• Photo d'illustration François Destoc

    A l'appel des Amitiés Kurdes de Bretagne, relayé par des organisations comme le MRAP ou la Ligue des droits de l’homme, une manifestation pro-kurde s’est déroulée, samedi après-midi, dans le centre-ville de Brest. Les choses ont dégénéré quand une "dizaine" de partisans du président Erdogan ont surgi

    Selon nos informations, environ 80 personnes se sont rendues à l’appel pour protester contre les violences du régime turc faites à la population kurde. Un peu après le début du rassemblement, convenu à 14 h 30, une « dizaine » de partisans du président Erdogan ont surgi, habillés de tee-shirts noirs, brandissant un immense drapeau turc et en provoquant la foule au son de slogans hostiles à la population kurde. La température est alors aussitôt montée sur la place de la Liberté au pied du monument aux morts, quelques Kurdes et Français répondant aux invectives haineuses de leurs adversaires. 

    Quatre blessés 

    La suite est très « confuse », selon le parquet de Brest. Toujours est-il qu’une bagarre, brève mais assez violente, a fait s’affronter les deux camps où des coups ont été échangés à mains nues. Toujours selon le parquet, il est impossible de savoir qui a distribué les premiers horions, « parce que ça a été très bref. Il y a quatre blessés légers, avec des côtes touchées et des nez cassés mais pas davantage ». En dépit d’une présence policière arrivée juste après l’échauffourée, il n’y a eu aucune interpellation mais de l’avis du ministère public, « l’affaire pourrait connaître des développements. Ce dimanche après-midi, trois Kurdes sont venus déposer plainte au commissariat. Je confirme toutefois que la situation reste très tendue entre les deux communautés ». Selon l’une des manifestantes « scandalisée par les provocations des dix jeunes Turcs, tous des hommes », ce type de manifestation ne peut plus s’envisager « sans un service d’ordre adéquat et une présence policière dès le début. Ce que j’ai vu est effrayant, la violence a été instantanée ». 

    Une soixantaine de personnes ce dimanche

    Dimanche, une autre manifestation contre les répressions du régime turc à la frontière syrienne s’est déroulée, en fin de matinée, sous des dizaines de drapeaux kurdes. Ce rassemblement n’était absolument pas prévu et a réuni une fois encore une soixantaine de personnes. Un Turc, ayant vu le cortège d’un café voisin, est sorti de l’établissement pour filmer et a aussitôt été pris en chasse par les manifestants. Les forces de l’ordre ont calmé les ardeurs aussitôt, évitant un bis repetita. Pour autant, les forces de l’ordre et le parquet n’excluent pas de possibles prolongations dans les jours à venir.

    source: http://www.letelegramme.fr

    A lire également: L'imperialisme est l'ennemi principal du peuple kurde a disposer-du-droit de lui-même (PRCF)

     

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  • Quimper-Compteurs Linky. Deux réunions publiques à Penhars (LT 10/02/2018)La Ligue des Droits de l'Homme et le Collectif Stop Linky Quimper organisent deux réunions publiques d'information, mercredi et jeudi, à 20 h 15, à la MPT de Penhars, sur l'obligation et l'utilité de ces boîtiers jaunes communicants. Plusieurs thèmes seront abordés : les consommateurs ont-ils le droit de refuser l'installation de ce compteur ? Quel est le coût pour remplacer les compteurs pourtant toujours en bon état de fonctionnement ? Y a-t-il une intrusion dans la vie privée ? Qu'en est-il des données personnelles ? Cet équipement a-t-il un impact sur la santé ? Participation libre.   

    source:   http://www.letelegramme.fr 

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  • Hier avait lieu à l'UBO la remise des « Diplôme d'accès aux études universitaires » (DAEU). Les lauréats de la promotion 2016-2017 ont récupéré, avec beaucoup d'émotion, le sésame, équivalent du baccalauréat littéraire (DAEU A) ou scientifique (DAEU B). MM. Abdeslam Mamoune, Laurent Bourlès et Gilbert Cariou, respectivement vice-président en charge de la Commission de la formation et de la vie universitaire, directeur du service de la formation continue et responsable pédagogique du DAEU, ont, tour à tour, souligné dans leurs discours le courage et la réussite des diplômés, ainsi que l'investissement des équipes pédagogiques de Brest et Quimper.   
     
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  • La grue à godet de la CCI charge la terre polluée (au premier plan).
    La grue à godet de la CCI charge la terre polluée (au premier plan).

    Arrivé, mercredi soir, en provenance de Glasgow, le cargo « Peak Bordeaux » procède, actuellement, au chargement de 3.200 tonnes de terre et sable à traiter par une usine spécialisée. Des déchets qui proviennent du nettoyage de la pollution créée par l'« Amoco Cadiz » lors de son naufrage, en mars 1978, au large de Portsall.

    Durant 40 ans, ils ont été enfouis sur différents sites du port de commerce de Brest et, dernièrement, sur le polder. Les travaux en cours d'exécution, dans le cadre du projet d'extension du port pour les énergies marines renouvelables, ont entraîné leur excavation, en novembre et décembre derniers, puis leur stockage en vue de leur évacuation. Un stockage sur les terre-pleins des quais de réparations 1 et 4, dans des conditions strictes. Bâches sur le sol ainsi que sur les tas de terre, cloisons afin d'éviter des écoulements d'eau polluée vers la mer.

     

    Un travail effectué pour le compte de la Région Bretagne par Séché Environnement, représentée par Alexis Zion, et sous le contrôle de la société Novadia de Quimper. Nelly Monnerais, coordinatrice environnement chez Novadia, veille au contrôle des dispositifs, et s'assure que des déchets ne tombent pas à la mer durant le chargement sur le cargo, de même que sur le trajet des camions. Des camions de la société Lagadec qui assure le transfert des déchets vers le quai de chargement.

    Environ 20.000 tonnes

    Un tiers de la masse des déchets à traiter, environ 20.000 tonnes au total, a déjà pris le chemin du bio centre de la société Séché et les deux tiers restants vont être confiés à une société néerlandaise spécialisée.

    Le cargo, reçu par l'agence UAT, devrait appareiller, ce vendredi soir, pour le port de Schiedam. En fonction du tonnage des cargos affrétés, ce sont environ six navires qui rejoindront les Pays-Bas. Ironie de l'histoire, c'est également vers les Pays-Bas, à Rotterdam, que l'« Amoco Cadiz » faisait route pour y décharger ses 227.000 tonnes de pétrole brut lorsqu'il fut drossé par la tempête sur les rochers de la côte nord du Finistère. 

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Loïg Chesnay-Girard, président de la Région Bretagne (à droite), a fait une visite surprise, ce jeudi soir, au conseil communautaire du Cap-Sizun-Pointe du Raz.Loïg Chesnay-Girard, président de la Région, a fait une visite surprise, ce jeudi soir, au conseil communautaire du Cap-Sizun-Pointe du Raz.

    Jeudi soir, le président de la Région, Loïg Chesnay-Girard, a fait une visite surprise au conseil communautaire du Cap-Sizun-Pointe du Raz. Il s’est expliqué sur la décision de fermer le lycée professionnel de Plouhinec.

    « J’ai pris la décision de venir, étant à Quimper, a expliqué le président de la Région Bretagne. L’été dernier, j’ai fait le point et j’ai décidé de fermer le lycée de Plouhinec. La décision prise par la Région a été validée ce soir. Aucun dossier ne m’est parvenu. »

    Mais le président de la Régionj Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, n’a pas fermé la porte à la discussion. « Je suis prêt à consulter les dossiers qui me seront présentés. Il faut qu’on se mette autour d’une table et qu’on discute, que l’on compare les idées. Je vais lancer une étude sur les capacités de l’établissement. »

    Didier Guillon, conseiller départemental et premier adjoint d’Audierne, maire délégué de la commune historique d'Esquibien, propose une motion pour maintenir l’établissement, elle est adoptée à l’unanimité.

    Le président de la Région a dit se donner les 36 mois restant de son mandat « pour sauver le Cap. Si un coin de la Bretagne va mal, c’est toute la Bretagne qui va mal. »

    Il va rencontrer le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, dans quinze jours.

    Conseil académique reporté

    Déjà, dans l’après-midi du jeudi, les partisans du maintien de l’établissement avaient repris espoir.

    La réunion du conseil académique de l’Éducation nationale (CAEN), à Rennes, qui devait se prononcer sur l’avenir du lycée, n’a pas se tenir, faute de quorum.

