• Contre la mise en place du pass sanitaire, la vaccination obligatoire des soignants et la politique autoritaire et antisociale de Macron (GJ-Brest-20/08/21)

    Actuellement, E. Macron nous fait payer la politique de destruction des structures de santé mise en œuvre depuis des années, d’ailleurs elle continue malgré cette crise : 800 lits fermés au 1er trimestre 2021 mais 60 millions d’euros par mois dépensés pour embaucher des vigiles pour contrôler le pass sanitaire dans les hôpitaux.


    Alors que penser de tout l’argent soudain disponible pour confiner, soutenir l’économie, maintenir des commerces fermés. Que penser de tout l’argent disponible pour les tests, les structures et le personnel de vaccination, les différentes mesures de contrôle. Que penser de la mise à l’écart des médecins traitants, des interdictions de prescrire etc. ?

    La politique de santé actuelle est à l’image du banquier d’affaires qui nous gouverne. Investissements et rentabilité à court terme, qu’importent les dégâts collatéraux, l’humain n’est pas sa priorité, nous l’avons tous compris. En imposant ce pass sanitaire, il crée de l’inégalité, de la discrimination, une fracture sociale et des tensions dans la population, mais son choix est clair : obtenir une vaccination en masse.

    En principe trois possibilités pour obtenir le pass sanitaire mais dans la réalité une seule est pratique. La première : se tester tous les 2 jours, intenable. La deuxième : avoir été malade. Si c’est récent, vous aurez le sésame pour un certain temps. Du coup certains pensent à contracter volontairement la Covid. La troisième : se vacciner.

    Alors oui, se vacciner n’est pas obligatoire mais c’est bel et bien le plus court chemin vers le pass sanitaire. Et le prochain objectif est déjà fixé : le pass sera obligatoire pour les 12-17 ans fin septembre. Il faut donc vacciner les jeunes, enfants compris. Les jeunes, pour qui on nous a dit et répété que la Covid ne présentait pas de risque particulier, le foyer épidémique de la semaine dernière dans une colonie de vacances de Belle-Île en témoigne… Pour faciliter la chose, au programme des réjouissances on a : sortie scolaire au centre de vaccination, accord d’un seul des parents pour vacciner et plus d’accord parental à partir de 16 ans…

    Bien entendu, puisque nous naviguons au gré des humeurs de l’Élysée, du conseil scientifique et du cabinet de conseil McKinsey, nous ne sommes pas l’abri de nouvelles mesures après la rentrée. Petite parenthèse, McKinsey : géré par un certain Fabius, fils de Laurent siégeant au conseil constitutionnel qui n’a rien trouvé à redire aux dernières mesures présidentielles.

    Cette incertitude, cette absence de visibilité et cette navigation à vue deviennent de plus en plus insupportables.

    Tout aussi insupportable est cette politique de santé qui consiste à mettre œuvre un chantage au travail ou au pass sanitaire pour obtenir ses objectifs de vaccination.
    Nous réclamons la liberté de choisir, et l’égalité. En démocratie, un adulte est considéré en capacité de décider en son âme et conscience de ce qui semble juste pour lui.
    Quand le discours politique et médiatique vise à faire peur, à semer le trouble dans les esprits, et que l’opposition politique est quasi inexistante, il est salutaire de se questionner sur l’objectif que poursuivent les dirigeants.

    On pourrait se demander si derrière la vaccination de masse souhaitée il n’y a pas la volonté de faire accepter l’idée, que pour faire société, l’individu doit se déposséder de son corps ? Si derrière ce pass sanitaire, il n’y a pas la volonté de faire accepter l’idée, que pour son bien, l’individu doit accepter d’être l’objet d’une surveillance permanente ?

    Il y a urgence pour nous, simples citoyens ; urgence à bousculer l’ordre établi pour la simple et bonne raison que les forces gouvernantes sont en train de nous déshumaniser, tout en nous assurant du contraire. Bien sûr, ce projet politique ne sera pas affiché, il avancera à pas de loup, et s’imposera à nous, sans qu’on s’en aperçoive.

    La constitution nous dit souverains, alors plus que jamais il nous faut réinvestir le champ politique pour décider nous-mêmes de notre destin commun.

    Pour résister, il faut savoir mettre de côté pour un temps nos convictions pour rencontrer une cause qui les dépasse ! Face à ceux qui décident, il nous faut plus que jamais nous unir, ils feront tout, avec l’aide des médias, pour nous discréditer. Peu importe, notre combat est juste, nous ne sommes pas anti-démocratie comme l’affirme Emmanuel macron, nous demandons un RETOUR de la démocratie.

    Ce pass sanitaire fait honte à la France, nous exigeons son retrait et la liberté de choix vaccinal, nous exigeons la suppression de l’état d’urgence sanitaire. Nous exigeons que nos représentants combattent fermement Emmanuel Macron et sa politique.

    Nous devons faire pression sur les élus pour qu’ils agissent, écrivez-leur !! Allez les voir dans leur permanence ! Soyons résolus à ne plus obéir ! Gardons espoir. Face à la résistance des citoyens en Russie, le pass à été retiré, en Islande aussi.

    Ensemble nous sommes de la dynamite !

     

    Le  tract

     

    source: https://giletsjaunesbrestois.home.blog/

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  • Encouragée par le gouvernement, la méthanisation est-elle une énergie verte si écologique ?  (OF.fr-20/08/21-07h25)Présentée comme une source d’énergie renouvelable, la méthanisation est pourtant souvent contestée lors de l’implantation des projets comme ici, à Corcoué-sur-Logne (Loire-Atlantique). La pollution liée à une unité de méthanisation à Châteaulin, il y a un an, n’a pas amélioré l’image de la filière.

    L’accident du méthaniseur de Châteaulin, dans le Finistère, durant l’été 2020, a créé un précédent alimentant l’opposition à ces projets, pourtant encouragés par le gouvernement pour la transition énergétique.

    C’était à peine un mois après l’accident. Entouré de ses adjoints et des conseillers, dans la salle du conseil municipal de Commana, commune d’un peu plus de mille habitants au cœur des monts d’Arrée (Finistère), le maire a décidé de déposer une motion, demandant « que des normes contraignantes et efficaces soient imposées pour garantir la sécurité environnementale autour des méthaniseurs industriels et agricoles, qu’ils soient en service ou à venir ». L’accident de Châteaulin, un mois plus tôt, était dans toutes les têtes.

    Ce jour d’août 2020, une fuite dans une unité de méthanisation de Châteaulin, située en bord de rivière, contaminait l’eau pompée pour la distribution d’eau potable. Ouest-France titre « La pollution de l’eau du robinet touche 180 000 personnes dans le Finistère », et l’information fait le tour des comités d’opposants aux divers projets de méthaniseurs, partout en France.

    Une claque à l’image de la filière

    On se mit à citer Châteaulin comme exemple. À Commana, où un agriculteur avait décidé de construire un méthaniseur dans sa ferme, non loin du lac du Drennec, château d’eau potable du Finistère. À Néant-sur-Yvel, en lisière de forêt de Paimpont (Morbihan) où certains s’opposaient au projet d’un fermier de la commune. Mais aussi plus loin, comme à Corcoué-sur-Logne, aux confins de la Loire-Atlantique et de la Vendée, contre un projet de méthaniseur « XXL », le plus grand de France.

    Cet accident de Châteaulin fut une sacrée claque pour l’image de la filière méthanisation. Pourtant, sur le principe, la méthanisation a tout d’un procédé écologique : transformer, grâce à l’action des micro-organismes, les déchets de l’agriculture (les bouses, certaines cultures intermédiaires), de l’agroalimentaire ou encore les tontes de pelouses municipales en gaz, électricité, chaleur, carburant : une bonne idée pour réduire l’usage des énergies fossiles et leur lot d’émissions de CO2 détraquant le climat.

    Mais évidemment, rien n’est si simple. Car ce procédé comporte des risques, que soulignent avec obstination les opposants. Il y a les potentiels accidents.

    Odeurs et ammoniac

    Il y a la crainte, aussi, qu’une part grandissante champs cultivés en France soient dédiés à la production d’énergie, et non plus de l’alimentation. Actuellement, la loi impose un plafond de 15 % maximum de cultures alimentaires pour approvisionner un méthaniseur.

    Auprès des riverains, les tensions tournent aussi souvent autour des nuisances olfactives comme à Quimper où, en septembre 2017, un méthaniseur industriel a été mis en demeure, par les services de l’État, de faire cesser les émissions odorantes.

    Et puis, il y a la pollution de l’air, à l’ammoniac notamment, liée à l’épandage de la matière issue de la méthanisation. La Bretagne est la première région émettrice de ce gaz, comme le prouvent les chiffres publiés par Ouest France en avril 2020, confirmés par l’enquête du média d’investigation Splann. Source de particules fines, sa forte concentration dans l’air menace la santé humaine.

    Rapport du Sénat et arrêtés du gouvernement 

    Or, la méthanisation reste une solution soutenue par le gouvernement. Le Sénat a mené une mission d’information au printemps dernier, portant sur « La méthanisation dans le mix énergétique : enjeux et impacts ». Un rapport devrait être publié cet automne.

    Moteurs thermiques : peut-on relancer l’industrie automobile sans sacrifier les engagements climatiques ?

