• Vannes. Loi sur la sécurité globale : 250 personnes devant la préfecture
     

    Un rassemblement de protestation s’est tenu ce mardi 24 novembre au soir, à Vannes, contre la loi sur la sécurité globale.

    250 personnes étaient réunies ce mardi soir, 24 novembre, devant la préfecture de Vannes. Tambours, sifflets, banderoles… Tous étaient là pour faire entendre leur mécontentement face à la Loi sur la sécurité globale. Les mêmes organisations et associations appellent à manifester à nouveau samedi 28 novembre, à 15 h, esplanade du port.

     

    250 personnes étaient réunies ce mardi soir devant la préfecture de Vannes, pour protester contre la loi sur la sécurité globale.

     

    Qu’ils viennent de Questembert, Vannes ou Theix, ils sont nombreux à avoir répondu présent ce mardi 24 novembre devant la préfecture de Vannes.

    Sur les pancartes, tous affichent leur mécontentement.

    250 personnes sont réunis ce mardi soir devant la préfecture de Vannes. Tambours, sifflets, banderoles... tous sont là pour faire entendre leur mécontentement face à la Loi sur la sécurité globale.

     

     

     

     

    «Ne nuisons pas à l’équilibre psychologique des policiers, laissez-les nous taper sur la gueule» peut-on lire sur cette pancarte portée par une jeune femme. 

    Ferdinand, 30 ans, se dit très inquiet des mesures restrictives du gouvernement. "Si on veut continuer à pouvoir manifester librement, on doit se battre, sinon, cette loi risque de tout complique

     

     

     

     

     

     

     

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Un rassemblement se tient actuellement devant la préfecture de Vannes (Morbihan), ce mardi 24 novembre 2020, contre la loi de sécurité globale. Environ 200 personnes ont répondu à l’appel des syndicats.Un rassemblement se tient actuellement devant la préfecture de Vannes (Morbihan), ce mardi 24 novembre 2020, contre la loi de sécurité globale. Environ 200 personnes ont répondu à l’appel des syndicats.

    Un rassemblement se tient actuellement devant la préfecture de Vannes (Morbihan), ce mardi 24 novembre 2020, contre la loi de sécurité globale.

    Un rassemblement se tient actuellement devant la préfecture de Vannes (Morbihan), ce mardi 24 novembre 2020, contre la loi de sécurité globale. Environ 200 personnes ont répondu à l’appel des syndicats. 

    Environ 200 personnes ont répondu à l’appel des syndicats, tels que l’union locale de FO de Vannes, l’Union locale de la CGT du pays de Vannes, FSU 56, la ligue des droits de l’homme, Solidaires 56, Gilets Jaunes du Pays de Vannes, groupe libertaire René Lochu… Sur place, beaucoup de drapeaux de syndicats, et le tout en musique.

    Un rassemblement se tient actuellement devant la préfecture de Vannes (Morbihan), ce mardi 24 novembre 2020, contre la loi de sécurité globale. Environ 200 personnes ont répondu à l’appel des syndicats.

    Renaud Vibert, représentant syndical de la CGT, explique : « Cette manifestation s’inscrit dans le cadre de la mobilisation nationale. Il s’agit de dénoncer la loi de sécurité globale, on voit qu’il peut y avoir des dérives sécuritaires, d’où l’importance de se mobiliser. Un policier qui fait bien son travail n’a pas honte d’être filmé ».

    Les manifestants protestent contre cette loi qu’il juge « liberticide. Nous défendons la liberté́ d’information et celle de manifester ! Bien que le gouvernement ait délibérément maintenu ces débats parlementaires en pleine période de confinement, nous refusons d’être bâillonnés ».

    Ils dénoncent notamment l’article 24 de cette loi qui vise à empêcher à la population et aux journalistes de diffuser des images du visage de fonctionnaire de police ou de gendarmerie : « Le seul effet d’une telle disposition sera d’accroître le sentiment d’impunité́ des policiers violents et, ainsi, de multiplier les violences commises illégalement contre les manifestants ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La foule place Aristide-Briant.La foule place Aristide-Briant.

    Plus de 1 200 personnes de tous âges ont gentiment exprimé leur ferme opposition à la loi dite de sécurité globale, ce samedi à Lorient. Pas d’incident à déplorer.