    Pour mémoire, la Région Bretagne a voté la fermeture du lycée public professionnel Jean-Moulin de Plouhinec le 14 décembre dernier, faute d’effectifs suffisants, avec un transfert des formations dans les lycées de Pleyben pour la menuiserie et Concarneau pour la charpente marine.

    source: https://www.ouest-france.fr/

    A lire également:

    LeTelegramme.fr (9/02/2018-9h 18) : Plouhinec. Lycée Jean-Moulin : Chesnais-Girard "prêt à regarder les projets"  

    Le Télégramme (10/02/2018):  Cap Sizun-Lycée Jean-Moulin. « Prêt à regarder tous les projets »

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  • (Photo Gilles Troël)

    Une occupation symbolique de l'école a rassemblé, ce vendredi matin, à partir de 9h, les parents d'élèves de l'école Jean-Jaurès à Morlaix en réponse à la menace de suppression d'un poste d'enseignant à la rentrée 2018. Avec actuellement 9 classes plus la section ULIS (13 élèves), l'effectif moyen est de 23 élèves par classe. Les prévisions transmises, qui tiennent comptent de la présence de 14 enfants de 2 ans, généreraient une moyenne de 23 élèves à nouveau par classe l'année prochaine. Avec une fermeture, elle passerait à 25,8 élèves par classe. 

    Il semble que les chiffres retenus par l'Éducation Nationale ne tiennent pas compte de l'ULIS ni des 20 à 25 élèves accueillis temporairement durant la Foire Haute de Morlaix. La mobilisation est en route et un rassemblement est annoncé ce vendredi, à 18h, devant l'Hôtel de Ville de Morlaix en compagnie des parents des deux autres écoles morlaisiennes concernées, mais aussi de ceux de Lanmeur.

    source: http://www.letelegramme.fr

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    (Photo François Destoc) Il ne s'agit que d'un document préparatoire mais il déclenche déjà la colère de syndicats, comme Sud Education 29. Ce document dévoile les premières pistes de la carte scolaire de rentrée 2018 dans le Finistère et sera présenté, ce mardi, lors d'un Comité technique spécial départemental. Y figurent (ci-dessous), les ouvertures et fermetures de classe dans les écoles de la pointe bretonne. Et Sud Education a fait le compte : "45 fermetures de postes, pour seulement 22 ouvertures, la note est salée pour notre département. Le premier degré devait être la priorité de ce gouvernement, le Finistère n’est manifestement pas la "priorité de ce gouvernement" !", débute le communiqué transmis ce  jeudi.  "Classes surchargées" Le syndicat concède que "le nombre d’élèves scolarisés en primaire va baisser de 845, soit une perte d’environ… un élève par école du département". Et estime que "la rentrée 2018 se fera de nouveau dans un contexte de classes surchargées (...). Les premières victimes de ces classes surchargées sont les élèves en difficulté".  "Annoncé à grand renfort de publicité, le dédoublement des CP dans les réseaux d’éducation prioritaire se fait… à moyens constants. Cette mesure coûtera sept postes au département, postes qui sont donc retirés aux autres écoles du département. Les autorités académiques s’étaient engagées à ce que le dispositif "Plus de maîtres que de classes" ne soit pas impacté : ce sont 6 postes qui ferment alors que cette mesure qui bénéficie à un grand nombre d’élèves a fait ses preuves sur le terrain", vitupère Sud Education qui "espère obtenir des conditions de travail à la hauteur des enjeux". 

     

    Suppression d’un demi-poste. La Roche-Maurice : école élémentaire du Bourg.
    Fermetures de classes (une par établissement). Pour les maternelles, Brest : école Jacques-Prévert ; Quimper : Les Pommiers ; Quimperlé : rue Bisson ; Scaër : Joliot-Curie.
    Pour les écoles élémentaires, Audierne : école Pierre Le Lec; Brest : écoles Jean-Macé, Jean-Rostand, Le Questel, Paul-Langevin ; Cléder : école Per-Jakez Helias ; Clohars-Carnoët : école Saint-Maudet ; Crozon : école Jean-Jaurès ; Daoulas : école Josette-Cornec ; Dirinon : école Jean-Rouxel ; Douarnenez : école Laennec ; Elliant : école du Bourg ; L’Hôpital-Camfrout : école Renée-Le-Née ; Le Faou : école du Bourg ; Lesneven : école Jacques-Prévert ; Morlaix : écoles Corentin-Caer, Gambetta et Jean-Jaurès ; Plogastel-Saint-Germain : école du Bourg ; Ploudalmézeau : école Keribin ; Plouescat : école Anita-Conti ; Plougonvelin : école Roz Avel ; Plouguerneau : école du Phare ; Plouigneau : école de Lannelvoëz ; Plouzané : école Croas Saliou ; Plozévet: école Georges-Le-Bail ; Pont-Aven : école Nizon ; Quimper : écoles Léon-Blum et Victor-Hugo ; Quimperlé : école Brizeux ; Rosporden : école des Étangs ; Tréméoc : école Jean-Bideau.
    Création d’un demi-poste. Plouegat-Moysan : école primaire Lucien-Prigent.
    Ouvertures de classes (une par établissement). Pour les écoles élémentaires, Concarneau, école Beuzec-Conq ; Guipavas, école Louis-Pergaud ; Le Folgoët, école Paul-Gauguin ; Mellac, école Pierre-Jakez-Hélias ; Pleyber-Christ, école Jules-Ferry ; Quimper, école Kergoat-Ar-Lez ; Saint-Yvi, école du Bourg.
    Ouvertures de classes de CP dédoublées (une par établissement) pour les écoles élémentaires. Brest, écoles Auguste-Dupouy, Kerhallet, Lucie et Raymond Aubrac, Paul Dukas, Pen Ar Streat; Quimper, écoles Paul-Langevin et Penanguer.

    Lire la suite....http://www.letelegramme.fr

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  • Les sympathisants opposés à la fermeture du lycée professionnel Jean Moulin se sont mobilisés pour une journée de grève symbolique.Les sympathisants opposés à la fermeture du lycée professionnel Jean Moulin se sont mobilisés pour une journée de grève symbolique.

    Une journée symbolique de grève a été organisée, jeudi 8 février, au lycée professionnel Jean Moulin de Plouhinec. Pas d’accueil d’élèves ni d’internat. Une trentaine de personnes, parmi lesquelles enseignants, représentants syndicaux et sympathisants, se sont mobilisées devant l’établissement afin de confirmer leur opposition à la fermeture de l’établissement.

    Alors que le Conseil académique de l’Éducation nationale (CAEN) devait se réunir, ce jeudi 8 février, pour statuer sur le sort du lycée public professionnel Jean-Moulin, une journée symbolique de grève a été organisée dans le même temps au LP.

    Contacts avec la Région

    Pas d’accueil d’élèves ni d’internat. Une trentaine de personnes, parmi lesquelles enseignants, représentants syndicaux et sympathisants, se sont mobilisées devant l’établissement afin de confirmer leur opposition à sa fermeture.

    Selon certaines sources, des échanges et des contacts avec la Région auraient eu lieu dans le même temps, « globalement positifs ». Mais, difficile d’en savoir plus.

    L’enjeu est le suivant : si le CAEN vote la fermeture du lycée professionnel Jean-Moulin, cette procédure administrative n’aurait plus qu’à être validée par arrêté préfectoral.

    C’est pour cela que, dès mercredi, le personnel du lycée avait lancé ce préavis de grève pour cette journée décisive d’hier et invité les sympathisants du Comité d’action pour (CAP) Jean-Moulin à le rejoindre pacifiquement devant le lycée, dès 10 h du matin.

     

    Les sympathisants opposés à la fermeture du lycée professionnel Jean Moulin se sont mobilisés pour une journée de grève symbolique. Les sympathisants opposés à la fermeture du lycée professionnel Jean Moulin se sont mobilisés pour une journée de grève symbolique.

     

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • La fac de Staps sonne la charge. Hier, près de 600 personnes se sont réunies dans l'amphithéâtre universitaire du site de Staps, avenue Le Gorgeu, afin de montrer les signes d'un mécontentement qui va croissant. L'objet de cette assemblée générale : les manques de moyens pointés par des étudiants et des enseignants qui marchent main dans la main dans leurs revendications. Malou Paubert, président de l'association étudiante Stapsiate, les résume. « Le ratio enseignant-étudiant est très nettement insuffisant à Brest. Selon nos calculs et en se référant aux chiffres nationaux, il nous manque 20 enseignants-chercheurs pour avoir un taux d'encadrement décent ». Le collectif sait pourtant rester sage. « Nos revendications portent sur la création de sept postes d'enseignants-chercheurs et de deux agents administratifs pour la scolarité ». Un mot d'ordre largement repris par l'assemblée générale qui partira ce mardi matin en délégation auprès de la présidence de l'UBO. 

