• Quimper. Environ 800 personnes manifestent contre le pass vaccinal  (OF.fr-8/01/22-15h48)

    Samedi 8 janvier 2022, environ huit cents personnes ont répondu aux dernières déclarations d’Emmanuel Macron sur les antivax et les antipass sanitaire.

    Il fallait s’y attendre, vu les déclarations, cette semaine, du Président de la République Emmanuel Macron, qui a déclaré dans le Parisien que son objectif était « d’emmerder » les opposants au vaccin contre le Covid ou au pass vaccinal. Samedi 8 janvier 2022 en après-midi, la mobilisation des opposants au pass et/ou au vaccin a trouvé un nouveau souffle à Quimper (Finistère).

    Au départ du cortège, sur les quais devant la préfecture du Finistère. 

    Sous des trombes d’eau

    Vers la place Saint-Mathieu. 

    « Macron, on t’emmerde ! », « Macron, ton pass, on en veut pas ! » ont scandé environ 800 personnes (500 d’après la police), venues manifester sous des trombes d’eau. Le cortège est parti de la place de la Tourbie, avant d’emprunter les quais, les rues Kéréon, de Douarnenez puis de nouveau les quais.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Évidemment pour cette première vidéo de l’année, Thomas vous présente les vœux de notre syndicat pour l’année 2022. Au sommaire de notre journal vidéo, la journée d’action du 11 janvier pour exiger la réouverture des négociations du Ségur de la santé, mais aussi un point sur la situation Covid au CHRU Brest . À ce propos, Thomas vous rappellera l’attitude à adopter que vous soyez cas contacts, positif… Et votre situation administrative.Nous ferons aussi un tour d’horizon des questions revendicative, vous constaterez que la liste S’allonge depuis le mois de décembre.Enfin, nous vous parlerons de la grève des sages femmes de la clinique de Kéraudren et des eventuelles conséquences pour l’établissement.

    Source : https://www.facebook.com

     

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  • Photo d’illustration.

     

    En ce début d‘année 2022, le syndicat FO de l’hôpital d’instruction des armées Clermont-Tonnerre (HIACT) se mobilise, dans un communiqué, pour « dénoncer la dégradation sans précédent des conditions de travail dans l’établissement. Les personnels des services de soins, administratifs et techniques, nous signalent quotidiennement les énormes difficultés auxquelles ils sont soumis et s’interrogent sur l’inaction de leurs encadrements. Trop souvent, le sous-effectif, la surcharge de travail, le stress et le manque de coordination mettent les agents dans des situations dangereuses ».

    Le syndicat demande « en urgence des actions rapides de la direction du HIACT auprès de l‘administration centrale pour que la hausse des effectifs, comme l’avait affirmé la ministre des Armées, soit à la hauteur des différentes missions attribuées à notre établissement ». FO suivra l‘appel à la mobilisation intersyndicale nationale prévue le jeudi 27 janvier.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Les anciens occupants du Quartz, longtemps mobilisés pendant la crise sanitaire, reprennent du service après les dernières annonces gouvernementales.Les anciens occupants du Quartz, longtemps mobilisés pendant la crise sanitaire, reprennent du service après les dernières annonces gouvernementales. 

    Faisant face à une « avalanche d’annulations et de reports », suite aux annonces gouvernementales pour contrer la flambée de cas de covid-19, les ex-occupants du Quartz à Brest repartent au combat. Et attendent des réponses concrètes du ministère de la Culture.

     

    Pendant 105 jours, entre le 11 mars et le 23 juin 2021, ils avaient occupé le Quartz, en plein centre-ville de Brest. Mobilisés jour après jour pour défendre leurs professions, leur corps de métier, la culture plus généralement, largement impactée par les conséquences de la crise sanitaire. Ce jeudi 6 janvier, une partie du groupe a repris du service pour alerter sur « la situation actuelle qui n’annonce rien de réjouissant pour les acteurs de la culture », comme l’a souligné Olivier Simenhaus, intermittent et militant à la CGT-spectacle. « Il y a actuellement une avalanche d’annulations et de reports, suite aux annonces gouvernementales du 27 décembre dernier », explique Olivier Simenhaus.

    Lors d’une conférence de presse, le Premier ministre Jean Castex a notamment annoncé le rétablissement des jauges, fixées à 2 000 personnes en intérieur et 5 000 en extérieur, ainsi que l’interdiction des concerts debout. « Les aides attribuées se sont arrêtées le 31 décembre 2021, alors même que l’activité s’arrêtait une nouvelle fois pour nous », expose Mickaël Ragot, également mobilisé au printemps dernier.

    À Brest, les ex-occupants du Quartz repartent au combat . ( LT.fr - 07/01/22 - 06h57 )

    « Ils oublient qu’il y a des gens derrière… »

    Face à l’urgence, les ex-occupants du Quartz demandent « que des mesures rapides soient prises », insiste Olivier Simenhaus. « Il faut que l’année blanche soit prolongée, jusqu’au douzième mois après la reprise normale de l’activité. On n’a pas de vision à moyen terme, actuellement. Officiellement, les mesures sont prises pour trois semaines, mais on sait très bien que la culture va être impactée pendant de longues semaines, jusqu’au printemps. Nous demandons aussi l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. Une fois encore, la culture est la variable d’ajustement quand il s’agit de prendre des mesures pour limiter les contaminations. Quand on voit ce qu’il se passe pour les meetings politiques… Parfois, on se demande s’ils n’oublient pas qu’il y a des gens qui travaillent derrière, qui vivent de cette activité… ».

    Un mouvement qui reprend racine

    Ces derniers jours, la quarantaine de collectifs, issus de la culture et mobilisés un peu partout en France pendant plusieurs mois en France, reprend racine. Comme les ex-occupants du Quartz, ils interpellent directement la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, sommée de s’exprimer. « Si des mesures ne sont pas prises rapidement, nous sommes prêts à nous mobiliser une nouvelle fois pour défendre nos droits et l’accès à la culture pour tous », prévient Olivier Simenhaus.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Rémy Quéméner

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  • À Brest, les intermittents du Quartz OQP se remobilisent. ( OF.fr -07/01/22 - 18h06 )                 De nouveau réunis pour défendre leurs droits, les intermittents du mouvement le Quartz OQP, demandent des mesures d’urgence pour le secteur de la culture. 

    Les intermittents du Quartz OQP à Brest (Finistère) se sont réunis au Vauban, ce jeudi 6 janvier 2022. Avec de nouvelles limitations de jauges dans les salles et les premières annulations de spectacles à Brest, ils se remobilisent pour être pris en considération, suivant un mouvement national.

    « Nous demandons au gouvernement de prendre des mesures d’urgence pour le secteur de la culture, annonce Olivier Simenhaus, technicien du spectacle et membre de Synptact CGT spectacle. Nous demandons une année blanche flottante, l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. Et que la culture soit considérée comme essentielle​. »

    Autour de lui, Mickaël, Flora, Lilian, Yannick, Ludovic, Yano ou Erwan… sont comédiens, techniciens de tournée, régisseurs ou vidéastes. Tous intermittents à Brest, ils avaient créé le mouvement le Quartz OQP en mars 2021 pour défendre leurs droits. Face aux dernières restrictions imposées par le gouvernement, ils reprennent du service, ce jeudi 6 janvier 2022, accueillis par les équipes du Vauban, à Brest.

    200 intermittents impactés par le report des Chevaliers du Fiel

    À lui seul, Le spectacle Les Chevaliers du Fiel, qui vient d’être annulé à l’Arena, entraînent la perte d’une grosse mission de travail pour environ 200 personnes, répartis entre accueil, catering, techniciens et artistes. « Si on ajoute les spectacles du Vauban et de la Carène, ça fait beaucoup de monde dans la communauté brestoise », explique Lilian Danten, technicien rigger, précisant que les intermittents du spectacle ont perdu en moyenne 15 % de leurs indemnités journalières cette dernière année.

