•  Brest-Samedi 7 août 21-14h-Place de Stasbourg-MANIFESTATION CONTRE LE PASS SANITAIRE ET LES RÉFORMES ANTISOCIALES

    Manifestation contre le Pass sanitaire et les réformes anti-sociales    

    chaque samedi à 14h place de Strasbourg à BREST

    Contre la politique discriminatoire et sécuritaire du gouvernement Macron, contre :

    Contre la politique économique inégalitaire du gouvernement Macron :

    Pour :

    • un accès libre, éclairé et équitable au vaccin
    • la levée des brevets sur les vaccins
    • la socialisation de grands groupes pharmaceutiques sous contrôle citoyen
    • la fin des privatisations
    • des services publics de qualité (plus de moyens pour l’Hôpital etc.)
    Pour une justice sociale, fiscale, écologique et une véritable démocratie servant le plus grand nombre et non une minorité de privilégiés.
    « Pour un monde meilleur nous on est (toujours) là ! »

     

    Les Gilets Jaunes de Brest, le 31 juillet 2021

    Source:  https://giletsjaunesbrestois.home.blog/

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  • Le Festival de cinéma donne aussi à voir des films tournés en Bretagne comme This Train d’Arno Bitchy.Le Festival de cinéma donne aussi à voir des films tournés en Bretagne comme This Train d’Arno Bitchy. | LES FILMS DU BALIBARI

    Culture. La 43e édition du Festival de cinéma à Douarnenez sera faite de cinéma grec, d’ici et du monde entier, mais aussi de débats, d’exposition, de littérature et de cuisine.

    L’édition 2021 du festival amorce quelques changements, le premier étant un changement de lieu. Tentes, chapiteau, cuisines, bar à vin… déménagent de la place Stalingrad au parking Bézier, près des halles et du port. Une place plus grande pour encore plus d’activités et d’espaces de rencontre entre public et invités. Il faut bien avouer qu’avec l’engouement toujours plus fort pour le festival, le public était un peu à l’étroit place Stalingrad. Toujours dans cet objectif d’améliorer l’accueil du public, surtout dans la période actuelle, le festival a mis en place une billetterie en ligne pour que chacun puis réserver ses séances en amont. Mais pas d’inquiétude, il sera aussi possible d’acheter les billets de cinéma sur le stand dédié aux entrées sur la nouvelle place de l’événement. L’intérêt de la billetterie en ligne est de réduire les files d’attente devant les lieux de projection et le temps d’attente avant les séances.

    Peuples et luttes en Grèce

    Depuis l’origine, le festival, auparavant appelé le Festival des minorités nationales, s’intéresse fréquemment à un peuple en particulier. Cette année, c’est la Grèce dans toutes ses composantes. Pour cela, l’équipe a rencontré des cinéastes, des historiens, des journalistes, des écrivains… Elle s’est plongée dans des kilomètres de pellicules et a sillonné des territoires cinématographiques connus (Jules Dassin, Nico Papatakis, Theo Angelopoulos), inclassables (Tonia Marketaki, Stávros Tornés, Antouanetta Angelidi) et d’autres qui réclament un défrichage prolongé. Ce volet grec sera sans conteste le reflet des soubresauts de la politique grecque, l’occasion de découvrir des productions insoumises aux diktats du régime des colonels en passant par le nouveau cinéma Grec. On pourra voir par exemple : le documentaire Aube dorée, une affaire personnelle d’Angélique Kourounis ; L’attaque de la moussaka géante de Panos H. Koutras ; Stella, la femme libre de Michalis ; Z de Costa-Gavras ; le documentaire de Robert Manthoulis La Guerre civile

    Renseignements et programmation complète sur festival-douarnenez.com

    Grand cru Bretagne et monde des sourds

    Atelier cuisine, librairie éphémère, cinéma, débats, le festival de cinéma donne à comprendre le monde par écran interposé. | JACQUES DEBIESSE

    Inviter les cinémas d’ici et d’ailleurs à se rencontrer c’est une des démarches originelles du Festival. Cet été, Daoulagad Breizh, partenaire historique et incontournable du festival a sélectionné 36 films tournés et/ou produits en Bretagne en 2020 et 2021, du court, du long, du documentaire, de la fiction, du film d’animation, des films expérimentaux. Une sélection de coups de cœur, on pourra notamment voir Les autres chemins d’Emmanuelle Lacosse-Le Paven sur les gens du voyage ; Première année dehors, journal de bord de Valérie Manns sur d’anciens détenus tout juste sortis de prison ou encore Le dernier refuge d’Ousmane Zoromé Samassékou. De très beaux et bons films. L’autre particularité du festival depuis 12 ans c’est permettre la rencontre et l’échange entre personnes sourdes et entendantes à travers une programmation de films, des ateliers LSF, des débats tous traduits en langue des signes, des concerts et des lectures signées. Tout est accessible aux personnes sourdes qui sont de plus en plus nombreuses à être bénévoles au festival.

    Débats, palabres et littérature

    Les habitués le savent, le festival de cinéma c’est aussi une journée littérature prévue le jeudi 26 août autour de Michel Volkovitch, des polars de Petros Màrkaris, de l’œuvre sombre et engagée de Chronis Missios… Le festival aura d’ailleurs sa librairie éphémère installée au Port-Musée avec pas moins de 800 références. Mais l’événement a choisi de faire se rencontrer public, réalisateurs, historiens, journalistes autour de débats organisés chaque jour à 18 h et de palabres le matin à 10 h à la MJC.
    Le samedi 21 août
    , le premier débat « La Grèce, un pays frontière, identités morcelées » traitera de l’histoire récente de la Grèce, de sa géographie, de nos rapports à l’ailleurs.

    Les questions LGBTQIA + au cœur du festival

    Le 22, la palabre « Un archipel des solidarités 2017-2020 » s’articulera autour des migrations et le débat « La crise grecque, quelle crise ? » évoquera la crise récente et toutes celles plus cachées.
    Le 23, la palabre se fera autour des questions environnementales en Grèce et le débat sur la situation des minorités.
    Le 24, la palabre évoquera « Ces jeunes qui fuient la Grèce » et le débat les questions de genres en Grèce. Les questions LGBTQIA + sont au cœur du festival depuis 2012.
    Le 25, la palabre se fera en breton et le débat autour de la culture sourde et plus particulièrement « Être artiste sourd ».
    Le 26, la palabre abordera la situation des enfants intersexes en Grèce et le débat une question épineuse : « Habiter la terre : agriculture et filière agroalimentaire en Bretagne. »
    Le 27, la palabre animée par Étienne Copeaux évoquera « Les Grecs vus par les Turcs : la belle-famille, ou l’ennemi préféré ». Le dernier débat aura pour thème « Réfugiés en Grèce, un long chemin qui ne mène nulle part » et la dernière palabre du samedi s’intitulera « D’Istanbul à Athènes : trajectoire des Grecs d’Istanbul au lendemain des événements de septembre 1955. »

     

    Françoise JOIN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • À Plougastel-Daoulas, l’avenir trop incertain des cochons de Kervilavel. ( LT.fr - 2/05/21 - 20h02 )Séverine, avec la dernière portée.

    Noyé par les normes, le couple de producteurs porcins de la ferme de Kervilavel, à Plougastel-Daoulas, lâche l’affaire. Une production renommée, qui se retrouve alors sur la paille.

    Suite à la découverte de cas de peste porcine africaine en Belgique en 2018, à proximité des frontières françaises, et pour endiguer la menace de contamination des exploitations porcines françaises, un arrêté « biosécurité » a été pris par le gouvernement (lire par ailleurs). Mais l’application des mesures fixées pose de gros soucis, dénoncés par la Confédération paysanne, notamment en ce qui concerne les clôtures.

    Les normes imposées impactent particulièrement les exploitations de plein air comme la ferme de Kervilavel, à Plougastel-Daoulas. C’est la mort dans l’âme que Séverine Quéré et Guillaume Rolland ont pris la décision d’arrêter la production des cochons qui ont fait leur renommée, et que l’on retrouvait sur les meilleures tables de la région.

    « On ne veut pas faire de l’élevage en bâtiment »

    À la fin de l’année, les derniers cochons partiront à l’abattoir. Le couple s’est déjà séparé des truies. Pourtant, ils ont validé leur formation en biosécurité, et ont été contrôlés en mai. À l’issue du contrôle, le procès-verbal leur donnait quatre mois pour se mettre aux normes ou arrêter. « Quand tu as fait de l’élevage comme ça, tu ne reviens plus en arrière, affirme Séverine Quéré. Même sur paille… On ne veut pas faire de l’élevage en bâtiment. Même les porcs bios seront enfermés. Il n’y aura bientôt plus de cochon de plein air. C’est sans solution. Pour l’instant, l’avenir est trop incertain. La maladie peut arriver, et si un élevage est touché, ce sont tous ceux dans un rayon de 20 km qui sont en danger. En Bretagne, tu ne fais pas 20 km sans voir des cochons ».