    « Nous devons rencontrer Matthieu Gallou, pour lui exposer nos demandes et savoir quel relais on peut attendre pour toucher le recteur d'académie, seul apte à débloquer les crédits, afin que nous puissions étudier dans la légalité », continue Malou Paubert.

    Perturbations à prévoir

    En cas de refus, les étudiants et leurs enseignants se disent prêts à aller jusqu'à Rennes pour faire entendre leur voix. Mieux : selon Malou Paubert, les enseignants pourraient se mettre en grève à brève échéance si les autorités d'État restaient sourdes à leurs demandes. « Je partage ce constat et je l'ai déjà dit », commente un peu plus tard le président de l'UBO, Matthieu Gallou, qui recevra la délégation ce mardi matin. Il rappelle à ce titre que l'UBO avait évité de « très peu » le tirage au sort pour déterminer qui irait en première année, lors de la dernière rentrée, et juge que les Staps forment une filière « en tension comme quelques autres. Pour une grande réforme, il faut sans doute de grands moyens », admet le président avant de recevoir les frondeurs.


    Steven Le Roy 

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • mardi 6/02 : les profs, élèves, étudiants et parents d’élèves mobilisés contre la casse de l’Education Nationale #cassepasmonbac #NonALaSelection

    Ce 6 février, les profs, élèves, étudiants et parents d’élèves seront mobilisés contre la casse de l’Éducation Nationale avec la du lycée et la casse des diplômes nationaux : en effet le régime Macron s’en prend violemment au , aux lycées et à l’accès à l’. Une attaque qui est coordonnée à l’offensive contre le code du travail, les statuts de la fonction publique et les salaires voulue par les patrons et impulsé à travers les directives de l’Union Européenne. Les militants du PRCF seront dans la rue au coté de la jeunesse, des profs et des parents d’élèves en lutte. Pour l’avenir des jeunes et du pays.

    Enfin, nous y sommes ! Les gouvernements précédents avaient déjà parcouru une bonne partie du chemin, celui dicté par l’UE et le patronat européen, le MEDEF: la stratégie de Lisbonne s’est attaquée aux systèmes éducatifs partout en à coups de « compétences » et de contre réformes structurelles (en France : le Lycée Darcos, l’Université Pécresse, l’ Peillon et le Collège Vallaud-Belkacem).

    Las ce n’est pas suffisant : le fondé de pouvoir sis à l’Elysée  se sent les coudées franches dans sa guerre de classes. Il a d’abord fait adopter les ordonnances pour faire du droit du travail privé un droit patronal, sur le modèle de l’Ecole de Chicago, des Hayek-Friedman, mis en œuvre pour la première fois par le Chili de Pinochet. Désormais, il s’attaque haineusement à la Fonction Publique et ses statuts (que l’on doit au communiste Thorez) en général avec en première ligne l’Education nationale, frappant violemment la jeunesse.

    Ainsi Macron, le président des riches, entend casser le Bac National (pierre angulaire des conventions collectives et du Statut de la Fonction Publique), instaurer le chaos dans les Lycées et sélectionner les futurs étudiants pendant leur année de Terminale. Réservant de facto l’entrée dans le Supérieur « compétitif » aux seuls jeunes issus de l’élite ! La privatisation de l’Education Nationale est lancée.

    Ainsi Macron, la tête de ponts des patrons, après avoir mis en place les « ruptures conventionnelles collectives » pour le bonheur de P.S.A et consort, veut-il saigner la Fonction Publique à coups de départs collectifs ! La mise au pas de la France aux exigences du profit maximal pourrait franchir une nouvelle étape, si nous ne parvenions pas à nous opposer, ensemble, à ce coup de force, contre notre Histoire, notre langue, notre culture.

    C’est une trahison des plus grands moments de l’Histoire de la République – par des anti-républicains. M. Macron  gouverne comme un Roi, en faisant assurer par ses représentants, la comédie-tragédie, du «dialogue social» : : venez parler, écoutez-nous, et rentrez chez vous. Nous n’en sommes pas encore à la Turquie d’Erdogan, mais nous n’en sommes pas loin, avec l’état d’urgence permanent.

    Nous devons l’empêcher de piétiner le Contrat Social issu des Lumières, de la Révolution et de la Libération et de dissoudre toujours plus notre pays et ses conquêtes émancipatrices, dans l’Union Européenne du Capital prédateur mondialisé.

     

    Pour ce faire Il est temps, pour les forces progressistes sérieuses, honnêtes, non sectaires, de se rencontrer, de se parler, de construire un «tous ensemble» décisif. Les organisations qui rechignent à défendre réellement les intérêts de leurs membres devront alors suivre, dès lors que les  travailleurs leur imposeront cette volonté

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    Télécharger, imprimer et diffuser le dernier bulletin de la commission Education du PRCF : le Conseil de Classe

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Photo Le Télégramme

    Une centaine de personnes s’est réunie, à Landivisiau, dimanche, pour marquer leur soutien aux migrants et plus précisément à la cinquantaine d’entre eux actuellement hébergés au CAO (centre d’accueil et d’orientation) de Lampaul-Guimiliau. 

    Ces personnes, membres d’associations telles que Tam Tam (Tolérance accueil migrants), les Utopistes en action, la Ligue des droits de l’Homme, Morlaix Liberté ou l’association France Palestine ont rejoint le lieu d’accueil en marchant, soit un parcours de quatre kilomètres au total.

     Photo Le Télégramme

    source: http://www.letelegramme.fr

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    150 parents, enfants et élus du pays de Landerneau se sont déplacés au conseil départemental, ce jeudi matin, pour demander aux élus finistériens de ne pas voter la carte scolaire. Ils n'ont pas été entendus puisque la majorité départementale a fait bloc, sans la moindre défection, derrière la présidente Nathalie Sarrabezolles et le vice-président Marc Labbey, en charge de ce dossier.

    Après vote à bulletins secrets, 28 voix pour et 26 contre (opposition + deux élus régionalistes). La carte scolaire, obligatoire, valide le principe de sectorisation des collèges en fonction des communes. Le collectif landernéen rejette vivement la double sectorisation de La Roche-Maurice et de Lanneuffret qui rattachera leurs communes au collège de Landivisiau (nouveauté) en plus de celui de Mescoat, à Landerneau. 

    Les familles auront le choix d'inscription entre ces deux collèges publics. Mais le collège de Mescoat étant en sureffectif (880 collégiens dans un établissement prévu pour 750), les parents ne pourront y inscrire leurs enfants et de fait, vont se retrouver obligés de les inscrire à Landivisiau, s'ils maintiennent le choix de la filière publique. 

    Pencran et Trémaouézan traitées plus tard 

    Pressentant le vice de forme sur la toute dernière version de la carte scolaire modifiée le 22 janvier (pas de passage en commission consultative), la présidente du CD-29 a retiré les communes de Pencran et de Trémaouézan (et de Loc-Brévalaire, près de Plabennec) de la délibération. Leurs cas seront traités ultérieurement. En commission permanente du conseil départemental, où siègent une partie des élus finistériens non tenus de voter leur décision. Un circuit rapide car la prochaine séance plénière du conseil départemental n'aura lieu qu'en juin. Trop tard pour prendre des décisions qui impacteront la rentrée de septembre 2018.  

    Mais l'on ne se fait guère d'illusions, dans le pays de Landerneau, sur le sort attribué à Pencran. La commune, jusqu'alors exclusivement rattachée à Mescoat (on voit son clocher depuis le collège, de l'autre côté de la vallée de l'Elorn) devrait également passer en double sectorisation avec un deuxième fléchage vers Coat-Mez (Daoulas). Comme pour La Roche ou Lanneuffret, la saturation de Mescoat enverrait, de fait, les enfants de la commune à Daoulas. Soit à une heure de car, matin et soir. 

    Trémaouézan, en double sectorisation (Landerneau et Lesneven) dans une première version de la carte scolaire, pourrait revenir, comme présenté lors de la seconde mouture, à une situation d'orientation exclusive vers Mescoat. 

    Repartis écoeurés de Quimper, dénonçant toujours "le mépris du conseil départemental", les 150 Landernéens ne lâchent pas l'affaire. Leur collectif, baptisé "Second collège", espère précisément, que le conseil départemental actera dans son schéma pluriannuel d'investissement la construction du second collège public à Landerneau. Un projet validé par un vote à l'unanimité du conseil général en 2009. L'établissement reste très attendu. 