    Autre questionnement : celui du remplissage des futurs spectacles. « À moins de 70 % de remplissage, un spectacle n’est pas rentable, indique le technicien. Le nombre de spectacles va se bousculer à cause des reports et l’offre sera plus grande que la demande. Le public ne pourra pas être partout. »

    Les calendriers de certains sont déjà en train d’être largement bousculés par la cinquième vague, alors que l’activité avait enfin reprise. « C’est une avalanche d’annulations qui arrivent. On en est là. Je travaille sur le concert d’Alain Souchon fin février à l’Arena, on m’annonce déjà un report en avril », déplore de son côté Olivier Simenhaus.

    Le dispositif d’activité partielle réactivé

    Ce même jeudi 6 janvier, la ministre du Travail, Élisabeth Borne, et la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, ont réactivé le dispositif d’accès dérogatoire, qui avait été mis en place le 17 mars 2020. Dans un communiqué, le ministère de la Culture assure reprendre « les mesures exceptionnelles d’accompagnement aux secteurs touchés par la crise sanitaire ».

    Les employeurs des secteurs culturels, qui subissent une baisse de leur chiffre d’affaires d’au moins 65 % pourront bénéficier de l’activité partielle, mais cette fois sans aucun reste à charge. Ainsi, les intermittents seront pris en charge par le dispositif d’activité partielle, pour les spectacles annulés avant le 27 décembre 2021, (contrat ou promesse d’embauche à l’appui) et dont le début devait avoir lieu entre le 27 décembre et le 31 janvier 2022.

    « C’est bien, mais ce n’est pas suffisant. Nous avons besoin de perspectives pour la suite, répond Mickaël Ragot, technicien, à cette annonce.

    Le Quartz OQP fait écho à un mouvement national. Depuis le début de la crise sanitaire, une quarantaine de groupes s’est créée en France. « Nous sommes fédérés, le mouvement va s’intensifier réellement si des mesures concrètes ne sont pas prises rapidement pour nous, annonce le cégétiste. Des dates d’actions concrètes se profilent déjà d’ici la fin janvier. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Elsa DAFOUR

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  • Les ouvriers de Damen et les portuaires de Brest ne veulent pas sortir des dispositifs de compensation amiante. Interdite en France et en Europe depuis des années, l’amiante est bien présent à bord deLes ouvriers de Damen et les portuaires de Brest ne veulent pas sortir des dispositifs de compensation amiante. Interdite en France et en Europe depuis des années, l’amiante est bien présent à bord des navires qui viennent en réparation à Brest. 

    Certains ouvriers de Damen ainsi que des agents du port de Brest s’opposent au repérage amiante avant travaux (RAT) et à la sortie du dispositif de compensation amiante (ACAATA). Mais où trouve-t-on encore de l’amiante à bord des navires ?

    Interdit depuis 1997 en France et depuis 2005 à l’échelon européen, l’amiante continue d’occuper les débats portuaires. « Parce que l’amiante est encore très présent sur les bateaux » explique-t-on à la cellule CGT de Damen, à Brest. « Pas question de sortir du dispositif de compensation à l’exposition de l’amiante ! », argumentent les ouvriers régulièrement confrontés à la fibre cancérigène.

    Les procédures d’identification des zones et des éléments concernés ainsi que les niveaux de protection ont considérablement évolué. « Rien à voir avec nos prédécesseurs qui travaillaient l’amiante sans aucune protection ». « On est nombreux à avoir des membres de nos familles qui travaillaient sur les bateaux et qui sont morts de l’amiante », résume Romuald L’hostis.

    De l’histoire ancienne ?

    Aujourd’hui, malgré les procédures et les protections, le risque d’exposition accidentelle perdure. En règle générale, si les navires construits en France et en Europe se sont largement passés de l’amiante, les unités construites ailleurs dans le monde et particulièrement en Asie en contiennent encore à des endroits précis. Dans les gaines de chaleur (calorifugeage), les joints de moteur, de chaudière, dans certaines peintures, dans les colles de carrelage, de moquette… « Les petits jeunes qui débarquent dans le métier sont persuadés que l’amiante, c’est de l’histoire ancienne. On leur explique l’inverse. D’ailleurs, la plupart ignore complètement ce qu’est l’amiante ». C’est donc auprès des anciens qu’ils apprennent à se méfier, à signaler certains joints ou pièces suspectes et à s’équiper en conséquence pour éviter de s’exposer.

    90 % de navires étrangers

    « La Chine autorise jusqu’à 15 % d’amiante dans la composition de certains produits, afin d’améliorer leurs caractéristiques et de continuer à produire à bas coût. L’amiante ne coûte pas grand-chose », observe Ludovic Lamour, de la CGT Damen. « À Brest, nous traitons 90 % de navires étrangers. Vous pouvez être sûrs de trouver de l’amiante dans les unités de plus de vingt ans, qu’elles soient européennes ou a fortiori asiatiques ! ».

    Sans être construit en Asie, un navire qui fait l’objet d’une intervention dans un pays exotique peut très bien revenir avec des éléments amiantés, particulièrement dans la zone machines et pour des joints soumis à hautes températures.

    « Pas d’amiante sur les navires militaires »

    Et les navires militaires français ? « Bizarrement, les bateaux gris ont échappé au Repérage amiante avant travaux », s’étonne le syndicat CGT. « L’État nous demande d’appliquer un dispositif qu’elle ne prévoit pas pour ses propres navires ! ». Puisque, officiellement, il n’y a plus d’amiante à bord des plus récents d’entre eux.

    Et les plus vieilles unités ? Elles arrivent heureusement progressivement à la casse. Mais pas toutes, à l’image du dock flottant de Rouen venu se faire une beauté à Brest, l’été dernier. Un dock construit en Turquie et acheté à Abu-Dhabi, loin, très loin des normes en vigueur dans notre pays.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Stéphane Jézéquel

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  • Manifestation mardi à l’appel de la CGT et de Sud du CHRU de Brest

    Dans le cadre d’un préavis de grève national, les syndicats CGT et Sud du CHRU de Brest appellent les personnels à manifester le mardi 11 janvier, à partir de 10 h, place de la Liberté, à Brest, « pour la défense de l‘ hôpital public, des secteurs du médico-social et social ». Le cortège se rendra ensuite à la sous-préfecture « pour la reconnaissance de nos métiers, des conditions de travail décentes et des services de qualité. Le Ségur de la santé n’a pas répondu à nos revendications », écrit le syndicat Sud santé sociaux.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Des militants de la paix appellent à manifester dimanche, entre la place de la Liberté et Les Capucins, avant le sommet de ministres européens, qui aura lieu à Brest la semaine prochaine.Des militants de la paix appellent à manifester dimanche, entre la place de la Liberté et Les Capucins, avant le sommet de ministres européens, qui aura lieu à Brest la semaine prochaine. 

    Une manifestation, ce dimanche après-midi, sera le point d’orgue de la mobilisation des militants de la paix, avant et pendant la réunion de ministres européens, à Brest, la semaine prochaine.

     À sommet, contre-sommet, en trois temps. Les Capucins serviront d’écrin, la semaine prochaine, aux réunions des ministres de la Défense et des Affaires étrangères des 27 pays de l’Union européenne, cela dans le cadre de la présidence française de l’Union ouverte le 1er janvier 2022. Le Cian 29 (Collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires), composé d’une quinzaine de syndicats, partis et associations, à l’initiative du Mouvement de la Paix et de l’Université européenne de la Paix, propose plusieurs rendez-vous pour appeler à l’interdiction des armes nucléaires.

     Tout d’abord ce samedi 8 janvier, de 14 h à 18 h, salle Yves-Moreau, à la fac Victor-Segalen : « Quatre heures pour le désarmement nucléaire », avec Jean-Marie Collin, porte-parole français de l’ICAN (Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires), qui regroupe 500 organisations de 103 pays et qui a reçu le prix Nobel de la paix en 2017.