    Auditionnée par les sénateurs, à cette occasion, la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé que des arrêtés étaient en cours d’élaboration, visant à davantage réglementer la pratique et prévenir les risques d’accident. Là encore, Châteaulin était dans tous les esprits. « Je le dis très clairement : certaines installations qui n’étaient pas exploitées avec suffisamment de rigueur ont nui à l’image de la méthanisation, a-t-elle déclaré. Nous devons donc mieux maîtriser les risques et les nuisances. Les incidents des dernières années le montrent bien : il y va de la protection de l’environnement, comme de l’acceptabilité des projets. » 

     

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Pays de Brest. Le site Mémoires des résistants et FFI compte désormais 200 noms de médaillés. ( LT.fr - 18/08/21 - 17h56 )

    Médaille de la Résistance décernée à la ville de Brest. 

    Le site Mémoires des résistants et FFI du pays de Brest compte désormais 200 notices biographiques de médaillés de la Résistance française.

    Le site Mémoires des résistants et FFI du pays de Brest compte désormais 200 notices biographiques de médaillés de la Résistance française. Parmi eux, on trouve 22 femmes décorées. Ce site est géré et nourri par Gildas Priol, passionné d’histoire et petit-fils de résistant.

    Un dictionnaire des résistants du pays de Brest

    Il s’attache à mettre des noms sur les visages de ceux qui ont résisté lors de la Seconde Guerre mondiale dans le pays de Brest. Ses recherches se font dans le cadre d’un projet, mené en lien avec la Ville de Brest, d’un dictionnaire participatif en ligne avec des résistants brestois, avec biographie, photo, et anecdotes.

    « Cette distinction est le fil rouge du site, en référence à l’obtention au titre de la collectivité, de la médaille de la Résistance à Brest. Moins de 20 communes en sont titulaires en France », indique Gildas Priol dans un communiqué.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Emmanuelle CADIEU

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  • Les manifestants se sont postés devant l’hôtel de ville, place de la Liberté.Les manifestants se sont postés devant l’hôtel de ville, place de la Liberté.

    Une quarantaine de jeunes Afghans, parfois en habit traditionnel, ont fièrement brandi le drapeau de leur pays, ainsi que des pancartes rappelant l’urgence de la situation, devant près de 200 sympathisants, à Brest.

    La mobilisation de ce mercredi soir, place de la Liberté, sur les marches de l’hôtel de ville, a été l’occasion de rappeler l’attachement au droit d’asile, conformément à la Constitution française et à la signature des traités internationaux.

    « Brest continuera à participer à l’accueil des réfugiés »

    Les grandes organisations et partis politiques de gauche joignaient leur voix pour la défense de ces « êtres humains cherchant à échapper à l’horreur ».

    De son côté, le maire de Brest, François Cuillandre, appuyait la mobilisation en rappelant « la capacité de la ville à accueillir des populations en difficulté, à travers toutes les actions mises en place, notamment avec nos partenaires associatifs. Brest continuera à participer à l’accueil des réfugiés en France » assurait-il dans un communiqué adressé ce mercredi.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Les bombes de peinture ont été rangées dans des casiers auparavant utilisés par les employés de la poste centrale.Les bombes de peinture ont été rangées dans des casiers auparavant utilisés par les employés de la poste centrale.

    Pour la CGT des activités postales, aussi intéressante soit-elle, l’exposition de street-art dans les locaux de La Poste, à Brest, illustre surtout la volonté de détruire les emplois.

    Dans le cadre d’un partenariat entre la Ville de Brest, le Groupe La Poste, et l’association brestoise « Projet 0.0 », de larges espaces de l’emblématique bâtiment de La Poste, rue de Siam, à Brest, ont été mis à la disposition d’artistes-graffeurs, qui ont pris possession des lieux pour la réalisation d’un projet de graff éphémère. L’exposition gratuite, destinée au grand public, est visible à partir de ce jeudi.

    « Transformer un site postal en friche postale »

    Si la CGT FAPT (fédération des activités postales et des télécommunications) 29 Nord trouve la démarche artistique et culturelle « intéressante », elle s’offusque en constatant que La Poste considère dorénavant « comme une friche postale un endroit où travaillaient encore des postiers jusqu’au mois de décembre 2020. Sur ce site, des facteurs travaillaient. Il y avait même un restaurant d’entreprise, il y a peu de temps ».

    Le syndicat rappelle que « c’est La Poste qui a choisi de fermer ce site et de détruire des emplois, et de transformer un site postal en friche postale. »

    Pour la CGT FAPT 29 Nord, ce projet culturel et artistique, aussi intéressant soit-il, illustre donc la volonté de La Poste « d’accélérer la destruction de ses activités premières et essentielles, que sont le courrier et les bureaux de poste ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

     
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  • Les étudiants pourront bénéficier de réductions dans les magasins Emmaüs de Brest, Plougastel-Daoulas, et Morlaix.Les étudiants pourront bénéficier de réductions dans les magasins Emmaüs de Brest, Plougastel-Daoulas, et Morlaix.

    Jusqu’au 15 octobre, les étudiants pourront bénéficier de réduction dans les magasins de la communauté Emmaüs à Brest, Morlaix, et Plougastel-Daoulas.

    Dans le cadre d’un partenariat avec la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), Emmaüs a décidé, au niveau national, d’organiser une opération promotionnelle sur les achats des étudiants dans ses espaces de vente à la rentrée. L’objectif de cette action est d’apporter une réponse concrète aux situations de précarité vécues par les étudiants qui rencontrent des difficultés pour leurs dépenses liées au logement.

    Une réduction de 30 %

    Depuis ce mercredi 18 août, et jusqu’au vendredi 15 octobre, les magasins Emmaüs de Brest, Morlaix et Plougastel-Daoulas vont proposer aux étudiants une réduction de 30 % sur tous les articles exposés, sur présentation aux caisses de leur carte d’étudiant et d’identité.

    Le magasin brestois est situé au 190, route de Gouesnou, sur la ligne du tram. Celui de Plougastel-Daoulas est situé dans la zone commerciale de Ty ar Menez, près du magasin Norauto. À Morlaix, il se trouve sur la route de Lannion, à côté de l’aéroport de la cité du Viaduc.

    Pratique

    Les trois magasins sont ouverts le mercredi et le vendredi, de 13 h 30 à 17 h 30, le samedi, de 10 h à 12 h 30, et de 13 h 30 à 17 h 30. L’accès aux magasins sera soumis à la présentation du passe sanitaire ou d’un test PCR de moins de 72 heures. Le port du masque sera exigé.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Sur leur vélo, tee-shirt noir floqué de la Tour Tanguy et du Pont de Recouvrance, les Coursiers brestois veulent remettre du local, de la transparence, et de l’éthique dans une pratique qui a eu tendaSur leur vélo, tee-shirt noir floqué de la Tour Tanguy et du Pont de Recouvrance, les Coursiers brestois veulent remettre du local, de la transparence, et de l’éthique dans une pratique qui a eu tendance à déraper ces dernières années. 

    Vous connaissez parfaitement le milieu puisque travaillez depuis deux à trois ans pour les majors de la livraison à domicile. Pourquoi lancez votre propre structure ?

    « C’est justement après avoir travaillé pour ces grands noms de la livraison que nous avons eu envie de nous lancer. Gagner sur le plan écologique, social, et éthique, en étant enregistré en France et en bénéficiant des avantages sociaux des salariés en France. Pouvoir disposer d’une couverture sociale, de congés payés, d’une rémunération correcte et régulière ».

    Ce n’est pas le cas par l’intermédiaire des grandes chaînes ?

    « Pas vraiment. Vous êtes auto-entrepreneurs, et vous pédalez en grande partie pour un intermédiaire fiscalement domicilié à l’autre bout de la planète. On a envie de remettre du sens et du local au cœur de notre métier. De rémunérer celui qui pédale pour son travail, dans son environnement ».

    Leur logo annonce la couleur. Ce sera de la livraison locale, de Brest-Même !Leur logo annonce la couleur. Ce sera de la livraison locale, de Brest-Même ! 

    Vous vous appuyez aussi sur une prise de conscience et une responsabilisation de vos clients ?

    « Complètement. On a le sentiment qu’il y a un désir partagé de revenir à un milieu plus sain, plus social, et plus écologique. Alors que la livraison à domicile est revendiquée 100 % à vélo par les grandes enseignes, sept livraisons sur dix s’effectuent à scooter, deux en voiture, et une seulement à vélo. Nous, ce sera 100 % vélo mécanique, dans un rayon de trois kilomètres, en centre-ville ».

    Comment est perçue votre initiative ?

    « Très bien par les commerçants et les restaurateurs qui veulent continuer à travailler localement. Les retours par les transporteurs sont également bons puisque nous réussirons, dans l’hyper-centre, à proposer des tarifs équivalents voire moins élevés ».

    Pourquoi tout miser sur le vélo ?

    « Parce que c’est de loin le meilleur moyen de livrer en centre-ville, se garer, se jouer du trafic. Nous mettrons un point d’honneur à rouler en respectant les vitesses et le code de la route. Sans bruit, sans pollution, dans l’esprit de la livraison que nous défendons ».

    Qui compose votre équipe ?

    Nous sommes quatre : Yann Ciriani (21 ans), Pierre Marchadour (27 ans), Sébastien Loquen (32 ans) et Nicolas Brélivet (47 ans), tous passionnés et pratiquants assidus de vélo. Nous espérons aussi recruter des filles qui partagent les mêmes valeurs. L’idée n’est pas de gagner beaucoup plus d’argent mais d’améliorer les conditions sociales de l’activité pour la rendre pérenne et durable ».

    Quand allez-vous démarrer et par quoi ?

    « On espère démarrer en septembre, une fois qu’on aura tout réglé administrativement, et commencer par les restaurants. On n’ira pas nécessairement sur le terrain occupé par les majors, mais plutôt vers les gens qui cherchent à valoriser le transport à vélo, et le local ».

