• 65 % des agents municipaux en grève à Plouzané. ( LT.fr - 17/06/21 - 13h27 )  Les agents de la commune de Plouzané espèrent que la municipalité fera un pas de plus en faveur de leurs revendications.

    En lien avec la hausse de leur temps de travail, une bonne partie des agents de la ville de Plouzané ont débrayé ce jeudi matin. Une rencontre avec la municipalité doit avoir lieu dans l’après-midi.

    Ce jeudi 17 juin, les agents communaux de Plouzané ont entamé un mouvement de grève. Réunis en matinée sur le parvis de la mairie, ils ont débrayé de 11 h à midi. Selon les représentants syndicaux, le mouvement est suivi par 65 % des agents de la ville.

    Leur grogne est en rapport avec la loi qui annualise le temps de travail dans la fonction publique. Cette loi du 6 août 2019 met fin aux régimes dérogatoires réduisant la durée du travail effectif en deça des 35 heures, et impose un total annuel travaillé de 1 607 heures au plus tard le 1er janvier 2022.

    Les jours d’ancienneté dans la balance

    « Elle permet également de prendre certaines dérogations, et sur Plouzané, les agents du service enfance peuvent ne pas effectuer les 50 heures supplémentaires, en raison de leurs horaires atypiques et de congés imposés », explique Sébastien Autret, secrétaire général de la CGT à Brest métropole.

    Les agents communaux sont d’accord d’effectuer ces 50 heures de plus sur l’année, mais la loi n’oblige pas l’employeur, la commune, à retirer les jours d’ancienneté. « Le maire, Yves Du Buit, a fait le choix de les supprimer sans aucune contrepartie financière », indiquent les syndicalistes, en précisant que, dans un deuxième temps, il est revenu sur ses dires. « Il propose le maintien de ces jours sans dégressivité pour les agents déjà en poste, ou d’adhérer à un comité d’action sociale à portée nationale. L’agent pourra demander ultérieurement son adhésion, moyennant l’abandon des jours d’ancienneté, mais le choix inverse ne sera pas possible », précise Sébastien Autret.

    Rendez-vous avec la municipalité ce jeudi après-midi

    Ces propositions ne satisfont pas les agents, qui ont fait état de leurs revendications. Une délégation doit être reçue ce jeudi après-midi par la municipalité pour essayer de parvenir à un accord. Le personnel municipal en grève se réunira ensuite de nouveau devant la mairie, en début de soirée, pour statuer sur la poursuite ou non de la grève, au vu des propositions qui seront présentées.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) de Douarnenez (Finistère) débrayent tous les midis depuis le vendredi 11 juin 2021.Des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) de Douarnenez (Finistère) débrayent tous les midis depuis le vendredi 11 juin 2021.

    Les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) débrayent tous les midis depuis une semaine, à Douarnenez (Finistère). Ce jeudi 17 juin 2021, ils étaient mobilisés devant la mairie pour protester contre la réorganisation de leur temps de travail. Les négociations avec la mairie n’ont toujours pas abouti et le service de restauration scolaire reste fermé pour l’instant.

    Cela fait une semaine que les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) de Douarnenez (Finistère) débrayent sur leur pause méridienne. Ce jeudi 17 juin 2021, elles ont également quitté leur poste pour se mobiliser devant la mairie de Douarnenez et protester contre la réorganisation de leur temps de travail imposée par la loi de transformation de la fonction publique du 6 août 2019. Pour montrer leur soutien aux Atsem mobilisés, une quinzaine de parents d’élèves avaient investi le hall de l’hôtel de ville pour pique-niquer.

    Nous acceptons les 42 heures annuelles supplémentaires mais nous ne sommes pas d’accord avec les modalités de la réorganisation, explique Bénédicte Castrec, Atsem et représentante du personnel. Nous demandons à rattraper ces heures en venant quinze minutes plus tôt le matin, pour échanger dans le calme avec l’enseignant, aérer les classes, refaire les niveaux de colle ou de peinture… Pour Jocelyne Poitevin, maire de Douarnenez, cette proposition n’est pas cohérente : Ce quart d’heure ne nous paraît pas nécessaire, d’autant plus qu’à 8 h 15, la ou le professeur(e) des écoles n’est pas toujours arrivé(e).

    Pas de restauration scolaire

    Les agents des écoles, qui travaillent principalement en primaire et ont des missions différentes des Atsem (périscolaire, surveillance et service restauration, entretien, etc.), étaient, eux aussi, mobilisés contre cette réorganisation. « Ils ne voulaient pas rattraper ces heures pendant l’été, ce qui était initialement prévu. Nous avons limité ces rattrapages aux petites vacances scolaires et ils ont accepté. Nous avons proposé aux Atsem de s’aligner sur ce régime, mais elles refusent ​, déplore la maire.

    Les Atsem appellent à un nouveau débrayage, ce vendredi 18 juin 2021. Le service de restauration scolaire, interrompu depuis le vendredi 11 juin 2021, reste indisponible. Une garderie a été mise en place le midi pour que les enfants puissent manger sur place un repas froid prévu par les parents.

    Les autres services (services techniques, enseignement artistique, etc.) mobilisés le 4 juin 2021 notamment, contre la réorganisation, ont finalement accepté les propositions faites par la Ville. Ces réorganisations seront à l’ordre du jour du conseil municipal du 28 juin 2021.

     

    Antoine ROGER

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  • À Brest, les salariés de Thales dénoncent un manque de reconnaissance ( LT.fr - 16/06/21 - 10h50 ) Les questions salariales et d’intéressement font, entre autres, partie des points de crispation exprimés ce mercredi matin.

    Ce mercredi matin, quelque 200 salariés se sont réunis devant les grilles du site Thales DMS de Brest, pour exprimer leur mécontentement. Ils ont ensuite pris place devant l’entrée de l’usine où sont fabriqués des équipements de défense, pour écouter le discours de l’intersyndicale (CFDT, UNSA, CFE CGC, CGT, Supper et CFTC).

    Un manque de reconnaissance déploré

    Parmi les points de crispation, les syndicats déplorent la non-reconnaissance des efforts des salariés durant une période de crise sanitaire compliquée, se traduisant par une diminution de l’augmentation de salaire ainsi qu’un intéressement et une participation pas à la hauteur de leurs espérances vis-à-vis des résultats de l’entreprise, des commandes annoncées et des dividendes des actionnaires.

    L’intersyndicale attend maintenant des propositions de la part de la direction nationale. D’autres actions pourraient avoir lieu sur les différents sites français.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Ségur de la santé : à Brest, un bilan contrasté. ( LT.fr - 15/06/21 - 17h20 ) Soignants et syndicats rassemblés sur la place de la liberté, mardi, pour dénoncer l’inefficacité du Ségur de la santé.