    Des cars venus de plusieurs grandes villes

    Le moment fort est prévu pour ce dimanche. En fin de matinée (à 11 h 30), à la maison des syndicats, 2 place Édouard-Mazé, une rencontre aura lieu avec les délégations étrangères, composées de quelques personnes venues de Belgique, du Portugal, de Russie et du Kazakhstan.

    Surtout, une manifestation partira à 14 h de la place de la Liberté, pour une arrivée vers 16 h 30 aux Capucins. Au moins plusieurs centaines de personnes devraient y participer, venues de toute la Bretagne voire un peu au-delà : des cars sont prévus depuis Angers, Rennes, Nantes et Lorient. Des militants de Bourgogne, où se trouve le centre du Commissariat à l’énergie atomique de Valduc, sont annoncés également.

    Un pique-nique militant jeudi 13 janvier

    Il y a près d’un an, une manifestation, à Brest, avait rassemblé près de 300 personnes, à l’occasion de l’entrée en vigueur du Traité d’interdiction des armes nucléaires, voté par l’ONU en 2017. Brest, ville de l’arme atomique s’il en est, en Europe, avec les installations de l’Île Longue.

    Enfin, jeudi 13 janvier, un pique-nique militant est prévu le midi boulevard Jean-Moulin, en face des Capucins, puis, en fin d’après-midi, la diffusion du film « Ils vont arrêter la bombe », de François Reinhardt, à la Maison des syndicats. Invités, des représentants du parti communiste français, d’Europe Écologie les Verts, de la France insoumise et du NPA devraient être là.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur: David Cormier

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  • Des militants de la paix vont manifester ce dimanche contre l’arme nucléaire. ( OF.fr - 06/01/22 - 10h30 )                 La manifestation anti-nucléaire quittera la place de la Liberté, à Brest, dimanche 9 janvier à 14 h.

    Brest accueillera 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères, du 12 au 14 janvier. L’occasion pour les militants anti-nucléaires d’appeler à manifester, dimanche 9 janvier, et de souligner l’absence de débat autour de ce sujet.

    Un cortège de 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères gagnera Brest, du 12 au 14 janvier prochain. L’annonce de ce sommet est passée presque inaperçue, pourtant, dans l’intimité de l’Atelier des Capucins, les dirigeants décideront de la politique militaire européenne pour les années à venir. La question de l’armement nucléaire sera évidemment sur la table, la France, qui n’a pas signé le traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN), n’y ayant pas renoncé.

    Le bien-fondé de l’arme nucléaire mériterait au moins d’être débattue au cours d’une année présidentielle !​, lance Roland de Penanros, représentant du CIAN29 (collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires). C’est pour sensibiliser le grand public, et être entendus de la délégation européenne, que ce collectif appelle à une manifestation qui ralliera la place de la Liberté aux Capucins, dimanche 9 janvier, à 14 h.

    Une dissuasion coûteuse

    Des représentants de mouvements pacifistes étrangers feront le déplacement, et des cars au départ de Rennes, Nantes, Angers et Lorient seront affrétés. Jeudi 13 janvier, jour où tous les ministres seront rassemblés, les militants ont prévu un pique-nique sommet contre sommet​, boulevard Jean-Moulin.

    On n’est pas dans une démarche frontale. On veut simplement briser ce faux consensus autour de la dissuasion nucléaire​, soutient Anne-Marie Kervern, de l’Union démocratique bretonne. Car à en croire les cinq grandes puissances détentrice de l’arme nucléaire (États-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France), la force nucléaire se limite bien à un outil de négociation. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas tous en sortir ?​, s’interrogent les militants.

     Loin d’avoir ratifié le TIAN, entré en vigueur en janvier 2021 et déjà signé par 86 états, la France fait du nucléaire la clé de voûte de sa stratégie de défense. Emmanuel Macron a promis de renouveler l’ensemble de l’arsenal nucléaire, aussi bien océanique qu’aéroporté, d’ici à 2035. Et Roland de Penanros de conclure : Est-ce qu’on ne ferait pas mieux de mettre ces milliards dans l’éducation et la santé ?​.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Julia Toussaint

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  • Naval Group - Négociations Annuelles Obligatoires ( IC.fr - 06/01/22 )

    Naval Group - Négociations Annuelles Obligatoires ( IC.fr - 06/01/22 )

    Les personnels de nouveau massivement mobilisés ce matin devant la Bassin 8 à l’appel de la CGT. Plus de 400 personnels déterminés et réunis dès 7h pour exiger une nouvelle réunion de négociations et des NAO à la hauteur de leur engagement dans l’entreprise. La Direction leur propose une baisse de pouvoir d’achat et annoncerait dans le même temps, un résultat record pour 2021. 

    Alors ? Le ruissellement c’est pour quand ?

    Source : https://www.facebook.com

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  • Ce centre de tests Covid-19 a fermé faute de locaux adaptés, dans le Finistère. ( OF.fr - 04/01/22 - 20h40 )            Depuis la mi-août 2021, le centre de tests sans rendez-vous d’Eurofins était installé dans un préfabriqué, sur le parking de la salle des fêtes et des associations Astrolabe. 

    Lundi 3 janvier 2022, au Relecq-Kerhuon, près de Brest (Finistère), malgré la flambée épidémique, le centre de tests Covid a fermé car trop exigu. Aucune solution n’a été trouvée. Le laboratoire et la municipalité se renvoient la faute.

    « On a dû fermer, contraints et forcés », assure Laurence, technicienne à Eurofins, au Relecq-Kerhuon, près de Brest (Finistère). Depuis lundi 3 janvier 2022, le centre de tests sans rendez-vous du laboratoire est fermé. Une situation étonnante vu la flambée épidémique du coronavirus et la ruée sur les tests.

    « Les locaux n’étaient pas adaptés. Ni pour le personnel ni pour l’accueil des patients », justifie la salariée. Elle détaille : « Ils étaient exigus. Dépourvus d’eau courante et de toilettes pour les deux techniciens. Pas de protection pour les personnes qui font la queue, dehors, parfois durant une heure, dans le froid et sous la pluie. » Des patients parfois agressifs.

    180 personnes en une matinée

    « Un matin, on a effectué jusqu’à 180 prélèvements, c’est énorme ! D’habitude c’est 60 à 70 environ. Ce n’était plus possible de continuer comme ça ! » Entre 25 et 30 % des tests sont positifs.

    Il y a un an, le centre de tests avait été installé à l’Astrolabe, mise à disposition gracieusement par la municipalité. « C’était spacieux et confortable », se souvient Laurence. Mais, depuis le 15 août 2021, les associations ont repris leurs activités et les locaux de la salle des fêtes ne sont plus disponibles. D’où l’installation d’un modulaire par le laboratoire, sur le parking de l’Astrolabe. Lequel ne convient plus désormais.

    Mais pourquoi cette fermeture soudaine, qui a pris les usagers de court ? Le laboratoire dit avoir prévenu les autorités de la fermeture depuis début décembre. « Le président d’Eurofins Bretagne a alerté la municipalité et l’Agence régionale de santé (ARS). Mais il n’y a pas eu de réaction », souligne la technicienne.

    Privé contre public ?

    La situation est devenue polémique avec la municipalité qui a découvert « comme tout le monde, la pancarte de fermeture sur la porte du bungalow ! », affirme Laurent Péron. Pour le maire (PS) : « La responsabilité en incombe à Eurofins, société privée, qui se décharge sur la commune. » Il explique : « Il y a trois semaines, nous avons été sollicités par la responsable du laboratoire qui estimait que les conditions de travail étaient inacceptables. Mais elles sont de la responsabilité de l’employeur ! »

    Il justifie : « Les salles municipales sont toutes occupées par les associations. Nous lui avons conseillé de louer un local commercial. Il y en a des libres dans la commune. » Il aurait préféré que « le laboratoire acquière un deuxième préfabriqué et le relie à l’eau courante ».