    Pratique

    Les Coursiers brestois, contact sur le site internet lescoursiersbrestois.bzh, à l’adresse lescoursiersbrestois@gmail.com, ou par tél. 07 49 77 58 23

    Auteur : Stéphane Jézéquel

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Certains syndicats, associations, partis politiques, et plusieurs collectifs invitent au rassemblement, place de la Liberté, à Brest, pour soutenir le peuple afghan.Certains syndicats, associations, partis politiques, et plusieurs collectifs invitent au rassemblement, place de la Liberté, à Brest, pour soutenir le peuple afghan.

    Un rassemblement est prévu ce mercredi, place de la Liberté, à 18 h, pour soutenir le peuple afghan.

     Au regard de la situation en Afghanistan, et suite aux propos présidentiels d’Emmanuel Macron affirmant vouloir « protéger l’hexagone de flux migratoires irréguliers venus d’un pays déstabilisé », un certain nombre d’organisations brestoises se disent extrêmement choquées. « Le peuple afghan est victime d’une double violence. Celle des talibans bien sûr, avec qui va s’ouvrir une période de persécution, et en particulier pour les femmes, les journalistes, les artistes, les défenseurs des droits de l’homme. Mais aussi celle d’un pays, la France, qui d’ores et déjà leur ferme la porte, bafouant ainsi le droit d’asile et reniant sa signature de traités internationaux », constate le collectif.

    « Les femmes se préparent à la terreur »

    « Kaboul est tombée. Alors que les femmes se préparent à la terreur, le Président de la République française ferme la porte à ceux et surtout à celles qui tenteraient de fuir le régime des Talibans. Ce ne sont pas des « flux migratoires », ce sont des êtres humains qui cherchent à échapper à l’horreur.

    Les propos du président Macron sont un reniement du principe même du droit d’asile. C’est ignoble », poursuit-il, en appelant à se rassembler ce mercredi, à 18 h, place de la Liberté, « pour exiger que la France réserve à tous ceux et toutes celles qui arriveront à fuir le régime taliban un accueil digne et inconditionnel ».

    Parmi les premiers signataires du communiqué, on trouve la Ligue des droits de l’Homme (LDH), Digemer, Adjim, Mrap, la Ligue de l’enseignement, le Planning familial, la CGT, SUD/Solidaires, BNC, Europe Écologie Les Verts, la France insoumise, Génération. s, L’autre gauche BNC, le Parti communiste français, le Parti socialiste, et les Radicaux de gauche.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le passe sanitaire sera requis à l’entrée de tous les hôpitaux et Ehpad du CHRU de Brest.Le passe sanitaire sera requis à l’entrée de tous les hôpitaux et Ehpad du CHRU de Brest.

    Le syndicat Sud Santé Sociaux du CHRU Brest-Carhaix dénonce la mise en œuvre du passe sanitaire au sein de l’hôpital.

    Dans un communiqué, le syndicat Sud Santé Sociaux du CHRU Brest-Carhaix se dit pour la liberté de choix de se faire vacciner ou non, mais opposé fermement à la mise en place du passe sanitaire. « Cette loi est liberticide à plusieurs niveaux, aussi bien pour les agents que pour les usagers de l’établissement. Cette loi ne cherche en aucun cas à convaincre les agents de se faire vacciner, mais bien à les y contraindre, sous peine de sanctions financières lourdes de conséquences. Elle ne vise pas davantage à convaincre la population sur l’utilité de la vaccination, mais bien à la contraindre sous peine de ne plus avoir accès aux soins ! Il y a un an, les soignants positifs à la covid-19, mais asymptomatiques, étaient rappelés pour travailler, alors qu’aujourd’hui, si on ne se vaccine pas, on sera considéré comme des criminels ».

    Appel à la « mobilisation des agents et des usagers »

    « Depuis le début de cette épidémie, les agents ont eu à subir les carences d’un système de santé à bout de souffle : manque de matériels, manque de lits, un Ségur de la santé visant à diviser encore plus les agents… Entraînant de nombreux départs dans la fonction publique hospitalière. Nous sommes énormément sollicités par de nombreux agents qui ne souhaitent pas se faire vacciner et qui par conséquent risquent de se faire convoquer par la direction qui leur notifiera la suspension de leur fonction et de leur salaire », ajoute le syndicat. Sud appelle à une « mobilisation de tous les agents opposés à ce passe sanitaire, ainsi que des usagers voulant un accès aux soins libres de tout contrôle ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • L’usine de Cummins Filtration. L’usine de Cummins Filtration. 

    Les 404 salariés du site industriel quimpérois de Cummins sont inquiets. La direction vient de leur annoncer son projet de se séparer de sa branche filtration.

    À Quimper, l’inquiétude s’est emparée des 404 salariés de l’entreprise Cummins, qui fabrique, depuis 1981, sur son site du Petit Guélen, des filtres à gazole, à air, à eau et à huile pour les poids lourds, les bus ou les engins de chantier.

    Le 3 août dernier, les représentants du personnel ont été convoqués à un Comité économique et social (CSE) extraordinaire, au cours duquel la direction du groupe américain, dont le siège est basé à Nashville, a annoncé son projet de se séparer de sa branche filtration.

    Environ 4 200 salariés, au Mexique et en Europe notamment, travaillent dans cette branche pour Cummins. Parmi eux, les 404 employés du site industriel quimpérois.

    « Nous étions loin d’imaginer un tel scénario »

    « La direction nous a dit qu’elle souhaitait la création d’une entité autonome indépendante », relate une élue CGT, qui avoue ne pas bien saisir les contours de cette annonce. « L’entreprise se porte bien. Nous étions loin d’imaginer un tel scénario. On est dans le flou total », déplore-t-elle.

    Le projet de séparation pourrait advenir dans les 12 à 18 mois à venir. Le site quimpérois pourrait faire les frais d’un virage stratégique : Cummins, leader du moteur diesel en Amérique du Nord, expérimente un moteur à combustion alimenté à l’hydrogène et pourrait orienter ses investissements dans cette voie.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Selon Sud, l’obligation du passe sanitaire dans les bibliothèques « génère beaucoup d’incompréhension du côté du public et des situations très tendues se déroulent à l’entrée des médiathèques où les aSelon Sud, l’obligation du passe sanitaire dans les bibliothèques « génère beaucoup d’incompréhension du côté du public et des situations très tendues se déroulent à l’entrée des médiathèques où les agents sont tenus de contrôler les passes sanitaires ». 

    Les bibliothécaires de Brest seront en grève, mardi 17 août, dans l’après-midi, à l’appel du syndicat Sud. « Il est possible que certaines bibliothèques ne soient pas ouvertes au public en raison de ce mouvement de grève », écrit le syndicat dans un communiqué précisant que « cette mobilisation est liée aux mesures gouvernementales concernant la gestion de la covid-19. À Brest, le passe sanitaire est obligatoire dorénavant dans l’ensemble des médiathèques. Ce dispositif est à l’opposé de la mission de service public des médiathèques : l’accès libre pour toutes et tous quels que soient les usages (consultation sur place, emprunts, actualisation d’une situation administrative sur un ordinateur, etc.) ».

    « Tensions à l’entrée des médiathèques »

    Selon Sud, « cela génère beaucoup d’incompréhension du côté du public et des situations très tendues se déroulent à l’entrée des médiathèques où les agents sont tenus de contrôler les passes sanitaires. À partir du 30 août, les agents au contact du public seront contraints de présenter un passe sanitaire valide pour pouvoir travailler. Une partie des bibliothécaires brestois refuse cet état de fait et revendique le retrait du passe sanitaire pour l’accès aux services publics, une jauge pouvant être privilégiée selon le contexte sanitaire. Nous revendiquons également que les agents ne soient pas soumis au passe sanitaire au profit de réelles campagnes de vaccination sur volontariat sur les lieux de travail, organisées par leur employeur ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Partis ce samedi vers 14 h de Penvillers, les manifestants sont descendus vers le centre-ville de Quimper, et ont marqué un arrêt devant la préfecture, le temps d’entonner une Marseillaise. Partis ce samedi vers 14 h de Penvillers, les manifestants sont descendus vers le centre-ville de Quimper, et ont marqué un arrêt devant la préfecture, le temps d’entonner une Marseillaise.

    La mobilisation ne faiblit pas dans la capitale cornouaillaise. Cet après-midi, 2 200 personnes environ se sont à nouveau donné rendez-vous pour manifester dans les rues de Quimper. Ils étaient 3 000 la semaine dernière, et 1 800 il y a quinze jours.

    En scandant « liberté, résistance », des centaines de personnes manifestent ce samedi à Quimper contre le passe sanitaire. Partis à 14 h de Penvillers, ils se sont dirigés vers le centre-ville, puis ont fait un arrêt à la préfecture. Ils arpentent désormais les quais entre la gare et la place de la Résistance.

     
    Partis à 14 h de Penvillers, des centaines de manifestants se sont dirigés vers le centre-ville puis la préfecture.Partis à 14 h de Penvillers, des centaines de manifestants se sont dirigés vers le centre-ville puis la préfecture.
     
     
     
     
     
    Arrêt devant la préfecture : les manifestants ont entonné une MarseillaisePassage devant la préfecture de Quimper : les manifestants ont fait un arrêt et entonné une Marseillaise.
     
    Arrêt devant la préfecture : les manifestants ont entonné une MarseillaiseArrêt devant la préfecture : les manifestants ont entonné une Marseillaise.
     
