• « Une revalorisation historique » selon Jean-Michel Blanquer, l’Éducation nationale « choyée » selon Jean Castex…derrière les grandes déclarations, la réalité est toute autre sur les questions de salaires, moyens et métiers. L’intersyndicale FSU, CGT, FO, Sud Éducation appelle à une rentrée dans l’action : AG, heures d’informations syndicales, actions locales et grève le jeudi 23 septembre.

    Salaires : rien d’historique !

    Les annonces de septembre 2021 confirment que la revalorisation promise par Jean-Michel Blanquer est très loin de prendre la mesure du déclassement salarial subi par nos profession.

    Pas de dégel du point d’indice, prime d’attractivité qui ne répond pas aux enjeux de revalorisation, nouvelle grille pour les AESH insuffisante et rien pour les vies scolaires. Le décryptage des dernières annonces dans notre article consacré au Grenelle.

    Une rentrée sans moyens pour le 2d degré !

    1883 suppressions d’emplois alors que les effectifs augmentent dans les collèges et les lycées, et depuis 2018, les budgets des gouvernements Macron ont acté la suppression de 7 490 emplois alors que les effectifs augmentaient de 63 662 élèves. 7490 suppressions d’emplois, c’est l’équivalent de 166 collèges rayés de la carte ! Pour simplement garder le taux d’encadrement de 2017, il aurait fallu créer 7 564 emplois.

    Les conséquences sont visibles : augmentation des effectifs dans les classes, réduction de l’offre de formation etc…

    Pour faire face aux enjeux pédagogiques de cette rentrée sous Covid et après une année 2020-2021 très largement perturbée par l’épidémie, le ministre ne propose que deux solutions : Devoirs faits en collège et des heures supplémentaires (HSE) en lycée. Cela ne répond en rien aux besoins de cette rentrée !

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    Dénaturation de nos métiers

    Aucun aménagement des programmes en collège, réforme de la réforme du lycée qui consacre le contrôle continu et projet local d’évaluation qui pourrait se révéler être un redoutable outil de management, poursuite du démantèlement du service public d’orientation (externalisation vers les Régions ou le privé), gestion chaotique de la crise sanitaire…reprenons la main sur nos métiers !

    Source : https://www.snes.edu

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  • Brest. « Un choix brutal » : Force ouvrière réagit à l’externalisation de l’aéroport. ( OF.fr - 20/09/21 - 19h41 )         L’aéroport de Brest.

    « Cela revient à un plan social », estime le syndicat Force ouvrière, réagissant au projet d’externalisation de l’aéroport de Brest (Finistère).

    La société SAS ABO, sous-traitante de la CCI de Bretagne Ouest, elle-même sous-traitante du Conseil régional, pour la gestion de l’aéroport de Brest, veut sous-traiter l’assistance sur cet aéroport stratégique pour le Finistère : « Cela revient à un plan social mené au pas de charge sans ses contraintes réglementaires, injustifié et déguisé sous le mot d’externalisation, réagit le syndicat Force ouvrière (FO). Un plan qui concerne la moitié du personnel de l’aéroport, soit 70 salariés. »

    FO souligne également que « le refus actuel de la direction de communiquer le cahier des charges de l’appel à candidature aux représentants du personnel et aux syndicats laisse présager le pire ». Et se demande si le lauréat prestataire est déjà connu : « C’est ce que laisse à penser le calendrier de la direction de l’aéroport qui annonce le choix du sous-traitant de quatrième rang avant le 15 octobre pour assurer une tâche complexe qu’elle dit ne pas savoir gérer elle-même. »

    FO exige de la part de la direction de l’aéroport « un minimum de loyauté et de transparence » : « Ne faudrait-il pas argumenter ce choix brutal et présenter des chiffres, une enquête, une analyse, une étude d’impact pour les usagers, le personnel et le territoire ? »

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Finistère. Les salariés d’Orange mobilisés pour défendre leurs conditions de travail. ( OF.fr - 21/09/21 - 14h30 )                  Une trentaine de salariés se sont réunis devant le bâtiment flambant neuf d’Orange, inauguré au printemps dernier dans la zone de Kergaradec, à Brest. 

    Une trentaine de salariés d’Orange ont participé à un rassemblement devant les locaux de Brest (Finistère), ce mardi 21 septembre 2021. Ils dénoncent la sous-traitance de leurs activités techniques, alertant sur la dégradation du réseau.

    « Avant, on était une vingtaine de techniciens à travailler à Morlaix. Aujourd’hui, je suis presque le dernier sur le site. » Comme une trentaine de ses collègues, Michel, salarié de France Télécom puis Orange depuis 30 ans, s’est rendu devant le bâtiment brestois de l’opérateur ce mardi 21 septembre 2021.

    À l’appel de la CGT et dans le cadre d’un mouvement national, ils dénonçaient la dégradation de leurs conditions de travail. Et en particulier la sous-traitance croissante d’une partie des activités techniques. « Avant, quand il y avait un problème avec un câble, j’intervenais pour le remplacer. Désormais, je dois le déclarer pour qu’une équipe extérieure intervienne », témoigne Michel.

    « Une dégradation flagrante du réseau »

    Cette stratégie a des conséquences pour les usagers, estime David Di Benedetto, co-secrétaire général de la CGT FAPT 29 Nord. « Les départs à la retraite ne sont plus remplacés, et trois quarts du travail des techniciens est donné à des sous-traitants. Or, ils ne bénéficient pas des mêmes formations et conditions de travail. Cela a pour conséquence une dégradation flagrante du réseau téléphonique », regrette-t-il, rappelant que les télécommunications sont « aussi un service public ».

    Une délégation finistérienne de la CGT FAPT s’est également rendue à Rennes, devant la direction opérationnelle d’Orange Grand Ouest. Pour poursuivre sa mobilisation, le syndicat appelle à participer à la manifestation interprofessionnelle et intersyndicale prévue en France le 5 octobre 2021.

    Auteur : Laura Daniel 

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Une plaque pochoir a été apposée sur la fresque représentant Nathalie Lemel.Une plaque pochoir a été apposée sur la fresque représentant Nathalie Lemel.

    Samedi, à Brest, la sociologue Anne Guillou a évoqué la vie de la communarde Nathalie Lemel, à la médiathèque Jo-Fourn, dans le cadre des Journées du patrimoine.

    Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, la médiathèque Jo-Fourn, dans le quartier de l’Europe, à Brest, a reçu la sociologue Anne Guillou, qui a retracé la vie de la Brestoise Nathalie Lemel.

    Partie prenante des événements tragiques de la Commune de Paris en 1871, cette dernière fut le bras droit de Louise Michel, avec laquelle elle partagea le bannissement.

    Née à Brest en 1826 d’un père corroyeur, Nathalie Duval a épousé un ouvrier-relieur. Après quelques années passées à Quimper, Nathalie Lemel a rejoint la capitale avec son époux et ses trois enfants. Gagnée aux idées socialistes, elle s’est totalement dévouée à l’amélioration des conditions de vie ouvrière, est devenue secrétaire de la Seconde Union des Femmes et a été présente sur les barricades.

    Déportée en Nouvelle-Calédonie

    Nathalie Lemel a été déportée en Nouvelle-Calédonie de 1872 à 1878 avec Louise Michel. Elle a ensuite retrouvé la France et y a vieilli dans la solitude. Nathalie Lemel est décédée en 1921 à Ivry-sur-Seine.

