• Jean Lassalle est monté à bord du Bara Bihan de l’Armement bigouden, aux côtés du directeur Christophe Collin et du candidat Jacques Tanguy.Jean Lassalle est monté à bord du Bara Bihan de l’Armement bigouden, aux côtés du directeur Christophe Collin et du candidat Jacques Tanguy. 

    L’ex-candidat à la présidentielle Jean Lassalle a fait escale au Guilvinec, ce mardi après-midi, pour soutenir Jacques Tanguy, son candidat aux législatives dans la 7e circonscription du Finistère, et être à l’écoute des acteurs de la filière pêche.

    « La pêche est un des éléments qui caractérise la France. Ce sont des métiers ou plutôt des vocations qui ont fait la France. Malheureusement, toutes ces grandes filières sont un peu à la peine. Il faut en chercher la cause », a expliqué Jean Lassalle, en déplacement, ce mardi après-midi, au Guilvinec pour soutenir Jacques Tanguy, candidat du mouvement Résistons ! dans la 7e circonscription. « L’ADN de Résistons ! est de créer une France authentique. C’est la première fois que nous avons des candidats sur l’ensemble de la France », a ajouté l’ex-candidat à la présidentielle, qui a décidé de ne pas se présenter aux législatives.

    « Castex nous avait promis des aides mais elles ne sont que partielles, 15 centimes par litre au lieu de 35 centimes. Avec onze chalutiers de 24 mètres, on a la même aide qu’un bateau de 10-12 mètres »

    À l’écoute des problématiques de la pêche

    Jean Lassalle a fait halte à l’Armement bigouden où Christophe Collin, le directeur, lui a fait part des problématiques liées au Brexit, aux difficultés de recrutement mais surtout au prix du gasoil. « Castex nous avait promis des aides mais elles ne sont que partielles, 15 centimes par litre au lieu de 35 centimes. Avec onze chalutiers de 24 mètres, on a la même aide qu’un bateau de 10-12 mètres », décrit l’armateur. « Actuellement, pour faire la paye des marins, on avance les 20 centimes qu’on nous a promis. Cela représente 85 000 € en avril », déplore-t-il.

    Photo souvenir avec Mélanie Blaise, élève au lycée maritime du Guilvinec en BTS pêche et gestion de l'environnement maritime.Photo souvenir avec Mélanie Blaise, élève au lycée maritime du Guilvinec en BTS pêche et gestion de l’environnement maritime.

    Autre sujet mis sur la table par Christophe Collin, la question des quotas de pêche, notamment de la sole, trop restrictifs. « C’est une espèce qui se vend sous criée 20 à 25 € le kilo. Il y en a partout et on nous demande de la remettre par-dessus bord. C’est du gâchis ! » regrette-t-il. Même chose pour le pocheteau, une espèce de raie, interdite de pêche. « Cela fait plus de cinq ans qu’on demande une étude pour la remettre sur le marché », tempête le professionnel.

    Égal à lui-même

    Puis, il est temps de rejoindre les quais, où les équipages de côtiers ont commencé à débarquer pour la vente sous criée du soir. Le député béarnais prend visiblement plaisir à échanger avec les plus jeunes, comme cette élève du lycée maritime croisée devant le Bara Bihan qu’il encourage à persévérer dans sa voie ou les marins ravis de le saluer ou de faire un selfie avec la star du jour. Sur le belvédère, les vacanciers se pressent pour assister au spectacle. La silhouette de Jean Lassalle ne passe pas inaperçue, sa faconde non plus. « Je viens d’être nommé haut commissaire à la relance de la pêche », leur lance-t-il avec humour, égal à lui-même.?

     

    Delphine TANGUY

    source: https://www.letelegramme.fr

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  • Près de 350 personnes issues du secteur médico-social public et travaillant plutôt dans le sud du département étaient réunies ce mardi matin devant le Conseil départemental à Quimper. Près de 350 personnes issues du secteur médico-social public et travaillant plutôt dans le sud du département étaient réunies ce mardi matin devant le Conseil départemental à Quimper. 

    Le secteur médico-social a manifesté ce mardi à Quimper à l’appel de la CGT et Sud. Prime Ségur pour tous, rattrapage salarial. Il est aussi et surtout question de la perte de sens dans ces métiers. Et de l’effet de répulsion consécutif, dégradant encore le fonctionnement des services.

    Témoignages.

    « Ces enfants ont, au contraire, besoin de plus d’attention ». Une croix de bois noire façon sépulture, sur laquelle sont écrits les mots « Protection de l’enfance - moniteur éducateur ». Valérie, monitrice éducatrice depuis 2004 pour la fondation Massé-Trévidy va aller la planter devant le conseil départemental pour qu’elle soit vue. Son service, c’est un foyer accueillant des enfants âgés de 13 à 18 ans. Notamment des jeunes en rupture, placés par l’aide sociale à l’enfance, pris en charge de A à Z, 24 heures sur 24. Elle dit recevoir un salaire de 1 800 € nets, prime du dimanche comprises.


    Manif médico-social QuimperDes croix noires façon sépulture... 

    « Nous accueillons des enfants qui sont de plus en plus jeunes et souvent, de plus en plus troublés. C’est-à-dire des enfants qui auraient prioritairement besoin de soins médicaux. Or nous n’avons pas de moyens supplémentaires pour nous occuper d’eux comme il se devrait. Nous devons en plus veiller à ce qu’ils ne soient pas maltraitants avec les autres. Et, accessoirement, nous protéger - nous - dans la durée », expose calmement la quadragénaire. « Je passe de plus en plus de temps dans mon bureau sur des tâches administratives, au détriment de l’accompagnement des jeunes sur le terrain. Ce qui me fait peur c’est qu’à 18 ans, ces enfants sont lâchés par notre service. Mais ils ne vont pas souvent mieux. C’est quoi le sens de mon métier ? »

    « On fait ce boulot pour aider les gens. Si on en est empêchés, ça n’a plus de sens ». Dans le service de prévention de l’aide social du Département, Sandrine* est au nombre de celles et ceux qui sont alertés par des parents, des assistantes sociales, des acteurs du secteur scolaire de situation difficile. « Nous écoutons les gens dans un cadre amiable pour trouver des solutions en les orientant et les accompagnant vers les bons interlocuteurs. Quand je me retrouve seule là où il n’y a que deux postes alors qu’il en faudrait trois, évidemment je priorise. Je n’agis plus que sur les urgences. Mais ça n’est pas tenable de passer des dossiers à la trappe. Des familles qui ne se manifestent plus, ça n’est pas forcément bon signe », explique la trentenaire.

    Oui, il faut rendre les postes plus attractifs. Peut-être aussi en travaillant à ne pas dégoûter trop vite ceux qui s’y investissent souvent avec l’envie d’aider les autres, plus que de devenir riches

    « Les situations ne sont pas les mêmes en milieu urbain qu’en milieu rural où il faut sans doute plus de temps et de moyens pour bien accompagner les gens. Rien que sur le plan logistique », dit-elle, persuadée qu’une seule réponse par la revalorisation n’est pas satisfaisante. « Oui, il faut rendre les postes plus attractifs. Peut -être aussi en travaillant à ne pas dégoûter trop vite ceux qui s’y investissent souvent avec l’envie d’aider les autres, plus que de devenir riches ».

    Manif médico-social QuimperDevant le conseil départemental, ce mardi en fin de matinée. (Le Télégramme/Olivier Scaglia)

    « Le nombre d’enfants en difficulté augmente, dans les campagnes comme en ville ». En blouse blanche devant le Conseil départemental, ce groupe de soignants du service de la Protection maternelle et infantile (PMI) parle d’une même voix : « Rien n’est fait pour rendre les métiers de médecin ou puéricultrice attractifs. On est confrontés à des renoncements compréhensibles ?», estiment ces soignants, évaluant à un tiers le nombre de postes de médecin vacants dans les services d’aide sociale du Département.