    Le cortège a arpenté les rues du vieux Qiumper sous un soleil estivalLe cortège a arpenté les rues du vieux Quimper sous un soleil estival.
     
    Partis à 14 h de Penvillers, des centaines de manifestants se dirigent actuellement vers le centre-villePartis à 14 h de Penvillers, des centaines de manifestants ont convergé vers le centre-ville ce samedi après-
    midi.
     
    Partis à 14 h de Penvillers, des centaines de manifestants se dirigent actuellement vers le centre-villeDes centaines de manifestants partis de Penvillers ont rejoint un groupe qui les attendait à La Tourbie.

    Sit-in devant la cathédrale

    Vers 16 h, après avoir traversé le centre-ville de Quimper, de la préfecture à la gare, le cortège a fait un sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin en criant « Résistance, Liberté » et en faisant un maximum de bruit en tapant sur des casseroles ou des boîtes en plastique. Les manifestants sont ensuite répartis défiler dans les rues du centre-ville.

    Samedi, sur les quais du centre-ville de Quimper.Samedi, sur les quais du centre-ville de Quimper.
     
    Le cortège s’est déplacé vers 15 h 30 de la préfecture vers le quartier de la GareLe cortège s’est déplacé vers 15 h 30 de la préfecture vers le quartier de la Gare.
     
    Les manifestants ont fait un sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin en criant « Résistance, Liberté » et en faisant un maximum de bruit en tapant sur des casseroles ou des boîtes en plasLe cortège dans l’hyper centre-ville de Quimper. Avant de se rendre vers la cathédrale Saint-Corentin.
     
    Les manifestants ont fait un sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin en criant « Résistance, Liberté » et en faisant un maximum de bruit en tapant sur des casseroles ou des boîtes en plasLes manifestants ont fait un sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin en criant « Résistance, Liberté » et en faisant un maximum de bruit en tapant sur des casseroles ou des boîtes en plastique.
     
    Sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin ce samedi après-midi dans le centre-ville de Quimper.Sit-in devant la cathédrale Saint-Corentin ce samedi après-midi dans le centre-ville de Quimper.
     
     
    source; https://www.letelegramme.fr/
     
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  • Le rassemblement anti-passe sanitaire s’est déroulé de manière très calme, ce samedi après-midi. Les prises de parole se sont enchaînées place de l’Enfer. Le rassemblement anti-passe sanitaire s’est déroulé de manière très calme, ce samedi après-midi. Les prises de parole se sont enchaînées place de l’Enfer. 

    Environ 120 personnes ont participé au rassemblement organisé contre le passe sanitaire, ce samedi à Douarnenez. Parmi eux, une proportion non négligeable de gens se présentant comme soignants et professeurs des écoles.

    « Bien sûr que nous sommes en résistance. C’est une tyrannie qui s’installe en France ! » Soignant à l’hôpital Laennec, à Quimper, Christian (*), la cinquantaine, tient dans ses mains un drapeau de la France libre, symbole de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Ce samedi après-midi, il est présent place de l’Enfer, à Douarnenez, au milieu de 120 autres personnes rassemblées pacifiquement pour protester contre le passe sanitaire. « En l’état actuel de nos connaissances, accepter la vaccination, c’est comme jouer à la roulette russe. Du coup, à partir du 15 septembre prochain, je ne serai plus payé », poursuit-il.

    Outre Christian, plusieurs soignants, mais aussi des professeurs des écoles, se sont relayés au micro, ce samedi. Très applaudis par des manifestants aux profils divers (familles, jeunes venus entre amis et personnes retraitées), les intervenants ont expliqué pourquoi ils refusent de se faire vacciner, et les conséquences que cela risque d’engendrer sur leur emploi.

    « Liberté pour toutes et tous »

    Coorganisatrice de ce rassemblement, Sorence Pierret a demandé « la liberté pour toutes et tous ». Yolande Bouin, également coorganisatrice et élue de l’opposition au conseil municipal, a réclamé « davantage de lits et de soignants dans les hôpitaux ». Et si elle a tenu à rappeler au micro que le mouvement « n’est pas négationniste du Covid et pas contre la vaccination, mais contre le passe sanitaire », la frontière a été franchie lors de quelques interventions.

    Certains ont ainsi évoqué « une expérimentation générale menée sur la population », de nombreux intervenants critiquant en particulier la vaccination pour les jeunes âgés de 12 à 16 ans. « Ils risquent davantage de choses en se faisant vacciner qu’en tombant malade du covid », a protesté un père de famille. D’autres ont plaidé pour soigner les malades avec de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine, à l’image d’un intervenant retraité. Et ce dernier d’affirmer, sous quelques applaudissements, que « le vaccin contre le covid est une menace pour l’humanité ».

    *Le prénom a été modifié.

     

    Dimitri L'Hours

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  • Après un temps de prises de parole, les manifestants ont défilé dans le centre-ville de Châteaulin, scandant « Liberté ! Non au passe sanitaire ! » Après un temps de prises de parole, les manifestants ont défilé dans le centre-ville de Châteaulin, scandant « Liberté ! Non au passe sanitaire ! » 

    Entre prises de parole et déambulation, la manifestation contre le passe sanitaire s’est déroulée dans le calme ce samedi 14 août, à Châteaulin. La mobilisation était très légèrement moins importante que la semaine précédente.

    Pour une veille de 15 août, sous un soleil de plomb, c’est un record ! Les manifestants anti-passe sanitaire étaient près de 130 à battre le pavé, pour ce cinquième samedi de lutte à Châteaulin. La mobilisation de la semaine précédente, et ses 160 manifestants, reste la plus importante.

     

    Place de la Résistance, à 14 h, plusieurs personnes ont témoigné, micro en main. « Je suis restauratrice, je ne veux pas faire le travail des gendarmes », clame une manifestante. « Avez-vous pensé aux personnes âgées qui ne reçoivent presque plus de visites à cause du passe ? », interroge une femme travaillant en Ehpad.

    Jakez L’Haridon, fondateur du Run ar Puñs, rappelle son opposition au passe sanitaire en tant que bistrotier.Jakez L’Haridon, fondateur du Run ar Puñs, rappelle son opposition au passe sanitaire en tant que bistrotier. 

    Jakez L’Haridon, fondateur du Run ar Puñs, rappelle quant à lui le communiqué qu’il a cosigné avec une quarantaine de bistrotiers Bretons qui s’opposent à l’application du passe sanitaire. « C’est impensable de devoir trier nos clients, lance-t-il. Nos neuf mois de fermeture forcée prouvent bien que nous ne sommes pas un foyer de contamination ! »

    Sous un soleil de plomb, ils étaient près de 130 à se mobiliser contre le passe sanitaire samedi 14 août, à Châteaulin.Sous un soleil de plomb, ils étaient près de 130 à se mobiliser contre le passe sanitaire samedi 14 août, à Châteaulin. 

    « Je ne suis pas égoïste ! »

    Avant de déambuler dans le centre-ville, un dernier témoignage émeut l’assistance. Celui d’une monitrice éducatrice, travaillant auprès de personnes handicapées. « C’est très difficile d’entendre Emmanuel Macron nous traiter d’égoïstes, confie-t-elle, blessée. Je me suis toujours dédiée aux autres. J’aime mon travail et pourtant, je vais le perdre. »

    "J’aime mon travail et pourtant, je vais le perdre."

    Ne souhaitant pas se faire vacciner, elle s’apprête donc à ne plus être autorisée à travailler. « J’irai jusqu’au bout, je ne démissionnerai pas. J’ai le droit de décider comment me soigner ! Nous ne devons pas être considérés comme des pestiférés lorsque nos choix sont différents », s’exclame-t-elle. Salve d’applaudissements, la foule acquiesce.

    Elle conclut : « Il est important de se dissocier de ce qu’il se passe, car on ne sait pas jusqu’où cela peut aller. N’ayons pas peur ! »

    Le cortège a ensuite déambulé en centre-ville, gênant à peine la circulation, avant de se séparer peu avant 16 h.

     

    Raphaëlle Besançon

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Ce samedi 14 août signe le cinquième samedi de mobilisation contre le passe sanitaire. Ce samedi 14 août signe le cinquième samedi de mobilisation contre le passe sanitaire. 

    À Morlaix, environ 750 opposants au passe sanitaire étaient rassemblés ce samedi 14 août 2021, cinquième samedi de mobilisation. Un chiffre qui ne cesse de grimper, de semaine en semaine.

    À Morlaix, la mobilisation contre le passe sanitaire grandit de semaine en semaine. Ce samedi 14 août, environ 750 manifestants étaient mobilisés à Morlaix pour dire « non » au passe sanitaire ; soit quasiment le double par rapport à samedi dernier.

    Familles, enfants, jeunes, moins jeunes, anciens, il y avait de tout ce samedi place de la mairie à 10 h. Des opposants au profil éclectique mais au même slogan : « Non au passe sanitaire. » La grande majorité des manifestants rencontrés tiennent à le préciser : « Nous ne sommes pas contre le vaccin, mais contre le passe sanitaire ».

    Le cortège s’est ensuite dirigé vers le port avant de revenir place de la mairie. Aux alentours de 12 h, une partie des manifestants a refait un second tour.

    Montrer son opposition

    « On n’est pas des complotistes, on s’informe, on se pose des questions », lance Alexandra. À dire qu’elle croit encore à un retournement du gouvernement, elle n’en sait rien mais « on doit montrer qu’on n’est pas d’accord, il faut se battre, si on ne le fait pas, demain on va nous dire qu’on va nous injecter une puce dans le corps et ce sera pareil ! Liberté, égalité, fraternité ! La liberté, on ne l’a plus ; l’égalité, elle n’est est plus là ; et la fraternité, il n’y en a plus non plus, on est montrés comme des pestiférés. C’est une honte, j’ai honte de la France ! ».