    Mais selon Eurofins, « c’est compliqué de louer quand c’est temporaireLes bailleurs préfèrent un engagement sur plusieurs années ». Une réponse qui surprend le maire. « J’ai pu louer un local pour six mois lors de la campagne municipale ! »

    Laurent Péron fait valoir que « partout, les gens attendent, dehors, pour des tests et non pas dans une salle d’attente » et que « même s’ils retournent à l’Astrolabe, ils attendront dehors ».

    Le maire « désolé » de la situation

    Dans d’autres communes, les laboratoires ont organisé eux-mêmes leur centre de tests. « À Plougastel-Daoulas, le laboratoire a installé un bungalow devant ses locaux. Ailleurs, ce sont des barnums ! »

    Au Relecq-Kerhuon, Eurofins dispose aussi de locaux physiques mais il ne souhaite pas « mélanger les activités d’analyse classique et celle liées au Covid-19 ».

    Laurent Péron se dit « désolé » de la situation. Le maire invoque aussi « l’État qui n’a pas voulu prendre d’arrêté préfectoral pour suspendre les activités associatives », qui aurait permis de retrouver des salles municipales disponibles.

    La situation semble bloquée. Chacun se renvoie la balle. Les patients doivent se reporter sur les pharmacies et les infirmiers libéraux déjà débordés.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laurence Guilmo

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  • RENDEZ-VOUS DEMAIN ( le 6/01 ) MATIN DÈS 7h DEVANT LE PORTILLON DU B8 
    350 personnels étaient mobilisés cet après-midi pour obtenir une juste répartition des richesses ! Face au mépris de la Direction qui leur propose toujours une baisse de pouvoir d’achat, ils ont décidé de poursuivre la mobilisation demain matin !

    Source : https://www.facebook.com

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  • Venue de 54 ministres à Brest : la CGT appelle à manifester pour la paix le 9 janvier. ( OF.fr - 04/01/22 - 19h19 )              Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, accueillera sur ses terres ses homologues européens.

    Alors que les 12, 13 et 14 janvier 2022, à Brest (Finistère), se réuniront notamment les ministres européens de la Défense, le syndicat CGT entend « réaffirmer notre exigence commune d’un monde sans guerre ».

    Dans la cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne pour six mois, 54 ministres européens (Armées, Défense et Affaires étrangères) se réuniront à Brest (Finistère) les 12, 13 et 14 janvier 2022.

    Dans un communiqué, la CGT Bretagne appelle à se joindre au rassemblement proposé par le Mouvement de la Paix et d’autres associations et collectifs, dimanche 9 janvier. Une manifestation est prévue à 14 h, place de la Liberté, à Brest. Plus tôt, à 11 h, la maison des syndicats accueillera un meeting avec les délégations étrangères.

    Alors que les débats entre ministres porteront sans doute sur la stratégie militaire de l’UE, le syndicat entend « réaffirmer notre exigence commune d’un monde sans guerre. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Brest. Les ex-occupants du Quartz reprennent du service. ( OF.fr - 04/01/22 - 19h00 )                     Le collectif Quartz Occupé lors d’une action en avril 2021. 

    ​L’inquiétude remonte chez les professionnels du spectacle du Quartz, à Brest (Finistère). Qui proposent une rencontre, jeudi 6 janvier 2022, pour « faire le point sur la situation des travailleurs de la culture », face à la cinquième vague Covid-19.

    « Cinquième vague de Covid-19 et cinquième fois que la culture et les métiers du spectacle sont emportés par la vague. » Les ex-occupants du Quartz, pros, intermittents et précaires du spectacle, annoncent reprendre du service : « Nous commençons cette année 2022 sans aucune vision sur notre avenir. Nous sommes prêts à nous mobiliser une nouvelle fois pour défendre nos droits et l’accès à la culture pour tous. »

    Initié le 11 mars 2021, le mouvement du Quartz OQP avait vu plus d’une soixantaine de pros du spectacle se relayer non-stop, pendant plus de trois mois, pour leurs droits et contre la réforme de l’assurance chômage. Avant « d’assurer une veille » en se constituant en association.

    « Si le travail avait bien repris depuis la rentrée de septembre, les fêtes communales et les spectacles de fin d’année ont été annulés en cascade en décembre, les discothèques ont fermé, rappelle le collectif. Le 27 décembre, Jean Castex a annoncé le retour des jauges et l’interdiction des concerts debout. Ces annonces ont provoqué l’annulation ou le report de nombreux spectacles. »

    « Des mesures d’urgence »

    L’inquiétude remonte, forcément, chez les intermittents qui doivent assurer leur quota d’heures dans les douze prochains mois : « L’année blanche vient de se terminer, commente le porte-parole Micka Ragot. O n repart sur un système normal, sans aucune annonce spécifique ni dispositions adaptées à la crise Covid. »

    Les aides attribuées se sont arrêtées le 31 décembre 2021 alors même que l’activité s’arrêtait une nouvelle fois : « Nous demandons au gouvernement de prendre des mesures d’urgence pour le secteur de la culture, annoncent les ex-occupants. Nous demandons une année blanche flottante, l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. Et que la culture soit considérée comme essentielle ​. »

    Jeudi 6 janvier 2022, à 13 h, rencontre à l’entrée du cercle naval (billetterie du Quartz) 52, rue du Château à Brest,

     Auteur : Frédérique GUIZIOU.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Mobilisation de convergence entre les hospitaliers et le médico-social le mardi 11 janvier 2022.
    L'année 2022 ne doit pas ressembler à 2020 et 202, exigeons des moyens pour l'hôpital public et une reconnaissance pour tous les professionnels du sanitaire, du médico-social, du social et du handicap !
    Rassemblement 10h15 devant l'hôpital Morvan avant de rejoindre la Place de la Liberté à 10h30.

    Source : https://www.facebook.com

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  • Brest. Après les tensions, les salariés de Damen de nouveau devant la sous-préfecture ce lundi. ( OF.fr - 03/01/22 - 15h50 )Une soixantaine de salariés du groupe de réparation navale Damen étaient devant la sous-préfecture de Brest, lundi 3 janvier 2022.

    Alors que des incidents avaient émaillé leur dernière mobilisation, une soixantaine de salariés de Damen se sont mobilisés à Brest, ce lundi 3 janvier 2022. Ils ont été accueillis par un important dispositif policier.

    Deux semaines après leur dernière mobilisation, une soixantaine de salariés du groupe de réparation navale Damen ont de nouveau manifesté ce lundi 3 janvier 2022, à Brest (Finistère). Avec deux revendications en ligne de mire : la suspension du RAT, le « Repérage amiante avant travaux », une nouvelle norme qui doit s’appliquer à compter du 1er janvier 2022, et la prolongation de l’Acaata, l’Allocation de cessation anticipée d’activité des travailleurs de l’amiante.

    « Cela pourrait entraîner une grosse perte pour l’économie portuaire avec des bateaux qui ne pourraient pas venir, ainsi qu’une qualité de santé des ouvriers qui serait dégradée », déplore Jocelyn Gourves, magasinier à Damen depuis 17 ans et syndicaliste CGT.

    Après le rapport de force, ils prônent le dialogue

    Après avoir échangé avec le député du Finistère Didier Le Gac au siège de leur entreprise, sur le port de commerce de Brest, ils ont formé un cortège pour se rendre à la sous-préfecture. Ils y ont été accueillis vers 11 h par plusieurs fourgons de police et un important dispositif leur bloquant l’accès. Lors de la mobilisation du 17 décembre 2021, la tension était en effet fortement montée après que les manifestants ont mis le feu devant le portail du bâtiment après y avoir été reçus pour un entretien.

    « La dernière fois, nous étions venus avec des fumigènes et des palettes, des armes pour montrer le rapport de force, reconnaît le salarié. Mais cette fois, ce n’était pas le cas : nous avons voulu prouver que nous étions aussi ouverts au dialogue. »

    Le sous-préfet ne veut plus les recevoir

    Rien n’y a fait : les salariés sont restés sous la pluie avec leur banderole, bloqués par de la rubalise. À 12 h, ils n’avaient pas été reçus par le sous-préfet, comme ils le demandaient. « On a fait un pas en avant en venant jusqu’ici et on a été accueillis par des gardes. On aurait voulu qu’il vienne nous rencontrer mais il reste sourd à notre demande », regrette Jocelyn Gourves.