    Comment voulez-vous que j’arrive à dire ‘’non’’ aux gens qui me sollicitent ? On prend sur nous et on finit par craquer.

    « Pourtant, on voit des familles en grande difficulté et pour lesquelles la PMI est le seul levier ». Alors, pour faire la soudure a minima, plusieurs des interlocuteurs disent régulièrement travailler sur leur temps perso : « Comment voulez-vous que j’arrive à dire ‘’non’’ aux gens qui me sollicitent ? », témoigne cette puéricultrice. « Les gens prennent sur eux et finissent par craquer ».

    « Nous n’avons plus le temps d’accueillir les gens en binôme médecin/puéricultrice alors que c’est justement la ligne de la PMI de prendre le temps, d’accompagner les enfants et parents ! », déplorent ces soignants, pointant aussi la question du sens.

    Des acteurs du médico-social ont dit leur ras-le-bol, mardi dans le centre de Quimper. Notamment devant le Conseil départemental et la préfecture.Des acteurs du médico-social ont dit leur ras-le-bol, mardi dans le centre de Quimper. Notamment devant le Conseil départemental et la préfecture.

    * Le prénom a été modifié pour préserver l’anonymat du témoin, à sa demande.

     

    Olivier SCAGLIA

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Brest. À l’hôpital Morvan, des agents de nettoyage usés d’être rappelés sur leurs congés. ( OF.fr - 30/05/22 - 17h15 )              Lundi 30 mai 2022, cinq ASH ont débrayé à l’appel de la CGT. « Il y a beaucoup d’arrêts maladie mais ils ne sont pas remplacés ».

    En 2021, dans cette équipe de bio-nettoyage du CHRU de Brest-Carhaix, 279 jours d’absences auraient été recensés, et 207 non remplacés ! Lundi 30 mai, les agents de service hospitalier (ASH) ont débrayé pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail.

    « On nous appelle sur nos repos, et même sur nos congés annuels ! » proteste Nathalie, agente de service hospitalier (ASH) dans l’équipe centralisée de bio-nettoyage du pôle Femme-mère-enfant de l’hôpital Morvan, à Brest (Finistère). Elle a vécu la situation récemment. « Il y avait trois arrêts de travail dans l’équipe, la même semaine. On m’a rappelé sur mes vacances… »

    Nathalie fait partie des 12 ASH (dont dix titulaires) de cette équipe dédiée de bio-nettoyage de Morvan. Lundi 30 mai 2022, cinq ASH ont débrayé à l’appel de la CGT. Toutes sont des femmes. Elles dénoncent des « conditions de travail dégradées depuis deux ans et une surcharge de travail ».

    « Se remplacer elles-mêmes »

    Selon Gaëtan Dujarrier, de la CGT, « il y a beaucoup d’arrêts maladie mais ils ne sont pas remplacés ». Il précise : « En 2021, 279 jours d’absences pour maladie ordinaire ont été recensés, et 207 non remplacés. Soit 23 jours en moyenne par mois ! ». Cette équipe n’est pas intégrée à un pôle de remplacements. « Elles sont obligées de se remplacer elles-mêmes ! »

    Pourtant, si besoin, les ASH de l’équipe disent aller dépanner ceux des autres services, notamment en réanimation néonatale et maternité. Sauf que l’inverse ne serait pas vrai. « Personne ne vient nous aider ! »

    Les agents de cette équipe centralisée travaillent douze heures par jour, de 8 h 30 à 20 h 30. « Un choix de notre part », précise Nathalie. Leur rôle consiste principalement à nettoyer et désinfecter les locaux et les chambres, mais il ne se limite pas à ces tâches.

    « Régulièrement, on nous demande d’aller amener des jeunes patients en chimiothérapie, au bloc opératoire ou faire une radio ; ou d’apporter des prises de sang au « bilan », d’aller à la pharmacie, etc. On doit faire la navette, explique Nathalie. Sauf que ça oblige à arrêter le nettoyage commencé, même s’il n’est pas fini ! »

    « On nous met la pression »

    Isabelle, qui travaille depuis 22 ans au CHU de Brest, déplore : « On nous met la pression ! Il faut être partout ! On doit répondre à la minute ! » Florence, depuis 28 ans au CHU de Brest, dénonce le « mépris », le « manque de reconnaissance ». L’une a « craqué » et a fait un « burn-out », un épuisement professionnel.

    Les grévistes demandent au minimum la « création d’un poste d’ASH supplémentaire ». Elles veulent aussi « intégrer le pôle de remplacements ».

    Les troubles musculosquelettiques (TMS) et les risques psychosociaux (RPS) seraient élevés dans cette équipe dédiée au nettoyage. La CGT revendique un « véritable plan d’action de lutte » afin d’améliorer les conditions de travail. Un ergonome, spécialisé dans la prévention des accidents et à l’amélioration des conditions de travail, pour y participer. Il doit être recruté prochainement dans le cadre de l’accord signé récemment par la direction du CHRU et les syndicats, qui prévoit la création de 35 postes.

    « C’est un métier physique », assurent les agentes qui souhaiteraient aussi que le matériel soit changé. Certains chariots seraient lourds à manier.

    Jeudi prochain, une réunion de CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) doit évoquer ces difficultés.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laurence Guilmo

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  • Brest. Un rassemblement pour le droit à l’avortement, en soutien aux femmes américaines, mardi. ( OF.fr - 29/05/22 - 14h58 )                Une manifestation « pro avortement » à Washington, le 14 mai 2022.

    ​Le planning familial de Brest (Finistère) donne rendez-vous mardi 31 mai 2022, à 18 h place de la Liberté, pour rappeler le droit à l’interruption volontaire de grossesse.

    Le planning familial de Brest organise un rassemblement en faveur du droit à l’avortement, mardi 31 mai 2022, à 18 h place de la Liberté. Cet événement vise notamment à soutenir les femmes américaines, dont le droit à l’avortement est remis en cause par la Cours suprême des États-Unis ces dernières semaines. L’IVG y est pourtant légale depuis 1973. « Nous dénonçons la remise en cause des droits fondamentaux des femmes et la collusion entre les conservateurs, les extrêmes droites et les pouvoirs religieux. Ce projet de loi vise à contrôler le corps et les droits des femmes ! », écrit le planning familial de Brest.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Les agents des services hospitaliers du pôle femme mère enfant ont débrayé ce lundi matin à l'hôpital Morvan.Les agents des services hospitaliers du pôle femme mère enfant ont débrayé ce lundi matin à l'hôpital Morvan. 

    Les agents des services hospitaliers du pôle femme, mère, enfant du CHRU de Brest ont débrayé ce lundi, épuisées d’être rappelées sur leurs congés.

    « Régulièrement, nous sommes appelées pour remplacer une collègue agent des services hospitaliers (ASH) en arrêt maladie, on ne peut pas partir sereines en congés annuels, parce que l’on sait que l’on peut être sollicitées à tout moment au pied levé sans pouvoir refuser. On doit s’autoremplacer sans avoir d’aide de l’extérieur », détaillent Nathalie, Florence et Isabelle, ASH dans le pôle femme, mère, enfant du CHRU de Brest, à l’hôpital Morvan.

    « 23 jours par mois non remplacés »

    Toutes trois totalisent entre dix-huit et vingt-huit ans de travail dans l’établissement et se disent épuisées par leurs conditions de travail actuelles. Elles n’avaient pas débrayé depuis 2014, mais pour elles, aujourd’hui, la coupe est pleine. Au quotidien, auprès des enfants hospitalisés, elles assurent le bionettoyage des chambres, en unité médicale de chirurgie pédiatrique, en réanimation, en néonatalogie, en oncopédiatrie, et elles accompagnent les petits patients vers leurs chimiothérapies. Les troubles musculosquelettiques (TMS) sont fréquents pour ces agents.

