• OGM, ADN. Les combats de Marie  (LT.fr-27/01/2017)Une quarantaine de soutiens, hier, avec Marie Nicolas devant le commissariat de Quimper.

     
    « J'ai donné deux fois mon ADN avec mes enfants et plus de cent fois avec mon sang. Je refuserai de le faire dans ces conditions ». Marie Nicolas a répété, hier après-midi, à l'officier de police, qu'elle s'oppose à tout prélèvement. La militante des Faucheurs volontaires anti-OGM attend aussi le procès qui permettra d'expliquer sa désobéissance civique.
     
    « C'est quand même désolant qu'un monument de générosité et d'humanité comme Marie soit traité comme cela », constate un ancien collègue de l'enseignante retraitée. Le cercle des amis s'était encore diversifié hier, en début d'après-midi, pour soutenir Marie Nicolas, à nouveau convoquée au commissariat après une première audition lundi. La militante anti-OGM quimpéroise a participé à un arrachage de colza muté dans la région de Dijon en novembre. C'est à ce titre qu'elle était entendue une première fois. « Aujourd'hui, j'étais à nouveau convoquée pour une audition libre car j'avais refusé de donner mon ADN lundi, explique-t-elle devant ses soutiens réunis face au commissariat. J'ai réitéré mon refus de me soumettre à ce prélèvement. Cette audition a un caractère arbitraire. Nous étions 67 faucheurs, seuls 20 ont été convoqués et deux - dont moi - appelés à un prélèvement d'ADN que nous avons refusé ».
     
    Contre le « fichage ADN »
     
    Marie Nicolas s'insurge contre la multiplication de ces « fichages » ADN. « Depuis 2003, plus de deux millions de Français ont fait l'objet d'un prélèvement ADN en garde à vue ou après une condamnation, même bénigne ou strictement politique de désobéissance civique, dit-elle. Le recueil des empreintes génétiques était initialement réservé aux personnes condamnées pour des crimes à caractère sexuel. L'inscription au fichier devient une peine en soi et crée une présomption de culpabilité appuyée sur un fichier de suspects permanents ».
     
    « Nous voulons un procès »
     
    « Lundi, on m'avait aussi remis une convocation pour une composition pénale (il s'agit d'une procédure qui permet au procureur de la République de proposer une mesure alternative aux poursuites à une personne ayant commis certaines infractions). Je ne suis pas condamnée et je suis donc présumée innocente. C'est donc à un juge et non au procureur d'apprécier la nécessité d'appliquer telle ou telle peine », argumente Marie. Elle avait « 48 heures de réflexion » pour préciser sa réponse. « J'ai confirmé à l'officier de police mon refus de cette composition pénale car nous voulons un procès avec des témoins, des avocats », insiste-t-elle. « Nous ne faisons pas cela par plaisir ou pour quelque intérêt, ajoute la militante. D'une part le prélèvement d'ADN porte atteinte au respect de la vie privée et à la sauvegarde de la dignité humaine. D'autre part, le problème qui nous conduit à nous mobiliser ce sont les manipulations de l'ADN, transgénèse, mutagénèse, nouvelles technologies qui sont mises en place par les firmes agrochimiques pour s'accaparer les semences, les sols et breveter le vivant ». Les Faucheurs volontaires de Dijon vont donc écrire collectivement au procureur de du tribunal de la cité bourguignonne pour demander un procès « public équitable ».
     
    Ronan LARVOR
    source:  letelegramme.fr
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  • Les différents membres de Cent pour un toit, lundi en soirée, au centre Guéhenno. Ils seront tous au Coat-Kaër, vendredi à partir de 18 h 30 pour une réunion publique

    Cent pour un toit organise une réunion publique, vendredi en soirée au Coat-Kaër. L’occasion de se faire connaître et recruter de nouveaux bénévoles pour venir en aide aux migrants.

    Après celle de novembre 2015, le collectif « CPUT » (Cent pour un toit) organise une nouvelle réunion, vendredi à partir de 18 h 30, salle Ellé au Coat-Kaër. C’est ouvert à tous. Au programme, un film avec des captations de la soirée avec l’acteur Jacques Bonnaffé, à Arzano, vendredi dernier ; un clip pédagogique d’Amnesty international, entre autres.« Ce sera aussi l’occasion de dire où nous en sommes après un an et demi d’existence, avec nos perspectives, nos priorités. Mais aussi de lancer un appel aux dons », disent les bénévoles.

    Soutenu par la Fondation Emmaüs, Cent pour un toit est en attente du soutien de la Fondation de France. Une vraie reconnaissance.

    Si le collectif se réunit tous les lundis, il organise une permanence au centre Guéhenno, tous les jeudis, de 9 h à 12 h 30. « Pour les personnes qui ont besoin d’aide, mais aussi pour celles qui veulent nous donner un coup de main. Nous recherchons des bénévoles, des accompagnants », poursuivent… les bénévoles. Renseignements au 07 69 00 56 45.

    Cinq communes, huit familles

    Arzano, Moëlan-sur-Mer, Bannalec, Riec-sur-Bélon et Quimperlé sont les communes qui mettent à disposition, gratuitement, des logements pour les familles. « Nous avons aussi deux autres logements. Au total, nous hébergeons huit familles. On aimerait que d’autres communes nous aident. Il y a des projets à Querrien et à Clohars-Carnoët. »Cent pour un toit ne perçoit pas de subvention, mais les « mairies nous aident avec la mise à disposition des logements ». Le collectif en profite pour faire un appel du pied à la population : « Quand on voit tous ces logements vides un peu partout… On signe avec les propriétaires des conventions de mise à disposition et ils peuvent même obtenir des abattements fiscaux. »

    Entre l’association et les familles, il existe également « un contrat (moral) de réciprocité : les familles aident à la rénovation des logements, des artisans travaillent bénévolement. Et quand il y a des manifestations de soutien, les familles participent à l’organisation, à la préparation. »

    Cent pour un toit a aussi des référents-familles sur les communes. Ces collectifs se créent, comme à Moëlan-sur-Mer. Avec de l’alphabétisation, de l’aide aux devoirs, ou encore la recherche de vélos pour les déplacements.