    Chantal et Jean-Paul, bonnet phrygien sur la tête, ne croient « pas vraiment » non plus à retour en arrière de l’exécutif sur ses positions, mais ils tiennent quand même à être présents pour montrer leur protestation.

    Une peur latente

    « Hier, je suis allée chez mon médecin qui m’a dit que si dans trois mois je n’étais pas vaccinée, il refuserait que je vienne le voir, confie Monique, 73 ans. Donc dans trois mois, si je ne suis pas vaccinée je n’aurais plus de médecin… ».

    Ce samedi, la peur concernant l’obligation du passe sanitaire pour les enfants de 12 à 17 ans à compter du 30 septembre s’est aussi clairement fait ressentir : « Ne touchez pas à nos enfants », a-t-on pu entendre dans les rangs.

    "La liberté, on ne l’a plus ; l’égalité, elle n’est plus là ; et la fraternité, il n’y en a plus non plus, on est montrés comme des pestiférés."

    « L’espoir fait vivre »

    Pour beaucoup, « l’espoir fait vivre, sinon on ne serait pas là ! ». « Moi, de toute façon, je ne rognerais pas sur certaines choses, je suis déterminée ! », assume Philippe, qui se dit « pour la liberté de parole » et qui déplore une « pensée unique ». « Les gens qui sont là sont hyperdéterminés », assure Éric pour qui ce serait « très souhaitable » que le gouvernement revienne sur le passe sanitaire afin de « conserver notre libre arbitre. »

    « Les gens doivent comprendre qu’ils ont du pouvoir, le pouvoir de dire « je ne suis pas d’accord ». Et quand j’entends d’autres dire « je me suis fait vacciner mais je n’ai pas le choix », on a toujours le choix ! », lance une manifestante.

    Environ 750 opposants au passe sanitaire ce samedi 14 août à Morlaix  (LT.fr-14/08/21-14h23)

     

     

     

     

     

     

     

    Environ 750 opposants au passe sanitaire ce samedi 14 août à Morlaix  (LT.fr-14/08/21-14h23)

     

     

     

     

     

     

     

    Environ 750 opposants au passe sanitaire ce samedi 14 août à Morlaix  (LT.fr-14/08/21-14h23)

     

     

     

     

     

     

     

    Environ 750 opposants au passe sanitaire ce samedi 14 août à Morlaix  (LT.fr-14/08/21-14h23)

     

     

     

     

     

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • À Brest, plus de 2 000 personnes rassemblées contre le passe sanitaire. ( LT.fr - 14/09/21 - 17h04 )Plus de 2000 personnes étaient rassemblées à Brest avant le départ du cortège samedi 14 août, pour protester contre l’extension du passe sanitaire aux lieux accueillant du public.  (Le Télégramme/Catherine Le Guen)

    Un cortège d’un peu plus de 2000 manifestants défile ce samedi à Brest contre le passe sanitaire, pour la cinquième semaine de mobilisation consécutive. La contestation ne faiblit pas.

    C’est la cinquième semaine de mobilisation depuis l’allocution d’Emmanuel Macron, le 12 juillet : ce samedi 14 août à Brest, plus de 2000 personnes se sont rassemblées avant le départ du cortège, pour protester contre l’application du passe sanitaire, dans les bars, restaurants, lieux de loisirs et pour certains transports, ainsi que contre l’obligation de vaccination pour les soignants. Le cortège est de taille équivalente à celui des semaines précédentes.

    En passant devant l’hôpital Morvan, les manifestants se sont arrêtés pour applaudir les quelques soignants qui passaient par là.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Plusieurs rassemblements festifs à caractère musical sont susceptibles d'être organisés cette semaine. Plusieurs rassemblements festifs à caractère musical sont susceptibles d’être organisés cette semaine. 
    Craignant l'organisation de rave-party, le préfet du Finistère a pris un arrêté interdisant les rassemblements festifs à caractère musical jusqu'à lundi 16 août 2021.

    Depuis le début de l’été, le préfet du Finistère multiplie les arrêtés pour empêcher l’organisation de free-party sur le territoire.  

    « Plusieurs rassemblements festifs à caractère musical de type rave-party pourraient être organisés dans le département du Finistère entre le 13 et le 16 août 2021 », met en avant le préfet dans un communiqué. 

    Des sanctions prévues

    En conséquence, sont interdits sur l’ensemble du territoire du département du Finistère :

    • de vendredi 13 août à 18h à lundi 16 août à 8h, les rassemblements festifs à caractère musical énoncés à l’article R.211-2 du code la sécurité intérieure, à l’exception de ceux légalement déclarés ou autorisés.
    • de vendredi 13 août à 18h à lundi 16 août à 8h, la circulation de tout véhicule transportant du matériel de sons (“sound system”) à destination d’un rassemblement festif à caractère musical non autorisé, sur l’ensemble des réseaux routiers.

    Le préfet précise que « toute infraction est passible des sanctions prévues par l’article R.211-27 du code de la sécurité intérieure et peut donner lieu à la saisie du matériel en vue de sa confiscation par le tribunal ».

    Et de poursuivre :

    Les forces de police et de gendarmerie seront à nouveau pleinement mobilisées pour assurer le maintien de l’ordre public et le respect des règles sanitaires.

     

    Le préfet du Finistère appelle chacun à faire preuve de responsabilité en respectant ces mesures de restrictions prises pour la sécurité de tous.

     

    source: https://actu.fr/societe/rave-party-dans-le-finistere-un-nouvel-arrete-du-prefet-interdit-les-rassemblements-festifs-a-caractere-musical_44131556.html

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  • MANIFESTATION CONTRE LE PASS SANITAIRE ET LES RÉFORMES ANTISOCIALES SAMEDI 14 AOÛT à 14h place de Strasbourg à BREST ( FB.fr -13/08/21 )

    Source : https://www.facebook.com

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  • MANIFESTATION CONTRE LE PASS SANITAIRE ET LES RÉFORMES ANTISOCIALES À 14H PLACE DE STRASBOURG À BREST. ( 11/08/21

     
    Nous recherchons des personnes pour nous aider à distribuer des tracts pendant la manifestation.
    Nous recherchons des musiciens pour animer la manifestation et la rendre plus festive.
    Nous recherchons des témoignages de personnes qui subissent des pressions de leur employeur pour se faire vacciner, des personnes qui sont bloquées au niveau santé pour se rendre à des RDV médicaux, des jeunes qui sont bloqués dans leur vie sociale à cause du pass.
    Adresse pour envoyer vos témoignages : giletsjaunesbrest@protonmail.com

     

    Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l’ensemble des habitants de la Terre         .Albert Jacquard
     
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  • Pass sanitaire : que font les syndicats ?   (GJ Brest-11/08/21)

    Le pass sanitaire concerne bien évidemment aussi le monde du travail : pressions sur les non-vaccinés, risque de suspension de salaires de salariés ne voulant pas se faire vacciner, conditions de travail dégradées pour ceux obligés d’assurer des fonctions de contrôle relevant de fonctions de police etc.

    Et pourtant, les grandes centrales syndicales sont absentes et regardent passer les trains, en l’occurrence ici celui de ce mouvement social contre le pass sanitaire qui pourrait bien s’élargir à bien d’autres colères plus sociales et donc concernant la sphère des attributions syndicales : défendre les travailleurs. Certains syndicats appellent tout de même à des grèves illimitées. Mais la CGT donne surtout RDV en octobre pour combattre l’entrée en application pleine et entière de la réforme de l’assurance chômage. Combat légitime tant cette dernière va opérer une saignée sur le corps social !

    Toutefois, les centrales syndicales vont-elles rater le coche pour « frapper » ce gouvernement efficacement et massivement comme elles le firent en se tenant à distance voire en se désolidarisant des Gilets Jaunes ? Ceci, également sous prétexte qu’il y aurait des éléments minoritaires d’extrême droite la plus dure et intolérante, raciste et excluante ? Mais n’est-ce pas le rôle d’organismes structurés de contribuer à l’« hégémonisation » en idées progressistes socialement, en augmentant le nombre de participants les partageant : travailleurs, chômeurs, précaires, jeunes etc. Bref, de défendre les classes et catégories sociales les plus fragilisées par cette politique de ségrégation opérée par la mise en place du pass sanitaire et autres mesures liberticides, et qui touche surtout les plus pauvres, les plus éloignés des services publics, « les déserts médicaux » ?

    La réponse est dans la question ! Si nous critiquons ce manque de perspective stratégique ce n’est pas pour que ces syndicats s’accaparent le mouvement et finissent par négocier au moins disant. Non, il faut qu’ils acceptent d’être débordés par leur base mais aussi débordés par les masses moins rompues au militantisme traditionnel. Il ne faut plus que le cadre syndical soit un frein au mouvement social mais l’accompagne pour l’aider à s’amplifier.

    Nous avons conscience qu’il s’agit ici d’un vœu pieux et que les vieilles structures syndicales sont surtout déterminées à se perpétuer dans leur être, le propre des institutions. Mais même dans cette logique, laisser passer ce mouvement social sans y intervenir (ou trop tard), semble une erreur stratégique pour cet objectif. Ou comment se tirer une balle dans le pied, d’autant que les critiques fusent sur leurs compromissions, notamment parmi les Gilets Jaunes nés aussi de la déliquescence du rapport de force tenu par les syndicats vis à vis du patronat et de l’État, mais également de leur base parfois plus vindicative et révolutionnaire.

