• "Mardis Jaunes"-Ciné-débat autour du film "Les nouveaux chiens de garde"-Mardi 24/09-20h au Théâtre de Cornouaille à Quimper

    « Mardis Jaunes » de Quimper 

    Mardi 24 septembre-20 heures

    Salle des Grands Projets au Théâtre de Cornouaille

     

    Ciné-débat

    « les nouveaux chiens de garde »

    (film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat)

     

    Après une conférence-débat qui a rassemblé plus d’une trentaine de personnes sur un sujet difficile « comprendre l’euro », le Groupe des Gilets Jaunes du Pays Glazik propose dans le cadre des « mardis jaunes » une soirée-débat consacrée à la presse. Elle débutera par la projection du film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat : « Les nouveaux chiens de garde » et se prolongera par un débat.

    La violence des unes, des éditos, des reportages des médias dominants contre le mouvement des gilets jaunes a surpris. Rarement la grande presse ne s’est aussi crûment révélée au service des « riches ».

    Les médias se proclament "contre-pouvoir". Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations pré-mâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.

    En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi. Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. , LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE dénonce cette presse qui se revendique indépendante, objective et pluraliste.

     

     

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  • source: UL CGT de Brest

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  • Le président de l’Assemblée nationale a été convoqué mercredi dans l’affaire immobilière des Mutuelles de Bretagne, dépaysée à Lille. Elle lui avait coûté son poste de ministre en 2017. Après quatorze heures d’audition, il a été mis en examen pour prise illégale d’intérêts.

    Richard Ferrand a quitté le palais de justice de Lille après plus de quatorze heures d’audition.Richard Ferrand a quitté le palais de justice de Lille après plus de quatorze heures d’audition

    Tempête politico-judiciaire en vue ? Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale, a été mis examen la nuit dernière à Lille pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne. Cette mesure a été décidée par trois juges d’instruction à l’issue d’une audition marathon de quatorze heures.

    Le député LREM du Finistère, très proche d’Emmanuel Macron, était arrivé discrètement au palais de justice vers 10 h 10. Il est reparti à 0 h 40.

     

    L’ancien socialiste s’est expliqué dans le bureau des magistrats sur son rôle dans une transaction immobilière datant de 2011. À l’époque, il était directeur général des Mutuelles de Bretagne (1998-2012), organisme sans but lucratif. Il est suspecté d’avoir profité de cette fonction pour favoriser sa compagne. Celle-ci aurait financé l’achat d’un bien de près de 400 000 euros à Brest en le louant… aux Mutuelles de Bretagne, qui a également rénové les lieux à hauteur de 184 000 euros. Mélange des genres ?

    Un classement, puis une relance de l’enquête

    Une première enquête a été ouverte par le parquet de Brest en 2017. Elle a contraint Richard Ferrand à quitter son éphémère poste de ministre de la Cohésion des territoires, avant de devenir patron des députés du groupe LREM, puis président de l’Assemblée nationale. Les investigations ont finalement été classées sans suite en raison, selon le procureur brestois, de la prescription des faits. Elles ont été relancées, début 2018, par une plainte avec constitution de partie civile de l’association anticorruption Anticor. Une information judiciaire a alors été ouverte à Paris.

    Mais les avocats de Richard Ferrand ont soulevé un possible conflit d’intérêts visant un magistrat parisien, présent dans le dossier et membre d’Anticor. La Cour de cassation leur a donné raison. C’est pourquoi elle a dépaysé l’enquête à Lille en juillet 2018.

    « Déterminé à poursuivre (sa) mission »

    En septembre 2018, Richard Ferrand avait exclu de démissionner en cas de mise en examen. Cette nuit, dans un communiqué transmis à l’Agence France Presse, il s’est dit « déterminé à poursuivre (sa) mission » et « serein sur l’issue de la procédure ».

    Plus tôt dans la journée, après le Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait refusé tout « commentaire avant d’avoir connaissance de l’objet de cette convocation ».