    « Un toit sur la tête »

    En accueillant des familles de migrants, Cent pour un toit se considère comme une « piste d’envol » pour toutes ces personnes désorientées. « Au départ, elles doivent supporter toutes ces embûches du quotidien. » Entendez par là, les démarches administratives. « Début 2016, il y avait un mois d’attente pour obtenir un rendez-vous à la préfecture de Quimper. Aujourd’hui, il en faut cinq. Si ce n’est pas une stratégie d’usure, ça… Et il y a tous ces dossiers en souffrance, pour lequels il y a deux ou trois mois d’attente, pour obtenir une simple signature. »

    Et si on voulait décourager les migrants et les bénévoles, on ne s’y prendrait pas autrement. Et toutes ces démarches coûtent de l’argent. « En fait, on épuise les gens et on les assèche financièrement. »

    Humainement difficile

    Les bénévoles de CPUT le reconnaissent. « C’est compliqué d’être dans l’action dès le début, compliqué d’être neutre, d’être à la bonne distance. Pour éviter d’être submergé par les émotions et l’affect. L’idéal est d’intervenir en binôme. »Mais pour cela, Cent pour un toit a besoin de bénévoles. Encore et encore.

    Vincent THAËRON.

    source: ouest-france.fr

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  • OGM. Marie Nicolas, désobéissante civique (LT.fr-24/01/2017)Une quarantaine de personnes réunies en soutien à Marie Nicolas devant le commissariat de Quimper.

     
    Une quarantaine de personnes réunies en soutien à Marie Nicolas devant le commissariat de Quimper. Une quarantaine de militants se sont rassemblés, hier matin, devant le commissariat de police où Marie Nicolas était entendue. La Quimpéroise était auditionnée suite à un arrachage de colza « muté » par 70 militants dans la région de Dijon fin novembre. Elle avait participé à l'action de désobéissance civique à visage découvert. Yves Le Devic, un autre militant cornouaillais, illustre l'enjeu avec un autre exemple. « Nous avions détruit 3.500 tonnes de soja transgénique sur le port de Lorient fin 2015. Sur place, nous avions attendu les forces de l'ordre et nous avons donné nos identités. Mais il n'y a pas eu de poursuite. Les importateurs ne voulaient pas de la tribune que nous aurait donnée un procès, car ils savent que les Français sont majoritairement opposés aux OGM ». Finalement, Yves et trois de ses collègues ont tout de même été poursuivis, suite à la plainte de la direction du port de Lorient pour des tags revendicatifs sur les murs. Ils auront donc leur procès début mai à Lorient pour exposer les raisons de leur désobéissance civique. Marie Nicolas est une militante de longue date. « Nous dénonçons depuis 2010, les plantes mutées, essentiellement colza et tournesol, expliquait-elle, hier, avant d'être entendue. Il s'agit de variétés végétales rendues tolérantes aux herbicides. Mais ces OGM cachés ne sont pas soumis réglementairement à évaluation, traçabilité ou étiquetage au niveau européen. Nous demandons donc un moratoire en France. Même l'Inra et le CNRS ont émis des réserves sur ces plantes ». « Nous ne sommes pas un groupuscule passéiste ou saccageur, dit Marie Nicolas. Les OGM cachés, présentent les mêmes dangers que les plantes transgéniques : contamination des autres cultures, utilisation accrue des pesticides, brevetage des semences... ». Hier, après plus d'une heure au commissariat, Marie Nicolas est ressortie après avoir refusé de répondre aux questions et de faire les prélèvements d'ADN. Elle est convoquée à nouveau jeudi à 14 h.
     
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  • Le collectif anti-Tafta morlaisien a invité les passants à signer une pétition, qui sera envoyée aux parlementaires européens.

     
    Le collectif anti-Tafta morlaisien a invité les passants à signer une pétition, qui sera envoyée aux parlementaires européens. Le collectif du Pays de Morlaix « Stop Tafta » a participé, hier, à la Journée européenne d'action contre le traité CETA (UE-Canada). Un traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada. Les membres du collectif, munis de pancartes parlant du CETA et du Tafta, ont suscité la curiosité des passants sur le marché et répondu à leurs interrogations, « en insistant sur le fait que ces traités ont la même finalité : servir les intérêts des multinationales et de la finance au détriment des citoyens européens, états-uniens ou canadiens », ont expliqué les manifestants. Les passants ont été invités à signer des cartes qui seront ensuite regroupées sur le territoire national pour être envoyées aux parlementaires européens, avant le vote de ratification du traité de commerce et d'investissement UE-Canada par le Parlement européen, prévu à la mi-février.

    source:  letelegramme.fr
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  • Pollution de l'air. Alerte aux particules fines dans le Finistère  (LT.fr-21/01/2017)

    Selon Air Breizh, "les niveaux moyens sur la journée en particules fines (PM 10) vont dépasser dimanche le seuil de 50 µg/m3 pour la troisième journée consécutive ce qui justifie le passage en niveau d'alerte. Ces niveaux devraient rester stables dans les prochains jours" indique dans un communiqué la préfecture du Finistère. Cet épisode est imputable à la combinaison de conditions météorologiques favorables à l'accumulation de polluants émis par le chauffage au bois, le transport routier et des pratiques telles que l'épandage.
     
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  • C'est aux urgences du CHU de Brest que le dentier du patient s'est volatilisé


    Une prothèse dentaire égarée, ça peut coûter cher ! Le centre hospitalier universitaire de Brest vient de l’apprendre à ses dépens : il doit rembourser 1.700 € à l’un de ses patients.
     
    Le tribunal administratif de Rennes a condamné le CHU de Brest à verser une indemnité de 1.700 € à l’un de ses patients. Car l’établissement de santé n’a pas été en mesure de lui rendre sa prothèse dentaire qui lui avait été retirée lors de son admission aux urgences, dans la nuit du 11 au 12 décembre 2013. L’équipe médicale avait, en effet, été contrainte de la retirer afin de pouvoir intuber la personne. Mais à l’issue de l’intervention, l’appareil dentaire n’a jamais été retrouvé et le malade a été obligé de faire refaire ses prothèses.
     