    À « 60 ans et demi », c’était sa deuxième manifestation. Isabelle, « venue toute seule comme une grande » ce samedi dans le centre de Lorient, avait déjà participé à celle organisée après l’attentat à Charlie Hebdo. Cette fois, « je viens défendre les valeurs de liberté et déjà celle d’informer. Car en y touchant, on glisse vers plus d’autoritarisme. Et ça commence à me mettre en pétard ! »

    Azucena, secrétaire de la Ligue des Droits de l’Homme de Lorient, lors de la prise de paroles.

    « Si la liberté de la presse est primordiale, toutes les autres sont indispensables », a enchaîné Azucena, micro en main. Elle est la secrétaire d’un comité lorientais de la Ligue des Droits de l’Homme qui reprend du poil de la bête : c’est en effet lui qui a pris l’initiative de ce rassemblement. Avec Sophie, sa présidente, elle a harangué les 1 200 manifestants – un millier selon la police – d’un « On assassine la liberté ». Azucena a rappelé la succession de « lois scélérates » promulguées depuis 1835 ( !) puis improvisé en direction des très nombreux jeunes présents, les invitant « à reprendre le flambeau pour éclairer notre avenir ».

     

    Des pancartes et des slogans devant le commissariat

    « Non au retour de l’ORTF »

    Dans le cortège qui s’est ensuite formé, direction la sous-préfecture de Lorient, on pouvait lire « Le fascisme pointe », « Qui nous protège de la police ? » ou des slogans aux références très générationnelles puisqu’allant du « Non au retour de l’ORTF » à « Pas mal cet épisode de Black Mirror »

    Des slogans ironiques

     

    Un cortège auquel avaient pris part quantité de représentants de syndicats et de partis politiques, plutôt de gauche, mais aussi une poignée de gilets jaunes, des tenants du monde de la culture, de la santé… Et qui s’est scindé quai de Rohan dans une ambiance plutôt solennelle devant la sous-préfecture, plus festive devant le commissariat voisin. De part et d’autre, tout s’est terminé dans le calme.

    Yvan DUVIVIER et Catherine JAOUEN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Lors du fest-noz du Nouvel an 2019, à Caudan, qui réunit plusieurs centaines de danseurs.Lors du fest-noz du Nouvel an 2019, à Caudan, qui réunit plusieurs centaines de danseurs.

    Dans le Morbihan, les conséquences sont lourdes pour les finances des associations qui ont dû renoncer à leur rendez-vous phare. À Caudan, l’association Tarzh an Deiz a dû annuler son fest-noz de la Saint-Sylvestre, avec un manque à gagner important. À Pontivy, le club de football de La Garde Saint-Ivy (GSI) maintient ses immenses lotos prévus en mars 2021… pour l’instant.

    C’est l’un des trois grands festoù-noz de la Saint-Sylvestre de la région, avec Saint-Thégonnec et Quimper (Finistère). À Caudan (Morbihan), l’association organisatrice Tarzh an Deiz, œuvrant dans le champ de la culture bretonne depuis 1985, a dû annuler l’événement qui attire jusqu’à 1 500 danseurs, venant de partout. Par manque de permanents, la tâche est lourde et se complique lorsqu’il n’est pas possible de réunir ses troupes.

     

    « Des moyens pour conserver le lien »

    Ce fest-noz permet traditionnellement à l’association de remplir l’un de ses objectifs : l’aide au bilinguisme pour les enfants. Cela passe par le financement de classes vertes, de création d’outils et supports pédagogiques.  Avec la crise, ce sont les associations bénévoles qui vont souffrir , assure le président, Philippe Guéguen, estimant qu’il « faut trouver les moyens de conserver le lien. 

     

    Tarzh an Deiz, qui n’a pas de subventions publiques, a besoin d’être visible du grand public afin de défendre une culture bretonne qui n’est pas tout le temps considérée.  Il faut profiter de ce temps de confinement pour repenser le monde associatif.  Philippe Guéguen a bien des idées pour alléger les charges administratives qui pèsent sur les associations. Il pense à la mutualisation de postes (trésorerie, secrétariat, communication). Est-ce que les municipalités n’ont pas un rôle à jouer en créant des postes qui oxygéneraient la vie associative ? , se demande-t-il.

     

    « Grosse manne financière »

    À une cinquantaine de kilomètres de Caudan, à Pontivy, dans le Centre-Bretagne, le club de football de la GSI ( La Garde Saint-Ivy) a pris la décision inverse : il maintient ses immenses lotos. Les organisateurs espèrent que le calendrier plus tardif – les événements sont prévus les dimanches 21 et 28 mars – jouera en leur faveur.