    « Cette manifestation n’ayant pas fait l’objet d’une déclaration, aucune demande d’audience officielle n’a été formulée auprès du sous-préfet de Brest », répond de son côté la Préfecture. Et d’ajouter : « En tout état de cause, le sous-préfet ne recevra plus de délégation, les manifestants n’ayant pas tenu leurs engagements la dernière fois. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laura Daniel

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  • La cinquantaine d’ouvriers de Damen est remontée à pied du port de commerce jusqu’à la sous-préfecture de Brest où ils n’ont pas été reçus dans la matinée. La cinquantaine d’ouvriers de Damen est remontée à pied du port de commerce jusqu’à la sous-préfecture de Brest où ils n’ont pas été reçus dans la matinée. 

    Les salariés de Damen ont échangé, ce lundi matin, sur le port de Brest, avec le député Didier Le Gac qui leur a rappelé son soutien. Une cinquantaine d’entre eux s’est rendue vers midi à la sous-préfecture.

    Les salariés de Damen ont différé leur passage annoncé à 9 h devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi 3 janvier. Ils ont demandé de faire le point avec le député Didier Le Gac, dans leurs locaux du port, autour des questions de repérage avant travaux (RAT) et du dispositif de protection amiante (ACCATA).

     
    Le député Didier Le Gac se dit confiant : « La France ne peut pas aller seule en Europe sur le dispositif RAT. Ce serait se tirer une balle pour la compétitivité dans la navale ».
    Le député Didier Le Gac se dit confiant : « La France ne peut pas aller seule en Europe sur le dispositif RAT. Ce serait se tirer une balle pour la compétitivité dans la navale ». 

    Le député se dit confiant

    Par ce nouvel échange avec le député, ils espèrent continuer de faire porter leur voix auprès du Premier ministre et du ministère de la Mer. Arrivé sur place à 9 h 10, le député Le Gac s’est dit confiant quant à la qualité des échanges engagés avec le ministère. « Il y a de bonnes chances que cela aboutisse dans les prochaines semaines. Au sujet du RAT, impossible que la France soit la seule à s’astreindre à ce dispositif », appuie le député.

    Amiante : « Les droits restent acquis »

    Concernant l’amiante, Didier Le Gac a rappelé que tous les droits acquis restaient acquis. Sauf que les ouvriers de Damen veulent étendre ce droit aux futurs salariés.

    Romuald L’Hostis, pour la CGT Damen, est localement à la manœuvre pour ces deux dossiers.
    Romuald L’Hostis, pour la CGT Damen, est localement à la manœuvre pour ces deux dossiers. 
     

    À l’issue de cet échange, ils se sont rendus vers 11 h 30 devant la sous-préfecture de Brest où ils avaient fait brûler le portail le 17 décembre dernier. Le dialogue n’est toujours pas ouvert par Jean-Philippe Stetbon qui n’a que très modérément apprécié la démonstration de force de la mi-décembre, après qu’une délégation a été reçue en sous-préfecture.

    Les manifestants de Damen sont sagement restés devant le cordon de policiers qui les attendait devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi, en fin de matinée.
    Les manifestants de Damen sont sagement restés devant le cordon de policiers qui les attendait devant la sous-préfecture de Brest, ce lundi, en fin de matinée. 
     

    La cinquantaine de manifestants de Damen envisageait, à midi, de revenir devant la sous-préfecture dans le courant de l’après-midi.

    La cinquantaine d’ouvriers de Damen est remontée à pied du port de commerce jusqu’à la sous-préfecture de Brest où ils n’ont pas été reçus dans la matinée.
    La cinquantaine d’ouvriers de Damen est remontée à pied du port de commerce jusqu’à la sous-préfecture de Brest où ils n’ont pas été reçus dans la matinée.
     
    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Stéphane Jézéquel 
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  • Directrice de l’école François Mitterrand à Ploudalmézeau, Sabrina Manuel témoigne, ce lundi 3 janvier 2022 au matin, « du grand flottement » pour cette rentrée, contrariée par le variant Omicron.  Directrice de l’école François Mitterrand à Ploudalmézeau, Sabrina Manuel témoigne, ce lundi 3 janvier 2022 au matin, « du grand flottement » pour cette rentrée, contrariée par le variant Omicron. 

    Sabrina Manuel a assuré, comme elle pouvait, l’accueil de ses sept collègues et 165 élèves, à l’école François-Mitterrand de Ploudalmézeau, ce lundi 3 janvier 2022. Elle s’attend à un pic d’absentéisme la semaine prochaine.

    « Pour l’instant, ça va encore ». Sur les 165 élèves de l’école primaire François-Mitterrand, à Ploudalmézeau, au nord-ouest de Brest, sept seulement étaient vraiment absents ce lundi matin. « Certains n’ont pas été amenés par leurs parents, car ils sont cas contacts. Mais les nouvelles mesures ministérielles d’hier soir les autorisent à revenir, s’ils ont un test négatif. On va donc en retrouver dans les classes dès la mi-journée », note la directrice Sabrina Manuel.

    Au total, elle estime à une quinzaine le nombre d’enfants de l’école touchés, de près ou de loin, par la covid-19, en cette rentrée de janvier 2022. Pour l’instant, aucune classe n’est fermée. « C’est arrivé deux fois très brièvement en décembre. Le temps que les autres élèves, cas contacts, se fassent tester. Cela crée des allées venues permanentes, on fait un peu le portier ! », ironise l’enseignante, qui guette les jours prochains avec fatalisme et appréhension. « Ce lundi, une seule enseignante, covidée, manquait à l’appel et nous avons le bonheur d’avoir une remplaçante pour trois jours, ce qui ne nous était encore jamais arrivé », ajoute la directrice.

    "Certains élèves n’ont pas été amenés par leurs parents, car ils sont cas contacts. Mais les nouvelles mesures ministérielles d’hier soir les autorisent à revenir, s’ils ont un test négatif. On va donc en retrouver dans les classes dès la mi-journée" 

    « Sur le fil »

    Sabrina Manuel se sait sur le fil. Elle-même a dû composer avec une situation personnelle quelque peu chaotique, ce lundi matin. « Après deux tests négatifs la semaine dernière, ma fille de 17 ans était positive à la covid hier soir. Je suis officiellement autorisée à venir travailler, sauf qu’il m’a été impossible de me faire tester dans les temps avant d’ouvrir l’école ce matin ». À défaut, l’enseignante s’est munie d’un masque FFP2 et gère la direction de l’établissement, « à l’écart, dans son bureau ».

    Elle continue à examiner les déclarations sur l’honneur des parents, garantissant des autotests négatifs, pour leurs enfants cas contacts. « L’expérience a prouvé qu’ils ne suffisent pas à garantir la fiabilité des tests ». Et s’attend donc à une recrudescence des cas d’ici la semaine prochaine. « C’est obligatoire, les réunions de famille ont eu lieu et c’est bien naturel. Quand j’entends mes tout-petits de maternelle parler de leurs retrouvailles avec les tontons et les papys mamys, je me doute bien qu’il y aura eu des contaminations de Saint-Sylvestre ».

    « Explosion en vue »

    Sabrina Manuel se risque même à un pronostic. « La semaine prochaine, les cas vont exploser. Celle d’après, le gouvernement va mener une nouvelle réflexion. Et la troisième semaine, celle d’avant les vacances scolaires, on risque de nous annoncer que les vacances de février de toutes les zones seront regroupées au 4 février ». Si c’est le cas, la secrétaire départementale SNUipp-FSU 29 espère en tout cas « que ce sera la dernière fois ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Sophie Prévost

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  • Brest. Les sages-femmes de Keraudren poursuivent leur mouvement de grève. ( OF.fr - 02/01/22 - 17h42 )                  À l’appel de la CGT santé privée de Brest, le mouvement de grève des sages-femmes se poursuit à la maternité de Keraudren, groupe Elsan.