    À la suite de la conférence, la trentaine de personnes présente est allée, en compagnie de Reza Salami, élu de la Ville, apposer une plaque pochoir sur la fresque représentant Nathalie Lemel et réalisée par l’artiste Guy Denning au 3, rue Sisley.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Françoise Le Guillou, Véronique Guéguen, Agnès Segons, Caroline Tromeur et Catherine Bernard, de la section syndicale CGT de l’hôpital de Carhaix, ne cachent pas leurs inquiétudes en cette rentrée.Françoise Le Guillou, Véronique Guéguen, Agnès Segons, Caroline Tromeur et Catherine Bernard, de la section syndicale CGT de l’hôpital de Carhaix, ne cachent pas leurs inquiétudes en cette rentrée. 

    Cinq agents suspendus

    En cette rentrée, l’obligation du passe sanitaire au CHU a entraîné à cette date cinq suspensions d’agents (sur un total d’environ 600) à l’hôpital de Carhaix : un rééducateur et quatre soignants. Des chiffres dévoilés en réunion de Comité technique d’établissement exceptionnel, jeudi 16 septembre dans la matinée, par la direction des ressources humaines du CHU. « Mais ce chiffre ne recouvre sans doute pas toutes les situations », alerte Caroline Tromeur, secrétaire du syndicat CGT à Carhaix. « Pour les personnes en arrêt maladie au 9 septembre, la suspension ne sera en effet effective qu’à la fin de l’arrêt. » Le syndicat rappelle qu’il n’est pas contre la vaccination, mais en revanche, contre la vaccination obligatoire, et déplore « des pressions faites par l’encadrement ». « Beaucoup d’agents l’ont fait sous la contrainte, et certains étaient très angoissés », ajoute-t-elle. Le syndicat pointe du doigt notamment la question des femmes enceintes : « On estime que dans ce cas, on devrait pouvoir en discuter. »

    Un manque de personnel

    La suspension d’agents au moment où la situation s’avère compliquée, côté effectifs, n’est pas pour rassurer le syndicat. « Nous sommes déjà en manque de personnel », lance Véronique Guéguen, du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). Le syndicat dénonce « une situation très tendue, notamment côté infirmiers. Il n’y a pas de marge de manœuvre. ». « Il est temps de se demander pourquoi ces professions ne font plus rêver les gens », souligne Caroline Tromeur, qui regrette une revalorisation salariale trop timorée malgré les promesses du Ségur de la santé. Véronique Guéguen évoque les « 41 lits fermés actuellement par manque de personnel. Un service, la médecine gériatrique, n’a pas pu rouvrir. Le service de soins de suite et rééducation est également toujours fermé. Cela représente tout de même 25 % du nombre de lits de l’hôpital. » Une situation qui a pour conséquence d’engorger les urgences. Françoise Le Guillou ajoute que l’activité est en ce moment très intense, ce qui ne facilite pas les choses : « Du fait de la fermeture de services liée au confinement au printemps 2020, une partie du public n’a pas reçu les soins nécessaires. On est sans doute en train de subir aujourd’hui les retards de prise en charge ! »

    Inquiets pour l’anesthésie

    Selon Catherine Bernard, « il a aussi manqué une ligne de garde d’anesthésie pendant 15 jours, fin août début septembre ». Avec une seule ligne opérationnelle, il a donc fallu, selon elle, déprogrammer des opérations. « Si on manque d’anesthésistes, cela pose la question du maintien de plusieurs services : la maternité, les soins continus, le bloc opératoire et la chirurgie », s’inquiète Caroline Tromeur, dont le syndicat devait rencontrer la direction de l’hôpital local, jeudi après-midi. Contactée, cette dernière n’avait pas donné suite à nos appels au moment de la publication de cet article.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Externalisation de l’assistance à l’aéroport de Brest : « une trahison à l’australienne » pour Force Ouvrière ABO

    Dans un communiqué transmis ce lundi, le syndicat Force Ouvrière ABO (Aéroports de Bretagne Ouest) réagit à l’annonce de la future externalisation de 72 postes d’assistance en escale à l’aéroport de Brest. L’organisation syndicale dénonce notamment « une trahison à l’australienne dans le processus de négociation où tout le monde a fait des concessions, sauf la direction » ainsi qu’« un aveu spontané d’incompétence totale dans la gestion de l’assistance de la part de la direction de la SAS ABO ».

    Pour Force ouvrière, il s’agit d’un « "Plan social" injustifié et déguisé sous le mot plus présentable médiatiquement d’"externalisation" ». 

    « Ne faudrait-il pas argumenter ce choix brutal et a minima présenter des chiffres, une enquête, une analyse, une étude d’impact pour les usagers, le personnel et le territoire ? », interroge le syndicat.

    Pas avant le 31 décembre

    Pour rappel, la direction pense que ce nouveau fonctionnement « tend à rassurer les compagnies » et qu’il s’agit donc « d’un argument pour en attirer de nouvelles à Brest ». L’appel à manifestation d’intérêt a été lancé jeudi dernier et les sociétés intéressées ont jusqu’au jeudi 7 octobre pour se déclarer. Le transfert est prévu pour le 31 décembre, au plus tôt.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Manifestation régionale à Brest le 28 septembre ; Psy en colère ! ( Fb.com - 16/09/21 )

    Source : https://www.facebook.com

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  • Loctudy-Récit : Naufrage du Bugaled Breizh : ces zones d’ombre qui restent à éclaircir  (OF.fr-20/09/21-19h10)L’épave du Bugaled Breizh a été renflouée en juillet 2004.

    Le 15 janvier 2004, le Bugaled Breizh, un chalutier de Loctudy (Finistère), coule au large du Royaume-Uni. Dix-sept ans après, de nombreuses questions n’ont pas encore de réponse. La justice britannique se penchera sur ce dossier, à partir du 4 octobre 2021.

    À partir du 4 octobre 2021, la justice britannique se penchera sur le dossier du Bugaled Breizh. Le 15 janvier 2004, ce chalutier de Loctudy (Finistère) coulait au large du Royaume-Uni. Mais plus de dix ans après, de nombreuses questions persistent. Retour sur les grandes étapes de cette affaire, à quelques jours de l’ouverture d’une procédure britannique.

    Le 15 janvier 2004

    Ce jour-là, le Bugaled Breizh, chalutier de Loctudy (Finistère) est en mer, au large du Cap Lizard (Royaume-Uni). Aux dires de nombreux marins-pêcheurs bigoudens, le bateau est l’un des plus solides, l’équipage est très compétent. Juste avant 13 h 30, le patron du Bugaled Breizh, Yves Gloaguen, appelle à la VHF (radio marine) un autre patron bigouden qui pêche à quelques milles de lui. « Viens vite, on chavire ! ». C’est la dernière fois que l’on entend des nouvelles de l’équipage du chalutier.

    Le naufrage fera cinq morts : Yves Gloaguen, Georges Lemétayer, Pascal Le Floch, Patrick Gloaguen et Éric Guillamet. Le jour même, deux corps sont retrouvés, ceux d’Yves Gloaguen et Pascal Le Floch. Un troisième est découvert dans l’épave lors du renflouement, c’est celui de Patrick Gloaguen. Les corps d’Éric Guillamet et Georges Lemétayer n’ont pas été retrouvés.