    Accueil de tous à Mescoat : jouable

    Ce second collège public absorberait la dynamique démographique du territoire landernéen que le département n'a pour l'heure traité qu'en appuyant sur le levier de la double sectorisation. Quitte à réduire petit à petit le périmètre de recrutement de Mescoat par rapport aux frontières de son bassin de vie naturel. Le collectif espère de surcroît que le Département mettra tous les moyens pour permettre à un maximum d'élèves désormais soumis à la double sectorisation d'aller à Mescoat, s'il le choisissent. Ce qui ne paraît pas insurmontable à la prochaine rentrée. 

    D'après les chiffres de l'inspection d'Académie communiqués aux syndicat de l'enseignement (très remontés eux aussi contre la carte scolaire), l'effectif de Mescoat devrait augmenter de 15 éléments l'an prochain (autour de 900 élèves) : "Il s'agit d'un chiffre estimé avant cette nouvelle sectorisation", précise Youn Le Roy (FSU). Il considère donc tous les enfants de Pencran, de La Roche-Maurice et de Lanneuffret. 

     source: http://www.letelegramme.fr

     

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  • (Photo Yann Le Gall) (Photo Yann Le Gall)

    Huit maires de communes du bassin landernéen, des élus et des parents, soit autour de 150 personnes, se retrouvent ce jeudi matin au conseil départemental du Finistère, à Quimper. Le collectif va tenter de persuader les élus départementaux de ne pas voter la carte scolaire. La double sectorisation en collège public de certaines communes passe très mal localement. Les Pencranais, les Rochois et les Lanneufretois ne veulent pas être coupés du collège de Mescoat, le collège public de leur bassin de vie, à Landerneau. Le vote sera surveillé de très près.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Le Buccin » de l’armement La Houle, dans ses nouvelles couleurs.Le Buccin » de l’armement La Houle, dans ses nouvelles couleurs. 

    L’entreprise La Houle, rachetée par des armateurs irlandais en 2016, affirme son ancrage dans le Pays bigouden (Finistère). Elle réorganise sa production et sa commercialisation. Entretien avec Jacques Pichon, directeur de l’armement La Houle à Penmarc’h (Finistère).

    Vous voir partir de Saint-Gué, ce sont des craintes infondées ?

    Quand la société a été mise en vente, il y avait deux options : soit la vente des bateaux à l’unité à des sociétés franco-espagnoles et on sait que l’activité associée à leur exploitation aurait été transférée en Espagne ; soit la reprise par une société irlandaise. L’entreprise a été rachetée en 2016. Contacté par les Irlandais pour la diriger, j’ai accepté sous condition que son implantation demeure en Cornouaille. Vu mon engagement précédent au sein de l’Organisation de producteurs (OP) « Pêcheurs de Bretagne », je ne me voyais pas accepter le départ à l’étranger d’une partie des capacités de pêche bretonne. D’autant plus que le port de Saint-Guénolé et la Cornouaille ont vu leur flottille artisanale, tant hauturière que côtière, fondre à vue d’œil au gré des ventes de navires et des sorties de flotte.

    Comment avez-vous vécu 2017 ?
    Nous avons augmenté le chiffre d’affaires de l’armement et de la marée de 7 %. Il a été de 17,2 millions d’euros, malgré des arrêts fréquents des navires et des casses de moteurs. Actuellement, deux des bateaux se trouvent à quai à Saint-Guénolé, en cours de changement de moteur. L’un d’eux, La Houle, a fait un très bon semestre mais se trouve stoppé dans sa progression par cette fortune de mer, onéreuse et imprévue. Nous sommes dans une période de remise en état des navires. Les perspectives du magasin de marée sont bonnes pour 2018. Dans deux ans, nous devons prévoir des remplacements de chalutiers. Actuellement, toutes activités confondues, nous employons une centaine de personnes, ce qui fait de nous un employeur majeur au port de Saint-Guénolé.

    Ne vous reproche-t-on pas d’aller vendre au Guilvinec ?
    On se demande bien pourquoi ! Cette décision s’est faite d’abord à la demande des patrons et des équipages qui trouvaient les cours meilleurs au Guilvinec. Les salaires étant fonction des ventes, nous devons satisfaire les demandes de nos équipages, d’autant plus que le recrutement en dépend. Bien que nos navires vendent à l’extérieur, la REPP (Redevance d’équipement des ports de pêche) est versée au port de Saint-Guénolé et permet l’entretien de celui-ci. Nous sommes donc un contributeur important, et ceci dans un contexte difficile pour ce port. De plus, nous n’avons jamais quitté Saint-Guénolé, c’est la base de nos onze bateaux. Les prestataires locaux en mécanique, électricité, forge, avitaillement… peuvent en témoigner.

    Pensez-vous modifier vos pêcheries ?
    Nous songeons à réexploiter la zone de Porcupine, abandonnée par les Français depuis de nombreuses années. Tout un savoir-faire est à recréer, et ce n’est pas simple.

    Quels sont vos souhaits ?
    Le maintien de la flottille chez nous, pouvoir travailler normalement grâce à la remise en état des navires, augmenter le chiffre d’affaires, donner une image positive et méritée de l’armement. Nous changeons la couleur de nos navires afin d’acter le changement d’esprit et de management. Nous avons fait une belle saison sur la lotte en sud et ouest Irlande. Nous espérons continuer. Le recrutement des équipages est à peu près normal, bien que celui des mécaniciens soit difficile. Nous avons dans notre effectif quelques marins portugais et sénégalais bien ancrés à l’armement. Nos perspectives de constructions, à moyen terme, sont de deux remplacements dans les deux ans. Espérons que l’augmentation du fuel ne va pas obérer les résultats et que les transactions sur les quotas dans le cadre du Brexit ne nous pénalisent pas.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Nicolas Jacquet, procureur de la République de Rennes, en collaboration avec le parquet général, a finalement autorisé l'utilisation de l'apostrophe.Nicolas Jacquet, procureur de la République de Rennes, en collaboration avec le parquet général, a finalement autorisé l'utilisation de l'apostrophe

    Le procureur général de la cour d’appel de Rennes a pris, vendredi soir, une décision autorisant l’utilisation de l’apostrophe dans les prénoms bretons. La mairie avait dû refuser d’enregistrer Derc’hen à l’état-civil en s’appuyant sur une circulaire du parquet datant de juillet 2014.

    La mairie de Rennes avait refusé d’enregistrer à l’état-civil le prénom Derc’hen en se référant à une circulaire du 23 juillet 2014.

    Les magistrats reviennent aujourd’hui sur ce refus et estiment que « la circulaire ne statuant pas expressément sur l’utilisation de l’apostrophe, et s’agissant d’un signe orthographique d’utilisation courante, il peut être considéré que son emploi n’est pas formellement interdit ».

    D’autres prénoms contenant une apostrophe avaient d'ailleurs été enregistrés à Rennes depuis l’été 2014, sans que cela ne fasse polémique à l'époque.

    Des instructions à tous les procureurs bretons

    Le parquet général de la cour d’appel de Rennes et le parquet du tribunal de grande instance de Rennes ont décidé que le prénom sera rectifié et remplacé à l’état-civil par Derc’hen, avec l’apostrophe.

    Les instructions destinées à autoriser l’utilisation de l’apostrophe dans le choix des prénoms vont être rapidement transmises à l’ensemble des procureurs de la République du ressort de la cour d’appel de Rennes, font savoir les magistrats.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Les opposants à la centrale thermique se disent boostés par le retrait du projet de Notre-Dame des Landes. Ils invitent la population à signer la pétition mise en ligne pour l'abandon du projet.Les opposants à la centrale thermique se disent boostés par le retrait du projet de Notre-Dame des Landes. Ils invitent la population à signer la pétition mise en ligne pour l'abandon du projet. 

     

    La pétition adressée au chef de l’État pour demander l’abandon du projet se diffuse sur internet. Les opposants assurent qu’en cas de lancement du chantier, la mobilisation sera forte.

    L’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes semble avoir donné un regain de tonus aux opposants au projet de centrale à cycle combiné gaz de Landivisiau.

    Ce lundi matin, sur le parvis de l’hôtel de ville, les représentants de l’ensemble des associations opposées à sa construction se sont réunis pour faire monter la pression sur les pouvoirs publics, à qui ils demandent, via une pétition adressée à Emmanuel Macron qui a recueilli plus de 2 500 signatures sur Change.org et près de 3 200 sur Cyberacteurs « d’abandonner ce projet inutile, dépassé, coûteux et polluant ».