    À l’appel du syndicat CGT santé privée de Brest, un mouvement de grève reconductible est annoncé à la maternité de la polyclinique de Keraudren à compter de ce lundi 3 janvier 2022. La proportion de personnel en grève n’est pas encore connue.

    Un nouveau mouvement de grève concernant l’ensemble des sages-femmes du privé est annoncé à partir de lundi 3 janvier 2022.

    « Les négociations avec les directions locales lors des précédents mouvements n’ayant pas abouti, les sages-femmes de l’ensemble des maternités du groupe privé Elsan ont décidé de s’unir pour mener des revendications communes auprès de la Fédération de l’Hospitalisation Privée », annonce Rozenn Cariou, déléguée syndicale de CGT Santé Privée de Brest dans un communiqué. Cela concerne la maternité de la polyclinique de Keraudren, appartenant au groupe privé Elsan.

    Les revendications

    Les sages-femmes qui suivent ce mouvement de grève réclament la finalisation du nouveau décret de périnatalité, intégrant les compétences actualisées et les effectifs adaptés, l’application des recommandations du CNGOF de 2018 et la création dans la Convention Collective d’une nouvelle grille de salaire spécifique aux sages-femmes, « à la hauteur de leurs compétences et de leurs responsabilités ».

    Enfin, elles demandent l’application des circulaires qui confèrent le statut médical aux sages-femmes et la création d’un siège permanent dans les Commissions Médicales d’Établissements.

    Poursuite de la grève

    La grève qui débute ce lundi 3 janvier 2022 répond à l’appel national du 24 au 31 décembre 2021. Elle est reconductible : c’est une poursuite du mouvement déjà commencé ces dernières semaines. Ce dimanche 2 janvier 2022, le nombre de sages-femmes en grève à la polyclinique de Keraudren n’est pas encore connu.

    Auteur : Sabine NICLOT-BARON

    Source : https://www.ouest-france.fr

     

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  • Nous relayons ces informations de RDV dont nous ne sommes pas à l’initiative mais qui vont dans le bon sens.

    DU 12 AU 14 JANVIER PROCHAIN, LES MINISTRES DE LA DÉFENSE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DES 27 ETATS DE L’UE TIENDRONT À BREST UN SOMMET AXÉ SUR LES QUESTIONS DE STRATÉGIE EUROPÉENNE ET DE DÉFENSE À L’INVITATION DE JY LE DRIAN LE MACRONISTE EX-PS.


    C’est ce qui a amené le Collectif Finistère pour l’Interdiction des Armes Nucléaires (CIAN 29 – qui regroupe une quinzaine d’associations, syndicats collectifs, etc.) à proposer, en lien avec ICAN France et le Mouvement de la Paix, une série de mobilisations sur la période, axées sur la question du désarmement nucléaire.

    Samedi 8 janvier après midi, fac Segalen : 4 heures pour le désarmement nucléaire

    • exposition « agir pour le désarmement
    • projection du film « le début de la fin des armes nucléaires » suivi d’un débat avec un représentant d’ICAN
    • intervention de représentant·e.s de communes s’étant prononcées pour la signature du TIAN par la France
    • intervention des représentant·e.s des organisations du CIAN 29

    Dimanche 9 janvier :

    • 11 h à 13 h, Maison du Peuple : meeting à l’initiative du BN du Mouvement de la Paix avec intervention de délégations étrangères
    • 14 h, Place de la Liberté : manifestation « pour une Europe sans armes nucléaires »

    Jeudi 13 janvier, Maison des Syndicats : “sommet contre sommet”

    • 17 h à 18 h 30 : projection du film « ils vont arrêter la bombe » (sur l’action contre les tirs à Mururoa en 1972) suivi d’un débat
    • 20 h à 22 h : intervention de la directrice internationale d’ICAN


    MANIFESTATION pour une Europe sans armes nucléaires dimanche 9 janvier à 14h place de la Liberté à BREST + AGENDA 8→13 JANVIER sur la question du désarmement nucléaire. ( GJB.blog - 3/01/22 )

    Source : https://giletsjaunesbrestois.home.blog

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  • À Brest, les salariés de Damen se mobilisent à nouveau lundi matin. ( LT.fr - 31/12/21 - 12h15 )                 Multipliant les provocations (ici deux employés effectuant un selfie devant les forces de l’ordre), les manifestants de la Navale ont concentré leur coup de pression devant les grilles de la sous-préfecture, le 17 décembre dernier à Brest. (Le Télégramme/Stéphane Jézéquel).

    Que faut-il attendre de la prochaine mobilisation des salariés de la navale, lundi 3 janvier ? Leur montée en pression du 17 décembre devant la sous-préfecture a tendu le dialogue avec la sous-préfecture.

    Les salariés de Damen ont décidé de remettre un coup de pression, ce premier lundi de 2022. Ils ont demandé une nouvelle entrevue avec le sous-préfet, lundi à 9 h, pour défendre leur reconnaissance amiante dans le cadre de la prochaine application du RAT, le « Réparage amiante avant travaux » censé établir un diagnostic des navires avant réparations.

    Ils craignent de perdre leurs droits à compensations après avoir été exposés à l’amiante et défendent la compétitivité de leur entreprise face à un dispositif qui pourrait allonger la durée d’immobilisation des navires pour établir ce diagnostic. Et de ce fait, faire fuir les amateurs… Globalement soutenus par leur direction, les employés de la navale ont également, sur le fond, l’appui des deux députés de la majorité Didier le Gac et Jean-Charles Larsonneur qui ont fait remonter les inquiétudes du secteur.

    L’État reste sur ses positions

    Mais après des mois de discussions, ils ont reçu, ces dernières semaines, une fin de non-recevoir de la part du gouvernement, bien décidé à maintenir ce nouveau dispositif. Le vendredi 17 décembre, employés de Damen et personnels portuaires de la CCI sont arrivés à plus d’une centaine devant les grilles de la sous-préfecture de Brest. Après avoir été reçus par le sous-préfet qui a entendu leurs arguments sans pouvoir débloquer la situation, les manifestants sont montés en température en enflammant pneus et palettes devant le portail entièrement détruit. Les flammes ont détruit le portail et son système d’ouverture, ce qui a plongé dans une colère contenue le sous-préfet Jean-Philippe Setbon. Le représentant de l’État a annoncé, dans ces conditions, la rupture du dialogue immédiate avec les personnels de la Navale.

    Mais les syndicalistes CGT de Damen vont revenir à la charge, lundi, en centre-ville de Brest à 9 h. « Nous sommes toujours sur notre problématique : la reconnaissance ACAATA (pré-retraite amiante, ndlr) qui prend fin le 30 juin 2022. Nous en discutons avec les ministères concernés, depuis maintenant plusieurs années et toujours en dialogue de sourd. Pour cela, nous allons solliciter une nouvelle fois le sous-préfet, ce lundi 3 janvier. »

    Mais Jean-Philippe Setbon n’a toujours pas digéré le coup de sang de la mi-décembre. « Dans mon bureau, j’ai pris le temps de leur montrer le point de situation que nous avons fait avec les députés Le Gac et Larsonneur et que nous avons fait remonter pour expliquer les conséquences pour le port de Brest. Ils sont repartis en mettant le feu ! Je ne les recevrai pas dans ces conditions. »

    Sous-préfecture bouclée ce lundi matin

    Cette fois, il ne devrait y avoir qu’une cinquantaine de salariés de Damen, a priori sans les portuaires de la CCI. « Nous allons nous organiser pour qu’ils n’atteignent pas la sous-préfecture », assure le sous-préfet Jean-Philippe Setbon qui n’avait toujours pas connaissance, vendredi matin, de déclaration de manifestation.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest. La Fédé B ouvrira un lieu de vie pour les étudiants le 13 janvier. ( OF.fr - 28/12/21 - 16h16 )                    Le lieu sera installé dans le Bureau information jeunesse (BIJ) de Brest. 