    Le Bugaled Breizh, sorti de l’eau. 

    La première piste

    Dans l’esprit des marins-pêcheurs bigoudens, bien vite, l’hypothèse qu’un sous-marin soit à l’origine du drame fait son chemin. Mais les premières investigations françaises s’orientent vers un abordage du Bugaled par un cargo. C’est le renflouement de l’épave, en juillet 2004, qui invalide cette thèse : on remarque immédiatement que les deux côtés de la coque sont enfoncés de façon symétrique. Le bateau a donc coulé très vite – en moins d’une minute – entraînant l’implosion de la cale. Il n’est alors plus question d’un abordage.

    Les longues procédures françaises et le non-lieu

    En France, une information judiciaire est ouverte à Quimper (Finistère). Elle se termine en 2008. La procureure conclut à un accident de pêche (une « croche molle »), version donnée par le Bureau Enquête Accident (BEAmer). D’autres rapports d’expertises accréditent cependant la thèse qu’un sous-marin pourrait être à l’origine du naufrage. Les familles font appel de la décision de clore l’instruction. La cour d’appel de Rennes prend le relais. Après avoir exploré la piste d’un sous-marin, elle clôture la procédure par un non-lieu, en 2014. Non-lieu confirmé en 2016 par la cour de cassation.

    L’épave du Bugaled Breizh, transportée au port militaire de Brest. 

    Un dossier aux multiples zones d’ombre

    Dès le début de cette affaire, les incohérences, zones d’ombre et contradictions sont légion. Par exemple : deux canots de sauvetage sont aperçus sur la zone du naufrage. Mais seuls l’un des canots du Bugaled a été largué. On ne saura jamais à qui appartenait le second radeau. Une panne du Cross Gris-Nez empêchera d’avoir accès aux enregistrements des communications du 15 janvier 2004 entre 13 h 53 et 19 h 59.

    La presse révèlera que le 15 janvier 2004, les Britanniques organisait leur Thursday war : un exercice militaire entre sous-marins de la Royal Navy. Quant à elle, la préfecture maritime de l’Atlantique, indique le 16 janvier 2004 qu’un autre exercice, mené par l’Otan, devait également regrouper plusieurs sous-marins des Marines occidentales le lendemain du drame. Un sous-marin hollandais, le Dolfijn, a d’ailleurs été vu par plusieurs navires à proximité de la zone de recherches, juste après le naufrage. Au cours de l’instruction française, les ministres de la Défense successifs n’ont jamais fait déclassifier les documents de préparation et de bilan de l’exercice de l’Otan.

    Des experts et enquêteurs examinent l’épave du Bugaled Breizh dans le port militaire de Brest.

    Le spectre du sous-marin

    Les familles, mais aussi les professionnels de la mer, sont majoritairement persuadés qu’un sous-marin qui aurait accroché les funes (les câbles du filet) du Bugaled Breizh, est à l’origine du drame. Reste à mettre un nom sur ce bâtiment. Depuis dix-sept ans, plusieurs thèses sont avancées : celle du HMS Turbulent, un sous-marin britannique, dont les positions restent très floues ; mais aussi celle du Dolfijn, le sous-marin hollandais vu à quelques milles du drame le 15 janvier. D’autres soutiennent la piste d’un sous-marin espion qui pourrait être américain, ou russe.

    Les cinq points clés de l’inquest à venir

    Un drame, cinq morts, et toujours pas de réponse satisfaisante pour les familles. Après l’extinction de la procédure française, la justice britannique a rouvert une inquest . Une procédure qui ne vise pas à condamner un coupable, mais à faire la lumière sur des morts suspectes. Trois semaines d’audience auront lieu, à partir du 4 octobre à Londres, avec pour les familles d’Yves Gloaguen, Georges Lemétayer, Pascal Le Floch, Patrick Gloaguen et Eric Guillamet, un dernier espoir d’obtenir la vérité.

    L’audition de l’ex-commandant du HMS Turbulent

    Andrew Coles est un personnage clé des audiences de Londres. Il était le commandant du sous-marin HMS Turbulent au moment du naufrage du Bugaled Breizh, le 15 janvier 2004, et devra répondre aux questions du juge Nigel Lickley. Son témoignage est programmé au 12 octobre 2021. Il n’avait jamais été convoqué en France, malgré la demande de mise en examen formulée par Me Dominique Tricaud, avocat de Thierry Lemétayer, le fils de l’une des victimes.

    49°42 N – 05°10 W

    Cette suite de chiffres est la position exacte du Bugaled Breizh au moment où il chavire. Elle a été donnée, via la VHF, par Yves Gloaguen, patron du Bugaled, à Serge Cossec, patron de l’Eridan, juste avant que le bateau ne sombre. Cette position sera au cœur des débats, puisqu’il s’agira de déterminer si un sous-marin a croisé la route du chalutier bigouden.

    L’épave du Bugaled Breiz, dans le port militaire de Brest.

    Le MOD sera Interested person

    Le Ministère de la défense (MOD) britannique a demandé à être interrested person dans le cadre des audiences londoniennes. Cela lui donne le droit (au même titre que les familles de victimes) de prendre une part active à la procédure et d’interroger les différents témoins appelés à la barre.

    Yves Gloaguen et Pascal Le Floch

    Les corps de ces deux marins ont été retrouvés par des sauveteurs britanniques et ramené sur le sol anglais. C’est pour cette raison qu’une inquest a pu être ouverte, afin de faire la lumière sur les circonstances de la mort de ces deux personnes.

    Images satellites

    Y en aura-t-il ? C’est en tout cas l’espoir du côté des familles de victimes. Elles ont demandé que soient produites des images satellites du port militaire de Devonport le jour du drame. Ces images pourraient en effet infirmer ou confirmer la présence à quai du sous-marin HMS Turbulent, qui assure, lui, qu’il n’était pas en mer. Le juge a nommé une experte, afin qu’elle recherche si de telles images existent.

     

    Anaëlle BERRE

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  • ENTRETIEN. Bugaled Breizh : 17 ans après, les familles toujours « en recherche de la vérité »   (OF.fr-20/09/21-16h56)Des experts et enquêteurs examinent l’épave du Bugaled Breizh, dans le port militaire de Brest. 

    À quelques semaines du début de la procédure judiciaire sur l’affaire du Bugaled Breizh à Londres (Royaume-Uni), lundi 4 octobre, l’avocat des familles, Gaspard De Monclin en dresse les enjeux. Il espère y voir émerger la vérité.

    Entretien avec Gaspard De Monclin, avocat des familles de victimes du Bugaled Breizh.

    Lire aussi : RÉCIT. La justice britannique examine les zones d’ombre du naufrage du Bugaled Breizh


    Quand a débuté la procédure britannique sur le dossier du Bugaled Breizh, qui a sombré le 15 janvier 2004 ?

    Elle a été ouverte quasiment le jour du drame, à partir du moment où les corps de deux marins ont été retrouvés dans les eaux territoriales britanniques. Ensuite, elle a été rapidement suspendue, puisque les procédures françaises ont été enclenchées.

    Gaspard De Monclin, avocat des familles de victimes du Bugaled Breizh. 

    Au sortir de la cour de cassation en France, la procédure britannique a repris. D’abord dans la juridiction géographique du drame, à Truro, en Cornouailles. Puis l’affaire a été dépaysée à Londres, en raison de sa sensibilité, pour être examinée par un magistrat.