    « Y aura-t-il encore du cochon en gastro ? »

    « La peste porcine est transmissible à l’homme qui reste porteur sain, contrairement aux suidés que le virus décime. La ferme de Kervilavel couvre 30 hectares avec des talus, ou encore des chemins. Impossible de clôturer à moins d’investir 500 000 € ». La déception est grande et Séverine Quéré, qui était si fière de voir sa production à la carte des grands restaurants, se pose une question : « Y aura-t-il encore du cochon en gastro ? ».

    Et après ?

    La question de la suite se pose. Séverine et Guillaume réfléchissent à la création d’un « tiers-lieu nourricier », avec culture et expérimentation de groupe à destination de plusieurs familles.

    Il est encore question de s’orienter vers l’économie solidaire, d’un verger fruitier, et d’une basse-cour. Mais pour cette dernière, le problème de la grippe aviaire peut également se poser.

    Enfin, ils envisagent, tout de même, peut-être, de « grillager 2 hectares, parce que se dire qu’il n’y aura plus de cochons du tout, ici, c’est trop dur. » 

    En complément
    Biosécurité?: ce que dit la loi
     
     
     
                                                                                  Les conditions sanitaires et d’accès aux élevages y figurent.

    Pour rappel, la biosécurité désigne l’ensemble des mesures préventives et réglementaires visant à réduire les risques de diffusion et de transmission de maladies infectieuses chez l’homme, l’animal et le végétal.

    L’arrêté « biosécurité », relatif aux mesures de biosécurité applicables dans les exploitations détenant des suidés dans le cadre de la prévention de la peste porcine africaine et des autres dangers sanitaires réglementés, a été publié le 16 octobre 2018 pour les élevages porcins. Il est applicable de manière pérenne à tous les détenteurs de suidés en France.

    Un panel de règles

    Il concerne les conditions sanitaires et d’accès aux exploitations. Cependant, certaines mesures nécessitant des investissements lourds bénéficiaient d’un délai jusqu’au 1er janvier 2020, décalé suite à la crise sanitaire. Parmi elles, on retrouve : l’installation d’un quai d’embarquement pour le chargement et le déchargement des animaux, une aire bétonnée ou stabilisée dédiée à la zone d’équarrissage (la ferme de Kervilavel n’étant pas concernée puisque cette étape se fait pour eux à l’abattoir) et l’empêchement de tout contact entre les suidés domestiques détenus dans l’exploitation et les suidés sauvages (sangliers), notamment par des systèmes de clôtures étanches ou des courettes supérieures à 1,50 m.

    Le texte prévoit aussi que seules les personnes autorisées pénètrent dans la zone d’élevage en passant par un sas sanitaire. Ces visites doivent être limitées au strict minimum.Le sas sanitaire doit permettre une séparation stricte entre la zone professionnelle et la zone d’élevage.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Finistère. Une quarantaine de gérants de café signe une pétition contre le passe sanitaire. ( OF.fr - 03/08/21 - 17h28 )Une quarantaine de gérants et tenanciers de bars, cafés et restaurants s’opposent au passe sanitaire dans un communiqué.

       « POUR un bistrot ouvert à toutes et tous » c’est ainsi que se positionne une quarantaine de gérants de café et bars du Finistère et des Côtes-d’Armor, dans un communiqué de presse. C’est-à-dire contre la mise en place du passe sanitaire obligatoire pour se rendre dans ces établissements, qui devrait entrer en vigueur le 9 août 2021.

       Parmi les signataires de la missive on trouve le café culturel Au coin d’la rue ou le mouton à cinq pattes à Brest, la brasserie Tri Martolod à Concarneau ou encore le Lok’all, à Morlaix.

        Les tenanciers bretons dénoncent ainsi l’obligation de contrôler leurs clients et l’éventualité de devoir leur refuser l’entrée d en cas d’absence de passe sanitaire. « Qui sommes-nous, gérants de bistrot , pour refuser d’accueillir une personne et en accepter une autre ? », s’insurgent-ils. Pour ces gérants d’établissement, le passe sanitaire comme condition d’entrée est contraire à leur « socle de valeurs ». « Dans tous nos bistrots, notre job est d’accueillir, non de sélectionner. Nous sommes des lieux ouverts à toutes et tous sans distinction. Nous sommes des cafés, pas des clubs fermés », soulignent-ils sans pour autant nier le contexte sanitaire et la pertinence du vaccin.

    « Nous refusons de jouer le rôle de police sanitaire »

      Par cette pétition les gérants et tenanciers de lieux de convivialité veulent signifier qu’ils refusent « de jouer le rôle de police sanitaire », « défendre un respect de la liberté de choix, ainsi que de la liberté individuelle d’aller et venir dans des lieux publics sans discrimination aucune ». Ils questionnent également l’obligation vaccinale imposée aux salariés et condamnent la brutalité et la précipitation dans lesquelles ces décisions sont prises.

      « Nous ferons tout ce qui est légalement possible de faire pour nous opposer à l’application d’un passe sanitaire dans des lieux publics comme les nôtres », conclut le collectif.

     

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Quimper. Un rassemblement antinucléaire organisé au sommet du Menez-Hom  (OF.fr-2/08/21-17h34)Les membres du Cian 29 se réuniront ce vendredi 6 août 2021 au sommet du Menez-Hom pour protester contre les armes nucléaires.

    Vendredi 6 août 2021, 76 ans après le bombardement d’Hiroshima, le Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires du Finistère (Cian 29), organise un événement pacifiste au sommet du Menez-Hom. Randonnée, débats et musiques sont au programme.

    Soixante-seize ans après le bombardement de la ville d’Hiroshima, au Japon, les membres du Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires du Finistère (CIAN 29), organisent leur rassemblement annuel. L’événement se déroulera vendredi 6 août 2021 au sommet du Menez-Hom.

    Au deuxième étage du Bar des Amis, situé près des Halles de Quimper (Finistère), la dizaine de membres du CIAN 29 détaille le programme de la journée.

    Vue sur la rade de Brest

    Le Menez-Hom, à Plomodiern, n’a pas été choisi par hasard, explique Christian Colimard, l’un des porte-parole du collectif : « De là-haut, on a une vue imprenable sur la rade de Brest et l’île Longue, là où se trouvent les sous-marins nucléaires. » Sur la table, un article du journal La Croix évoque « Le combat des irradiés de l’île Longue ».

    Cette année est particulière affirme Rolland de Penanros, le deuxième porte-parole : « C’est la première fois que notre événement se déroulera après l’entrée en vigueur, le 21 janvier 2021, d’un traité d’interdiction des armes nucléaires. »

    Soirée pacifiste au Menez-Hom

    « On va monter à l’assaut du Menez-Hom », lance Christian Colimard. L’assemblée, hilare, le reprend, notamment Rolland de Penanros : « Nous sommes pacifistes, Christian, ne l’oublie pas ! »

    Au programme ce vendredi 6 août, pas d’assaut mais une randonnée, dès 17 h. Les marcheurs partiront de la stèle de la résistance au parking de Sainte-Marie-du-Menez-Hom (Plomodiern). Sur place, le public y retrouvera l’espace militant. « Des missiles factices, des banderoles antinucléaires, une agora pour débattre et d’autres choses », décrit Christian Colimard.

    En soirée, de 18 h 30 à 21 h 30, des animations musicales sont prévues. Un duo de sonneurs, la fanfare de Douarnenez, « Les Invisibles » ainsi que la présence d’une caravane qui diffusera de la musique électro. En fil rouge de cette journée, de nombreuses discussions et débats autour des armes nucléaires.

     

    Gauthier HASCOËT

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Une nouvelle marche antinucléaire vers le sommet du Menez Hom  (LT.fr-2/08/21-17h17)Quelques membres du Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires du Finistère (Cian 29), réunis lundi midi à Quimper.

    Créé en 2018 à l’initiative du Mouvement de la Paix et de l’Université européenne de la Paix (UEP), le Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires du Finistère (Cian 29) regroupe une quinzaine d’organisations politiques, syndicales et associatives. Comme son nom l’indique, son credo est de construire « un avenir résolument humain, libéré de la menace périlleuse que fait courir à l’humanité le maintien et la modernisation d’un arsenal atomique ».

    Premier rassemblement post-Tian

    Dans cette optique, le Cian 29 organise une nouvelle fois une marche et un rendez-vous au sommet du Menez Hom pour exiger la fin de l’arme nucléaire, vendredi 6 août, jour anniversaire du « crime contre l’humanité » d’Hiroshima (1945) – le bombardement atomique de Nagasaki, le 9 août 1945, sera également commémoré. Pourquoi le Menez Hom ? « Parce qu’il est l’un des sommets du département, et qu’il surplombe la rade de Brest et l’île Longue [la base opérationnelle des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la marine française] », explique Roland de Penanros, membre de l’UEP.

    Un missile en carton en signe de désapprobation a été monté jusqu'au Menez HomLe missile en carton confectionné par le collectif sera de la partie.

    Ce rassemblement sur la presqu’île de Crozon aura, cette année, une saveur particulière, puisqu’il sera le premier du genre à se dérouler après l’entrée en vigueur du Traité d’interdiction des armes nucléaires (Tian), le 22 janvier 2021. « Ce traité avait été signé aux Nations unies en 2017, rembobine Roland de Penanros. À l’époque, 122 pays sur 193 y étaient favorables, soit la très grande majorité de la population mondiale. Et à partir du moment où 50 pays l’avaient ratifié [un seuil franchi en octobre 2020, ndlr], il faisait office de loi au regard du droit international ».

