• Brest. Les lycéens de l’UNL appellent à la mobilisation, ce vendredi ( OF.fr - 20/05/2021-18h47 )Les lycéens sont mobilisés contre le « bac noir » depuis plusieurs semaines. 

     

    Les lycéens se mobilisent à nouveau, à Brest, ce vendredi 21 mai 2021. L’Union nationale lycéenne (UNL) appel au rassemblement, devant le lycée de l’Iroise, place de Strasbourg.

    Les lycéens se mobilisent à nouveau, à Brest, ce vendredi 21 mai 2021. L’Union nationale lycéenne (UNL) appelle au rassemblement, devant le lycée de l’Iroise, place de Strasbourg.

     La semaine dernière, ils étaient déjà près de 200 dans les rues pour protester contre ce qu’ils appellent le « bac noir ».

    Les lycéens dénoncent le manque de préparation aux épreuves de français et du grand oral. Ils en demandent donc l’annulation afin de ne passer leur bac qu’en contrôle continue. Ils protestent également contre les conditions difficiles pour les secondes qui ont passé leur année en distanciel, notamment au moment des choix pour leurs spécialités.

    Pas de stage pour les Bac pro

    Pour les filières technologiques, les lycéens déplorent l’impossibilité pour leurs camarades d’effectuer des stages. Et demandent qu’ils ne soient pas pénalisés. Ainsi que le passage des CCF en contrôle continue également. Enfin, l’UNL demande une session de rattrapage pour leurs camarades qui n’auraient pas eu leur bac en contrôle continu.

     Source : https://www.ouest-france.fr/

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  • À Brest, une veillée de solidarité avec le peuple palestinien. ( LT.fr-19/05/21-19h06 )

     À l’appel de l’association France-Palestine, une veillée de soutien au peuple palestinien était organisée ce mercredi, place de la Liberté. 
     
    Une veillée de soutien au peuple palestinien était organisée, ce mercredi 19 mai à 18 h, sur la place de la Liberté à Brest.

    Dans le prolongement de la manifestation qui a réuni 250 personnes samedi dernier, une veillée de soutien au peuple palestinien était organisée ce mercredi, à Brest. Sur la place de la Liberté, une soixantaine de personnes étaient réunies pour demander l’arrêt des violences.

     
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  • ASSOCIATION FRANCE-PALESTINE SOLIDARITE

    GROUPE DU PAYS DE CORNOUAILLE 

    La violence d’Israël contre la population de Gaza doit cesser  !    La France doit mettre fin à son soutien à Israël   (AFPS-Cornouaille- 19/05/21)

    La violence d’Israël contre la population de Gaza doit cesser  ! 

    La France doit mettre fin à son soutien à Israël

     

    Appel à rassemblement.

     

    L’agression israélienne contre la population palestinienne de Gaza est d’une violence inouïe. Depuis le 10 mai, 221 Palestiniens ont été tués, dont au moins 63 enfants, et plus de 1500 blessés. Les bombes sont d’une puissance inégalée et les bombardements, continuels, n’épargnent aucun secteur de la Bande de Gaza. La population terrorisée n’a aucun endroit pour s’abriter. Les destructions d’immeubles, de maisons, de centres de santé, de routes.... sont considérables. Déjà éprouvée par quatorze ans de blocus et trois autres agressions militaires, la population palestinienne de Gaza n’en peut plus et les enfants sont particulièrement traumatisés. Rien ne peut justifier ces crimes de guerre qui visent à terroriser toute une population et à lui rendre durablement la vie impossible. Il ne faut pas oublier que la lutte des Palestiniens continue en Israël et en Cisjordanie (dont Jérusalem-Est), violemment réprimée par les Israéliens, avec de nombreuses victimes palestiniennes.  

    Face à ces crimes les déclarations de la France et son soutien à Israël sont scandaleux. Le président de la République doit condamner sans plus attendre les bombardements israéliens et affirmer avec la plus grande fermeté que la population palestinienne doit être protégée, que ce soit à Gaza, à Jérusalem, en Cisjordanie et en Israël. Il faut prendre enfin des sanctions contre Israël tant que cet État commet ces crimes de guerre et continue de bafouer le droit international.

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    Pour témoigner notre solidarité au peuple palestinien, pour demander au gouvernement de notre pays des actes forts pour garantir la sûreté des Palestiniens et le respect de leur dignité et de leurs droits, le groupe du Pays de Cornouaille de l’Association France-Palestine Solidarité appelle à un rassemblement, le samedi 22 mars, à 14 h 30, Place de la Résistance à Quimper. Ce rassemblement sera suivie d’une manifestation. Une prise de parole et des lectures de textes seront faites PlaceSaint Corentin/ Place Laënnec à l’issue de la manifestation. 

                      Pour le groupe du Pays de Cornouaille de l’AFPS,                     Yves Jardin (02.98.92.30.63).

    Nous demandons aux associations et aux organisations et à leurs membres, ainsi qu’aux personnes qui participeront à ce rassemblement de ne faire flotter que des drapeaux palestiniens, à l’exclusion de tout autre. 

     
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  • Après le boulevard Montaigne, les manifestants se sont réunis à la plateforme de tri de Kergaradec. Le rassemblement, d’une centaine de personnes, regroupe plusieurs syndicats. Il est prévu jusqu’à 13 Après le boulevard Montaigne, les manifestants se sont réunis à la plateforme de tri de Kergaradec. Le rassemblement, d’une centaine de personnes, regroupe plusieurs syndicats. Il est prévu jusqu’à 13 h. 

    Une opération sur la voie publique à 8 h, une manifestation à La Poste de Kergaradec à 10 h : les postiers se mobilisent ce mardi à Brest.

    Nous l’annoncions en février : le site de La Poste au Dourjacq ferme en ce mois de mai. C’est le cas depuis quelques jours (ne restent que quelques personnes le temps de finir la réorganisation, selon les syndicats). Ce mardi matin, dès 8 h, une quinzaine de manifestants de la CGT et de Sud Solidaires sont allés au rond-point entre la rue du Dourjacq et le boulevard Montaigne (devant la Crêperie de Coataudon) pour filtrer le trafic pendant une heure et demie, donnant des tracts aux automobilistes. Avant une manifestation, de plus grande ampleur, vers 10 h, au centre de Kergaradec.

     
    Une quinzaine de manifestants ont filtré la circulation et tracté au rond-point entre le centre du Dourjacq et l'entrée du boulevard Montaigne, dès 8h.Une quinzaine de manifestants ont filtré la circulation et tracté au rond-point entre le centre du Dourjacq et l'entrée du boulevard Montaigne, dès 8h.

     

    Les salariés commencent à expérimenter la réorganisation, qui veut notamment que certains s’occupent du tri et d’autres de la distribution, alors que le facteur, jusque-là, faisait les deux. Les tournées sont plus longues et les agents indiquent ne pas pouvoir terminer, souvent, leur tournée. Ils craignent aussi que la direction sous-traite à terme une partie de ce travail.

