du travail de chaque agent. À l’échelle de la Ville de Lorient cette augmentation représente l’équivalent de 52 postes à plein temps », estiment les cégétistes.

    Leur position ? « Créer des postes supplémentaires qui font défaut aujourd’hui dans les services. La municipalité a l’air de faire le choix d’aggraver nos conditions de travail en supprimant l’équivalent de 9,5 jours de congé aux 1 200 agents territoriaux de la ville. Pour la CGT des territoriaux de Lorient, les 1 607 heures, c’est non ! »

    Des rencontres ont eu lieu avec les territoriaux de Lanester, d’Hennebont, du conseil départemental, de Ploemeur, « afin d’envisager une action collective qui concernerait les agents du département ».

    La CGT des territoriaux de Lorient indique organiser des permanences d’information, salle du centre technique municipal (15 et 29 mars de 13 h 30 à 17 h ; les 8 et 22 mars de 8 h à 12 h), à l’hôtel de ville (les 8, 22, 29 mars ; le 15 mars de 10 h à 14 h).

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Faute de la présence de la direction ce jeudi 4 mars 2021 sur le site de la Fonderie, le Comité social et économique extraordinaire a tourné court…Faute de la présence de la direction ce jeudi 4 mars 2021 sur le site de la Fonderie, le Comité social et économique extraordinaire a tourné court…

    Il devait se tenir ce jeudi 4 mars 2021 sur le site. La direction de la Fonderie de Bretagne était en sous-préfecture de Lorient (Morbihan). Un nouveau CSE extraordinaire doit se tenir avant fin mars.

    Mélange d’agacement et d’amertume pour Maël Le Goff, porte-parole du syndicat CGT à la Fonderie de Bretagne. « Il semblerait que la direction n’ait pas voulu faire ce CSE, ce jeudi 4 mars 2021, sur le site de la fonderie. Préférant le délocaliser en sous-préfecture de Lorient pour un problème de « sécurité ». «  Il n’y avait aucun mouvement de la part des salariés de l’usine, assure le syndicaliste, nous l’avons fait constater par huissier : le site a tourné normalement, les salariés étaient tous à leurs postes. Nous n’avions donc aucune raison de nous rendre en sous-préfecture. Notre convocation était bien prévue ce 4 mars 2021 à 16 h sur le site de la fonderie. »

    « Ça ne nous étonne même plus »

    Déçus à tout le moins, les représentants syndicaux voient, dans ce CSE avorté, « un nouveau signe de torture infligé par leur maison mère, le groupe Renault. C’est ainsi depuis mai 2020. Ça ne nous étonne même plus ».

    Contactée à ce sujet, la direction de la Fonderie de Bretagne confirme simplement la tenue d’un nouveau CSE extraordinaire sur les orientations stratégiques, « avant fin mars ».

    Quant à la potentielle implantation d’une plateforme logistique du groupe La Poste sur une parcelle de 8 ha appartenant au site de la Fonderie, les syndicats restent vigilants. « Si cette implantation doit avoir lieu dans l’une ou l’autre des parcelles attenantes à l’usine, il n’est pas question qu’il y ait le moindre impact sur la production et sur l’emploi. Vendre du terrain rapportera de l’argent à court terme, mais après ? »

     

    Pierre WADOUX

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La société Centre Bretagne Élevage, basée à Noyal-Pontivy (Morbihan) et également installée à Châtelaudren-Plouagat (Côtes-d’Armor), est concessionnaire de Lely Center qui installe des robots de traite dans les départements du Morbihan et des Côtes-d’Armor.La société Centre Bretagne Élevage, basée à Noyal-Pontivy (Morbihan) et également installée à Châtelaudren-Plouagat (Côtes-d’Armor), est concessionnaire de Lely Center qui installe des robots de traite dans les départements du Morbihan et des Côtes-d’Armor. 

    La société Centre Bretagne Élevage, concessionnaire des robots de traite Lely vient d’être rachetée par le groupe Blanchard. Créée en 2006 à Noyal-Pontivy (Morbihan), l’entreprise emploie une quarantaine de salariés.

    La société Centre Bretagne Élevage, concessionnaire des robots de traite Lely pour le Morbihan et les Côtes-d’Armor, vient d’être rachetée par le groupe Blanchard.

    Créée en 2006 à Noyal-Pontivy (Morbihan) par Jean-Marie Le Doujet, l’entreprise emploie une quarantaine de salariés. Elle s’est rapidement imposée comme leader de la robotisation des élevages en Centre Bretagne, intervenant pour la vente et la maintenance sur un parc de plus de 500 robots de traite et d’alimentation.

     

    Un chiffre d’affaires de près de 14 millions d’euros

    Employant une quarantaine de personnes à Noyal-Pontivy et à Châtelaudren-Plouagat (Côtes-d’Armor), la société Centre Bretagne Élevage génère un chiffre d’affaires de près de 14 millions d’euros. Elle est le premier distributeur Lely en France en part de marché et le deuxième en volume.

     

    Son acquéreur, le groupe de travaux publics et d’agriculture Blanchard, basé à L’Hermitage (Ille-et-Vilaine) reprend l’activité, en constant développement, le bâtiment et les personnels.

     

     

    Blanchard, qui emploie 500 collaborateurs, est notamment déjà concessionnaire Lely Center en Normandie, pour les départements de la Manche et du Calvados.

    Julie SCHITTLY.                     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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