    Les 50 villes françaises qui soutiennent le Traité des Nations unies sur l’interdiction des armes nucléaires, dont Paris et Lyon.Les 50 villes françaises qui soutiennent le Traité des Nations unies sur l’interdiction des armes nucléaires, dont Paris et Lyon. 

    8 969 € par minute

    Problème : les États dotés de l’arme nucléaire, dont la France, « ont complètement boycotté cette démarche ». « Si nous n’étions pas là, personne, dans notre pays, ne saurait que cette arme a été mise au ban de la société internationale », estime Roland de Penanros. À moins d’un an des élections présidentielle et législatives, le Cian 29 entend donc (ré) alerter les élus et la population, dans l’espoir d’un processus de démantèlement. En rappelant, pour conclure, que l’État français a dépensé 8 969 € par minute pour des armes nucléaires, en 2020…

    Pratique

    Vendredi 6 août : ouverture de l’espace militant pour le désarmement nucléaire au sommet du Menez Hom (à 16 h) ; marche vers le sommet, depuis la stèle de la Résistance au parking de Sainte-Marie (17 h-18 h) ; pique-nique, agora et animations (18 h 30- 21 h 30).

     

    Jeremy Goujon

    source: https://www.letelegramme.fr

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  • La musique de la rave party, à Plonéis, a été coupée vers 6 h ce dimanche matin. La musique de la rave party, à Plonéis, a été coupée vers 6 h ce dimanche matin. 

    Environ 250 personnes ont participé, dans la nuit de samedi à dimanche, à une rave party sur un site plutôt isolé situé sur la commune de Plonéis.

    Plusieurs rave party se sont déroulées en Bretagne ce week-end, répondant à l’appel de « La Nuit des meutes » diffusé sur certains réseaux sociaux. Des manifestations en hommage à Steve Maia Caniço, le jeune homme décédé lors de la Fête de la musique 2019 à Nantes, mais également pour dénoncer « la répression ».

    Musique coupée vers 6 h

    Les gendarmes sont intervenus, entre autres, à Poullaouen (29), sur les hauteurs du Menez Bré à Louargat (22), dans la forêt de Clohars-Carnoët (29) ou encore à Nivillac (56). D’autres ont été empêchées à Spézet (29) et Marzan (56). Une rave party s’est également tenue sur la commune de Plonéis (29), près de Quimper. La fête s’est déroulée sur un site isolé situé à hauteur de la route de Gourlizon.

    La brigade de gendarmerie de Quimper a été appelée par un riverain un peu avant 2 h, dans la nuit de samedi à dimanche. Environ 250 teufeurs étaient présents sur place. Une quarantaine de gendarmes ont été mobilisés sur le site. Et la musique a été coupée vers 6 h. Le site a été évacué progressivement ce dimanche en fin de journée.

     
     
     
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  • Environ 1 800 personnes ont défilé dans les rues de Quimper, ce samedi après-midi, contre l’extension du passe sanitaire.Environ 1 800 personnes ont défilé dans les rues de Quimper, ce samedi après-midi, contre l’extension du passe sanitaire. 

    Pour la troisième journée de mobilisation contre le passe sanitaire, ils étaient encore nombreux à défiler, ce samedi 31 juillet, dans les rues de Quimper.

    Ils étaient environ 800 lors du premier samedi de mobilisation. Plus de 2 000 manifestants ont été comptabilisés la semaine dernière. Ce samedi 31 juillet, ils étaient plus de 1 800 personnes à déambuler dans les rues de Quimper au cours d’une mobilisation qui n’avait pas été déclarée en préfecture. Si l’on pouvait y apercevoir quelques drapeaux de syndicats, et bien évidemment bretons, il s’agissait bel et bien d’« une mobilisation citoyenne » pour dénoncer l’extension du passe sanitaire et de la vaccination obligatoire pour certaines professions.

     
    Environ 1 800 personnes ont défilé dans les rues de Quimper ce samedi après-midi.Environ 1 800 personnes ont défilé dans les rues de Quimper ce samedi après-midi. 

    Aux cris des « Liberté » et « Macron démission », le cortège a défilé de la place de la Tourbie aux quais de l’Odet avec un passage place Saint-Corentin, rue Kéréon ou encore rue du Chapeau-Rouge et devant la permanence de la députée Annaïg Le Meur. On peut également citer le passage de certains manifestants devant les locaux des médias régionaux au rythme de quelques « collabos » prononcés par une toute petite poignée de manifestants en colère. Mais préférons retenir que cette mobilisation s’est déroulée pacifiquement.

    Suppression des libertés

    Au sein du cortège quimpérois, on y retrouvait un large panel de la société. Des familles, des retraités, des actifs, des gilets jaunes, des étudiants, des syndicats, du personnel du monde de la santé…

    « Sauvons nos petits commerces », pouvait-on lire sur certaines pancartes.« Sauvons nos petits commerces », pouvait-on lire sur certaines pancartes. (Le Télégramme/Benjamin Pontis)

    « Le passe sanitaire, c’est un retour en arrière. Il n’a aucune utilité pour lutter contre celle vilaine maladie », souligne Jérémy, 32 ans. « Il faut trouver des solutions mais pas celle-là. Ce n’est pas le passe sanitaire qui va résoudre le problème. Au contraire, cela va l’accentuer. Cela va diviser les gens », ajoute ce jeune homme de Concarneau qui s’interroge des conséquences d’une telle mesure pour les restaurateurs. Jérémy tient à préciser : « Je ne suis pas encore vacciné. Je préfère attendre que l’on ait plus de recul. Je ne suis pas contre la vaccination car chacun fait ce qu’il veut. Mais obliger supprime nos libertés ».

    Prêt à aller jusqu’au bout

    « Nos libertés s’envolent les unes après les autres. Ça devient très dangereux », complète Sandrine, 53 ans. « Le gouvernement nous envoie au casse-pipe. Ils veulent nous transformer en moutons. On n’est pas contre la vaccination. Les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent. Mais il ne faut pas que cette obligation passe », s’insurge de son côté un commerçant quimpérois.

    Dans le cortège, de nombreux manifestants dénoncent la vaccination obligatoire.Dans le cortège, de nombreux manifestants dénoncent la vaccination obligatoire. (Le Télégramme/Benjamin Pontis)

    « Chacun est libre de se faire vacciner ou non. Mais on parle d’un vaccin expérimental. Un vaccin qu’on teste sur toute la population. Et sur des enfants. C’est du jamais vu. C’est une aberration. On n’a pas suffisamment d’informations sur la composition du vaccin. Et surtout, on minimise les effets secondaires », continue Tony, 31 ans. Cet aide-soignant en Ehpad se dit « prêt à aller jusqu’au bout, quitte à perdre mon emploi. Mais on ne laissera pas passer cela ».

    Les manifestants sont prêts à revenir tous les samedis pour dénoncer le passe sanitaire.Les manifestants sont prêts à revenir tous les samedis pour dénoncer le passe sanitaire. 
     
     

    Benjamin Pontis

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Parmi les manifestants, certains étaient porteurs de pancartes aussi humoristiques qu'explicites. Parmi les manifestants, certains étaient porteurs de pancartes aussi humoristiques qu’explicites. 

    Samedi 31 juillet 2021, environ 400 manifestants étaient réunis à Morlaix pour dire « non » au passe sanitaire.

    Pour cette troisième semaine de mobilisation morlaisienne, ils étaient environ 400 personnes à manifester contre le passe sanitaire dans le centre-ville.

    Si certains manifestants ne portent pas de masques, ce n’est pas le cas d’Elizabeth, qui est par ailleurs vaccinée : « Mais ça n’empêche que je suis contre cette obligation. Je suis ici pour apporter de la nuance. Je suis pour la liberté : il ne faudrait jamais que nos libertés fondamentales soient compromises. » Même son de cloche pour Olivier et Frédérique : « Nos corps nous appartiennent. On est pour la liberté ! »

    De la nuance

    Zoé et Charly déplorent justement le manque de nuances dans les débats : « Soit on n’est pas vaccinés, et alors on est des idiots qui sont aussi contre la 5G, partisans du RN, etc. ; soit on est vaccinés, et alors là on ne se pose pas de questions ! Mais, le débat est un peu plus complexe que ça… Nous, de base, on n’est pas contre le vaccin, on demande simplement des informations éclairées et objectives et un peu de temps. C’est la manière de faire qui nous pose question… On tourne en ridicule les gens qui se posent des questions, alors qu’un vaccin, ce n’est pas anodin. On a le droit de réfléchir. Or, là, on a l’impression que c’est juste « ne réfléchissez pas, faites-nous confiance »… »

    Ils pointent également du doigt les informations contradictoires : « On a envie de faire confiance, bien sûr mais il y a quinze jours, le vaccin était déconseillé aux femmes enceintes avant la fin du premier trimestre et aujourd’hui, il est conseillé… Ça ne met pas en confiance. »

    Une stigmatisation pesante

    Mélanie et Marie, toutes deux infirmières, dénoncent, elles, l’absence de « consentement libre et éclairé ». « On n’est pas anti-vaccin, mais que chacun fasse ce qui lui semble bon pour lui. » Pour ces deux professionnelles du milieu médical, « tous les vaccins ont, forcément, des effets secondaires. Or, là, on nous dit qu’il n’y en a pas. Comment voulez-vous que les gens aient confiance ? On a l’impression qu’on nous ment tout le temps. » Elles craignent pour l’avenir de leurs enfants : « Ma fille va avoir 12 ans, je suis en panique. Je vais devoir lui dire qu’elle ne va plus pouvoir aller à l’école, ni à ses cours de natation, etc. Ce n’est pas possible ! », s’inquiète Mélanie.