    Le centre de La Poste du Dourjacq ferme actuellement ses portes. Une manifestation est prévue à 10 h au centre de Kergaradec après l'opération du début de matinée à quelques pas du Dourjacq.Le centre de La Poste du Dourjacq ferme actuellement ses portes. Une manifestation est prévue à 10 h au centre de Kergaradec après l’opération du début de matinée à quelques pas du Dourjacq.
     

    « L’objectif de cette réorganisation, qui a lieu à Brest comme au niveau national, est de s’adapter aux clients, à la digitalisation des échanges, aux nouveaux services de proximité », expliquait cet hiver Sébastien Gobichon, directeur des activités services, courrier, colis de Brest. En 2020, la pandémie a accéléré la diminution des courriers et l’explosion (toute l’année mais surtout en décembre) des colis.

    « Nous voulons nous rapprocher des clients », poursuivait-il, « continuer la distribution et être beaucoup plus présents dans les services. À Brest, nous sommes déjà plutôt en pointe pour l’opération "Veiller sur mes parents" ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Lors du rassemblement, ce lundi matin 17 mai, devant l’entrée du centre hospitalier de Cornouaille à Quimper. Lors du rassemblement, ce lundi matin 17 mai, devant l’entrée du centre hospitalier de Cornouaille à Quimper.

    Une grève nationale des infirmiers anesthésistes diplômés d’État (Iade) a lieu ce lundi 17 mai. Des infirmiers des hôpitaux de Quimper, Pont-l’Abbé et Douarnenez se sont associés à ce mouvement, avec notamment 100 % de grévistes au centre hospitalier de Cornouaille.

    « Dans un contexte sanitaire délicat, les infirmiers anesthésistes diplômés d’État ont été et sont encore fortement mobilisés dans les blocs opératoires, les maternités, les Smur et les services de réanimation. Ils s’inquiètent sincèrement sur l’avenir de leur profession et leurs modalités d’exercice. Pour rappel, il faut sept années pour former un infirmier anesthésiste », relaie la CGT.

     

    Parmi leurs revendications, ces professionnels de santé réclament « une reconnaissance législative, réglementaire et financière de notre filière à hauteur de son niveau de formation, d’autonomie de pratique et de responsabilité professionnelle ».

    Au regard des annonces du Ségur de la santé, ils demandent également « un bornage indiciaire conforme à une profession bac + 5 ; le respect strict des recommandations et de la réglementation assurant la sécurité des procédures anesthésiques et des patients ; l’octroi du complément de traitement indiciaire aux étudiants infirmiers anesthésistes en formation professionnelle », etc.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • 230 personnes ont défilé à Quimper (Finistère) en soutien de la Palestine, lundi 17 mai 2021.230 personnes ont défilé à Quimper (Finistère) en soutien de la Palestine, lundi 17 mai 2021.

    Pour témoigner leur « solidarité au peuple palestinien », 230 personnes ont défilé dans les rues de Quimper (Finistère), lundi 17 mai 2021.

    C’est le moment où les visages se ferment. Le moment où les regards se baissent. Seule la voix d’Yves Jardin, de l’association France-Palestine Solidarités, résonne et délivre le décompte des morts. « Depuis cinq jours, 119 Palestiniens sont morts. Parmi eux, trois familles entières. »

    Lundi 17 mai 2021, plusieurs organisations politiques ou syndicales, dont l’Association France-Palestine Solidarité (AFPS) appelaient à se rassembler, place Terre-au-Duc à Quimper (Finistère). Quelque 230 personnes ont répondu à l’appel et se sont retrouvées, avant de défiler dans les rues du centre-ville.

    Une nouvelle manifestation samedi

    Au micro, Yves Jardin a parlé au nom des nombreuses organisations à l’origine du rassemblement et a redit leurs revendications, alors que les tensions entre Palestiniens et Israéliens sont grandissantes : « Nous demandons que le président français et que le gouvernement contribuent à la protection de la population palestinienne. Nous souhaitons qu’ils condamnent les provocations et agressions permanentes des Israéliens. »

    Une nouvelle manifestation pourrait être organisée, toujours à Quimper, ce samedi 22 mai.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

    A lire également: « Nous sommes tous Palestiniens » : une centaine de personnes réunie à Quimper ( letelegramme.fr-17/05/21-19h05)

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  • Le collectif « Tous à poil pour le Ségur » participe maintenant à plusieurs manifestations et porte fièrement les couleurs de son nouveau logo.Le collectif « Tous à poil pour le Ségur » participe maintenant à plusieurs manifestations et porte fièrement les couleurs de son nouveau logo. 

     
     

    Né à Plabennec (Finistère) début janvier 2021, le collectif « Tous à poil pour le Ségur » est devenu national. Pour autant, aucune réponse n’a été apportée face aux demandes de revalorisations salariales dans le médico-social.

    Début janvier 2021, les membres fondateurs du collectif Tous à poil pour le Ségur, salariés éducateurs, infirmiers, surveillants, etc., de l’Institut médico-éducatif (IME) de Plabennec (Finistère), exprimaient leur colère de ne pas être inclus au Ségur de la santé (Ouest-France des 16-17 janvier 2021). « Nous trouvons cela injuste et avons décidé de poser nus pour le symbole, de se sentir oubliés, délaissés, exclus… » expliquaient-ils alors.

    500 photos de collègues de toute la France

    Depuis, quatre mois sont passés et le mouvement a fait boule de neige. Plus de 500 photos de collègues de toute la France sont recensées sur leur page Facebook « Tous à poil pour le Ségur », qui compte près de 3 000 abonnés.

    « Nous sommes maintenant reconnus par les syndicats, même si nous sommes complètement apolitiques. Nous sommes invités dans les manifestations et avons un droit de parole. Nous avons même dû changer le nom de la page Facebook et enlever le “29” car c’est devenu national. Nous ne pensions pas que ça prendrait une telle ampleur ! » se réjouissent les représentants.

    Prioritaires pour le vaccin mais pas pour les augmentations

    Et pourtant, malgré cette reconnaissance, rien n’a bougé. Plus de 250 photos ont été envoyées au ministère de la Santé, mais aucune revalorisation salariale n’a été proposée, en dehors, éventuellement, pour certaines professions mais pas pour les éducateurs.