    Ségur de la santé : la question n’est toujours pas réglée pour la centaine de soignants brestois, rassemblés place de la liberté, ce mardi 15 juin. Malgré l’extension de la prime à la fin mai, la fermeture de lits et l’organisation du système hospitalier posent toujours problème.

    « Qu’en est-il un an après le Ségur de la santé ? », voilà la question que s’est posée la centaine de soignants mobilisés à Brest, ce mardi 15 juin. Le Ségur mis en place en juin 2020, en réponse à la pandémie et à la tension dans les hôpitaux, promettait de soutenir ce milieu en crise. Un an après, c’était l’heure du bilan, dans une ambiance amicale, à l’occasion d’un pique-nique militant, organisé sur la place de la Liberté, en réponse à l’appel national à manifester.

    « Tout n’est pas négatif, il y a eu des avancées »

    « Ce Ségur est un échec », affirme Thomas Bourhis, secrétaire de la CGT CHRU Brest - Carhaix. « Il faudrait une prime de 300 € par soignant et une augmentation du nombre de lits et d’effectifs », ajoute-t-il. Tous ne sont pas si catégoriques. « Tout n’est pas négatif, il y a eu des avancées qu’il faut noter », explique Michel Nonent, médecin et membre du syndicat Action Praticiens Hôpital (APH). L’ouverture de la prime du Ségur aux salariés du médico-social, notamment, en mai dernier reste une avancée importante pour les manifestants, même si elle ne touche pas encore l’ensemble des soignants. La prime a bien été utile, mais les soucis sont aujourd’hui d’ordre pratique. « L’administration hospitalière n’inclut pas suffisamment les médecins et les patients dans les discussions stratégiques », affirme Michel Nonent.

    Un départ vers le privé

    L’enjeu des primes et de la stabilité de l’hôpital public est de taille face aux départs de salariés vers le privé. « Cet été, les soignants brestois à temps partiel seront contraints de travailler à temps plein », explique Sylvain Madec, de Sud Santé Sociaux. En cause, la difficulté d’embaucher dans un secteur fragilisé et de moins en moins attractif.

    « À Carhaix, cet été, douze lits vont être fermés par manque de personnel, selon la direction qui ne parviendrait pas à embaucher », dénonce-t-il devant les manifestants. En réponse à cela, la CGT organisera un « bureau d’embauche », devant l’hôpital Morvan, ce vendredi entre 10 h 30 et 16 h.

    Les centres de soins infirmiers brestois toujours « oubliés du Ségur »

    Ségur de la santé : à Brest, un bilan contrasté. ( LT.fr - 15/06/21 - 17h20 ) Les infirmiers de l’association Archipel Santé, rassemblés devant la Caisse Primaire d’Assurance Maladie du Finistère. Ils ont demandé un rendez-vous avec le directeur, qui devrait se tenir dans les prochains jours.

    « On ne touche toujours pas la prime du Ségur », affirme Gaël Sanchez, au nom de l’association Archipel Santé. Cette organisation fait partie des 1 800 centres de soins infirmiers (CSI) en France, et réalise des soins à domicile pour les personnes les plus vulnérables.

    La prime du Ségur, a été versée directement sur la rémunération des soins mais les infirmiers des CSI sont salariés, et non rémunéré au soin. Afin de dénoncer cette situation, ils se sont rassemblés devant la CPAM, ce mardi pour s’entretenir avec le directeur, qui a accepté de les rencontrer dans les jours à venir. Avant cela, les manifestants avaient contacté le ministre de la santé par l’intermédiaire des députés Didier Le Gac et Jean-Charles Larsonneur.

    Auteur : Aziliz Peaudecerf

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • À Guipavas, fin du mouvement social des agents de la ville après quatre jours de colère ( LT.fr - 15/06/21 - 16h54 )  En ce quatrième jour de mobilisation, les agents de la ville de Guipavas ont approuvé une proposition qu’ils ont jugée à leur convenance.

    Après quatre jours de grogne, les agents de la ville de Guipavas ont mis fin à leur mouvement social, ce mardi. Ils ont jugé satisfaisante la nouvelle proposition du maire de la commune, Fabrice Jacob.

    Avant le nouveau rassemblement prévu ce mardi 15 juin à l’heure de midi, et après le comité technique de la veille, Fabrice Jacob, le maire de Guipavas, a reçu dans la matinée, séparément, les groupes syndicaux représentant les agents de la ville. Ces derniers débrayent depuis le jeudi 10 juin, mécontents de leurs conditions salariales suite à l’augmentation du temps de travail annuel qui va passer de 1 547 à 1 607 heures.

    Les syndicats « satisfaits »

    Le premier magistrat de la commune est venu à leur rencontre avec une nouvelle proposition : une augmentation de 40 € de leur régime indemnitaire mensuel. Elle s’accompagne d’une compensation annuelle de la perte de leurs jours d’ancienneté qui datait des premières discussions. Rappelons que les deux organisations syndicales qui appelaient à la grève, la CGT et la CFDT, demandaient une augmentation de 50 € et le maintien des jours d’ancienneté.

    La proposition de la ville a obtenu l’approbation des agents en colère. « Nous sommes satisfaits, même si nous n’avons pas tout obtenu », indique Emmanuelle Morvan, de la CGT. « Ce sont des avancées, mais il reste des discussions à avoir pour obtenir des traitements justes », ajoute Didier Prieur, de la CFDT.

    États des lieux à la rentrée

    Fabrice Jacob a également réitéré son intention de demander que, dès la rentrée, des états des lieux soient organisés dans les services, comme il l’avait indiqué dès le deuxième jour du mouvement social.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest. Des syndicats en ordre de bataille contre les réformes. ( OF.fr - 15/06/21 - 15h45 )  Les représentants syndicaux qui avaient appelé à la manifestation ce mardi 15 juin 2021, place de la Liberté, à Brest, lors des prises de parole.

    Hôpital et services publics ont fait cause commune ce mardi 15 juin 2021. Cent cinquante manifestants se sont rassemblés à l’appel des syndicats CGT, Sud, Action praticiens hôpital, Ehpad de BMO, La Poste et du collectif inter-hôpitaux, place de la Liberté à Brest.

    Au menu ce mardi midi 15 juin 2021, place de la Liberté à Brest (Finistère) : sandwichs et boissons pour les cent cinquante participants à la mobilisation syndicale unitaire CGT, Sud, Action praticiens hôpital (APH) des hôpitaux Brest et Carhaix et le collectif interhôpitaux. Au secteur de la santé s’étaient joints des représentants syndicaux de La Poste et des employés des Ehpad de Brest.

    « Depuis plus d’un an, l’hôpital est en première ligne d’une crise sanitaire mondiale majeure », a rappelé Thomas Bourhis, secrétaire CGT du CHRU de Brest-Carhaix en ouverture des prises de parole qui se sont succédé sur les marches de l’hôtel de ville.