    « Ce rendez-vous aurait dû avoir lieu il y a un an mais M. Ferrand avait réussi à gagner un peu de temps en faisant dépayser son dossier à Lille. On souhaite désormais qu’il s’explique sur les faits qui lui sont reprochés et qui ne sont pas prescrits », a déclaré pour sa part le président d’Anticor, Jean-Christophe Picard.

    Benjamin Duthoit

    source: https://www.lavoixdunord.fr/

     

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  • Le président de l’Assemblée nationale a été convoqué, ce mercredi matin, pour des soupçons de prise illégale d’intérêts dans l’affaire immobilière des Mutuelles de Bretagne, dépaysée à Lille. Elle lui avait coûté son poste de ministre en 2017. Il est arrivé à 10 h 10 au palais de justice. On ignore pour l’instant s’il sera mis en examen.

    Exclusif: Richard Ferrand est actuellement entendu par des juges à Lille

    Tempête politico-judiciaire en vue ? Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale, a été convoqué ce mercredi matin dans le bureau de juges d’instruction lillois. Le député du Finistère (LREM), très proche d’Emmanuel Macron, est arrivé discrètement au palais de justice vers 10 h 10. Il est entendu pour des soupçons de prise illégale d’intérêts dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne. 

    Richard Ferrand, député du Finistère et président de l’Assemblée nationale. PHOTO ARCHIVES PIERRE LE MASSONRichard Ferrand, député du Finistère et président de l’Assemblée nationale. 

    L’ancien socialiste doit s’expliquer sur son rôle dans une transaction immobilière datant de 2011. À l’époque, il était directeur général des Mutuelles de Bretagne (1998-2012), organisme sans but lucratif. Il est suspecté d’avoir profité de cette fonction pour favoriser sa compagne. Celle-ci aurait financé l’achat d’un bien de près de 400 000 euros à Brest en le louant... aux Mutuelles de Bretagne, qui a également rénové les lieux à hauteur de 184 000 euros. Mélange des genres ?

    Un classement puis une relance de l’enquête

    Une première enquête a été ouverte par le parquet de Brest en 2017. Elle a contraint Richard Ferrand à quitter son éphémère poste de ministre de la Cohésion des territoires, avant de devenir patron des députés du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale. Les investigations ont finalement été classées sans suite en raison, selon le procureur brestois, de la prescription des faits. Elles ont été relancées, début 2018, par une plainte avec constitution de partie civile de l’association anticorruption Anticor. Une information judiciaire a alors été ouverte à Paris.

    Mais les avocats de Richard Ferrand ont soulevé un possible conflit d’intérêts visant un magistrat parisien, présent dans le dossier et membre d’Anticor. La Cour de cassation leur a donné raison. C’est pourquoi elle a dépaysé l’enquête à Lille en juillet 2018. Trois juges d’instruction ont été désignés.

    Mis en examen ou témoin assisté ?

    Reste maintenant à savoir ce qu’ils vont décider à l’issue de l’audition du président de l’Assemblée nationale. Ils peuvent le mettre en examen, ce qui rendrait sa situation politique très compliquée, ou le placer sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Réponse dans l’après-midi. En septembre 2018, Richard Ferrand a exclu de démissionner en cas de mise en examen.

    Benjamin Duthoit 

     


    Dépaysement, mode d’emploi

    La plainte déposée contre Richard Ferrand dans ce dossier émane de l’association Anticor. Magistrat, Éric Alt, vice-président d’Anticor et auditionné dans cette affaire, est en poste au tribunal de Paris. Afin d’éviter toute interférence, le dossier n’a pas été confié à un juge parisien et a été dépaysé, et donc envoyé à des juges d’instruction d’une autre juridiction, ici Lille. Le dépaysement peut être sollicité par l’une des parties prenantes d’une affaire et est généralement décidé par la Cour de cassation. L’idée est de faire en sorte que la justice soit rendue en toute sérénité, en dehors de conflits d’intérêts et en dehors de tout soupçon d’impartialité de la juridiction chargée de la procédure. Dans le passé, l’instruction d’un magistrat lillois soupçonné de corruption avait ainsi été assurée à Paris.