    Le nom de la procédure est inquest. En quoi cela consiste-t-il ? 

    L’ inquest n’ont pas vocation à formuler des condamnations. L’inquest doit faire la lumière sur les circonstances de la mort d’une ou plusieurs personnes, lorsqu’il y a un doute sur celles-ci. C’est une procédure qui a une nature beaucoup moins pénale qu’en France.


    Il n’y aura donc pas de condamnation à la suite de cette procédure qui s’ouvrira le 4 octobre ?

    Non, en effet. Et même si cette inquest détermine la responsabilité d’une ou plusieurs personnes, il est peu probable qu’il y ait ensuite une procédure pour les condamner, car il y aura des histoires de prescriptions. Dans notre cas, les familles sont, véritablement, dans une démarche de recherche de la vérité.


    Quelles seront les parties en présence lors de ces trois semaines d’audience ?

    Il y aura le juge – Nigel Lickley – ainsi que son conseil, une personne qui est un peu son avocat, qui a une vision d’ensemble du dossier. Il y aura deux Interested person. D’un côté le ministère de la Défense britannique. Et de l’autre les familles des victimes que je représente.


    Quels sont les moyens dont dispose le juge pour mener cette enquête ?

    Ils sont, en théorie, très étendus. Le juge peut demander à déclassifier des dossiers, envoyer des demandes à l’international, nommer des experts… Dans notre cas, il a choisi de ne pas recommencer des expertises, mais de s’appuyer sur celles déjà réalisées dans le cadre de la procédure française, et de compléter lorsque cela est nécessaire.


    Est-il possible de voir la vérité émerger à l’issue de ces trois semaines d’inquest ?

    On y croit très fort. On a avancé. Nous avons mis en avant les contradictions du ministère de la Défense britannique. Nous avons notamment un faisceau d’indices qui pointe vers le sous-marin HMS Turbulent

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Trégunc. Un documentaire sur les néonazis grecs, ce lundi   (OF.fr-17/09/21-5h26)L’équipe du film et les partenaires de la soirée ont présenté la soirée débat de lundi soir.

    Aube dorée est le parti néonazi grec. Angélique Kourounis, journaliste et réalisatrice,lui consacre un second film, Aube dorée, l'affaire de tous, à découvrir au Sterenn.

    La réalisatrice Angélique Kourounis a commencé à tourner Aube dorée, l’affaire de tous, dès la sortie, en 2016, de son premier film, Aube dorée, une affaire personnelle. Son tournage a duré cinq ans.

    Ce second documentaire sera au cœur de la première soirée citoyenne de la MJC, en partenariat avec Attac Pays de Concarneau, la Ligue des Droits de l’Homme et Bretagne Grèce Solidarité santé. La projection sera suivie d’un débat.

    Journaliste, Angélique Kourounis se penche depuis des années sur l’organisation du parti néonazi grec Aube dorée. L’effondrement financier, l’instabilité politique, les relations familiales, sont mis en lumière dans ce documentaire qui tente de découvrir « ce qu’il y a dans la tête des partisans d’Aube dorée ».

    Deux agressions pendant le tournage

    « Ils se présentent comme des victimes du système », indique la réalisatrice, accompagnée de son équipe, le journaliste Thomas Lacobi, qui a subi deux agressions pendant le tournage, et Maxime Bitter, qui s’est occupé de la partie administrative.

    « Ce film aborde aussi le procès d’Aube dorée. Une première mondiale pour un parti politique élu légalement. Procès dans lequel notre premier long-métrage a servi de pièce à conviction, ce qui nous a valu les foudres de ses partisans. » Objectif du long-métrage, selon la réalisatrice : Montrer les dérives de ce parti politique. Malgré le procès en cours depuis plus de quatre ans, qui vise à démontrer qu’Aube dorée n’est pas un parti politique mais une organisation criminelle à caractère militaire et à structure pyramidale, cette formation reste toujours présente en bonne place dans le paysage politique grec. »

    Composé de témoignages d’activistes antifascistes et de manifestation d’extrême gauche, ce film très engagé traite, pendant près de deux heures, de la question des moyens de combattre Aube dorée.

    « Nous avons été agréablement surpris de voir, lors d’une manifestation allemande, la maturité des manifestants antifascistes et de la gauche, qui n’existe pas en Grèce ou en France. Cela nous a agréablement étonnés. » Le film a déjà reçu plusieurs prix et poursuit sa tournée en Grèce, en Allemagne, dans le Grand-Est de la France, en Belgique, en Espagne et en Italie.

    Lundi 20 septembre, 20 h, soirée citoyenne au Sterenn. Projection du film Aube Dorée, l' affaire de tous, puis débat. Participation libre, passe sanitaire obligatoire.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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    Finistère. Près de 1 200 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire, ce samedi 18 septembre  (OF.fr-18/09/21-18h56)Manifestation contre le passe sanitaire à Brest (Finistère), ce samedi 18 septembre 2021.

    De nouvelles manifestations contre le passe sanitaire, l’obligation vaccinale des soignants ou encore l’extension du vaccin contre le coronavirus aux jeunes à partir de 12 ans se sont déroulées ce samedi 18 septembre 2021 dans le Finistère. Ils étaient près de 1 200 à Brest, Quimper, Morlaix et Châteaulin.

    Les personnes s’opposant au passe sanitaire, à l’obligation vaccinale des soignants ou encore à l’extension du vaccin contre le coronavirus aux jeunes à partir de 12 ans sont de nouveau descendues dans les rues des villes du Finistère ce samedi 18 septembre 2021, pour la dixième semaine consécutive.

    140 personnes à Morlaix

    Ils étaient 140 à Morlaix (Finistère) en matinée. « On ne lâchera rien ! », scandaient les manifestants. Pour la première fois depuis le début de la mobilisation, le cortège a changé de circuit et s’est rendu devant l’hôpital de Morlaix pour soutenir les soignants suspendus depuis le 15 septembre 2021.

    Une forte baisse à Brest et à Quimper

    À Brest, ils étaient près de 400 : une forte baisse par rapport aux semaines précédentes, où on comptait entre 800 et 1 000 manifestants.

    Le cortège s’est élancé de la place de Strasbourg à 14 h, puis a descendu la rue Jean-Jaurès, bloquant la circulation du tramway, avant d’emprunter l’avenue Clemenceau et de remonter vers l’hôpital Morvan.

    Une vingtaine de manifestants masqués, présentés comme des professionnels de santé ou des pompiers, se sont allongés devant les grilles de l’hôpital Morvan, une croix à la main. Ils ont été présentés l’un après l’autre par leur prénom, leur profession et la durée de leur carrière.

    Le cortège s’est ensuite rendu place de la Liberté, avant de se disperser.

    « Liberté, liberté » 

    « Liberté, liberté », scandaient, comme chaque samedi depuis le début de la mobilisation, les opposants au passe sanitaire à Quimper.


    Ils étaient 470 selon les chiffres de la police nationale et 610 selon le décompte des organisateurs à battre le pavé cet après-midi, moitié moins que le samedi 11 septembre 2021. Ils se sont donné rendez-vous vers 15 h, place de la Tourbie avant de défiler dans plusieurs lieux de la ville.