    Pas de prothèse dentaire dans l'inventaire
     
    Dans leur jugement, les magistrats du tribunal administratif de Rennes soulignent que le retrait de cette prothèse dentaire avait été opéré alors que le patient « était hors d’état de manifester sa volonté ». Ils observent également que cette prothèse n’a pas été inscrite dans l’inventaire des affaires qui suit tout patient lors de son admission en urgence.
    Évidemment, avant de se retourner vers la justice, le requérant avait tenté de récupérer son bien auprès du CHU. Mais, dans un courrier, l’établissement de soins avait soutenu que « les prothèses dentaires avaient été placées dans une boîte étiquetée à son nom et remises à son épouse dans un sac contenant l’ensemble de ses affaires ». Or, selon le tribunal administratif, « aucun élément du dossier ne confirme cette affirmation ».
     
    Impossibilité de se nourrir normalement
     
    Les prothèses ayant bel et bien disparu, le patient a dû patienter cinq mois. Ce n’est qu’au bout de sept rendez-vous chez le chirurgien-dentiste que ses appareils avaient été refaits. Pendant cette période, il s’est « trouvé dans l’impossibilité de se nourrir normalement et a subi en conséquence une perte de poids de huit kilos », indique le jugement.
    Le tribunal administratif a donc jugé que le préjudice du patient incombait entièrement au CHU de Brest. Sur les 1.700 € de dédommagement, 870 € sont payés au titre des frais dentaires restants après remboursement de la CPAM et de la mutuelle, 500 € au titre de son préjudice moral et 300 € pour le « déficit fonctionnel temporaire », c’est-à-dire ses difficultés à se nourrir.
    Le CHU devra également payer 1.500 € au requérant pour ses frais de justice et 255,86 € à la CPAM du Finistère pour les remboursements de soins.
     
    Carole ANDRE
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  • Par 40 voix et trois abstentions, la communauté de communes de Pleyben-Châteaulin-Porzay a choisi d'appartenir au pays de Brest.
    Par 40 voix et trois abstentions, la communauté de communes de Pleyben-Châteaulin-Porzay a choisi d'appartenir au pays de Brest.
     

    La toute nouvelle communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay, réunie ce mercredi 18 janvier à Châteaulin, a décidé de rejoindre le pays de Brest. Une vraie révolution pour cette communauté, dont les deux entités étaient jusqu’à présent rattachées au pays de Cornouaille pour Châteaulin et le Porzay, et au pays du Centre Ouest Bretagne pour la région de Pleyben.

    Avec 40 voix et trois abstentions de Plonévez-Porzay, la communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay a décidé de rejoindre le pays de Brest. Un choix mûrement réfléchi, puisque le bureau communautaire, comprenant tous les maires, a reçu les trois représentants et présidents des trois pays de Cornouaille, Centre-Ouest-Bretagne et Brest.

    Communautés proches

    Comme l’a résumé Gaëlle Nicolas, maire de Châteaulin et présidente de la nouvelle communauté, « le pays de Brest intègre bien les communautés de communes avec lesquelles il travaille. Il ne se résume pas à la seule ville de Brest, mais compte aussi des communautés de communes rurales, dont la physionomie est assez proche de la nôtre. Et la dynamique du pays de Brest, c’est le développement économique, avec chaque communauté de communes ».

    Presqu’île de Crozon et Aulne maritime

    Cette appartenance permet d’obtenir des fonds européens non négligeables, intègre également le pays touristique de Brest, et rapproche finalement la nouvelle communauté de l’autre nouvelle communauté voisine, celle de la Presqu’île de Crozon Aulne maritime

    Philippe Attard

    source: ouest-france.fr

     

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  • Cloître-Pleyben. Le premier blocage de l’école a eu lieu lundi  (OF.fr-

    ne trentaine de parents, d’élus et d’habitants ont bloqué l’école des Lutins du Cloître-Pleyben (Finistère), hier matin. Ils refusent la suppression de deux postes à la rentrée de septembre 2017.

    Lundi matin, à l’école des Lutins du Cloître-Pleyben (Finistère), une trentaine d’adultes, élus, parents, et habitants de la commune ont investi la classe de la directrice, en ayant la ferme intention d’y rester pendant au moins une heure.

    L’objectif est de sensibiliser à la fois la population et les services de l’Éducation nationale pour préserver l’école et conserver les deux postes d’enseignants.

    Les manifestants souhaitent recommencer l’opération chaque lundi précédant la date de la commission carte scolaire qui aura lieu le 30 janvier.

    « Proximité occultée »

    « Catherine Wanègue, Isabelle Lebredonchel et moi-même, nous nous sommes rendues à l’Inspection académique avec des élus impliqués dans la défense des écoles rurales notamment Cécile Nay et Jean-Yves Crenn, a rappelé Dominique Bilirit, maire, lors de la cérémonie des vœux, samedi soir. Les notions de proximité, de territoire et de service public sont complètement occultées par l’académie pour qui seuls comptent les effectifs. Aussi j’espère que de nouvelles familles viendront habiter la commune. »

    Lundi matin, dans la cour de l’école, élus, parents d’élèves et anciens de l’école ont rappelé qu’une douzaine d’enfants de la commune étaient scolarisés ailleurs, sans dérogation. Une école qui a connu, 70 élèves lors de la fusion de l’école des filles et celle des garçons.

    La mobilisation est de mise. Trois rendez-vous sont programmés, les lundis 23 et 30 janvier, à 8 h 45, à l’école des Lutins pour le blocage de l’école pendant une heure au moins. Le troisième rendez-vous aura lieu samedi 21 janvier, à 18 h, à la salle polyvalente. Le collectif de défense de l’école organisera un apéritif pour mobiliser la population.

    Une trentaine de personnes a investi une classe de l’école des Lutins, hier matin. Ils comptent réitérer l’opération pour protester contre la fermeture annoncée de deux postes d’enseignant.

    source:   ouest-france.fr

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  • A Bohars, l'augmentation massive des tarifs dans la maison de retraite a été annulée.A Bohars, l'augmentation massive des tarifs dans la maison de retraite a été annulée. | Peter Atki

     La maison de retraite a changé d’avis après le tollé provoqué par l’annonce d’une hausse mensuelle des tarifs de 480 €. L’augmentation concernera uniquement les nouveaux arrivant

    Intense soulagement pour les résidents de l’Ehpad (Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) de Kerampir, à Bohars. L’augmentation massive des tarifs mensuels annoncée le 31 décembre a finalement été annulée.