    « En 2021, les ASH de ce pôle ont totalisé 279 jours d’absence pour maladie ordinaire et 207 n’ont pas été remplacés, soit 23 jours en moyenne par mois », note Gaëtan Dujarrier, de la CGT, syndicat qui avait appelé à débrayer ce lundi.

    Une embauche d’ASH revendiquée

    L’équipe d’ASH comprend dix titulaires et deux CDD et leur travail, de jour uniquement, s’organise sur douze heures. « Nous avons trente minutes de pause pour déjeuner à midi, mais même à ce moment-là on peut être sollicitées pour une course ou pour un nettoyage de chambre. Nous avons chacune un téléphone pour être joignables à tout moment et intervenir dans l’un des services qui sont répartis sur trois étages », témoignent les ASH, qui revendiquent l’embauche d’une ASH supplémentaire, une meilleure compensation de l’absentéisme et du matériel plus récent. « Lorsqu’un enfant sort d’hospitalisation, il faut intervenir très vite pour nettoyer la chambre qui va recevoir un nouveau patient. Nous n’avons pas d’autonomie dans l’organisation de notre travail et nous ne sommes pas considérées », regrettent les grévistes. « Personne ne nous remplace, on nous met la pression et on nous culpabilise si l’on ne vient pas dans la minute ».

    Une réunion de CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) doit évoquer ces difficultés jeudi. La CGT revendique un plan d’action de lutte contre les TMS et les risques psychosociaux, afin d’améliorer les conditions de travail. Un plan auquel pourrait collaborer l’ergonome qui doit être embauché dans le cadre de l’accord signé dernièrement par la direction du CHRU de Brest et les syndicats, qui prévoit la création de 35 postes dans tout l’établissement.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Roscoff. Un débrayage de l’équipage du Pont-Aven de la Brittany Ferries  (OF.fr-29/05/22-20h08)Une action de débrayage a été menée par une partie de l’équipage du Pont-Aven, navire de la Brittany Ferries, ce dimanche 29 mai. 

    Une action de débrayage a été menée par une partie de l’équipage du Pont-Aven, navire de la Brittany Ferries, ce dimanche 29 mai. Les revendications du personnel portent sur les salaires et l’organisation du travail. Un mouvement de grève est envisagé.

    Une opération de débrayage a eu lieu dimanche matin sur le Pont-Aven, alors que le navire de la Brittany Ferries se trouvait à quai, au port de Roscoff (Finistère). Selon Jean-Paul Corbel, élu (CFDT) au comité social et économique (CSE), le mouvement a été suivi par la majeure partie de l’équipage. Les revendications des salariés à bord ont été transmises au commandant du navire par les membres du CSE.

    Une réunion d’information s’est tenue en présence de Christophe Mathieu, président du directoire, et Corinne Vintner, directrice du pôle juridique de l’entreprise. Les revendications portent essentiellement sur la répartition des salaires proposée dans le cadre des négociations annuelles obligatoires (NAO) et du plan Vital qui remet en question un certain nombre de postes et de promotions, indique Jean-Paul Corbel.

    Face à un possible mouvement de grève, la direction a annoncé une réunion portant sur ces sujets, mais dont la date n’a pas encore été fixée.

    Plusieurs actions similaires sur d’autres navires

    Le mouvement a été suspendu; le travail a repris dans l’après-midi. Néanmoins, en fonction des réponses, l’équipage prendra une décision pour lancer une grève ou non, rapporte Franck Duval, également élu (CFDT) au CSE. Ajoutant : L’équipage veut donner une chance au dialogue et espère que la direction se saisisse du sujet pour répondre favorablement aux demandes.

    Ce mouvement spontané fait suite à plusieurs actions similaires menées sur des navires de la Brittany Ferries, dont le Bretagne à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Sur l’Armorique, l’équipage a également pu faire remonter les mêmes attentes, souligne Jean-Paul Corbel. Nous avons eu des retours de pratiquement tous les bateaux qui connaissent le même problème, renchérit-il.

    Interrogée, la direction de la Brittany Ferries n’a pas répondu à nos sollicitations.

     

    Arthus VAILLANT

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Brest. La CGT appelle le secteur de la santé et de l’action sociale à manifester mardi. ( OF.fr - 28/05/22 - 10h25 )                 Le rassemblement aura lieu mardi 31 mai, place de la Liberté.

    ​La CGT de la santé, du médico-social et de l’action sociale du Finistère appelle les salariés du secteur à se rassembler le mardi 31 mai à 11 h, place de la Liberté, à Brest.

    La CGT de la santé, du médico-social et de l’action sociale du Finistère appelle les salariés du secteur à se rassembler le mardi 31 mai à 11 h, place de la Liberté à Brest. Le cortège se rendra ensuite à la sous-préfecture pour la remise d’une motion.

    « Aujourd’hui de nombreux services fonctionnent en mode dégradé, certains allants même jusqu’à fermer, faute de main-d’œuvre. Les arrêts maladie explosent. Les conditions de travail ainsi que la qualité de la prise en charge des personnes accueillies continuent de se dégrader, conduisant les professionnels à en perdre le sens de leur travail. Les salaires sont bloqués, les salariés ont perdu jusqu’à 30 % de pouvoir d’achat en vingt ans », liste la CGT dans un communiqué.

    Les revendications comprennent des augmentations de salaire de 300 € minimum, le complément Ségur pour tous, des embauches massives, etc.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Les agents devraient procéder à une distribution de tracts, lundi matin, devant le bâtiment 5 de l’hôpital Morvan.Les agents devraient procéder à une distribution de tracts, lundi matin, devant le bâtiment 5 de l’hôpital Morvan. 

    La CGT du CHRU de Brest-Carhaix appelle à une grève avec débrayage, le lundi 30 mai. Elle dénonce les « conditions de travail dégradées » des agents des services hospitaliers.

    La CGT du CHRU Brest-Carhaix pointe des conditions de travail « dégradées » pour les agents des services hospitaliers (ASH) du pôle Femme mère enfant (FME). « L’équipe a un très fort taux d’absentéisme, dû à de nombreuses pathologies en lien avec leur travail (troubles musculosquelettiques, risques psychosociaux) ».

    En réponse, le syndicat réclame notamment un plan de lutte contre les TMS et RPS, un poste d’ASH supplémentaire pour le service, et une meilleure compensation des absences.

    La CGT appelle à la grève le lundi 30 mai, avec un débrayage de 9 h à 10 h pour les agents de services hospitaliers du pôle FME. Une distribution de tracts sera organisée devant le bâtiment 5 de l’hôpital Morvan.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  •  Le ministère de la Mer a disparu avec le nouveau gouvernement ce qui fâche (ou pas) les professionnels de la mer cornouaillais. Le ministère de la Mer a disparu avec le nouveau gouvernement ce qui fâche (ou pas) les professionnels de la mer cornouaillais. 

    Alors que s’ouvre la première Semaine de la pêche et de l’aquaculture en Cornouaille, des professionnels de la mer cornouaillais réagissent à la disparition du ministère de la Mer. Les avis sont partagés.