     

    Mais Claude Podevin, président des supporters et membre du comité directeur de la GSI, le concède :  On est dans le flou. On sera fixé dans quelques semaines. Les fêtes de fin d’année vont être déterminantes pour notre année 2021 , dit-il en évoquant du bout des lèvres l’hypothèse qu’il ne veut pas voir venir, celle  d’un troisième confinement . Car la GSI a besoin de ses lotos. Autant pour satisfaire les amoureux de ce rendez-vous qui rassemble jusqu’à 3 500 personnes et qui doit même refuser des inscriptions, que pour le budget du club.

    En 2019, le loto de la GSI avait réuni plus de 3 500 personnes.

     

    Les lotos  sont une grosse manne financière, ne cache pas Claude Podevin. C’est le loto qui a permis, il y a quelques années, d’acheter les deux minibus de la GSI. Le club des supporters, même s’il n’y a pas que le loto, c’est 15 % du budget de fonctionnement du club

    Aurélie DUPUY et Loïc TISSOT                    

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les représentants CGT du personnel dénoncent le manque de transparence autour du dossier de refonte du site du groupe Renault.Les représentants CGT du personnel dénoncent le manque de transparence autour du dossier de refonte du site du groupe Renault.

    Les représentants CGT du personnel dénoncent le secret qui entoure la refonte du site industriel ancré à Caudan (Morbihan). Et pourraient entrer à nouveau dans l’action.

    « On nous cache tout, on ne nous dit rien », chantait jadis Jacques Dutronc. Un refrain entêtant qui colle aujourd’hui à la réalité vécue par les personnels de la Fonderie de Bretagne à Caudan (Morbihan). Ici, le site industriel fabrique et usine des pièces automobiles pour le groupe Renault. Un plan de relance est en marche. Mais le syndicat CGT voudrait y voir un peu plus clair. « L’entreprise ne serait plus compétitive nous dit-on, relate Maël Le Goff. L’usinage et le noyautage seraient obsolètes alors que le rendement du moulage serait bon. On se dirigerait donc vers de la fonderie pure alors que l’on pourrait apporter de la valeur ajoutée aux autres activités du site ».

    Une usine coupée en deux ?

    Résultat des courses ? Une usine qui pourrait, à moyen terme, être « compactée ». « Nous savons, dénonce la CGT, que deux entreprises sont déjà sur les rangs pour occuper l’équivalent de la moitié, soit environ 8 hectares, de la surface actuelle : XSEA qui y aménagerait une ferme photovoltaïque et le groupe La Poste, intéressé par un accès au rail et à la voie express ». 

    Voilà ce qui pourrait se dessiner dans les prochains mois, d’ici la fin programmée (fin février 2021) des revues stratégiques qui réunissent le groupe Renault, les élus de la Région et du pays de Lorient.

    « Nous savons, dénonce la CGT, que deux entreprises sont déjà sur les rangs pour occuper l’équivalent de la moitié, soit environ 8 hectares, de la surface actuelle : XSEA qui y aménagerait une ferme photovoltaïque et le groupe La Poste, intéressé par un accès au rail et à la voie express ». 

    Manque de transparence

    La CGT, là aussi, dénonce « le manque de transparence » dans le dossier. « Les pouvoirs publics sont forcément au courant, mais on ne nous dit rien. Nous pensons que Renault a la mainmise sur les élus dont le silence est pesant. Le groupe n’hésitera pas à les solliciter financièrement quand il s’agira de procéder au compactage du site. Tout cela se chiffrera en millions d’euros ».

    En cette fin d’année 2020, il règne donc à la Fonderie, un climat mêlé d’amertume et d’incertitude. « Nous regrettons les effets d’annonce faites au lendemain du premier confinement comme le projet de relocalisation de la production de pièces automobiles. On en est loin. Ce que nous observons ce ne sont pas encore des suppressions d’emploi mais des démissions. Renault engendre sciemment du découragement et ça fonctionne… »

    La CGT en appelle aujourd’hui à la « prise de position des élus locaux. S’il le faut, nous interpellerons Jean-Yves Le Drian. Il est certainement très au fait de la situation ».

    Pierre WADOUX. 

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

     

    À LIRE ÉGALEMENT

    Caudan. Quels sont les plans de Renault pour la Fonderie de Bretagne 

    Morbihan. Fonderie de Bretagne : le député doute de « la fibre patriotique » du groupe Renault

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  • Philippe Le Boulch, Émilie Boulch et Magali Erard, élus CGT au comité social et économique de l’aéroport civil de Lorient Bretagne-Sud.Philippe Le Boulch, Émilie Boulch et Magali Erard, élus CGT au comité social et économique de l’aéroport civil de Lorient Bretagne-Sud.

