• Sébastien Vaugrenard a délégué la plantation de haies bocagères à Baptiste Sinot, encadrant, et son équipe de l’association d’insertion Accès Réagis, en partenariat avec Cap Atlantique.Sébastien Vaugrenard a délégué la plantation de haies bocagères à Baptiste Sinot, encadrant, et son équipe de l’association d’insertion Accès Réagis, en partenariat avec Cap Atlantique.

    Grâce au partenariat avec Cap Atlantique et Accès réagis, Sébastien Vaugrenard et Gaëlle Larnicol, de la ferme de Trébestan, à Pénestin (Morbihan), ont planté 600 m d’arbres et arbustes sur leurs terres.

    Sébastien Vaugrenard a délaissé son métier d’architecte paysagiste pour reprendre, en Gaec (Groupement agricole d’exploitation en commun) la ferme de Trébestan, à Pénestin (Morbihan) avec sa compagne, Gaëlle Larnicol. Installés depuis août 2020, tous les deux restent attentifs aux projets innovants qui tendent à l’amélioration écologique. C’est pourquoi ils ont choisi de planter 600 m de haies bocagères sur leurs terres, et « proposer ainsi plus d’ombre dans les champs pour nos 60 vaches », soulignent les agriculteurs.

    Multiplier les écosystèmes

    Mais ce n’est pas là le seul intérêt, car, d’une part, cela « limite le dessèchement des prairies exposées au soleil et au vent », et, d’autre part, « l’objectif est de multiplier les écosystèmes, pour permettre aux oiseaux de nidifier dans les haies ». Des volatiles qui permettront de lutter contre les insectes ravageurs des prairies et des cultures. Des haies à l’intérêt multiple, et qui savent se transformer en véritables pièges à nitrates. Un avantage aussi pour la qualité de l’eau. 

    En partenariat avec Cap Atlantique

    Ce projet est financé par Cap Atlantique pour le travail de la terre, les plantes et la plantation, ainsi que l’entretien sur trois ans, et la chambre d’agriculture de Loire-Atlantique, car la ferme de Trébestan est parmi les premières à se lancer.

    C’est ainsi que, mardi, Olivier, John, Mathilde, Kévin et Thierry, cinq agents polyvalents de l’environnement à Accès réagis, une association d’insertion guérandaise, étaient au travail, aux côtés de leur encadrant, Baptiste Sinot. Toute l’année, ils travaillent en partenariat avec Cap Atlantique, le Parc régional de Brière, le conseil général de Loire-Atlantique et les communes de la Presqu’île. 

    Des abris pour les oiseaux

    Sous un soleil éclatant, ils ont planté 580 arbres sur 600 m linéaires, répartis entre les parcelles de la Butte-des-Nains, le Bas-des-Nains, le Clos-Rouge et le Coetix.

    « On veut des haies comestibles pour nos vaches, et qui soient des niches écologiques pour les oiseaux », indique Sébastien Vaugrenard. Ainsi, les chênes, merisiers, alisiers rejoindront des poiriers sauvages, des tilleuls, des châtaigniers, qui viendront côtoyer les viornes, fusains et néfliers, de la classe des buissonnants.

    Dans l’avenir, Cap Atlantique souhaite insérer ce site de Pénestin dans Natura 2000.

    Pourquoi ? « Car les marais de Pont-Mahé, en limite de nos champs, sont classés Natura 2000, tout comme le Parc régional du golfe du Morbihan », explique Sébastien Vaugrenard.

     

    source; https://www.ouest-france.fr/

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  • Le 8 mars 2021, les manifestants appellent à la grève.Le 8 mars 2021, les manifestants appellent à la grève.

    Plusieurs organisations politiques et syndicales appellent à manifester le 6 et 8 mars 2021, à Lorient (Morbihan), pour la Journée internationale des droits des femmes. L’objectif : dénoncer les inégalités entre les genres mais aussi les violences faites aux femmes.

    Un appel à manifester a été lancé les 6 et 8 mars 2021, sur la place Alsace-Lorraine à Lorient (Morbihan). Un rassemblement organisé par l’Union communiste libertaire (UCL), Solidaires, les Gilets Jaunes, le Parti communiste français (PCF), l’Union démocratique bretonne (UDB), la Confédération générale du Travail (CGT), le collectif #NousToutes, et la France Insoumise. Trois thématiques sont défendues par les manifestants, parmi elles, les inégalités salariales : «  Les femmes sont payées, en moyenne, 25 % de moins que les hommes pour un même travail, nous souhaitons un réveil des mentalités », explique Anne Rio, la porte-parole de Solidaires.