    Landivisiau doit dire non à la centrale, le collectif Gaspare, l’association Force 5, la CLCV (Consommation, logement et cadre de vie) du Finistère, le syndicat des Simples, AE2D (Agir pour un environnement et un développement durables), les associations Sizun, Locmélar, Saint-Sauveur et Commana disent non à la centrale, le Groupement des agriculteurs biologiques du Finistère et SeauS. Ils étaient tous réunis pour demander des réponses aux différents courriers qu’ils ont adressé aux élus.

    « Le moment d’arrêter… »

    Les opposants à la centrale thermique se disent boostés par le retrait du projet de Notre-Dame des Landes. Ils invitent la population à signer la pétition mise en ligne pour l'abandon du projet. Les opposants à la centrale thermique se disent boostés par le retrait du projet de Notre-Dame des Landes. Ils invitent la population à signer la pétition mise en ligne pour l'abandon du projet.

     

    Le sourire aux lèvres, les représentants des différents collectifs ont indiqué ne pas avoir été surpris par le rejet des différents recours qu’ils ont déposés devant les tribunaux. « Toutes les lois sur l’environnement sont favorables aux aménageurs… »

    Le feuilleton judiciaire n’est pas achevé. Trois recours doivent encore être jugés, deux (concernant le gazoduc et l’ICPE) devant la Cour d’Appel de Nantes et un troisième (concernant l’arrêté de Delphine Batho autorisant la construction), au Conseil d’État.

    Sur le terrain, les opposants veulent aussi maintenir la pression.

    Ce lundi matin, Loïc Le Pollès, l’un des porte-voix de l’opposition à ce projet de centrale thermique, a fait valoir « l’obsolescence actuelle du Pacte électrique breton au moment où le filet de sécurité Lorient-Saint-Brieuc est opérationnel, où la population bretonne a augmenté sans black-out électrique et où l’Europe s’est déclarée favorable à l’interconnexion électrique de 600 kilomètres entre la France et l’Irlande… »

    Rappelant la parole de Nicolas Hulot affirmant que « c’est le moment de se décarboner », Loïc Le Pollès et ses homologues affirment : « C’est le moment d’arrêter le projet ! »

    « Ils doivent s’attendre à une violente réaction »

    D’après les recherches qu’ils ont menées, les opposants assurent que l’indemnisation due par l’État à Direct Énergie, en cas de non-construction de la centrale thermique, serait « tout au plus quelques milliers d’euros, car le consortium n’a encore rien engagé, sauf quelques études techniques… »

    Et si les travaux étaient prochainement lancés, comme l’assurent les porteurs du projet ? « Direct Énergie et l’État doivent s’attendre à une violente réaction des citoyens si les bulldozers prenaient possession du terrain… », assurent les opposants qui n’écartent par l’éventualité de faire de la zone du Vern, qui doit accueillir la centrale thermique, une "zone à défendre"..

    « Incontournable » pour Le Drian

    L’argument économique de la non-venue d’entreprises dans le Finistère à cause d’un éventuel black-out électrique ? Les opposants le balayent en citant « l’implantation de la société Synutra à Carhaix, le meilleur contre-exemple. »

     

    Le Pacte électrique breton prévoit la mise en service d’un moyen de production d’appoint d’électricité, une centrale à cycle combiné gaz de 450 MW, à Landivisiau.
    Le Pacte électrique breton prévoit la mise en service d’un moyen de production d’appoint d’électricité, une centrale à cycle combiné gaz de 450 MW, à Landivisiau. 

     

     Ce n’est pas l’avis de Jean-Yves Le Drian, l’instigateur du Pacte électrique breton, qui a inscrit la construction de cette centrale comme une priorité pour l’indépendance énergétique de la Bretagne en 2010.

    Lors de l’inauguration de la ligne de sécurité souterraine, à la mi janvier, le conseiller régional et ministre de l’Europe et des Affaires étrangères a réaffirmé qu’il s’agissait là d’un projet « incontournable ».

    Les collectifs opposés à la centrale thermique se disent boostés par le retrait du projet de Notre-Dame-des-Landes. Ils demandent aux pouvoirs politiques d’apporter des réponses à leurs questions et inviteNT la population à signer la pétition en ligne pour l’abandon du projet…

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Dans un communiqué, le Comité des usagers de l'hôpital de Douarnenez déclare qu'il « s'oppose à toute suppression, à toute attaque, à tout chantage quelle qu'en soit la forme, contre le personnel des Ehpad dans le but d'accroître les économies, alors qu'il manque au niveau national près de la moitié du personnel nécessaire ». Le comité indique qu'il « demande que des moyens suffisants soient donnés pour un hébergement de qualité respectant la dignité des résidants dans les Ehpad. Il soutient la mobilisation des salariés des Ehpad, à l'appel de leurs syndicats, et invite la population à manifester mardi à leurs côtés ».

    Le comité organisera un covoiturage, mardi à 14 h, place de Stalingrad (au pied de la mairie) à Douarnenez, avant de gagner le point de ralliement prévu à Plonéis à 14 h 30, puis le rassemblement, place de la Résistance à Quimper, à partir de 15 h.

    source: http://www.letelegramme.fr

     

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  • Sur les 1 109 étudiants en Première année commune des études de santé (Paces) de la faculté de médecine de Brest, seulement 23 % environ réussiront le concours d'accès à la deuxième année.Sur les 1 109 étudiants en Première année commune des études de santé (Paces) de la faculté de médecine de Brest, seulement 23 % environ réussiront le concours d'accès à la deuxième année.

    Dès septembre, à la fac de Brest, d'importantes nouveautés vont s'appliquer. Avant de retenter le concours, les étudiants recalés devront poursuivre en deuxième année, dans une autre filière.

    L'initiative

    Dès septembre, à Brest, la première année commune des études de santé (Paces) sera réformée. « UBO Pass » va s'appliquer à la faculté de médecine de l'Université de Bretagne occidentale (UBO). « Nous avons deux objectifs, explique Matthieu Gallou, président. Que les étudiants qui n'obtiennent pas le concours d'accès à la deuxième année ne repartent pas sans rien. Nous voulons aussi diversifier les profils. »

    Trois cas sont déterminés. Premièrement : ceux qui réussissent le concours. Ils passent en deuxième année. Ils pourront accéder à 70 % du numerus clausus (*), nombre de places défini chaque année.

    Deuxièmement : les reçus-collés, qui ont obtenu au moins 10/20 en note finale et plus, mais pas le concours. Ils ne pourront plus redoubler dans la foulée. Ils seront orientés vers une autre filière directement en deuxième année de licence (biologie, droit, etc.) où ils obtiendront des crédits d'enseignement. « C'est à l'issue de cette deuxième année qu'ils pourront retenter le concours de la Paces, précise Matthieu Gallou. Un concours nouvelle formule puisqu'il consistera notamment en un oral. »

    Réforme « responsable »

    Le troisième cas concerne ceux qui n'ont pas eu 10. « Ceux-là pourront redoubler la première année, sauf qu'ils ne pourront pas retenter le concours cette fois-là. Ils devront continuer dans une deuxième année de licence d'une autre filière, comme pour les reçus-collés. C'est aussi à l'issue de cette deuxième année qu'ils pourront retenter le concours de la Paces. »

    Conclusion : les étudiants auront toujours deux chances de tenter le concours, en accord avec la réglementation. « C'est une réforme responsable. Elle s'intéresse à tous les étudiants, y compris ceux qui échouent », estime Christian Berthou, directeur de la faculté de médecine.

    L'exemple d'Angers

    Seulement 23 % des étudiants réussiront le concours, dont 40 % de primants et 60 % de redoublants. Sur les 1 109 élèves de cette année, cela veut dire que 850 resteront sur le carreau. Dont des jeunes de haut niveau, qui ont souvent eu leur bac S avec mention. « Un gâchis ! Avec cette réforme, ils continuent d'avancer et ne reculent pas. »

    Déjà, depuis plusieurs années, des restrictions ont été imposées. Dès le premier partiel, les 15 %, les moins bien classés, qui n'ont aucune chance de rattraper leur retard, doivent quitter la fac de médecine et intégrer une autre formation. Idem en fin d'année, pour les derniers 15 %. Tous ces recalés pourront retenter le concours mais plus tard, après avoir obtenu des crédits d'enseignement dans d'autres filières.