    Une trentaine à Châteaulin

    Les manifestants se sont donné rendez-vous à 14 h place de la Résistance, à Châteaulin.

    À Châteaulin, une petite trentaine de personnes se sont réunies place de la Résistance pour manifester leur mécontentement contre le « passe de la honte », comme on pouvait le lire sur certaines de leurs pancartes.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La manifestation anti passe n’a rassemblé que 140 participants ce samedi 18 septembre. La manifestation anti passe n’a rassemblé que 140 participants ce samedi 18 septembre.

    À Morlaix, ce samedi 18 septembre, une nouvelle manifestation contre le passe sanitaire s’est déroulée. Quelque 140 personnes ont défilé dans les rues du centre-ville, scandant tout au long du parcours, le mot « liberté ». A noter, alors qu’il est obligatoire dans le périmètre de la manifestation, que de nombreux protestataires ne portaient pas le masque. Comme les semaines précédentes, des commerçants ont regretté le choix de bloquer la circulation en ville un samedi matin, jour de marché. Au plus fort de la mobilisation, les manifestations anti-passe ont réuni à Morlaix près de 300 personnes, c’était au mois d’août.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Le cortège des anti-passe sanitaire a perdu des éléments en une semaine. Les manifestants présents ce samedi restent néanmoins déterminés.Le cortège des anti-passe sanitaire a perdu des éléments en une semaine. Les manifestants présents ce samedi restent néanmoins déterminés. 

    Entre 350 et 400 manifestants ont crié leur rejet du passe sanitaire, ce samedi après-midi, au centre-ville de Brest. Si la participation baisse, la détermination de certains reste vive.

    Comme une habitude en cours depuis la mi-août, les organisateurs de la manifestation brestoise contre le passe sanitaire ont donné rendez-vous, via les réseaux sociaux, place de Strasbourg, ce samedi, en début d’après-midi. Entre 350 et 400 personnes ont donné corps au défilé qui a pris la direction du centre-ville aux cris de « Liberté, résistance ! ».

    Une estimation qui ne devrait pas plaire dans un cortège où la manipulation des chiffres par les médias relève d’une accusation définitive. Il est cependant un fait difficilement contestable : la participation enregistre une nouvelle baisse, après un précédent samedi de mobilisation en déclin.

    « Depuis mercredi, je ne peux plus travailler »

    De nouvelles têtes ont cependant fait leur apparition. « On nous contrôle en permanence », s’agace de plus en plus Françoise, qui prenait part à la première contestation populaire de sa vie. Impression d’étouffement administratif également ressentie par une voisine, trois manifs anti-passe sanitaire au compteur.

    Depuis le 15 septembre, elle a une raison supplémentaire de venir exprimer son rejet : « Depuis mercredi, je ne peux plus travailler », déplore cette infirmière libérale habitant à Plouarzel, en référence à l’interdiction d’exercice au contact du public soumise aux soignants non vaccinés.

    Avertissements

    « J’ai deux mois de réserve pour vivre et chercher un autre emploi. Je sais que je fais un sacrifice mais on ne me forcera pas à me faire injecter ce vaccin génétique ».

    Le cortège a poursuivi son chemin habituel (Jean-Jaurès, Morvan, Siam, Jean-Macé…) avant de se séparer place de la Liberté. Une manifestation sans dégradation mais ponctuée d’arrêts animés par la virulence contagieuse d’une femme au micro. Encourageant vivement mais vainement les passants de la rue de Siam à se soulever « dans ce pays de la honte » puis, devant la rédaction du Télégramme, les journalistes à bien faire gaffe à ce qu’ils écrivent.

    Auteur : Yann Le Gall

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le dixième rassemblement contre le passe sanitaire a réuni une quarantaine d’opposants, ce samedi 18 septembre, à Châteaulin. Le dixième rassemblement contre le passe sanitaire a réuni une quarantaine d’opposants, ce samedi 18 septembre, à Châteaulin. 

    Pour le dixième rassemblement du genre, une quarantaine d’opposants au passe sanitaire a de nouveau manifesté dans les rues de Châteaulin, ce samedi 18 septembre.

    Comme la semaine passée, environ 40 opposants au passe sanitaire se sont retrouvés, ce samedi 18 septembre, en début d’après-midi, place de la Résistance à Châteaulin, avant d’entamer un défilé dans les rues de la ville. Sur proposition de l’un des participants, le cortège s’est rendu à la bibliothèque, lieu symbolique où le passe est demandé. « Mais comment fait un enfant de 3 ans pour s’y rendre, si son parent n’a pas le passe ? », s’indignait une manifestante. L’idée, un temps émise, de rentrer dans les locaux a vite été abandonnée, puisque la bibliothèque est fermée le samedi après-midi. « Comment pourrions-nous faire pour être plus nombreux la semaine prochaine ? », se sont interrogés certains. « La solution est peut-être que chacun amène une personne supplémentaire… ». Vers 15 h 30, les opposants ont finalement rejoint leur point de départ et se sont dispersés tranquillement.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Plusieurs centaines de manifestants étaient à nouveau mobilisés contre le passe sanitaire samedi 18 septembre 2021 à Quimper (Finistère).

    Samedi 18 septembre 2021, un nouveau rassemblement anti-passe sanitaire a mobilisé plusieurs centaines de personnes dans les rues de Quimper (Finistère).

    Au son des « Liberté », « Liberté », les manifestants anti-passe sanitaire étaient à nouveau présents samedi 18 septembre 2021 à Quimper (Finistère). Ils se sont donné rendez-vous un peu avant 15 h, place de la Tourbie avant de défiler dans plusieurs lieux de la ville. Ils étaient 470 selon les chiffres de la police nationale et 610 selon le décompte des organisateurs. Des chiffres en recul par rapport à la semaine dernière.

    Beaucoup étaient des habitués à l’image de Christiane qui est venue à toutes les manifestations. « Je veux juste qu’on ait la liberté de choisir si on veut se faire vacciner ou non. Je ne supporte pas le passe sanitaire ni le masque, cela rend la société moche », regrette la femme.

    Les manifestants ont défilé tout l’après-midi dans les rues du centre-ville.  

    À quelques pas, Sophie (le nom a été modifié) « trouve que c’est pas normal qu’on nous pousse à ce point à nous faire vacciner, qu’on mette en place le passe sanitaire ». Face à l’annonce d’Emmanuel Macron d’une potentielle levée du passe sanitaire dans certains départements dont le Finistère pourrait faire partie, Sophie se montre sceptique « c’est peut-être à but électoral mais j’attends de voir ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les manifestants, à 15 h, devant la préfecture. Les manifestants, à 15 h, devant la préfecture.

    Pour ce dixième samedi de mobilisation, les opposants au passe sanitaire sont à nouveau dans les rues de Quimper. Partis à 14 h de Penvillers, ils défilent dans le centre-ville de la capitale de la Cornouaille, perturbant la circulation, au son des tambourins et aux cris de « Liberté, résistance ».

     
    Ce samedi, 500 opposants au passe sanitaire dans les rues de Quimper
     
     

    Ce samedi, à 15 h, ils ont marqué un arrêt devant la préfecture où ils étaient environ 500. Un chiffre en baisse par rapport à la semaine dernière où ils étaient près de 1 200 (750 selon la police). Au plus fort de la mobilisation, le 7 août, ils étaient près de 3 000.