    Ainsi, nous ne pouvons que continuer à nous organiser à la base, avec très régulièrement l’aide de syndicalistes combatifs. Mais que ça soit pour ceux qui se disent révolutionnaires, ainsi que pour les grandes centrales syndicales, il faut se rendre à l’évidence : un mouvement de masses spontané est très souvent hétéroclite, confus et l’extrême droite la plus réactionnaire et intolérante voire raciste peut être présente dans les cortèges !… Mais plutôt que de craindre de se faire contaminer par une très minoritaire « peste brune » et de se voir ternir son image à son contact, il conviendrait d’œuvrer à minorer encore plus ces éléments inacceptables, que ceux-ci soient noyés dans la masse, voir éjectés progressivement pour les plus violents et nauséabonds !

    Bref, « hégémoniser » un mouvement de masses, y apporter un élargissement à des revendications plus sociales, ça se fait en y participant, par un afflux encore plus massif de gens, de militants qui étaient peut-être échaudés par la visibilité marquante de groupuscules d’extrême droite, complotistes, très confus voire délirants, largement amplifiée par des grands médias de milliardaires qui n’en demandaient pas moins pour discréditer l’ensemble d’un mouvement comme ils l’avaient fait pour les Gilets Jaunes. Répandons également l’idée toute stratégique que la présence d’un de ces énergumènes peut faire fuir 10 personnes, pour schématiser. On entend parfois qu’ils faudrait taire cette critique éthique, pour ne pas diviser. Au contraire, la dire c’est contribuer à rassembler et amplifier le mouvement.

    Un mouvement social n’est jamais figé, mais par définition toujours en mouvement et devient ce qu’on lui insuffle… Ne pas y participer pour amener des idées d’émancipation, c’est laisser la place à un peu tout et n’importe quoi et ainsi peut-être en faire un repoussoir à son amplification susceptible de faire plier ce gouvernement.

    A bon entendeur !… Et bien sûr on fait ce qu’on peut, et petit à petit, ça monte ça monte !…

     

    GJ Brest, le 11/08/21

    Source: https://giletsjaunesbrestois.home.blog/

     


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  • L’Établissement public de santé mentale du Finistère Sud à Quimper. L’Établissement public de santé mentale du Finistère Sud à Quimper.  

    Considérant que « les droits humains les plus fondamentaux et la dignité des patients y sont bafoués », les bénévoles de la Commission des citoyens pour les droits de l’Homme manifesteront vendredi devant l’EPSM Gourmelen à Quimper.

    Dénonçant des « pratiques abusives » en matière d’isolement et de contention, les bénévoles de la Commission des citoyens pour les droits de l’Homme (CCDH) manifesteront vendredi 13 août de 13 h 30 à 14 h 15, devant les portes de l’Établissement public de santé mentale du Finistère Sud, 8 rue du Stade à Quimper.

    Dans un communiqué, la CCDH explique que « depuis la loi du 26 janvier 2016, tous les établissements psychiatriques sont obligés de tenir un registre de contention et d’isolement et d’émettre un rapport annuel pour rendre compte de leurs pratiques aux autorités ».

    « Afin que ces abus cessent »

    Ayant examiné les registres et rapports des années 2017, 2018 et 2019 de l’EPSM Gourmelen, la CCDH fait le constat de plusieurs mises à l’isolement parfois longues. « Selon la loi, l’isolement et la contention doivent être utilisés en dernier recours, de façon exceptionnelle. La Haute autorité de santé précise que la durée de l’isolement ne doit pas excéder douze heures, la durée de la contention, six heures. Les durées dépassant ces limites devant demeurer exceptionnelles ».

    Et d’estimer que « les mesures d’isolement et de contention pratiquées au sein de l’EPSM du Finistère Sud violent toutes les dispositions légales et réglementaires en matière de contention et d’isolement. Les droits humains les plus fondamentaux et la dignité des patients y sont bafoués ». La CDDH manifestera donc vendredi « afin que ces abus cessent et que la lumière soit faite sur les pratiques de cet établissement ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Samedi matin, Antonin Flécher (ici devant le maire Christophe Le Roux) a rappelé quelques épisodes de la résistance lors de la cérémonie de commémoration de la Libération de Bannalec à La Roche.Samedi matin, Antonin Flécher (ici devant le maire Christophe Le Roux) a rappelé quelques épisodes de la résistance lors de la cérémonie de commémoration de la Libération de Bannalec à La Roche.

    Samedi matin, le 7 août 2021, une nouvelle cérémonie s’est déroulée au lieu-dit La Roche, à l’écart du hameau de Saint-Jacques, pour commémorer la Libération de la commune de Bannalec (Finistère). Retour sur l’histoire du maquis de La Roche, avec Antonin Flécher.

    Cette cérémonie marquait le retour du public, autorisé à participer. Elle était dirigée par le maire, Christophe Le Roux, et Antonin Flécher, le président de la section locale de l’Union Bretonne des Combattants (UBC) devant une quarantaine de personnes.

    Au cours de cette cérémonie, Antonin Flécher a rappelé quelques faits de la Résistance à Bannalec, puis, plus tard il a confié quelques réflexions sur le maquis de La Roche.

    Pourquoi un maquis à La Roche ?

    Ce lieu-dit est situé sur les hauteurs de Saint-Jacques, proche des frontières de la commune de Bannalec avec Scaër et Saint-Thurien. C’était un espace géographique qui présentait de nombreux avantages pour les membres de la Résistance : éloigné du bourg où étaient installées les troupes allemandes.

    À l’époque, il y avait des espaces boisés importants à La Roche, qui offraient de nombreuses possibilités de cachette en cas d’arrivée de patrouilles allemandes. Mais les maquisards surveillaient les axes routiers et les Allemands n’auraient pas pu les prendre par surprise à La Roche.

    De plus, ce n’était pas de belles routes goudronnées comme maintenant et elles étaient étroites donc peu pratiques pour les camions allemands et propices à des embuscades. Les Allemands ne se risquaient pas souvent dans ce genre d’endroits.

    Enfin, pour pouvoir nourrir les maquisards, il fallait être à proximité de fermes et pour leurs entraînements, il fallait être dans un endroit discret et retiré. L’été, les maquisards pouvaient camper en extérieur, dans les champs.

    Quels moyens ?

    À La Roche, c’était le PC de commandement des forces FFI (Forces françaises de l’intérieur) sous le commandement du Capitaine Louis Lavat qui se trouvait à La Roche : Lavat était instituteur et sa femme dirigeait une pharmacie au bourg.

    Ce groupe pouvait aller jusqu’à 60 personnes. Un autre groupe de maquisards existait également à Saint-Jacques, de l’autre côté du hameau de Saint-Jacques : les sympathisants communistes du groupe FTP de la compagnie Guy Moquet (Francs-Tireurs et Partisans) dirigé par le directeur de l’école de Saint-Jacques le lieutenant Carer.

    Ils étaient associés au groupe Louis d’Or de Scaër. Pour ces deux groupes, les armes sont arrivées tardivement, notamment lors de parachutages effectués par les aviateurs anglais à Kervir (Scaër) ou à Coray et plutôt après le débarquement des forces alliés en Normandie.

    Quelles actions ?

    Sans armes, difficile pour les maquisards d’effectuer des actions d’éclat. Mais ces jeunes hommes, plein de fougue, s’entraînaient pour être prêts à intervenir pour freiner la fuite des Allemands en août 1 944.

    Certains y ont laissé la vie comme les frères Le Gac, Michel Yvonnou, Eugène Cadic et Eugène Lorec attrapés par les Nazis à la suite de l’attaque de la gare de novembre 1943 et fusillés par les Allemands l’année suivante.

    Des sabotages ont été organisés pour déstabiliser les Allemands et des attaques armées, comme celle de la gare, le 7 août 1944, les deux prisonniers allemands seront emmenés à La Roche.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • BREST: Manif anti-pass et pour la Liberté (texte lu ce jour-là 7/08/21) -GJ Brest 8/08/21

    Nous étions Tous réunis pour dénoncer la mise en place du pass sanitaire, la vaccination obligatoire des soignants et la discrimination sociale d’une partie de la population.

    A Brest, le pass sanitaire était déjà effectif avant même que le conseil constitutionnel ait tranché.
    Si vous n’avez pas de pass sanitaire, vous ne pouvez plus vous rendre à la médiathèque des Capucins, aux animations en plein air organisées par la mairie de Brest.
    On remarque que nos élus brestois approuvent la politique liberticide et anti-sociale d’Emmanuel Macron ! 

    Nous sommes pour la liberté de choisir.

    Si le vaccin protège, laissez tranquille ceux qui n’en veulent pas !