    La réforme prend exemple sur Angers qui a réformé sa Paces avec succès. L'UBO a obtenu deux postes (ingénieur pédagogique et chef de projet) du ministère de l'Enseignement supérieur pour sa mise en oeuvre.

    Lors de l'année de transition, l'an prochain, Matthieu Gallou assure qu'il sera « vigilant pour assurer une réelle égalité des chances entre les primants et les redoublants ».

    Laurence Guilmo.

    (*) Soit 175 en médecine en 2018, 30 en dentaire, 25 en pharmacie et 23 en sages-femmes.

     

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • L'hôpital de Brest est condamné pour un défaut de prise en charge.L'hôpital de Brest est condamné pour un défaut de prise en charge.

    En 2007, un homme de 77 ans avait contracté une infection lors d’une opération et en est mort. Le Centre régional hospitalier universitaire (CHRU) de Brest devra débourser plus de 82 700 € pour une mauvaise prise en charge.

    Le CHU de Brest et la SHAM (société hospitalière d’assurances mutuelles) sont condamnés par le tribunal administratif de Rennes à verser à l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales) la somme de 35 260 €. La majeure partie de cette somme ira à l'’indemnisation du préjudice subi par les ayants droit de Michel Quideau.

    Ils régleront aussi 47 455 € à la CPAM du Finistère.

    Implantation d’une bioprothèse

    Michel Quideau, âgé de 77 ans lors des faits, était porteur d’un rétrécissement aortique. Il a été opéré le 31 août 2007 au centre hospitalier universitaire (CHU) de Brest. Une bioprothèse lui a été implantée. Mais, suite à cette intervention cardiaque, il a contracté une infection qui n’a pu être enrayée, et a conduit à son décès le 11 octobre de la même année.

    Son épouse et ses deux enfants ont mis en cause l’établissement hospitalier devant le tribunal administratif de Rennes.

    « Manquements »

    Selon ce dernier, il a été mis en évidence que l’infection contractée par Michel Quideau lors de son opéraStion « présentait un caractère nosocomial ».

    Par ailleurs, suite à l’expertise réalisée à la demande de la commission de conciliation et d’indemnisation de Bretagne, il en résulte que « les services du CHU de Brest n’ont pas correctement pris en charge l’infection contractée par M. Quideau dans cet établissement et que les manquements commis sont à l’origine des complications subies par l’intéressé puis de son décès ».

    source:https://www.ouest-france.fr

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  • Au centre, Fabienne Clément, présidente du tribunal de grande instance de Quimper.

    Au centre, Fabienne Clément, présidente du tribunal de grande instance de Quimper.Sophie Sautreuil, nouvelle juge consulaire au tribunal de commerce.Sophie Sautreuil, nouvelle juge consulaire au tribunal de commerce.Quelques-un des 16 juges du tribunal de commerce.Quelques-un des 16 juges du tribunal de commerce.Le procureur Thierry Lescouarc’h et la procureure adjointe Brigitte Chevret, en charge de l’exécution des peines et du parquet civil.
    Le procureur Thierry Lescouarc’h et la procureure adjointe Brigitte Chevret, en charge de l’exécution des peines et du parquet civil.Le bâtonnier Me Nicolas Josselin n'a caché ni les craintes des avocats face à la réforme judiciaire, ni leur étonnement de ne pas être conviés aux vœux du préfet du Finistère, Pascal Lelarge.Le bâtonnier Me Nicolas Josselin n'a caché ni les craintes des avocats face à la réforme judiciaire, ni leur étonnement de ne pas être conviés aux vœux du préfet du Finistère

     

    La réforme de la carte judiciaire suscite la crainte des magistrats et des avocats de Quimper et Brest (Finistère). Elle s’est invitée à l’audience de rentrée des tribunaux de grande instance et de commerce, lundi matin au palais de justice de Quimper.

    Lundi matin 22 janvier, la présidente du tribunal de grande instance de Quimper (Finistère), Fabienne Clément, a ouvert l’audience solennelle de rentrée par une minute de silence en hommage aux deux avocats récemment décédés, Michel Kermarrec et Denis Launay-Massé.

    Avocats et magistrats inquiets

    Nicolas Josselin, nouveau bâtonnier accompagné du vice-bâtonnier Julien Le Menn, livre les inquiétudes de sa profession face aux « pistes envisagées au titre des cinq chantiers de la justice ». Ce n’est pas « une volonté de chasse gardée des avocats » qui les tourmente, mais bien « l’impact sur les citoyens, les justiciables et la profession d’avocat ».

    « Absence de concertation »

    « L’absence de concertation avec la profession accentue un sentiment de crainte de la part du barreau » face à cette réforme dont « l’utilité n’est pas prouvée ». Les avocats se sont immédiatement mobilisés contre la possible suppression d’un des deux tribunaux de Brest ou Quimper ou leur spécialisation. Le bâtonnier a insisté sur « l’impérieuse nécessité de conserver deux TGI. Avec deux pleines compétences. Ce projet de réforme masque le problème réel de la justice : le manque chronique de moyens ».

    Des vœux préfectoraux sans avocats

    « Les avocats sont régulièrement écartés ces derniers temps par l’État et ses représentants : est-il souhaitable que nous ne soyons pas conviés aux vœux de la préfecture ? » Les pieds dans le plat. Mais aucune réaction du préfet Pascal Lelarge, assis à quelques mètres.

    Cinq nominations

    Au 1er septembre, Armelle Picard est devenue vice-présidente du siège (19 magistrats), Marie-Noëlle Collobert vice-procureure en charge des mineurs et Morgane Rampi juge d’instruction, un poste vacant depuis… six ans ! Marcel Martin et Patrick Leroy, juges de proximité, deviennent magistrats temporaires.

    « Sentiment d’insécurité »

    La présidente regrette « une vacance de postes à la chaîne créant un sentiment d’insécurité et d’insatisfaction du citoyen ». Le poste de juge des enfants n’est toujours pas pourvu, un magistrat y est placé pour six mois. Les projets 2017 ? « La création d’un réseau de soutien aux exploitants agricoles en très grande difficulté et la mise en œuvre des réformes essentielles avec leur lot de doutes. » Côté travaux, 2018 verra la rénovation du service d’application des peines, de la salle de convivialité et d’une dizaine de bureaux.

    Le procureur dans l’attente

    « Nous sommes en attente de précisions de cette réforme car des inquiétudes se font jour. » Le parquet compte sept postes, mais seulement cinq seront occupés dans les prochains mois. « Les effectifs des magistrats et des greffes sont insuffisants » rappelle le procureur.

    Quelques chiffres

    Le palais de justice compte 62 fonctionnaires : 48 au TGI et 14 au tribunal d’instance (TI). Les jugements correctionnels représentent 33 % de l’activité pénale (1 389, stables) ; 20 859 plaintes (en baisse) ; 74 dossiers en cours à l’instruction ; la cour d’assises a rendu 14 arrêts pénaux (stables) et le tribunal pour enfants 130 jugements (en baisse).

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  • Éric Minnegheer, président du tribunal de grande instance, l'a redit lundi lors de l'audience solennelle : la situation du greffe est inquiétante, faute de moyens humains.Éric Minnegheer, président du tribunal de grande instance, l'a redit lundi lors de l'audience solennelle : la situation du greffe est inquiétante, faute de moyens humains

    En 2017, l'activité pénale du tribunal de grande instance a progressé de 16 %, le civil restant stable. Le greffe est jugé en souffrance, faute de moyens humains.

    La délinquance

    Elle est en hausse dans le ressort du tribunal de grande instance, qui couvre les régions de Brest, Morlaix et Carhaix. En 2017, les services de police et de gendarmerie ont rédigé près de 34 000 PV d'infraction. Sur ce total, 10 700 affaires ont reçu une réponse pénale. Soit 16,40 % de plus qu'en 2016. « C'est le reflet des bons résultats obtenus par les services d'enquête quant au taux d'élucidation des affaires qu'ils traitent », explique Jean-Philippe Récappé, procureur de la République.

    Les violences

    Parmi les chiffres de la délinquance, il s'agit de l'une des tendances qui inquiète le procureur. « Leur évolution reste modérée dans la ville de Brest (3,44 %) mais elle est forte en zone gendarmerie, avec 14 %. » Jean-Philippe Recappé relève néanmoins que là aussi, « les taux d'élucidation sont très élevés ». Mais il s'inquiète néanmoins « des violences faites aux forces de l'ordre. Elles se sont multipliées au cours des derniers mois ». Ou de « celles commises à l'encontre des surveillants de l'administration pénitentiaire ».

    Trop de correctionnelle ?