    Ce qui est le plus dur ? La stigmatisation dont elles sont victimes alors « que l’on ne fait pas un métier facile », souffle Marie, les larmes aux yeux. « Entendre que je suis égoïste et irresponsable, je ne peux plus l’entendre », lance Mélanie qui a démissionné et qui est actuellement en reconversion professionnelle.

    Que chacun fasse ce qui lui semble bon pour lui.

    « Chacun doit décider par lui-même ! »

    « Chacun doit décider par lui-même ! » peut-on entendre ici et là. Beaucoup de manifestants, à l’instar de Loulann, dénoncent « une atteinte directe à nos libertés. Derrière, c’est tout le régime démocratique qui est remis en cause. » « Le droit de la santé est en train de s’opposer à tous les autres droits : le droit de disposer de son corps, le droit des enfants, etc. », ajoute Michelle pour qui « il faudra arriver à fédérer toutes ces sensibilités différentes qui sont dans la rue, sinon ça finira en jacquerie ! »

    Qu’ils s’appellent Charly, Zoé, Elizabeth, Marie ou Olivier, tous regrettent que le passe sanitaire « divise tout le monde. On est en train de monter les non-vaccinés contre les vaccinés… »

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Plus de 2000 manifestants ont défilé dans le centre-ville de Brest, ce samedi après-midi 31 juillet (ici rue du Château). Ils protestent notamment contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoi Plus de 2000 manifestants ont défilé dans le centre-ville de Brest, ce samedi après-midi 31 juillet (ici rue du Château). Ils protestent notamment contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire. 

    Le nombre de manifestants contre le passe sanitaire a au moins égalé celui du samedi précédent, qui dépassait déjà les 2000, ce samedi à Brest.

    Certains demandaient juste de ne pas obliger à la vaccination les adolescents, jugés moins vulnérables au virus. D’autres affichaient leur rejet net du passe sanitaire, la discrimination. C’étaient les mots d’ordre principaux du défilé de ce samedi, le troisième à Brest depuis deux semaines. D’autres aussi manifestaient à visage découvert, tout en estimant être en dictature. Les drapeaux tricolores, parfois munis d’une croix de Lorraine, côtoyaient les gwen ha du et un autre orné d’une tête de mort. Et puis les générations étaient brassées.

     

    Bref, le cortège de manifestants était assez varié et, clairement, au moins aussi important que celui de la semaine précédente, dans le centre-ville de Brest, alors que plusieurs autres villes du Finistère avaient aussi leur propre rendez-vous. Environ 1 400 personnes selon la police. Largement 2 000, en fait, très probablement. Parti à 14 h 15 de la place de Strasbourg, le mouvement a été renforcé, notamment place de la Liberté.

    « Liberté », « résistance » et « no pasaran »

    La référence à la Seconde Guerre mondiale était aussi très présente dans les slogans, écrits ou oraux : il y aurait, d’un côté, les résistants (eux-mêmes) et, de l’autre, les collabos. Ainsi, « liberté » et « résistance » se taillaient la part du lion dans les clameurs. « Pire que les bruits de botte, le silence des pantoufles », estimait un écriteau. Les « fachos » en ont pris aussi pour leur grade, comme les médias « qui sont menteurs », les laboratoires pharmaceutiques « qui profitent de la crise sanitaire », et le président Macron, appelé à la démission. Notamment depuis les marches de l’hôtel de ville après 16 h, alors que des mariés observaient la scène depuis l’intérieur.

    Les propos libertaires tenaient également une bonne place. « Ni pour, ni contre, juste libre », brandissait une dame. « No pass, no pasaran », disait une autre banderole, en référence à la guerre civile espagnole de 1936, ce que la foule a traduit, criant : « Le passe ne passera pas ».

    L’ensemble, au son de tambours et accompagné de quelques fumigènes, était plutôt bon enfant et l’après-midi s’est déroulé sans incident. Juste un accident à déplorer : une jeune femme a été blessée à la jambe par une voiture, en bas de la rue de Siam.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Finistère. Le Mouvement de la Paix au Ménez-Hom le 6 août   (OF.fr-30/07/21-13h37)

    La section du Mouvement de la Paix sud-Cornouaille, basée à Concarneau (Finistère), souhaite commémorer les bombardements du 6 et 9 août 1945, sur les villes de d’Hiroshima et de Nagasaki. Elle donne rendez-vous au sommet du Ménez-Hom, vendredi 6 août 2021.

    La section du Mouvement de la Paix sud-Cornouaille poursuit ses activités. « On ne peut pas parler de relance puisque même durant la crise sanitaire nous avons été présents », explique le responsable Christian Collimard, à l’occasion de la réunion qui s’est déroulée mardi 27 juillet 2021 à Concarneau (Finistère).

    Les échanges ont permis d’évoquer le thème sur lequel se concentre l’essentiel de la cinquantaine de membres, dont une vingtaine de Concarnois. « En effet, le 6 août 2021, nous serons présents au sommet du Menez Hom pour commémorer les bombardements du 6 et 9 août 1945 sur les villes de d’Hiroshima et de Nagasaki. »

    « Tous les ans nous assistons aux rencontres au sein d’une agora, animée par l’ensemble des sections du Mouvement de la Paix et du collectif pour l’interdiction des armes nucléaires et l’université européenne de la paix, implantée à Brest », souligne Christian Collimard.

    Ce rendez-vous au Ménez-Hom, vendredi 6 août 2021, vers 18 h-18 h 30, se prolongera par des animations musicales et graphiques.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Contre la politique discriminatoire et sécuritaire du gouvernement Macron, contre :

    Contre la politique économique inégalitaire du gouvernement Macron :

    Pour :

    • un accès libre, éclairé et équitable au vaccin
    • la levée des brevets sur les vaccins
    • la socialisation de grands groupes pharmaceutiques sous contrôle citoyen
    • la fin des privatisations
    • des services publics de qualité (plus de moyens pour l’Hôpital etc.)
    Pour une justice sociale, fiscale, écologique et une véritable démocratie servant le plus grand nombre et non une minorité de privilégiés.
    « Pour un monde meilleur nous on est (toujours) là ! »

     

    source: https://giletsjaunesbrestois.home.blog/


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  • Les adhérents du Mouvement de la paix de Concarneau participeront à la soirée pacifiste, le 6 août, sur le Ménez Hom. Les adhérents du Mouvement de la paix de Concarneau participeront à la soirée pacifiste, le 6 août, sur le Ménez Hom.

    Membre du Collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires (CIAN 29), le Mouvement de la paix de Concarneau invite la population à participer à la soirée pacifiste, le vendredi 6 août, sur le Ménez Hom, dès 16 h. « Comme tous les ans, les mouvements pacifistes vont commémorer le désastre des bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki », rappelait, mardi, l’un des porte-parole, Christian Colimard.

    Des animations au Menez Hom

    Les pacifistes demandent au gouvernement de signer le Traité d’interdiction des armes nucléaires en vigueur depuis le 22 janvier 2021. Des animations musicales seront programmées lors du rassemblement du 6 août. Outre des sonneurs bretons, celui-ci accueillera des chorales, des fanfares et une caravane électro. Un stand d’information sera installé au sommet du Menez Hom - face à l’Île Longue, base des sous-marins nucléaires français lanceurs d’engins - où seront orchestrées des prises de parole, toute la soirée.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Panne à l’aéroport de Brest : l’USACcgt dénonce « un manque de moyens » 

    Suite aux pannes occasionnées par la foudre à l’aéroport Brest Bretagne, le syndicat USACcgt tient à réagir. Il dénonce « un manque de moyens ».

    Ce vendredi, à 21 h 15, la foudre a frappé l’aéroport de Brest Bretagne, mettant hors service les écrans radar, une partie des systèmes techniques (données plans de vol) et les informations météo. Seuls restaient le téléphone, la radio, les indicateurs de vent et de pression. Conséquence : ce samedi, quasiment tous les vols ont été annulés ou déroutés alors que 6 000 passagers étaient attendus.

    Dans un communiqué, le syndicat USAC/CGT explique que « les contrôleurs aériens ont posé le dernier vol en provenance de Lyon aux procédures, puis ont appliqué un arrêt des arrivées jusqu’au matin en accord avec leur hiérarchie. Samedi matin, c’est avec une reprise à hauteur d’un avion par heure maximum que le trafic est reparti, aucun dépannage n’étant possible le week-end depuis que l’administration a acté la fin des astreintes des ingénieurs de maintenance (IESSA) en week-end depuis le 1er juillet 2021 ».