    Injustice incompréhensible pour le collectif : « Nous ne savons pas pourquoi. En plus, nous ne sommes tenus au courant de rien. Mais paradoxalement, nous avons eu le droit de nous faire vacciner car nous sommes exposés. Là, nous sommes légitimement prioritaires, mais pas pour les augmentations de salaires… »

    « Nous sentons une vraie tension »

    Et les professionnels tirent la sonnette d’alarme. « Ce mouvement pense aussi à l’avenir et nous sentons monter une vraie tension dans nos établissements. Il va y avoir rapidement des problèmes pour recruter du personnel et c’est un vrai problème national ! préviennent-ils. C’est parce que nous aimons tellement notre travail que nous continuons malgré tout et c’est ce qu’ils doivent se dire plus haut, c’est pour ça qu’ils ne réagissent pas… »

    « C’est à nous de nous faire entendre, mais là on en a ras la casquette, il est temps que ça change. Nous sommes toujours là et nous n’arrêterons pas ! » affirme le collectif. Il poursuivra en effet son action, avec l’espoir d’obtenir gain de cause mais aussi une légitime reconnaissance…

    Vendredi 21 mai, à Carhaix, et samedi 12 juin 2021, à Quimper, manifestations régionales avec les syndicats et le collectif d’employeur. Page Facebook : « Tous à poil pour le Ségur ».

     

     

     
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  • Environ 250 personnes se sont rassemblées, place de la Liberté, à Brest (Finistère)Environ 250 personnes se sont rassemblées, place de la Liberté, à Brest (Finistère) 

    À Brest (Finistère), 250 personnes se sont retrouvées, place de la Liberté, pour manifester leur soutien au peuple palestinien, dans le cadre du conflit militaire qui s’intensifie entre Israël et le mouvement palestinien Hamas.

    Environ 250 personnes se sont rassemblées, à Brest (Finistère), pour manifester leur soutien au peuple palestinien, place de la Liberté. Depuis plusieurs jours, le conflit militaire s’intensifie entre Israël et le mouvement palestinien Hamas. « On est là pour manifester notre solidarité. La montée en puissance de cette violence envers les Palestiniens n’est plus tolérable, explique Claude Leostic, de l’AFPS (France Palestine Solidarité). On veut rappeler à la France qu’elle a un rôle politique à jouer, en tant que membre permanent du conseil de sécurité. Elle doit agir et prendre position contre cette violence qui dure depuis trop longtemps. »

    « C’est important de mettre en lumière ces événements. Et de soutenir un peuple qui a été maltraité depuis trop longtemps. », soulignent Emma et Lilian, manifestants. Après les prises de paroles, le cortège s’est élancé dans les rues de Brest, jusqu’à la sous-préfecture. Un nouveau rassemblement est annoncé, pour mercredi 19 mai, à 18 h.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • ASSOCIATION FRANCE-PALESTINE SOLIDARITÉ
    GROUPE DU PAYS DE CORNOUAILLE

     

    Solidarité avec le peuple palestinien !-RDV Lundi 17/05/21-17h30 Place Terre-au-Duc à Quimper

    Communiqué 

    Solidarité avec le peuple palestinien !

     

    15 mai 1948 - 15 mai 2021: 73 ans après la Nakba, le nettoyage ethnique, l’occupation, la colonisation, la répression et la spoliation des Palestiniens continuent. Aujourd’hui, la politique de nettoyage ethnique s’amplifie à Jérusalem-Est dans les quartiers de Cheikh Jarrah et de Silwan.  A partir de la fin d’avril, des bandes de fascistes et de suprématistes israéliens ont défilé dans les rues de la ville aux cris de « Mort aux Arabes » et en agressant les Palestiniens et même des Israéliens progressistes. Après le bouclage d’une partie d’une partie de Jérusalem, empêchant les Palestiniens d’accéder aux lieux de culte en période de Ramadan, la police et l’armée israéliennes ont investi l’Esplanade des Mosquées et pris d’assaut la Mosquée al-Aqsa. Plus de 500 personnes ont été blessées aux cours des affrontements. La répression à Jérusalem et en Cisjordanie est terrible avec son lot d’arrestations, de blessés et de morts. A Gaza, les tirs de roquettes sont l’expression d’une résistance légitime à la violence de l’occupation et du blocus imposé unilatéralement par Israël depuis 14 ans. Les tirs de missiles israéliens visent des quartiers peuplés de civils. Jeudi, à la mi-journée il y a déjà plus de 80 victimes, dont 17 enfants. Les Palestiniens d’Israël, citoyens de seconde zone, subissent depuis des décennies racisme et discrimination. Ils se révoltent devant les violences subies par les Palestiniens à Jérusalem et à Gaza. C’est l’ensemble du peuple palestinien qui se mobilise. 
     
    Devant une telle situation, le gouvernement français doit prendre ses responsabilités, contribuer à protéger la population palestinienne, condamner clairement les agressions qu’elle subit et prendre à l’égard d’Israël les mesures concrètes qui s’imposent. Pour témoigner notre solidarité au peuple palestinien, pour demander au gouvernement de notre pays des actes forts pour garantir la sûreté des Palestiniens et le respect de leur dignité et de leurs droits, le groupe du Pays de Cornouaille de l’Association France-Palestine Solidarité appelle à un rassemblement, le lundi 17 mai, à 17 h 30, Place Terre au Duc à Quimper. Ce rassemblement sera suivie d’une manifestation.
     
    Le 13/05/21
     
     
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  • Les postiers du Finistère seront en grève le mardi 18 mai 2021.Les postiers du Finistère seront en grève le mardi 18 mai 2021.

    L’intersyndicale CGT, CFDT, FO, Sud et Unsa ont déposé un préavis de grève pour le mardi 18 mai 2021. Voici leurs revendications.

    « Les postières et les postiers n’en peuvent plus ! ». C’est le titre du communiqué envoyé par l’intersyndicale CGT, CFDT, FO, Sud et Unsa. Elle appelle les postiers à la grève le mardi 18 mai 2021. Ce préavis couvre l’ensemble du personnel de la Poste, fonctionnaires et salariés. Voici quelques-unes de leurs nombreuses revendications :

    Les revendications

    « Gel des réorganisations pendant la pandémie, arrêt des suppressions et comblement des positions de travail par des CDI sous statut Poste, comblement systématique de tous les départs (retraite, TPAS, licenciement, démission ou autre) par des CDI sous statut Poste, augmentation des salaires avec un repyramidage à partir de 1 800 € nets à l’embauche, 13e mois pour tous, versement de la prime covid de 1 000 € pour tous sans condition, arrêt immédiat de toute pression commerciale, arrêt immédiat des fermetures et réductions d’horaires des bureaux de poste de proximité, respect de nos missions de service public (distribution du courrier et de la presse six jours sur sept en tout point du territoire, garantie de l’accès aux services bancaires pour tous, présence postale territoriale par des bureaux de poste de plein exercice) et les moyens nécessaires pour les effectuer. »

    Deux rassemblements dans le Finistère

    Mardi 18 mai 2021, deux rassemblements à 10 h dans le Finistère : à Brest, devant la PPDC, 1, rue Victor-Grignard 29 490 Guipavas, Zone de Kergaradec ; à Quimper, devant la Poste centrale, 37 boulevard Amiral-de-Kerguelen. Les organisations syndicales invitent usagers et élus à venir soutenir les postiers et exiger avec eux un service public postal de qualité.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La mobilisation s’est accompagnée d’un débrayage du personnel, dans le hall du CHRU de La Cavale-Blanche à Brest (Finistère), mardi 11 mai 2021, avant de se poursuivre à l’extérieur jusqu’à 16 h.La mobilisation s’est accompagnée d’un débrayage du personnel, dans le hall du CHRU de La Cavale-Blanche à Brest (Finistère), mardi 11 mai 2021, avant de se poursuivre à l’extérieur jusqu’à 16 h. 