     

     source: https://www.lavoixdunord.fr/

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  • source: https://www.youtube.com/

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  • Retour sur la manifestion des travailleurs de la mer contre l'amiante le 6 septembre dernier

     

    Retour sur la manifestion des travailleurs de la mer contre l'amiante le 6 septembre dernierIntervention de Christian LE SIGNE

     

    Secrétaire Général de l'UFPVMM/ CGT et

    Secrétaire du Syndicat CGT des Marins du Grand Ouest,

     

     

     

    D'abord, je tiens à remercier tous les participantes et participants qui sont présents aujourd'hui, à Brest.

    Le syndicat CGT des Marins du Grand Ouest et l’Union Fédérale des Pensionnés et Veuves de la Marine Marchande (Commerce et Pêche), se battent depuis plusieurs années :

    Pour réclamer une Justice Sociale envers cette maladie mortelle qu'est l'Amiante. L'Union Fédérale CGT et tous les marins et Veuves demandent des réponses immédiates de l’État français contre les inégalités, qui existent encore aujourd’hui envers les marins, mais surtout leurs veuves.

    Nous exigeons de nos Politiques, une égalité de traitement pour tous les malades de l’Amiante.

    Le temps passe, les marins et leurs veuves n'ont toujours pas obtenu réparation, en raison d'un décret de loi qui date du 17 juin 1938.

    Cette discrimination doit cesser !

    Des propositions ont été faites par la CGT des marins depuis plus d'un an, aux ministres:

    Agnès BUZYN et Élisabeth BORNE, pour changer ce fameux décret du 17 juin 1938.
    Pourtant, à ce jour, ces ministres, en charge de ces dossiers, ne font rien, encore pire: elles ne daignent même pas répondre à nos courriers et propositions. « Elles ont un voile devant ies yeux. »

    Pourtant, début janvier 2019, une délégation de notre syndicat CGT a été ïeçue par le groupe d'études Amiante, à l'Assemblée nationale, des promesses nous ont été faites, mais là non plus rien ne bouge.

    Pour votre information, lors de cet entretien, le Président du groupe Amiante, Christian HUTIN a déploré le désintérêt de la représentation nationale pour les problèmes liés à l'Amiante. Il nous rappelle que ce groupe d'études a failli ne pas être reconduit lors de la XVème législature et que ce groupe ne dispose d'aucun moyen pour fonctionner, si ce n'est la mise à disposition de salles dans les bâtiments de l'Assemblée Nationale et d'un administrateur.

    Le Président HUTIN considère ce groupe d'études comme un groupe de pression politique, dont la mission est de défendre les victimes de l'amiante jusqu'au bout.

    Voilà ce qui nous a été dit dès le début de notre audition. Vous entendez bien: AUCUN MOYEN !!

    Les travailleurs meurent et leurs empoisonneurs peuvent continuer à dormir sur leurs deux oreilles, sans pour la plupart à être inquiétés.

    MAIS que fait le Roi Soleil (MACRON) pour mettre ses ministres enfin au travail sur ce dossier !!?

    Au 1er Janvier 2020, fin du dispositif ACAATA. Pour votre information, là aussi pour les Marins, il y a eu discrimination, seul le service machine a pu en bénéficier.

    Alors comme vous le savez, tous les services: machine, pont, ADSG (service hôtelier) et officier, à bord des navires étaient confinés à bord et ce, 24H124 et souvent plusieurs mois, là aussi sans protection Amiante, lors des arrêts techniques en France et encore moins à l'étranger, en mangeant et dormant à bord.

    D'où le constat, aujourd'hui, du nombre important de décès et dans tous les services. Pour ma part, j'ai navigué 37 ans 1/2 et je n'ai jamais vu à bord, une protection arniante pendant toute ma carrière. Nous sommes d’accord avec les Métallos ! L'Amiante, l'État s'en fout, comme de ses travailleurs: Marche ou Crève!

    Je propose aujourd'hui, à tous les régimes concernés par ce problème d'amiante, d'en faire part à notre secrétaire confédéral CGT à Paris, pour qu'il organise une réunion avec tous les responsables de ce combat et tous ensemble de monter un cahier revendicatif national, tous régimes confondus.