    « Il faut garantir un niveau de service adapté »

    Et d’ajouter, « cette suppression des astreintes est en lien direct avec le manque criant d’effectifs IESSA à Brest-Bretagne, manque que l’USACcgt a dénoncé à plusieurs reprises, jusqu’au dépôt d’un préavis de grève le 28 avril 2021 ».

    L’USAC/CGT dénonce « la réduction de service pilotée par l’administration, qui entrave durablement les services de la navigation aérienne avec les conséquences que nous connaissons pour les usagers ». Pour l’USAC/CGT, « l’administration doit tout mettre en œuvre pour que l’effectif des ingénieurs de maintenance de Brest Bretagne puisse remonter au niveau de celui de 2019 et garantir un niveau de service adapté aux missions qui incombent à l’aviation civile ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • La Tourbie, les quais, la gare, le centre-ville… Le cortège a arpenté Quimper durant plus de deux heures, ce samedi après-midi. La Tourbie, les quais, la gare, le centre-ville… Le cortège a arpenté Quimper durant plus de deux heures, ce samedi après-midi. 

    Bien loin des 800 participants enregistrés la semaine dernière, ils étaient plus de 2 000, ce samedi après-midi, à manifester dans les rues de Quimper contre le pass sanitaire et la vaccination obligatoire.

    Ils ont réussi un vrai coup de force ! Une semaine après une première manifestation qui avait rassemblé quelque 800 personnes à Quimper, les opposants au pass sanitaire et au vaccin obligatoire ont à nouveau battu le pavé, ce samedi après-midi. Une manifestation non déclarée en préfecture, qui est partie de la place de la Tourbie. Et, au fil des minutes, le cortège n’a eu de cesse de gonfler.

     

    Pour leur deuxième manifestation en deux semaines, les opposants au pass sanitaire sont partis de la Tourbie, à Quimper.Pour leur deuxième manifestation en deux semaines, les opposants au pass sanitaire sont partis de la Tourbie, à Quimper.

    Au final, plus de 2 000 manifestants selon nos calculs* ont arpenté le centre-ville, le quartier de la Gare et les quais de l’Odet, en scandant « Liberté », « Anti pass sanitaire », « Macron démission », « Ne touchez pas à nos enfants ».

    Des vaccinés, des non vaccinés, des employés du monde médical et paramédical, des gilets jaunes… le cortège était multiple, ce samedi.Des vaccinés, des non vaccinés, des employés du monde médical et paramédical, des gilets jaunes… le cortège était multiple, ce samedi. 

    Dans les rangs notamment, Gwenn, Christine et Sandrine, trois quinquagénaires, assistantes dentaires à Lorient. « On n’est pas anti-vaccin. Mais on est contre « ce » vaccin, car il est toujours à l’essai », lâche la première. « Moi, j’ai tous mes vaccins. Mais on ne peut pas comparer cette thérapie génique à un vaccin. On n’a pas de recul », enchérit la seconde, alors que la troisième « pense à [ses] filles ». Elle craint notamment les effets à long terme que le vaccin pourrait avoir sur elles.

    Au sein du cortège, plusieurs gilets jaunes.Au sein du cortège, plusieurs gilets jaunes. 

    « J’aime mon métier, je n’ai pas envie de le perdre »

    À quelques pas, Marion et Lucile, deux trentenaires, ont fait le déplacement depuis Dinéault. Elles aussi réclament « une liberté de choix ». « Je suis contre ce vaccin car on n’a pas assez de recul. On ne sait pas quels seront les effets secondaires, redit Lucile. Les vaccins nous ont sauvés dans plein de cas. Mais celui-là, pour l’instant, je me méfie. C’est trop tôt ».

    Les opposants ont réussi à mobiliser, ce samedi après-midi, à Quimper.Les opposants ont réussi à mobiliser, ce samedi après-midi, à Quimper.

    « Moi, je suis aide soignante, explique de son côté Marion. Et aujourd’hui, on nous dit que si on n’est pas vacciné au 15 septembre, on devra rester chez nous… Ce n’est pas normal ». Une consigne qui pourrait, au final, la contraindre à se faire vacciner, bien malgré elle. « Car j’aime mon métier, je n’ai pas envie de le perdre », soupire-t-elle.

    « Pas contre les vaccins mais pour notre liberté », « Résiste ! « Boycotte le pass », « Variant Delta, mensonge d’État »… Les pancartes ont fleuri au sein du cortège, ce samedi.« Pas contre les vaccins mais pour notre liberté », « Résiste ! « Boycotte le pass », « Variant Delta, mensonge d’État »… Les pancartes ont fleuri au sein du cortège, ce samedi. 

    Des adultes, des jeunes, des enfants en bas âge… le cortège est multiple. Il est aussi composé de personnes qui ont eu leurs injections. À l’image de Christian, Quimpérois de 73 ans. Mais il est là malgré tout, « pour défendre la démocratie et la liberté de faire ce que l’on a envie »…    

    Les manifestants sont passés deux fois devant la préfecture. À chaque fois en huant et en installant des pancartes sur le portail.Les manifestants sont passés deux fois devant la préfecture..À chaque fois en huant et en installant des pancartes sur le portail. Les manifestants ont aussi arpenté le centre-ville.Les manifestants ont aussi arpenté le centre-ville. 

    * 500 selon les renseignements intérieurs, « bien plus de 3 000 » selon les participants interrogés.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Nouvelle journée de mobilisation des anti-pass sanitaire

    Environ 120 anti-pass sanitaire se sont rassemblés, samedi 24 juillet 2021, à partir de 10 h, devant la mairie de Morlaix.

    La pluie n’a pas découragé les Morlaisiens, samedi 24 juillet 2021. Dès 10 h, environ 120 personnes se sont rassemblées devant la mairie de la ville, au bout du marché hebdomadaire. Si certains sont plus modérés que d’autres, ils étaient tous réunis pour manifester leur mécontentement contre la mise en place du passeport sanitaire par le gouvernement.

    Des anti-pass sanitaire, et des anti-vaccins

    Comme dans de nombreuses villes bretonnes, les anti-pass sanitaire s’étaient donné rendez-vous dans la rue. Et parmi eux, on retrouve plusieurs catégories de personnes, des plus modérées aux plus radicales. « Je suis vaccinée, mais je suis contre l’instauration de ce pass sanitaire. Il bafoue les droits fondamentaux des citoyens comme le choix de disposer de son corps comme on l’entend. Les gens qui ne veulent pas se faire vacciner n’ont pas à être forcés à le faire, c’est tout », témoigne Josiane.

    Parmi la centaine de personnes présentes, d’autres ont un discours plus radical : « Je ne me ferais jamais vacciner. Je ne suis pas comme tous ces moutons du gouvernement. Et rien dans la loi ne peut m’empêcher d’aller au cinéma ou boire un café, sous prétexte que je ne me suis pas soumis à un vaccin », confie un manifestant.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Scandant « Tous ensemble », « Liberté », quelque 2 000 manifestants ont défilé ce samedi après-midi dans les rues de Brest.Scandant « Tous ensemble », « Liberté », quelque 2 000 manifestants ont défilé ce samedi après-midi dans les rues de Brest.

     

    À Brest, plus de 2000 anti-pass sanitaire ont manifesté ce samedi après-midi.

    À 14 h, à l’appel du collectif « Reinfo Covid » et de l’association « Bon sens », quelque 250 personnes se sont retrouvées place de la Liberté, à Brest, pour dire « non à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire ». Selon eux, « ces mesures gouvernementales vont trop loin et visent, sous couvert d’un virus, à priver les citoyens de leurs libertés ». Les référents ont pris la parole et installé des tables pour répondre aux questions de ceux qui le souhaitaient.

     
    Les manifestants ont fait un arrêt devant Le Télégramme, puis devant la sous-préfecture.Les manifestants ont fait un arrêt devant Le Télégramme, puis devant la sous-préfecture.

     

    À 14 h 45, ils ont été rejoints par une vague de plus de 2 000 manifestants qui avaient, eux, répondu à un appel lancé sur les réseaux sociaux. Plus revendicatifs, ils ont descendu la rue Jean-Jaurès, puis la rue de Siam, scandant « Liberté », « Tous ensemble », au son de tambours et pétards, et brandissant des pancartes « À bas le macronisme » ou encore « Le peuple doit décréter l’état d’urgence pour lutter contre le terrorisme gouvernemental ». Le cortège a ensuite bifurqué place Wilson pour faire un arrêt devant Le Télégramme puis à nouveau devant la sous-préfecture, avant de remonter vers la place de la Liberté.

    Le collectif « Reinfo covid » avait appelé à un rassemblement place de la Liberté, à 14 h.
    Le collectif « Reinfo covid » avait appelé à un rassemblement place de la Liberté, à 14 h. 
     