    Jean-Loup Thivet, directeur de la société de carburants marins Ysblue, à Douarnenez

    « Cette disparition d’un ministère à part entière est une énorme déception, qui dénote un manque d’ambition et une vision très parisienne et court-termiste. Comment ce pays avec la deuxième surface littorale au monde, ses grands marins, ne peut pas se doter d’un grand ministère de la Mer ? Il concentrerait les enjeux pour l’avenir, qui passe par le maritime en termes d’énergie, de transport, de santé, de nourriture… La pêche comme la marine marchande sont en pleine réflexion sur leurs évolutions, il fallait prendre ces dossiers à bras-le-corps, en concentrant tous les services et directions maritimes sous une seule bannière. Sans oublier le fait crucial que tout ce qui se passe sur la terre finit à la mer… Je suis déçu d’abord comme citoyen, pour les générations futures, car l’on rate un moment marquant, la mise en place d’un nouveau rapport à la mer dans sa globalité. Annick Girardin était une travailleuse passionnée, son travail était reconnu, je pensais sincèrement que ce ministère allait lui survivre. Le gouvernement n’a rien compris aux enjeux de demain. »

    Yves L’Helgoualc’h, secrétaire du syndicat CGT marins à Concarneau

    « Une fois de plus, nous ne sommes pas étonnés de cette non-reconduction. Une fois de plus aussi, cela démontre le peu d’intérêt de nos différents gouvernements pour le secteur maritime. Pourtant, durant les campagnes, de nombreux représentants politiques se gargarisent de dire que la France est le deuxième espace maritime mondial. On devrait donc défendre cela et mettre en avant que l’on est bien un pays maritime. Or, étape après étape, on voit que l’emploi français dans la marine de commerce disparaît alors que des grands groupes affichent des bénéfices records. Quant à la pêche, il suffit de constater l’état des ports bretons pour se faire une photographie exacte de la situation aujourd’hui, et qui ne va pas en s’améliorant. L’avenir ne nous laisse augurer rien qui vaille et la meilleure preuve est encore, cette fois, de laisser tomber le ministère de la Mer. Il y a un manque total de considération, je suis remonté. On est sur tous les océans, mais ça sert à quoi ? On nous considère comme quantité négligeable, on représente peu de choses aux yeux du monde politique. »

    Julien Le Brun, patron pêcheur à Lesconil

    « Franchement ? On s’en fout pas mal. Le plus important aujourd’hui, c’est le prix élevé du carburant et le matériel qui flambe. C’est devenu hallucinant. Un clapet gasoil qui coûtait 70 € en décembre est vendu aujourd’hui à 220 €. C’est la même chose pour les manilles, les funes (câbles de traction du chalut), la peinture… Et j’en passe. Dans le même temps, le prix du poisson n’augmente pas. Pour le moment, on fait le dos rond mais on ne tiendra pas. On va vers la catastrophe. À ce rythme-là, c’est la fin de l’activité de chalutage. En raison de ces coûts élevés, les marins perdent environ 500 € par mois, tout en travaillant autant. Comment peut-on accepter cela ? L’heure est grave. »

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Pays bigouden. Le tarif du centre de loisirs de Plonéour-Lanvern augmente de 822 %  (OF.fr-Les maires de Peumerit, Saint-Jean-Trolimon, Tréguennec et Tréogat, Jean-Louis Caradec, Jean-Edern Aubrée, Stéphane Morel et Michel Raphalen. 

    La municipalité de Plonéour-Lanvern (Finistère) a augmenté de 822 % le tarif de son centre de loisirs. Cette hausse vertigineuse paraît injustifiée aux communes voisines de Saint-Jean-Trolimon, Tréguennec, Peumerit et Tréogat, dont les enfants fréquentent le centre.

    L’augmentation du tarif du centre de loisirs de Plonéour-Lanvern (Finistère), susceptible de constituer un record, agace les populations ainsi que les élus des communes de Saint-Jean-Trolimon, Tréogat, Peumerit et Tréguennec, dont les maires tenaient une conférence, lundi, à Saint-Jean-Trolimon, à l’invitation du maire, Jean-Edern Aubrée.

    « Cette décision unilatérale faisant fi de toute concertation porte indirectement un coup aux liens moraux et historiques de solidarité qui unissaient nos communes dans une optique de regroupement de moyens qui s’avèrent évidents alors que nous louons par ailleurs la qualité et la respectabilité à tous égards du centre de loisirs plonéouriste », commente Jean-Louis Caradec, maire de Peumerit.

    « Indignés, nous ne nous résignons pas »

    La résolution unilatérale des élus de Plonéour-Lanvern de porter la contribution ouvrant à son centre de loisirs à 37 € ne passe pas. Il était auparavant de 3,30 € pour le premier enfant et de 4,60 € pour le second et les suivants. (37€ égalent 8,22 fois 4,60€)

    « Indignés nous ne nous résignons pas et nous rejetons ce véritable dictât », poursuit Jean-Louis Caradec. L’élu regrette aussi, qu’à l’occasion, « Plonéour-Lanvern fasse fi de la dotation de solidarité rurale d’un montant de 417 777 €, cette année 2022, qu’elle ne soit pas destinée au fonctionnement du centre loisirs, censé pérenniser la solidarité intercommunale du bassin de vie ».

    La mesure plonéouriste ayant été prise relativement tardivement, après l’adoption des budgets communaux, les élus sont pris de court, n’ont pas pu anticiper la dépense et sont donc actuellement dans l’obligation (sauf de trouver une solution de remplacement) de l’assumer sans l’imputer aux parents.

    Un surcoût de 5 000 € pour Saint-Jean-Trolimon

    Ce sera le cas pour la commune trolimonaise. Tréguennec a, par contre, trouvé un accord avec le centre de loisirs de Pont-l’Abbé, Tréogat avec celui de Pouldreuzic, alors que Peumerit s’est rapproché avec succès de ses voisins de Plogastel-Saint-Germain.

    Il est à noter que le quotient familial et que les exigences de la Caisse des allocations familiales interdisent toute augmentation supportée par les familles. En conséquence, la commune de Saint-Jean-Trolimon assumera un surcoût de 5 000 €.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Plus de 270 personnes hier soir à la maison de quartier de Bellevue, quel beau moment !

    Merci à Mathilde Panot pour son soutien et son énergie et merci à tous pour votre présence. Nous le sentons, la victoire en juin est possible. Continuons à faire campagne avec détermination comme nous le faisons depuis le début. On va le faire !
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  • Bretagne. Du personnel de bord de la Brittany Ferries réclame plus « de reconnaissance ». ( OF.fr - 26/05/22 - 16h23 )               Des membres d’équipage du Bretagne ont débrayé jeudi 26 mai 2022.

    ​Des membres d’équipage du Bretagne, ferry de la Brittany Ferries, ont débrayé jeudi 26 mai 2022, à l’heure de l’escale à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Ils ont exprimé leur mécontentement au sujet des négociations salariales et des conditions de travail.

    La colère monte sur Le Bretagne, bateau de la Brittany Ferries, qui assure la liaison entre Saint-Malo et l’Angleterre. Des membres du personnel de bord ont débrayé, jeudi 26 mai au matin, à l’heure de l’escale pour manifester leur mécontentement au sujet des salaires, des conditions de travail et des effectifs. Les membres d’équipage ont tenu une assemblée générale sur le navire avant d’être entendus par deux membres de la direction.

    « Les équipages ont raconté leur mal-être », rapporte Franck Duval, élu CFDT au CSE (comité social et économique) qui est venu soutenir les délégués de bord CFDT et CGT à l’initiative du mouvement. Le représentant du personnel souligne que la Brittany Ferries « a vu partir pas loin de 200 CDI en quinze mois, avec beaucoup de démissions et de licenciements liés notamment à des abandons de poste. Le vivier de CDD s’est aussi tari. Ça en dit long sur des conditions de travail qui se dégradent. »

    « Manque de reconnaissance »

    Avec Jean-Paul Corbel, autre élu du personnel à la CFDT, ils l’expliquent par un manque « de reconnaissance au travail, des personnels à qui on demande plus de polyvalence à des niveaux de salaires qui ne correspondent pas. Pour fournir le même travail, on a enlevé des bras et de la reconnaissance. Certains font le même travail pour une paye inférieure. Les personnels sont toujours en train de compenser. Ce qui engendre de la fatigue et des accidents du travail. Le taux d’absentéisme a pu atteindre un pic de 20 % ».

    Des employés ont exprimé leur mécontentement au sujet des négociations salariales et des conditions de travail. 