    Autre cause défendue : les violences faites aux femmes. « Il y a trop d’impunités, on réclame un lieu d’accueil à Lorient pour les femmes victimes de violences », s’exclame Robin, membre de l’UCL. Enfin, les inégalités au sein de la sphère privée : «  On veut aussi mettre l’accent sur les corvées domestiques, les femmes passent beaucoup plus de temps que les hommes à s’occuper de la maison en plus de leur travail  », confie Anne Rio.

    La place des femmes dans l’espace public

    Le rôle de la femme dans la société, et plus précisément au sein de l’espace public, est au cœur du débat (dans les transports en commun, dans les rues la nuit). Symboliquement, les collectivités espèrent rebaptiser quelques rues lorientaises avec des noms de femmes, à l’image de la place Paul-Bert renommée le temps d’une journée la « Place des Femmes » il y a deux ans.

    « Cette semaine, on appelle les personnes volontaires qui se retrouvent dans notre combat à occuper l’espace public avec des messages féministes », déclare Robin. Les rassemblements sont prévus le 6 et 8 mars 2021, respectivement place Alsace-Lorraine à 15 h 40, heure à partir de laquelle les femmes sont payées 25 % de moins que les hommes dans le milieu professionnel.

     

    Pauline LUCAS

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Le Blavet a joué une importance dans la vie économique de la ville. Au XIXe siècle le commerce de bois, et notamment le cabotage de poteaux de mines vers l’Angleterre, en faisait partie.Le Blavet a joué une importance dans la vie économique de la ville. Au XIXe siècle le commerce de bois, et notamment le cabotage de poteaux de mines vers l’Angleterre, en faisait partie. | ARCHIVES PHOTOTYPIE VASSELIER,, NANTES

    Un fleuve dans la ville. Le Blavet fait partie du paysage de la ville d’Hennebont (Morbihan). Il en a fait les beaux jours économiques avant de se tourner vers une orientation plus touristique. Petit retour sur son histoire.

    Long d’environ 150 km, le Blavet prend sa source à Bourbriac et arrose successivement les départements des Côtes-d’Armor et du Morbihan. Après le barrage de Guerlédan, il entre dans le Morbihan et rejoint Pontivy, où il devient canal du Blavet. Il termine sa course sous la forme d’un vaste estuaire dans la rade de Lorient. C’est à Hennebont (Morbihan) que le Blavet fluvial devient Blavet maritime. Plus grand fleuve de Bretagne occidentale, il tient son nom du mot breton « ar Blavezh », signifiant « eau jaillissante, eau courante ». Car, au tout début, le Blavet était un fleuve à régime torrentiel, au fond très empierré et encombré de barrages de pêcheries et de moulins.

    La canalisation, un projet lancé sous Napoléon Ier

    Dès le XVIIe siècle on parle de la canalisation du Blavet, mais c’est sous Napoléon Ier que le projet va être lancé. En plein contexte de guerre avec l’Angleterre, il est impérieux de relier Pontivy, ville de garnison napoléonienne, à la mer. Et pourtant, le canal ne servira pas à des fins militaires, mais au transport de marchandises et notamment pour du cabotage de poteaux de mines vers la Grande-Bretagne.

    Dans les années 1800, on décide de le rehausser pour permettre le transport des marchandises vers les différents ports en passant par l’intérieur des terres. On construit les écluses, le halage et les déversoirs verticaux. Le canal sera inauguré en 1825, avant même son achèvement.

    Hennebont, ville stratégique sur le Blavet

    Qualifiée de « Porte du Blavet », Hennebont s’est développé autour du Blavet, en l’intégrant à la vie locale au fur et à mesure des siècles et de son histoire. Son implantation en fond de ria, permettait à la commune d’assurer la liaison entre le littoral et l’intérieur des terres. C’est d’ailleurs grâce à cet emplacement stratégique qu’Hennebont fut jadis une des principales places fortes du Duché de Bretagne. Au XVIIIe siècle on charge au port du miel, du chanvre, et des grains (blé, seigle, froment, avoines, orge.). Au XIXe siècle, le Blavet sera aussi générateur d’activité économique à Hennebont : stockage de grains, construction navale, importation de vin, pêcheries… Après la Première Guerre mondiale, les chalands d’acier à fort tonnage remplaceront les petites péniches. Dans les années 1930, l’importation de charbon et l’exportation de poteaux de mine font les beaux jours de l’activité portuaire. L’arrêt des forges signera le déclin de ce trafic industriel. Les élus de l’époque orienteront alors leurs efforts vers un tourisme fluvial.