    Dans un communiqué publié mardi soir, l’UGECAM Bretagne-Pays de la Loire, gestionnaire de l’établissement, dit avoir « entendu les difficultés financières que pouvaient rencontrer certains résidents et elle souhaite que les personnes accueillies aujourd’hui au sein de l’EHPAD puissent continuer à séjourner en toute sérénité »

    La hausse de 31 %, soit environ 480 € par mois, ne concernera pas les 80 résidents actuels de l’Ehpad. Les nouveaux pensionnaires devront en revanche s’en acquitter.

    Les familles pas au courant

    Contactées après la diffusion du communiqué, plusieurs familles de résidents ont indiqué à Ouest-France ne pas avoir été informées de la bonne nouvelle par la direction de la maison de retraite.

    Charlotte HEYMELOT.

    source:

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  • Biogaz à Bannalec : le plan d'épandage à revoir (OF 29 -17/01/2017)photo: http://gazapart.blogspot.fr

     

    Par une requête et deux mémoires, des 31 mars 2014, 26 février 2016 et 16 septembre 2016, l'association Bretagne Vivante - SEPNB avait demandé au Tribunal administratif d'annuler l'arrêté du préfet du Finistère.

    Ce dernier avait autorisé la société Biogaz de Bannalec à exploiter une installation de méthanisation située à Loge-Bégoarem. Bretagne Vivante - SEPNB voulait également l'annulation du plan d'épandage.

    De son côté, la société Biogaz avait fait valoir que : les conclusions du commissaire enquêteur sont motivées, impartiales, suffisantes et tiennent compte des observations du public ; que l'arrêté d'ouverture de l'enquête publique a été régulièrement publié et a permis une bonne information du public ; que l'étude d'impact est suffisante pour apprécier le projet ; que l'origine géographique des déchets est limitée ; que le projet est compatible avec le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux ; que les lisiers peuvent être convertis en biogaz sans transformation préalable et donc sans stérilisation sous pression ; et que le projet ne génère pas de dangers particuliers et les inconvénients ont été pris en compte.

    Par un mémoire en défense, le préfet du Finistère avait conclu au rejet de la requête de Bretagne Vivante.

    Finalement, le TA enjoint au préfet du Finistère d'exiger de la société Biogaz qu'elle complète le périmètre du plan d'épandage par l'adjonction de parcelles aptes à l'épandage d'une capacité équivalente à celles retirées du plan par le présent jugement.

    L'État versera également à l'association Bretagne Vivante - SEPNB la somme de 1 000 €.

    source: Quotidien Ouest-France 17/01/2017

     

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  • Les rendez-vous de janvier au musée des Beaux-arts de Brest (OF.fr - 12/01/2017)Le critique d’art Jean-Marc Huitorel propose une conférence portant sur le travail de François Dilasser intitulée « Un peintre du XXe siècle ». | musée des beaux arts

    Pour commencer l’année en beauté, le musée des Beaux-arts de Brest propose un bouquet de visites à partager en famille pendant le mois de janvier. L’exposition inédite de dessins du peintre François Dilasser en est la star.

    Deux expositions à découvrir

    Consacrée aux dessins de François Dilasser, la première exposition présente plus de cent feuilles inédites, offrant une véritable immersion au cœur de la gestation de l’œuvre. Des visites commentées sont programmées ce samedi 14 janvier à 16 h. La seconde exposition est dédiée à deux artistes contemporains, David Ryan et Jérôme Joy. Elle propose un parcours mêlant vidéo, création sonore et musicale inédites, ainsi que de grands dessins au fusain. Deux visites commentées sont prévues ce jeudi 12 janvier à 12 h 30 et le samedi 28 janvier à 16 h.

    Pour aller plus loin avec Dilasser

    Le critique d’art Jean-Marc Huitorel propose une conférence portant sur le travail de François Dilasser intitulée « Un peintre du XXe siècle ». Il a en effet tissé avec l’artiste et sa famille une relation empreinte d’affection et de profonde amitié. Il se propose d’aborder l’œuvre de François Dilasser d’un double point de vue. Celui de la description et de l’inscription critique, d’une part ; celui du témoin, d’autre part. Le jeudi 26 janvier à 18 h.

    Visites « fil rouge » au féminin

    Pour porter un autre regard sur les collections du musée. Les visites « Fil rouge » du jeudi 19 janvier à 12 h 30 et du samedi 21 janvier à 16 h s’intéressent aux héroïnes et aux figures féminines dans la peinture. De Judith à Salomé, en passant par Cléopâtre ou Iphigénie, toutes ont connu un destin exceptionnel, tissant des récits réels ou imaginaires, inspirant les peintres et façonnant la manière de représenter les femmes.

    Visites familiale et jeune public

    La visite contée du samedi 21 janvier à 10 h 30 s’adresse aux tout jeunes visiteurs à partir de 4 ans accompagnés de leurs parents. Elle les invite à admirer les œuvres tout en écoutant des histoires extraordinaires.

    Découverte ludique en famille

    La visite en famille du dimanche 29 janvier à 15 h s’adresse aux enfants à partir de 7 ans, accompagnés de leurs parents ou de leurs grands-parents. Elle propose de découvrir les œuvres du musée en s’amusant, grâce à des jeux faisant appel aux sens (mimes, yeux bandés, énigmes…). Amusement garanti !

    Renseignements : musée des beaux-arts, 24, rue Traverse. Tarifs : visites commentées : 6 et 4 €. Visite en famille et visite contée : gratuit pour les enfants, 6 € adultes. Réservations au 02 98 00 87 96 ou musee-beaux-arts@brest-metropole.fr

    source: ouest-france.fr

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  • Le lycée professionnel maritime du Guilvinec a été retenu, avec celui de La Rochelle, pour assurer la formation d'un BTS maritime dès septembre 2017.Le lycée professionnel maritime du Guilvinec a été retenu, avec celui de La Rochelle, pour assurer la formation d'un BTS

    Une nouvelle bonne pour le lycée maritime professionnel du Guilvinec et pour le monde de la pêche finistérien en général. L'établissement bigouden a été retenu pour assurer cette formation parmi six candidats.

    Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, et Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé des transports, de la mer et de la pêche, ont annoncé officiellement ce mercredi matin la désignation des lycées maritimes professionnels du Guilvinec et de La Rochelle pour l'obtention d'une formation BTS maritime, dès la rentrée de septembre 2017. Formation supérieure dédiée à la pêche et à la gestion de l'environnement marin.