    À l’appel de plusieurs syndicats, une centaine de personnels hospitaliers du CHRU de la Cavale-Blanche à Brest (Finistère) ont rendu hommage, ce mardi 11 mai 2021, à leurs collègues des services de « réas » et soins intensifs. Un an après le début de la crise du Covid-19, ils appellent à une vraie reconnaissance des spécificités d’un travail stressant et difficile.

    Bahar Bourhis est déléguée syndicale CGT santé sociaux au Centre hospitalier régional de La Cavale-Blanche, à Brest (Finistère).

    Bahar Bourhis, déléguée syndicale CGT santé sociaux au Centre hospitalier régional de La Cavale-Blanche à Brest (Finistère). 

    Expliquez-nous les raisons de votre mouvement intersyndical ?

    Ce n’est pas seulement une manifestation intersyndicale avec Sud santé sociaux, la CFDT et les autres syndicats. Tout est parti d’un collectif de soignants en Corse. Le mouvement a ensuite été repris aux hôpitaux de Lyon. Le secteur santé social a ensuite fédéré d’autres personnels mécontents, syndiqués, mais pas seulement.

    Il s’agit de mettre en avant le travail de tous les personnels de réanimation et de soins intensifs. À Brest, cela concerne les services de réanimation chirurgicale, médicale, pédiatrique et chirurgie cardiaque (CCTV), ainsi que les soins intensifs de néonatologie, cardiologie, neurochirurgie et neurologie vasculaire.

    Des tracts ont été distribués aux conducteurs passant à proximité de l’hôpital de la Cavale-Blanche à Brest (Finistère), mardi 11 mai 2021.

    Pourquoi avoir choisi de leur consacrer une journée de mobilisation ?

    Depuis plus d’un an, ces personnels sont en première ligne pour lutter contre l’épidémie de Covid-19. Ils travaillent sous tension, souvent en sous-effectif, avec des périodes de pénuries de matériel de protection. Ils ont été particulièrement sollicités et nous sommes contents de voir que notre appel a été suivi avec plus d’une centaine de manifestants, des soignants et administratifs de tous services qui leur rendent une vraie reconnaissance.

    La mobilisation s’est accompagnée d’un débrayage du personnel, dans le hall du CHRU de La Cavale-Blanche à Brest (Finistère), mardi 11 mai 2021, avant de se poursuivre à l’extérieur jusqu’à 16 h. 

    Qu’attendez-vous maintenant de la part des pouvoirs publics ?

    Cette crise sanitaire a mis en lumière le manque de lits d’hospitalisation en soins critiques, le manque de moyens et la spécificité d’un travail méconnu du grand public. On y prend en charge des patients entre la vie et la mort. C’est beaucoup de responsabilité et de stress sans oublier la prise en compte des familles en détresse. On espère pour eux une vraie reconnaissance.

     
    Recueilli par Sabine NICLOT-BARON.
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  • Cette semaine, nouveau point de l’actualité revendicative avec le secrétaire général du Syndicat CGT du CHRU Brest . Comme d’habitude le petit point info Coronavirus avec cette décision de la direction qui nous scandalise : le maintien du jour de carence pour les agents ayant des effets secondaires à la vaccination. Ensuite ce sera le tour des luttes de l’établissement : les sages femmes, les infirmiers anesthésiste, les personnels du centre René Fortin, le 1er mai et les suites des violences contre la CGT pendant le cortège parisien... Puis cette revue d’actualité se terminera par les modalités pratiques pour se rendre à la manifestation festive prévue pour protester contre les mesures du Ségur de la santé.

    Pour l'inscription aux cars de la manifestation du 21 mai à Carhaix : https://forms.gle/RrYQxpDobakBQE7R8
     
    Pour acheter l'affiche proposée par les Sages-femmes en lutte, c'est ici : https://bit.ly/3f8Ec1G

     

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  • Face au plan de relance jugé insuffisant, la CGT veut mettre en place un plan de rupture.Face au plan de relance jugé insuffisant, la CGT veut mettre en place un plan de rupture. 

    PTT, Arsenal, SNCF, CHRU, enseignement privé et public… tous secteurs confondus, la CGT dénonce le manque de moyens humains et la précarisation des emplois.

    En dépit des aides du plan de relance, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la crise actuelle se traduisent par une aggravation des inégalités. À Brest (Finistère), la CGT annonce souhaiter construire un plan de rupture dans de nombreux secteurs fragilisés.

    « D’une part, nous dénonçons le manque de moyens humains dans de nombreux secteurs comme les services sociaux, la santé ou l’Éducation nationale, explique Fabienne Bodin, membre du bureau de l’IUD CGT 29. D’autre part, nous questionnons la formation des jeunes, la relocalisation sur le territoire de nombreux secteurs de l’économie, les problèmes de mobilité qui empêchent l’accès à l’emploi, la dégradation du service public. »

    Manque de moyens humains

    « La Poste recourt à plein de CDD et de travailleurs intérimaires qui sont autant de contrats précaires ! Alors qu’il y a plein de travail », souligne David Di Benedetto, secrétaire du syndicat CGT Fapt Nord 29. Même écho du côté de l’Arsenal. L’inadéquation de la formation des jeunes est un autre élément du plan de rupture préconisé par la CGT.

    La SNCF, le Centre hospitalier universitaire (CHRU) de Brest, l’enseignement public et privé déplorent, eux aussi, le manque de moyens humains, le nombre de postes supprimés, le statut précaire des contractuels de l’hôpital, les classes surchargées, etc.

    Remise en route du fret ferroviaire

    Face à ces constats, la CGT du Finistère souhaite proposer des projets de rupture axés sur la relocalisation d’activités sur le territoire, comme la remise en route du fret ferroviaire au port ou l’embauche de salariés en CDI, avec l’ouverture d’un centre de production de vaccins à Plouzané.

    « Nous souhaitons également mettre en place des bureaux d’embauche devant des lieux de formation ou des lycées professionnels pour recueillir des CV et faire le lien avec des employeurs », indique Anne-Véronique Roudaut, secrétaire générale de l’Union départementale CGT 29.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Au départ de la place Saint-Corentin, les vélos ont pris la tête d’un cortège de 500 personnes.Au départ de la place Saint-Corentin, les vélos ont pris la tête d’un cortège de 500 personnes.