    « Ségur de la santé, Ségur des exclus »

    Brest. Des syndicats en ordre de bataille contre les réformes. ( OF.fr - 15/06/21 - 15h45 )  Les participants à la mobilisation syndicale unitaire CGT, Sud, Action praticiens hôpital (APH) des hôpitaux Brest et Carhaix et le collectif interhôpitaux. 

    Pomme de discorde : la signature par trois syndicats d’un « mauvais protocole d’accord » avec le gouvernement lors du Ségur de la santé en juillet 2020.

    Un accord contesté tout de suite par les syndicats non-signataires. « La colère hospitalière n’est pas calmée par une augmentation des salaires de 183 € », faible compensation « au gel du point d’indice depuis vingt ans », estime Thomas Bourhis. Il dénonce le manque récurrent d’effectifs et le manque de lits d’hospitalisation ainsi que les nombreux personnels non concernés par les mesures (administratifs, techniques, socio-éducatifs, sages-femmes…).

    La Poste et les Ehpad de BMO aussi

    L’absence de revalorisation des salaires et la grogne générale ont trouvé aussi un écho favorable avec les représentants syndicaux de La Poste et des Ehpad (Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes​) de Brest métropole qui ont pu, tour à tour, exposer leurs griefs.

    Auteur : Sabine NICLOT-BARON

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Un nouveau préavis de grève a été déposé par le personnel des écoles de Douarnenez (Finistère) pour ce jeudi 17 juin 2021.Un nouveau préavis de grève a été déposé par le personnel des écoles de Douarnenez (Finistère) pour ce jeudi 17 juin 2021. 

    Le débrayage du personnel des écoles publiques de Douarnenez (Finistère) se poursuit. En conséquence, il n’y aura pas de cantine lors de la pause méridienne, ce jeudi 17 juin 2021.

    Un nouveau préavis de grève a été déposé par le personnel des écoles de Douarnenez (Finistère) pour le jeudi 17 juin 2021. Le service de restauration sera donc à nouveau fermé mais un service minimum d’accueil sera proposé lors de la pause méridienne. La municipalité demande aux parents de préparer un repas froid à leur enfant. A noter les garderies soir et matin fonctionneront normalement.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Entre 100 et 120 manifestants ont formé un cortège depuis l’hôpital de Quimper (Finistère) jusqu’au rond-point de Kerustum, ce mardi 15 juin 2021.Entre 100 et 120 manifestants ont formé un cortège depuis l’hôpital de Quimper (Finistère) jusqu’au rond-point de Kerustum, ce mardi 15 juin 2021. 

    Entre l’introduction du mérite dans l’évolution de carrière et le manque de personnel « chronique », soignants et personnels de l’hôpital alertent sur l’horizon bouché du service public. Une centaine d’entre eux a manifesté ce mardi 15 juin 2021, à Quimper (Finistère).

    Laboratoire, service de transport interne des patients, urgences… Courant mai 2021, débrayages et grèves ont touché plusieurs services de l’hôpital de Quimper (Finistère). À quinze jours du début de la saison estivale, la CGT et Sud Santé ont tenté de mobiliser en masse, ce mardi 15 juin 2021, laissant le soin aux personnels des services d’afficher leurs revendications propres.

    « Restrictions budgétaires, personnel en galère », « Des moyens en oncologie », « Le mérite, ça m’irrite », « À bout de souffle, l’hôpital s’essouffle », « Ehpad », « Services techniques »… Hématologie, médecine interne, Samu…

    Sur le parvis de Quimper (Finistère), ce mardi 15 juin 2021. 

    Si les différents services étaient représentés, la mobilisation n’a pas connu l’ampleur escomptée : entre 100 et 120 personnes ont écouté la prise de parole, un peu avant 15 h, avant de se rendre en cortège jusqu’au rond-point de Kerustum.

    À la tribune, se sont succédé les représentants syndicaux, Yvonne Rainero, conseillère municipale déléguée à la santé, représentant la maire Isabelle Assih, les représentants du comité interhospitalier et ceux des usagers de l’hôpital.

    « Bureau de recrutement »

    Du côté des représentantes syndicales, la notion de mérite dans l’évolution de carrière des agents inquiète fortement : « Ici, la direction applique la réforme avec beaucoup de ferveur : 20 % de mérite l’an prochain, 40 % l’année suivante et 60 % en 2024. D’autres établissements n’ont pas fait ce choix », exposent Karine Goanec (CGT) et Pascale Jacq (Sud). Elles craignent « une concurrence malsaine » entre agents et un droit de regard des organisations syndicales amoindri.

    Lors des prises de parole sur la rampe d’accès aux urgences de l’hôpital de Quimper (Finistère), ce mardi 15 juin 2021. 

    Plus largement, dans la foulée des coups de colère successifs dans les services, les syndicats alertent sur « l’état de fatigue » des agents et le manque de personnel « chronique ». « On va entamer l’été avec des plannings à trous et la direction ne recrute pas », commente Karine Goanec.

    Son syndicat, la CGT, organisera un « bureau de recrutement », jeudi 17 juin 2021, à l’entrée de l’hôpital, de 14 h à 16 h : « On recueillera lettre de motivation et CV de toute personne souhaitant postuler », détaille-t-elle.

     

    Nelly CLOAREC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Communiqué de la commission Internationale du PRCF – 13 juin 2021 

    Soutien du PRCF aux communistes, aux travailleurs, à la jeunesse et au peuple tunisien  (IC.fr-14/06/21)

     

    Les politiciens qui dominent la Tunisie au profit de l’impérialisme et de la bourgeoisie compradore locale croyaient sans doute avoir neutralisé et récupéré la grande insurrection populaire dite du “printemps de jasmin”, qui avait fait tomber le tyran Ben Ali. Pour neutraliser et endormir le peuple tunisien, ces politiciens ont tenté d’utiliser successivement ou simultanément les oripeaux d’une démocratie bourgeoise tronquée, ne s’attaquant pas à la corruption et aux prébendes, ils ont recouru à l’islamisme patriarcal d’Ennahdha et, en continu, aux forces de répression de l’État bourgeois. Mais la révolte n’est pas morte et le peuple tunisien, travailleurs et jeunesse populaire en tête, veut toujours sa .

    Dans la vidéo ci-dessus, on voit la jeunesse populaire de Tunis affronter la police du pouvoir qui la réprime avec une grande violence. On voit aussi le drapeau rouge frappé de la faucille et du marteau, cet emblème de lutte que répudient lâchement les renégats du communisme, et l’on entend les jeunes scander en arabe le slogan “le peuple uni ne sera jamais vaincu”. Bref, le contenu de classe du mouvement populaire tunisien se précise et nous ne pouvons qu’en féliciter les militants courageux, au nombre desquels de nombreuses et vaillantes jeunes filles car leur mouvement montre le chemin aux peuples du : l’impérialisme, le capitalisme, la domination patriarcale, l’obscurantisme n’ont pas l’avenir pour eux!