    Les ponts, nécessaires pour joindre les deux rives

    Le viaduc

    Monument important du paysage d’Hennebont, c’est pour permettre la circulation ferroviaire entre Savenay et Landerneau, que le viaduc a été construit. Sa construction a débuté en 1860 pour se terminer en juin 1862. Cette construction empêchera le trafic maritime et fluvial sur le Blavet entraînant des pertes financières importantes pour la ville.

    Le viaduc 

    L’ouvrage d’art, inauguré en juillet 1862, est long de 222 mètres et haut de 28,50 m. Il est composé de quatre arches de 22 mètres et 6 de 11 mètres. En août 1944, une de ses arches est touchée par un obus lors d’un bombardement.

    Le pont Jehanne la Flamme

    Incontournable pour la traversée d’Hennebont d’une rive à l’autre, le pont Jehanne-La-flamme viendra remplacer le pont de pierre détruit par obus, et remplacé par un pont provisoire installé par l’occupant. Après quatre ans de travaux, le nouveau pont sera inauguré en 1953 et sera baptisé Jehanne La Flamme, en hommage à Jeanne de Flandre qui sauva la ville au XIVe siècle, lors du siège de la ville par les troupes de Charles de Blois. Le pont fait 65 mètres de long et repose sur 3 arches.

    La passerelle des forges

    C’est en 2009 qu’elle devient opérationnelle pour permettre aux piétons de franchir le Blavet. Elle vient remplacer l’ancien pont de fer construit pour la ligne Port-Louis Baud par Hennebont et Lochrist qui voit le jour en 1921. Une ligne qui longeait le Blavet en empruntant le halage avec une gare « Hennebont-Echange » installée sur les quais de la Ville. En 1944, lors des bombardements allemands, le pont est coupé en deux et ne reprend du service qu’en 1947 pour du transport de marchandises entre l’usine des Forges et la gare d’Hennebont. Il deviendra la propriété de la ville en 1973.

    Le chiffre : 28

    C’est le nombre d’écluses qui jalonnent le canal du Blavet de Pontivy à Hennebont, où le Blavet fluvial se transforme en Blavet maritime. Dix écluses sont situées sur le territoire du pays de Lorient, l’écluse de Polvern en est la dernière. Le canal du Blavet est en fait une rivière canalisée qui a été rendue navigable grâce à la création de barrages retenant l’eau et d’écluses permettant le passage des bateaux. Cette canalisation divise la rivière en biefs, les espaces compris entre deux barrages. On en dénombre 27 d’environ 2 km séparés par 28 déversoirs sur les 60 km du canal depuis le port de Pontivy à celui d’Hennebont.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • En 1930, juste avant l’arrivée des époux Kerbellec, les enfants de l’école publique sont photographiés. Le cliché est l’un des plus anciens encore conservés à ce jour.En 1930, juste avant l’arrivée des époux Kerbellec, les enfants de l’école publique sont photographiés. Le cliché est l’un des plus anciens encore conservés à ce jour. | FONDS ANNE-MARIE PERNEL

    Nos écoles d’antan. Les souvenirs d’Alban Kerbellec offrent quelques passages symptomatiques de la tension entre paroisse et républicains, à Quistinic (Morbihan). Une époque où le contrôle des écoles était primordial.

    En 1933, Alban Kerbellec (1906-1998) et sa femme Anne sont nommés instituteurs de l’école publique de Quistinic (Morbihan), dans la descente de la rue d’Hennebont. L’établissement compte alors deux classes mixtes. Et les tensions avec les tenants de la paroisse sont palpables. « La concurrence et la lutte cléricale des responsables des écoles privées furent acharnées et déloyales », écrit l’instituteur dans un mémoire de souvenirs, rédigé en 1989.