    Ludovic Le Signor.

    source: ouest-france.fr 

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  • Carhaix-Louis Bertholom dédicace Nous te souvenons Glenmor

    Dédicace
    Collectif en hommage à Glenmor pour les 20 ans de sa disparition, édité par Les Éditions des Montagnes Noires. Ouvrage dirigé par Louis Bertholom et Bruno Geneste. 63 contributeurs témoignent sous forme d’anecdote, d’évocation ou d’interview. Une riche iconographie agrémente le livre. Samedi 24 décembre, Bar La Brasserie, place de la Mairie, Carhaix-Plouguer. Contact : 06 87 40 27 93. 

    Organisateur: Louis Bertholom 29000 - Quimper  

    Informations pratiques:

    Samedi 24 décembre 2016-Bar La Brasserie. Place de la Mairie 29270 Carhaix-Plouguer-06 87 40 27 93

     

    Carhaix-Louis Bertholom dédicace Nous te souvenons Glenmor

     
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  • Quimper. Les associations environnementales se font entendre (OF.fr 21/12/2016)

    En conférence à Quimper (Finistère), les associations bretonnes de défense de l'environnement ont regretté, ce matin, la baisse d'intérêt du pouvoir politique départemental les concernant. En parallèle, elles dénoncent les "attaques virulentes" d'élus de droite et du centre, au conseil régional.

    Comme un seul homme, les associations environmentales bretonnes ont fustigé le Conseil départemental du Morbihan et les élus régionaux de droite. Ce mercredi matin à Quimper (Finistère), étaient représentées France Nature Environnement (association nationale comportant 800 000 adhérents), Eaux & Rivières de Bretagne et Bretagne Vivante

    "Khmers verts"

    D'après ces associations, des formules " virulentes " sont sorties des rangs des groupes de Droite et centre et Front national au conseil régional à l'égard d'Eau et rivières de Bretagne. Les termes utilisés sont : " Loup dans la bergerie ", " khmers verts ". Gilles Huet, le président de l'association ciblée, parle d'un " manque de hauteur " de la part des élus. " L'émotion est forte au sein de l'association, assure-t-il, le public doit savoir ce que nous subissons pour que ça ne se reproduise plus ".

    9 salariés vont partir

    Charles Braine, directeur de Bretagne vivante, s'est aussi fait entendre : " Le Conseil départemental baisse nos subventions dans le Morhiban, mais il y a une tendance de fond de baisse de dotations. Les conséquences ne vont pas se faire attendre, neuf de nos salariés vont partir en janvier prochain ".

    source: ouest-france.fr

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  • À compter du 2 janvier, pour tout sujet relatif aux impôts, les habitants des communes dépendant de la Trésorerie de Lanmeur devront s'adresser au service des impôts des particuliers, place du Pouliet, à Morlaix. Ce service est ouvert de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h et fermé le mercredi après-midi et le vendredi après-midi. Cette modification s'explique par le transfert du service de recouvrement fiscal de Lanmeur vers Morlaix. « Il ne s'agit pas d'une fermeture », précise la Direction départementale des finances publiques du Finistère. La Trésorerie de Lanmeur se charge toujours, en effet, de la gestion des budgets des collectivités territoriales. Six agents y travaillent. En janvier, l'effectif sera le même, la personne qui se chargeait de la fiscalité ayant choisi de rester à Lanmeur. « Reste qu'ils ont supprimé un poste, se désole Éric Guerry, délégué FO. C'est une tendance que l'on observe dans tout le Finistère et cela fragilise les petites trésoreries. Ce sont des pans entiers du service public qui partent des territoires et c'est regrettable ».
     
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  • Tilly : reprise d'activité le 3 janvier ?  (LT 21/12/2016)

    « Il faudra qu'on soit très vigilants sur l'aspect social », a indiqué le maire de Guerlesquin, Gildas Juiff.
     
    « C'est un coup dur pour l'économie locale ». C'est en évoquant la situation de l'abattoir guerlesquinais Tilly-Sabco Bretagne, touché par un nouveau plan social, vendredi dernier, avec 134 licenciements, malgré la reprise de l'activité saucisses par l'entreprise hollandaise Wegdam, que Jean-Luc Fichet a ouvert le conseil communautaire de lundi soir. Avant de passer la parole au maire de la commune. « Après les 127 licenciements d'il y a deux ans, c'est encore une mauvaise nouvelle pour le territoire. On n'avait pas besoin de ça », a lâché Gildas Juiff. Avant de poursuivre : « Sur les 195 salariés, 40 demeurent à Guerlesquin. D'autres viennent des communes alentours comme Lannéanou, Botsorhel, Le Ponthou... Beaucoup ont 50 ans ou plus et n'ont connu que Tilly comme employeur. Depuis deux ans, avec toutes les promesses qui leur ont été faites, beaucoup se sentent floués. Même s'ils sont repris, certains ne resteront pas. Il faudra qu'on soit très vigilants sur l'aspect social ». Gildas Juiff a également souligné que les repreneurs étaient présents dès samedi matin, à l'usine. « C'est leur premier site de production. Ils comptent reprendre l'activité dès le mardi 3 janvier, en 3/7. Par ailleurs, une première réunion d'information avec la cellule de reclassement Altedia aura lieu le vendredi 6 janvier ».
     
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  • Brest. Téléphérique : reprise espérée la semaine prochaine  (LT-21/12/2016)Brest essuie les plâtres en matière de téléphérique urbain. Ce n'est pas sans conséquence.

    Le téléphérique de Brest n'a, pour l'instant, pas fonctionné longtemps. Arrêté depuis fin novembre, il pourrait reprendre la semaine prochaine. Au mieux.
     
    Le téléphérique pourrait rouvrir ses portes avant la fin de l'année. C'est en tout cas ce qu'espère l'exploitant, Keolis. « Le problème d'ouverture de cabine, le 30 novembre, a été résolu le jour même », expliquait hier le directeur de Keolis Brest, Jean-Luc Bouhadana. « Nous attendons désormais la validation par les services de l'État. Nous avons bon espoir de recevoir le courrier officiel dans les prochains jours et de rouvrir avant la fin de l'année », mais sans doute pas pour Noël. « En tout cas, ce sera sans doute ouvert pour l'opération " Tous aux Capucins ", les 6, 7 et 8 janvier ».
     