    À l’appel de nombreuses associations et partis politiques, 500 manifestants ont défilé dans les rues de Quimper, ce dimanche 9 mai 2021. Ils dénoncent, notamment, les faibles moyens de la loi climat.

    Malgré la pluie, qui n’a pas cessé de tomber, près de 500 personnes ont défilé lors d’une marche pour le climat dans les rues du centre-ville de Quimper (Finistère), dimanche 9 mai 2021. Un collectif de 12 associations et partis politiques avait appelé au rassemblement, dans le cadre d’une mobilisation nationale.

    Partis de la place Saint-Corentin, les (nombreux) vélos se sont élancés en tête de cortège, accompagnés de près par une fanfare.

    500 personnes ont participé à une « marche d’après » pour le climat, à Quimper, le 9 mai 2021. 


    Les manifestants ont convergé vers le théâtre de Cornouaille, où ils ont assisté à plusieurs prises de paroles : soutien aux ouvriers de la fonderie de Caudan, remise en cause de la méthanisation et de l’implantation d’un entrepôt Amazon à Briec…

    500 personnes ont participé à une « marche d’après » pour le climat, à Quimper, le 9 mai 2021. 

    Une loi climat « réduite à peau de chagrin »

    C’est l’écologiste et ancienne candidate à la mairie de Quimper, Martine Petit, qui a pris la parole en premier : la loi climat, tel qu’adoptée par l’Assemblée nationale « n’est vraiment pas à la hauteur des enjeux », dénonce-t-elle. « C’est à nous de faire bouger les forces politiques pour ne pas subir en 2022 des politiques réactionnaires, tant au niveau social qu’écologique ». Elle a également appelé à faire « bouger les territoires. C’est aussi au niveau local que la transition doit être au rendez-vous. »

    Yolande Bouin, qui a travaillé au sein de la convention citoyenne sur le climat, a témoigné lors de ce rassemblement : « Nous devons montrer que nous ne sommes pas d’accord avec la loi climat adoptée par l’Assemblée nationale. Elle ne correspond pas du tout à ce que nous, les citoyens, avons réalisé. Elle a été détricotée par les ministères et réduite à peau de chagrin ! ».

     

    Anaëlle BERRE

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  • Vendredi matin à Brest (Finistère), à l’appel de l’Union nationale lycéenne, environ 300 lycéens ont dénoncé les inégalités entre établissements face au Covid et ont manifesté en faveur d’un contrôle continu.Vendredi matin à Brest (Finistère), à l’appel de l’Union nationale lycéenne, environ 300 lycéens ont dénoncé les inégalités entre établissements face au Covid et ont manifesté en faveur d’un contrôle continu. 

    Blocus filtrant à l’Iroise, tentatives à la cité de Kerichen, l’Harteloire et Ronarc’h… Hier, à Brest, des élèves ont dénoncé les inégalités entre lycées et le manque de préparation. Ils veulent un bac en contrôle continu.

    « Pour le bac, on demande l’annulation des épreuves de juin au profit du contrôle continu. Pour toutes les filières : générale, technologique, professionnelle, explique Laël Gragnic-Benard, en première au lycée de l’Iroise, à Brest (Finistère) et représentant de l’Union nationale lycéenne (UNL). Il y a un manque d’égalité entre les élèves, notamment entre ceux du privé, qui ont bénéficié d’un enseignement quasi à 100 % en présentiel, et ceux du public, seulement à 50 % ! »

    Ce vendredi 7 mai 2021, il est 8 h. Place de Strasbourg, les entrées de l’Iroise sont bloquées par une douzaine de poubelles et des grilles. Sur des pancartes, on peut lire : « Lycéens en colère », « Pour un lycée sans inégalités », « Contrôle continu pour des élèves perdus », « Jeunesse en danger », etc.

    « Épreuve inégalitaire »

    À l’appel de l’UNL, dans le cadre d’une semaine nationale contre le « bac noir », environ 200 lycéens revendiquent pour la suppression des épreuves du bac, ainsi que du grand oral, une nouveauté. « C’est une épreuve inégalitaire. On n’y a pas été préparés. Elle va profiter aux élèves socialement favorisés qui ont les capacités à s’exprimer à l’oral », souligne Thibauld. Inès déplore aussi « le manque de clarté » des informations, ce qui est démotivant.

    Vendredi matin, à l’appel de l’Union nationale lycéenne, environ 300 lycéens ont dénoncé les inégalités entre établissements face au Covid et ont manifesté en faveur d’un contrôle continu.

    Il s’agit d’un blocus filtrant. Les collégiens, les enseignants et agents, ainsi que les lycéens qui le souhaitent, peuvent rentrer dans l’établissement. Le mouvement a été préparé en bonne relation avec l’administration.

    Des blocus étaient aussi prévus à la cité scolaire de Kerichen, à l’Amiral-Ronarc’h, et à l’Harteloire. Mais ils n’ont pas pu se tenir, principalement en raison d’un nombre insuffisant de personnes.

    Passer un « vrai » bac

    En milieu de semaine, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, a annoncé qu’au bac de philosophie, la meilleure note sera retenue, entre celle de l’épreuve et le contrôle continu ! Une éventualité qui séduit certains lycéens. « Mes notes sont moyennes. Or, le grand oral, c’est coefficient 10 ! Ça peut rapporter beaucoup », souligne Morgan, favorable au maintien des épreuves.

    L’an passé, il a passé le bac de français en contrôle continu. Cette fois-ci, il voudrait passer « un “vrai” bac ».

    Un autre lycéen ajoute, avec ironie : « Les bloqueurs se plaignent d’un manque de préparation. Mais, précisément, aujourd’hui, le lycée avait fléché la journée pour nous former au grand oral. » Ce que confirme Jean-François Jacopin, proviseur de l’Iroise : « Il était prévu un professeur pour dix élèves ! » Au total, trois journées de préparation au grand oral sont prévues.

    Vers 10 h, les lycéens de l’Iroise ont été rejoints par des élèves de l’Amiral-Ronarc’h, de Vauban, La Pérouse, Lesven, et l’Harteloire. Ils sont alors environ 300. Dans une ambiance bon enfant, ils ont manifesté dans les rues du centre.

    Après un tour – non prévu initialement – au sein de la cité scolaire de Kerichen, puis un passage à l’Harteloire, ils ont terminé devant la sous-préfecture vers 12 h, soutenant le rassemblement de la CGT contre les violences subies par des militants à Paris le 1er mai.

    Quelque 3 000 lycéens brestois – premières et terminales – passeront le bac en juin. Voilà trois ans que les lycéens n’étaient pas descendus dans la rue à Brest. C’était contre Parcoursup et la sélection à l’entrée de l’enseignement supérieur.