    Dans le même temps, en Algérie, le mouvement populaire n’en finit pas de rebondir courageusement malgré la répression intense et les simulacres électoraux successifs qu’organise le pouvoir. 

    Le PRCF soutient la jeunesse populaire d’Alger et de Tunis qui, fidèle à l’esprit des luttes de libération nationale, s’en prend de plus en plus directement désormais à la grande bourgeoisie qui strangule leurs pays respectifs. Camarades, LES PEUPLES UNIS NE SERONT JAMAIS VAINCUS, vive la renaissance inéluctable du Mouvement Communiste International, du Front Anti-Impérialiste Mondial, vive le Front Mondial de la Jeunesse Démocratique et le mouvement historique irrépressible à long terme pour le progrès social, les lumières, l’égalité des sexes, l’émancipation des peuples, le socialisme et le communisme!

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  • À Guipavas, le conflit entre les agents de la ville et la mairie toujours dans l’impasse. ( LT.fr - 14/06/21 - 14h36 )Encore très mobilisés, les agents de la ville de Guipavas ont à nouveau débrayé ce lundi. Ils affirment qu’ils « ne lâcheront pas ».

    Troisième jour de mobilisation, ce lundi 14 juin, pour les agents de la ville de Guipavas. À l’appel de la CFDT et de la CGT, un débrayage a eu lieu de 10 h 30 à 12 h 30, avec un rendez-vous devant la mairie à 11 h. Fabrice Jacob, le maire de la commune, leur a, à nouveau, fait les mêmes propositions, à savoir un état des lieux à la rentrée, alors que ce n’est pas ce que demandent les agents : ils réclament le maintien de leurs jours de congé d’ancienneté ainsi que 50 € par mois pour les cinq heures de plus qu’ils feront tous les mois dans le cadre de la réforme du temps de travail des agents des services publics.

    Nouveau débrayage ce mardi

    À l’issue des interventions de chacun, les agents se sont donné rendez-vous ce mardi, à la même heure et au même endroit, pour de nouveau dire leur désapprobation.

    À noter que, ce lundi, les agents ont été rejoints par quelques familles venues pique-niquer devant la mairie pour leur montrer leur soutien.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest. Un mouvement de grève chez les agents des Ehpad. ( OF.fr - 14/06/21 - 17h14 )Une cinquantaine d’agents des Ehpad de Brest étaient réunis devant la mairie ce lundi 14 juin 2021.

    Une intersyndicale a appelé les agents des Ehpad de Brest à faire grève ce lundi 14 juin 2021. Un rassemblement a eu lieu devant l’hôtel de ville.

    Une cinquantaine d’agents des Ehpad et du foyer logement de Brest (Finistère) se sont réunis devant l’hôtel de ville ce lundi 14 juin 2021, à 11 h. Un préavis de grève avait été déposé par une intersyndicale CGT, FO, CFDT, Unsa et SUD-CT, dans le cadre du passage aux 1 607 heures annuelles de travail.

    La grève pourrait être reconduite

    « L’employeur veut revenir sur la majoration des dimanches et des jours fériés. Est-ce un bon calcul de faire travailler plus des agents déjà exténués physiquement et moralement ? » s’interroge l’intersyndicale, qui demande notamment un maintien des 1 547 heures annuelles pour les agents travaillant les dimanches.

    À la suite de leur action, les grévistes ont été reçus par la collectivité, « mais les réponses apportées ne sont pas satisfaisantes », estime Fabrice Bernard de FO. Ils devront se réunir demain, mardi 15 juin, pour décider ou non de poursuivre la grève

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • À Brest, un mouvement social perturbera les services dans les écoles et les haltes d’accueil ce mardi. ( LT.fr - 14/06/21 - 12h01 )

    Un mouvement social est prévu pour la journée de ce mardi 15 juin, à l’appel d’organisations syndicales. Ainsi, les personnels des collectivités territoriales sont concernés. Dans un communiqué, la Ville attire l’attention des familles dont les enfants sont scolarisés dans les écoles publiques brestoises sur les perturbations possibles dans les services de restauration scolaire, les temps d’activités périscolaires (Tap) et les haltes d’accueil.

    Une information de la Ville sera transmise aux différentes écoles via son site internet brest.fr, cela afin de permettre à chaque famille de connaître, au cas par cas, la situation prévisible des services périscolaires dans l’établissement qui la concerne. Des tableaux indiquant les ouvertures et fermetures des différents services sont disponibles.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Environ 500 personnes ont défilé, ce samedi matin, dans les rues de Brest, pour défendre les libertés et dire non à « l’extrême droitisation » des esprits.

    Affiche de Gilles Pennelle (la tête de liste du Rassemblement national aux élections régionales en Bretagne) brandie ostensiblement devant l’hôtel de ville, deux militants RN ont tenté de jouer les perturbateurs, en allant au contact des premiers manifestants, mais l’escarmouche n’est pas allée plus loin.

    À 11 h, ce samedi, environ 500 personnes avaient rejoint la place de la Liberté, point de départ de cette « marche pour les libertés et contre l’extrême droite ». Organisée au niveau national par une centaine d’organisations de gauche, cette initiative était déclinée localement dans plus de 140 villes de France pour dénoncer « le climat de haine, raciste et attentatoire aux libertés individuelles et collectives » qui s’installe dans la société.

    Un appel au sursaut

    À Brest, du PS au PC, de la France Insoumise à EELV, la plupart des partis politiques de gauche étaient représentés. Mais à une semaine du premier tour des élections régionales et départementales, les différentes organisations participantes s’étaient mises d’accord pour que seuls les représentants syndicaux puissent s’exprimer au micro.

    Tour à tour, Florent Martini (FSU), Fabienne Bodin (CGT) et Olivier Cuzon (Solidaires) ont saisi le micro pour appeler au réveil des consciences. « S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit. Les propos et actes racistes ou sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement », ont-ils constaté.

    Alors qu’ici même en Bretagne, un récent sondage place le Rassemblement national en tête des intentions de vote au premier tour des élections régionales, ils ont appelé « le monde du travail, les retraités et la jeunesse à ne pas se laisser berner par ceux qui reprennent les idées d’extrême droite », les exhortant « à agir et à intervenir dans le débat public » pour repousser la parole haineuse.

    La sidération du 21 avril 2002 paraît loin

    « Première, deuxième, troisième génération. Nous sommes tous des enfants d’immigrés », a scandé le cortège, en remontant la rue Jean-Jaurès. Parmi les manifestants, une forte proportion de jeunes. À l’image de Julie, 21 ans, qui n’était encore qu’une petite fille quand la France sidérée descendait dans la rue au lendemain de l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle. « Aujourd’hui, on est combien ? 500 à tout casser. À l’époque, nos parents se levaient comme un seul homme contre ces idées nauséabondes. Maintenant, la parole raciste fleurit en toute décontraction sur les plateaux télé, et des intellectuels n’ont pas honte de dire qu’ils préfèrent voter Le Pen que Mélenchon, et tout ça semble normal », a-t-elle déploré avec gravité.