    Ce samedi, 500 opposants au passe sanitaire dans les rues de Quimper
     
    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Les infos de l'Union Locale Cgt de Brest du 15 septembre 2021 ( FB.com )

    Source : https://www.facebook.com

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  • Cette semaine, Thomas vous fait un nouveau point concernant l'actualité du CHRU Brest . Le point sur, bien evidemment, la situation vaccinale et ses conséquences, mais il fait aussi un tour de l'actualité revendicative, encore une nouvelle fois chargée à Brest.

    Source : https://www.facebook.com

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  • Ile d’Ouessant. Les banderoles du collectif Vent de bout’ saccagées. ( OF.fr - 17/09/21 - 19h16 )Toujours très motivés et déterminés, les membres du collectif ont refabriqué des banderoles qui ont été fixées sur les murs (ici au bourg de Lampaul au Piliguet).

    Les banderoles du collectif Vent de bout’ Ouessant ont été arrachées dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 septembre 2021. Ce week-end avait vu débarquer sur l’île de nombreuses personnes venues soutenir les organisateurs du festival de l’Îlophone qui a été annulé en raison de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19.

    Le week-end dernier, les 10, 11 et 12 septembre 2021, beaucoup de fidèles du festival de l’Îlophone (annulé depuis plusieurs semaines) avaient néanmoins embarqué à bord du Fromveur pour rejoindre Ouessant et soutenir les organisateurs et retrouver des festivaliers, qui souhaitaient profiter de l’île un si beau week-end.

    L’ambiance comme à l’accoutumée était chaleureuse et familiale, après ces nombreux mois d’isolement, et l’île était très festive.

    Un évènement très désagréable a jeté une ombre et a contrarié tout le monde. Dans la nuit de vendredi à samedi, des opposants au collectif Vent de bout’ ont arraché et mis à la poubelle, quatorze banderoles fixées sur les portillons ou murs de maison et ce, aux quatre coins de l’île.

    Le président du collectif, David Quantin, a porté plainte à la gendarmerie pour vol, les gendarmes ont dressé une carte des lieux où il y a eu des dégradations, le dossier a été transmis au procureur de la république.

    « Nous avons eu de nombreux messages de soutien ainsi qu’un regain d’adhésions au collectif ; nous sommes toujours ouverts à la discussion, la pétition contre l’implantation de l’éolienne a dépassé les 3 000 signatures », souligne David Quantin.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Sylvie Trouboul, directrice de la MJC, Maxime Bitter, de la production, Angélique Kourounis, journaliste et réalisatrice, Thomas Lacovi, journaliste et assistant réalisation et Laurent Penn, Attac Con Sylvie Trouboul, directrice de la MJC, Maxime Bitter, de la production, Angélique Kourounis, journaliste et réalisatrice, Thomas Lacovi, journaliste et assistant réalisation et Laurent Penn, Attac Concarneau.

    La MJC de Trégunc et l’association Bretagne Grèce Solidarité Santé organisent, lundi à 20 h, la projection du film « Aube dorée, l’affaire de tous », suivie d’un débat en présence de la réalisatrice, Angélique Kourounis, et de ses équipiers. Cette soirée est soutenue par le collectif des conférences citoyennes.

    L’effondrement financier, l’instabilité politique et les relations familiales en Grèce sont mis en lumière dans ce documentaire qui tente de découvrir ce qui se passe dans la tête des partisans de l’Aube Dorée, parti néonazi grec, qui se présentent comme des victimes du système. « Aube Dorée, l’affaire de tous » est un second long-métrage après « Aube Dorée, une affaire personnelle », qui visait à comprendre le fonctionnement du parti néonazi grec, toujours présent en bonne place sur la scène politique grecque.

    Ce second film veut explorer toutes les résistances possibles. « L’Aube Dorée n’est plus une affaire personnelle, elle devenue l’affaire de tous. Elle nous concerne tous et toutes. Si l’Aube Dorée et toutes les Aubes Dorées du monde, qui ont le vent en poupe, viennent aux affaires, nous sommes tous et toutes en danger », souligne la réalisatrice, Angélique Kourounis.

    Pratique

    Ouvert à tous, participation libre, passe sanitaire obligatoire pour accéder à la salle du Sterenn. Contact MJC tél. 02 98 50 95 93.

     

     
     
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  • Catherine Leroy, Carine Thomas, Françoise Bordanova et Marie-Astrid Sergent partagent un même constat pessimiste. Catherine Leroy, Carine Thomas, Françoise Bordanova et Marie-Astrid Sergent partagent un même constat pessimiste. 

    Pour la CGT de l’hôpital de Douarnenez, le moral est atteint en cette rentrée, au vu de la souffrance au travail au sein des Ehpad.

    « Imaginez que nous, à la CGT, en soyons arrivés à nous demander s’il n’est pas préférable de fermer des lits, au détriment du service rendu à la population, pour sauver le personnel épuisé ! Cela nous semblait impensable, et pourtant l’idée nous effleure l’esprit ».

    C’est une Carine Thomas quasiment sous le choc qui a reçu la presse ce vendredi. La secrétaire générale de la CGT de l’hôpital Michel-Mazéas de Douarnenez évoque un « été sans précédent dans les Ehpad à cause du manque d’effectifs, avec des équipes à bout, où les arrêts se multiplient, où les pleurs viennent facilement ». « Oui la souffrance au travail s’est accélérée, ne pas avoir le temps de tenir la main d’une personne âgée pendant cinq minutes car nous sommes tout le temps dans l’urgence, c’est une sensation horrible », témoigne Marie-Astrid Sergent, aide-soignante à Ty-Marhic avec une trentaine années de métier.

    "Oui la souffrance au travail s’est accélérée, ne pas avoir le temps de tenir la main d’une personne âgée pendant cinq minutes car nous sommes tout le temps dans l’urgence, c’est une sensation horrible"

    Elle explique qu’au sein de son établissement, les aides-soignantes sont au nombre de trois, au lieu de cinq, pour 38 résidents le matin, « et souvent une titulaire avec deux jeunes sans formation ». C’est deux aides-soignantes pour 45 le dimanche au Jardin du Clos, précise l’infirmière Catherine Leroy, qui dénonce « l’absence d’infirmière certaines nuits, entre 19 h 30 et 7 h 30 ». Et le travail qui n’est pas fait la nuit se reporte sur l’équipe de jour, note-t-elle encore.

    Comment redonner de l’attractivité ?

    Les difficultés de recrutement sont largement partagées au niveau national. À Douarnenez, le bureau d’embauche lancé par la CGT a permis de trouver quelques agents, annonce Carine Thomas. « Mais une infirmière qui avait demandé sa mutation en Ehpad à Douarnenez s’est vue proposer un salaire inférieur à ce qu’elle avait précédemment, elle est donc partie ailleurs : comment expliquer cela à des équipes qui se démènent ? », lance la syndicaliste.

    « On embauche des personnes qui n’ont jamais vu de personne âgées nue et doivent faire leur toilette le premier jour, sans accompagnement : beaucoup décrochent au bout de quelques jours », indique Catherine Leroy. Elle garde foi dans les métiers de la gériatrie, « mais ce sont des métiers qui réclament du temps auprès des résidants, des familles ». Pour Carine Thomas, il faut se battre pour garder les titulaires actuels « avec de l’écoute, de la bienveillance et un accès à des formations ».