    Le dossier de l’aéroport civil de Lorient Bretagne-Sud est brûlant. Les élus CGT demandent l’annulation du dernier comité social et économique pour vice de procédure.

    Pourquoi une telle précipitation ? Les élus CGT, défendant les intérêts des salariés de l’aéroport civil de Lorient Bretagne-Sud, posent la question. Ils dénoncent ainsi le plan de licenciement dessiné en trois semaines, qui concerne 18 des 24 salariés.

    Ils ont d’ores et déjà envoyé un courrier à la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) de Lorient, afin qu’elle annule le dernier comité social et économique, en date du 16 novembre, pour vice de procédure. « Nous n’avons pas reçu les documents préparatoires, qui doivent être fournis trois jours avant la tenue du CSE. Par ailleurs, nous avons été mis devant le fait accompli, avec un procès-verbal prérempli, sans que nous puissions consulter les collègues », expliquent collégialement Philippe Le Boulch, Émilie Boulch et Magali Erard.

     

    Préavis de grève à partir du 30 novembre

    Ils ont par ailleurs le sentiment d’avoir été piégés. En signant à la va-vite un PV en fin de séance, c’est comme si « nous avions signé pour la CCI la fin de la négociation pour le plan de licenciement ».

     

    Sur le délai de dix-huit mois « de promesses de réembauche » par un futur concessionnaire de l’aéroport, ils pensent que c’est bien court, prévoyant que toute restructuration prendra un temps plus long.

    À la lecture d’Ouest-France, relatant le conseil municipal, ils estiment que le maire, la direction de la CCI et la sous-préfecture savent « communiquer entre eux les pièces du dossier », quant à leur demande, ils n’arrivent pas à obtenir de table ronde sur le sujet.

    La suspension du plan de licenciement est ainsi sollicitée. La Direccte a jusqu’au 27 novembre pour se positionner sur le vice de procédure. D’ores et déjà, pour une période partant du lundi 30 novembre, un préavis de grève illimitée est déposé.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Ce mardi 17 novembre 2020, plus d’une trentaine de sapeurs-pompiers professionnels de la caserne de Vannes ont débrayé devant leur centre de secours entre 8 h 30 et 9 h 30 pour pointer du doigt leur surcotisation.Ce mardi 17 novembre 2020, plus d’une trentaine de sapeurs-pompiers professionnels de la caserne de Vannes ont débrayé devant leur centre de secours entre 8 h 30 et 9 h 30 pour pointer du doigt leur surcotisation.

    C’est un mouvement national auquel six centres de secours et d’incendie du Morbihan ont répondu ce mardi 17 novembre 2020, à 8 h 30. À Vannes, une trentaine de sapeurs-pompiers ont débrayé une heure pour réclamer la fin de leur surcotisation, mais aussi rappeler à la direction qu’ils surveillent l’étude capacitaire en cours comme le lait sur le feu.

    Les pompiers professionnels voient rouge. Au point de se mobiliser, ce mardi, pour dénoncer une « injustice » visible sur leur bulletin de paie. Ils ont débrayé entre 8 h 30 et 9 h 30 à l’appel de la CGT et FO dans six centres d’incendie et de secours du Morbihan pour réclamer la fin de la surcotisation prime de feu. À savoir, Vannes, Lorient, Hennebont, Ploemeur, Ploërmel et Pontivy

    À Vannes, plus d’une trentaine d’entre eux a répondu présent pour dénoncer cette ancienne mesure. « Celle-ci a été mise en place en 1991 afin que la prime de feu soit intégrée dans nos retraites, même pour ceux qui n’avaient pas cotisé avant », expliquent Yann Hillion et Jérôme Presse, représentants syndicaux de la CGT à Vannes. Cette surcotisation salariale et patronale aurait dû s’arrêter en 2003 selon leur calcul.

    Un manque d’équité

    Le hic ? Elle n’a jamais été supprimée. « La partie patronale l’a été tout récemment, mais nous, on continue de payer. » Ce qui n’est pas du goût de ces pompiers professionnels. Ils pointent du doigt un manque d’équité. « C’est une question de principe face à une injustice qui perdure depuis 2003. Et là, la part patronale vient d’être supprimée ! Pourquoi continuer de prélever la part salariale ? »

     

    Même incompréhension au syndicat Force ouvrière. « Les sapeurs-pompiers ont l’impression d’être un laboratoire. Et notre bulletin de paie est une éprouvette. On expérimente en retirant seulement la cotisation patronale. Il y a un manque l’équité », explique Sylvain Masson du syndicat.