    Le covid est une maladie contagieuse, oui, mais les cancers et les maladies cardiovasculaires tuent 5 fois plus, est ce que cela déclenche une telle agitation ? Ce virus occupe l’espace médiatique et politique de manière démesurée, bien d’autres sujets tout aussi inquiétants pour l »humanité n’ont pas ce privilège. On pourrait parler de nos atteintes à la biodiversité, du changement climatique, du monde que nous allons laisser aux générations suivantes.  
    On prétend se préoccuper de notre santé en nous injectant un produit qui va générer des bénéfices record pour les multinationales.  
    La santé ce n’est pas ça, une politique de santé vise par ses orientations à favoriser le bien-être des personnes et à s’assurer de la capacité des structures à prendre en charge les malades.  
    Cette crise est révélatrice de l’état catastrophique dans lequel se trouve notre système de santé. Et pour tenter de masquer ce manque de moyens dénoncés depuis plusieurs années par les soignants, le gouvernement n’a eu d’autres solutions que de confiner les gens chez eux.  
    Près de 20 000 lits ont été fermés. Sur les vingt dernières années : la fermeture de 100 000 lits d’hospitalisation. Après avoir salué le dévouement du personnels hospitalier, voilà que le 12 juillet Emmanuel Macron les remercie en leur annonçant que pour eux le vaccin sera obligatoire. Pour les autres ça sera à choisir, un pass sanitaire ou la mise à l’écart de la vie sociale. En faisant cela, il piétine la constitution, s’attribue des fonctions qu’il n’a pas, et réduit le gouvernement et le parlement à des éléments de décor de la république, à des formalités sans importance. Nos institutions semblent totalement aux ordres du locataire de l’Élysée. Macron avec son conseil scientifique opaque a fait le choix de la vaccination de masse en imposant le pass sanitaire. Au lieu de cibler les populations à risques, il exerce sur l’ensemble des français un véritable chantage et au passage prive de vaccins disponibles les populations âgées, à risques des pays pauvres !  
    Apres nous avoir dit d’aller au théâtre, que le virus ne viendrait pas en France, que les masques ne servaient à rien, voire pouvaient même être dangereux ;
    après que le gouvernement nous ait menti sur les stocks de matériel de l’hôpital public, leur donnant comme protection des sacs poubelles, comment pouvons-nous faire confiance à leur parole, en leur bien-fondé ?
     
    Dans un article de Reporterre, à la question  » Pourquoi le gouvernement a t-il fait ce choix ? », voici ce que Barbara Stiegler, professeur en philosophie politique répond :  
    Parce que, outre l’ivresse que procure l’excès de pouvoir, il refuse de revenir sur sa doctrine néolibérale. Depuis le début du quinquennat, le gouvernement démantèle les services publics et mène des politiques d’austérité qui affaiblissent l’hôpital, les services sociaux, le système éducatif. Au lieu de reconnaître ses torts et ses responsabilités, il transforme les victimes de sa propre politique — à savoir les citoyens — en coupables. Il les rend responsables de la situation présente. Il pointe leur prétendu « relâchement », insiste sur leur ignorance, leur irrationalité ou leur penchant sectaire. Depuis un an et demi, son état d’esprit n’a pas changé. Il privilégie toujours la répression, le contrôle et la mise au pas de la population. 

    Ce pass sanitaire fait honte à la France,

    nous exigeons la liberté de choix vaccinal,

    nous exigeons la suppression d’état d’urgence sanitaire,

    nous exigeons que nos représentants combattent fermement Emmanuel Macron et sa politique anti-sociale.

    Nous devons faire pressions sur les élus pour qu’ils agissent, écrivez-leur ! Allez les voir dans leur permanence !

     
    Soyons résolus à ne plus obéir ! Pour résister et face à l’urgence, il faut savoir mettre de coté pour un temps nos convictions pour rencontrer une cause qui les dépassent. Face à ceux qui décident, il nous faut plus que jamais nous unir, ils feront tout, aider des médias pour nous discréditer, peu importe, notre combat est juste. Nous ne sommes pas anti-démocratie comme l’affirme Emmanuel Macron, nous demandons un RETOUR de la démocratie, et si la 5ème république ne convient plus au peuple français, créons ensemble une constitution écrite par les citoyens comme en Bolivie. Nous avons subi plusieurs formes de gouvernance, notre pays est riche d’histoire : monarchie, république, empire, re- république et à chaque changement notre pays ne s’est pourtant pas écroulé.    

    Ensemble nous sommes de la dynamite ! 

    Prenez soin de vous, à samedi pour ceux qui peuvent,      belle semaine.

     

    photos/vidéo : Marcel Garabello

     

    Gilets Jaunes-Brest, le 7/08/21

    source: https://giletsjaunesbrestois.home.blog/

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  • Brest. Des milliers de personnes dans la rue contre le passe sanitaire. ( LT.fr - 07/08/21 - 18h04 )               Près de 2 000 se sont mobilisées contre le passe sanitaire ce samedi 7 août 2021. 

    Pour le quatrième week-end consécutif de mobilisation contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire pour les soignants notamment, environ 2 000 personnes se sont mobilisées, à Brest, ce samedi 7 août 2021.

    « Liberté, liberté » pouvait-on encore entendre dans les rues de Brest, ce samedi 7 août 2021. La mobilisation ne faiblit pas, même en plein été, avec ce quatrième samedi de manifestation contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire pour certaines professions et notamment les soignants, qui viennent d’être validés par le conseil constitutionnel, jeudi 5 août 2021.

     
    Les manifestants promettent de se mobiliser tout l’été. | OUEST-FRANCE

    2 000 personnes dans la rue

    Une fois de plus organisée sur les réseaux sociaux et non déclarée à la préfecture, la mobilisation s’est élancée de la place de Strasbourg. Le cortège a démarré vers 14 h 30, fort de plusieurs centaines de manifestants, en direction de la rue de Siam, sans s’arrêter place de la liberté. D’autres personnes se sont jointes fur et à mesure de la déambulation. En tout, près de 2 000 personnes se sont mobilisées.

    Le cortège a fait une halete à la gare de Brest. | OUEST-FRANCE

    Un parcours sans accroc

    Le cortège a continué son parcours jusqu’en bas de la rue de Siam pour arriver place Wilson en passant par la rue Émile-Zola. Il a ensuite fait une halte à la gare dans laquelle plusieurs dizaines de personne sont entrées pour scander quelques slogans anti passe sanitaire, en musique. Après quelques minutes, le groupe a rejoint la manifestation qui est retournée, pour finir, à son point de départ, la place Strasbourg. Les manifestants se sont ensuite lentement dispersés vers 16 h 30. La mobilisation s’est déroulée dans le calme et sans accroc. Chacun s’est donné rendez-vous samedi prochain pour une cinquième journée de mobilisation. « Nous comptons faire ça tous les samedis d’août et ceux de septembre. On ne lâchera rien », promet un manifestant.

    Auteur : Emmanuelle CADIEU

    Source : https://www.ouest-france.fr

     

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  • À Brest, des milliers de manifestants mobilisés contre le passe sanitaire. ( LT.fr - 07/08/21 - 15h03 ) La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.

    Pour la quatrième semaine consécutive à Brest, un cortège défile, ce samedi 7 août, pour dénoncer la mise en place du passe sanitaire et l’obligation de vaccination pour certaines professions.

    Au cœur de l’été, la mobilisation ne faiblit pas. Ce samedi 7 août, pour la quatrième semaine consécutive, les opposants au passe sanitaire manifestent à Brest. Les manifestants s’étaient donné rendez-vous sur la place de Strasbourg, avant d’entamer un défilé vers le centre-ville. Dans le cortège, les raisons de la mobilisation sont une nouvelle fois multiples : opposition à la vaccination obligatoire et à l’extension du passe sanitaire principalement.

     
    La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.
     

     Au son des « Liberté, résistance », les manifestants ont quitté la place de Strasbourg, empruntant la rue Jean-Jaurès pour gagner la place de la Liberté. Un arrêt a été marqué quelques instants, avant de reprendre la route direction la rue de Siam. Le cortège a ensuite pris la direction de la gare de Brest.

    Au cœur de la manifestation, des familles, des jeunes, des anciens. Dont bon nombre, à l’aide de panneaux brandis à bout de bras, ont exprimé leur opposition au passe sanitaire, mais pas à la vaccination. « Il y a un amalgame qui est fait, on entend tout et son contraire en ce moment », explique une mère, venue avec ses deux enfants. « Je suis vaccinée depuis le mois de juin, mais ce n’est pas pour autant que j’accepte les conditions de ce passe sanitaire ». Le cortège s’est séparé après 16 h.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Sit-in devant l’entrée de la préfecture après un défilé au pas de charge depuis la Croix-des-Gardiens, en passant par l’avenue de la France-Libre, La Tourbie, les quais jusqu’au pont Max-Jacob, face a Sit-in devant l’entrée de la préfecture après un défilé au pas de charge depuis la Croix-des-Gardiens, en passant par l’avenue de la France-Libre, La Tourbie, les quais jusqu’au pont Max-Jacob, face au tribunal, et les allées de Locmaria, avant de reprendre jusqu’à la gare et remonter au point de départ. 

    C’est une manifestation plutôt bon enfant qui s’est déroulée, ce samedi après-midi, dans les rues de Quimper contre le passe sanitaire, notamment au cri de « liberté ». Plus de 3 000 personnes dont beaucoup de familles contre environ 1 800 le week-end précédent.

    « Liberté ». C’est le mot qui est revenu le plus souvent au cours de cette nouvelle manifestation ce samedi, à Quimper, contre le passe sanitaire et l’obligation de vaccination de certaines professions. Beaucoup de drapeaux français au nom de « liberté, égalité et fraternité » et de la démocratie et peu gwen ha du, celui de la Bretagne, contrairement à d’habitude. Nombreux sont venus en famille, avec les enfants et toutes les tranches d’âge étaient représentées : jeunes, salariés, retraités ou anciens gilets jaunes. À noter que les forces de l’ordre étaient très discrètes et que le non-respect du port du masque en centre-ville, d’autant plus lors d’un rassemblement, n’a aucunement été verbalisé. Aucun heurt n’a été signalé.