     
    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • MARCHE POPULAIRE pour défendre nos libertés fondamentales samedi 24 juillet à 14h place de Strasbourg à BREST

     

    Contre :

    • Le pass sanitaire

    • L’ obligation vaccinale

    • La réforme de la retraite et chômage

    • Le vote bloqué pour la déconnexion du conjoint dans le calcul de l’AAH (. Allocation d’adulte Handicapé)

    • Les lois liberticides etc….

    A samedi  

    Les GJ-brestois, 20/07/21

     

    source: https://giletsjaunesbrestois.home.blog/

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  • Le bureau de poste de Tréboul a rouvert ses portes ce samedi 17 juillet 2021.Le bureau de poste de Tréboul a rouvert ses portes ce samedi 17 juillet 2021.

     Après la lettre du sénateur Philippe Paul à la direction régionale du groupe La Poste concernant la fermeture temporaire du bureau de Tréboul, c’est désormais l’association Douarnenez Terre citoyenne qui exprime son inquiétude quant à l’avenir de ce dernier.

    C’est ce samedi 17 juillet 2021 qu’a rouvert le bureau de poste de Tréboul. Fermé depuis le 5 juillet dernier pour « un manque d’effectifs ​ » selon la direction régionale du groupe La Poste, les habitants de Tréboul ont pu envoyer ce matin lettres et colis depuis leur bureau habituel. Une réouverture qui n’a pas empêché l’association Douarnenez Terre citoyenne d’afficher ses inquiétudes quant à l’avenir de ce dernier à Douarnenez (Finistère).

    En quête de garanties

    Douarnenez Terre citoyenne, soucieuse de défendre un service public qualité sur l’ensemble de la ville, s’associe à la mobilisation des usagers et demande à la direction du groupe La Poste de bien vouloir rassurer au plus vite la population sur le devenir du bureau de Tréboul ​ », annonce l’association dans un communiqué.

    Reste à savoir si les revendications des Tréboulistes seront entendues par Christian Folzer, le directeur régional du groupe La Poste pour la région Bretagne.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Loi sanitaire : « Une grave atteinte aux libertés individuelles » alerte Daniel Ferrenbach

    Le militant associatif quimpérois et président du Carepa, Daniel Ferrenbach, interpelle la députée Annaïck Le Meur sur la future loi qui instaurera le pass sanitaire.

    Présenté ce lundi, le nouveau projet de loi sanitaire, qui instaurera l’extension du pass sanitaire, pourrait être voté en fin de semaine. Le militant associatif et président du Carepa, Daniel Ferrenbach, 76 ans, interpelle dans un courrier la députée de Quimper et lui demande de ne pas le voter.

    « Vous vous apprêtez à voter une loi qui vise à instaurer un passe sanitaire qui empêcherait les non-vaccinés d’accéder à nombre d’activités, notamment culturelles et commerciales, mais plus incroyable encore, pour certaines d’entre elles, d’être sanctionnées, voire licenciées. Si elle était adoptée, cette loi constituerait une grave atteinte aux libertés individuelles en ouvrant la voie à toutes les discriminations possibles ».

    « Les vaccins sont encore en phase de test »

    « La vaccination est certes un des moyens de lutter contre la pandémie, mais permettez-moi de vous faire observer que de nombreux scientifiques, qui ne sont ni des complotistes ni des militants antivaccins, ont des avis plus nuancés et des préconisations qui méritent d’être prises en considération. (…)  Conditionner l’accès au travail, aux activités sociales de base et aux transports, à un acte médical, c’est transgresser les principes fondateurs de l’éthique médicale d’inviolabilité du corps humain et de consentement libre et éclairé (code de Nuremberg, convention d’Oviedo, loi Kouchner). Il ne s’agit pas d’un "consentement" quand on cède aux pressions liberticides et qu’on accepte finalement la vaccination, uniquement pour éviter certaines restrictions de liberté.

    Autre élément essentiel qui justifie que, dans le cadre d’un "consentement libre et éclairé", certaines personnes ne souhaitent pas encore se faire vacciner : les vaccins actuellement proposés en France sont encore en phase de test : la fin de la phase 3 du Moderna est fixée au 27 octobre 2022, et celle de Pfizer, au 2 mai 2023 ».

    La vie des Français deviendrait « un enfer quotidien »

    « La stigmatisation de plus en plus forte exercée par votre Gouvernement envers les personnes non vaccinées empoisonne les relations familiales, amicales et professionnelles de nos concitoyen.ne.s, poursuit Daniel Ferrenbach. L’Histoire ne montre-t-elle pas que ce poison apparaît dans les sociétés totalitaires ou en passe de le devenir ? C’est une des raisons pour lesquelles j’ai écrit en introduction que la vie des Français.e.s allait devenir un enfer quotidien. (…)  Madame la députée, à supposer que ce projet de loi soit compatible avec notre Constitution et le Code du travail - ce qui n’est pas certain - je vous demande, non seulement de ne pas le voter, mais surtout de le condamner au nom des valeurs républicaines que vous êtes supposée représenter et des libertés qu’il vous appartient de garantir, dans le strict respect des convictions de chacune et de chacun ».

     
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  • À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 ) Les opposants à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire sont environ 2 000 à avoir manifesté ce samedi à Brest. 

    À Brest, ce samedi après-midi, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire.

    Comme dans d’autres villes, une manifestation d’opposants à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire a eu lieu ce samedi après-midi à Brest, dans les rues du centre-ville. Près de 2 000 personnes (800 selon la police, 4 500 selon les organisateurs) se sont retrouvées place de Strasbourg et ont descendu la rue Jean-Jaurès, scandant « Liberté, Liberté » ou encore « Macron, démission ».

    À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 )  Le mot « Liberté » a été scandé tout le long du défilé, où l’on a aussi pu entendre « La Marseillaise » à plusieurs reprises.

    Après avoir rejoint la place de la Liberté, les manifestants ont descendu la rue de Siam, sous le regard parfois interloqué des passants, en direction du pont de Recouvrance. Puis ils ont poursuivi vers le cours Dajot - encouragés par quelques klaxons -, les abords de la gare, avant de revenir place de la Liberté où, moins nombreuse, la foule s’est dispersée.

    À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 ) Les manifestants ont descendu la rue de Siam pour rejoindre les abords du pont de Recouvrance, avant de   repartir vers le cours Dajot. 

    À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 ) Les manifestants ont remonté le cours Dajot. 

    « L’impression d’être pris en otage »

    Sur leur chemin, les discussions des participants s’articulaient évidemment autour du sujet du jour. Comme cette femme, mère d’une infirmière, inquiète « de la pression » que sa fille, non vaccinée, va ressentir à son retour de congés. Une pression confirmée par Emeline, soignante, qui tenait fermement sa pancarte « Soignants en colère ! Hier applaudis, aujourd’hui méprisés » : « On a l’impression d’être pris en otage. On doit avoir le choix », expliquait la jeune femme, inquiète des « effets à moyen et long terme » des vaccins.

    À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 )Des soignants faisaient aussi partie du cortège. 

    Des revendications dans une ambiance tranquille

    Dans la foule, quelques personnes étaient masquées, beaucoup non. Et un public plutôt jeune, certains étant d’ailleurs venus en famille. S’il n’y a pas eu de débordement, le défilé a tout de même perturbé la circulation, que ce soit pour les automobilistes près de la gare ou du pont de Recouvrance, ainsi que pour les usagers du réseau de transport Bibus. La ligne de tram a dû être interrompue pendant une bonne heure et des retards étaient à prévoir sur plusieurs lignes de bus.

    À Brest, près de 2 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. ( LT.fr - 17/07/21 - 15h13 )  Le trafic a dû être interrompu sur la ligne A du tram.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Samedi 17 juillet, place de la Résistance à Châteaulin, les manifestants étaient invités à proposer des slogans concernant l’extension du Pass sanitaire. Le vote a permis de choisir celui qui sera aff Samedi 17 juillet, place de la Résistance à Châteaulin, les manifestants étaient invités à proposer des slogans concernant l’extension du Pass sanitaire. Le vote a permis de choisir celui qui sera affiché sur la Maison de la Presse. 

    Ce samedi 17 juillet, une quarantaine de personnes a protesté contre les nouvelles décisions sanitaires qui seront débattues à l’Assemblée nationale à partir de mercredi.

    « La liberté n’a pas à être injectée ! » Voilà le slogan élu par la quarantaine de personnes réunies samedi 17 juillet, place de la Résistance, à Châteaulin. Il sera affiché sur la vitrine de la Maison de la Presse de Châteaulin. La mobilisation dénonce l’extension du Pass sanitaire annoncé par Emmanuel Macron lors de son allocution du 12 juillet.

    « Le vaccin est encore en phase test, je préfère attendre. Je n’ai pas à être punie pour cela », râle une manifestante à sa voisine. « Moi je suis vacciné, c’est plutôt la façon dont on nous impose les choses qui me révoltent. C’est infantilisant, on nous enlève notre libre arbitre », constate un manifestant.

    Le projet de loi sera débattu à l’Assemblée nationale à partir de mercredi 21 juillet.