    C'était déjà une vive interrogation du président du TGI l'an dernier. Visiblement, Éric Minnegheer n'a pas été rassuré par l'exercice 2017. « Depuis 2014, nous connaissons une constante augmentation des jugements de la chambre correctionnelle. » Ils sont passés, dans cet intervalle, de 1 900 à 2 150, soit + 14 %. Les comparutions immédiates pèsent par ailleurs de plus en plus lourd dans le volume d'affaires. S'il se félicite de la « plus grande efficacité et de la meilleure performance des services d'enquête », le président s'inquiète néanmoins que l'augmentation des jugements rendus se fasse avec de plus en plus de difficultés. En témoignent les 351 renvois d'affaires, « faute pour le tribunal d'être en mesure de les juger ».

    Le civil stable

    Éric Minnegheer le rappelle à l'envi, un tribunal, ce n'est pas que le pénal. C'est aussi le civil, avec tous ses conflits du quotidien. Dans ce domaine, « l'activité reste stable ». Les chiffres pourraient faire croire le contraire, pourtant. Les affaires nouvelles sont passées de 5 200 en 2016 à 4 600 en 2017. Explication : « Cette baisse d'activité est uniquement due à la « déjudiciarisation » du divorce par consentement mutuel. »

    Des effectifs tendus

    Au siège, au parquet, chez les greffiers et fonctionnaires, le constat est le même : le tribunal est en sous-effectif. L'année dernière, le parquet s'est vu crédité d'un huitième poste. Avant que son titulaire ne soit nommé, une substitut était mutée sans être remplacée. Chez les juges, les effectifs n'ont pas bougé entre 2014 et 2017, malgré l'augmentation du nombre de dossier à juger. Chez les agents administratifs, enfin, la directrice de greffe et son adjointe sont parties sans être remplacées. À ce sujet, le président Minnegheer parle même de greffe « en souffrance ».

    Yannick Le Coquil et Olivier Pauly.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Plouhinec. 400 manifestants contre la fermeture du lycée Jean-Moulin (LT.fr-20/01/2018)

    400 personnes ont défilé cet après-midi entre Plouhinec et Audierne pour dire leur opposition à la fermeture annoncée du lycée professionnel Jean-Moulin, spécialisé dans la charpente navale. Ils étaient 800 lors d'une première manifestation le 2 décembre.

    Malgré le vote de la Région en faveur de la fermeture, les enseignants et agents veulent continuer à y croire tant que l'arrêté préfectoral n'est pas signé, et réclament une table ronde sur le sujet. Ils seront reçus par le Rectorat le 30 janvier.

     

    source: http://www.letelegramme.fr

     

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  • Des juristes s'inquiètent de la réforme de la carte judiciaire. Des juristes s'inquiètent de la réforme de la carte judiciaire.

    La coordination des Juristes de Bretagne s’oppose au remaniement de la carte judiciaire.

    La coordination des Juristes de Bretagne s’oppose au remaniement de la carte judiciaire. Dans un communiqué, ils soulignent : « Cette Réforme c’est la suppression de 11 Cours d’appel au moins sur 30 en métropole, un seul Tribunal de grande instance (TGI) par département et 4 TGI en moins en Bretagne. »

    Loire-Atlantique rattachée à Angers

    « Pour la Cour d’Appel de Rennes, pas question de suppression. Mais, en application du principe « une région administrative/une Cour d’Appel », la Loire-Atlantique pourrait être rattachée à la Cour d’Appel d’Angers, en même temps que la Vendée, malgré la préconisation contraire du rapport. »

    « Le discours prononcé le lundi 15 janvier par le Président de la République devant la Cour de cassation confirme largement cette crainte, confirmant « l’harmonisation » des circonscriptions administratives et judiciaires de l’État, ce, alors que le rapport de faisabilité demandé aux anciens députés Raimbourg et Houillon remis à la ministre de la Justice le même jour préconise le maintien du ressort de la cour de Rennes […]. »

    « Lors de la rentrée solennelle de la Cour d’Appel de Rennes vendredi 12 janvier, le Premier Président, dans son discours s’est opposé à cette amputation. La Loire-Atlantique représente plus de 30 % des affaires que la Cour de Rennes traite. Rennes, 5e Cour d’Appel de France deviendra une Cour croupion. »

    « Pour la coordination des Juristes de Bretagne, il s’agit « d’enfumer dans une réforme territoriale judiciaire injustifiée, en gaspillant l’argent des contribuables, l’échec de la réforme Hollande, et fermer toute perspective de réunification de la Bretagne en créant une Cour des Pays de la Loire. La dissolution de la Bretagne judiciaire prépare la disparition finale de la Bretagne administrative dans le Grand Ouest. »

    source: https://www.ouest-france.fr/ 

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  • En mars, ce sera le 40e anniversaire de l'échouage de l'« Amoco-Cadiz » sur les roches de Portsall.En mars, ce sera le 40e anniversaire de l'échouage de l'« Amoco-Cadiz » sur les roches de Portsall.
     
    Jean-Paul Hellequin, président de Mor-Glaz.
    Jean-Paul Hellequin, président de Mor-Glaz.
     

     

     

    L'association de protection de la mer et des marins reste vigilante sur les questions de sécurité maritime. Marquée par les 40 ans de l'Amoco Cadiz.

    Le remorquage

    « Nous seront très attentifs sur la société retenue pour l'affrètement des remorqueurs qui remplaceront les Abeille-Flandre et Abeille-Languedoc »prévient Jean-Paul Hellequin, président de l'association Mor-Glaz. D'autant que ce marché se déroule dans un contexte particuler. Il y aura quarante ans en mars, l'Amoco Cadiz s'échouait sur les roches de Portsall. Une catastrophe qui avait entraîné une prise de conscience des moyens à déployer pour améliorer la protection de notre environnement. Notamment le déploiement de remorqueurs de haute mer. « Armés par des équipages français et sous pavillon français, ces navires doivent être des remorqueurs et non des supply », poursuit Jean-Paul Hellequin.

    Les déchets

    De son côté, Christian Bucher aimeraient savoir « ce que sont devenus les déchets de l'Amoco Cadiz, quand on va s'en débarrasser et dans quelles conditions ». Ils ont été enfouis sous le polder du port de commerce. De son côté, le professeur Michel Glemarec s'interroge sur les conséquences écologiques, concernant les deux épaves de la société Maersk, coulées au large de l'île de Sein, en décembre 2016.

    Les nouveaux géants

    La nouvelle génération des porte-conteneurs de 22 000 et 24 000 boîtes inquiètent également Mor-Glaz. : « C'est un véritable danger, le poids et le contenu des conteneurs sont souvent inconnus, résume Jean-Paul Hellequin. Et quelles sont les conditions de remorquage de ces géants de 400 m de long par grande tempête ? », s'interroge-t-il. Des exercices ont bien lieu de temps en temps, mais en général par météo clémente.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Toutes et tous en marche

    contre la fermeture du Lycée Professionnel Jean-Moulin

    samedi 20 janvier 2018-14 heures-Plouhinec

    (terre-plein du port de Poulgoazec)

     

    Appel de la Libre Pensée 29-Non a la fermeture du Lycée public professionnel Jean-MoulinManifestation le 2 décembre 2017

    Jeudi 14 décembre 2017, le Conseil Régional de Bretagne par un scrutin sans appel (57 voix pour, 24 voix contre et 2 bulletins blancs) a voté la fermeture pure et simple du Lycée Professionnel Jean-Moulin, seul Lycée du Cap Sizun, dès la prochaine rentrée scolaire. Ce sont sont les élus socialistes, macronistes (« en marche ») et associés qui disposent de la majorité des sièges qui ont permis ce résultat auquel s’est jointe une partie des oppositions qui disposent en principe de 30 sièges (centre, droite et Front National).

    Le Conseil régional qui anticipe les recommandations du rectorat va-t-il réussir en 2018 la tentative de fermeture ratée en 2004 ? Les autorités régionales ont réalisé un travail de sape méthodique pour justifier cette fermeture. Les effectifs des élèves sont passés de 170 élèves à la rentrée 1999 à 45 à la rentrée 2017 . Ainsi ont été supprimées les formations conduisant au CAP d’ébénisterie (2005), au bac pro mécanique automobile (2010), au CAP réparation navale (2011). Les multiples propositions des enseignants visant à élargir l’offre de formations dans le cadre de la vocation maritime de l’établissement ont été systématiquement ignorées. Tout a été fait pour vider l’établissement de ses élèves.