    Des capteurs changés cette semaine
    Vendredi, lors du conseil communautaire, Alain Masson, vice-président de la métropole en charge des grands projets et des déplacements, avait indiqué que, dès le 2 décembre au soir, le Service technique des remontées mécaniques et des transports guidés, un service de l'État (STRMTG), « avait instruit l'incident, validait le correctif apporté et considérait que rien ne s'opposait à la reprise de l'exploitation. Elle doit néanmoins recevoir l'aval du préfet ». L'incident a été causé par quatre capteurs sur deux vérins de compensation, sur les poulies de retour des câbles à la station Jean-Moulin. Ils ont mal communiqué entre eux. Le constructeur les remplacera dans la semaine.
     
    Des aménagements pour la sécurité du personnel
    En outre, la réunion du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) avait soulevé la nécessité d'approfondir la formation du personnel de Keolis. Un programme supplémentaire s'étalera jusqu'en mars, pour des formations de dix jours. « Il y avait déjà eu un programme de 1.000 heures », rappelle Jean-Luc Bouhadana. « Nous avons de bons professionnels, qui savent opérer cette maintenance mais qui ont besoin d'être sécurisés dans leurs choix techniques. Le constructeur sera avec nous pour ces formations supplémentaires ». Des aménagements sont en cours, là aussi, pour améliorer la protection des travailleurs. Le constructeur doit revoir les rambardes de la plateforme haute pour éviter que des objets en tombent et assurer une meilleure protection des câbles, afin de diminuer le risque qu'un employé pose la main où il ne faut pas lorsqu'il observe une machine en train de tourner. Des aménagements fréquents au fil des semaines, sur un nouvel équipement.
     
    Pallier au risque d'intrusion à Jean-Moulin
    Par ailleurs, il est admis qu'un réel risque d'intrusion existe à la station Jean-Moulin. Des mesures d'urgence sont en cours d'installation (alarme, remplissage au-dessus du linteau) et une réflexion est en cours pour apporter d'autres améliorations. On peut quand même s'étonner que cet aspect ait été négligé avant l'ouverture, surtout dans le contexte que connaît le pays en matière de sécurité.
     
    David CORMIER

    source: letelegramme.fr
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  • Le Collectif Brestois de défense de l'hôpital public agit  (LT 21/12/2016) 
      André Garçon-Collectif brestois
    de défense de l'hôpital public
     
    L'internaute, Vanessa Douguet, avait écrit en février une lettre partagée 20.000 fois sur Facebook dénonçant les conditions d'accueil aux urgences de La Cavale-Blanche, est-elle toujours dans le collectif ?
    « Oui, elle est l'une des porte-paroles de l'association, elle ne participe pas à toutes les réunions parce qu'elle a quatre enfants et qu'elle est très engagée dans beaucoup de choses, mais elle suit de très près tout ce qu'on fait. Nous sommes plusieurs à prendre le relais, parce qu'il y a la voix des patients qu'on n'entend pas beaucoup et que nous voulons porter. Nous soutenons aussi les soignants qui veulent avoir de meilleures conditions de travail. La situation du CHRU de Brest exige un audit sur l'emploi ».
     
    Combien d'adhérents compte le collectif ?
    « Environ 80 personnes de tous horizons suivent de près les activités, même si toutes ne participent pas à chacune de nos réunions. La première assemblée générale du collectif brestois de défense de l'hôpital public a eu lieu en avril, on a déposé les statuts de l'association en septembre, elle concerne tout le pays de Brest. Il y a trois autres collectifs en Finistère à Concarneau, Douarnenez et Morlaix. Nous appartenons tous à la Coordination nationale de défense des hôpitaux et maternités de proximité. La première préoccupation de la population aujourd'hui c'est la sécurité sociale, il est temps de rassembler les gens, faute de lieu pour parler démocratiquement de la santé ».
     
    Quelles sont vos activités ?
    « Nous participons aux manifestations pour l'hôpital, nous distribuons des tracts pour faire connaître le collectif. Et maintenant, nous avons décidé de recueillir l'avis des patients en distribuant un questionnaire sur les marchés, à l'entrée des hôpitaux. Pour cela on a choisi cinq thématiques : l'égalité d'accès à la santé, les questions de proximité et les groupements hospitaliers de territoire, les problèmes des personnels de santé souvent en souffrance, la démocratie dans le système de santé, les pathologies du vieillissement et de la perte d'autonomie. Il s'agit d'avoir une critique constructive, on ne veut pas faire le jeu de la médecine privée, on veut améliorer l'hôpital public. En quelques mois, on veut réunir plusieurs centaines de réponses et les exploiter ».
     
    Contact : Collectif brestois de défense de l'hôpital public, espace associatif de Pen-ar-Créac'h, 6 rue de Pen-Ar-Créac'h 29200 Brest. collectifhopitalbrest@gmail.com
     
    source:  letelegramme.fr
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  • Le train birinik en gare de Kérity.Le train birinik en gare de Kérity.

    Serge Duigou ressort un ouvrage publié en 1983. Fortement enrichi côté texte et d’une qualité iconographique remarquable.

    Trente-trois ans après sa sortie, « Le train birinik » est à nouveau disponible. Une très bonne nouvelle pour tous les habitants du Pays bigouden sud pour lesquels cette ligne ferroviaire fait partie « du patrimoine mémoriel », comme l’explique l’historien Serge Duigou.

    Sa participation au spectacle créé par l’accordéoniste Régis Huiban sur ce train a contribué à l’idée d’une nouvelle édition de cet ouvrage, qui a connu un réel succès dès sa parution initiale.

    De 1907 à 1946

    De 32 pages dans sa première version, « Le train birinik » en compte aujourd’hui 56. De nouveaux témoignages d’anciens ayant connu ce train apportent une réelle valeur ajoutée à l’ouvrage. Ainsi que la grande qualité iconographique des illustrations, sorties de collections publiques et privées. « Les sept gares de la ligne ont été prises en photo, rapporte Serge Duigou. Seules celles de Pont-l’Abbé et Guilvinec existent encore ». Les gares de Plobannalec, Treffiagat, Kérity, Saint-Guénolé et Penmarc’h ont été démolies. Sur cette commune d’ailleurs, deux démolitions datent seulement des années 80. « A cette époque, on ne s’intéressait pas beaucoup au patrimoine économique », regrette Serge Duigou.