    Tous les travailleurs qui ont été au contact de l'Amiante, pendant leur carrière, ont une épée de Damoclès au-dessus de lem tête, pendant toute leur vie.

    D'ailleurs pour les marins, pour ce qui concerne l'Anxiété, à ce jour, aucun marin au niveau national, n’a été indemnisé, « LE SCANDALE DE L'AMIANTE CONTINUE» .

    Nous disons STOP aux inégalités et aux discriminations face à cette maladie mortelle qu'est l'amiante, c'est pour cela que nous sommes ici, à Brest ce matin pour manifester.

    TOUS RÉGIMES CONFONDUS, TOUS ENSEMBLE, ON Y ARRIVERA.

    LE COMBAT DOIT CONTINUER ET DOIT MÊME S'AMPLIFIER.

    Merci encore à tous, d'être présents.

    Retour sur la manifestion des travailleurs de la mer contre l'amiante le 6 septembre dernier

     

     

    Retour sur la manifestion des travailleurs de la mer contre l'amiante le 6 septembre dernierDéclaration de P.-Y. CADALEN

    (La France Insoumise-Brest)

     

     

    « Je suis venu à cette manifestation pour soutenir la lutte des marins exposés tous les jours à l'amiante. Je retiens que le gouvernement actuel comme les précédents porte une lourde responsabilité dans les drames dus à l'amiante qui continuent de tuer des milliers de marins chaque année alors que comme le souligne Christian le Signe il y a une loi datant de 1938 sur la protection des marins. Lui même a travaillé 37 ans dans la marine marchande comme cuisinier et n'a jamais eu de protection »

     

    Retour sur la manifestion des travailleurs de la mer contre l'amiante le 6 septembre dernier

    Déclarations recueillies par les correspondants brestois de l'Hermine Rouge

    Les photos sont de JP Hellequin-Merci à lui

     

     

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  • Samedi de mobilisation contre le G7 des parlementaires à Brest (F3 Bretagne-7/07/19-19h26)Manifestation anti G7 des parlementaires à Brest, ce samedi 7 septembre 2019

     

    Dernier jour du G7 des Parlementaires au Conquet et à Brest. Sommet international qui réunit, les présidents des assemblées du G7. Mais dans la rue, 500 personnes ont défilé ce samedi  contre le sommet à l'initiative d'un collectif anti-G7, rassemblant plusieurs organisations et associations.

    Près de 500 personnes ont manifesté samedi après-midi dans les rues de Brest protestant contre la tenue d'un G7 réunissant les présidents d'assemblée de ses pays membres. Des anarchistes, des anti-fascistes, des jeunes pour le climat, des membres de la CNT, mais aussi des "gilets jaunes", ont dénoncé la tenue de ce sommet, scandant notamment le slogan "tout le monde déteste le G7"   

    L'enjeu maritime au cœur des débats

    Les présidents des assemblées (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Royaume-Uni, Japon), sont réunis depuis jeudi pour ce G7 autour du thème des océans et de leur préservation, à Brest, pôle d'excellence en matière d'étude et de valorisation des mers. Ce vendredi, les présidents des assemblées des sept plus grandes puissances du monde ont signé une déclaration commune, s’engageant à protéger les océans, qualifiés de bien commun. Une première, a souligné Richard Ferrand, le maître de cérémonie de ces journées brestoises, tout en en précisant que la liste des mesures à prendre pour sauvegarder le milieu marin et sa biodiversité n’était pas encore arrêtée. Ce samedi, dernier jour de ce G7 des parlementaires, les délégations ont planché plus particulièrement sur la question des pollutions maritimes. 

    Des oppositions au G7 des parlementaires

    Cette manifestation prévue ce samedi place de Strasbourg à Brest représentait un temps fort pour toutes les organisations qui dénoncent des politiques jugées antisociales et anti écologiques, symbolisée par ce G7. Pour l’association Morglaz, qui appelle à manifester cet après-midi, ce G7 est tout simplement un coup d’épée dans l’eau.