    « Restauratrice, pas gendarme »

    Certains n’attendent pas le verdict. « Je ferme mon établissement à la fin de l’été, annonce une restauratrice. Mes employés n’ont pas de créneaux pour se faire vacciner avant des mois et je n’ai pas assez de personnel pour contrôler les Pass sanitaires. Mais surtout, un restaurant doit rester un lieu convivial et non un lieu de clivage ! » Sur son T-shirt, un message : « Je suis restauratrice, pas gendarme. »

    La manifestation a été lancée sur Facebook par Frédéric Vasseur, patron de la Maison de la Presse de Châteaulin. Il résume : « Il est important de comprendre que ces mesures nous éloignent de plus en plus de la démocratie. »

    Samedi 17 juillet, place de la Résistance à Châteaulin, les manifestants ont voté pour le slogan La liberté n’a pas à être injectée. Il sera affiché en centre-ville.Samedi 17 juillet, place de la Résistance à Châteaulin, les manifestants ont voté pour le slogan La liberté n’a pas à être injectée. Il sera affiché en centre-ville.

    Des excuses à Richard Ferrand

    Ce même jour, un collectif d’habitants de Châteaulin, également préoccupé par l’extension du Pass sanitaire, a tenu à présenter ses excuses. La veille, l’un des participants « s’était emporté », proférant des insultes et menaces à l’encontre d’une collaboratrice de Richard Ferrand, alors que le collectif était venu à la permanence du député et président de l’Assemblée nationale partager ses « craintes et interrogations ».

    Le collectif a tenu à s’excuser : « Nous sommes désolés de ce dérapage individuel qui ne reflète en rien l’esprit du groupe et son principe de non-violence. Nous présentons collectivement nos excuses à cette personne ». Ils précisent également qu’il ne s’agissait pas d’un collectif anti-vaccin.

     

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  • Quimper. Manifestation anti pass sanitaire?: 800 personnes

     
    À Quimper, ce samedi matin, 800 personnes ont défilé dans la rue contre le pass sanitaire et la vaccination obligatoire.

    « Pour votre sécurité, vous n’aurez plus de liberté », « Non à la dictature »… Ce samedi matin, à Quimper, les panneaux brandis par les manifestants annonçaient bien la couleur. Suite à un appel lancé sur le réseau social, Facebook, ils ont été près de 800 à se mobiliser contre le pass sanitaire, à 10 h, sur la place Saint-Corentin. La plupart sans masques. Le mouvement était relativement spontané. Il n’y a pas eu de prise de parole.

    "J’en pleurerai car j’ai choisi ce métier par vocation, mais je veux vivre. Ma liberté passe au-dessus de ma profession."

    « Nous sommes restaurateurs, pas gendarmes ! »

    Les manifestants venaient de toute la Cornouaille voire de Brest. Tous les corps de métier étaient réunis. Au début de la manifestation, un restaurateur de Quimper s’est vu acclamé en brandissant son ardoise où était inscrit : « Nous sommes restaurateurs, pas gendarmes ! » « On n’est pas là pour contrôler ou refuser nos clients, s’insurge la gérante du restaurant. On n’a pas a se mêler de la vie privée de nos clients ou à obliger nos salariés à se faire vacciner ! »

    « Si ça reste comme ça, c’est simple, je n’irai pas travailler »

    Plus loin, une aide soignante à l’hôpital de Quimper est encore plus radicale. Il y a quelques jours, Olivier Véran a annoncé que les soignants non vaccinés au 15 septembre « ne pourront plus travailler et ne seront plus payés ». « Je ne veux pas me faire vacciner car pour moi on manque de recul. Si ça reste comme ça, c’est simple, je n’irai pas travailler, explique la trentenaire. J’en pleurerai car j’ai choisi ce métier par vocation, mais je veux vivre. Ma liberté passe au-dessus de ma profession ».


    « C’est une dictature »

    « On n’est pas contre le vaccin, précise une Quimpéroise. Mais on est contre l’obligation de la vaccination. C’est une dictature. On a des droits. Ils sont piétinés ! ».

    En scandant des slogans « Liberté » ou « Macronie tyrannie », ils ont pris la route du théâtre de Cornouaille avant de bifurquer le long des quais de l’Odet pour s’arrêter poser des panneaux devant la préfecture. Ils ont ensuite repris la route jusqu’à la gare avant de revenir à la cathédrale. Vers midi, le cortège s’est dispersé.

    Au début de la manifestation, un restaurateur de Quimper s’est vu acclamé en brandissant son ardoise où était inscrit : « Nous sommes restaurateurs, pas gendarmes ! »Au début de la manifestation, un restaurateur de Quimper s’est vu acclamé en brandissant son ardoise où était inscrit : « Nous sommes restaurateurs, pas gendarmes ! »
     
    À Quimper, ce samedi matin, 800 personnes ont défilé dans la rue contre le pass sanitaire et la vaccination obligatoire.À Quimper, ce samedi matin, 800 personnes ont défilé dans la rue contre le pass sanitaire et la vaccination obligatoire.
     
    En scandant des slogans « Liberté » ou « Macronie tyrannie », ils ont pris la route du théâtre de Cornouaille avant de bifurquer le long des quais de l’Odet pour s’arrêter poser des panneaux devant laEn scandant des slogans « Liberté » ou « Macronie tyrannie », ils ont pris la route du théâtre de Cornouaille avant de bifurquer le long des quais de l’Odet pour s’arrêter poser des panneaux devant la préfecture. 
     
     
    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • TÉMOIGNAGE. Surpopulation, hygiène… Un ex-détenu à la maison d’arrêt de Brest raconte la prison. ( OF.fr - 15/07/21 - 9h30 )L’homme a été incarcéré à la maison d’arrêt de Brest. 

    Ce Finistérien a découvert le milieu carcéral à la maison d’arrêt de Brest (Finistère), après avoir été condamné pour violences conjugales. Remis en liberté, le quinquagénaire essaie de se reconstruire.

    « J’étais le premier à penser qu’on n’allait pas en prison pour rien et à prendre les détenus pour des personnes indignes de toute considération, car on ne badine pas avec la loi. » Patrick (prénom d’emprunt), Finistérien de 50 ans, n’avait jamais connu le monde carcéral avant sa condamnation à quatorze mois ferme de détention, prononcée en juin 2020 pour violences conjugales.

    Une peine ramenée à sept mois, qui lui a permis de sortir de la maison d’arrêt de Brest (Finistère) en mars 2021. Mais il porte encore en lui le traumatisme de cette expérience.

    « Une forte tension entre les détenus »

    « Avant d’entrer en prison, le juge des libertés m’avait demandé comment je voyais la chose. Je lui ai répondu que cela allait me casser et, effectivement, cela m’a cassé. »

    Les reproches envers ses conditions de détention sont nombreux, alors que « la prison de Brest a la réputation d’être le “Club Med”, comparé aux Baumettes à Marseille ou d’autres ». À commencer par une surpopulation carcérale, recensée en mai 2021 à 434 détenus pour 245 places théoriques à L’Hermitage, soit une surpopulation de 175 %.

    « On a plus de monde que ce qu’on devrait avoir, reconnaît Fabien Boivent, le directeur de la maison d’arrêt. Il y a forcément une altération de nos objectifs, compte tenu de la surpopulation et des conditions d’incarcération. »

    « Les cellules de 12 m2, avec un coin toilettes et une table, sont prévues pour une personne mais il y en a toujours trois, voire quatre, avec au moins un matelas par terre. Ce qui crée une forte tension entre les détenus », poursuit Patrick.

    La France a ainsi été plusieurs fois pointée du doigt sur le sujet, notamment en 2020 quand elle avait dû payer 500 000 € d’amende à 32 détenus qui avaient saisi la Cour européenne des droits de l’Homme.

    « Pas le choix de l’oisiveté »

    D’autant que, selon Patrick, ces derniers sont mélangés en cellule, malgré des durées de peines très diverses. Et qu’ils y passent la quasi-intégralité de la journée, avec des sorties limitées à une heure et demie par jour. « En prison, vous n’avez pas le choix de l’oisiveté. Beaucoup regardent BFM TV 24 heures sur 24. »

    Reste la possibilité d’exercer une activité professionnelle, comme le souhaitait Patrick en travaillant à la bibliothèque de la maison d’arrêt.

    Mais sur ses sept mois de détention, celui qui était surnommé « L’ancien » par ses codétenus n’a pu en passer que deux à la bibliothèque, pour un salaire mensuel avoisinant les 1 200 €.

    Fabien Boivent l’explique : « C’est très compliqué d’engager des choses positives, des formations par exemple, sur des courtes peines. C’est compliqué aussi de trouver un point de chute pour la libération des détenus. Il faudrait rendre quasi exceptionnelles les peines de six mois. »

    Sauf que ce sont les magistrats qui ont la main sur cette problématique puisque ce sont eux qui décident des sanctions. « Nous aussi on subit la surpopulation », regrette Fabien Boivent.

    Il envisage une reconversion

    Plus qu’un réel espoir de voir changer les choses, c’est un « coup de gueule » que veut transmettre Patrick, en insistant sur les conditions d’hygiène de L’Hermitage avec l’omniprésence des rats. Depuis sa remise en liberté, il dénonce aussi le manque de suivi psychologique et affirme ne compter que sur lui-même pour se reconstruire.