    « Plus de polyvalence moins de bras »

    Franck Duval prend l’exemple du personnel hôtellerie-restauration. « La boîte devient moins attractive alors qu’elle était réputée. À terre, le secteur a fait des efforts pour rendre ces métiers plus attractifs. Ce n’est pas le cas chez nous. »

    Le représentant des salariés associe ces constats au plan de redressement quinquennal de la direction, baptisé Vital, qui projette de faire une économie de 15 à 18 millions d’euros par an. « Ils n’ont pas entendu les alertes. » Pour lui, « il y a une grève de l’écoute de la part de la direction ».

    « Une augmentation plus égalitaire »

    Le débrayage fait suite aux négociations annuelles obligatoires. La direction de Brittany Ferries a proposé une augmentation de 75 € bruts pour les officiers, 42 € pour les personnels d’exécution, 89 € pour les cadres et 37 € pour les non-cadres, alors que les représentants des salariés réclament « une augmentation plus égalitaire ».

    Ce mouvement social a entraîné un retard à l’appareillage de deux heures, mais seulement de quelques minutes sur l’heure du départ. « Un mouvement qui pourrait potentiellement être reconductible », préviennent les représentants du personnel.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Pierre MOMBOISSE

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  • Sud et la CGT appellent à la grève à partir du 3 juin à l’hôpital de Morlaix

    Les syndicats Sud et CGT du centre hospitalier des Pays de Morlaix ont déposé cette semaine un préavis de grève illimitée à compter du mardi 3 juin. Un débrayage des agents est prévu ce même jour, de 14 h 30 à 15 h 30. « Depuis plusieurs mois, expliquent-ils, les conditions de travail se sont détériorées à vitesse grand V au CHPM : manque de personnel (absentéisme record) ; organisation de travail en 12 heures, en articulation avec un planning classique, ce qui engendre des difficultés de prise en charge des patients ; dépassements des bornes horaires, articulation avec le privé de plus en plus difficile… ».

    Selon les syndicats, « des agents alternent des nuits et des jours sans repos de sécurité ». Sans compter « les rappels au domicile, des suppressions de jours de temps partiel, des heures supplémentaires qui ne sont pas facilement récupérables, ni payables… ». Évoquant une « maltraitance institutionnelle, », Sud et CGT s’attendent à une période estivale encore plus compliquée. C’est pour évoquer tous ces sujets qu’ils organisent une assemblée générale à laquelle ils invitent tous les agents, le 2 juin, de 14 h 30 à 16 h 30, dans l’amphithéâtre de l’IFSI. « Lors du débat, nous établirons une feuille de route avec vos revendications ».

    Cet appel à la grève intervient alors que le directeur du CHPM, Arnaud Corvaisier, vient d’annoncer son départ, cet été.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le collectif Droit à la Ville Douarnenez, ici représenté par Maxime Sorin, vient de publier son manuel d’autodéfense des locataires en galère.Le collectif Droit à la Ville Douarnenez, ici représenté par Maxime Sorin, vient de publier son manuel d’autodéfense des locataires en galère. 

    Le collectif Droit à la Ville Douarnenez vient de publier un « manuel d’autodéfense » à destination des locataires du secteur. Un guide conçu notamment pour conseiller les personnes concernées par les baux de septembre à juin.

    « Habiter, insister, résister » : cette devise, c’est celle qui est inscrite tout en haut du « manuel d’autodéfense pour locataire en galère », tout juste publié par le collectif Droit à la Ville Douarnenez. « Cela fait un an que l’on travaille dessus. Un stagiaire du collectif s’est penché dessus pendant son passage ici, et le travail a été relu par des juristes », indique Maxime Sorin, un des membres du collectif. « Pendant les confinements de la crise sanitaire, nous avons fait de l’accompagnement, à la fois pour porter les revendications des Douarnenistes qui étaient à la rue, mais aussi auprès des personnes qui étaient en situation conflictuelle avec leur propriétaire », rappelle-t-il.

    "Nous pensions que ces baux de septembre à juin étaient légaux mais, en fait, ils ne le sont pas du tout. La durée minimale d’un bail, c’est un an pour les logements meublés et trois ans pour les non meublés, sauf dans le cas du bail étudiant ou du bail à mobilité"

    Le collectif dit notamment avoir eu, à cette époque, de nombreuses remontées contre les baux précaires, ces contrats de locations signés pour une durée de neuf mois, généralement de septembre à juin, laissant les locataires sans possibilité de logement l’été venu.

    Une problématique qui semble se généraliser dans de nombreuses villes côtières où les locations touristiques se développent à la vitesse grand V, phénomène ayant incité la ville de Saint-Malo à prendre des mesures coercitives. « Nous pensions que ces baux de septembre à juin étaient légaux mais, en fait, ils ne le sont pas du tout. La durée minimale d’un bail, c’est un an pour les logements meublés et trois ans pour les non meublés, sauf dans le cas du bail étudiant ou du bail à mobilité », expose Maxime Sorin, selon qui une association du Pays Basque a obtenu de nombreuses requalifications de baux du même type ces derniers mois. « Les locataires concernés peuvent prendre conseil auprès d’un conciliateur de justice ou se tourner directement vers le tribunal administratif », souligne le membre de Droit à la Ville.

    « Énorme différence de vécu »

    Le guide publié par le collectif expose également les différents textes de lois encadrant la location immobilière en termes de salubrité, de tranquillité publique, ou au moment de la revente de son bien par le propriétaire, par exemple. Et si Droit à la Ville Douarnenez, actuellement concentré sur l’avancée de sa recherche-action sur le logement à Douarnenez, a consacré moins de temps à l’accompagnement des locataires ces derniers mois, les premières remontées sur ce manuel n’ont pas traîné.

    « Nous avons participé à un colloque à Querrien récemment et nous avons pu constater que de nombreuses personnes sont concernées par ces questions », affirme Maxime Sorin, qui pointe l’absence de ministère dédié au logement dans le nouveau gouvernement. « C’est la preuve de l’énorme différence de vécu entre les habitants et celles et ceux qui mènent les politiques nationales, voire locales ».

    Pratique

    Pour télécharger le guide : se rendre sur le site Droit à la ville.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Dimitri L'Hours

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  • Kofi Yamgnane préside le comité de soutien au candidat de la Nupes, Youenn Le Flao.Kofi Yamgnane préside le comité de soutien au candidat de la Nupes, Youenn Le Flao. 

    Le candidat de la Nupes aux législatives dans la circonscription de Concarneau-Quimperlé, Youenn Le Flao, vient de recevoir un soutien de poids, en la personne de Kofi Yamgnane. Concarnois depuis plusieurs années et figure du Parti socialiste des années 80 aux années 2010, l’ancien secrétaire d’État (qui fut aussi député, conseiller régional, conseiller général et maire de Saint-Coulitz) préside le comité de soutien au candidat de la Nouvelle union populaire écologique et sociale. Selon Kofi Yamgnane, qui ne tarit pas d’éloges à l’égard de Youenn Le Flao, il est « le seul candidat clairement positionné à gauche de l’échiquier politique de notre circonscription électorale ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

     
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  • Jean-Jacques Cariou, délégué syndical de la CGT à la fondation Massé-Trévidy, et Julien Quilliet, moniteur d’atelier à l’Esat de Plonéour-Lanvern pour les Papillon blancs.Jean-Jacques Cariou, délégué syndical de la CGT à la fondation Massé-Trévidy, et Julien Quilliet, moniteur d’atelier à l’Esat de Plonéour-Lanvern pour les Papillon blancs.

    Le 31 mai, la CGT invite les salariés du social et du médico-social à faire grève et à se rassembler à 11 h place de la Résistance, à Quimper. Ils demandent plus de moyens.

    « Ça suffit ! On est en crise et on veut que nos dirigeants prennent en considération cette situation, s’exclame Jean-Jacques Cariou, délégué syndical de la CGT à la Fondation Massé-Trévidy. C’est un mouvement départemental, mais aussi national, consécutif à la crise sanitaire qui a accentué les problèmes : crise des vocations et manque de moyens ».