     

    Une lampe en échange d’une inscription

    Il y évoque un vicaire du recteur Guillaume (1934-1938) « dont le principal travail était le recrutement des jeunes enfants pour les écoles privées. » Il décrit ainsi un religieux battant la campagne et essayant de soudoyer les enfants avec des bonbons. D’après l’instituteur, il aurait aussi « donné une lampe électrique à un jeune garçon en échange de son inscription à l’école privée. »

     

    Il va même jusqu’à accuser le vicaire de violence : celui-ci aurait pris de force la main d’un enfant de l’école publique pour l’amener dans l’école privée. Les religieuses ne sont pas non plus épargnées, accusées d’avoir « saisi une petite fille de l’école publique pour l’amener contre son gré dans l’école privée. Les parents, n’osant pas leur déplaire, ont fini par céder. » L’instituteur reproche donc au recteur d’avoir parmi ses troupes « un vicaire sergent recruteur ». Le curé Guillaume lui fait alors porter, pour le Nouvel An 1937, une carte l’invitant « à venir, après la messe, arroser les galons de son vicaire. »

     

    Les gendarmes à la rescousse

    L’affaire ne s’arrête pas là, car Alban Kerbellec alerte son inspecteur d’académie sur « ces méthodes illégales ». L’affaire remonte au ministère de l’Éducation Nationale et une enquête est confiée aux gendarmes de Bubry. De son côté, d’après l’enseignant, le recteur n’abdique pas non plus et se rend chez les parents des enfants concernés par l’affaire pour leur faire signer un papier attestant que les pressions viennent de l’instituteur et non des prêtres ou des religieuses. « Heureusement pour moi, ajoute Alban Kerbellec, j’avais joint à mon rapport les certificats signés et datés par les familles, antérieurs à ceux obtenus par le recteur, dans lesquels les parents répétaient devant témoins ce que j’avais affirmé. »

     

    L’enseignant constate alors que les pressions cléricales prennent fin. Il quitte ensuite à regret son poste en 1939 car « l’effectif était trop élevé : j’avais 52 élèves dans ma classe avec coéducation et quatre cours. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • L’association Terres de couleurs soutient la scolarisation des jeunes filles Maasaï au Kenya.L’association Terres de couleurs soutient la scolarisation des jeunes filles Maasaï au Kenya

    Plœmeur - Pour la Journée des femmes, l’association Terres de couleurs qui œuvre au Kenya a décidé de mettre en place une action.

    Solidarités

    L’association Terres de couleurs, basée à Plœmeur, vient de mettre en place une action complémentaire à celles de scolarisation et de protection des jeunes filles Maasaï, au Kenya. « En juillet 2013, lors de mon séjour en pays Maasaï, il m’avait été signalé un absentéisme important lors des périodes menstruelles car les jeunes filles n’ont pas le « nécessaire pratique » et utilisent des morceaux de tissus, explique Maïtha Lobjois, présidente de l’association. Alors pour pallier cette situation de précarité menstruelle et pour le confort de ces jeunes filles devenant femmes, nous avons fourni les fonds nécessaires à nos deux partenaires pour l’achat de protections. »

    Sur place, les deux partenaires de l’association, deux écoles, ont opté pour un choix différent. L’école Olomayiana a préféré des protections lavables, tandis que l’école Natumuse s’est décidée pour des jetables. « Personne n’ignore la problématique des déchets qui s’ensuit », précise la présidente de l’association.

    Les mères les plus défavorisées intégrées à cette action

     

    Les mères les plus défavorisées des trente fillettes scolarisées ont également été intégrées dans ce programme. Cette action sera renouvelée dans les années à venir et incluse dans le budget scolarisation, comme l’aide alimentaire à la cantine.

    Maïtha Lobjois rappelle l’importance de la scolarisation des filles en pays Maasaï jusqu’aux environs de 16 ans, âge auquel elles peuvent sortir du processus de mariage précoce organisé et du risque d’excision.

    Contact : tél. 06 62 20 47 98 ; mail : terresdecouleurs@gmail.com ; site internet : terresdecouleurs.fr

     

    source: https://www.ouest-france.fr/


     

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  • Les membres du comité anti-éolien réunis sur le marché, vendredi après-midi.Les membres du comité anti-éolien réunis sur le marché, vendredi après-midi. 

    Le projet éolien, à l’étude dans le secteur Drouloué - Kerbescontes - Leurven, soulève un vent de fronde parmi les riverains des trois villages.