    Et redonner ainsi de l’attractivité aux emplois. Ce n’est pas, à l’entendre, sur les augmentations de salaire du Ségur de la santé qu’il faut miser : d’après ses données, pour une aide-soignante d’échelon 8, en classe normale, la hausse serait de 3,73 € nets par mois.

     

    Rodolphe Pochet

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  • Plusieurs Cornouaillais se sont rassemblés à Paris, jeudi. Plusieurs Cornouaillais se sont rassemblés à Paris, jeudi.

    Plusieurs infirmiers anesthésistes diplômés d’État (IADE) du centre hospitalier de Quimper/Concarneau ont participé à un rassemblement organisé à Paris, jeudi 16 septembre. Un mouvement national organisé alors que « depuis plusieurs mois, les IADE luttent pour obtenir la juste reconnaissance de leur profession, de leur haute qualification et de leur pratique professionnelle », écrit la CGT dans un communiqué. Un syndicat qui explique que les infirmiers anesthésistes « s’inquiètent sincèrement sur l’avenir de leur profession et leurs modalités d’exercice ». « Leur principal souhait, poursuit-il, est d’acquérir un statut qui leur reconnaît un exercice de pratique avancée ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • À Brest, le nouveau bâtiment Orange se situe dans la zone de l’Hermitage, à l’angle de la rue de Gouesnou et de la rue Gaston Esnault).Les salariés des sites Orange de Brest et Morlaix sont appelés à faire grève le 21 septembre prochain.

    Un préavis de grève intersyndical (CGT, CFDT, FO, Sud, CFTC et Unsa) de 24 heures a été déposé pour couvrir l’ensemble du personnel d’Orange le mardi 21 septembre 2021.

    Dans un communiqué, le syndicat CGT FAPT du Nord-Finistère appelle l’ensemble des salariés des sites Orange de Brest et Morlaix à participer « à cette journée de mobilisation par la grève et l’action ».

    Un rassemblement à Brest

    « Depuis plusieurs mois, le personnel d’Orange alerte les organisations syndicales sur les niveaux de salaires et la dégradation des conditions de vie et de travail », écrit le syndicat, qui dénonce également un « transfert des activités vers la sous-traitance et les filiales ».

    Un rassemblement aura donc lieu, le 21 septembre, à 9 h, devant le nouveau bâtiment d’Orange, zone de L’Hermitage. Le même jour, un rassemblement sera également organisé à 11 h, devant la Direction opérationnelle d’Orange Grand Ouest à Rennes.

    « Le prolongement de cette action se fera au travers de l’appel à la grande journée de mobilisation interprofessionnelle du 5 octobre 2021 », écrit la CGT FAPT.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Une cinquantaine de médiathécaires et quelques usagers se sont installés sur le parvis de la mairie de quartier, à la mi-journée. Au micro, Marion Schweyer et Élodie Regnoult.Une cinquantaine de médiathécaires et quelques usagers se sont installés sur le parvis de la mairie de quartier, à la mi-journée. Au micro, Marion Schweyer et Élodie Regnoult.

    Répondant à l’appel du syndicat Sud, une cinquantaine d’agents des différentes médiathèques brestoises et aussi des usagers se sont retrouvés ce mercredi midi, lors d’un pique-nique revendicatif place Napoléon-III, devant la mairie de quartier de Bellevue, pour manifester leur opposition au passe sanitaire dans les médiathèques. Cette mesure apparaît d’autant plus incongrue aux médiathécaires de Bellevue que la structure où ces agents travaillent est implantée juste au-dessus d’un supermarché Carrefour Market, qui n’a pas à demander le fameux sésame et dont la fréquentation est autrement plus dense.

    Les bibliothécaires n'ont pas manqué d'apporté des livres. Une séance de lectures d'histoires pour enfants était d'ailleurs proposée par les bibliothécaires à partir de 14hLes médiathécaires n’ont pas manqué d’apporté des livres. Une séance de lectures d’histoires pour enfants était d’ailleurs proposée à partir de 14 h.

    Une baisse de fréquentation de 50 %

    « Les médiathèques de Bellevue et de l’Europe sont les plus touchées par cette baisse de fréquentation des usagers, ce qui montre bien que c’est sur les populations les plus défavorisées que l’obligation du passe sanitaire a le plus d’impact. Limiter l’accès aux médiathèques est complètement contraire à nos missions de service public », soulignait Marion Schweyer, du syndicat Sud et bibliothécaire à Bellevue, où la baisse de fréquentation constatée atteint 50 %.

    Nouveau rassemblement à la médiathèque Jo-Fourn le 22 septembre

    « À Villeurbanne et à Lyon (Rhône), les préfets ont demandé la levée du passe dans les médiathèques, en argumentant sur le fait qu’il s’agit d’une discrimination sociale. C’est le début d’un mouvement qui prend de l’ampleur, et on espère obtenir une réponse politique à la hauteur », complète la jeune syndicaliste.

    En attendant, un nouveau rassemblement, toujours sous la forme d’un pique-nique, est programmé à 12 h 30 le mercredi 22 septembre, devant la médiathèque Jo-Fourn, dans le quartier de l’Europe.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest. François Ruffin présente son film « Debout les femmes ! ». ( OF.fr - 15/09/21 - 15h18 )

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le député de la France Insoumise François Ruffin vient présenter, en avant-première, mardi 28 septembre 2021, à 20 h, aux Studios, à Brest, « Debout les femmes ! », son film co-réalisé avec Gilles Perret.

    En sortie nationale le 13 octobre, ce film, un « road-movie parlementaire » va à la rencontre des femmes qui s’occupent des enfants, des malades, des personnes âgées, les aides à domicile, les agents d’entretien… des métiers du lien souvent précaires, dont la crise du Covid «a prouvé le caractère indispensable.»

    Source : https://www.ouest-france.fr

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    Finistère. Ces soignants témoignent sur l’obligation vaccinale contre le Covid-19  (OF.fr-15/09/21-8h01)Trois manifestantes lors de la mobilisation à Morlaix (Finistère), ce mardi 14 septembre 2021, contre l’obligation vaccinale des soignants contre le Covid-19. 

     
    L’obligation vaccinale contre le coronavirus des personnels travaillant dans des établissements de santé entre en vigueur ce mercredi 15 septembre 2021. Une partie d’entre eux la refusent. Vaccinés à contrecœur ou réticents à l’injection, trois soignants ont témoigné de leur désarroi. 

    Selon une source syndicale, il y aurait dans le Finistère, par établissement de santé, entre 3 à 5 % des soignants risquant la suspension à cause de leur refus de l’obligation vaccinale contre le coronavirus, qui entre en vigueur ce mercredi 15 septembre 2021. Certains y sont défavorables mais ont été contraints à l’injection pour continuer à travailler. D’autres font le choix de tenir tête et se retrouvent sous le coup d’une suspension de leur activité.