    Bifurquant vers la rue Yves-Collet, les manifestants ont ensuite rejoint le bas de Siam par la rue du Château. Au moment de la dislocation, aucun incident n’était à déplorer.

    Auteur : Jean-Luc Padellec

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Une cinquantaine d’agents scolaires municipaux ont débrayé devant l’hôtel de ville de Douarnenez, vendredi. Une cinquantaine d’agents scolaires municipaux ont débrayé devant l’hôtel de ville de Douarnenez, vendredi.

    Tout comme le vendredi 11 juin 2021, le service de cantine scolaire ne sera pas assuré dans les écoles publiques douarnenistes, ce lundi 14 juin, en raison d’un mouvement de débrayage des agents scolaires employés par la ville de Douarnenez. Ils protestent contre la réorganisation de leur temps de travail. Un préavis de débrayage méridien a été posé par les représentants du personnel jusqu’à jeudi 17 juin.

     
     
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  • La marche pour les libertés a rassemblé environ 500 personnes, ce samedi matin dans les rues de Brest.

    Environ 500 personnes ont participé ce samedi matin à Brest à la marche « pour les libertés et contre les idées d’extrême droite ». Après les prises de parole syndicales, le cortège a entamé un défilé dans les rues du centre-ville.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest. Le Quartz OKP ne « lâche rien ni personne » ! ( OF.fr - 11/06/21 - 20h05 ) Ensemble, les occupants du Quartz OKP ont fabriqué 300 m de banderoles réparties dans le centre-ville. Ce vendredi 11 juin 2021, ils ont marqué leurs trois mois d’occupation.

    92 jours d’occupation pour les pros du spectacle du collectif Quartz OKP. Trois mois qu’ils luttent non-stop pour leurs droits et contre la réforme de l’assurance chômage. Ils se constituent en asso.

    « Nous restons et resterons mobilisés ! » Trois mois d’occupation, exactement, ce vendredi 11 juin 2021, pour les pros du spectacle du collectif Quartz OKP. Trois mois d’occupation saluée par des applaudissements nourris, une flambée de fumigènes et l’essentielle photo de famille.

    « Des liens qui font notre force »

    « Nous ne faiblissons pas, bien au contraire ! On ne lâche rien ! » Depuis le 11 mars 2021, le Quartz de Brest est occupé. Sans relâche, artistes et techniciens se relaient. Sans interruption, ils proposent des rencontres quotidiennes, en programmant, chaque midi sur le parvis, un artiste local. Comme, ce vendredi, le talentueux DJ Nocho.

    « Cette occupation nous a permis de mieux nous connaître, nous avons tissé des liens très forts qui font notre force, commente Daff, artiste vidéaste. La sociabilité est essentielle. On a pu mesurer, sur la population, l’impact psychologique du manque de convivialité. On a appris à avoir peur de l’autre au lieu d’apprendre à vivre ensemble avec la pandémie. Comme nous le faisons pourtant depuis trois mois. »

    Les revendications du Quartz OKP portent sur un vrai plan de reprise et les droits sociaux. Ils se dressent contre la réforme de l’assurance chômage, « qui fera perdre 200 € à plus de deux millions de précaires dès juillet ».

    Brest. Le Quartz OKP ne « lâche rien ni personne » ! ( OF.fr - 11/06/21 - 20h05 )  Les occupants du collectif Quartz OKP ont marqué, place de la Liberté, ce vendredi 11 juin 2021, leurs trois mois d’occupation. 

    L’assurance chômage devait entrer en vigueur le 1er juillet. Mais les occupations ont largement alerté le grand public. « Il devient vraiment difficile au gouvernement de justifier ce nouveau mode de calcul qui entraînera des baisses substantielles d’allocations », remarque Micka Ragot, vidéaste.

    Saisi, le Conseil d’État doit se prononcer sur cette question primordiale : « Nous espérons évidemment l’abandon de la réforme. L’avenir du mouvement, la forme de sa mobilisation, en dépendent en partie. »

    Du collectif à l’asso

    L’année blanche pour les intermittents du spectacle prolongée de « quatre mois seulement, c’est insuffisant ». La réouverture des salles ? « Ce n’est pas une victoire, insiste Dan Audrezet, régisseur. Elle laisse 51 % d’entre nous sur le carreau. »

    Dans leurs rangs, certains techniciens qui, habituellement, travaillent non-stop tout l’été, n’ont qu’une seule journée de boulot à leur agenda. Comme Cyril qui, sur deux mois, « va assurer une unique journée de démontage au Quartz ».

    Ensemble, ils ont, aussi, réfléchi, à transformer leur collectif en association pérenne : « Nous comptons perpétuer cet esprit de solidarité en proposant une entraide, des conseils, en plus des revendications et des actions. »

    L’occupation en expo collective

    Et ils feront entendre leur voix cet été, en intervenant sur les scènes des festivals où ils travaillent d’habitude. « Nous sommes les premiers en Bretagne à avoir suivi ce mouvement national, remarque Olivier Simenhaus, technicien de tournées. Et nos idées d’actions ont souvent été reprises dans les autres théâtres occupés en France. » Ce qui place Brest en tête des lieux occupés : « Nous sommes sur un territoire engagé, où le militantisme continue à tenir une place importante. »

    À voir, aussi, bientôt, sur le parvis du Quartz, dès ce mardi 15 juin, l’exposition collective des huit photographes, qui, comme Thierry Richard ou Ray Flex, suivent les actions et la vie quotidienne de Quartz OKP depuis mars dernier : histoire de prendre la mesure exacte de ces trois mois d’occupation plus qu’active et par la même occasion, s’en prendre plein les yeux…

    Auteur : Frédérique GUIZIOU

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Au centre, Marc Labbey (président de la commission solidarités, enfance, famille) et Nathalie Sarrabezolles, présidente du conseil départemental, ont écouté la détresse des parents et les travailleurs Au centre, Marc Labbey (président de la commission solidarités, enfance, famille) et Nathalie Sarrabezolles, présidente du conseil départemental, ont écouté la détresse des parents et les travailleurs du social et médico-social. 

    Plus de 300 personnes se sont rassemblées ce samedi après-midi à Quimper, suite à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, Sud qui invitait tous les professionnels du social, du médico-social, de l’aide à domicile, les usagers et les familles à se mobiliser.