    "Un sommet de l’entre-soi, (...) qui ne va laisser aucune trace. Pour nous ce sont des dépenses inutiles, des sommets qui ne servent à rien ou à pas grand-chose", pour Jean-Paul Hellequin, président de l'association Mor Glaz.

    La réaction de Jean-Paul Hellequin, président de l'association Mor Glaz (recueillie par Claire Louet et Gwénaëlle Bron )

    Défilé dans le centre-ville de Brest

    Ce samedi après-midi les différentes organisations, associations, ou partis politiques, qui appelaient à manifester ont pris la parole à tour de rôle. Ils ont prévu de rester dans un périmètre à proximité du sommet, tandis que le collectif anti G7 envisage de défiler en centre-ville jusqu’à la préfecture maritime, où se réunissent actuellement les délégations du G7. Leur parcours est pour l’instant maintenu secret.

    Place Publique Bretagne, qui appelle à manifester avec « Youth For Climate Brest » ce samedi, dénonce en particulier "les impasses de cette coûteuse réunion des puissants, tant sur la forme que sur le fond""Sur aucun de ces sujets le G7 de la mer qui s’ouvre aujourd’hui à Brest n’apporte de solution ­systémique. Ces solutions ne peuvent être construites sans et contre les citoyens (...) Et nous appelons tous ceux qui le souhaitent à contribuer à nos travaux en cours sur un nouveau modèle agricole et maritime pour la Bretagne".

    Samedi de mobilisation contre le G7 des parlementaires à Brest (F3 Bretagne-7/07/19-19h26)Manifestation anti G7 à Brest

    Le reportage à Brest de Claire Louet, Gwénaëlle Bron et Catherine Deunf

    Claire Louet avec KV

    source: https://france3-regions.francetvinfo.fr/

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  • Brest-G7 parlementaire. Les opposants en ordre dispersé (LT.fr-7/09/19-19h32)De 300 à 400 manifestants se sont mobilisés pour dire « Non, merci » au G7.

     

    La manifestation prévue par de nombreux syndicats, collectifs, partis politiques de gauche, associations pour protester contre le G7 parlementaire a tourné un peu court, ce samedi après-midi. La faute à une foule estimée à 400 au meilleur de sa forme, et plus certainement 300 lors de la marche, ainsi qu’à une organisation cacophonique et désordonnée jusque dans le tracé du parcours.

    Sur la place de Strasbourg, si loin du port impénétrable où vivent ce samedi les présidents des assemblées, ce n’est peut-être pas le grand soir mais ce n’est pas non plus la famine de certaines manif’ désertes. Alors que 13 h 30 sonne, ils sont entre 300 et 400 à discuter en attendant que le cortège s’ébroue pour rappeler que le G7 « Non, merci ». La foule se montre d’emblée très hétéroclite. 

    Aux anars, pavillon noir en oriflamme, à la CNT rouge et noire se sont ajoutés un bon nombre de gilets jaunes, une poignée de syndicalistes (SUD et CGT principalement) et d’associatifs comme ceux du Mouvement pour la paix ou de Mor Glaz, entre autres. Plus un élu ou deux, comme Anne-Marie Kervern, représentant l’UDB.

    Au pied de l’escalier décrié de la place susdite, les prises de paroles pleuvent. Elles sont abruptes et sans concession. Surtout celle du collectif rouge et noir qui lance un appel insurrectionnel contre le capital et ses représentants, lorsqu’Olivier Cuzon, au nom des assos, syndicats et partis politiques pointe que ces « pays se disent modernes mais ne sont que riches, inégalitaires et militarisés. Leurs politiques vont contre les intérêts du peuple en soutenant le libre-échange mondialisé, la dérégulation ». Anticapitalistes tous, comme Jean-Paul Hellequin, pour Mor Glaz, qui rappelle la sauvagerie sociale du monde maritime et de ces marins payés à la trique, comme Roland Le Guillou de Penanros pour le Mouvement pour la paix, qui harangue sur la nécessaire sortie du nucléaire.