    Laurence GUILMO

     

    sources: https://www.ouest-france.fr/   &   https://www.ouest-france.fr/

     

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  • La députée n’a pas reçu le collectif quimpérois contre les lois liberticides

    « Nous souhaitions que la députée nous explique en quoi ces lois que nous considérons comme liberticides, notamment la loi dite de sécurité globale, sont valables à ses yeux ? Notamment parce qu’elle a voté cette dernière en première lecture. Peut-être n’a-t-elle pas pris part au deuxième et dernier vote en raison d’un désaccord, finalement », pose Janine Carrasco du syndicat Solidaires, non sans ironie. « On peut s’attendre à tout avec cette majorité parlementaire qui a de plus en plus de mal à prendre position ».
    Il est un peu plus de 17 h ce vendredi et la vingtaine de représentants de syndicats ou partis politiques rassemblés devant la permanence d’Annaïg Le Meur ne goûte que moyennement une situation, signifiant selon eux l’expression d’un « mépris ». « Il aura tout de même fallu un coup de fil et un courriel de rappel pour que l’on soit sûr que notre demande initiale avait bien été reçue, explique le collectif. La députée nous a prévenus jeudi qu’elle ne serait pas là. Nous nous interrogeons sur la capacité des parlementaires de la majorité à assumer une position jusqu’au bout ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Mobilisation au lycée Thépot pour Clovis Libeke.Mobilisation au lycée Thépot pour Clovis Libeke.

    Des élèves de terminale du lycée Thépot, à Quimper, se mobilisent contre l’expulsion de leur camarade de classe d’origine congolaise. Ce vendredi, ils avaient déjà lancé une pétition en ligne et s’attelaient à l’organisation d’un rassemblement.

    Juridiquement difficile à comprendre, moralement inacceptable. Clovis Libeke, 19 ans, est frappé d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF). L’appel interjeté devant le tribunal administratif a abouti négativement mercredi 5 mai.

    Malgré son allant et un sourire dont il a du mal à se départir, le lycéen, quimpérois depuis cinq ans et parfaitement intégré, a en réalité du mal à encaisser. Autant dire qu’à quelques jours de la première épreuve de son bac Sciences et technologie de l’industrie et du développement durable, la solidarité de ses camarades de classe et des adultes qui le suivent constitue un soutien en or massif.

    « Je pensais que l’affaire était pliée »

    « Quand j’ai appris la décision du tribunal, je pensais que l’affaire était pliée. Mais j’ai vraiment de bons amis », commente cet « élève sérieux dont le comportement est exemplaire ». Dans son attestation, le proviseur du lycée, Pascal Marzin, met en exergue « son courage, son travail et sa motivation lui permettant d’être aujourd’hui parmi les meilleurs élèves de l’établissement » !

    «Il a toujours été discret sur son statut et les difficultés qui vont avec»

    Mobilisation au lycée Thépot pour Clovis LibekeMobilisation au lycée Thépot pour Clovis Libeke. 

    Ce vendredi midi, sur le trottoir devant le lycée public, la quasi-totalité des camarades de classe font corps avec leur pote Clovis. « Il a toujours été discret sur son statut et les difficultés qui vont avec », témoigne un enseignant qui l’accompagne depuis plusieurs années. « Il n’en parle jamais. Mais quand on a vu son visage se décomposer mercredi au fur et à mesure de la conversation qu’il avait au téléphone, on a tout de suite compris », rapporte l’un des lycéens à l’origine du rassemblement de la classe.

    « Tout le monde est sensibilisé à la situation de Clovis dans le lycée »

    Fines lunettes au cerclage doré, silhouette athlétique habillée plutôt swag, propos calme et réfléchi : rien, absolument rien ne distingue celui qui a été pris en charge par le Département voici cinq ans, en tant que mineur isolé, de n’importe quel jeune Quimpérois. Si ce n’est, peut-être, l’excellence scolaire dont il a fait preuve jusqu’à maintenant.

    Alors forcément, la mobilisation autour de lui s’est imposée. « Tout le monde est sensibilisé à la situation de Clovis dans le lycée », assurent les délégués de classe. Une pétition est en ligne depuis ce vendredi matin. Elle avait recueilli 1 472 signatures à 19 h 30 !

    Désormais majeur, Clovis Libeke a un vrai projet d’études supérieures : il envisage un bac + 3 en informatique. Il est socialement intégré, mais il ne pourrait obtenir le droit de demander un titre de séjour parce qu’un imbroglio sur son identité marque son arrivée en France. Même si tout a été remis à plat et « régularisé » depuis.

    Clovis et tous ceux qui sont à ses côtés misent sur un ultime recours en justice.

    Interrogée dans la journée sur la situation de Clovis Libeke, la préfecture a précisé, vers 20 h, qu’elle « ne communiquait pas sur les situations individuelles ».

    Olivier Scaglia

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • L’eau a été impropre à la consommation, pendant plusieurs jours, dans le Pays fouesnantais.L’eau a été impropre à la consommation, pendant plusieurs jours, dans le Pays fouesnantais.

    Suite à la rupture de canalisation sur le réseau d’alimentation en eau qui dessert notamment le Pays fouesnantais depuis l’Aulne, Eau Secours 29 et Carepa du Quinquis, « tirent les leçons de la nouvelle pollution » dans un communiqué.

    « Nos associations, membres de la Commission consultative des services publics locaux de Quimper Bretagne Occidentale (CCSPL) avaient déjà tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises. Ce fut encore le cas lors de la réunion de la CCSPL du 19 novembre 2020, consacrée à l’eau potable et à l’assainissement. Elles avaient relevé l’opacité dans la gestion des délégataires Veolia et Saur, le laisser-aller des collectivités, les contrôles insuffisants et le manque d’entretien des canalisations dont certaines datent de plus de cinquante ans. La Cour régionale de comptes l’avait d’ailleurs noté ».

    Rappelant les problèmes sur la rivière du Quinquis, la pollution suite à une fuite d’un méthaniseur en août dernier, la rupture d’une canalisation du réseau d’assainissement en novembre, Eau Secours 29 et le Carepa estiment que « ces événements mettent en évidence la fragilité de nos réseaux, l’abandon regrettable de nombreux captages que nous avions dénoncé en CCSPL et l’incapacité de ceux qui en ont la charge d’assurer correctement leur entretien et les investissements nécessaires… Il n’est pas très difficile de comprendre que la pratique de la délégation de compétence, très répandue en Finistère-Sud, fait perdre aux services des collectivités locales la connaissance des réseaux, la technicité et la mémoire nécessaires. Pour notre part, nous n’oublierons pas ce constat lorsque, prochainement, les collectivités auront à envisager une alternative aux délégations de service public accordées actuellement à Veolia et à la Saur ».