    La population sud-bigoudène reste très attachée à ce train qui a tant servi, de 1907 à 1946, aux déplacements quotidiens mais aussi à l’occasion de fêtes comme la Tréminou à Pont-l’Abbé et la fête des Cormorans à Penmarc’h par exemple. « Un train convivial, fédérateur de la diversité bigoudène », définit Serge Duigou. Qui exprime un regret : « Aucun panneau d’interprétation qui raconte l’histoire de ce train sur le territoire ». Comme un message destiné aux élus.

    Editions Ressac, 7,5 €. Dédicaces à la librairie Guillemot, à Pont-l’Abbé, samedi 10, de 14 h à 18 h ; et mercredi 21, à l’Escale à Lesconil, de 11 h à 13 h.

    Ludovic Le Signor.

      source: ouest-france.fr

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  • L'eau coûtera plus cher à Douarnenez à partir de 2017.L'eau coûtera plus cher à Douarnenez à partir de 2017. | Archives Ouest-France

    Le conseil municipal de Douarnenez (Finistère), réuni le 15 décembre 2016, a donné majoritairement son accord à une augmentation des tarifs de l’eau et de l’assainissement pour l’année 2017.

    Réuni jeudi 15 décembre 2016, le conseil municipal de Douarnenez a entériné les tarifs de l’eau et de l’assainissement, pour l’année 2017.

    Dans les faits, le tarif de l’abonnement grimpera de 4,5 %, celui de l’eau de 1 % pour les trois tranches de consommation. Même chose pour l’assainissement : l’abonnement passera de 10 à 15 €, et les 7 tranches de consommation augmenteront de 1,9 %.

    Ainsi, pour une facture type avec une consommation de 120 m3, l’augmentation du prix du mètre cube est de 2,43 %.« Je suis conscient de l’effort pour la population », concède Henri Caradec, adjoint chargé du dossier, en pointant la nécessaire (et coûteuse) rénovation du réseau.

    Mais l’opposition, par la voix d’Hugues Tupin, conteste l’équité de cet effort. « Il y a à Douarnenez 812 abonnés dont la consommation annuelle est entre 0 et 9 m3, détaille l’élu, en se basant sur les études menées par les services techniques. Quand on regarde sous cet angle la facture, ça fait une augmentation de 8,32 % ! »

    « En augmentant les parts fixes, on touche forcément ces personnes-là, répond Henri Caradec. Mais c’est aussi le meilleur moyen qu’elles participent à cet effort ».

    « Ça voudrait dire que les gens en résidence secondaire paieraient leur eau à un tarif très bas, et que les Douarnenistes, qui sont là toute l’année, la paieraient plus cher. Ce n’est pas comme ça que je conçois les choses », ajoute Erwan Le Floch, adjoint aux finances.

    « Les recettes venant des usagers doivent être traitées avec équité », assène Hugues Tupin. « Votre équité n’est pas la même que la nôtre », conclut Erwan Le Floch.

    Les nouveaux tarifs ont été adoptés, avec 7 votes défavorables de l’opposition.

    source: ouest-france.fr

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  • Groupement hospitalier de Bretagne Occidentale. La CGT évoque le projet de fermeture de maternités  (LT.fr 9/12/2016)Maternité de Landerneau en danger...déjà en 2013

    Surpris d'apprendre par voie de presse la fin du plan de retour à l'équilibre, le syndicat CGT du CHRU de Brest-Carhaix y voit « manifestement un choix de l'annoncer en priorité au syndicat CFDT avant même le comité technique d'établissement du 8 décembre. Cela constitue un mépris des instances et un dialogue social sélectif et partial. L'arrêt du plan de retour à l'équilibre était une revendication portée par la CGT depuis 2014 et plus particulièrement depuis l'annonce du retour à l'équilibre financier du CHRU en 2015 », écrit le syndicat dans un communiqué. « Pour autant, peut-on se glorifier de la fin d'un véritable plan social qui a détruit 140 postes ? Les conséquences sur les conditions de travail du personnel sont dramatiques. La plupart des services sont en difficultés, comme les blocs opératoires qui étaient en grève à l'appel de la CGT ce jour du comité technique d'établissement ».
     
    « Encore combien de postes seront supprimés ? »
     
    « La CGT reste mobilisée auprès du personnel pour dénoncer les politiques d'austérité. C'est dans l'unité syndicale et grâce à la grève et à la mobilisation du personnel que des postes ont été créés aux urgences et que des renforts en personnel ont été obtenus en 2016 ». « La CGT n'accompagnera pas non plus la direction, comme le fait la CFDT, pour la mise en place du Groupement hospitalier de territoire de Bretagne occidentale (GHT), qui prévoit déjà la mutualisation des blanchisseries et menace de fermeture les maternités de Landerneau, Morlaix ou Carhaix. Encore combien de postes seront supprimés dans les GHT au détriment des hôpitaux de proximité ? », interroge le syndicat.
     
     
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  • L'aubette mise en place par la SNCF a fait bondir pour la durée des travaux de remise à niveau de la ligne Quimper Landerneau.L'aubette mise en place par la SNCF a fait bondir pour la durée des travaux de remise à niveau de la ligne Quimper Landerneau.

    La ligne Landerneau-Quimper va être refaite. La gare fermera durant un an, et le car remplacera le train. Des usagers s'inquiètent.

    La SNCF vient de doter la ville de Châteaulin d'un nouvel équipement pour la durée des travaux de remise à niveau de la ligne Quimper-Landerneau. Il s'agit d'un abri de bus d'un minimalisme qui énerve certains usagers. Car la gare sera fermée pour un an pendant la rénovation de la ligne, dès le 11 décembre. Elle sera remplacée par une simple aubette, ce qui n'est pas du goût de tous.