    Le 31 mai, la CGT invite les salariés du social et du médico-social à faire grève et à se rassembler à 11 h, place de la Résistance, à Quimper, puis à un pique-nique devant le Conseil départemental. À noter que des rassemblements sont aussi prévus à Brest et Morlaix.

    « Si ça continue, des Ehpad vont fermer… »

    Concernant les revendications, les membres du syndicat demandent à ce que la prime Ségur de 183 € soit versée à tous qu’on soit éducateur spécialisé, secrétaire, ouvrier d’entretien ou surveillant de nuit. Ils réclament également une augmentation immédiate de 300 € pour tous les salariés du secteur. « Les salariés ont perdu jusqu’à 30 % de pouvoir d’achat en vingt ans. Un éducateur spécialisé débutant gagne moins de 1 400 € », indique Julien Quilliet, moniteur d’atelier à l’Esat de Plonéour-Lanvern pour les Papillons blancs.

    Ils demandent aussi une augmentation des budgets afin d’attirer davantage de personnes dans les services. « En augmentant, par exemple, les ratios d’encadrement, indique Jean-Jacques Cariou. Si on améliore les conditions de travail, les gens vont revenir. Actuellement, il y a une explosion des arrêts maladies et de nombreux postes restent vacants. Si ça continue, des établissements, notamment des Ehpad, vont fermer… »

    Source :  https://www.letelegramme.fr

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  • Pierre Smolarz souligne l’urgence à agir pour « une bifurcation écologique et sociale ».Pierre Smolarz souligne l’urgence à agir pour « une bifurcation écologique et sociale ». 

    1 500 signes pour convaincre. C’est le défi lancé aux candidats aux législatives sur Brest Rural. Pour l’insoumis Pierre Smolarz (Nupes), l’écologie, la retraite à 60 ans et le SMIC à 1 500 € sont la priorité.

    « Comme beaucoup de jeunes de ma génération, j’ai conscience des ravages engendrés par des décennies de politiques néolibérales, socialement brutales et écologiquement irresponsables. En 2016, j’ai donc choisi de m’engager activement avec la France Insoumise. Son programme portait déjà un grand nombre de propositions concrètes et financées pour relever le double défi de la rupture avec le « tout marchandise » et celui de la bifurcation écologique et sociale. Maître-nageur depuis vingt ans, je suis en reconversion professionnelle vers l’agriculture, avec un projet en permaculture. La région Bretagne, avec un modèle agricole industriel très polluant et 1 700 fermes-usines pour 4 000 dans l’Hexagone, est particulièrement touchée, entraînant une pollution des sols et des rivières qui atteint aujourd’hui des niveaux critiques.

    "Nous créerons au moins un million d’emplois grâce à l’investissement dans la bifurcation écologique et sociale"

    Selon le dernier rapport du Giec, nous n’avons plus le temps d’un quinquennat pour commencer à agir, mais au maximum trois ans. Si les électrices et électeurs m’accordent leur confiance dans les urnes, je porterai ces priorités à l’Assemblée nationale avec l’ensemble des élus de la Nupes. Nous créerons au moins un million d’emplois grâce à l’investissement dans la bifurcation écologique et sociale. Nous rétablirons la retraite pour une carrière complète à 60 ans avec un Smic à 1 500 € net comme minimum garanti. L’allocation d’autonomie de 1 063 € pour les jeunes leur ouvrira les portes de la formation. Nous ouvrirons les terres à l’installation de nouveaux paysans ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Les manifestants réunis ce mercredi ont bloqué le tramway et remis en cause la légalité des désignations qui permettent à la Ville de faire fonctionner les Ehpad sur la base d’un effectif du dimanche.Les manifestants réunis ce mercredi ont bloqué le tramway et remis en cause la légalité des désignations qui permettent à la Ville de faire fonctionner les Ehpad sur la base d’un effectif du dimanche.

    Le mouvement de grève se poursuit dans les Ehpad de la Ville de Brest. Ce mercredi, les agents ont manifesté devant la mairie et ont brièvement bloqué le tram.

    « Parce que l’on refuse une augmentation du temps de travail annuel, les gens pensent que nous ne voulons pas travailler, mais ce n’est pas le cas. Nous faisons déjà bien plus que les 1 607 heures à l’année », explique une employée de l’Ehpad de Kerlevenez qui manifestait, ce mercredi, devant la mairie de brest, à l’appel de l’intersyndicale FO, CGT, Unsa, Sud Collectivités territoriales, CFDT de Brest Métropole. Les manifestants ont brièvement bloqué la circulation du tramway, en bas de la rue Jean-Jaurès, peu avant 15 h. Le mouvement a débuté le 18 mai.

    « Des temps partiels à 100 % »

    L’organisation en place fait appel à de nombreux contractuels (de 30 à 40 % selon la Ville), embauchés sur des contrats à temps partiel. « Moi, je suis à temps partiel à hauteur de 60 %. Mais, en réalité, je travaille à temps plein, les 40 % restant étant payés en heures complémentaires. On est perdant sur toute la ligne, puisque l’on ne reçoit pas la prime des fonctionnaires. Nous sommes excédées de voir que la Ville durant cette grève fait appel à des infirmiers intérimaires. Pour cela, ils trouvent de l’argent ! », dénonce Isabelle, agent hôtelier à l’Ehpad de Kerlévenez.

    Même constat pour Nathalie qui est contractuelle depuis huit ans dans cet établissement de Bellevue. Mardi, les 152 résidents ont reçu leur repas dans de la vaisselle en plastique, parce qu’il n’y avait que deux agents hôteliers au lieu de quatre en poste.

    « Contrairement à ce que dit la Ville, il y a des conséquences pour les résidents à ne fonctionner qu’avec le personnel prévu pour un dimanche. En petit effectif, la direction nous demande de faire les douches et le ménage. On fait notre possible, mais on n’a pas dix bras. Que la direction mette la blouse et vienne sur le terrain auprès des résidents ! Il y a beaucoup d’arrêts de travail pour maladie ou burn-out », interpelle une autre manifestante.

    La légalité des désignations en question

    Les syndicats doutent des propositions de la Ville de titulariser des contractuels. « Ils n’ont pas dit combien de contractuels pourraient être titularisés. On demandera à voir les plannings. Et il faut arrêter de rappeler au travail les agents en repos », réagit un syndicaliste.

    Les manifestants ont aussi remis en cause la légalité des désignations qui permettent à la Ville de faire fonctionner les Ehpad durant cette grève. « Les désignations arrivent par lettre simple ou dans notre casier. Elles sont signées par Bernadette Abiven, vice-présidente de Brest Métropole chargée des ressources humaines, mais seul le Préfet peut envoyer des désignations », argumentent les grévistes, qui envisagent de durcir l’action.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Catherine Le Guen

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  • Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne et présidente du groupe parlementaire de La France insoumise et Pierre-Yves Cadalen, candidat Nupes aux législatives sur Brest Centre.Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne et présidente du groupe parlementaire de La France insoumise et Pierre-Yves Cadalen, candidat Nupes aux législatives sur Brest Centre. 

    La présidente du groupe parlementaire de La France insoumise était, ce mercredi, à Brest, pour soutenir la candidature de Pierre-Yves Cadalen pour la Nupes aux législatives.

    Ce mercredi 25 mai, au soir, Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de La France insoumise, est venue soutenir la candidature de l’insoumis Pierre-Yves Cadalen aux législatives, sous l’étiquette de la Nupes (Nouvelle Union populaire écologique et sociale).

    Seize candidats en lice

    Candidat sur Brest Centre, il aura face à lui pas moins de 15 autres candidats, dont Reza Salami, pour le Parti socialiste, qui a refusé, soutenu par François Cuillandre, le maire, de se soumettre au choix national. Un autre socialiste, Yohann Nédélec, adjoint au maire, était cependant présent ce mercredi à cette réunion de soutien dans la salle Léo-Ferré de la maison de quartier de Bellevue, qui était pleine pour l’occasion.