    Dans la lignée de son épicerie Agoraé, l’association étudiante Fédé B ouvrira un lieu de vie pour les étudiants le 13 janvier 2022 au Bureau d’information jeunesse de Brest.

    Après son épicerie sociale et solidaire ouverte en 2012, le deuxième volet du projet Agoraé de la Fédération des associations étudiantes de Bretagne occidentale (Fédé B) prendra vie le 13 janvier 2022. Il s’agit d’un lieu de « partage et d’entraide entre pairs », situé dans les locaux du Bureau d’Information Jeunesse (BIJ), au 4 rue Auguste-Morvan.

    « Ouvert à toutes et tous, il proposera des animations, ateliers et formations sur différentes thématiques. L’insertion professionnelle, comment réduire son impact écologique au quotidien, ou encore diverses formations civiques et citoyennes seront abordées au sein du lieu de vie », indique l’association étudiante dans un communiqué.

    Qui ajoute : « Au sein de celui-ci, sera ouvert un guichet de défense des droits qui permettra de sensibiliser, d’informer et d’accompagner les étudiants et étudiantes. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Pour ce dernier journal de l’année, vous n’échapperez pas à la situation Covid au CHRU Brest car, comme dans tout le pays, c’est cruellement d’actualité avec des conséquences qu’il est encore difficile d’évaluer tant pour la direction de l’établissement que pour notre organisation syndicale. Néanmoins, Thomas vous fait le point des informations en notre possession à ce jour. Félicitations à nos camarades de Carhaix Pour leur lutte afin d’ empêcher la fermeture de la maternité le 24 et le 25 décembre. Nous ferons aussi le point des initiatives revendicative de la rentrée… Et enfin, Thomas terminera par deux informations importantes qui nous ont été livré lors du conseil de surveillance du 16 décembre dernier.

    Source : https://www.facebook.com

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  • Le CHRU Brest-Carhaix appelle à la mobilisation le 11 janvier à l'occasion de la manifestation départementale à Brest. ( FB.com - 27/12/21 )

    Le CHRU Brest-Carhaix appelle à la mobilisation le 11 janvier à l'occasion de la manifestation départementale à Brest. ( FB.com - 27/12/21 )

    Source : https://www.facebook.com

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  • Premiers soins à un noyé, un apprentissage pour les futurs marins pêcheurs. Premiers soins à un noyé, un apprentissage pour les futurs marins pêcheurs. (Collection Jacques de Thézac/Abris du marin/Musée départemental breton)

    Si le nom de Jacques de Thézac reste attaché à la création des Abris du marin qui, de 1900 à 1933, furent construits à la pointe de Bretagne, la plupart dans le Finistère mais trois également dans le Morbihan, il est également connu pour l’héritage photographique qu’il a laissé. Un héritage retrouvé par hasard dans un grenier et qui, acheté en 1989, est désormais la propriété du Musée départemental breton, implanté à Quimper.

    L’œuvre du philanthrope, réalisée sur des plaques de verre, avait subi les outrages du temps et des problèmes de décollement de l’émulsion avaient été constatés. Il était nécessaire, afin de maintenir ces émulsions, de déposer des plaques d’un peu plus d’un demi-millimètre d’épaisseur. Un travail minutieux et conséquent, 4 000 plaques devant être répertoriées, triées et restaurées.

    La vie des ports de pêche au siècle dernier

    Un travail de spécialiste qui, grâce au fonds de dotation du Marin breton, a déjà livré une réalisation concrète, puisque 35 de ces plaques, constituant un véritable reportage sur la vie des marins pêcheurs de l’époque, sont désormais prêtes.

    Elles constituent une exposition intitulée « Fils de la côte » qui, grâce au talent de Jacques de Thézac, laisse un témoignage de la vie des ports de pêche du début du siècle dernier, la vie des enfants, portant dès l’âge de 6 ans béret, vareuse et sabots de bois, comme leurs aînés, les présentant dans leurs loisirs mais également dans l’apprentissage de leur futur métier.

    Cette exposition pourra être présentée au public, en entreprise, en galerie ou lors d’événements maritimes dès 2022.

    Contact

    L’Œuvre du marin breton, tél. 02 98 44 06 00 ; courriel, amb@marinbreton.com

     
     
     
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  • Le nombre de personnes hospitalisées et en réanimation continue de baisser à l’hôpital de La Cavale-Blanche. Le nombre de personnes hospitalisées et en réanimation continue de baisser à l’hôpital de La Cavale-Blanche.

    Le nombre d’hospitalisations pour covid est en baisse pour l’hôpital de Brest et de Carhaix. Le taux d’incidence diminue globalement en Finistère. Enfin une bonne nouvelle en cette période de Noël ! Même si à Brest, le nombre de cas augmente légèrement.

    À l’hôpital de Brest et de Carhaix, le nombre de patients hospitalisés après des complications liées la covid est redescendu, ce jeudi 23 décembre, à 40, dont 24 à Carhaix, soit une quinzaine de moins que la semaine dernière. « Nous sommes clairement en phase de décrue du variant Delta », résume le professeur Éric Stindel, président de la commission médicale d’établissement du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Brest.

     Attention à la fiabilité des autotests

    Sur cette quarantaine de patients hospitalisés, six se trouvent en réanimation. Mais toujours pas de patients hospitalisés à cause du variant Omicron en Finistère, même si on s’attend à une vague de contaminations « éclair » dans les prochaines semaines, particulièrement après le brassage de population engendré par les fêtes. « Ce qui nous inquiète le plus, c’est le nombre de personnels de l’hôpital qui pourrait être touché par ce variant très contagieux et qui diminuerait les capacités de prise en charge des patients ».

    «Attention dans la région de Brest, la courbe continue d’augmenter. Le virus Delta continue d’y circuler plus qu’ailleurs dans le Finistère.»

    Attention aussi à la fiabilité des autotests qui peuvent parfois révéler des faux négatifs. Le port du masque reste plus recommandé à cause d’une transmission trois fois supérieure dans l’air (aérosols) du variant Omicron, pour le moment très peu présent en Bretagne.

    Le variant Delta circule en Finistère

    Concernant le taux d’incidence covid en Bretagne, il décroît légèrement de 301 la semaine dernière à 291 cette semaine (298 il y a quinze jours). Pour le Finistère, le taux est descendu de 235 il y a trois semaines, à 226 il a quinze jours et 220 cette semaine, ce qui confirme la baisse régulière de la tendance. Ce n’est malheureusement pas le cas pour Brest et sa région où le taux de 209, il y a deux semaines, est passé à 224 il y a une semaine et à 255 ce jeudi. « Attention dans la région de Brest, la courbe continue d’augmenter. Le virus Delta continue d’y circuler plus qu’ailleurs dans le Finistère ».

    Pas de rappel de soignants en congés

    Concernant les urgences adultes et pédiatriques, le pic d’activité de ces dernières semaines s’est estompé. Cette diminution de l’activité des urgences (jusqu’à 120 personnes par jour à La Cavale-Blanche et 60 en pédiatrie) et surtout la diminution du nombre d’hospitalisations ont permis d’éviter de rappeler du personnel soignant sur ses congés.

    Autre bonne nouvelle à Carhaix, le maintien de l’activité anesthésique avec des effectifs stabilisés et des activités maintenues en chirurgie et maternité.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Gourlizon. Environnement : la commune reconnue pour ses pratiques vertueuses  (OF.fr-23/12/21-14h33)L’année 2022 connaîtra de grands chantiers dont le déplacement de la mairie vers Ty Bras. 

    Au conseil municipal de Gourlizon (Finistère) du mercredi 15 décembre 2021, figuraient une convention voirie avec l’intercommunalité et l’éligibilité de la commune au prix « zéro phyto ».

    Peu de points à l’ordre du jour lors du dernier conseil municipal de Gourlizon (Finistère) en date du 15 décembre 2021.