    Le Mouvement pour la paix a revendiqué une nécessaire sortie du nucléaire. vision à l’Étoile

    Mais voilà. Le temps passe et rien ne se passe. Depuis le début du rassemblement, la rumeur court que le parcours de la manifestation n’est pas spécialement arrêté. Certains voudraient aller en zone, d’autres rue Jean-Jaurès et quelques derniers, nulle part. « On vient au rassemblement, on ne défilera pas », fait savoir le même Olivier Cuzon, las de n’avoir pu établir un programme commun pour ce samedi spécial ni un ordre de marche définitif.

    Les gilets jaunes s’en mêlent, un vote à la main levée est organisé. La rue Jean-Jaurès est plébiscitée, en dépit d’un déploiement musclé des forces de l’ordre et c’est pourquoi les désormais 300 manifestants partent… en zone, via la route de Gouesnou. À marche rapide, les voilà au rond-point de l’Étoile, près des concessions automobiles où ils se figent. De discussions en discussions, l’immense majorité des gilets jaunes quitte la troupe.

    Sans ordre de marche préétabli, nombre de gilets jaunes ont quitté le cortège.

    Un temps, quelques minutes et quelques explosions de bombes agricoles. Puis les autres, qui rebroussent chemin vers la ville et son centre. Il ne reste que deux cortèges un peu divisés pour un baroud d’honneur qui, selon le parquet, n’a été émaillé d’aucun incident notable. Pendant ce temps-là, les parlementaires du G7 s’apprêtaient à quitter Brest.

    Steven LE ROY

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Brest. Dans la confusion, 300 personnes contre le G7 (OF.fr-7/09/19-19h08)Les manifestants ont défilé dans les rues de Brest pour protester contre le G7 parlementaire.

     

    Une partie des manifestants a défilé jusqu’au boulevard de l’Europe pour protester contre la tenue du G7 parlementaire. La manifestation n’a pas entraîné de débordements.

    « Militer pour l’interdiction des armes nucléaires », « ras-le-bol de la politique », « protester contre la politique menée par les pays du G7 »… Les différentes motivations avancées par les manifestants, samedi après-midi, à Brest (Finistère), manquaient sans doute un peu de cohésion. Des autocollants réclamant la gratuité des transports publics ont même été collés sur un tramway à l’arrêt, au niveau de Menez-Paul.

    À l’entame de ce rassemblement, initialement organisé pour protester contre le G7 parlementaire, plusieurs personnes ont pris la parole : syndicalistes bien identifiés, membres d’associations, mais aussi militants plus belliqueux. Tous n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la marche à suivre. Une partie du rassemblement est donc restée sur place, pendant qu’un cortège d’un peu moins de 200 personnes s’élançait dans les rues de Brest.

    CNT, Gilets Jaunes…

    À la tête de ce cortège, le syndicat CNT (Confédération Nationale du Travail, aux tendances anarchistes), suivi par une bonne cinquantaine de Gilets Jaunes. Le son de plusieurs bombes agricoles a même été entendu. Curieux mélange des genres, au milieu duquel se sont retrouvées quelques personnalités politiques.

    Le manque de cohésion s’est fait sentir sur le trajet, qui a notamment fait passer les manifestants par le quartier de Pontanezen, via les voies de tram, perturbant fortement la circulation. Le cortège a stoppé sa course sur le boulevard de l’Europe, pour repiquer vers le centre-ville, discrètement surveillé par quelques voitures de police.

    « Afficher davantage d’unité »

    Peu de perturbations ont été notées. Tout de même : les clients du magasin Printemps, de la rue Jean-Jaurès, ont été contraints de sortir par l’arrière du magasin à cause de la manifestation, en fin d’après-midi. 

    « Sur le fonds, il y avait tout de même une certaine unité, note Olivier Cuzon (Solidaires). Mais il est vrai qu’on n’a pas réussi à discuter ensemble d’un parcours de manifestation… Même au sein des Gilets jaunes, il y avait des divergences.. Il va falloir afficher davantage d’unité pour les prochains rassemblements. »

    Mickaël LOUÉDEC.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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