    « Je milite avec Pierre-Yves Cadalen depuis très longtemps, il ferait un excellent député du peuple. Ici, comme dans beaucoup de circonscriptions, nous pouvons gagner pour reprendre le pouvoir à Macron avec un gouvernement dirigé par Jean-Luc Mélenchon pour appliquer notre programme », a répondu Mathilde Panot, interrogée sur son choix de se déplacer à Brest, seule halte pour elle en Bretagne pour ce premier tour. « J’espère venir à nouveau en Bretagne pour le second tour ».

    « Campagnes au porte-à-porte »

    Les16 candidats sur cette circonscription l’étonnent sans plus. « Tout est ouvert. Pierre-Yves Cadalen était déjà au second tour la dernière fois et aujourd’hui, nous sommes portés par un espoir de gens qui ont compris que la présidentielle n’a pas réglé les problèmes du pays. Nous avons un bloc bien plus uni que les autres. Tout va se jouer sur l’abstention et les campagnes au porte-à-porte pour expliquer l’enjeu : le Smic à 1 500 € et la retraite à 60 ans ».

    « Il y a une occasion incroyable qui se présente à Brest, il est possible de l’emporter », a appuyé Pierre-Yves Cadalen. « Il y a beaucoup de chantiers à porter pour les Brestois à l’Assemblée nationale ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • La direction du CHRU a signé un accord avec les organisations syndicales CFDT, CGT et Sud qui ont manifesté à plusieurs reprises ces derniers mois pour obtenir des créations de postes et une revalorisLa direction du CHRU a signé un accord avec les organisations syndicales CFDT, CGT et Sud qui ont manifesté à plusieurs reprises ces derniers mois pour obtenir des créations de postes et une revalorisation pour les contractuels.

    Le CHRU de Brest-Carhaix a signé un accord collectif avec les syndicats CFDT, CGT et Sud qui renforce les effectifs, revalorise les contractuels et promet des CDI plus rapides.

    La direction du CHRU de Brest-Carhaix et les organisations syndicales CGT, CFDT, Sud Santé viennent de signer un accord collectif «qui est une première et qui porte l’ambition d’offrir un environnement de travail attractif pour les personnels », écrit, ce mercredi, la direction du CHRU dans un communiqué qui détaille le contenu de cette négociation. Une réponse aux revendications des syndicats qui ont manifesté à plusieurs reprises, ces derniers mois, contre l’absentéisme non compensé et pour une revalorisation des contractuels.

    Un pool de remplacement

    Pour pallier l’absentéisme, l’établissement qui compte 6 500 à 7 000 agents renforce ses effectifs en créant 35 postes intégrés dans un pool de remplacement réparti dans les services de soins, médico-techniques et administratifs, plus cinq postes au renfort des services « support ». Afin de renforcer la réduction et la prévention des risques professionnels, un ergonome supplémentaire sera aussi recruté.

    L’accord prévoit, de plus, des mesures de résorption de l’emploi précaire et une revalorisation des rémunérations des contractuels des métiers en tension, avec un alignement sur la grille Ségur pour les CDD. « Cette hausse de salaire représente, à titre d’exemple, 49,17 € net par mois pour une aide-soignante et 98,34 € net par mois pour une infirmière ou un manipulateur radio ».

    La réduction de l’emploi précaire va passer par des mises en stage plus rapides et la signature de CDI dès douze mois d’exercice avec des évaluations positives.

    Prime vélo et covoiturage de 200 €

    Enfin, un volet est consacré au plan de mobilité avec le versement d’une prime/forfait mobilité durable (200 € pour un agent à temps plein) aux agents qui utilisent le vélo et le covoiturage. Le CHRU de Brest-Carhaix lance sa propre communauté sur la plateforme Ouestgo, afin de favoriser le covoiturage dans un contexte de hausse des prix du carburant.

    « La mise en œuvre de cet accord collectif fera l’objet d’un suivi et d’une information régulière avec les organisations syndicales, afin de dresser le bilan des différents dispositifs prévus », conclut la direction du CHRU.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • « Le Ségur pour tous ! » : à Quimper, la CGT appelle à manifester mardi 31 mai. ( LT.fr - 25/05/22 - 19h44 )                Jean-Jacques Cariou, délégué syndical CGT pour la fondation Massé-Trévidy, et Julien Quilliec, monteur d’atelier à l’Esat de Plonéour-Lanvern (Papillons blancs). 

    ​Le syndicat CGT Santé action sociale organise une manifestation mardi 31 mai 2022, à 11 h, sur la place de la Résistance à Quimper (Finistère). Ils réclament l’octroi de la prime Ségur à tous les salariés des secteurs du social et du médico-social.

    La prime de 183 € du Ségur de la santé sera octroyée aux professionnels des secteurs sociaux et médico-sociaux. « Mais tous ne sont pas concernés », déplore Jean-Jacques Cariou, délégué syndical CGT pour la fondation Massé-Trévidy. Le syndicat exige que tous les salariés de ces secteurs puissent toucher cette prime : « L’administratif, les surveillants de nuit, les assistants familiaux, le personnel d’entretien etc. »

    À 11 h sur la place de la Résistance

    C’est pourquoi la CGT Santé action sociale organise, au niveau national, une mobilisation mardi 31 mai 2022 afin de porter cette revendication. À Quimper, cela se passe à 11 h sur la place de la Résistance. Un pique-nique se tiendra devant le conseil départemental et une demande de rendez-vous a été formulée auprès de la préfecture.

    Dans le Finistère, des manifestations se tiendront également à Brest et Morlaix. Les secteurs du social et du médico-social concernent « environ 10 000 salariés dans le département », d’après le syndicat.

    La CGT réclame également, entre autres, « une revalorisation de 300 € pour tous » et « une convention collective unique pour tous les salariés du secteur associatif de haut niveau ».

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • « Le Ségur pour tous ! » : à Quimper, la CGT appelle à manifester mardi 31 mai  (OF.fr-25/05/22-19h44)Jean-Jacques Cariou, délégué syndical CGT pour la fondation Massé-Trévidy, et Julien Quilliec, monteur d’atelier à l’Esat de Plonéour-Lanvern (Papillons blancs).

    Le syndicat CGT Santé action sociale organise une manifestation mardi 31 mai 2022, à 11 h, sur la place de la Résistance à Quimper (Finistère). Ils réclament l’octroi de la prime Ségur à tous les salariés des secteurs du social et du médico-social.

    La prime de 183 € du Ségur de la santé sera octroyée aux professionnels des secteurs sociaux et médico-sociaux. « Mais tous ne sont pas concernés », déplore Jean-Jacques Cariou, délégué syndical CGT pour la fondation Massé-Trévidy. Le syndicat exige que tous les salariés de ces secteurs puissent toucher cette prime : « L’administratif, les surveillants de nuit, les assistants familiaux, le personnel d’entretien etc. »

    À 11 h sur la place de la Résistance

    C’est pourquoi la CGT Santé action sociale organise, au niveau national, une mobilisation mardi 31 mai 2022 afin de porter cette revendication. À Quimper, cela se passe à 11 h sur la place de la Résistance. Un pique-nique se tiendra devant le conseil départemental et une demande de rendez-vous a été formulée auprès de la préfecture.

    Dans le Finistère, des manifestations se tiendront également à Brest et Morlaix. Les secteurs du social et du médico-social concernent « environ 10 000 salariés dans le département », d’après le syndicat.

    La CGT réclame également, entre autres, « une revalorisation de 300 € pour tous » et « une convention collective unique pour tous les salariés du secteur associatif de haut niveau ».