    Si ce n’est les banderoles syndicales et revendicatives qui flottaient au vent, il régnait comme une ambiance de kermesse, ce samedi, au pied du mont Frugy. En plus des pancartes, les manifestants ont dû se munir se munir de chapeaux, lunettes et crème solaire. Plus de 300 personnes ont répondu à l’appel de l’intersyndicale du social et du médico-social mais surtout des familles.

    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère

    « Les oubliés du Ségur »

    Un collectif qui regroupe 26 organisations employeurs à but non lucratif de l’économie sociale et solidaire en Bretagne, les organisations syndicales CFDT santé-sociaux du Finistère, CGT, SUD, FO et des familles de personnes accompagnées, considèrent, en effet, les annonces gouvernementales du 28 mai incomplètes et insatisfaisantes : « Le Ségur de la santé a revalorisé les salaires des professionnels du secteur public tout comme ceux des Ehpad. Ces dispositions vont dans le bon sens et sont légitimes mais, à ce jour, les professionnels des secteurs sociaux (protection de l’enfance, foyers de jeunes travailleurs, petite enfance…) et médico-sociaux (handicap, services à domicile…) sont les grands oubliés de cette reconnaissance nationale. Ainsi, à niveau de qualification égale le salaire net d’un professionnel du secteur social et médico-social est inférieur de 25 % à l’ensemble des autres secteurs d’activité. Ces inégalités sont injustifiables ».

    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère

    Une motion déposée au conseil départemental

    Une représentante des familles de personnes en situation de handicap, mettant en avant le manque de places dans les structures pour les adultes et les enfants, a aussi été très applaudie. « Que devons-nous faire de plus pour être entendus ? », a-t-elle conclu.

    Vers 15 h, le cortège s’est mis en route vers la préfecture puis a fait un arrêt devant le siège du conseil général du Finistère, avant de poursuivre devant l’hôtel de ville, place Saint-Corentin. Au pied du bâtiment, la présidente sortante, Nathalie Sarrabezolles, et Marc Labbey, vice-président (président de la commission solidarités, enfance, famille), ont entendu les manifestants et réceptionné une motion réclamant « une revalorisation salariale de tous les professionnels dès 2021, plus de moyens humains et financiers pour un accompagnement de qualité, la satisfaction intégrale des besoins sociaux en attente, de nouvelles places et des accueils complémentaires… ».

    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère
     
    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère
     
    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère
     
    À Quimper, les oubliés du Ségur soutenus par les familles en colère
     
    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Vidéo d'information du syndicat CGT Brest du CHRU Brest-Carhaix :La Direction du CHRU Brest-Carhaix décide de la suspension des temps partiel qui ne sont pas de droit pendant l'été, c'est inadmissible.Mobilisation des psychologues le 10 juin, mobilisation à venir le 15 juin pour la défense de l'hôpital, l'actualité revendicative reste intense.Le coup de gueule de la CGT : le centre René Fortin, rien n'avance !La CGT Brest du CHRU Brest-Carhaix toujours mobilisé !

    Source : https://www.facebook

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  • Guipavas. Le torchon brûle entre la municipalité et les agents ( OF.fr - 10/06/21 - 17h10 )  Le maire de Guipavas (Finistère), Fabrice Jacob, est venu à la rencontre des manifestants, mais les échanges n’ont rien donné. 

    « Nous tournons en rond depuis des mois », lance Didier Prieur, responsable syndical CFDT. « Nous avançons à petits pas », rétorque le maire de Guipavas (Finistère), Fabrice Jacob. Ces deux phrases résument à elles seules le malaise qui règne entre la municipalité et une partie des agents de ville. Plus de 50 % d’entre eux ont débrayé ce jeudi 10 juin 2021 pour réclamer « plus de reconnaissance ».

    60 heures de plus par an

    Ce qui a mis le feu aux poudres : la loi des 1 607 heures voulue par l’État qui amène les agents à travailler en moyenne 60 heures de plus par an. Après des échanges et des réunions, des propositions ont été faites par la municipalité. « Nous proposons la revalorisation du régime indemnitaire de 25 € nets à compter du 1er janvier 2022 et la compensation financière des jours d’ancienneté supprimés à hauteur de 80 € bruts par jour acquis », indique le maire. « Nous ne pouvons accepter d’être payés 25 € par mois pour 60 heures effectuées en plus, soit 5 € de plus de l’heure, c’est une honte », rétorque Emmanuelle Morvan de la CGT.

    La cinquantaine de manifestants présents à la mairie, ce jeudi est unanime : « À Guipavas, c’est toujours des refus, à l’inverse de certains maires qui, à un moment donné, ont reconnu et récompensé les compétences et les investissements des agents. »

    Fabrice Jacob conteste ces propos : « Justement, nous sommes même précurseurs par rapport à certaines autres villes. Je ne me positionnerai pas en porte à faux avec des villes voisines, en augmentant démesurément le régime d’indemnités forfaitaires. »

    Aucun accord n’a pu être trouvé et les agents débrayeront à nouveau demain.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Une petite trentaine de personnes occupent encore Le Quartz, à Brest, alors que le secteur de la culture rouvre progressivement. Ils demandent toujours le prolongement de l’année blanche et rejettent la réforme de l’assurance chômage.

    Ils étaient une quarantaine au début, il y a trois mois tout juste et ils sont encore une petite trentaine, comme lors de l’assemblée générale de ce vendredi matin. Les occupants du Quartz, à Brest, proposaient un moment musical, sur le parvis, ce vendredi midi, avec DJ Nocho. Une petite cinquantaine de personnes y ont assisté en pique-niquant. Un départ piano avant de s’envoler doucement. Le tout a duré environ une heure, sous un soleil timidement de retour.

    Trois mois d’occupation pour Le Quartz à Brest ( LT.fr - 11/06/21 - 16h52 )   DJ Nocho s’est produit ce vendredi midi devant Le Quartz, occupé depuis trois mois. 

    Une asso pour prolonger l’esprit de solidarité

    « On espérait finir bien avant ces trois mois, mais nous n’avons pas obtenu ce qu’on demandait », regrettait par exemple Daniel Audrezet, régisseur de spectacles et occupant du lieu, tout comme le monteur vidéo Micka Ragot. Ce dernier appuyait : « Nous allons continuer à nous réunir et nous allons créer une association. Le collectif prendra alors une dimension juridique ». « Cela permettra de prolonger cet esprit de solidarité par une entraide avec des conseils, des actions culturelles aussi, des revendications », reprenait Dan Audrezet. « On sera présents dans tous les grands événements culturels de l’été, que l’occupation continue ou pas ».

    Alors que l’année blanche pour les intermittents du spectacle a été prolongée de quatre mois et que les lieux de culture rouvrent progressivement, les revendications sont encore importantes. Notamment celle de voir cette prolongation durer une année complète. Les théâtres, par exemple, rouvrent mais « une bonne part des gens qui travaillent dans la culture, notamment dans la région, œuvrent sur des grandes salles (Arena, Zénith…), les tournées ou les festivals. Qui sont toujours à l’arrêt ou en mode réduit, et pour un moment ».