    Un comité anti-éolien s’est donc constitué. Ses membres qui ont déjà commencé une campagne de sensibilisation lors des marchés du vendredi, appellent ses sympathisants au rassemblement, samedi, 15 h, au mât de mesure installé par la société porteuse du projet.

    Pour rappel, le projet se situera au même endroit qu’un ancien projet annulé juridiquement en Conseil d’État il y a 10 ans. « Nous disons non à ce projet éolien afin de défendre notre cadre de vie et le site remarquable qu’est la Calotte Saint-Joseph, classée Natura 2 000. Le projet qui emmènerait à la transformation du paysage porte atteinte à la préservation de l’environnement et ne tient pas compte de la proximité des maisons. Les études d’impact existantes ont déjà prouvé les effets indésirables des éoliennes sur la santé et la mortalité des oiseaux et des chauves-souris, alors soyons nombreux au rendez-vous samedi », annonce les membres du comité.

     

    Samedi 6 mars, à 15 h, rassemblement prévu.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Ronan Le Nezet et Rozenn Douillard distribuaient tracts et stylos pour sensibiliser le public.Ronan Le Nezet et Rozenn Douillard distribuaient tracts et stylos pour sensibiliser le public.

    « Nous avons le droit à la même représentation que les autres salariés », mentionne le tract que distribuait la CGT, hier sur le marché de Pontivy, à l’occasion des élections des représentants des très petites entreprises (TPE), comptant onze salariés ou moins. Destinées aux artisans, auxiliaires de vie, paysagistes, salariés du bâtiment ou du tourisme, « ces élections ont lieu tous les quatre ans et concernent 250 000 salariés en Bretagne, qui votent par internet ou courrier pour élire des représentants à l’échelle de la région », explique Ronan Le Nezet, secrétaire général de la CGT Pontivy. Leur but : prévenir les conflits pour éviter les prud’hommes, protéger la santé au travail ou encore développer l’activité sociale et culturelle, grâce à une structure nommée « Viv’ARTI » qui s’apparente à un comité d’entreprise destiné aux TPE.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Avec le départ de l’un des médecins du pôle médical, fin juillet 2021, Pontivy (Morbihan) n’aura bientôt plus que sept généralistes pour 14 000 habitants.Avec le départ de l’un des médecins du pôle médical, fin juillet 2021, Pontivy (Morbihan) n’aura bientôt plus que sept généralistes pour 14 000 habitants.

    Avec le départ de l’une des médecins du pôle médical, en juillet 2021, Pontivy (Morbihan) n’aura bientôt plus que sept généralistes pour 14 000 habitants. Si des remplaçants devraient arriver cet été, ce départ aggrave encore la pénurie médicale à Pontivy communauté, où 11 000 habitants n’ont plus de médecin traitant, soit un quart de la population.

    Avec le départ de l’un des médecins du pôle médical, en juillet 2021, Pontivy (Morbihan) n’aura bientôt plus que sept généralistes pour 14 000 habitants.

    Dans la salle d’attente du pôle situé rue d’Iéna, une affiche confirme que la docteure Élodie Bonnier s’en ira le 23 juillet prochain.

    « Ce n’est pas une très bonne nouvelle »

    Installée à Pontivy depuis 2014 avec le docteur Husson, la trentenaire part  pour des raisons personnelles ​, explique le docteur Bertrand Morin.

     Ce n’est pas une très bonne nouvelle, nous sommes en recherche encore plus active de remplaçants ​, indique le médecin, coordinateur du pôle médical inauguré en mai 2019.

    D’autant que l’un des autres généralistes du pôle, le docteur Yves Le Goff, devrait partir à la retraite courant 2021. 

    Six médecins recherchés pour Pontivy communauté

    La pénurie médicale ne cesse de s’aggraver à Pontivy, depuis 2018, mais aussi dans les communes alentour.

    La communauté de communes a déjà mis en place des incitations financières à l’installation. Une étudiante en fin de cursus s’est déjà engagée à venir exercer sur le secteur de Pontivy communauté en 2023.

    Le recrutement de médecins salariés va aussi être proposé lors d’un prochain conseil communautaire.

    Il manque six généralistes dans le secteur, dont trois ou quatre rien qu’à Pontivy… Et l’arrivée d’un quatrième médecin salarié au centre de santé communal du Sourn ne suffira pas à régler le problème.