     

    Romain LE BRIS

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Législatives 29-07. Alexis Lapert, suppléant de Yolande Bouin  ( OF.fr-25/05/22-17h45)Yolande Bouin, candidate aux législatives (Nupes) dans la 7e circonscription du Finistère et son suppléant Alexis Lapert.  

    Yolande Bouin se présente aux élections législatives dans la 7e circonscription du Finistère (Pont-l’Abbé – Douarnenez) sous l’étiquette Nupes. Son suppléant est Alexis Lapert, 41 ans, horticulteur maraîcher en agriculture biologique à Plonéour-Lanvern.

    La Douarneniste, Yolande Bouin, se présente aux élections législatives des 12 et 19 juin 2022 dans la 7e circonscription du Finistère, sous l’étiquette la France Insoumise, Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes). Son suppléant est Alexis Lapert, 41 ans, horticulteur maraîcher en agriculture biologique à Plonéour-Lanvern (Finistère).

    Conseiller municipal d’opposition à Plonéour, il est également engagé syndicalement à la Confédération paysanne. Dans cette circonscription, plusieurs partis de gauche et écologistes soutiennent cette candidature, Europe Écologie les Verts (EELV), Ensemble ! Génération. s, la France Insoumise (LFI), Nouvelle Donne, le Parti Communiste Français (PCF), le Parti socialiste (PS) et le Partir Ouvrier Indépendant (POI).

    Des réunions publiques sont prévues, le 2 juin à Plogoff, le 4 juin à Penmarc’h, le 8 juin à Audierne et le 10 juin au Juc’h.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Législatives 29-08 : Concarneau solidaire et durable soutient les candidats de la Nupes  (LT.fr-25/05/22-13h)Chritiane Guillaume & Youenn Le Flao, les candidats de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale dans la 8ème circonscription du Finistère (Concarneau-Quimperlé)

    Dans un communiqué, Concarneau Solidaire et Durable dit « se réjouir de voir la gauche rassemblée pour les élections législatives, comme le collectif CSD a su le faire pour les municipales à Concarneau ». L’association et ses six élus au conseil municipal déclarent ainsi apporter « leur soutien à Youenn le Flao et Christiane Guillaume, représentant la Nouvelle union populaire écologique et sociale » dans la circonscription, candidats « qui défendent les mêmes valeurs que CSD ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Mathilde Panot (à droite) sera à Brest ce mercredi soir pour soutenir la campagne de Pierre-Yves Cadalen.Mathilde Panot (à droite) sera à Brest ce mercredi soir pour soutenir la campagne de Pierre-Yves Cadalen. 

    Ce mercredi 25 mai, à 20 h, à l‘espace Léo-Ferré de la maison de quartier de Bellevue, au 1, rue du Quercy à Brest, l’insoumis Pierre-Yves Cadalen tiendra une réunion publique avec Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de La France insoumise. Des représentants locaux des différentes forces politiques de la Nupes (Nouvelle Union populaire écologique et sociale) seront aussi présents. La réunion publique sera animée par des musiciens et un pot convivial sera proposé après les interventions. La soirée est gratuite et ouverte à tous.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le mouvement de grève des agents des Ehpad de la ville de Brest a débuté il y a une semaine, le mercredi 18 mai.Le mouvement de grève des agents des Ehpad de la ville de Brest a débuté il y a une semaine, le mercredi 18 mai. 

    Les personnels des Ehpad gérés par la ville de Brest ont décidé de poursuivre le mouvement de grève qui a débuté le mercredi 18 mai.

    Un rassemblement des agents en grève des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de la ville de Brest a eu lieu, ce mardi, devant la résidence de Poul-ar-Bachet.

    Conserver l’horaire annuel de travail

    Les agents se réuniront à nouveau ce mercredi, qui sera le huitième jour de grève reconductible décidée par les personnels des établissements soutenus par une intersyndicale FO, CGT, Unsa, Sud Collectivités territoriales, CFDT de Brest Métropole. Environ 200 agents prennent en charge les résidents des Ehpad de Kerlevenez à Bellevue, Louise Le Roux et Antoine Salaün à Recouvrance et la résidence autonomie de Poul-ar-Bachet. Les négociations qui se sont déroulées lundi n’ont rien donné, et il n’y a pas eu d’autres discussions ce mardi. Les personnels revendiquent toujours le maintien de leur horaire annuel de 1 547 heures quand la loi de transformation de la Fonction publique veut imposer 1 607 heures.

    30 à 40 % de contractuels dans les effectifs

    Interrogée sur les conséquences de ce mouvement, la ville de Brest précise que les Ehpad peuvent continuer à fonctionner grâce à la désignation (NDLR : c’est-à-dire le maintien au travail) de « 25 à 30 postes de titulaires au sein des résidences, complétés par les contractuels qui représentent entre 30 et 40 % des effectifs. C’est pour cette raison qu’un travail sur la déprécarisation des contractuels a été proposé », souligne la ville qui ajoute que « le service adapté mis en place grâce à la désignation est calqué sur le fonctionnement du dimanche, il peut donc être maintenu dans le temps » et ajoute qu’une fermeture des structures n’est pas envisagée et que le mouvement n’a pour conséquence pour l’instant que « le report de quelques entrées à l’unité d’accueil temporaire, un service complémentaire à celui des Ehpad ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • La situation se tend aussi à l’hôpital de Douarnenez. La situation se tend aussi à l’hôpital de Douarnenez.

    L’été qui vient fait craindre le pire au personnel des hôpitaux français. Après deux années particulièrement difficiles en raison de la pandémie de covid, les salariés craignent pour leurs vacances : « Les difficultés de recrutement des professionnels ont accentué la diminution des accueils patients et de lits dans les établissements du territoire cornouaillais », explique la CFDT de l’hôpital de Douarnenez. Les agents se retrouvent obligés de « déplacer ou supprimer leurs vacances ou d’augmenter leurs charges de travail journalières en douze heures ».

    La CFDT et l’Union territoriale interprofessionnelle du pays de Douarnenez et du Cap-Sizun invitent, en conséquence, les professionnels de la santé, les usagers et l’ensemble de la population à rejoindre l’opération « Camping au travail », à l’hôpital de Quimper, le 24 mai, à partir de 14 h 30. Des tentes seront installées devant l’entrée principale de l’établissement et « un pot de bienvenue » sera organisé. Le site hospitalier sera rebaptisé par les grévistes « Camping Chic/mer », pour l’occasion.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Yolande Bouin, candidate de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes) dans la 7e circonscription du Finistère, avec son suppléant, Alexis Lapert. Yolande Bouin, candidate de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes) dans la 7e circonscription du Finistère, avec son suppléant, Alexis Lapert.

    Ce mardi 24 mai à Pont-l’Abbé, Yolande Bouin, candidate de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes) dans la 7e circonscription du Finistère, a présenté son suppléant. Il s’agit d’Alexis Lapert qui réside à Plonéour-Lanvern. Cet homme âgé de 41 ans est horticulteur-maraîcher conventionné bio depuis une dizaine d’années. Alexis Lapert est, depuis 2020, conseiller municipal au sein du groupe d’opposition émanant de la Liste citoyenne (de gauche et écologiste). Il est également engagé au sein de la Confédération paysanne, syndicat agricole français.

    Plusieurs réunions publiques à venir

    Dans la 7e circonscription (Pont-l’Abbé, Douarnenez, Cap-Sizun), plusieurs partis de gauche et écologistes ont rejoint cette union : EELV, Ensemble !, Génération.s, LFI, Nouvelle Donne, le PCF, le PS et le Parti ouvrier indépendant (POI) et soutiennent la candidature de Yolande Bouin et d’Alexis Lapert. Plusieurs réunions publiques sont d’ores et déjà programmées : le 2 juin à Plogoff, le 4 juin à Penmarc’h sur le thème de la pêche, le 8 juin à Audierne sur le thème de la santé et le 10 juin au Juch sur le thème des biens communs et services publics. Contact : franceinsoumise-bigoud@riseup.net

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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