     
    Mobilisation des sapeurs-pompiers professionnels à Pontivy ce mardi 17 novembre 2020. 
     

    Une inégalité que les sénateurs semblent avoir entendue. Un amendement a été validé la semaine dernière par les parlementaires. Ce mardi, c’était au tour des députés d’acter la fin de la surcotisation pour les pompiers.

    Mobilisation des sapeurs-pompiers professionnels à Ploemeur ce mardi 17 novembre 2020 pour dénoncer la surcotisation. 

    Raviver les flammes

    A Vannes, les affichent dénonçant cette ancienne mesure côtoyaient celles de l’étude capacitaire. Après un violent bras de fer de six mois, entre mars et septembre 2019, pompiers professionnels et direction du Service d’incendie et de secours du Morbihan avaient enterré la hache de guerre. Le lancement d’une étude capacitaire avait scellé l’accord. « On en profite pour faire une piqûre de rappel à la direction », précisent les représentants syndicaux de la CGT.

     

    Mobilisation des sapeurs-pompiers professionnels à Ploërmel ce mardi 17 novembre 2020. 
     

    Surveillée comme le lait sur le feu, cette étude ne se passerait pas comme prévu. « Ça ne donne rien. On nous annonce d’emblée qu’elle sera à budget et effectif constant, avec un arbitrage de la direction dès les premières réunions », confient ces représentants. De quoi raviver de nouveau les flammes. « On a du monde mobilisé et mobilisable dans les centres de secours et si le mouvement doit repartir, il repartira. »

    De son côté, le président du Sdis du Morbihan Gilles Dufeigneux estime qu’il ne faut pas «faire d’amalgame» entre ce débrayage qui « avait comme sujet une question salariale, qui dépend de l’Etat» et l’étude capacitaire. «C’est un sujet complexe, interne et en cours [...] Je ne commenterai pas son évolution.»

    Il assure que «tout est à ce stade respecté, sur la forme et le calendrier. Certains auront intérêt à troubler ce travail sérieux et collectif. Je ne peux que prôner la plus grande prudence sur le sujet. Une fois le processus achevé, des propositions seront faites à l’exécutif qui décidera des suites à donner. Alors, les uns et les autres pourront juger.»

     

     

    Mélanie BÉCOGNÉE

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Naval Group a recruté 400 apprentis depuis le début de l’année.Naval Group a recruté 400 apprentis depuis le début de l’année. 

    L’alternance pérennise les compétences de pointe de Naval Group, à Lorient (Morbihan), en particulier au sein des métiers de conception et de production.

    En dépit de la crise sanitaire, Naval Group a recruté plus d’apprentis en 2020 que les années précédentes. : 400 contre 350 en 2019. Et cette 400e apprentie intervient sur le site de Lorient (Morbihan).

    « J’aime travailler de mes mains »

    Laëtitia Guégan a rejoint le département Production et Composites le 20 octobre 2020. Âgée de 40 ans, elle a entamé une démarche de reconversion professionnelle en 2019, après des expériences variées. « Je souhaitais me diriger vers une activité manuelle, car j’aime travailler de mes mains. Après beaucoup de recherches et de réflexions, j’ai choisi le milieu du composite. J’ai suivi une formation de mouleur des matériaux composite et j’ai rapidement su que j’avais fait le bon choix ! », explique-t-elle.

    « J’ai trouvé un métier concret »

    Après s’être formée à l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa), elle souhaitait se perfectionner. L’alternance lui a semblé une option intéressante : « J’ai trouvé à Naval Group un métier concret qui demande de la polyvalence et l’aspect humain avec le travail en équipe. Chaque semaine, je rejoins une équipe différente. »

    Pour anticiper les besoins de demain, « il est nécessaire de former dès aujourd’hui de futurs collaborateurs. Certains métiers sont en tension, par exemple les charpentiers-tôliers, les soudeurs de coque ou les tuyauteurs, les électroniciens ou encore les chargés de cybersécurité ».

     

    source:  https://www.ouest-france.fr/

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  • Bob Le Fannic, Eric Bienfait, Laurence Rouillon, Jean-Louis Massebœuf et Alain Guichard ont été reçus, ce mardi 17 novembre 2020, à la sous-préfecture de Lorient.Bob Le Fannic, Eric Bienfait, Laurence Rouillon, Jean-Louis Massebœuf et Alain Guichard ont été reçus, ce mardi 17 novembre 2020, à la sous-préfecture de Lorient. 