    Sylvie (1), 53 ans, infirmière dans un établissement privé du Finistère, vaccinée

    « Quand on fait la balance bénéfice/risque, je suis favorable à la vaccination contre le Covid-19 pour les personnes les plus fragiles. Je ne suis pas contre la vaccination : en tant qu’infirmière, j’ai tous mes vaccins à jour. Mais je suis contre la stigmatisation des soignants. On nous dit qu’on est dangereux alors qu’on a été au front et qu’on nous applaudissait au début de la crise. Dans un premier temps, mon établissement m’a proposé de poser mes congés [avant la suspension]. Mais j’ai pesé le pour et le contre, calculé le coût financier, repoussé jusqu’au dernier moment et j’ai fini par me faire vacciner il y a quelques jours. On nous pose le vaccin comme l’ultime recours contre le Covid-19, mais il faudrait surtout de la prévention, des traitements et soigner les gens comme il se doit, avec du personnel et des lits en plus. »

    Renaud (1), 45 ans, soignant dans un hôpital de la région, non vacciné

    « Entre les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner et ceux qui y ont été forcés, les gens sont dans un désarroi le plus total, ils sont désespérés. Ça fait des mois qu’on ne dort plus, qu’on vit dans le stress. Cet acharnement à la vaccination, c’est malsain. Il y a un sentiment d’écœurement car plus l’épidémie avance, moins on a de moyens. Je n’ai même plus envie d’aller travailler. Je préfère finir comme un clochard dans la rue (et dans ma bouche ce n’est pas méprisant) plutôt que d’être contraint à me vacciner. Je ne renoncerai jamais à ma liberté.

    Dans mon établissement, on a un gros défaut d’information : on a déjà eu des relances pour se faire vacciner, mais je ne sais pas quand on va être convoqués. »

    Antoine (1), 34 ans, infirmier au CHU de Brest, non vacciné

    « On estime que les conditions ne sont pas réunies pour imposer une obligation vaccinale. C’est prouvé que le vaccin n’empêche pas la propagation du virus, alors pourquoi l’imposer aux soignants et pas aux autres ? Il y a six mois, j’ai eu une suspicion de Covid sans symptômes. La médecine du travail m’a dit que je pouvais aller travailler, car c’était le protocole. Aujourd’hui, si je suis négatif mais pas vacciné, je ne peux plus travailler.

    Ce mercredi 15 septembre, je ne travaille plus, je suis suspendu sans salaire. Pour la suite, on n’a pas beaucoup de solutions. Soit je demande un recours gracieux auprès de la direction de l’hôpital, soit je fais des démarches pour aller devant le tribunal administratif. Ce sera comme ça au moins jusqu’au 15 novembre [date de fin de l’état d’urgence sanitaire, NDLR], à moins qu’un juge en décide autrement. »

    (1) Les prénoms ont été modifiés

     

    Béatrice CHOT-PLASSOT.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La manifestation pour la reconnaissance du risque lié à l’exposition à l’amiante a eu lieu à l’heure de pointe, mardi 14 septembre, à Naval Group, à Brest.La manifestation pour la reconnaissance du risque lié à l’exposition à l’amiante a eu lieu à l’heure de pointe, mardi 14 septembre, à Naval Group, à Brest. (CGT Arsenal Brest)

    Mardi 14 septembre, 200 salariés de Naval Group se sont mobilisés pour faire reconnaître leur exposition à l’amiante. La CGT estime qu’ils sont éligibles à une retraite anticipée.

    Deux cents salariés de Naval Group ont manifesté sur la base navale de Brest, ce mardi 14 septembre, dès 7 h 30.

     

    Ils ont tenu à remettre une motion au directeur rappelant leur désir d’être inscrits au décret amiante, qui leur ferait bénéficier d’un départ anticipé à la retraite. Ils s’opposent ainsi à l’avis de la direction générale du travail qui avait estimé leur exposition insuffisante pour justifier cette mesure.

    Le 23 septembre, la CGT Arsenal se rendra à Paris, pour recevoir une réponse du siège.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Happy hour, Initiatives solidaires

    Lundi au vendredi - 17h05

     

    Un film qui suit le procès de cette organisation nationaliste grecque pendant 5 ans et qui a démontré que ce n'était pas un parti politique mais une véritable organisation criminelle.

    "Aube dorée, l’affaire de tous" le film d'Angélique Kourounis"Aube dorée, l’affaire de tous" le film d'Angélique Kourounis

     

    Ce  film, c'est l'histoire du procès du parti néo-nazi grec Aube dorée né en 1993, qui s'est développé sur fond de la crise de 2008 et qui est resté la 3e force politique de Grèce pendant 7 ans. Le procès de 2015 à 2020 a vu la condamnation d'une cinquantaine de personnes, dont des députés, de 5 à 14 ans de prison. Il visait à démontrer qu’Aube Dorée n’était pas un parti politique mais bien une organisation criminelle.

    La réalisatrice Angélique Kourounis, journaliste à Radio France, Ouest-France ou Charlie Hebdo a travaillé des années sur la montée du néo-nazisme en Grèce d'abord pour le film "Aube Dorée une affaire personnelle" en 2017, parce que son mari est juif, son fils homo, elle journaliste, parce sa famille était en danger. Avec cette suite "Aube dorée, l’affaire de tous", elle suit les minutes du procès qu'elle juge plus important que le procès des nazis de Nuremberg. Car Aube dorée, un parti élu a été confronté à une justice non militaire d'un pays de l'UE : une première en Europe. Un procès sans public, entravé par des parlementaires, décrié par les autres partis nationalistes européens, mais qui a pu mettre en lumière le système militaire et criminel de cette organisation : attaque contre des syndicalistes, attaque contre des pêcheurs étrangers et meurtre. Celui de Pavlos Fyssa, un musicien grec assassiné en 2013 par un cadre du parti d'Aube dorée. Le combat de sa mère sert de fil rouge au film.

    Le film "Aube dorée, l’affaire de tous", en présence de sa réalisatrice Angélique Kourounis, est projeté dans 14 villes bretonnes en ce moment, mardi 14 septembre à la MJC Kerfeuteun à 20h à Quimper, jeudi 16 septembre au cinéma Ty Hanok à Auray (56), vendredi 17 septembre au Local Fête de l'Ével à Baud (56) à 19h30 et lundi 20 septembre au Sterenn à Trégunc (29).

    La tournée de "Aube dorée, l’affaire de tous" se fait à l'invitation de L'association Bretagne-Grèce-Solidarité-Santé (et une douzaine de partenaires) qui depuis 2015 récolte des dons, du matériel médical pour soutenir les Grecs et les réfugiés en Grèce. Au plus dur de la crise de 2008, 30% des habitants n'avaient pas de couverture santé.

    Axel PERRET 

    France-Bleu-Breizh-Izel

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  • Brest. Passe sanitaire dans les médiathèques : Sud CT appelle à la grève mercredi 15 septembre  (OF.fr-13/09/21-19h52)Sud CT appelle à la grève et se rassemble mercredi 15 septembre 2021.

    Sud CT réclame la fin du passe Sanitaire. Le syndicat des médiathèques appelle à la grève et propose trois dates de rassemblement en septembre.

    Le syndicat SUD Collectivités Territoriales-Brest Métropole prolonge son mouvement et appelle à la grève les 15, 22 et 29 septembre 2021. Le syndicat des médiathèques revendique un accès libre et sans condition aux services publics, la suppression du passe sanitaire aux utilisateurs du lieu, la gratuité des abonnements aux médiathèques et un accès facilité et gratuit aux vaccins et aux tests pour le personnel.

    Le rassemblement est prévu mercredi, place Napoléon-III (devant la mairie de Bellevue) à 12 h 30, autour d’un pique-nique revendicatif, et se poursuivra à 14 h par des lectures d’histoires aux enfants.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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