    Dans l’attente du Conseil d’État

    Et puis il y a le rejet de la réforme de l’assurance chômage, et une lutte, notamment à ce sujet, avec d’autres corps de métiers. Le Conseil d’État vient d’être saisi et il doit se prononcer ces prochains jours. L’avenir du mouvement, en tout cas la forme de sa mobilisation, dépendra en partie de cette question. Mais les participants restent motivés, visiblement, pour continuer.

    Trois mois d’occupation pour Le Quartz à Brest ( LT.fr - 11/06/21 - 16h52 )

    La salle culturelle du Quartz, à Brest, est occupée depuis trois mois. 

    Auteur : David Cormier

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Anne Ribault et Audrey Graftieaux accompagnent de jeunes patients hospitalisés : « La pensée et la parole sont attaquées », disent-elles en ce jeudi 10 juin 2021 à Quimper (Finistère), jour de grève nationale des psychologues. Anne Ribault et Audrey Graftieaux accompagnent de jeunes patients hospitalisés : « La pensée et la parole sont attaquées », disent-elles en ce jeudi 10 juin 2021 à Quimper (Finistère), jour de grève nationale des psychologues. 

    En cette journée de grève nationale des psychologues, près de 250 professionnels ont manifesté ce jeudi 10 juin 2021 à Quimper (Finistère). Ils défendent le libre accès aux soins psychiques pour tous et leur liberté de choisir leur méthode et leurs outils de soin.

    Ces femmes (en majorité) et ces hommes sont psychologues scolaires, accompagnent les 0-16 ans dans les centres pluridisciplinaires que sont les centres médico-psycho-pédagogique (CMPP). Reçoivent des patients de tous âges dans leurs cabinets en ville ou dans des hôpitaux généralistes ou psychiatriques. Ils font partie d’une profession qui n’a pas l’habitude de manifester. Et pourtant, ce jeudi 10 juin 2021, ils n’étaient pas moins de 250 à défiler dans les rues de Quimper (Finistère), depuis la préfecture jusqu’aux bureaux de l’Agence régionale de santé.

    « Où vont aller les autres patients ? »

    « Tous les courants sont aussi représentés : les cliniciens, les neuropsychologues… » fait aussi remarquer Céline Kerhoas, psychologue clinicienne depuis vingt ans. Membre du collectif de défense des CMPP de Bretagne, elle résume l’état d’esprit : « La coupe est pleine pour la profession, attaquée de toutes parts. »

    La profession des psychologues défend en ce jeudi 10 juin 2021 le « libre accès à tous des soins psychiques ». 

    En cette journée nationale de grève, la profession (70 000 psychologues en France) défend tout d’abord le « libre accès au soin pour tous » : « Des plateformes d’orientation sont en train d’être créées, spécialisées dans les troubles neurocognitifs, explique la Brestoise Émilie Ramos, porte-parole du collectif. En 2019, ces pathologies représentaient 3 % des prises en charge dans nos centres. Où vont aller les autres ? Tous les patients doivent avoir accès, de façon directe et simple, à une prise en charge diversifiée. »

    Après s’être réunis devant la préfecture du Finistère, les psychologues sont partis en cortège jusqu’aux bureaux de l’Agence régionale de santé à Quimper (Finistère), ce jeudi 10 juin 2021.

    Le projet de création d’un ordre des psychologues crispe aussi : « Personne dans la profession ne le réclame », indique la CGT.

    « La parole est attaquée »

    Enfin, un décret de mars, qui « impose des thérapies brèves, de type comportementaliste » inquiète. Certains parlent de « thérapies de rééducation ». « On rejette la pensée unique. On est pour la pluralité », relève Stéphane Larzul, psychologue de l’Éducation nationale. Audrey Graftieaux et Anne Ribault accompagnent des jeunes « dans la durée et avec la parole », en pédopsychiatrie à Quimper : « Ce décret fait fi de la singularité de chaque personne. De plus en plus, la parole et la pensée sont attaquées. »

     

    Nelly CLOAREC

    source:  https://www.ouest-france.fr/

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  • Environ 80 salariés des entreprises de réparation navales Damen Shiprepair et Navtis, se sont mobilisés, ce mercredi 9 juin, à 9 h, à Brest.

    Environ 80 salariés de Damen Shiprepair et Navtis, entreprises spécialiées dans la réparation navale, se sont mobilisés, ce mercredi 9 juin, à 9 h, à Brest, pour le maintien de la reconnaissance de leur exposition à l’amiante.

    Environ 80 salariés de Damen Shiprepair et Navtis, entreprises spécialisées dans la réparation navale, se sont mobilisés, ce mercredi 9 juin, à 9 h, à Brest. Réunis à l’initiative de la CGT Damen devant la sous-préfecture, ils ont fait entendre leurs voix contre des décisions gouvernementales récentes qu’ils qualifient de « politique visant à réduire encore les droits des travailleurs exposés à l’amiante ».

    « Nous avons sollicité une demande de table ronde en sous-préfecture avec la DGT (direction générale du travail), l’UIMM (union des industries et métiers de la métallurgie), le patronat et des syndicats depuis maintenant presque 15 jours et toujours pas de réponse », indique Romuald L’hostis, délégué syndical CGT, à Damen.

    Le maintien de la reconnaissance amiante

    Les salariés des chantiers privés de réparation navale, demandent tout d’abord le maintien de la reconnaissance amiante et la non-suppression du préjudice d’anxiété des entreprises privées de la réparation navale. Ils demandent, de ce fait, que l’allocation de cessation anticipée d’activité des travailleurs de l’amiante (Acaata), ne soit pas supprimée. « Le gouvernement l’a fait durer jusqu’en juin 2022. Mais l’exposition à l’amiante continue », souligne Romuald L’hostis.

    Autre revendication : l’harmonisation de la cartographie de repérage de l’amiante, et des restrictions qui y sont liées sur les chantiers français puis européens. « Le risque d’être exposé à l’amiante est incontrôlable. Il n’y a que les navires français, et encore pas tous, qui sont soumis à des restrictions. Mais nous recevons bien plus souvent des navires étrangers. La moitié d’entre eux contient de l’amiante », explique Ludovic Lamour, secrétaire à la CGT, et tourneur pour l’entreprise Damen.

    Une délégation devait être accueillie en sous-préfecture dans la matinée.

    Auteur : Emmanuelle CADIEU

    Source : https://www.ouest-france.fr

     

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  • Brest. Mobilisation le 15 juin à 11h30, Place de Liberté. ( Fb - 08/06/2021 )

    Convergences des luttes santé, médico-social, profession hospitalière, fonction publique, 15 juin à 11h30, Place de la Liberté à Brest.