    Le cynisme officiel n’ayant plus de limite l’annonce du transfert de la formation de charpente maritime à Concarneau à la prochaine rentrée scolaire ne serait pas en mesure d’être réalisée.La construction d’un nouveau bâtiment serait nécessaire et ne pourrait être réalisée d’ici le mois de septembre.

    Le Lycée Professionnel Jean-Moulin possède des infrastructures de grande qualité qui sont sous-utilisées.Les nouveaux métiers de la mer nécessitent la mise en place de nouvelles formations . Il n’y a aucune raison d’accepter le sabordage du service public d’enseignement professionnel.

    La Libre Pensée 29 apporte son soutien à la magnifique mobilisation des personnels, des lycéens, de la population du Cap Sizun. Ne laissons pas démanteler le seul Lycée Public du Cap, maintien et développement du Lycée Jean-Moulin

    Toutes et tous à la grande manifestation le samedi 20 janvier-14 h Poulgoazec

     

     

    Quimper le 15/01/2018

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  • Communiqué commun du mouvement anti-aéroport, suite à la décision du gouvernement (17/01/2018)

    Ce midi, le gouvernement vient enfin d’annoncer l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

    Nous notons que la DUP ne sera officiellement pas prorogée. Le projet sera donc définitivement nul et non avenu le 8 février.

    Il s’agit bien d’une victoire historique face à un projet d’aménagement destructeur. Celle-ci aura été possible grâce à un long mouvement aussi déterminé que divers.

    Nous voulons d’abord saluer chaleureusement aujourd’hui toutes celles et ceux qui se sont mobilisées contre ce projet d’aéroport au cours des 50 dernières années.

    En ce qui concerne l’avenir de la zad, l’ensemble du mouvement réaffirme dès aujourd’hui :

    -La nécessité pour les paysan-ne-s et habitant-e-s expropriés de pouvoir recouvrer pleinement leurs droits au plus vite.

    -Le refus de toute expulsion de celles et ceux qui sont venus habiter ces dernières années dans le bocage pour le défendre et qui souhaitent continuer à y vivre ainsi qu’à en prendre en soin.

    -Une volonté de prise en charge à long terme des terres de la zad par le mouvement dans toute sa diversité - paysans, naturalistes, riverains, associations, anciens et nouveaux habitants.

    Pour le mettre en œuvre, nous aurons besoin d’une période de gel de la redistribution institutionnelle des terres. Dans le futur, ce territoire doit pouvoir rester un espace d’expérimentation sociale, environnementale et agricole.

    En ce qui concerne la question de la réouverture de la route D281, fermée par les pouvoirs publics en 2013, le mouvement s’engage à y répondre lui-même. La présence ou l’intervention policières ne feraient donc qu’envenimer la situation.

    Nous souhaitons par ailleurs, en cette journée mémorable, adresser un fort message de solidarité vis-à-vis d’autres luttes contre des grands projets destructeurs et pour la défense de territoires menacés.

    Nous appelons à converger largement le 10 février dans le bocage pour fêter l’abandon de l’aéroport et pour poursuivre la construction de l’avenir de la zad.

    Acipa, Coordination des opposants, COPAIn 44, Naturalistes en lutte, les habitant-e-s de la zad.

    Contacts presse : ACIPA - Dominique Fresneau : 06 71 00 73 69 COPAIN 44 - Cyril Bouligand : 06 21 04 76 84 Coordination - Geneviève Coiffard : 06 80 84 19 89 Naturalites en lutte - Jean-Marie Dréan : 07 69 40 45 75 Zad presse : 06 95 06 81 49

     

    Conférence de presse commune : mercredi 17 janvier, 15h30, à la Vache Rit (les Domaines, 44130 Notre-Dame-des-Landes)

    source: https://zad.nadir.org/spip.php?article5034://zad.nadir.org/spip.php?article5034

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    Ouverture d'une enquête sur Jean-Jacques Urvoas pour violation du secret professionnel (France3-16/01/2018)Jean-Jacques Urvoas, ancien député du Finistère, sur les bancs de l'Assemblée Nationale

    La Cour de justice de la République va enquêter sur l'ancien garde des Sceaux pour violation du secret professionnel. Il est soupçonné d'avoir transmis des informations à Thierry Solère sur une enquête pour fraude le concernant.

    Jean-Jacques Urvoas a-t-il violé le secret professionnel incombant à sa fonction ? Ce mardi 16 janvier la commission des requêtes de la Cour de Justice de la République (CJR) a en tous cas rendu un avis favorable à la saisine de la commission d'instruction concernant cette affaire. C'est ce qu'ont révélé nos confrères du Parisien, une information depuis confirmée par une source proche du dossier.

    Jean-Jacques Urvoas est soupçonné d'avoir transmis au député Thierry Solère des informations sur une enquête pour fraude fiscale le concernant.

    Une note confidentielle envoyée pendant l'entre-deux-tours

    Cette information avait d'abord été révélée par le Canard Enchaîné le 13 décembre 2017. A l'époque le bipède dévoile que l'ancien garde des Sceaux a communiqué une note confidentielle au député des Hauts-de-Seine Thierry Solère pendant l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle. Le document, qui émanait de la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG), détaillait "les investigations en cours" contre l'élu des Républicains, visé par une enquête pour fraude fiscale, blanchiment et trafic d'influence. Thierry Solère a depuis adhéré à La République en marche.

    Document téléchargé sur le téléphone de Thierry Solère

    L'ancien garde des Sceaux et le député des Hauts-de-Seine avaient pris soin pourtant d'échanger sur l'application de communication chiffrée Telegram, mais Thierry Solère a téléchargé le document sur son téléphone. Les policiers ont donc découvert la note après une perquisition menée au domicile de l'élu, le 26 juin dernier. Ces informations avaient été confirmées à l'hebdomadaire par la procureure de Nanterre. 

    La saisine de la commission d'instruction 

    Le procureur général près de la Cour de Cassation est désormais tenu de saisir la commission d'instruction, seule instance habilitée à juger des ministres pour des faits commis dans l'exercice de leurs fonctions.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne

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  • Affaire Ferrand : le doyen des juges d'instruction ouvre une information judiciaire ( F3 Bretagne-16/01/2018)Richard Ferrand à l'assemblée Nationale

     

    Le juge Van Ruymbeke a ouvert une information judiciaire pour "prise illégale d'intérêts".  Il suit ainsi les réquisitions du Parquet financier qui demandait cette ouverture. Les deux autorités considèrent qu'il y a matière à enquêter.

    Nouvelle étape dans l'affaire dite "Richard Ferrand". Nous apprenons aujourd'hui que le juge Van Ruymbeke, doyen des juges d'instruction, a ouvert une information judiciaire pour "prise illégale d'intérêts" le 12 janvier dernier à l'encontre de Richard Ferrand dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne. Il suit ainsi les réquisitions du Parquet national financier qui demandait l'ouverture d'une enquête judiciaire.

    Les deux autorités considèrent donc qu'il y a matière à enquêter et qu'il n'y a pas prescription, contrairement à la décision rendue par le Parquet de Brest en octobre 2017.

    L'ouverture de cette information judiciaire fait suite à la plainte déposée par l'association Anticor avec constitution de partie civile en novembre dernier.

    L'affaire porte sur le bien immobilier acquis par la compagne de Richard Ferrand et loué aux Mutuelles de Bretagne, dont il était alors le directeur général.

    "Les faits sont clairs"

    Pour Jean-Christophe Picard d'Anticor cette décision prouve bien que l'analyse de l'association était bonne. Il se réjouit des suites données à leur plainte. Le président de l'association anticorruption rappelle par ailleurs que le procureur de Brest avait prononcé un non lieu en considérant qu'il y avait prescription par rapport à la date des faits mais que sur le fond il y avait peut-être matière à ouvrir une information judiciaire. "Les Mutuelles de Bretagne reçoivent de l'argent public et on peut donc se poser la question de la prise illégale d'intérêt". Et d'ajouter " les faits sont clairs".

    V.Chopin et M.Villaverde

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne

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  • Grande Marche de Protestation contre la fermeture du Lycée Professionnel Jean-Moulin-Samedi 20 janvier-14 h-Plouhinec (terre-plein du port de Poulgoazec)

     

    Ce combat est le nôtre, les communistes de l'ARC29/PRCF appellent la population, les jeunes et les  personnels  à défendre ce bien commun qu'est le Lycée public et professionnel Jean-Moulin.

    Toutes et  tous samedi 20 janvier  -14 heures marchons pour le Lycée  à Plouhinec

    (RDV sur le terre-plein du port de Poulgoazec)

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