    Ce mardi 17 novembre 2020, la CGT, FSU, FGR Fonction publique, Solidaires, FO et LSR appelaient à une journée d’action. Confinement oblige, les représentants ont été reçus à la sous-préfecture de Lorient (Morbihan).

    Ce mardi 17 novembre 2020, cinq représentants des six syndicats appelant à se mobiliser ont été reçus à la sous-préfecture de Lorient (Morbihan). « Nous portons les revendications des retraités, expliquent-ils. Et nous demandons d’abord une revalorisation immédiate de nos retraites d’au moins 100 €. » Leurs calculs font état d’une perte de 20 à 25 % de leur pouvoir d’achat au fil des années.

    Financement de la perte d’autonomie

    L’autre cheval de bataille et non des moindres, le financement de la perte d’autonomie. « Le projet du gouvernement est très inquiétant. C’est la plus mauvaise réponse : créer une cinquième branche et la financer par la caisse nationale de solidarité et de l’autonomie, que seuls les retraités alimentent. »

    Principe de solidarité

    Cela revient à détricoter le système sur lequel est basée la Sécurité sociale, le principe de solidarité intergénérationnelle, dénoncent les militants. « On marche sur la tête, la Sécurité sociale est un pilier de notre société. Si la France a tenu face à ces nombreuses crises, c’est grâce à elle. La perte d’autonomie ne concerne pas que les retraités, elle peut toucher à tout âge. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Mouvement de grève chez les pompiers professionnels de Lorient ce mardi 17 novembre 2020 pour dénoncer la surcotisation de leur prime de feu. Une heure de mobilisation sur le rond-point devant la caserne à Kervaric.Mouvement de grève chez les pompiers professionnels de Lorient ce mardi 17 novembre 2020 pour dénoncer la surcotisation de leur prime de feu. Une heure de mobilisation sur le rond-point devant la caserne à Kervaric.

    Près d’une quarantaine de pompiers professionnels ont manifesté leur ras-le-bol ce mardi matin 17 novembre 2020, en manifestant une heure devant le centre de secours. En cause : une surcotisation pour les retraites, qui aurait dû disparaître en… 2003.

    « Calmes mais déterminés. » C’est l’état d’esprit des pompiers professionnels de Lorient qui ont manifesté pendant une heure, de 8 h 30 à 9 h 30, ce mardi matin 17 novembre 2020, devant le centre de secours, au rond-point de Kervaric. Ils étaient près d’une quarantaine arborant le macaron « en grève » sous la bannière de la CGT.

     
     

    « C’est scandaleux ! »

    La raison de leur colère ? Une surcotisation pour les retraites qui aurait dû ne plus exister depuis… 2003. « Quand elle a été instituée en 1991, explique un pompier de la CGT, c’était pour financer un plus de la retraite des anciens. Ça devait être réglé en 2003. Mais voilà, ça fait dix-sept ans qu’elle est maintenue. Et l’on a appris à la rentrée que la surcotisation patronale, elle, avait été supprimée. En résumé, on autofinance nos retraites. C’est scandaleux ! »

    Mouvement de grève chez les pompiers professionnels de Lorient ce mardi 17 novembre 2020 pour dénoncer la surcotisation de leur prime de feu. Une heure de mobilisation sur le rond-point devant la caserne à Kervaric. 

    Banderole et fumigène

    Fumigènes, banderole apposée sur le grillage du centre de secours demandant la « fin de la surcotisation », voitures qui klaxonnent en soutien au mouvement. La mobilisation de ce mardi matin se veut une première alerte. « Si ça ne bouge pas, ce n’est pas deux fumigènes qu’on allumera », prévient un autre pompier professionnel.

    Mouvement de grève chez les pompiers professionnels de Lorient ce mardi 17 novembre 2020 pour dénoncer la surcotisation de leur prime de feu. Une heure de mobilisation sur le rond-point devant la caserne à Kervaric.

    Et la question des effectifs ?

    Le centre de secours de Lorient emploie 75 pompiers professionnels et fait appel à une cinquantaine de pompiers volontaires. La question des effectifs pros, qui fut l’objet de mouvements il y a un an et demi, pourrait aussi revenir sur la table, à l’aune d’une étude en cours qui ne semble pas satisfaire du tout les hommes du feu.

    Charles JOSSE

    source: https://www.ouest-france.fr/

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