    Source : https://www.facebook.com

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  • « On ne nous donne pas les moyens de faire notre travail correctement ! »« On ne nous donne pas les moyens de faire notre travail correctement ! » 

    Ce mardi 8 juin 2021, une quinzaine de techniciens de laboratoire du centre hospitalier de Cornouaille (Chic), à Quimper (Finistère), se sont rassemblés devant l’hôpital, entre 9 h et 10 h, pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail.

    Depuis le mardi 25 mai 2021, les techniciens de laboratoire du Chic de Quimper (Finistère) ont lancé un mouvement de grève pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail. Mardi 8 juin, ils se sont rassemblés durant une heure devant l’hôpital pour se faire entendre.

    « On ne nous donne pas les moyens de faire notre travail correctement »

    Voilà plusieurs dizaines d’années qu’il n’y avait pas eu un mouvement de grève spécifique aux techniciens de laboratoire du Chic. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase ? C’est quand on a appris qu’il n’y aurait pas de remplaçants d’été cette année, lance une technicienne de laboratoire employée depuis 15 ans au Chic. Ça fait plus d’un an qu’on se donne à fond, et voilà la seule reconnaissance qu’on a. Sans ces remplaçants, nous ne pourrons pas maintenir une bonne qualité de service pendant l’été.

    Les techniciens de laboratoires tenaient également à dénoncer la dégradation progressive de leurs conditions de travail. Depuis plusieurs années, le Comité français des accréditations (Cofrac) exige que nous remplissions de plus en plus de tâches annexes qui viennent s’ajouter à notre travail, abonde une autre technicienne de laboratoire. Et quand on ajoute à ça l’augmentation de l’activité depuis un an avec la pandémie de Covid, on ne nous donne pas les moyens de faire notre travail correctement.

    Des revendications pour de meilleures conditions de travail

    Leurs revendications ? Le maintien des remplaçants d’été afin de continuer d’assurer la qualité de service, un plan de titularisation sur les postes vacants, la rémunération des astreintes de PMA, l’amélioration des conditions de travail, le recrutement de personnel supplémentaire afin de faire face à l’augmentation de la charge de travail.

    Une rencontre entre les techniciens de laboratoire et la directrice des soins de l’hôpital ainsi que le service des ressources humaines est prévue ce mercredi 9 juin dans l’après-midi.

     

    Jean VENTOUILLAC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Le mouvement national de grève à l’Apave suivi à Brest ( LT.fr - 07/06/21 - 10h57 )Une partie du personnel de l’agence brestoise de l’Apave a suivi le mouvement de grève national, ce lundi matin, à Kergaradec.

    Une grève nationale avait lieu ce lundi au sein de l’Apave, spécialisée dans la maîtrise des risques techniques, humains, environnementaux, pour les sociétés et collectivités. Y compris à Brest.

    Une partie des près de 90 membres de l’agence brestoise de l’Apave étaient en grève ce lundi matin. Les représentants de la CGT et de la CFDT en escomptaient en tout à peu près la moitié, tandis qu’une quinzaine d’entre eux était sur le piquet de grève, dès 8 h 30, avenue du Baron-Lacrosse à Gouesnou, dans la zone de Kergaradec. La dernière grève datait de 2015, pour les négociations salariales. Le mouvement est national, la CGC et FO faisant aussi partie de l’intersyndicale.

    Le tribunal administratif de Paris avait décidé, en 2019, une réorganisation, pour séparer les deux grandes activités de l’Apave, à savoir la coordination de chantier, la sécurité, le contrôle des structures, en amont et, ensuite, l’inspection, le diagnostic. Histoire d’éviter que le groupe puisse être juge et partie. Les cinq grandes structures régionales en France devenant deux entités distinctes et l’Apave ne faisant plus partie de la branche « métallurgie » mais de celle de « syntec », plutôt l’ingénierie donc.

    « Les négociations piétinent depuis six mois »

    Ce qui mobilise le personnel, c’est que le groupe Apave a, depuis, « dénoncé tous les accords d’entreprise, de tous les salariés en France, soit 10 000 personnes (les 2 400 de l’étranger n’étant pas soumis au même droit). Il y a un nivellement par le bas. Les négociations piétinent depuis six mois », indiquent les représentants syndicaux. Le litige concerne notamment les RTT et le maintien des primes d’ancienneté.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Des militants d’Extinction Rébellion s’en sont pris à différents points de retraits du géant de l’e-commerce, Amazon, dans le Finistère. « Nous affichons notre refus face à l’implantation d’un entrepôt Amazon à Briec », fait savoir le mouvement dans un communiqué.Des militants d’Extinction Rébellion s’en sont pris à différents points de retraits du géant de l’e-commerce, Amazon, dans le Finistère. « Nous affichons notre refus face à l’implantation d’un entrepôt Amazon à Briec », fait savoir le mouvement dans un communiqué. 

    Des militants d’Extinction Rébellion s’en sont pris à différents points de retraits du géant de l’e-commerce, Amazon, dans le Finistère. « Nous affichons notre refus face à l’implantation d’un entrepôt Amazon à Briec », fait savoir le mouvement dans un communiqué.

    « Pas d’Amazon en Finistère, ni Briec ni ailleurs » : voici ce que l’on pouvait lire sur l’un des mots, laissé sur l’un des points de retrait Amazon situé à Quimper, rue de Brest. Des initiatives de ce type ont été menées ailleurs dans le département du Finistère à l’initiative du mouvement Extinction Rébellion. « En tout, une cinquantaine de personnes s’est mobilisée pour combattre le géant Amazon », indique un membre.

    « À travers ces dégradations, nous souhaitons alerter les habitantes du Finistère sur les conséquences négatives que l’activité de l’entrepôt de Briec provoquera », précise Extinction Rébellion dans un communiqué. « Conséquences négatives » qui sont, selon le mouvement, « emplois précaires », « conditions de travail dangereuses », « pollution atmosphérique », « bénéfices économiques qui ne se verront pas au niveau local, ni sur le territoire français »

    La réponse d’Amazon 

    Comme à son habitude, le géant de l’e-commerce Amazon répond aux mobilisations par un mail : « Nous sommes devenus une cible pour certaines organisations qui souhaitent faire connaître les causes qu’elles représentent. Dans les faits, notre activité bénéficie aux territoires dans lesquels nous opérons : plus de 11 000 entrepreneurs et commerçants français s’appuient sur Amazon pour développer leurs activités et leurs emplois. Nous avons investi plus de 9,2 milliards d’euros dans nos activités françaises depuis 2010 et employons plus de 9 300 personnes en France, au service de nos clients. Les emplois que nous proposons s’accompagnent d’un salaire et d’avantages sociaux compétitifs ainsi que d’excellentes opportunités de carrière, le tout dans un environnement de travail positif, sûr et moderne. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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