    Des remplaçants, pas des médecins traitants

     Nous allons réussir à trouver des anciens internes, en fin de thèse, pour venir remplacer la docteure Bonnier cet été, mais même si ces remplaçants viendront assurer les consultations pour plusieurs mois, ils ne pourront pas devenir médecins traitants de ses patients ​, précise le docteur Bertrand Morin.

    Environ 11 000 habitants du secteur n’ont plus de médecin traitant, soit un quart de la population.

    Ils risquent d’être encore plus nombreux dans les mois à venir, avec au moins deux départs à la retraite annoncés cette année, à Pontivy et à Saint-Thuriau.

     

    Julie SCHITTLY

    source: https://www.ouest-france.fr/

    Lire également: Pontivy va perdre un de ses médecins, cet été (letelegramme.fr-1/03/21)

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  • Des rassemblements se tiendront samedi 6 mars et lundi 8 mars, place Aristide-Briand, à Lorient, à l’appel de plusieurs organisations citoyennes, politiques et syndicales pour la Journée internationalDes rassemblements se tiendront samedi 6 mars et lundi 8 mars, place Aristide-Briand, à Lorient, à l’appel de plusieurs organisations citoyennes, politiques et syndicales pour la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars.

     

    Plusieurs organisations citoyennes, politiques et syndicales appellent à manifester samedi 6 mars et lundi 8 mars, à Lorient, pour la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars.

    « On invite tout le monde à occuper l’espace public ». C’est le mot d’ordre de plusieurs organisations citoyennes, politiques et syndicales (Solidaires, CGT, Gilets Jaunes, Nous toutes, Ligue des droits de l’homme, Union communiste libertaire, Parti Communiste français, Union démocratique bretonne) à quelques jours de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars. Deux temps forts seront organisés. Un premier rassemblement se déroulera le 6 mars, à 15 h, place Aristide-Briand, et un second le 8 mars, même horaire et même lieu. Comme ils l’avaient fait il y a deux ans en rebaptisant la place Paul-Bert en place des Femmes, une nouvelle action de ce type devrait être menée.

     

    « Le nombre de violences faites aux femmes augmente. Les solutions passent par des décisions politiques fortes », s’exclame Annie Rio, porte-parole de l’union syndicale Solidaires, qui rappelle que le pays de Lorient est toujours en attente d’un lieu d’accueil pour les victimes. Et d’ajouter : « Dans la sphère privée, le confinement a mis en lumière la charge énorme de travail des femmes. Certaines ont télétravaillé tout en gardant leurs enfants. En général, les femmes consacrent toujours plus de temps que les hommes aux tâches domestiques ».

    « Mettre fin

    à l’inégalité des salaires »

    L’une des premières revendications de cette journée est de « mettre fin à l’inégalité des salaires. Les femmes sont toujours payées 25 % de moins en moyenne à poste égal. Elles occupent des emplois mal rétribués, en temps partiel et elles se retrouvent plus vite dans la précarité. C’est contre cela que l’on veut lutter », explique Annie Rio. « L’égalité professionnelle, c’est aussi l’affaire de tous les hommes. Des entreprises le font bien. On souhaite un réveil des mentalités », appuie Rozenn Douillard, membre du bureau de la CGT. « Avec le contexte sanitaire, les femmes sont en premières lignes et plus exposées aux situations dramatiques », ajoute Delphine Alexandre, du PCF.

    Tous veulent défendre la place des femmes dans l’espace public ou encore garantir l’accès à la contraception et à l’IVG, « un droit fondamental fragilisé dans certains pays européens ». « On devrait faire le 8 mars tous les jours car c’est toute l’année qu’il y a des injustices », conclut Annie Rio.

    Pratique

    Ce samedi 6 mars, à 15 h, place Aristide-Briand, à Lorient, et lundi 8 mars, à 15 h, place Aristide-Briand.

     

     

    Julien Boitel

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • Quelques musiciens ou encore un jongleur donnent une touche joyeuse au cortège.Quelques musiciens ou encore un jongleur donnent une touche joyeuse au cortège

    300 personnes manifestent ce samedi à Pontivy pour demander la réouverture des lieux culturels.

    Au bas mot, 300 personnes défilent en ce samedi après-midi dans les rues de Pontivy, inondées de soleil. À l’appel d’un collectif d’artistes et de techniciens du spectacle, elles réclament l’ouverture des lieux culturels. L’ambiance est très bon enfant.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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