    « Vous comprenez la satisfaction des usagers du TER à Châteaulin qui considèrent être traités avec mépris par les dirigeants de la SNCF, indique Jean-François Oger, châteaulinois usager du train. Nous demandons le maintien de l'accès à la gare sur la durée des travaux et le maintien de la vente de billets de transport sur le site. »

    Une inauguration toute symbolique de ce nouvel équipement était prévue le samedi 10 décembre à 16 h, place de la gare. « Nous avons bien sûr invité les élus concernés par ce recul du service public, à savoir le maire, Gaëlle Nicolas et Richard Ferrand, ajoute Jean-François Oger. Nous invitons le public à participer à cet événement, avec un point presse organisé par les usagers. »

    Cette invitation avait été envoyée également aux dirigeants régionaux de la SNCF. Leur réponse ne s'est pas faite attendre : « Le bâtiment voyageur sera donc ouvert à partir de 6 h 15, pour la pointe du matin uniquement et jusqu'à mars 2017 dans un premier temps », répond-elle. Du coup, Jean-François Oger annule l'inauguration fictive de l'aubette, et souligne que si la SNCF a répondu, ce n'est pas le cas des personnalités politiques locales.

    source: ouest-france.fr

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  • Dès dimanche 11 décembre 2016, il n'y aura aucune liaison ferroviaire entre Quimper et Landerneau pendant une durée de douze mois.

    Dès dimanche 11 décembre 2016, il n'y aura aucune liaison ferroviaire entre Quimper et Landerneau pendant une durée de douze mois

    Dès le dimanche 11 décembre, la ligne SNCF Brest - Quimper sera fermée pour une durée de douze mois, entre Quimper et Landerneau. Pendant cette année, 70 km de voies seront renouvelées. La ligne rouvrira le 10 décembre 2017.

    Durant douze mois à partir du dimanche 11 décembre 2016, les circulations ferroviaires seront totalement interrompues entre Quimper et Landerneau (Finistère).

    Des liaisons par autocar seront mises en œuvre entre Quimper et Brest.

    Pendant le chantier, certains passages à niveau seront fermés temporairement. Des déviations routières seront mises en place.

    Les phases des travaux

    Le chantier, mené par SNCF réseau, se décomposera ainsi

    11 décembre 2016 : fermeture de la ligne

    Janvier - octobre : renouvellement de la voie ferrée

    Février - mars : rénovation du tunnel de Neiz-Vran à Quimerc’h et du viaduc de la Douffine à Lopérec

    Février - juin : démolition du bâtiment voyageurs de Dirinon

    Octobre - novembre : essais et remis en service des installations de sécurité

    10 décembre 2017 : réouverture de la ligne.

     

    Béatrice LEGRAND

    source: ouest-france.fr

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  • Quimper-Fermeture prévue de l'école Jules-Ferry. Les parents d'élèves au conseil demain (LT 7/12/16)

    Les parents d'élèves de l'école Jules-Ferry s'étaient mobilisés, à plusieurs reprises, en juin et juillet, contre la fermeture programmée de cette école publique à la rentrée 2017. Les élus quimpérois seront invités à se prononcer sur le sujet, demain soir, lors du dernier conseil municipal de l'année, en présence de parents opposés au projet.
     
    La délibération proposée reprend les arguments évoqués par l'adjoint chargé de l'éducation, au printemps, en faveur d'une ventilation des élèves de Jules-Ferry vers d'autres écoles, dans un contexte de baisse de 29 % (177 élèves) des effectifs de quatre écoles publiques du centre-ville, entre 2005 et 2016.
     
    « Stang Ar C'hoat (en cours de rénovation extension) et Ferdinand-Buisson sont en mesure d'accueillir, dans des conditions très satisfaisantes, les 41 élèves actuellement scolarisés à Jules-Ferry », soutient la majorité municipale. « Espérons que nous n'ayons pas de redoublant en CM2 et que les élèves de grande section de l'école des Pommiers, liée historiquement et non administrativement à Jules-Ferry, au nombre de treize cette année, ne veuillent pas tous être scolarisés à Stang ou à Buisson », commente l'association de parents d'élèves de l'école menacée. « Selon les prévisions de rentrée 2017, cela fait plus de 50 enfants à répartir dans le secteur du centre-ville en classes primaires sur deux écoles », estiment les parents.
     
    La majorité signifie que « les écoles de Stang Ar C'hoat et de Ferdinand-Buisson s'en trouveraient ainsi confortées, voire susceptibles d'intégrer de nouvelles classes ». Les parents d'élèves de Jules-Ferry s'interrogent : « Quelles sont les capacités d'accueil des écoles Ferdinand-Buisson où la Ville crée un préau pour les maternelles, et Stang Ar C'hoat en pleine réhabilitation mais sans création de salles de classes supplémentaires ? ». « Les effectifs pourraient être consolidés mais dans quelles conditions d'accueil et d'enseignement, avec des classes surchargées », redoutent-ils.
     
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  • Migrants du Forestou. Mobilisation aujourd'hui  à Brest (LT 21/11/2016)

    Le mouvement Zéro personne à la rue de Brest prépare une mobilisation, aujourd'hui, un mois jour pour jour après l'expulsion des familles de migrants du quartier du Forestou. Depuis, une trentaine de ces personnes ont dormi successivement place de l'Avenir, à Saint-Martin, puis à la fac Segalen, à la Maison des syndicats et enfin au Patronage laïque Guérin, depuis mardi dernier. Elles doivent quitter ce dernier abri aujourd'hui. « Comme on ne sait pas où aller, on s'est dit qu'on irait bien fêter ce Moisi'versaire place de la Liberté. Ce serait vraiment bien que comme cadeaux il y ait des logements pour toutes et tous. Bien sûr il y aura de la musique, des jeux, à boire (thé à l'amiante), à manger (tartes aux murs) et encore plus si vous ramenez des trucs ! », écrivait, hier, Zéro personne à la rue sur sa page Facebook. Le « déménagement » devrait débuter à 10 h, pour un rassemblement place de la Liberté vers 13 h.

    source: letelegramme.fr
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  • Quimper. Des anti-NDDL bloqués par des CRS  (LT.fr-19/11/2016-12h 32)

    A la mi-journée, ce samedi, une cinquantaine d'opposants au projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes ont été bloqués par des CRS au niveau du rond-point du Loch, à Quimper. Ils entendaient rejoindre le CER France, à Cuzon, où Jean-Jacques Urvoas, ministre de la Justice, était présent. Ils espéraient lui remettre un courrier. Mais, vers 12h30, ils ont quitté les lieux, ils y seront restés pendant une heure environ.

    Quimper. Des anti-NDDL bloqués par des CRS par Letelegramme
     

    Quimper. Des anti-NDDL bloqués par des CRS  (LT.fr-19/11/2016-12h 32)

     
     
    source:  letelegramme.fr
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