     
     

    Le lieu du rassemblement n’a été annoncé que sur les réseaux sociaux, le mode préféré de communication des opposants au passe sanitaire et au vaccin contre le covid qui dénoncent à la fois le gouvernement et les médias. À 14 h, au niveau du rond-point de la Croix-des-Gardiens, ils étaient déjà très nombreux. Le samedi 31 juillet, nous les avions estimés à 1 800 personnes, « au moins 5 000 », selon certains d’entre eux. Le cortège, mené par une banderole « Nous sommes commerçants, pas flics, non au pass sanitaire », s’est ensuite dirigée sur l’avenue de la France-Libre où nous avons dénombré environ 2 000 manifestants, soit déjà plus que lors de la mobilisation de la semaine dernière. Il s’est agrégé au fur et à mesure du cortège en direction du centre-ville pour atteindre plus de 3 000 personnes dont de nombreuses vaccinées mais contre le passe sanitaire. Des chiffres confirmés par le commissariat en fin d’après-midi.

    Un groupe de gilets jaunes plus revendicatifs que certains autres.Un groupe de gilets jaunes plus revendicatifs que certains autres. Près de 3 000 manifestants dans les rues de Quimper au cri de « liberté »

    La manifestation a été menée au pas de charge, avec des slogans comme « Liberté », « Résistance », « Pour nos enfants », « Non au passe sanitaire », « Macron démission »… dans une ambiance plutôt bon enfant. Après La Tourbie, la rue des Douves, la rue de Juniville, près de La Poste centrale, direction les quais mais jusqu’en face du tribunal par le pont Max-Jacob et retour par les allées de Locmaria, avec au passage un message de soutien aux commerçants de la fête foraine.

    Près de 3 000 manifestants dans les rues de Quimper au cri de « liberté »

    Premier arrêt devant l’entrée de la préfecture où un sit-in s’est formé rapidement, dans le calme. Quelques messages et des masques ont été laissés sur le portail sans plus de mal, avant un nouveau départ en direction de la gare et un retour vers le point de départ par le boulevard de Kerguelen. Une nouvelle manifestation est annoncée pour samedi prochain.

    Près de 3 000 manifestants dans les rues de Quimper au cri de « liberté »
     
     

    Catherine Merrer

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin. Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin.

    160 personnes ont manifesté, ce samedi 7 août, contre le passe sanitaire à Châteaulin. C’est plus de deux fois plus que la semaine passée.

    En clamant haut et fort « Liberté ! Liberté ! Liberté » et en tapant sur des casseroles, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire, ce samedi 7 août, dans les rues de Châteaulin. Les rangs des opposants grossissent de semaine en semaine. Pour rappel, ils étaient une quarantaine le 17 juillet, une soixantaine le 24 juillet et plus de soixante-dix le 31 juillet.

     
    Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin.Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin. 

    « Le droit de choisir »

    Ils sont donc une nouvelle fois descendus dans la rue, ce samedi 7 août, pour, disent-ils, « défendre leurs libertés ». « Ce n’est pas une histoire d’être pour ou contre le vaccin. Nous voulons simplement que chacun ait le droit de choisir. Notre corps nous appartient », argumentait Marine. Et Dominique d’appuyer : « Nous sommes contre les mesures autoritaires imposées par le gouvernement. Et combien de temps va-t-on devoir vivre avec ça ? ». « Aujourd’hui le QR code et demain, nous serons tous pucés ? », s’inquiétait, de son côté, Sylviane.

    Les manifestants ont arboré différents slogans pour défendre leur liberté.Les manifestants ont arboré différents slogans pour défendre leur liberté. 

    Nouvelle manifestation samedi prochain

    Parti de la place de la Résistance, le cortège s’est arrêté pas loin d’une demi-heure sur le pont routier. Les gendarmes sont intervenus au bout de quelques minutes pour intimer aux manifestants de se ranger sur les trottoirs et fluidifier ainsi la circulation. Pour poursuivre leur « blocage », les opposants au passe sanitaire ont alors effectué des allers-retours sur le passage piéton situé au milieu du pont, obligeant de fait les automobilistes à s’arrêter.

    Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin.Les gendarmes ont intimé aux manifestants de se ranger sur les trottoirs du pont routier. Ce samedi 7 août, 160 personnes ont manifesté contre le passe sanitaire à Châteaulin.Les manifestants ont effectué des allers-retours sur le passage piétonnier situé au milieu du pont routier, obligeant de fait les automobilistes à s’arrêter. 

    Vers 15 h 30, quelques prises de paroles ont eu lieu place de la Résistance, où tous ont promis de revenir samedi prochain. « Si chacun amène une personne supplémentaire, on sera 300 ! Il ne faut pas lâcher l’affaire », a conclu au micro l’une des participantes.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.

    Pour la quatrième semaine consécutive à Brest, un cortège défile, ce samedi 7 août, pour dénoncer la mise en place du passe sanitaire et l’obligation de vaccination pour certaines professions.

    Au cœur de l’été, la mobilisation ne faiblit pas. Ce samedi 7 août, pour la quatrième semaine consécutive, les opposants au passe sanitaire manifestent à Brest. Les manifestants s’étaient donné rendez-vous sur la place de Strasbourg, avant d’entamer un défilé vers le centre-ville. Dans le cortège, les raisons de la mobilisation sont une nouvelle fois multiples : opposition à la vaccination obligatoire et à l’extension du passe sanitaire principalement.

     
    La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.La mobilisation réunit plusieurs milliers de personnes dans le centre-ville de Brest, ce samedi.

    Au son des « Liberté, résistance », les manifestants ont quitté la place de Strasbourg, empruntant la rue Jean-Jaurès pour gagner la place de la Liberté. Un arrêt a été marqué quelques instants, avant de reprendre la route direction la rue de Siam. Le cortège a ensuite pris la direction de la gare de Brest.

    Au cœur de la manifestation, des familles, des jeunes, des anciens. Dont bon nombre, à l’aide de panneaux brandis à bout de bras, ont exprimé leur opposition au passe sanitaire, mais pas à la vaccination. « Il y a un amalgame qui est fait, on entend tout et son contraire en ce moment », explique une mère, venue avec ses deux enfants. « Je suis vaccinée depuis le mois de juin, mais ce n’est pas pour autant que j’accepte les conditions de ce passe sanitaire ». Le cortège s’est séparé après 16 h.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Manif Morlaix a été le théâtre d’une quatrième manifestation anti-passe sanitaire, avec un cortège qui a rassemblé quelque 400 personnes. 

    À l’instar de nombreuses autres villes bretonnes, Morlaix a été le théâtre d’une quatrième manifestation anti-passe sanitaire.

    Le cortège a rassemblé quelque 400 personnes, tous âges confondus, sur le double thème « Pour la liberté » et « Contre le passe sanitaire », avec des variantes, comme quand le mot dictature remplaçait le mot passe. Parmi les marcheurs, qui scandaient « Macron, ton passe, on n’en veut pas ! », des personnes dûment vaccinées, allant même jusqu’à défendre l’importance de la vaccination contre la covid, mais vent debout contre l’obligation de produire un passe sanitaire accepté par ailleurs par une proportion grandissante de Français, selon une enquête récente. Pour certains des manifestants, pancartes brandies bien haut à l’appui, c’est « Non au totalitarisme, résistons ! » ou encore « La liberté n’a pas à se faire injecter ».

    « On va continuer à mettre la pression à Macron »

    Pour Guy, la marche prend un double sens : « Je ne suis pas vacciné, et je refuse de l’être. Tous les moyens sont bons pour forcer les gens à se faire vacciner. De l’avis de certains scientifiques, on ne sait même pas ce qu’il y a dedans ! C’est un non-sens depuis le début ! ».

    Rappelons que le Conseil constitutionnel a entériné la mise en place du passe sanitaire à partir du 9 août, comme rappelé sur certaines pancartes, qui précisaient : « Ils ont tué la démocratie le 5 août ». Toutefois, les marcheurs semblent nepas vouloir baisser les bras. « On va continuer à mettre la pression à Macron », vitupère Marie-Laure.

     

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Manifestation en 2018 à Crozon pour l'abolition des armes nucléairesManifestation en 2018 à Crozon pour l'abolition des armes nucléaires © Mouvement de la Paix

    Ce vendredi 6 août, une marche contre les armes nucléaires part de la chapelle du Menez Hom à Plomodiern dans le Finistère. Elle sera suivie de débats et de concerts. L’occasion de rappeler que la France n’a pas signé le traité d’interdiction des armes nucléaires en vigueur depuis janvier dernier.   

     Rendez-vous est donné à 17h au monument aux résistants près de la chapelle du Menez Hom à Plomodiern dans le Finistère. Comme chaque année, le Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires (CIAN 29) et le Mouvement de la Paix invitent à un rassemblement pour demander l’abolition des armes nucléaires.

    L’endroit n’est pas choisi au hasard puisque depuis le sommet du Menez Hom, on aperçoit à 25 kilomètres le site de l’Ile Longue. C’est là que stationne une partie des sous-marins nucléaires français.

    La date non plus n’est pas le fruit du hasard. Le 6 août correspond à l’anniversaire du bombardement atomique de la ville d’Hiroshima au Japon à la fin de la seconde guerre mondiale.

    Cette année 2021 n’est pas une année comme les autres. En janvier dernier, le traité d’interdiction des armes nucléaires (TIAN) porté par l’assemblée générale des Nations Unies (ONU) est entré en vigueur.

    Ce traité vise à éliminer les armes nucléaires de la planète en "raison des conséquences humanitaires catastrophiques" qu’entraînerait leur utilisation. Il n’a été signé par aucune puissance nucléaire, dont la France. Les associations interpellent les parlementaires français pour que le pays adhère à ce traité.

     

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