    « Malgré tout, il faut toujours sortir du bon d’une telle expérience. » C’est-à-dire ? « Réaliser que j’ai fait une grosse connerie et, avec du recul, que la vie est belle. » Il envisage ainsi une reconversion dans une profession libérale, par exemple un commerce ambulant.

    Auteur : Pierre LE GALLet Mickaël LOUÉDEC.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Source : https://www.facebook.com

     

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  • La Douarneniste Séverine Le Quéméner a lancé les discussions sur la place de l’Enfer. La Douarneniste Séverine Le Quéméner a lancé les discussions sur la place de l’Enfer. 

    Un appel lancé sur les réseaux sociaux contre « la dictature du pass sanitaire » a réuni 250 personnes mercredi, à Douarnenez (29).

    « Nos libertés fondamentales sont bafouées, l’égalité rompue car l’on divise les citoyens en deux catégories, et la fraternité foulée aux pieds : en ce 14-Juillet, on peut dire que Macron achève la République ». Francis, enseignant marseillais en vacances à Douarnenez, participait ce mercredi à un rassemblement sur la place de l’Enfer contre le pass sanitaire initié la veille sur les réseaux sociaux. 

    Quelques élus, des gilets jaunes, des militants de longue date contre la politique sanitaire, des vacanciers… Ce public hétéroclite était uni par la dénonciation d’une « dérive autoritaire du Président, auteur d’un coup d’État lundi soir » : « Il n’y plus d’État de droit, le Président prend seul les décisions après un conseil de défense secret, en évinçant le Parlement, c’est ce qu’on nomme une tyrannie », lance ainsi Anne, venue de Cléden-Cap-Sizun. « Vous niez qu’on est en dictature ? Il veut que nous allions faire nos courses avec un QR code, c’est pire que les Chinois », reprend sa voisine, parlant du pass sanitaire comme d’un « nouvel ausweis ».

    « Aujourd’hui Descartes serait un hurluberlu »

    « La question n’est pas d’être pour ou contre le vaccin, c’est de dénoncer la division que sème le pouvoir en place », insistera la conseillère municipale de Douarnenez Yolande Bouin. Pourtant, la campagne vaccinale était dans nombre de discussions. « Dire qu’ils veulent l’inoculer à nos petits-enfants, c’est à pleurer, on n’en connaît pas les effets à moyen terme », se désole Jacqueline, une Bigoudène.

    250 personnes de l’ouest, bretons ou vacanciers ont répondu présents.250 personnes de l’ouest, bretons ou vacanciers ont répondu présents. 

    « Le problème, ajoute Francis, c’est que dès qu’on émet le moindre doute on est stigmatisé, classé comme zinzin, alors que le doute est la base de l’esprit cartésien : aujourd’hui Descartes serait un hurluberlu ». Les participants ont évoqué les actions à venir, sur le terrain comme dans les tribunaux.

     

    Rodolphe Pochet

    source: https://www.letelegramme.fr

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  • Métiers du bâtiment : un nouveau centre de formation va voir le jour à Brest. ( LT.fr - 13/07/21 - 16h11 ) Situé à proximité de l’Ifac, le futur « Pôle supérieur du bâtiment intelligent » proposera des formations opérées par le Cési de Brest et Sup’Ifac. 

    Pour renforcer la qualification des acteurs du secteur du bâtiment, un nouveau centre de formation en alternance est en projet à Brest, près de l’Ifac.

    Comme annoncé ce vendredi, à l’occasion de la signature du « Contrat de territoire d’industrie dans le Finistère », un nouvel établissement d’enseignement est en projet à Brest. Intitulé « Pôle supérieur du bâtiment intelligent », il a pour but de « répondre au besoin d’élévation des niveaux de compétences des personnels des entreprises dû au passage du secteur du bâtiment à l’économie 4.0 ». En effet, le secteur s’est modernisé et les entreprises s’appuient sur l’automatisation, le cloud, l’intelligence artificielle, les robots, etc. Des outils de travail qui nécessitent des formations.

    Un terrain trouvé

    D’une surface de 4 000 m2, le centre pourra accueillir 1 000 étudiants en alternance pour des formations allant de bac + 2 à bac + 5. Créé à destination des PME du territoire, ce projet représente un investissement de 9,2 M€ HT. Il sera situé près de l’Ifac, « sur un terrain qui a été acquis », dévoilait vendredi Frank Bellion, président de la Chambre de commerce et d’industrie métropolitaine de Bretagne Ouest (CCIMBO), qui porte ce projet avec le Cési (groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle). Si, pour le moment, on ne sait pas quand il ouvrira, le président de la CCIMBO assure que « le coup est parti, on va aller jusqu’au bout ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • À Douarnenez, les jeunes et les bénévoles se sont posés, dimanche 11 juillet, sur la plage des Sables-Blancs. À Douarnenez, les jeunes et les bénévoles se sont posés, dimanche 11 juillet, sur la plage des Sables-Blancs.

    Dimanche 11 juillet, 15 jeunes migrants ont effectué, à vélo, un aller-retour Quimper-Douarnenez, via la voie verte, avec une pause jeux et baignade sur la plage des Sables-Blancs. Une initiative de l’association quimpéroise Le Temps partagé, qui accompagne des mineurs isolés.

    Il est 12 h 30 passés ce dimanche 11 juillet quand ils arrivent aux Sables Blancs, à Douarnenez. Une quinzaine, à vélo, gilets jaunes sur le dos, sourire aux lèvres, chaleureusement applaudis par des bénévoles de Temps partagé et des Douarnenistes. Ils roulent quelques mètres sur le sable avant de poser leurs vélos sur la rambarde et d’aller contempler la mer. Puis chacun avale un pique-nique bien mérité. Foot, volley et baignade suivront. Partis vers 10 h de Quimper, ces jeunes ont rejoint Tréboul en passant par la voie verte.

    Les soutiens du Temps partagé

    Cela fait quatre ans que Le Temps partagé organise une sortie de ce type, qu’on pourrait appeler « de fin d’année ». Cette association, basée à Quimper, accompagne de différentes manières des mineurs isolés venus d’Afrique et d’Asie. « On a différentes activités : ça va de l’accueil par des familles bénévoles le temps d’un week-end, d’une semaine voire plus pour ceux qui sont scolarisés, à des cours d’alphabétisation, de l’aide scolaire, en passant par des activités sportives comme le vélo, la piscine, le foot, la pirogue (etc.) », détaille Annaig, l’une de ses bénévoles.

    Trois associations impliquées

    Ces jeunes migrants ont pédalé, tous les dimanches depuis le printemps, dans le cadre d’une sorte de vélo-école. Cette journée de dimanche - après une balade à VTT, le 27 juin, à la pointe du Van, dans le Cap-Sizun - est venue clôturer leur formation théorique et pratique des déplacements à bicyclette, en connexion avec Kernavélo. « On est plus de bénévoles le dimanche et il y a moins de monde sur les routes, les conditions sont plus sécurisantes », explique Jean-Luc, un autre bénévole, qui voit dans cette initiative l’occasion de favoriser le mieux-être et l’autonomie de ces jeunes. Dimanche, des bénévoles de deux autres associations, Kernavélo et La Croix Rouge, ont encadré et/ou participé à la randonnée vers la plage.

    Si la mer était basse et le temps nuageux, cela n’a pas altéré l’envie de baignade de certains. Après la longue pause du midi, ils sont repartis vers Quimper pour boucler un petit périple de 54 kilomètres, au total. Des voitures-balais dans leurs roues, « si les jambes devaient flancher ». Au retour, elles n’ont pas flanché.

     

    Nils Sabin

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • L’antenne brestoise de l’Institut Confucius-Bretagne vient de s’installer dans les locaux de Brest Business School, au 2, avenue de Provence.L’antenne brestoise de l’Institut Confucius-Bretagne vient de s’installer dans les locaux de Brest Business School, au 2, avenue de Provence.

    Jusque-là installée dans les locaux de l’UBO, avenue Le Gorgeu, l’antenne brestoise de l’Institut Confucius déménage et prend ses quartiers à Brest Business School, avenue de Provence.

    Les inscriptions aux cours de chinois, de calligraphie et peinture chinoises, de cuisine et aux autres ateliers pour enfants et adultes sont possibles dès maintenant. Les cours débuteront le 27 septembre et se dérouleront sur l’ensemble de l’année scolaire (en dehors des vacances). Les nouveaux élèves seront évalués avant le premier cours par l’enseignante de l’Institut, pour ensuite rejoindre un groupe à leur niveau. Les élèves peuvent valider leurs acquis en langue chinoise, à plusieurs reprises durant l’année, en passant l’examen HSK.

    Il reste encore des places pour les cours de calligraphie et peintures chinoises. Les inscriptions pour ces cours, qui s’échelonnent sur l’ensemble de l’année scolaire, sont également ouvertes.

    Contact

    Institut Confucius, Brest Business School, bureau 153, médiathèque 158, au 2, avenue de Provence, à Brest. Tél. 02 29 00 62 15 ou 07 85 04 69 91 ; courriel, culture.confucius.brest@gmail.com

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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