    Le conseil a d’abord adopté la convention voirie avec la Communauté de communes du Haut-Pays bigouden (CCHPB). La compétence voirie a été transférée à l’intercommunalité depuis deux ans, celle-ci intervenant sur les routes d’intérêt communautaire (RIC). Cette compétence donne lieu à une convention, adoptée par le conseil communautaire le 14 décembre, et doit permettre de préserver les ressources financières du budget voirie de la CCHPB pour les consacrer à l’entretien et la durabilité des voies, et à la commune de pouvoir réaliser les aménagements complémentaires qu’elle souhaite sur le domaine public routier.

    Des pratiques vertueuses

    La charte « zéro phyto » a ensuite été adoptée à l’unanimité. Depuis la loi réglementant l’utilisation des produits phytosanitaires, la commune s’est lancée dans une démarche visant à s’interdire totalement leur usage. Ainsi, même le cimetière et les terrains de foot, éligibles à des dérogations, sont entretenus de manière naturelle, avec des solutions mécaniques et davantage de temps de personnel. Du fait de cette démarche exemplaire, la commune a candidaté au prix « zéro phyto », mis en place par la Région. Un audit des pratiques a eu lieu, et a conclu à l’éligibilité de la commune. Le syndicat d’aménagement et de gestion de l’eau Ouesco a apporté son accompagnement. Il en ressort que les pratiques vertueuses de la commune lui permettent de recevoir le prix, qui sera remis fin janvier.

    Enfin, le conseil s’est aussi manifesté contre la fermeture de l’Agence locale du Crédit Agricole de Plogastel-Saint-Germain. Le conseil affirme sa solidarité avec cette commune en soutenant la motion de vœu contre la fermeture de l’agence.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La gestion et l’exploitation du navire de recherches Océanographiques « BELGICA » est attribuée  à l’Armateur Français GENAVIR, filiale de l'IFREMER (morglaz-14/12/21)

    La gestion et l’exploitation du navire de recherches Océanographiques « BELGICA » est attribuée depuis quelques semaines après un appel d’offres à l’Armateur Français GENAVIR, filiale de l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (IFREMER).

    Une première en Europe ! Qui ne pourrait pas être satisfait de cette bonne nouvelle ?

    Tout marché remporté par la France dans le domaine Maritime ne peut que satisfaire l’Association MOR GLAZ qui défend la Mer, les Marins et les Activités Maritimes. Ces appels d’Offres qui ramènent trop souvent les conditions de travail des Salariés vers le bas afin d’obtenir des marchés, ce qui ne sera pas le cas cette fois pour les Marins mis à disposition par GENAVIR. Cependant la vigilance doit rester !

    Propriété de la Politique Scientifique Fédérale Belge (BELSPO) équivalent d’IFREMER en France, le navire de recherches Océanographiques « BELGICA » est désormais armé et opéré par GENAVIR. Ce principal Armateur de la Flotte Océanographique Française devient ainsi le premier Armateur Français  à gérer un navire sous pavillon Belge.

    Présenté de cette manière tout paraît très simple, très cocorico même, sauf que –« ce pavillon Belge, ressemble de très près à un pavillon bis appelé communément Pavillon Economique, qui peut parfois permettre une forme de complaisance. Ces Pavillons  pour l’Association MOR GLAZ permettent parfois de ne pas respecter toutes les règles Sociales que nous défendons au quotidien.

    Le navire « BELGICA » sous pavillon Belge est dorénavant géré par l’Armement Français GENAVIR, plus précisément  par une filiale, Océan Data qui embauche plusieurs Marins Lettons via une Société de Manning « Clyde Marine »  basée en Ecosse et via son bureau de Riga capitale de la Lettonie. L’Association MOR GLAZ cite souvent cet Armateur Français  pour son exemplarité, sur le maintien du Pavillon Français 1er Registre, arrêts techniques des navires parfois en France lorsque cela est possible Brest et Concarneau (d’autres font fi de cette option), une bonne gestion de la pandémie etc…. Non, ce n’est pas un plaidoyer pour GENAVIR, mais une constatation objective pour un Armateur Français !  

    Le BELGICA dispose de tous les équipements nécessaires à la réalisation des campagnes Scientifiques des zones polaires à la zone intertropicale.  Son terrain d’exploration couvre la Mer du Nord, bien au-delà du cercle polaire arctique, l’océan Atlantique en descendant jusqu’à l’Afrique de l’Ouest, la mer Méditerranée et à la Mer Noire. L’Etat Français devrait investir dans ce type de navire, l’Association MOR GLAZ le réclame depuis des années, -« investissons utile, faisons dès à présent les bons choix, ne soyons pas des spectateurs, prenons le cap, ce cap qui avait été défendu par le Président Emmanuel MACRON aux Assises de la Mer à Montpellier en 2019 » !  

    Ce navire de Recherches Océanographiques, de 71,40 mètres de longueur et de 16,80 mètres de large  sera armé d’un effectif constant peu importe les missions par 15/16 Marins sous le statut de navire auxiliaire de la Marine Belge et battra le pavillon correspondant. Commandant, Second Capitaine et Lieutenant : trois Officiers de la Marine Nationale Belge mis à disposition du BELSPO (équivalent de IFREMER) Chef Mécanicien, Second Mécanicien, Troisième Electronicien , Officiers GENAVIR,  Maître d’Equipage, Ouvrier Mécanicien, Maitre Electricien  GENAVIR ( que les Marins mis à disposition acceptent ces postes, ils seront par déduction  créateurs d’emplois chez GENAVIR) quatre Matelots, un Cuisinier, un Steward Lettons.

    Depuis plusieurs années, l’Association MOR GLAZ revendique une Flotte Française de Recherches Océanographiques plus importante, la Flotte de GENAVIR est performante et reconnue par les Scientifiques du Monde entier, elle doit se développer, elle doit entrer dans la Flotte stratégique pour des raisons évidentes et de bon sens. Notre avenir se trouve sur et dans les Mers et les Océans ! L’investissement de l’Etat Français doit-être rapidement réalisé, avec une visibilité sur du long terme concernant la Flotte de Recherches Océanographiques, et si  le prochain navire de   GENAVIR se nommait « FRANCE » ?

     

    Pour l’Association MOR GLAZ - Le Président Jean-Paul HELLEQUN

    source: https://morglaz.org/

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  • Bohars. Grève des agents : le conflit va prendre fin  (OF.fr-23/12/21-14h26)Photo d’illustration de la mairie de Bohars.

    Le mouvement de contestation des agents de Bohars (Finistère) va prendre fin. Un protocole d’accord a été signé entre le maire et les représentants syndicaux.

    Depuis la fin du mois de novembre, un conflit opposait la mairie de Bohars (Finistère) et les agents de la commune. Il portait sur l’organisation du temps de travail de ces derniers, contraints de travailler davantage pour rentrer dans les clous d’une loi, applicable en 2022.

    Les agents avaient commencé le 29 novembre 2021 un mouvement de grève qui a duré quinze jours et perturbé les services de cantine et de garderie.

    Mardi 21 décembre, dans l’après-midi, une solution a été trouvée, le maire et les représentants du personnel parvenant enfin à trouver un accord. Du côté des syndicats, on parle d’avancées « acceptables » : le maintien des jours d’ancienneté pour les titulaires, une compensation financière pour la perte des jours de ponts et une revalorisation des tickets repas.

    « Une bonne chose pour les parents »

    Échaudé par un conflit long, le syndicat Force Ouvrière prévient : « Nous serons vigilants sur l’application de ces engagements. »

    En début de semaine, l’issue du conflit paraissait encore lointaine. Armel Gourvil, le maire, se montrait confiant mais les représentants du personnel, eux, envisageaient bel et bien de reconduire le mouvement.

    Les négociations ont fini par aboutir et Armel Gourvil se félicite de la sortie de crise, même s’il attend encore son officialisation : « C’est une bonne chose pour les parents. »

    Mickaël LOUÉDEC.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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