    À noter que l’eau du robinet est revenue à la normale depuis mercredi dans le Pays fouesnantais après plus de cinq jours de perturbation.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Ce jeudi, à Quimper, environ 70 personnes ont répondu à l’appel de l’union locale CGT. Elle avait appelé au rassemblement, six jours après les violences qui ont éclaté en marge de certaines manifestatCe jeudi, à Quimper, environ 70 personnes ont répondu à l’appel de l’union locale CGT. Elle avait appelé au rassemblement, six jours après les violences qui ont éclaté en marge de certaines manifestations du 1er mai.

     

    À Quimper, la fête du 1er mai fut belle, malgré le contexte.

     

    Ce ne fut pas le cas partout. À Paris par exemple, des violences ont émaillé le parcours de la manifestation. Notamment à l’encontre de représentants de la CGT. Six jours après, l’union locale quimpéroise a, comme tant d’autres, tenu à appeler au rassemblement. « Pour apporter notre soutien aux camarades blessés », et « pour dénoncer ces violences. Car il est inadmissible de s’attaquer à une organisation syndicale, quelle qu’elle soit, alors qu’elle est là pour défendre les salariés », résument Marie Le Berre et Sandrine Allain, membres du bureau de l’union locale CGT, ce jeudi en fin d’après-midi.

    Autour d’elles, près de soixante-dix représentants syndicaux, membres ou sympathisants de partis de gauche, citoyens. Tous, réunis devant la préfecture. Le lieu n’a pas été choisi au hasard. « Car nous voulons aussi rappeler au gouvernement qu’un des rôles de l’État, c’est de protéger les citoyens, y compris ceux qui participent aux manifestations ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les sages-femmes du CHRU de Brest-Carhaix ont reçu le soutien de La Loutre, qui a mis en vente une affiche dont les bénéfices seront consacrés à leurs formations.Les sages-femmes du CHRU de Brest-Carhaix ont reçu le soutien de La Loutre, qui a mis en vente une affiche dont les bénéfices seront consacrés à leurs formations. 

    Les sages-femmes du CHRU de Brest-Carhaix (Finistère) se sont mobilisées, à l’appel de la CGT et de la CFDT, une nouvelle fois, ce mercredi 5 mai, devant l’hôpital Morvan, à Brest, pour demander une juste reconnaissance de leur profession et de meilleures conditions de travail. Et notamment une vraie reconnaissance du caractère médical de leur profession. « On nous associe seulement aux accouchements, alors que la profession, c’est bien plus que ça : IVG, suivi gynécologique… », explique Marine et Manon. Aussi demandée : une revalorisation salariale. « Une sage-femme qui sort d’école, elle ne va toucher que 1 700 € nets après de longues études et de vraies responsabilités. »

    Les trajets Brest-Carhaix non pris en compte

    Plus localement, les sages-femmes demandent l’embauche et l’affectation d’une sage-femme 24 heures/24 aux urgences. Mais aussi une prise en compte du travail multisite et du temps de trajets de certaines sages-femmes, entre Brest et Carhaix. « On nous répond que l’on n’a pas le droit à la prime d’exercice multisite parce qu’on nous dit qu’on ne rentre pas dans le cadre des professions médicales ! » La proposition avancée par la direction lors d’une réunion avec les syndicats, lundi : une prime d’intéressement collectif.

    Une affiche en vente

    En parallèle de cette journée de mobilisation, les sages-femmes, en partenariat avec l’artiste Cléo de La Loutre, lance une vente d’affiche. Illustrée par cette dernière, l’ensemble des bénéfices seront consacrés à la formation des sages-femmes du CHRU de Brest. Elles sont vendues au prix de 19,90 €, sur le site la-loutre.com.

     

    Jade SIMON

    source: https://www.ouest-france.fr/

     
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  • Les intermittents ont accompagné les cheminots lors de leur rassemblement.Les intermittents ont accompagné les cheminots lors de leur rassemblement.

    Une trentaine de personnes a répondu à l’appel des cheminots de l’union locale de la CGT, à Brest (Finistère), ce mercredi 5 mai 2021. Accompagnés des intermittents du spectacle, ils ont protesté contre les suppressions de poste prévues dans les gares de Brest et Landerneau.

    Une trentaine de personnes s’est réunie, ce mercredi 5 mai 2021, sur le parking de la gare de Brest (Finistère). C’est l’union locale de la CGT qui est à l’initiative de mobilisation afin de protester contre les suppressions de postes prévues en gare de Brest et Landerneau. « Il s’agit de huit postes de guichetiers et d’accueil », explique Cyrille Frey, représentant syndical.

    Tous déplorent une dégradation du service au public. « Ce sont les voyageurs qui vont en pâtir, souligne une guichetière. Avec le Covid-19, on a vu arriver beaucoup de monde en gare. On a vite été dépassés. Et ça ne va pas aller en s’arrangeant. Notamment au moment du Tour de France. »

    Des négociations en cours

    Les cheminots étaient soutenus par les intermittents et leurs tambours alors que se tenait une réunion de négociation avec la direction de la SNCF. « La direction ne compte pas retirer ce projet et dit être encore en réflexion », indique Cyrille Frey.

    Les cheminots espèrent donc l’annulation du projet et comptent sur une aide politique. Sans quoi, ils prévoient une action d’envergure au moment du Tour de France.

     

    Emmanuelle CADIEU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • À Quimper (Finistère), une douzaine de sages-femmes, pour la plupart en repos, ont répondu présent à ce rassemblement : « Les collègues du service se sont inscrites comme grévistes, mais elles ne peuvent pas abandonner leur poste et leurs patients. »À Quimper (Finistère), une douzaine de sages-femmes, pour la plupart en repos, ont répondu présent à ce rassemblement : « Les collègues du service se sont inscrites comme grévistes, mais elles ne peuvent pas abandonner leur poste et leurs patients. »

    Un rassemblement de sages-femmes était organisé devant le Centre Hospitalier de Cornouaille à Quimper (Finistère), mercredi 5 mai 2021. « Oubliées du Ségur », elles demandent une meilleure reconnaissance de leur travail.

    Mercredi 5 mai 2021, des sages-femmes du Centre Hospitalier de Cornouaille (Chic) de Quimper (Finistère) se sont rassemblées pendant près d’une heure pour réclamer une meilleure reconnaissance de leur profession. Cette mobilisation s’inscrit dans le cadre d’une action nationale : La journée sans sages-femmes.

    « Nous avons été complètement oubliées »

    Présente à ce rassemblement, Bénédicte Nicolas est sage-femme au Chic depuis maintenant 14 ans. Elle milite pour une meilleure reconnaissance de sa profession : On est une profession médicale, au même titre que les médecins, et nous sommes reconnues comme telle dans le code de santé publique. Mais au sein des hôpitaux, notre statut est assimilé à celui des paramédicaux​, explique-t-elle.Ce qui a ravivé notre colère, c’est le Ségur de l’année dernière. Nous avons été complètement oubliées, et quand nous avons enfin été entendues, nous avons été classées comme paramédicaux…

    Autres revendications : porter la durée des études à 6 ans et retravailler les textes concernant la périnatalité : Le nombre de sages-femmes dans les salles d’accouchement est fixé par un décret de 1998. Mais la situation a évolué en 23 ans, et aujourd’hui il faut plus d’effectifs.

    À l’issue du rassemblement, une pétition sera envoyée à Isabelle Assih (maire de Quimper), Annaïg Le Meur (député de la 1re circonscription du Finistère), Richard Ferrand (président de l’Assemblée nationale), Olivier Véran (ministre de la Santé) et Jean Castex (Premier ministre).

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La chaîne d’abattage de la Société briecoise d’abattage (SBA) a été arrêtée mardi 4 mai 2021 au soir.La chaîne d’abattage de la Société briecoise d’abattage (SBA) a été arrêtée mardi 4 mai 2021 au soir. 

    Ligne de production suspendue, enquête judiciaire ouverte... Ce mercredi 5 mai 2021, une journée après la publication par L214 d’images de maltraitance dans un abattoir de Briec, près de Quimper (Finistère), le point sur la situation.

    Les dernières truies ont été abattues en fin de journée, mardi 4 mai 2021. Depuis, un calme inhabituel s’est installé dans la Société briecoise d’abattage (SBA), à Briec (Finistère). Dans la nuit de mardi 4 à mercredi 5 mai, l’association L214 a mis en ligne une vidéo montrant des actes de maltraitances commis envers des truies dans cet abattoir, appartenant au groupe Les Mousquetaires où sont abattues chaque semaine 2 300 femelles reproductrices de réforme (les coches), transformées en produits charcutiers.

    Le parquet a ouvert une enquête

    Truies paralysées, coincées dans des couloirs, dégagées à l’aide d’aiguillon électrique, coups portés aux yeux et à l’anus, difficulté à immobiliser les animaux lors de l’étourdissement… L214 a dénoncé « ces pratiques et des installations […] qui entraînent des souffrances extrêmes pour les animaux et qui sont dangereuses pour les employés ».

    L’association a déposé plainte et, ce mardi, le parquet du tribunal de Quimper a ouvert une enquête judiciaire, confiée à la gendarmerie.

    La ligne d’abattage suspendue

    Ce mercredi, c’était la sidération. Dans un communiqué, la direction de l’abattoir a déclaré « comprendre l’émotion » suscitée par ces images. Elle a pris la décision de suspendre la ligne d’abattage, « en attendant les conclusions des différents audits et enquêtes internes qui ont été immédiatement diligentés, en lien avec les autorités sanitaires ».

    « Si la direction ne l’avait pas fait, nous l’aurions exigé », a indiqué Christophe Marx, sous-préfet de Quimper, qui a convoqué la presse ce mercredi dans l’après-midi. Une enquête de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) va être menée.

    Une enquête des services vétérinaires

    Car L214 a aussi annoncé déposer un recours en responsabilité contre l’État. En 2016, un rapport de la DDPP pointait déjà un certain nombre de « non-conformités mineures » parmi lesquelles des animaux coincés dans des couloirs ou stressés par un treuil transportant les carcasses passant juste au-dessus d’eux.

    « Nous avons en permanence une équipe de 8 personnes des services vétérinaires sur place qui contrôlent les animaux qui arrivent, qui inspectent chaque carcasse pour valider l’état sanitaire et qui s’assurent du bien-être animal, a justifié Yvan Lobjoit, le directeur de la DDPP. Aucun inspecteur de chez moi n’aurait laissé passer cela. » Il assure que la majorité des non-conformités pointées en 2016 ont été résolues…

    Le préfet devra donner son feu vert avant le redémarrage de la production

    Alors, qu’est ce qui explique ces images et ces gestes ? L’abattoir, ouvert il y a quarante ans, a fait des travaux de modernisation depuis sa reprise par Agromousquetaires, filiale des Mousquetaires. D’autres étaient prévus, notamment dans la zone d’abattage. Était-ce suffisant ?

    Le sous-préfet évoque le comportement de quelques salariés. « Le préfet ne réautorisera l’ouverture que lorsque l’entreprise aura apporté des garanties en termes de formation de son personnel et sa capacité à surveiller toutes les étapes de la production, indique-t-il, suggérant à l’entreprise la mise en place de caméras de vidéosurveillances, autorisées à titre expérimentale dans la loi Egalim. « Mais cela relève de la responsabilité de l’entreprise ».

    « C’est notre emploi qui est en jeu »

    Mardi, les employés ont reçu l’ordre de se taire. L’un d’entre eux se confie. « C’est déjà un boulot dur physiquement et mentalement, là c’est un couperet, souffle-t-il. C’est angoissant. On se dit qu’on a une part de responsabilité… Mais on est tous pareils, c’est notre emploi qui est en jeu… On nous demande de produire. »

    Dans la première région de production porcine de France, l’exigence de rentabilité et celle de bien-être des animaux et des salariés sont-ils compatibles ? « L’un ne dispense pas l’autre, répond le sous-préfet. Sur des structures de cette nature, il y a du volume, il y a des investissements, une rentabilité mais il n’est pas question de brader ni sur le bien-être animal ni sur la sécurité des salariés. »

    Il précise que les services vétérinaires « vont s’assurer dans les autres établissements que le personnel est bien sensibilisé aux bonnes pratiques ». En attendant les conclusions des différentes enquêtes, les portes de l’abattoir resteront fermées, pour une durée indéterminée.

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • 5e mobilisation des sages-femmes au CHRU Brest Carhaix

     

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  • 3 Mobilisation du personnel du Centre René Fortin (CRF) Jeudi 6/05, rassemblement de 14h30/15h30. Il appelle les familles à venir en soutien !

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  • Quimper (29)-La CGT appelle à un rassemblement suite aux violences de Paris  (LT.fr-4/05/21-18h03)

    Samedi la manifestation du 1er mai s’est terminée par des violences au moment de la dispersion place de la Nation à Paris. « Un important groupe d’individus, dont certains se revendiquant gilets jaunes, a fait usage d’une extrême violence à l’encontre des manifestants. Insultes homophobes, sexistes, racistes… et, bien plus grave, la haine s’est exprimée par un déchaînement de coups et de jets de projectiles. Notre organisation, la CGT, était particulièrement ciblée », rappelle la CGT. L’Union Locale CGT appelle à un rassemblement jeudi à 17 h 30 devant la préfecture « contre toute forme de violence et de haine ».

     

    source:  https://www.letelegramme.fr/

    Lire également: Quimper. La CGT appelle à un rassemblement jeudi 6 mai (ouest-france.fr 4/05/21)

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